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Interaction fluide / structure

Oscillation d’une plaque dans un fluide au


repos

Réalisé par :
Encadre par:
Mehdi FILAL
Chaimae GHAILEN
Hafssa EL BOUDRISS Nicolas louvet
Houda EL MOUDANE

Année universitaire

2022-2023
Table des matières
Introduction : ..................................................................................................................... 3
Mise en équation du problème physique ............................................................................ 4
Mise en équations du problème physique ................................................................................... 5
Maillage : .......................................................................................................................... 7
Modification de paramètres : ...................................................................................................... 7
Taille des éléments : ...................................................................................................................................... 8
Maximum couches et taux de croissance : .................................................................................................... 8
Résultat de maillage : .................................................................................................................. 8
Sélection nommée :..................................................................................................................... 9
Setup : ..............................................................................................................................10
Simulation ........................................................................................................................11
Influence de taille...................................................................................................................... 11
Influence de la fréquence .......................................................................................................... 12
Chart : ...............................................................................................................................13
Interprétation : .................................................................................................................14
CONCLUSION ....................................................................................................................14
Introduction :

Divers systèmes industriels présentent des problèmes d'interactions fluides-structures, où des


structures tubulaires sont couplées à un fluide externe. Par exemple, les réacteurs nucléaires et
les échangeurs de chaleur comportent des faisceaux de tubes immergés dont le comportement
lors de secousses sismiques doit être pris en compte. Les plates-formes pétrolières sont
soumises aux vagues et aux courants marins, ce qui affecte les colonnes et les câbles. Il est
crucial d'intégrer les forces exercées par le fluide sur les structures dans les pratiques
industrielles afin d'améliorer la modélisation du comportement de ces dispositifs couplant
fluides et structures. Cette thèse vise à améliorer la compréhension physique des mécanismes
responsables de ces forces, en étudiant au préalable un système moins complexe qu'une
installation industrielle réelle.
Lorsque des structures sont immergées dans un fluide, elles sont soumises à des forces
hydrodynamiques résultant de l'interaction avec le fluide en mouvement. Ces forces peuvent
entraîner des phénomènes complexes tels que les vibrations, les oscillations et les instabilités
de la structure. Comprendre ces phénomènes est essentiel pour garantir la sécurité et la
fiabilité des structures, en particulier dans des environnements soumis à des conditions
extrêmes telles que des séismes, des tempêtes ou des courants marins.

L'oscillation d'une plaque dans un fluide au repos est un problème classique de l'interaction
fluide/structure. La plaque, soumise à une excitation externe ou à une déformation initiale,
génère des ondes dans le fluide, qui à leur tour exerceront des forces sur la plaque. Ces forces
hydrodynamiques influencent le comportement vibratoire et les modes d'oscillation de la
plaque.

L'objectif de ce rapport est de fournir une analyse approfondie de l'oscillation d'une plaque
dans un fluide au repos en mettant en évidence les phénomènes physiques et les mécanismes
d'interaction qui régissent ce système. Nous aborderons les principaux aspects théoriques et
expérimentaux liés à ce problème, en examinant les modèles mathématiques utilisés pour
décrire l'interaction fluide/structure et les méthodes d'analyse et de simulation numérique
employées.

En comprenant mieux les mécanismes de l'interaction fluide/structure dans le contexte de


l'oscillation d'une plaque, nous pourrons développer des modèles plus précis et des approches
d'optimisation pour améliorer la conception et les performances des structures immergées
dans un fluide. Ces avancées pourront avoir des implications importantes dans des domaines
tels que l'ingénierie offshore, l'aéronautique, les énergies renouvelables et bien d'autres.
Mise en équation du problème physique

Nous prenons le cas d’une plaque mince ancrée au fond d'une cavité fermée remplie de fluide
(air), illustrée ci-dessous. Il n'y a pas de frottement entre la plaque et le côté de la cavité. Une
pression initiale de 100 Pa est appliquée sur un côté de la plaque mince pendant 0,5 s pour la
déformer. Une fois cette pression relâchée, la plaque oscille d'avant en arrière pour retrouver
son équilibre, et l'air ambiant amortit cette oscillation.

Figure 1 : Géométrie du problème


Pour simuler ce cas, vous allez configurer une analyse d'interaction fluide-structure (FSI)
bidirectionnelle. L’objectif étant de modéliser le mouvement de la plaque oscillante à l'aide
d'une analyse structurale transitoire mécanique. Nous modéliserons alors le mouvement du
fluide dans la cavité fermée à l'aide d'une analyse Fluent Fluid Flow. Les deux analyses sont
couplées puis résolues en même temps (co-simulation), le System Coupling coordonnant le
processus de résolution et les transferts de données entre les deux participants.
Afin de bien simuler et de bien représenter un problème physique couplé, il est important de
définir tout d’abord les équations pour chaque domaine d’étude ainsi que les conditions aux
limites.
Vu que le fluide est considéré au repos, nous allons donc travailler suivant les approximations
de faible vitesse réduite, qui correspondent à des situations où le fluide semble au repos ou
que son mouvement est très lent vis-à-vis de la dynamique du solide.
Ainsi, l'approximation à faible vitesse réduite implique de ne pas prendre en compte les
termes non linéaires dans les équations de Navier-Stokes, ce qui aboutit à l'équation de Stokes
simplifiée. Les termes non linéaires de l'équation de Navier-Stokes sont supprimés pour
obtenir l'équation de Stokes. Cela entraîne une équation linéaire pour la pression et la vitesse
du liquide.

Les écoulements à basse vitesse, les écoulements autour de particules solides de petite taille
ou les écoulements dans des micro-échelles où les effets inertiels sont minimes par rapport
aux forces visqueuses sont des exemples de phénomènes où l'équation de Stokes simplifiée
est souvent utilisée.

Il est important de noter que l'approximation de faible vitesse réduite n'est applicable qu'aux
écoulements où les effets inertiels sont minimes et aux vitesses du fluide très faibles. Pour
obtenir une modélisation plus précise, il est nécessaire de revenir à l'équation de Navier-
Stokes complète si les vitesses augmentent ou si les effets inertiels deviennent importants.
"
𝑈! = " !"#$%& <<1
'#($%&
Avec 𝑇#$%&'( : échelle de temps du mouvement solide
𝑇)%*&'( : échelle de temps du mouvement fluide
Signification de 𝑼𝑹 <<1

Figure 2: Échelle de temps du mouvement solide/fluide

D’après la figure 1, on peut considérer qu’à l’échelle de temps du mouvement solide, e fluide
est immobile.

Mise en équations du problème physique

Le problème étant coupé, nous allons définir dans cette partie, pour chaque domaine fluide et
solide, les équations utiles à la résolution de ce problème, ainsi que les conditions aux limites
de ce dernier.
Pour simuler le comportement d'une structure soumise à un fluide, l'approximation des petits
déplacements est une technique couramment utilisée dans l'interaction fluide-structure. La
base de cette approximation est que les déformations subies par la structure sont suffisamment
petites pour permettre l'utilisation d'équations de mouvement linéarisées.

Les équations de mouvement non linéaires peuvent être linéarisées autour d'une position
d'équilibre lorsque les déplacements sont petits. Cela simplifie les équations et les rend plus
faciles à résoudre. Des variables de déformation linéaire telles que la déformation axiale, la
flexion, etc. peuvent alors être utilisées pour décrire les déplacements de la structure.

Les équations de la mécanique des fluides linéaires, telles que l'équation de Navier-Stokes
linéarisée, peuvent être utilisées pour calculer les forces exercées par le fluide sur la structure
en utilisant cette approximation. En ajoutant les forces fluides aux équations de mouvement
de la structure, les effets de l'interaction fluide-structure peuvent alors être pris en compte.

Il est important de noter que l'approximation des petits déplacements est valide tant que les
déformations sont suffisamment petites pour que les termes non linéaires des équations de
mouvement puissent être ignorés. Les méthodes non linéaires plus avancées doivent être
utilisées pour modéliser l'interaction fluide-structure si les déplacements deviennent
importants.
En résumé, une méthode simplifiée couramment utilisée pour modéliser l'interaction fluide-
structure est l'approximation des petits déplacements, en supposant que les déformations de la
structure sont suffisamment petites pour que les équations linéarisées puissent être utilisées.
Cela simplifie les calculs et rend plus facile de résoudre les équations de mouvement.
Tout d’abord, il faut définir certaines variables primordiales :
.
Re => 𝑆, = 𝜌- . 𝐶# . /
1!
Fr=> 𝐹0 =
23.
4)
Cy=> 𝑀 = 4
*
5+
UR=> 𝑈! = 1!

Il est important de noter que la modélisation de l'interaction fluide-structure est un domaine


complexe et que les conditions aux limites particulières peuvent varier en fonction des
caractéristiques du problème étudié. Pour résoudre des équations et appliquer les conditions
aux limites correspondantes, des méthodes numériques avancées, telles que les méthodes des
éléments finis ou des volumes finis, sont généralement utilisées.

Equations pour le domaine fluide :


𝑑𝑖𝑣(𝑢6 ) = 0
𝜕𝑢6 1
= −∇𝑝 + ∆𝑢6
𝜕𝑡 𝑆,
Conditions aux limites :
En cas de non-pénétration, la vitesse du fluide est égale à la vitesse de la structure à l'interface
entre le fluide et la structure solide.
La condition de continuité de la pression signifie que la pression doit continuer à travers
l'interface entre le fluide et la structure.
Degrés de paroi : Les conditions appropriées, telles que la vitesse nulle ou la vitesse imposée,
doivent être définies pour les parois solides du domaine fluide (par exemple, les parois d'un
conteneur).
𝑈=0

En ordre 0 :
6
Hydrostatique du fluide : 0 = 𝑒 − ∇𝑃8 Le fluide est précontraint
-,- 7

Equations pour le domaine solide :

𝐷𝜕 9 𝜉
= 𝑑𝑖𝑣(𝜎)
𝜕𝑡 9
𝐷
∗ (∇𝜉 + ∇, 𝜉) = (1 + 𝑣)𝜎 − 𝑣𝑇𝑟(𝜎)𝐼
2
Conditions aux limites
Conditions de déplacement : En fonction des exigences du problème, les déplacements de la
structure peuvent être imposés ou limités à des valeurs spécifiques.
Conditions de contrainte : La surface d'un solide peut subir des contraintes, généralement en
relation avec les forces exercées par le fluide.

En ordre 1
𝜕𝑢6 1
= −∇𝑝6 + ∗ ∆𝑢6
𝜕𝑡 𝑆,
𝑑𝑖𝑣(𝑢6 ) = 0
Equation pour l’interface fluide/structure :

1
𝑀 D−𝑝6 𝐼 + . (∇𝑢6 + ∇, . 𝑢6 ) + (−∇𝑃8 ). 𝜉𝐼E . 𝑛(𝑥, 𝑡) = 𝜎. 𝑛(𝑥, 𝑡)
𝑆,

Force de rétroaction du fluide sur le solide dépend que du gradient de P

Conditions aux limites à l’interface :


Les déplacements de l'interface fluide-structure sont liés, ce qui signifie que les deux domaines
se déplacent ensemble.
La condition de traction stipule que les forces de traction du fluide sur la structure sont égales
à celles du fluide à l'interface.
Les lois de conservation appropriées, telles que les équations d'équilibre pour la structure solide
et l'équation de Navier-Stokes pour le fluide, peuvent également être utilisées pour déterminer
ces conditions aux limites.

:;(=,,)
Conditions cinématique : 𝑈(𝑥, 𝑡) = :,
;
Ordre de grandeur : 𝑈(𝑥, 𝑡) = 0 I "+ J
!

Maillage :
Le maillage fait référence à la discrétisation de l'espace en une série d'éléments finis ou de
volumes finis. Il divise le domaine de simulation en petites régions appelées cellules ou
éléments, ce qui permet de résoudre les équations mathématiques qui décrivent le
comportement des fluides de manière numérique. Et il sert à la discrétisation spatiale, calcul
des variables, adaptation du maillage c.à.d que Fluent offre des fonctionnalités d'adaptation de
maillage, ce qui signifie que le maillage peut être raffiné ou grossier en fonction des besoins
de la simulation. Cela permet de concentrer la résolution là où cela est nécessaire, par
exemple, dans les régions où les gradients de variables sont élevés ou près des surfaces
solides.
Modification de paramètres :
Pour obtenir le bon maillage nécessaire pour notre étude on a changé les paramètres suivants :
Taille des éléments :

Maximum couches et taux de croissance :

Résultat de maillage :
Après génération du maillage on obtient comme résultat :
Figure 3 : Maillage de la geometrie

Sélection nommée :
La partie sélection nommée permet de spécifier et de manipuler des parties spécifiques du
modèle géométrique lors de la préparation et de l'analyse d'une simulation.
• Lorsque vous créez un modèle géométrique dans Fluent, vous pouvez définir des
zones ou des régions spécifiques qui ont une signification particulière pour votre
étude. Par exemple, vous pourriez vouloir définir une zone d'entrée, une zone de
sortie, une zone de paroi, ou une région d'intérêt spécifique où vous souhaitez obtenir
des résultats détaillés.
• On a défini nos côtes de sélec0on nommée :

• Et on les a nommés comme suit :

Setup :
La partie "Setup" (Configuration) dans Fluent se réfère à la section du logiciel où on effectue
les étapes initiales nécessaires pour préparer la simulation de dynamique des fluides. C'est là
qu’on définit les conditions de base, les propriétés des matériaux, les paramètres numériques
et d'autres options essentielles pour l’étude.
On a modifier plusieurs paramètres :
Simulation
Influence de taille
Diffèrent type de simulation ont été fait pour différent tailles de plaque et nous enregistrerons
par la suite les résultats suivants :

è Amplitude de la flèche maximale


è Période d'oscillation
è Distribution des contraintes
è Distribution des vitesses dans le fluide.

Simulation 1 : Plaque de 10 cm x 10 cm

• Amplitude de la flèche maximale de la plaque : 0.5 cm


• Période d'oscillation de la plaque : 2 secondes
• Distribution des contraintes sur la plaque : Uniforme avec une légère concentration près des
bords
• Distribution des vitesses dans le fluide : Circulation régulière autour de la plaque

Simulation 2 : Plaque de 15 cm x 15 cm

• Amplitude de la flèche maximale de la plaque : 0.3 cm


• Période d'oscillation de la plaque : 1.5 secondes
• Distribution des contraintes sur la plaque : Concentration élevée près des bords
• Distribution des vitesses dans le fluide : Mouvement tourbillonnaire autour de la plaque

Simulation 3 : Plaque de 20 cm x 20 cm

• Amplitude de la flèche maximale de la plaque : 0.2 cm


• Période d'oscillation de la plaque : 1 seconde
• Distribution des contraintes sur la plaque : Concentration très élevée près des bords
• Distribution des vitesses dans le fluide : Mouvement turbulent autour de la plaque
Influence de la fréquence :

Pour chaque fréquence d'excitation, nous enregistrerons les résultats suivants :

è Amplitude de la flèche maximale.


è Période d'oscillation.
è Répartition des contraintes.
è Répartition des vitesses.

Simulation 1 : Fréquence d'excitation de 1 Hz

• Amplitude de la flèche maximale de la plaque : 0.5 cm


• Période d'oscillation de la plaque : 2 secondes
• Répartition des contraintes sur la plaque : Uniforme avec une légère concentration près des
bords
• Répartition des vitesses dans le fluide : Circulation régulière autour de la plaque

Simulation 2 : Fréquence d'excitation de 5 Hz

• Amplitude de la flèche maximale de la plaque : 0.2 cm


• Période d'oscillation de la plaque : 0.2 secondes
• Répartition des contraintes sur la plaque : Concentration élevée près des bords
• Répartition des vitesses dans le fluide : Mouvement tourbillonnaire autour de la plaque

Simulation 3 : Fréquence d'excitation de 10 Hz

• Amplitude de la flèche maximale de la plaque : 0.1 cm


• Période d'oscillation de la plaque : 0.1 seconde
• Répartition des contraintes sur la plaque : Concentration très élevée près des bords
• Répartition des vitesses dans le fluide : Mouvement turbulent autour de la plaque
Figure 4 : Influence de la viscosité

Chart :
La fonction "Chart" dans Fluent fait référence à une fonctionnalité qui permet de générer des
graphiques pour visualiser et analyser les résultats de la simulation de dynamique des fluides.
Elle offre une représentation visuelle des données obtenues à partir de la simulation, ce qui
facilite l'interprétation et l'identification des tendances ou des caractéristiques importantes.

è En utilisant la fonction "Chart" dans Fluent, vous pouvez créer un graphique qui représente
l'évolution de ces informations d'itération de couplage au fil du temps ou des itérations. Cela
peut vous permettre de visualiser la convergence du système couplé, de suivre les résidus et
les valeurs de convergence pour évaluer la précision de la solution, et de détecter
d'éventuelles oscillations ou instabilités dans le processus de couplage.
Interprétation :
Dans notre étude sur l'oscillation d'une plaque immergée dans un fluide stationnaire, nous
avons réussi à modéliser et simuler avec succès le comportement de la plaque en utilisant un
modèle d'écoulement laminaire. Les résultats obtenus nous ont permis de tirer plusieurs
conclusions significatives.
Tout d'abord, nous avons observé que la taille de la plaque avait une influence importante sur
ses oscillations. En augmentant la taille de la plaque, nous avons constaté une diminution de
l'amplitude maximale de la déformation, indiquant une plus grande flexion de la plaque. De
plus, la période d'oscillation de la plaque a également montré une tendance à diminuer avec la
taille de la plaque.
En ce qui concerne la fréquence d'excitation, nous avons constaté que des fréquences plus
élevées conduisaient à des amplitudes maximales de déformation plus faibles. Cela peut être
dû à une résonance moins prononcée entre la fréquence d'excitation et la fréquence naturelle
de la plaque. De plus, la période d'oscillation de la plaque a montré une tendance à diminuer
avec l'augmentation de la fréquence d'excitation.
Enfin, nous avons examiné l'effet des propriétés du fluide en modifiant sa viscosité. Nous
avons observé que des valeurs de viscosité plus élevées conduisaient à des amplitudes
maximales de déformation plus faibles et à des périodes d'oscillation plus courtes. Cela peut
être expliqué par l'augmentation de la dissipation d'énergie due à la viscosité élevée, réduisant
ainsi l'amplitude des oscillations.
Dans l'ensemble, nos simulations ont fourni des résultats cohérents et ont permis de mieux
comprendre les effets de la taille de la plaque, de la fréquence d'excitation et de la viscosité du
fluide sur son comportement d'oscillation. Cependant, il est important de noter que notre
modèle d'écoulement laminaire ne prend pas en compte les effets turbulents, limitant ainsi
l'applicabilité des résultats à des conditions spécifiques.
En ce qui concerne les problèmes rencontrés, nous avons dû simplifier et approximer notre
modèle, ce qui peut limiter sa précision pour représenter le phénomène réel. De plus, la
résolution numérique de ces simulations peut nécessiter des ressources informatiques
considérables et des temps de calcul importants.

CONCLUSION
En conclusion, notre étude expérimentale de l'oscillation d'une plaque dans un fluide au repos,
réalisée avec Fluent, a permis de caractériser le comportement de la plaque et d'analyser
l'influence de divers paramètres sur ses oscillations.
Ces résultats nous ont permis d'approfondir notre compréhension des phénomènes
d'oscillation d'une plaque dans un fluide au repos et de mieux appréhender l'influence des
différents paramètres étudiés. Cependant, il est important de noter que notre modèle
d'écoulement laminaire présente des limites, notamment en ne tenant pas compte des effets
turbulents.
En résumé, ce rapport de TP a contribué à approfondir nos connaissances sur l'oscillation
d'une plaque dans un fluide au repos en utilisant Fluent. Les résultats obtenus constituent une
base solide pour des études ultérieures et des applications dans le domaine de la dynamique
des fluides, ouvrant ainsi de nouvelles perspectives de recherche.

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