cctp &
cctp &
cctp &
Objet de la consultation
SOMMAIRE
Pages
ARTICLE 1 – PREAMBULE...........................................................3
ARTICLE 2 – CARACTERISTIQUES DU SITE.....................................3
ARTICLE 3 : CONSISTANCE DES TRAVAUX.....................................3
ARTICLE 4 : PRESCRIPTIONS GENERALES - NORMALISATION..............5
ARTICLE 5 : PROVENANCE ET QUALITE DES FOURNITURES ................5
ARTICLE 6 : COORDINATION DES TRAVAUX...................................5
ARTICLE 7 : CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES..........5
ARTICLE 8 : DOCUMENTS DE REFERENCE CONTRACTUELS....................6
ARTICLE 9 : COORDINATION SECURITE ET PROTECTION DE LA SANTE...6
ARTICLE 10 : PRESTATIONS A LA CHARGE DE L’ENTREPRISE............... 7
ARTICLE 11 : DEMARCHES ET AUTORISATIONS ..............................7
ARTICLE 12 : PRODUITS DE MARQUES..........................................7
ARTICLE 13 : DISPOSITIONS A ADOPTER POUR LIMITER LES NUISANCES
DU CHANTIER........................................................................8
ARTICLE 14 : APPROVISIONNEMENTS...........................................8
ARTICLE 15 : APPROVISIONNEMENT, RANGEMENT ET RECEPTION DES
MATERIAUX..........................................................................9
ARTICLE 16 : COMMANDE DES FOURNITURES..................................9
ARTICLE 17 : SPECIFICATIONS TECHNIQUES DES CABLES D’ECLAIRAGE .9
ARTICLE 18 : AGREMENTS ET ESSAIS SUR FOURNITURES ET
EQUIPEMENTS......................................................................10
ARTICLE 19 : PIQUETAGE DES OUVRAGES.....................................10
ARTICLE 20 : POSE DES CABLES D’ECLAIRAGE................................11
ARTICLE 21 : CONDITIONS D’EXECUTION DES TRANCHEES DU RESEAU
D’ECLAIRAGE.......................................................................11
ARTICLE 22 : DEPOSE ET TRAITEMENT DES DECHETS.....................12
ARTICLE 23 : REALISATION DES TRAVAUX..................................13
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ARTICLE 24 : RESPONSABILITES DE L’ENTREPRISE D’ECLAIRAGE ........17
ARTICLE 25 : SIGNALISATION DU CHANTIER................................17
ARTICLE 26: TRAVAUX PARTICULIERS..........................................17
ARTICLE 27 : REMISE EN ETAT DES LIEUX...................................18
ARTICLE 28 : VISITE ‘DE PIQUETAGE DES SITES’ .........................18
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ARTICLE 1 – PREAMBULE
Le présent document décrit les travaux à réaliser sur la commune d’Allan pour :
- L’amélioration et le complément de l’éclairage public chemin des Prés Neufs
- La création de l’éclairage public Allée des Sources
- La création de l’éclairage public Passage du Mistral
- La création de l’éclairage de terrains de pétanque à proximité de l’Espace d’Animation
- La création d’un éclairage de mise en valeur d’un chêne au théâtre de verdure
L’entreprise sera tenue de vérifier les documents annexes et de faire part de ses observations au
Maître d’ouvrage s’il constate une anomalie. Les plans des réseaux seront fournis à l’entreprise
adjudicatrice du marché.
L’éclairage public du chemin des Près Neufs est le résultat d’opérations successives qui ont conduit à
la mise en place de différents modèles de luminaires et à l’existence de zones non-éclairées. L’allée
des Sources et le passage du Mistral n’ont jamais été dotés de l’éclairage public.
Les terrains de pétanque sont de création récente et n’ont pas été pourvus d’un éclairage
La structure d’un des chênes du théâtre de verdure a été conservée après son dessèchement et la
commune souhaite pouvoir occasionnellement mettre en valeur cette structure par un éclairage
adapté.
Sauf exceptions précisées au présent cahier des charges, les travaux comprennent toutes les
fournitures, façons et transports nécessaires à l’exécution complète des travaux, dont notamment :
- Choix des luminaires, de leur nombre, de leur implantation et de leur mode d’alimentation.
- Fourniture des plans d’exécution
- Fourniture et pose de coffrets de commande d’éclairage public si nécessaire et du coffret de
commande d’éclairage des terrains de pétanque permettant la création de 3 zones d’éclairage.
- Rénovation complète ou partielle de coffrets de commande d’éclairage public si nécessaire,
adaptation du coffret de commande d’éclairage du théâtre de verdure si nécessaire.
- Dépose de luminaires obsolètes
- Fourniture et pose de luminaires d’éclairage public,
- Fourniture et pose de projecteurs spécifiques si nécessaire (terrains de pétanque et théâtre de
verdure)
- OPTION : dispositifs permettant de diminuer l’intensité lumineuse de l’éclairage public par
programmation horaire
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ARTICLE 4 : PRESCRIPTIONS GENERALES - NORMALISATION
Indépendamment des dispositions particulières imposées par le présent cahier, les matériaux devront
satisfaire aux prescriptions générales édictées à la fois par les normes françaises régulièrement
homologuées et par le Cahier des Clauses Techniques Générales (C.C.T.G.) applicables aux marchés de
travaux publics.
Les travaux seront réalisés suivant le Cahier des Clauses Techniques Générales (fascicule 36)
approuvé par Décret n° 88-587.
En outre, les fournitures et travaux devront répondre :
- Aux normes de constructions ou de mises en ouvrage citées en annexe du CCTG, en particulier C
15-100 et C 17-200 2008 respectivement dans leur domaine d’action.
- Au guide UTE C 17-205 au Décret du 14 Novembre 1988 concernant la protection des
travailleurs.
- A la norme de sécurité d’ordre électrique UTE C 18-510, recueil d’instructions générales.
- Aux normes NFC 17-200 / 17-202 /17-205 / 17-210.
- A la norme européenne d’éclairage public EN 13201.
L'entrepreneur devra se conformer aux types de matériels prévus par le projet. Cependant, pour tout
ce qui ne sera pas prédéterminé, l'entrepreneur a le choix de la provenance des matériels et
matériaux, sous réserve que ces matériels et matériaux répondent aux clauses du marché, ainsi qu'aux
normes françaises afférentes à chaque type de produits et matériels.
Le Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) de la présente opération a pour objet de faire
connaître le programme général de l’opération et de définir les travaux et leur mode d’exécution. Il
n’a aucun caractère limitatif.
En conséquence, il demeure contractuellement convenu que, moyennant le prix porté sur la soumission
ou sur l’acte d’engagement ou servant de base au marché, l’entreprise devra l’intégralité des travaux
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nécessaires, au complet et parfait achèvement des ouvrages de son lot, en conformité avec les plans,
la réglementation, et les normes contractuellement réputées connues.
L’entreprise participant à l’opération est contractuellement réputé avoir parfaite connaissance de
l’ensemble des documents constituant le CCTP contractuel tels qu’ils sont énumérés ci avant.
En tout état de cause, il est précisé que dans le cas éventuel de divergences implicites ou explicites
entre ces documents, la décision sera du ressort du maître d’ouvrage.
- tous les documents DTU et les documents ayant valeur de DTU, qu’ils fassent l’objet d’une
norme ou non, y compris ceux qui n’ont pas fait l’objet d’un fascicule interministériel CCTG,
et ceci par dérogation au code des marchés publics ;
- ces documents sont : les cahiers des charges (CC) ou cahier des clauses techniques (CCT), les
règles de calcul, les mémentos, guides, instructions, etc., tous les autres documents ayant
valeur de DTU ;
- toutes les normes NF concernant les ouvrages du présent marché, qu’elles soient homologuées
ou seulement expérimentales.
Seront applicables à l’exécution des présents marchés les lois, autres décrets, circulaires et autres
textes officiels ayant trait à la coordination sécurité, connus à la date précisée au CCAP ou, à défaut,
celle découlant des clauses du CCAG.
Tous les frais en découlant pour l’entreprise sont contractuellement réputés compris dans le montant
de son marché.
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ARTICLE 10 : PRESTATIONS A LA CHARGE DE L’ENTREPRISE
L’entreprise ne pourra donc arguer d’ignorance quelconque à ce sujet pour prétendre à des
suppléments de prix, ou à des prolongations de délais.
Pour la partie éclairage public, afin d’homogénéiser l’éclairage public communal, il est imposé
l’installation exclusive de luminaires à leds qui devront être en parfaite harmonie avec le type de
luminaires implantés dans le lotissement « Les coteaux de Monaco », 1ère réalisation d’éclairage leds
sur la commune.
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ARTICLE 13 : DISPOSITIONS A ADOPTER POUR LIMITER LES
NUISANCES DU CHANTIER
A défaut de règlement ou prescriptions des services locaux plus sévères, l’entreprise sera tenu de se
conformer aux dispositions suivantes :
En dehors de tout constat de contravention qui pourrait être dressé par les services de Police ou de
Gendarmerie, des pénalités pourront être appliquées en cas de récidive après avertissement écrit.
Il devra, de ce fait, faire procéder à tous les travaux de réception, de réfection ou de nettoyage
nécessaire.
ARTICLE 14 : APPROVISIONNEMENTS
L’entreprise ne pourra arguer des difficultés d’approvisionnement, de transports, etc., pour quelle
cause que ce soit, afin de justifier les retards dans l’exécution des travaux et fournitures de
matériaux faisant l’objet du présent marché.
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ARTICLE 15 : APPROVISIONNEMENT, RANGEMENT ET RECEPTION
DES MATERIAUX
Les articles 31.1 et 31.2 du C.C.A.G sont complétés par les dispositions suivantes :
L’entreprise ne pourra occuper la voie publique, pour les dépôts des matériaux qu’aux emplacements
et que dans les limites qui lui auront été indiquées par le Maître d’ouvrage.
- Si les dépôts sont faits en dehors des emplacements indiqués, l’infraction sera poursuivie, après
un simple avis du Maître d’ouvrage, comme contravention aux règlements de voirie, sans préjudice
de la responsabilité personnelle de l’entreprise, en cas d’accident, il sera, en outre, pourvu d’office
et sans délai au transport et au rangement des matériaux, le montant des dépenses étant défalqué
du compte de l’entreprise.
- Les transports et manœuvres seront faits de manière à ne pas dégrader la voie publique. Dans le
cas où des dégradations seraient commises, elles devront être réparées par les soins et aux frais
de l’entreprise, dans un délai qui sera fixé par le Maître d’ouvrage, dans le cas où l’entrepreneur
ne ferait pas ces réparations dans le délai fixé, le Maître d’ouvrage pourra les faire exécuter
immédiatement, d’office, aux frais de l’entreprise sans qu’il soit besoin d’aucune mise en demeure.
L’entreprise titulaire du marché devra faire les commandes de fournitures nécessaires au bon
déroulement du chantier dès la notification du marché.
Le Maître d’ouvrage pourra demander, dès la première réunion de chantier, la justification des
commandes adressées aux fournisseurs.
Tout manquement, à cette règle, pourra être sanctionné par des pénalités de retard, lorsque le non-
respect de cette procédure provoque le dépassement des délais d’exécution et/ou occasionne la mise
hors délais de l’intervenant.
19.2 Fourreaux
Dans le cas où les distances réglementaires entre concessionnaires ne pourraient être respectées,
l’entreprise fournira et mettra en place des fourreaux. Ceux-ci seront en matière synthétique de type
TPC 1.
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ARTICLE 18 : AGREMENTS ET ESSAIS SUR FOURNITURES ET
EQUIPEMENTS
L’entreprise sera tenue de fournir les justifications de provenance et de qualités des matériaux et
fournitures et de déposer tous les échantillons à l’endroit indiqué par le Maître d’ouvrage.
Les matériaux et fournitures ne pourront être employés qu’après leur acceptation par le Maître
d’ouvrage.
Les caractéristiques de chacun des matériels d’éclairage pourront être vérifiées dans un laboratoire
agréé par le Maître d’ouvrage. En particulier, les essais suivants pourront être demandés :
20.1 Câbles
Des essais de réception en usine, sur chaque type de câbles seront faits systématiquement :
- essai d’isolement,
- essai sur éprouvettes d’isolants.
En cas de contestation, le Maître d’ouvrage se réserve le droit de faire procéder à des essais par un
laboratoire choisi par lui et aux frais de l’entreprise.
Nota : Le relevé des câbles devra être effectué par l’entreprise avant le remblaiement des tranchées
L’implantation exacte sur le terrain, des appareils, des tranchées, des fourreaux pour passage de
câbles, sera faite contradictoirement par l’entreprise et un représentant du Maître d’ouvrage.
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ARTICLE 20 : POSE DES CABLES D’ECLAIRAGE
Si les câbles livrés ne sont pas conformes à ceux acceptés dans le cadre du présent marché, ils
pourront être rebutés et remplacés aux frais de l’entreprise sans que celui-ci ne puisse prétendre à
une quelconque indemnité.
En aucun cas le rayon de courbure des câbles ne devra, même temporairement être inférieur à celui
indiqué par le fabricant des câbles.
La pose et tirage des câbles ne pourront être entrepris si la température est inférieure à zéro degré
centigrade.
Les câbles basse tension de raccordement des candélabres seront tirés dans les massifs de scellement
par l’intermédiaire d’aiguilles prévues à cet effet. Ils passeront dans le fût des candélabres et seront
raccordés sur les bornes de la platine d’alimentation.
Les câbles seront posés en tranchées à 0.75 m de profondeur et protégés par des fourreaux
dynothène de 63 mm de diamètre intérieur, de telle façon que la distance entre l’axe des câbles soit
de 0.20 m, dans un lit de terre fine criblée de 0.20 m d’épaisseur ou à défaut de sablon.
Aux traversées sous chaussées, les câbles seront posés dans les mêmes conditions mais à 1.00 m
profondeur. Les fourreaux déborderont de la chaussée de 0.50 m environ de chaque côté. Ces
fourreaux seront jointoyés au ciment et bouchés par les moyens appropriés à leurs extrémités.
RESEAU D’ECLAIRAGE
Dans le cadre d’une possible réalisation de la tranchée l’entreprise assurera les prestations suivantes
:
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- Le remblayage des tranchées à partir de matériaux d’apport, celui-ci donnant lieu à un
compactage par couches correspondant aux matériaux utilisés.
- La fourniture et la mise en place de dispositifs avertisseurs.
Déchets :
L’entrepreneur fournira avec son offre un Schéma d’Organisation et de Gestion des Déchets (SOGED).
Dans ce document, remis à la soumission avec le mémoire qualité, l’entrepreneur expose pour chaque
étape :
- les méthodes de réalisation, de déconstruction ou de stockage appliquées pour limiter le mélange
des matériaux et en faciliter ainsi le réemploi,
- le mode de transport et le lieu d’évacuation,
- les modes de suivi et de contrôle mis en place,
- le plan de réemploi des matériaux in situ ainsi que les modalités de prise en compte des
excédentaires et des ultimes.
Il s’engage sur :
- les centres de stockage et/ou de regroupement et/ou unités de recyclage vers lesquels seront
acheminés les différents déchets à évacuer, en fonction de leur typologie et en accord avec le
centre de stockage ou de regroupement,
- les dispositions qui seront appliquées pour ne pas mélanger les déchets pendant les différentes
phases (dispositions constructives, déconstructives et stockage),
- les moyens de contrôle, de suivi et de traçabilité qui seront mis en ouvrage pendant les travaux,
- le tri sur le chantier des différents déchets à évacuer et la mise en place de moyens de récupération
des déchets non réutilisables (DIB et DIS) (bennes, stockage, emplacement sur le chantier des
installations etc.…),
- l’information du maître d’ouvrage en phase travaux (composition, quantités, lieu de dépôt
envisagé…),
- les dispositions prises en vue d’un réemploi optimal in situ des matériaux,
- les moyens humains et matériels mis en ouvrage pour assurer la gestion des déchets.
Les poteaux béton seront éliminés par concassage, mais pourront être abandonnés à des particuliers
demandeurs contre récépissé. Un état de destination finale doit être remis au Maître d’ouvrage.
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Le conditionnement, le stockage, le transport ainsi que le recyclage et l'élimination des déchets
resteront à la charge et sous l'entière responsabilité de l’entreprise.
a) Massifs de fondation
Les candélabres seront fixés sur des massifs en béton dont les dimensions seront précisées pour
chaque chantier. Ils seront exécutés en béton au ciment de laitier dosé à 350 kg de ciment par mètre
cube de béton en ouvrage. Les massifs pourront être de type préfabriqué. Le niveau supérieur de
chaque massif sera arasé à 0,10 m en dessous du niveau du sol fini.
Les massifs pour candélabres de hauteur supérieure ou égale à 14 m seront équipés d’un « panier
ferraillé ».
Au coulage du béton, il sera procédé à la mise en place :
· Des tiges de scellement mises au gabarit correspondant à l’écartement des trous de passage
de la plaque de base.
· Des fourreaux pour permettre le passage des câbles et de la mise à la terre éventuelle Dans
le cas de massifs « carottés », le candélabre sera calé au sable fin à l’intérieur et à l’extérieur.
Un joint extérieur en ciment recouvrira le sable de calage.
b) Mâts et candélabres
Les candélabres d’éclairage public sont calculés avec la norme européenne EN 40-3 qui remplace les
normes nationales (NV 65 et CM 66 pour la France). C’est désormais la partie EN 40-3-1 qui définit
les charges de vent et la partie EN 40-3-3 qui définit la vérification par le calcul.
Sauf indications contraires du maître d'ouvrage, les candélabres sont en tôle d'acier galvanisé à chaud
d'épaisseur 4 mm minimum pour les mâts dont la hauteur est supérieure à 5 mètres. Après la mise en
place du candélabre, les boulons de fixation seront recouverts d'une couche de peinture bitumineuse
et enveloppée dans un manchon rempli de graisse. Cette peinture bitumineuse recouvrira également la
base du candélabre jusqu’à 10 cm au-dessus du sol fini.
Les connexions des câbles d'alimentation ainsi que les coupe-circuits ou disjoncteurs protégeant la
lanterne seront groupées dans un coffret en classe II fixé sur la barrette support d'appareillage des
candélabres.
Le calage de la plaque d'appui du candélabre sur le massif sera réalisé sur une surface plane rigide
suivant les recommandations des fournisseurs.
Sur demande du maître d’ouvrage un système isolateur et stabilisateur sera mis en ouvrage entre la
semelle du candélabre et le massif béton ou autre support d’une part, et entre l’écrou et cette semelle,
d’autre part, le système sera en matériau composé d’élastomère et granulat de liège.
Luminaires
Les luminaires seront du type « à leds » en parfaite harmonie avec ceux en place dans le lotissement
« Les coteaux de Monaco).
Tous les matériels électriques doivent pouvoir fonctionner pour toute température ambiante comprise
entre - 25 °et + 40 °.
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c) Luminaire ou lanterne posé en façade
Toute installation de luminaire sur façade fera l'objet par l'entreprise d'une demande écrite
d'autorisation à l'amiable avec les propriétaires.
La fixation des câbles d'alimentation sera réalisée le plus discrètement possible en profitant au
maximum de tout élément de dissimulation.
Le raccordement s'effectuera en câble U 1000 RO 2 V 2,5 mm² sous protection si le passage du câble
se trouve à proximité d'une ouverture.
Le luminaire sera de classe II si celui-ci se situe en proximité directe d'une ouverture.
d) Raccordements – Branchements
Aucun luminaire ne doit être installé sur un poteau de distribution publique supportant des
conducteurs HTA (circulaire numéro 147 du Ministère de l'Industrie du 7 mars 1963).
Le luminaire est raccordé au réseau d'éclairage public par l'intermédiaire d'un fusible installé soit
dans un coffret posé sur le poteau soit dans le pied du candélabre. Si plusieurs luminaires sont posés
sur un même poteau ou sur un même candélabre, les masses des luminaires de classe I sont reliées par
une liaison équipotentielle. Ils sont protégés individuellement. Les luminaires de classe I seront
protégés avec une protection en tête adaptée à la valeur de la terre.
Le fusible est du calibre le plus faible permettant un fonctionnement du luminaire qu'il protège
(intensité nominale plus celle de l'appareillage, plus la surintensité à l'allumage).
Dans le cas où les lignes existantes de distribution électrique basse tension sont en aluminium, le
contact devra être particulièrement étudié et soigné de façon à éviter la formation du couple
galvanique alu-cuivre.
La liaison entre le luminaire et le coffret raccordement situé dans le pied du candélabre, doit être
effectuée en câble :
- U 1000 RO 2V X 2,5 mm2 cuivre ou H 07 RNF avec un conducteur vert-jaune si le luminaire est
de classe I, le conducteur vert-jaune assurant la liaison électrique entre la masse du luminaire
et la mise à la terre du candélabre,
- U 1000 RO 2V X 2,5 mm2 ou H 07 RNF si l'installation est de classe II sous gaine souple.
La fixation des câbles d'alimentation des foyers lumineux sur les supports est réalisée par des colliers
en acier inoxydable, avec des protecteurs isolés.
Ces câbles sont raccordés sur les réseaux en conducteurs nus par des connecteurs à serrage
mécanique type CBM/CNU (cuivre), ou CMB/CNA (aluminium) et sur les réseaux en conducteurs isolés
par des connecteurs CP B1/CT 25 (pour le conducteur EP), et CP B1/CT 70 (pour le conducteur neutre).
Les liaisons réseau / coffret / fusible / luminaire sont réalisées à l'aide d'un câble U 1000 RO 2V 2,5
mm² cuivre.
Le coffret fusible doit comporter deux entrées pour câble bipolaire U
1000 RO 2V X 2,5 mm² cuivre et sera de classe II.
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h) Dépose et suppression des foyers existants
Dans certaines artères à transformer ou à moderniser différents foyers d'éclairage public existants
pourront être déposés provisoirement ou définitivement.
Toutes sujétions de dépose seront prises par l'entrepreneur étant admis que les pièces en scellement
ne devront pas être coupées au ras des façades.
Elles seront, suivant accord du propriétaire, soit coupées suffisamment en retrait du bord de mur
pour être masquées par une reprise de maçonnerie, soit laissées en l’état plutôt que de dégrader les
dites façades par leur dépose.
Toutes les précautions seront prises pour neutraliser les effets de la corrosion.
Le maître d'ouvrage jugera de l'opportunité de dépose des câbles fixés sur les immeubles ou de pose
en tranchées.
Il appartient à l'entrepreneur de ragréer les façades.
j) Ballasts – Amorceurs
Les ballasts, amorceurs et tous dispositifs des appareillages sont ceux conseillés par les fabricants
des sources qui leur sont associées de façon à ne pas mettre en cause leur durée de vie.
Ils sont conformes aux stipulations des publications UTE C 71 - 200; C 71-210 et C 71 211. Ils seront
de préférence électroniques et bi-puissance.
k) Coffret EP
Les dispositifs de commande ou de relayage sont situés à l'extérieur d'un bâtiment communal, d'un
emplacement réservé dans un poste de transformation ou logés dans un coffret conforme à la norme
C 17 - 200 (porte IP 44).
La profondeur du coffret est minimum de 0,20 m. La partie inférieure supporte les presse-étoupes
de 21 pour le passage des câbles.
Tous les coffrets sont pourvus d'un système de fixation permettant de les poser, selon le cas, sur un
socle, contre un mur, ou sur un poteau, un poste, encastré...
Sur poteau, la fixation se fait de préférence à l'aide deux colliers en acier inoxydable.
Aucune ferrure ne doit faire saillie par rapport au coffret. Un coffret ne doit pas faire saillie du côté
de la chaussée quel que soit l'angle.
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Si le coffret d'éclairage public est créé en même temps qu'un poste de transformation, il est installé
sur celui-ci, que ce dernier soit préfabriqué ou en maçonnerie classique. Une cloison doit alors isoler
le coffret de l'intérieur du poste.
L'entrepreneur demande à la commune d'agréer les coffrets qu'il envisage de poser.
La fermeture des coffrets se fait à l'aide d'une clé triangulaire (11 cm - canon de 20 mm).
L'axe du système de fermeture (pièce triangulaire) est métallique.
Le système de fermeture est inoxydable. Le coffret est muni d'un dispositif permettant de le
condamner par un cadenas.
l) Tableau EP
Pour les travaux de commande, l'entrepreneur appliquera les dispositions du guide pour la réalisation
des réseaux d'éclairage public publié par la Fédération Nationale des Collectivités Concédantes et
Régies et EDF (B36).
Les appareils de commande ou de relayage, ainsi que les dispositifs de protection et ceux de comptage
de l'énergie électrique, seront fixés sur un tableau en matière isolante à soumettre à l'agrément de
la Commune installés dans des armoires extérieures étanches, disposées à proximité du point principal
de livraison de courant.
Aucun câble ne devra être apparent sur la face avant d'un tableau en état de marche (les connexions
seront effectuées sur la partie arrière du tableau).
Les conducteurs seront du type H 07 VR, de section égale à 2,5 mm² pour les circuits de commande
et de 16 mm² pour les circuits principaux.
Aucune pièce sous tension ne pourra être atteinte, le coffret étant ouvert et le dispositif en état de
marche (coffret IP 2 X porte ouverte).
Les appareils seront modulaires, d'un modèle à soumettre à l'accord de la commune :
- contacteur bipolaire ou tétra polaire 40 ou 60 A (un par circuit),
- interrupteur général : bipolaire ou tétra polaire 32 A dans le cas des coffrets à plusieurs départs,
les interrupteurs bipolaires seront reliés par un profilé de liaison,
- marche forcée : pour les relayages, elle sera assumée par un ou plusieurs contacteurs à 3 positions ;
pour les commandes, il s’agira d'un interrupteur unipolaire, - interrupteur crépusculaire : horloge
astronomique.
La pose de cellule à photorésistance reste interdite,
- coupe-circuit de branchement : bipolaire 45 A - 60 A,
- coupe-circuit de départ : HPC 14 X 51, phase + neutre sur socle 40 A, - coupe-circuit de protection
sur la bobine, l'horloge et la cellule.
- Une borne de terre sera installée dans chaque armoire et reliée à la terre.
Ces appareils modulaires seront disposés dans des coffrets de répartition.
Les protections de chaque départ seront calculées et calibrées en fonction du type de l'installation
et mentionnées pour approbation dans l'étude préliminaire.
Chaque appareil posé sur un tableau d'éclairage public sera repéré par une étiquette désignant sa
fonction de façon explicite.
Pour chaque réseau souterrain la protection sera assurée par l’association d’un fusible et d’un
interrupteur différentiel calibrés.
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ARTICLE 24 : RESPONSABILITES DE L’ENTREPRISE D’ECLAIRAGE
L’entreprise devra vérifier et au besoin proposer des modifications aux dispositions retenues dans le
projet d’exécution si celles-ci s’avèrent non réglementaires ou dangereuses.
Tous les travaux devront être conformes aux règles de l’art et aux normes en vigueur et l’entreprise
supportera l’entière responsabilité du manquement à l’une quelconque de ces normes.
L’entreprise sera tenu de vérifier et contrôler les matériels et installations existantes susceptibles
d’interférer dans ses travaux.
Le Maître d’ouvrage, lorsque les dispositions imposées ne lui paraîtront pas avoir été correctement
remplies, pourra faire installer d’office et aux frais de l’entreprise et après injonction verbale restée
sans effet, lanternes, clôtures et dispositifs qu’il jugerait nécessaires.
Dans tous les cas, y compris ceux où le Maître d’ouvrage aurait usé du droit qui vient d’être défini,
l’entreprise sera le seul responsable des accidents qui seraient reconnus provenir de sa négligence ou
de celle de ses ouvriers ou agents.
Toutes dépenses nécessitées par l’exécution des prescriptions ci-dessus détaillées restent à la charge
de l’entreprise.
Les éléments qui ne pourraient être reposés ou réparés seront remplacés par des éléments neufs à
l’identique.
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ARTICLE 27 : REMISE EN ETAT DES LIEUX
L’entreprise sera tenue d’utiliser du matériel n’apportant pas de dégradation aux ouvrages existants.
Il sera tenu, en particulier, de procéder au nettoyage et aux réparations résultant du chantier, en
particulier de la voirie.
Au fur et à mesure de l’avancement des travaux, l’entreprise devra débarrasser le chantier et ses
abords de tous les matériaux inutiles, débris, gravats... déposés à l’occasion des travaux.
En particulier, les réceptions provisoires et définitives ne seront prononcées qu’autant que cette
remise en état aura été effective et renouvelée le cas échéant à l’expiration du délai de garantie.
Dès la désignation du chargé d'exploitation, et au plus tard dans le mois qui suit l'ordre de service, une
visite sera organisée par l'entreprise adjudicatrice, en accord avec les représentants de la C.C.P.C.
Cette visite réalisée avec le représentant de la C.C.P.C, aura pour objet la validation des travaux à
réaliser dans le cadre de la présente consultation.
Cette visite fera l'objet compte-rendu, produit par l’entreprise au plus tard 1 mois après la date de
notification de la mission.
Date : ..................................………………..
L'entrepreneur : ..................................…….
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