Mesure Phusique
Mesure Phusique
Mesure Phusique
transferts thermiques
coupls dans un
physiques
capteur solaire thermique
avec cellules anti-pertes
1re Anne Gnie Civil
Prsente par
Nadia DIHMANI
2014/2015
N. DIHMANI
Formations
Travaux de recherches
Expriences
professionnelles
Apport er contribution
SOMMAIRE
Erreurs et incertitudes
5
6
N. DIHMANI
Chp 1
Chp2
Chp3
Chp4
Bibliographie
N. DIHMANI
1. Introduction
LasciencecommencelaocommencelamesureD.Mendelev.
Ensciencesphysiques,unepremiretapeessentielledansl'apprentissage
d'unsujetestdetrouvercommentl'apprhenderenchiffres,etdesmthodes
pour mesurer une qualit qui lui est lie. Je dis souvent que si vous pouvez
mesurer ce dont vous parlez et l'exprimer en chiffres, vous en savez quelque
chose; mais si vous ne pouvez le mesurer, le quantifier, votre connaissance
est d'une bien pauvre et insatisfaisante espce: ce peut tre le dbut de la
connaissance, mais vous n'avez pas encore, dans vos penses, avanc
jusqu'austadedescience,quelquesoitlesujet.W.T.Thomson,L.Kelvi.
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Travaux de
I. Gnralit sur les mesures etrecherches
les grandeurs physiques
Expriences
professionnelles
Apport er contribution
2. Mesures physiques
2.1 dfinitions
LamtrologieausenstymologiquedutermesetraduitparSciencedelamesure.
La mesure est un processus de connaissance qui grce l'exprience physique nous
donne une information quantitative (valeur) du rapport entre la grandeur mesurable et une
grandeurdemmenatureprisecommeunit.
La mesure physique est fondamentale dans la plupart des champs scientifiques (chimie,
physique,biologie...).
Lamesurephysiqueestaussiessentielleungrandnombred'applicationsindustrielleset
commerciales allant de l'ingnierie la production manufacturire, en passant par la
productionpharmaceutiqueoul'lectronique.
La mtrologie occupe un rle dterminant sur la qualit, lefficacit, la scurit
et limpact environnemental des produits et des installations.
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2. Mesures physiques
Vocabulaires du domaine de la mtrologie :
Le mot mesure a plusieurs significations. Il intervient de nombreuses reprises
pour former des termes. On peut citer, par exemple : instrument de mesure, appareil
de mesure, unit de mesure, mthode de mesure.
Mesurage : ensembledoprationsayantpourbutdedterminerunevaleurdune
grandeur.
Mesurande : grandeurparticuliresoumisemesurage(longueur,masse,intensit,).
Valeur vraie dun mesurande : mesurequelonobtiendraitparunmesurageparfait.On
nelaconnatpasetonparlegalementdevaleurthorique.
Grandeur dinfluence : grandeurquinestpaslemesurandemaisquiauneffetsurle
rsultatdumesurage.
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Travaux de
I. Gnralit sur les mesures etrecherches
les grandeurs physiques
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professionnelles
Apport er contribution
2. Mesures physiques
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Travaux de
I. Gnralit sur les mesures et recherches
les grandeurs physiques
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3. Grandeurs physiques
3.1 Dfinition
UneGrandeurphysiqueestunparamtreauquelonpeutassocierunemesure.
Lordredegrandeurdunemesureestlavaleurapproximativequipeutserapprocher
delavaleurvraie.
La connaissance de l'ordre de grandeur d'une valeur permet de s'assurer que le rsultat
d'un calcul est cohrent et ne rsulte pas d'une erreur grossire.
Un rsultat de mesure est crit sous la forme :
X = {x} [X]
OXestlagrandeurphysique,
{x}estlavaleurnumriquedelagrandeurexprimedansl'unitchoisie
[X]estl'unit.
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2. Grandeurs physiques
3.
3.2 Systme international dunits
Depuis1960,ilestconvenudutiliserunSystme dunit International (SI) qui sappuie sur
7 grandeurs de basepartirdesquellestouteslesautresgrandeurspeuventtremesures.
Le tableau ci-dessousprsenteles six grandeurslesplus frquemment utilises, laseptime
grandeurtantlintensitlumineuse.
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3. Grandeurs physiques
3. 3 Etalons
En mtrologie, un talon de mesure est un dispositif auquel on doit se fier pour
contrler l'exactitude des rsultats fournis par un appareil de mesure. Cet talon
doit tre prcis, exact, reproductible et universel.
Par exemples:
Lunitdemasses,lekilogramme(kg),estreprsentmatriellementparuntalonunique.
Cestuncylindreenplatine,de39mmdediamtreetdehauteur.
Lunitdelongueur,lemtre(m),est,depuis1983,lalongueurdutrajetparcourudanslevide
parlalumirependantunedurede1/299792458deseconde.
Lasecondeestprisecommele1/31556925,9747delannetropiquede1900.
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3. Grandeurs physiques
3.4 Les prfixes en SI ou Multiples et sous-multiples des units:
Pourformerlesnomsetlessymbolesdesmultiplesetsous-multiplesdesunitsSI,
onutiliselesprfixesdonnsparletableausuivant.
Exemple:centimtre(cm)
Soutenance de thse
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Exercices
Pour chaque problme, valuez un ordre de grandeur du rsultat, puis calculez-le.
1. Unecommunecomptait2806habitants,ilya5ans.Depuis,lapopulationaaugment
de397personneschaqueanne.unecentaineprs,combiens'lve-t-elleaujourd'hui?
2. Uneentreprisecommande25127sucettespourrcompenserses4985salaris!Aune
unitprs,combiendesucettesauraenvironchaquesalari?
3. 11arbressontalignsetrgulirementespacssurunelongueurtotalede31,52m.
Gastonorganiseunesiesteganteavecsesamis:ilplaceunhamacentrechaquearbreet
lesconviedormiraprslerepas.Combienluifaut-ildehamacsetquelespace
(10cmprs)yat-ilenvironentrechaquearbre?Onngligeralpaisseurdelarbre
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II. Erreurs et
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incertitudes
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1. La notion derreurs
1.1 Introduction
Une erreur peut devenir exacte, selon que celui qui l'a commise s'est tromp
ou non. PierreDac;Lespenses-Ed.duChercheMidi(1972)
Iln'estpaspossibledemesurerexactementlavaleurd'unegrandeurphysique.
La mesure est toujours entache d'erreur, due l'instrument de mesure utilis et son
protocoled'utilisation.
Onestdoncamenestimerlerreurqueloncommetdurantleprocessusdemesureet
donnerlcartpossibleentrelavaleurmesureetlavaleurvraie.
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1. La notion derreurs
Exemple:
Onsouhaitemesurerunersistancedunconducteurohmiquebranchauxbornes
dunohmmtre.
1 re technique de mesure :quatrefilsdeliaisonentreleconducteurohmique
etlinstrument.
2 me technique de mesure :deuxfilsdeliaisonentreleconducteurohmique
etlinstrument.cequicorrespondunemesurecourantedelavaleurdune
rsistance.
Notreinstrumentcommuniqueavecunordinateuretlonutiliseunprogramme
dacquisitiondedonnes.Ceprogrammeeffectue2000mesuresmdelarsistance
R,reprelesvaleursmminetmmax,diviselintervalle[mmin;mmax]en10intervalles
(classes),calculelenombrendersultatsdanschaqueclasseetaffichelesrsultats
souslaformedundiagramme.
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1. La notion derreurs
Rsultats des mesures
1 re technique de mesure
1.Pourquoiunetellevariabilitdesrsultats?
2.Pourquoicesdeuxmthodesdonnent-ellesdesrsultatsdiffrents?
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1. La notion derreurs
INTRODUCTION
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1. La notion derreurs
1. 3 Traitement de la variabilit
Danslesannes1960,dansleslivresdesciencesphysiquesquiprsentaientlesIncertitudes
desmesuresetcalculsapprochs,oncherchedfinirunmajorantdeserreurs,etonpropose
desthormescommelincertitude absoluedune sommeoudunediffrenceestlasomme
desincertitudesabsolues.
Dans lexemple propos en introduction, il sera rarement possible deffectuer 2 000 mesures
dune mme grandeur. Un mesurage comporte en gnral plusieurs oprations dont chacune
peut tre source de variabilit. Lobjet de ltude des erreurs est de pouvoir prciser cette
variabilit,etunefaondelefaireestdintroduirele hasard , unhasardquipeutrsulterde
notreignorance(Dutarte,Piednoir).
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II. Erreurs et incertitudes recherches
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1. La notion derreurs
1.4 Types derreurs
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1. La notion derreurs
Reprenonslexemplededpart,linstrumentnemesurepasR maisR + Rf.
OuRfestlarsistancedesfilsdeliaisondelinstrumentauconducteurohmique.
DoncchaquemesuremiestsystmatiquementplusgrandequelavaleurdeR.
Lavaleurmoyenne<m> des N mesures du deuxime mesurage est plus grande de
0,41767ohms que dans le cas du premier mesurage, passantde82,9462ohms82,5286
ohms.
Cette diffrence tant due cette erreur systmatique.
LesN mesures mi restent disperses autour de <m> caractrisantlerreuralatoire.
Mthodes de dtection et dvaluation des erreurs :
mesurerlammegrandeuravecuninstrumentdiffrent;
mesurerlammegrandeuravecdesmthodesdiffrentes;
mesurerunegrandeurtalon(contrledelajustesse);
mesurerunmmemesurandedansdeslaboratoiresdiffrents.
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1. La notion derreurs
1.5 Synthse
INTRODUCTION
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2. Notion dincertitudes
1.1 Introduction
Incertitude : paramtre, associ au rsultat dun mesurage, qui caractrise la dispersion
desvaleursquipourraienttreraisonnablementattribuesaumesurande.
Lersultatdunemesurenestjamaisunevaleur:ilesttoujoursdonnsouslaformedun
intervalledesvaleursprobablesdumesurandeM = m U(M) associunniveaude
confiance.
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2. Notion dincertitudes
2.2 Incertitude type
Incertitude de type A : valuationdesincertitudespardesmthodesstatistiques.
Incertitude de type B :Quand la dtermination statistique nest pas possible, on dit que
lvaluation est de type B. Cest le cas dune mesure unique m ralise avec un appareil de
classe connue.
Lorsquelessourcesdevariabilitdelamesuresontmultiples,onestimelincertitude-typepour
chacunedentreellesetlonfaitunbilanglobalpourconstruireuneincertitude-type compose,
qui peut mlanger des valuations de type A et de type B.
Onobtientdoncuneincertitude-typedeTypeApartird'unefonction de densit de
probabilit(ousimplementdensitdeprobabilit)dduited'unedistribution d'effectif (ou
distributiondefrquence)observe;
alorsqu'onobtientuneincertitude-typedeTypeBpartird'unedensit de probabilit
suppose,fondesurledegrdecroyanceencequ'unvnementseproduise[souvent
appelprobabilitsubjective].
Lesdeuxapprochesutilisentdesinterprtationsclassiquesdelaprobabilit.
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2. Notion dincertitudes
(3)
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2. Notion dincertitudes
Danslapratique,pourdesproblmesdecot,onnepourraeffectuern
mesures.Donclaformuleprcdente(3)nestpasapplicable.
Si on effectue p nouvelles observations indpendantes, lincertitude type scrit
:
u M
s M
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2. Notion dincertitudes
Exemple:
Oneffectue20mesuresdudiamtreduncylindrelaidedunpiedcoulisse.
Onobtient:s(M)=0,018mm
Lincertitude-type retenue sur la moyenne deces20observationssera:
u M
0.018
mm
20
Sionestimequecettevaluationreprsenteconvenablementlcart-typedeladispersion
dune mesure de ce cylindre autour de sa moyenne, on peut prendre s(M) = 0,018 mm
comme lcart type exprimental dune mesure tablie laide du mme type
dinstrument.Cestcettevaleurquiserautilisepourtoutenouvellemesure.
Lincertitude-typesurunemesureestu(M)=0,018mm
Lincertitude-typesurlamoyennedetroismesuresultrieuresest: u M 0.018 mm
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2. Notion dincertitudes
Exercice :
1. Huit tudiants mesurent la longueur donde de la raie verte du mercure en utilisant une fente fine claire
par la lampe, une lentille et un rseau. Ils obtiennent les rsultats suivants :
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2. Notion dincertitudes
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2
2
2
u 2Formations
u lecture
u construct
u autre
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2. Notion dincertitudes
D'unemaniregnrale,si
leconstructeurfournit
l'incertitude-type,
onl'utilisedirectement.
Letableausuivantdonne
quelques
exemplesusuels:
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2. Notion dincertitudes
Cas 1 : Si l'on obtient l'estimation m partir d'une spcification de fabricant, d'un certificat
d'talonnage, d'une publication ou d'une autre source et que son incertitude indique est donne
comme tant un multiple dtermin d'un cart-type, l'incertitude-type u(M) est simplement gale au
quotient de la valeur indique par le facteur multiplicatif.
Exp : Un certificat d'talonnage indique que la masse m S d'un talon de masse en acier
inoxydable de valeur nominale gale 1Kg est de 1 000,000 325 g et que l'incertitude sur cette
valeur est gale 240 g au nicarts-typesveau de 3 .
L'incertitude-type de l'talon de masse est alors simplement u(m S) = (240 g)/3 = 80 g.
Cas 2 :.L'incertitudefourniepeutdfinirunintervallecorrespondantunniveaudeconfiancede95%ou
99%.Saufindicationcontraire,onpeutsupposerqu'uneloi normale a t utilise pourcalculer
l'incertitudefournieetretrouverl'incertitude-type u(M) en divisant la valeur de l'incertitude fournie
par le facteur appropri pour la loi normale.
Exp : Un certificat d'talonnage indique que la valeur R d'une rsistance talon de valeur nominale
gale 10 est de 10,000 742 129 23 C et que l'incertitude indique de 129 dfinit un
intervalle au niveau de confiance de 99 %. L'incertitude-type sur la valeur de la rsistance peut tre
prise gale u(R) = (129 )/3 = 43 .
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2. Notion dincertitudes
Cas 3 : Dansd'autrescas, onpeutseulement estimerdeslimites(infrieure et suprieure)pour X, en
particulierpournoncerquelaprobabilitpourquelavaleurde M soit situe dans l'intervalle compris
entre a et a+ pour toutes les applications pratiques est gale 1 et est essentiellement gale zro
en dehors de cet intervalle. Si l'on ne possde aucune connaissance spcifique sur les valeurs
possibles de X l'intrieur de l'intervalle, on peut seulement supposer que X se situe d'une manire
galement probable en tout point de l'intervalle [distribution uniforme ou rectangulaire des valeurs
possibles].Alorslavarianceassocieest:
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2. Notion dincertitudes
95%
99%
k=2
k=3
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2
2
2
u 2Formations
u lecture
u construct
u autre
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2. Notion dincertitudes
1
g 0,3g
12
Remarque:silamassemesureestde112getsilarsolutionestlaseuleincertitude
priseencompte:M=112,00,6g;95%
Evaluation dune incertitude-type dun volume quivalent lors dun dosage avec un
niveau de confiance de 95%:
Lorsdundosagecolorimtriquelexprimentateurverselquivalence15,6mLdelasolution
titrante.Ladterminationdelquivalenceseffectuelagoutteprs(0,04mL)etlaburette
utiliseestdeclasseA(0,02mL).
0, 04
0, 02
Alorset
u goutte
g 0, 023mL
uclasse
g 0, 012mL
3
Donc:et
u u 2 u 2 0,026mL
goutte
classe
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2. Notion dincertitudes
2.3 Incertitude relative
Lincertituderelativeoulaprcisionsurlersultatdumesuragesera
caractrisepar. U M
Cetteprcisionestsouventexprimeen%.
Pluslersultatestpetit,pluslemesurageestprcis.
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Optique
Optique ondulatoire
Optique gomtrique
Traitementdesrayons
traitementdesphnomnes
lumineux.
vibratoires:diffraction,
Sappliquelorsqueleslongueurs
interfrence
misesenjeudansle
semanifestantlorsqueles
problmesonttrsinfrieures
longueursdondesontde
auxdimensionsdelappareilde
lordrede
mesure
grandeurdelappareildemesure
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1. Gnralit
Aspect ondulatoire
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Lemodleondulatoirepermetdinterprtercertainsphnomnescommeles
interfrencesetladiffraction.
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Aspect corpusculaire
PlancketEinstein(1906)ontdveloppunmodlecorpusculaire:lalumireestunesortedefluxde
grainsdnergie,appelsphotons.
Chacundecesphotons:
estdemassenulle
sedplaceunevitessec=2,998.108m.s-1danslevide
sonnergieestE = h,ohestlaconstantedePlancketlafrquenceduphoton.
p = h/
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Apport et contribution
lesrayonssontrectilignes.
Lensemble de rayons lumineux est appel : faisceaux lumineux. Il en rsulte que des
rayons issus de diffrents points d'une source lumineuses ne se perturbent pas les uns les
autres et que l'on peut tudier la marche d'un rayon lumineux indpendamment de la marche
desautresrayons.
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Milieudindice
n1
r:anglederflexion
Rayon
incident
i1:angledincidence
Rayon
rflchi
i1
i2:anglederfraction
Lois de la rflexion :
lerayonrflchiestdansleplan
dincidence
I
Milieudindice
n2
i1=r
Lois de la rfraction :
lerayonrfractestdansleplan
i2
dincidence
IN:Normaleaudioptre
n1sini1=n2sini2
On dit que lincidence est normale dans le cas i = 0 et rasante dans le cas i = /2 .
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Rfraction limite
Sin1<n2(exemplepassagedelairversleau),onditquele
milieu 1 est moins rfringent que le milieu 2.
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Rflexion totale :
Sin2<n1,onditquele milieu 1 est plus rfringent que le
milieu 2.
le rayon rfract sloigne de la normale.
Danscecaslerayon rfract nexiste que si langle incident ne
dpasse par une valeur limite, not i1l et nommangle dincidence
limite.
Daprs la loi de la rfraction, on obtient : sin(i1l) = n2/n1
Si i1> i1l , alors le rayon rfract nexiste plus : cest le
phnomne de rflexion totale.
.
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Le dioptre :toutesurfacedesparationentredeuxmilieuxhomognesettransparents
d'indicesdiffrents.
Cettesurfacepeuttre:plane(ledioptreplan),Sphrique(dioptresphrique)
oudeformequelconque.
Ellepeutgalementtrerenduesoittotalementoupartiellementrflchissanteparun
dptd'unefinecouchemtalliqueouparuntraitementadquat.On obtient alors un
miroir ou une lame partiellement rflchissante.
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Lerayonrflechiestdansleplandincidence
Langlerflchiestgalelangledincidencei=r
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Onditqu'unsystmeeststigmatiquesiunpointobjetcorrespondunpointimage
unique.
Lemiroirplanraliselestigmatisme rigoureuxpourtoutpointdel'espace.Quelque
soitlepointobjetA,sonimageestlesymtriqueA'deAdanslemiroir.C'estleseul
systmeoptiquequisoitrigoureusementstigmatiquequelquesoitlepointobjetconsidr
etquellequesoitl'ouvertureducnederayonsenvoysparlepointobjet.
A:objetrel
A:limagevirtuelle
Onpeutmontrerla relation de
conjugaison : SA = - SA
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SoitunpointobjetrelA1situdanslemilieudindice
n1.
PourdesrayonsissusdeA1etpeuinclinspar
rapportlanormale,limage A2 de A1 se trouve
lintersection de deux rayons rfracts quelconques.
Unrayonnormalaudioptrenestpasdvi;A2est
doncsurlanormaleA1Haudioptre;ilestaussisurle
prolongement(partievirtuelle)durayonrfractIR.
Onvoitdoncqueledioptreplandonnedunobjetrel
uneimagevirtuelle,etdunobjetvirtueluneimagerelle
(principeduretourinverse).
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Do:
OnpeutmontrerquedanslecasdelapproximationdeGauss,larelation
prcdentedevient:
Cestlarelation de conjugaison du dioptre plan reliantlapositionde
limageA2 celle de lobjet A1.
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partirdelarelationdeconjugaisononvoitquesilobjetestdanslemilieuleplus
rfringent,limageestplusprsdelasurfacedudioptre;tandisquesilobjetestdansle
milieulemoinsrfringent,limageestplusloignedelasurfacedudioptre.
Le dioptre plan donne une image de bonne qualit dun objet si les deux conditions
suivantes,ditesconditionsdeGauss,sontsatisfaites:
Lesobjetssontdefaibletendue,situsauvoisinagedelaxeoptique.
Lesrayonslumineuxincidentsfontunanglefaibleaveclaxeoptique(rayonsparaxiaux).
Onditquilyastigmatismeapproch.
Dans ces conditions, limage dun objet plan perpendiculaire laxe optique est plane et
perpendiculairelaxeoptique(aplantisme).
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8 . Miroir sphrique
8.1. Dfinitions
Unmiroirsphriqueestuneportionde
sphreparfaitementrflchissante
surlunedecesfaces.
(a)Miroirconcave
(b)Miroirconvexe
Ondistinguedeuxtypesdemiroirssphriques:
-silarflexionseproduitvers lintrieur delasphre,lemiroirestditconcave (a) ;
-silalumireserflchitvers lextrieur delasphre,lemiroirestditconvexe (b).
Unmiroirsphriqueestcaractrispar:
LecentreC de la sphre appel centre du miroir.
LepointS appel sommet du miroir .
Laxe optique,quiestlaxedesymtriedervolutiondumiroir,passantparlespointsC et S.
LerayondelasphreR = SC, appel rayon de courbure du miroir, quantit algbriquequiest
ngativepourunmiroirconcaveetpositivepourunmiroirconvexe
Sonangledouverture
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8.2. Foyers
OnmontrealorsqueCF = R/ (2 cos(i) ).
EnutilisantcemiroirdanslesconditionsdeGauss,i.e.enconsidrantunrayon
peuloigndelaxeontrouve:CF = R/2
Lesrayonsprochesde
laxeoptiqueconverge
verslepointFappelle
foyerimage
(a)Miroirconcave
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(b)Miroirconvexe
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Onmontreque:
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