Fiche TP

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R E

E
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Ó 6 92 80 34 23 // 6 54 75 60 37

Ydé, Ecole primaire CAMP BOVE We don't wait for the moment, we generate it. . .

Dla, Ecole Bilingue la Rousse, PK8

H
STATOSPHERE

SP
ISE LONG / AS : Concours blanc 1

EXERCICE 1
graphique : 8 cm.

O
On désigne par A le point d'axe −1 et par B le point d'axe 1. On
Le plan orienté est rapporté au repère orthonormal direct (O, ⃗u, ⃗v ), l'unité appelle Γ l'ensemble des points du plan distincts de A, O et B . À tout
graphique étant 4 cm. On considère les points A0 , A1 d'axes respectives : point M d'axe z appartenant à Γ, on associe le point N d'axe z 2 et le
a0 = 1 ; a1 = ei 12 . point P d'axe z 3 .
π

T
Le point A2 est l'image du point A1 par la rotation r de centre O et d'angle 1. Prouver que les points M , N et P sont deux à deux distincts.
π
12
. 2. On se propose dans cette question de déterminer l'ensemble ∆ des points
1. a) Calculer l'axe a2 du point A2 sous forme exponentielle puis sous appartenant à Γ tels que le triangle M N P soit un rectangle en P .

A
forme algébrique. a) En utilisant le théorème de Pythagore, démontrer que le triangle M N P
b) Soit I le milieu du segment [A0 A2 ]. Calculer l'axe du point I . est rectangle en P si et seulement si |z + 1|2 + |z|2 = 1.

T
c) Faire une gure. b) Démontrer que |z + 1|2 + |z|2 = 1 équivaut à (z + 21 )(z + 12 ) = 14 .
c) En déduire l'ensemble ∆.
2. a) Prouver que les droites (OI) et (OA1 ) sont confondues.
d) Soit M un point de Γ et z son axe, on désigne par r le module de z et
b) Écrire sous forme trigonométrique l'axe de I .
α l'argument de z (α ∈] − π, π]).
c) Déterminer π
et π
(les valeurs exactes sont exigées),
 
cos sin
p √ 12 √ 12√ i. Démontrer que l'ensemble Φ des points M de Γ tels que l'axe de P soit
sachant que 4 3 + 8 = 6 + 2.
un réel strictement positif est la réunion de trois demi-droites
(éventuellement privées de points).
EXERCICE 2
ii. Représenter les ensembles ∆ et Φ dans le repère (O, ⃗u, ⃗v ).
Dans le plan complexe rapporté au repère orthonormal (O, ⃗u, ⃗v ), unité iii. Déterminer les axes des points M de Γ tels que le triangle M N P soit
Page 1.
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rectangle en P , l'axe de P étant un réel strictement positif. 3. Soit S le point d'axe 1 + z + z 2 où z désigne toujours l'axe du point
M . Construire S , en justiant la construction.
EXERCICE 3 4. Dans le cas où S est diérent de O, tracer la droite (OS). Quelle
conjecture apparaît, relativement au point M ?

H
Dans le plan complexe muni du repère orthonormal (O, ⃗u, ⃗v ), on considère Démontrer que le nombre 1+z+z
2
est réel, quel que soit θ appartenant à
z
les points M et M ′ d'axes respectives z et z ′ . On pose z = x + iy et [0; 2π].
z ′ = x′ + iy ′ où x, y, x′ et y ′ sont des réels. Conclure sur la conjecture précédente.

P
1. Montrer que les vecteurs OM ⃗ et OM ⃗ ′ sont orthogonaux si et seulement
si Re(z ′ z) = 0 où z désigne le conjugué de z . EXERCICE 5

S
2. Montrer que les points O, M et M ′ sont alignés si et seulement si
On dénit dans R la suite (un ) par :
Im(z ′ z) = 0.
Applications

u = 0
0
3. N est le point d'axe : z 2 − 1. Quel est l'ensemble des points M tels que

O
un+1 = e2un −2
les vecteurs OM ⃗ et ON ⃗ sont orthogonaux ?
4. On suppose z non nul. P est le point d'axe : z12 − 1. On recherche 1. Soit g la fonction dénie sur R par g(x) = e2x−2 . Démontrer que
l'ensemble des points M d'axe z tels que O, N et P soient alignés. l'équation f (x) = 0 est équivalente à g(x) = x. En déduire g(a).

T
a) Montrer que : ( z12 − 1)(z 2 − 1) = −|z 2 − 1|2 . 2. Démontrer que, pour tout réel x de l'intervalle I, on a :
b) En utilisant l'équivalence démontrée au début de l'exercice, conclure sur 2
l'ensemble recherché. |g ′ (x)| ≤

A
e
3. Démontrer que, pour tout réel x de l'intervalle I, g(x) appartient à I.
EXERCICE 4
4. Utiliser l'inégalité des accroissements nis pour démontrer que, pour tout

T
entier naturel n : |un+1 − un | ≤ 2e |un − a|.
Le plan complexe est rapporté à un repère orthonormal direct (O, ⃗u, ⃗v ). On
5. Démontrer, par récurrence, que : |un − a| ≤ ( 2e )n .
considère le point A d'axe 1 et, pour tout θ appartenant à [0; 2π], le point
M d'axe z = eiθ . On désigne par P le point d'axe 1 + z et par Q le
6. En déduire que la suite (un ) converge et donner sa limite.
point d'axe z 2 . 7. Déterminer un entier naturel p tel que : |up − a| < 10−5 .
8. En déduire une valeur approchée de a à 10−5 près.
1. À partir du point M , donner une construction géométrique du point P et
une construction géométrique du point Q. Les points O, A, M, P et Q EXERCICE 6
seront placés sur une même gure.
2. Déterminer l'ensemble des points P pour θ appartenant à [0; 2π]. Tracer f (x) = ln(x2 − 2x + 2).
cet ensemble sur la gure précédente. On désigne par (Cf ) sa courbe représentative dans (O,⃗i, ⃗j).
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Partie A ci-après sont adjacentes.
1. Justier que, pour tout x réel, x − 2x + 2 > 0. 2. Déterminer la fonction
2  
1 1 1 1 1
dérivée f de f et étudier le sens de variations de f sur R. 3. Déterminer les
′ an+1 = (an + bn ),
2 bn+1
= +
2 an b n
limites de f en +∞, et en −∞. 4. Représenter (Cf ) et la droite (∆)

H
d'équation y = x ; on montrera que la droite d'équation x = 1 est un axe de 3. On note ℓ la limite de (an )n≥0 .
symétrie de (Cf ) et on placera les points d'abscisses 0 et 2 ainsi que les a. En calculant le produit an bn , donner une relation liant à a0 b0 .
b. Montrer que : an+1 − l = 12 (ana−l) et en déduire un résultat analogue pour
2
tangentes à la courbe en ces points.

P
n

Partie B an+1 + ℓ.
On s'intéresse à l'intersection de (Cf ) et de (∆). On pose, pour tout réel x, c. Calculer an +l en fonction de n.
an −l

S
φ(x) = f (x) − x.
EXERCICE 8
1. Déterminer la fonction dérivée φ de φ. En déduire que φ est strictement

décroissante sur R. 2. a. Déterminer la limite de φ en −∞. b. Montrer que, Partie I


pour tout réel x strictement positif, On considère la fonction numérique g dénie sur [0, +∞[ par :

O

2 ln x ln(1 − x2 + x22 )
 g(x) = x2 − 2 ln(x).
φ(x) = x + −1 . 1. Étudier le sens des variations de g .
x x
2. En déduire le signe de g(x) sur [0, +∞[.

T
En déduire la limite de φ en +∞.
Partie II
3. Montrer que la droite (∆) coupe la courbe (Cf ) en un point et un seul.
On considère la fonction numérique f dénie sur ]0, +∞[ par :
On désigne par a l'abscisse de ce point. f (x) = x2 + 1+ln(x) . On note Cf la courbe représentative de f dans un repère

A
4. Montrer que 0, 3 < a < 0, 4. x
orthonormé (O,⃗i, ⃗j) (unité graphique : 2 cm).
1. Déterminer la limite de f en 0. Interpréter le résultat.
EXERCICE 7
a) Déterminer la limite de f en +∞.

T
1. Soient a et b deux nombres réels strictement positifs. On note H , G et A b) Déterminer, sur [0, +∞[, la position de Cf par rapport à la droite (∆)
respectivement la moyenne harmonique, la moyenne géométrique, et la d'équation y = x2 .
moyenne arithmétique de a et b, c'est-à-dire c) Montrer en particulier que (∆) coupe Cf en un point A que l'on
déterminera.

 
1 1 1 1 1
= + , G = ab et A = (a + b). 2. Étudier les variations de f et dresser son tableau de variations.
H 2 a b 2
3. Montrer qu'il existe un point B , et un seul, de la courbe Cf où la
Montrer que H ≤ G ≤ A. tangente (T ) à Cf est parallèle à (∆). Préciser les coordonnées de B .
2. En déduire alors que les suites (an )n ∈ N et (bn )n ∈ N dénies par la 4. Montrer que l'équation f (x) = 0 a une unique solution α. Justier
donnée de a0 et b0 réels strictement positifs et les relations de récurrence l'encadrement 0, 34 < α < 0, 35.
Page 3.
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5. Tracer Cf , (∆) et (T ). a) Résoudre l'équation f (x) = m.
Partie III b) En déduire g(x) pour tout entier élément de J .
On considère la suite numérique (xn ) dénie pour tout entier naturel n R1 1
c) Calculer I = −2 1 1−x 2 dx.

par : xn = e 2 .
n−2 2

H
1. a) Montrer que (xn ) est une suite géométrique dont on déterminera le EXERCICE 10
premier terme et la raison.
b) Montrer que (xn ) est une suite croissante. Pour tout entier n ≥ 2, soit la fonction fn dénie sur [0, +∞[ par :

P
2. Pour tout entier naturel n, on pose : an = 4 xxnn+1 f (x) − x2 dx. fn (x) = xn + xn−1 + · · · + x2 + x − 1.
R 

a) Donner une interprétation géométrique de an . 1. Montrer que l'équation fn (x) = 0 possède une unique solution sur

S
b) Montrer que an = 2n+12
pour tout entier naturel n. [0, +∞[. On note αn cette solution.
c)En déduire que (an ) est une suite arithmétique. a) Montrer que pour tout entier n ≥ 0 : fn+1 (αn ) ≥ 0.
b) Montrer que la suite (αn ) est décroissante.
EXERCICE 9

O
c) En déduire que la suite (αn ) converge.
2. Montrer que pour tout n ≥ 0 : αn = 1+(α2n ) . On pourra utiliser l'égalité
n+1
Soit f la fonction dénie sur R par f (x) = ee2x −1 .
2x
+1
suivante : nk=0 q k = 1−q .
P n+1
1. a) Étudier les variations de f . 1−q
3. Calculer la limite de (αn )n+1
n≥2 . En déduire la limite de (αn ).

T
b) Montrer que la courbe représentative (C) de f a un cercle de symétrie.
c) Déterminer une équation de la tangente (T ) à (C) au point d'abscisse 0.
d) Construire (C) dans le plan (P ). EXERCICE 11

A
e) Soit k un réel strictement positif. Calculer l'aire Ak de la partie A(k) du
Soit f :] − π2 ; π2 [→ R, x 7→ tan(x).
plan délimité par
1. a) Étudier les variations de f .
b) Donner l'équation de la tangente (∆) à (Cf ) au point x0 = 0.

T
A(k) = {M ∈ P : OM ⃗ = x⃗i + y⃗j, 0 ≤ x ≤ k, f (x) ≤ y ≤ 1}.
c) Étudier la position de (Cf ) et (∆).
f)Ak a-t-elle une limite quand k tend vers +∞ ? Si oui, calculer cette limite. 2. a) Montrer que f est une bijection de ] − π ; π [ sur R.
2. a) Montrer que f est une bijection de R vers un ensemble J que l'on 2 2
b) On note g la réciproque de f . Prouver que g est dérivable sur R et que :
précisera.
∀x ∈ R, g ′ (x) = 1+x 1
2.
b) On note g la bijection réciproque de f . g est-elle dérivable sur J ?
3. a) Prouver que g est une fonction impaire.
Justier votre réponse.
b) Calculer lim g(x) .
c) Démontrer que pour tout réel x, on a : f ′ (x) = 1 − (f (x))2 . x→0 x
4. a) Montrer que : ∀x > 0 on a : 0 < x − g(x) < x3 .
3
d) En déduire que pour tout x où g est dérivable, on a : g ′ (x) = 1−x1
2.

2. Soit m un réel de l'intervalle J . b) Déduire lim g(x)−x x3


.
x→0

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2. Étudier f et tracer sa courbe représentative C dans un repère

 g(x) si x ̸= 0
5. Soit φ : R → R, x 7→ x
. orthonormé.
1 si x = 0
a) Prouver que φ est paire. 3. Justier que f est bijective.
Soit g la fonction réciproque de f .

H
b) Montrer que φ est continue sur R.
c) Montrer que φ est dérivable sur R. 4. Démontrer que g est dérivable sur R et que sa dérivée est dénie par
d) Calculer les limites de φ en plus et moins l'inni. g ′ (x) = 2
π(x2 +1)
On considère la fonction h dénie par h(x) = g(x) + g( x1 )

P
EXERCICE 12 5. Étudier la dérivabilité de h sur son ensemble de dénition et déterminer
sa dérivée. En déduire une formule explicite de h sur ] − ∞, 0[ et sur ]0, +∞[

S
Le plan P est muni d'un repère orthonormé (O;⃗i, ⃗j) (unité graphique 3cm).
1. On considère
 la fonction dénie sur ]0; +∞[ par EXERCICE 14

 ln(x+1) si x > 0
f (x) = x
. Montrer que f est continue en 0. Dans cet exercice, on se place dans un plan P muni d'un repère orthonormé

O
f (0) = 1
direct.
2. a) Étudier le sens de variation de la fonction g dénie sur ]0; +∞[ par
I- Préliminaires de géométrie élémentaire
g(x) = ln(1 + x) − (x − x2 + x3 ).
2 3

1. Soit D et D′ deux droites sécantes en un point I , s et s′ les symétries


b) Calculer g(0) et en déduire que sur R+ , on a : ln(1 + x) ≤ (x − x2 + x3 ).
2 3

T
axiales respectivement d'axes D et D′ . Montrer que sos′ est une rotation et
c) Par une étude analogue, montrer que si x ≥ 0, alors ln(1 + x) ≤ (x − x2 ).
2

déterminer ses éléments caractéristiques.


d) Établir que pour tout x strictement positif, on a :
2. Soit ABC un triangle équilatéral direct, O le centre du cercle circonscrit
− 21 ≤ ln(1+x)−x

A
≤ − 12 + x3
x2 a ABC. On désigne par s1 , s2 et s3 les symétries axiales respectivement par
e) En déduire que f est dérivable en 0 et que f ′ (0) = − 21 .
rapport aux droites (OA), (OB) et (OC) et par r la rotation de centre O et
3. Soit h la fonction dénie sur [0; +∞[ par : h(x) = x+1x
− ln(1 + x).
d'angle 2π3 .

T
a) Étudier son sens de variations et en déduire le signe de h sur ]0; +∞[.
Soit M un point du plan. On note M1 = s1 (M ), M2 = s2 (M ) et
b) Montrer que sur ]0; +∞[, f ′ (x) = h(x) .
x2
M3 = s3 (M ).
c) Dresser le tableau de variations de f en précisant la limite de f en +∞
a) Montrer que : M2 = r2 (M1 ) et r(M1 ) (r2 désigne ror)
d) On désigne par C la représentation graphique de f . Montrer que C
b) Quelle est la nature du triangle M1 M2 M3 ?
admet une asymptote. Tracer la courbe C et la tangente T à C au point
II - Nombres complexes √
d'abscisse 0.
On pose j = ei 3 = − 12 + i 23

EXERCICE 13
Dans le plan P , on considère les points O, A, B et C d'axes respectives 0,
1, j et j 2 .
1. Soit f la fonction dénie de [0, 2] vers R par f (x) = tan( π2 (x − 1)). On désigne par s1 , s2 et s3 les symétries axiales respectivement par rapport
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aux droites (OA), (OB) et (OC) et par r la rotation de centre O et d'angle a) Déterminer les valeurs de θ pour lesquelles g1 est nul

3
. b) En déduire l'allure de la coure décrite par le point d'axe g1 θeiθ lorsque
Soit M un point quelconque du plan d'axe z = ρeiθ , ρ > 0 et θ ∈ R. On θ varie.
note M1 = s1 (M ), M2 = s2 (M ) et M3 = s3 (M ).

H
1. Montrer que M1 , M2 et M3 les points ont pour axes respectives z̄ , j 2 z̄
et j z̄ ,
2. Soit M4 le symétrique de M par rapport à la droite (BC).

P
Montrer que J d'axe − 21 est le milieu du segment [M1 , M4 ]. Déduire
l'axe de M4 .

S
3. a) A quelle condition les points M1 , M2 et M3 ?
On suppose désormais que M1 , M2 et M3 ne sont pas alignes. On note Ω le
centre du cercle circonscrit au triangle M1 M2 M3 .
b) Justier le fait que Ω appartient a la droite (OM1 ). Dans la suite, on

O
note son axe λe−iθ .
c) Montrer que λ = − 1+2ρcos(θ)
ρ+2cos(θ)
d) En déduire une expression du rayon du cercle circonscrit au triangle

T
M1 M2 M3
e) Montrer que ce rayon est égal a 1 si et seulement si ρ = 1 ou
(ρ + cos(θ))2 = 1 − 3cos2 (θ)

A
III - Étude de fonctions
On considère l'application g dénie pour tout θ ∈ [−π; π] par
g(θ) = 1 − 3cos2 θ.

T
1. a) Étudier les variations de g . Préciser ses extremums, les valeurs de θ
pour lesquels g(θ) est nul, l'ensemble E des θ ∈ [−π; π] g(θ) ≥ 0.
b) En déduire l'allure de la courbe décrite par le point d'axe gθeiθ lorsque
θ varie.
2. Soit g1 la fonction dénie pour tout θ ∈ E par

.
p
g1 (θ) = 1 − cos2 (θ)

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