Orrigé Evoir: Exercice 1: Normalisation Comptable Internationale (8 Points)

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UE 715 CORRIGÉ

DEVOIR 1
Comptabilité internationale
Année 2017-2018

Auteur : Stéphane LEFRANCQ

EXERCICE 1 : NORMALISATION COMPTABLE INTERNATIONALE (8 POINTS)

1. La question de la légitimité d’un normalisateur, dans le domaine politique et dans le


domaine comptable, est-elle d’après vous pertinente et pour quelles raisons ? (1 point)
Les normes comptables doivent être appliquées par les entreprises. Pour que cela soit le cas, la solution
la plus évidente est de rendre leur application contraignante, ce qu’est parvenu à obtenir l’IASB avec leur
adoption par l’UE en 2002. Toutefois, cette seule obligation ne suffit pas à rendre les normes légitimes
en tant que telles. Il faut que leur application soit jugée acceptable pour que leur mise en œuvre puisse
intervenir sans remise en cause à l’occasion d’événements exogènes.
La question de la légitimité de l’IASB s’est ainsi posée lorsque la pertinence des normes, ou du moins
de certaines de leurs dimensions, a pu être remise en cause en 2007-2008 à l’occasion de la crise finan-
cière. Le fait que cette question soit soulevée par la communauté comptable est le signe que la seule
obligation d’application n’est pas suffisante et qu’une source de légitimité, gage d’acceptation sociale,
doit soutenir cette contrainte. Il est à cet égard souvent souligné que les normes comptables françaises
bénéficient grâce à leur légitimité d’une excellente acceptation sociale en dépit de leur place modeste
dans la hiérarchie normative (arrêtés ministériels).

2. Commentez les trois sources de légitimité présentées dans l’annexe 1. Ce recensement


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est-il exhaustif ? (1 point)


Les auteurs identifient trois sources de légitimité, mais ne détaillent pas les sources les conduisant à
proposer cette typologie, qui paraît à cet égard présenter une forme d’arbitraire. Elles présentent en
outre peu de rapports entre elles, allant d’une référence à la forme démocratique (légitimité politique) à
une légitimité paraissant plus formelle que réelle (légitimité procédurale) et donc semblant se situer sur
un plan différent de la première. La dernière enfin (légitimité substantielle) apparaît également probléma-
tique, dans la mesure où elle fait référence à une notion de compétences qu’il paraît difficile de poser
a priori. Il semble en outre qu’à ce niveau, il ne s’agisse pas vraiment de la question en jeu : le normali-
sateur sait ce qu’est la comptabilité ; l’enjeu est plutôt sur la nature de la vision du monde que porte la
légitimité.
B. Pigé (2012) propose une vision différente des sources de légitimité (sans la présenter comme exclu-
sive) :
• une normalisation législative, légitime car élaborée par des élus ;
• une normalisation professionnelle : légitime car représentant les acteurs de l’économie ;
• une normalisation interne : légitime car élaborée par l’organisation qui se l’applique à elle-même ;
• une normalisation sociale : légitime car en cohérence avec les valeurs de la société l’appliquant (qu’il
s’agit d’identifier).

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3. En vous plaçant dans ce cadre d’analyse de la légitimité, quel jugement portez-vous sur la
légitimité des normes comptables internationales ? Comparez-la avec celle des normes pro-
duites par un autre organisme, tel que l’ANC en France ou le FASB aux États-Unis. (2 points)

Légitimité politique
L’IASB n’est pas constitué de membres élus, mais cooptés. Il n’est pas pourvu d’un ancrage territorial,
alors que celui-ci est la principale source de légitimité politique. En revanche, l’adoption des normes
par des entités disposant, elles, d’une légitimité politique (l’Union européenne par exemple) lui confère
par transfert des éléments de celle-ci. Ce transfert est évidemment entaché par les débats entre la
Commission et l’IASB (par exemple sur IAS 39 ou la juste valeur de manière générale) et par la volonté
de l’Union européenne de s’assurer que les normes sont bien dans l’intérêt public européen.

Légitimité procédurale
La principale source de légitimité procédurale semble être le due process, très codifié et dont le respect
fait l’objet d’un suivi méticuleux. Toutefois, la participation à ce processus, pour transparent qu’il soit, a
pu être considérée comme limitée, ne serait-ce qu’en raison de la grande technicité des questions sou-
levées, dont les implications pratiques peuvent parfois être difficiles à percevoir sur la base de la seule
rédaction normative.

Légitimité substantielle
La légitimé substantielle de l’IASB repose sur l’utilisation par ses membres d’un cadre conceptuel. Les
compétences de ses membres semblent quant à elles solidement établies, leur implication profession-
nelle dans le champ comptable étant ancienne et difficilement contestable. Le cadre conceptuel a pu
en revanche faire l’objet de critiques, en raison en particulier de son orientation qui serait « pro-investis-
seurs ». Mais son rattachement théorique fort à la théorie de l’efficience des marchés a le plus souvent
été mise en avant comme sa principale faiblesse, en raison des limites à la portée explicative de cette
théorie.
Par contraste avec l’IASB, le normalisateur français dispose d’une forte légitimité dans une source poli-
tique, en raison de l’origine de ses membres (qui représentent pour une partie notable d’entre eux la
puissance publique) et pour les autres sont désignés par le ministre de l’Économie, qui procède à l’ho-
mologation de ses règlements sous forme d’arrêté ministériel.

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Même si le FASB est une entité privée, elle est reconnue par la SEC comme normalisateur comptable,
ce qui participe à lui conférer également une légitimité politique. Sa légitimité substantielle est également
forte du fait de sa reconnaissance par la profession comptable (AICPA), tandis que le due process auquel
cette agence se soumet participe à lui conférer – à l’instar de l’IASB – une légitimité procédurale.
Il semblerait donc que l’absence de rattachement national explicite de l’IASB soit au fondement des
difficultés parfois rencontrées pour faire admettre sa légitimité.

4. Pourquoi, à votre avis, ce débat sur la légitimité continue-t-il d’être d’actualité en France,
plusieurs années après l’adoption des normes internationales par les grands groupes euro-
péens et alors qu’ils ne semblent pas remettre en cause leur utilisation ? (2 points)
Plusieurs explications ont pu être mises en avant pour comprendre l’opposition de longue date de la
France aux normes IFRS. Les critiques ont été classées en deux groupes par Raffournier (2007), les cri-
tiques techniques, d’une part, et les critiques politiques, d’autre part.
• Les critiques techniques :
– la place accordée aux investisseurs, alors que les normes françaises ne hiérarchisent pas les utilisa-
teurs (du moins pas aussi explicitement) ;
– l’utilisation excessive de la juste valeur, méthode d’évaluation peu utilisée en France en dehors de
quelques secteurs d’activité ;
– la volatilité des résultats et des capitaux propres résultant de la place accordée à la juste valeur.
Ce reproche a été confirmé lors de la crise financière et a amené l’IASB a développé une approche
davantage contra-cyclique sur certains thèmes (dépréciation des instruments financiers) ;
– la fiabilité moindre des informations comptables qu’induit également la juste valeur (utilisation de
modèles, sensibilité aux paramètres…) ;

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– le relâchement du principe de prudence auquel conduit également la juste valeur, même si l’utilisa-
tion limitée de celle-ci semble dans la pratique limiter la portée de ce reproche ;
– des comportements plus sensibles au court qu’au moyen terme, toujours en raison de l’importance
accordée à la juste valeur.
• Les critiques politiques :
– une normalisation européenne ne permet pas d’obtenir des états uniformes en raison de la pré-
gnance des cultures comptables nationales ;
– le poids insuffisant de l’Union européenne dans le processus de normalisation ;
– l’absence de contrôle politique.
Ces raisons sont plus ou moins fondées dans la réalité mais, in fine, on se trouverait confrontées en
France à un changement de paradigme comptable, tant en ce qui concerne le fonctionnement du norma-
lisateur que l’esprit des normes. Dès lors, la critique reste vigoureuse même si les entreprises habituées
aux exigences des marchés s’accommodent de normes au fond conçues pour eux.

5. Faites une synthèse succincte des deux textes, en prenant soin de bien identifier les argu-
ments avancés. (1 point)

Texte de Jérôme Haas


Pour le président de l’ANC, les normes IFRS apparaissent dépourvues de liens avec la réalité en raison
de l’importance accordée à la valeur, et probablement à la juste valeur dans l’esprit du locuteur, par
celles-ci. Cette posture de négociation est incompatible avec la durée de vie de l’entreprise, qui doit
s’inscrire dans le long terme.
La place privilégiée accordée aux marchés financiers est à l’origine de cette orientation, ce qui les rend
inutilisables pour des sociétés non cotées. Celles-ci doivent privilégier des normes ancrées dans leurs
pratiques juridiques, fiscales et sociales : des normes locales.
Des normes comptables transnationales restent souhaitables, mais elles doivent être rédigées dans la
perspective de l’intérêt général et de la stabilité financière grâce à un meilleur ancrage dans la réalité de
la vie économique. En la matière, l’Europe peut jouer un rôle pour promouvoir cet objectif.

Texte de Gilbert Gélard


Les normes IFRS ont permis une uniformisation des pratiques comptables européennes, uniformisation
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dont la crise financière a confirmé l’importance. Les normes comptables sont à cet égard à l’avant-garde
d’une mondialisation inéluctable.
La France critique les normes depuis 2002 car les instances politiques se sont senties dépossédées
d’un pouvoir dont elles avaient auparavant en fait peu conscience. Cette tendance a été soutenue par le
mécontentement de groupes peu enclins à une plus grande transparence sur leur performance. Même si
cette opposition est restée largement inefficace, elle perdure en particulier pour les banques confrontées
à la mise en évidence de la volatilité de leurs résultats, alors même que leur modèle de gestion s’appuie
sur ces indicateurs utilisés par les normes IFRS.
La marche vers un système comptable mondial est cependant handicapée par une convergence IAS/
USGAAP qui semble au terme de ses possibilités en raison des différences de culture. Dans le même
temps, l’ANC a cessé tout effort de convergence et reste sur un système vieillissant, ce qui impose des
travaux comptables plus lourds aux entreprises confrontées à deux dispositifs très différents et nuit à la
lisibilité des états financiers.

6. Au vu des connaissances dont vous disposez sur le système normatif, son histoire et ses
caractéristiques, quelle position défendriez-vous dans le cadre de ce débat : celle de Jérôme
Haas ou celle de Gilbert Gélard ? Ou une troisième position ? Argumentez votre réponse.
(1 point)
La réponse appartient à l’étudiant, à la condition qu’elle soit correctement argumentée.
La position de Jérôme Haas apparaît extrêmement critique et oppose peut-être inutilement marchés
financiers et perspective à moyen terme. Tous les investisseurs ne sont pas présents dans une visée

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exclusivement spéculative. Par ailleurs, les normes IFRS indiquent explicitement ne pas viser à une éva-
luation de l’entreprise, ce que confirme la place somme toute limitée pour les entreprises industrielles
et commerciales laissée à la juste valeur. La place plus discrète des investisseurs, qui ont laissé le
devant de la scène aux apporteurs de capitaux en général dans la nouvelle version du cadre conceptuel,
confirme les limites de ces critiques.
La position de Gilbert Gélard est en revanche probablement trop favorable. La procyclicité des normes
IFRS, sans qu’il soit possible d’affirmer leur responsabilité dans la crise financière, a ainsi imposé la prise
d’un amendement de manière très rapide en 2008, ce qui ne semble pas aller dans le sens d’un dispositif
très mature (un tel ajustement n’a pas été nécessaire en France par exemple). De surcroît, l’arrêt de la
convergence avec le normalisateur américain, et l’abandon par les États-Unis du projet d’adoption des
normes internationales semble quand même constituer un revers significatif pour les normes internatio-
nales.
Au total, l’évolution récente de l’IASB (nouvelle gouvernance, critères de choix des membres du board),
le repositionnement de l’Union européenne (renforcement de l’EFRAG et mise en cohérence du dispositif
de retranscription), intervenant avec une évolution de l’ANC sous une nouvelle présidence plaide pour
une relation plus constructive entre normalisateurs nationaux et IASB. Le fait que l’ANC siège à l’ASAF
en constitue un signe.

EXERCICE 2 : ÉTAT DU RÉSULTAT GLOBAL DE L’ANNÉE, ÉTAT DE LA SITUATION FINAN-


CIÈRE ET ÉTAT DES VARIATIONS DES CAPITAUX PROPRES (6 POINTS)

Un tableur présentant la correction est disponible à cette adresse : http://bit.ly/2nSJ4Px.

1. Élaborez l’état du résultat net et des autres éléments de résultat global, sachant que
l’entité a adopté une présentation par fonction. (3 points)
Détaillons le calcul de certains postes de cet état :

Coût des ventes

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Coût des ventes Montant
Stock d’ouverture 211,00
+ Achats 925,00
+ Transports 162,00
+ DA construction 4,80
+ DA installations techniques 54,00
+ Charges personnel (820 × 55 %) 451,00
+ Frais formation (120 × 55 %) 66,00
+ Charges retraite 45,10
+ Électricité (80 × 80 %) 64,00
– Stock clôture (364,00)
= Coût des ventes 1 618,90

Coût de distribution
Coût distribution Montant
Publicité 112,00
Commissions/ventes 92,00
Dépréciation clients 158,00
Coût distribution 362,00

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Coût administratif
Coût administratif Montant
DA construction 3,20
DA matériels 11,00
Charges personnel (45 % × 820) 369,00
Frais formation (45 % × 120) 54,00
Rémunération dirigeants 180,00
Charges retraite 54,90
Électricité (20 % × 80) 16,00
Frais d’audit 65,00
Affranchissement 28,00
Autres charges administratives 128,00
Coût administratif 909,10

Résultat de cession
Autres produits Montant
Prix de cession installation 180,00
Valeur brute installation cédée 240,00
Amortissement inst. cédée (240 × 10 % × 2,75) 66,00
VNC installation cédée 174,00
PV cession 6,00

Intérêts courus
Intérêt sur la dette Montant
Coût de la dette (12 % × 500 × 6/12) 30,00
Intérêts payés (en CR) 15,00
Intérêts courus 15,00

Charge d’impôt
Impôt Montant
Charge exercice (185,00)
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Complément IS/N–1 (12,00)


Impôt total (197,00)

Amortissements des constructions


Terrains + constructions Montant
Coût 600,00
Dont terrain (1/3) 200,00
Dont constructions 400,00
Réévaluation 380,00
Dont terrains 380,00
Amortissements construction 2%
DA 8,00
Dont coût des ventes (60 %) 4,80
Dont coût administratif (40 %) 3,20

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Amortissements des installations


Amortissements installations Montant
Coût 840,00
– Valeur brute actifs cédés 240,00
– Acquisition 320,00
= VB actifs conservés 280,00
DA/actifs cédés (10 % × 240 × 9/12) 18,00
DA/actifs conservés (280 × 10 %) 28,00
DA/Acquisition (320 × 10 % × 3/12) 8,00

Cela permet de construire l’état demandé :

État du résultat net et des autres éléments de résultat global


Poste Montant
Ventes 3 460,00
Coût des ventes (1 618,90)
Marge brute 1 841,10
Coût distribution (362,00)
Coût administratif (909,10)
Autres produits (PV cession) 6,00
Résultat opérationnel 576,00
Produits financiers 45,00
Coût de la dette (30,00)
Résultat brut 591,00
Impôt (197,00)
Résultat net 394,00
Réévaluation 380,00
Résultat global 774,00

2. Élaborez l’état de la situation financière (bilan). (2 points)


Il faut d’abord reconstituer les différents postes d’actifs et les réserves :

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Reconstitution de la valeur nette comptable (VNC)
Terrains et constructions Terrains Constructions Total
Valeur brute 200,00 400,00 600,00
– Amortissements – 80,00 80,00
+ Réévaluation 380,00 – 380,00
– DA exercice – 8,00 8,00
VNC fin 580,00 312,00 892,00

Valeur brute des installations techniques


Installations techniques Montant
Valeur brute des actifs acquis 840,00
– Acquisition exercice 320,00
= VB début exercice 520,00
– Cession exercice (240,00)
= VB fin exercice 600,00

Amortissements cumulés des installations techniques


Installations techniques Montant
Amortissement cumulés début 160,00
+ DA exercice (cf. calcul ci-après) 54,00
– Amort/immos cédés (240 × 10 % × 2,75) 66,00
= Amortissements cumulés fin 148,00

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Dotations aux amortissements des installations techniques


Dotation amortissements des installations Montant
DA/actifs cédés (10 % × 240 × 9/12) 18,00
DA/actifs conservés (280 × 10 %) 28,00
DA/Acquisition (320 × 10 % × 3/12) 8,00

Variation des réserves


Réserves Montant
Balance ouverture 601,00
+ Résultat exercice 394,00
– Dividende (60,00)
= Balance fin 935,00

Cela permet de construire l’état de la situation financière :

Amortissements
Poste Valeur brute Valeur nette
et dépréciations
Incorporels – Frais de développement 425,00 425,00
Terrains et construction 980,00 88,00 892,00
Installations techniques 600,00 148,00 452,00
Matériels et outillage 120,00 37,00 83,00
Acompte/immobilisations 60,00 60,00
Titres détenus/échéance 248,00 248,00
Total immobilisations 2 433,00 273,00 2 160,00
Stocks 364,00 364,00
Acomptes/MP 40,00 40,00
Créances 599,00 599,00
Trésorerie et EDT 38,00 38,00
Total actif courant 1 041,00 – 1 041,00
Total actif 3 474,00 273,00 3 201,00

Poste Montant
Capital 600,00
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Prime émission 150,00


Réserves 935,00
Réévaluation 380,00
Total capitaux propres 2 065,00
Dettes – titres 500,00
Dettes non courantes 500,00
Dettes courantes 296,00
Intérêts courus 15,00
Dettes fiscales 325,00
Dettes courantes 636,00
Total passif 3 201,00

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3. Dressez le tableau de variation des capitaux propres. (1 point)


Il découle des travaux menés jusqu’ici :

Intitulé Capital Prime d’émission Réévaluation Réserves Total


Balance d’ouverture 600 150 601 1 351
Émission actions –
Réévaluation terrains & construction 380 380
Transfert réserves réévaluation –
Résultat 394 394
Dividende intérimaire –
Dividendes (60) (60)
Balance clôture 600 150 380 935 2 065

EXERCICE 3 : DOSSIER ENRON – CAS INSPIRÉ DU CAS PROPOSÉ PAR VERNIMMEN


(P. QUIRY) (6 POINTS)

Cas non corrigé.


Des éléments de correction seront fournis aux seuls enseignants.

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