Fascicule Amiel
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Fascicule Amiel
Niveau : Terminal D
Exercice 1
Dans l’ensemble C des nombres complexes, on considère l’équation
(𝐸): 𝑍 3 + (3 − 2𝑖)𝑍 2 + (1 − 4𝑖)𝑍 − 1 − 2𝑖 = 0
1) Montrer que l’équation (E) admet une solution réelle Z0
2) Résoudre l’équation (E)
3) Dans le plan complexe, on désigne par A, B et C les points d’affixes respectives 𝑍𝐴 =
−1 ; 𝑍𝐵 = −2 + 𝑖 et 𝑍𝐶 = 𝑖
𝑍 −𝑍
a) Déterminer le module et un argument de 𝑍𝐵−𝑍𝐴.
𝐶 𝐴
b) En déduire la nature du triangle ABC
c) Donner le centre, le rapport et l’angle de la similitude plane directe S qui laisse le
point A invariant et transforme le point B en le point C.
Exercice 2
Soit E un espace vectoriel muni de sa base canonique (𝑖⃗, 𝑗⃗)et f l’endomorphisme de E défini
dans la base (𝑖⃗, 𝑗⃗) par :
1 1
𝑓(𝑖⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
{ 2 2
1 1
𝑓(𝑗⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
2 2
1) Déterminer la matrice Mf de f
2) Déterminer l’application analytique de f
3) Montrer que f est un projecteur vectoriel de E
4) Déterminer la base et la direction de f
Exercice 3
A- On considère la fonction numérique g définie sur ]0 ; +∞[ par :
𝑔(𝑥) = 𝑥 2 − 2𝑙𝑛𝑥
1- Etudier les variations de g
2- En déduire le signe de 𝑔(𝑥) sur ]0 ; +∞[
1 1+𝑙𝑛𝑥
B- On considère la fonction numérique f définie sur ]0 ; +∞[par : 𝑓(𝑥) = 2 𝑥 + 1 + 𝑥
1- Calculer les limites de f en zéro puis en plus l’infini. Puis montrer que la droite (D)
1
d’équation 𝑦 = 2 𝑥 + 1 est asymptote à (C), courbe de f dans le repère orthonormé
(𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗)
𝑔(𝑥)
2- Montrer que ∀ 𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑓 ′ (𝑥) = 2𝑥 2 . En déduire le sens de variation de f (on
dressera le tableau de variations)
3- Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique ∝ 𝜖]0 ; +∞[
4- Construire (C) et (D).
Exercice 4
Une urne contient 2 boules bleues, 3 boules blanches et 4 boules rouges. Les boules sont
indiscernables au toucher. On tire simultanément deux boules de l’urne.
1) Calculer la probabilité d’avoir :
a) Deux boules de même couleur
b) Deux boules de couleurs différentes
2) On définit la variable aléatoire réelle X telle que :
X= -1 ; si les deux boules tirées sont bleues
X= 0 ; si les deux boules tirées sont blanches
X= 1 ; si les deux boules tirées sont rouges
X= 2 ; si les deux boules tirées sont de couleurs différentes
a) Donner la loi de probabilité de X
b) Calculer l’espérance mathématique de X.
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Sujet n°2
Niveau : Terminal D
Exercice 1
On considère l’application f de C dans C définie par :
𝑓(𝑧) = 𝑍 3 + 9𝑖𝑍 2 + 2(6𝑖 − 11)𝑍 − 3(4𝑖 + 12)
1) Montrer que l’équation 𝑓(𝑧) = 0 admet une solution réelle Z1 et une solution
imaginaire pure Z2.
2) Factoriser 𝑓(𝑧) et résoudre dans C l’équation 𝑓(𝑧) = 0 (on notera Z3 la troisième
solution)
3) Dans le plan complexe (P), on considère les points A, B et C d’affixes respectives Z1, Z2
et Z3. Montrer que les trois points sont alignés.
Exercice 2
E désigne un plan vectoriel de base (𝑖⃗, 𝑗⃗) et f un endomorphisme de E tel qel que :
𝑓(𝑖⃗) = −2𝑖⃗ + 2𝑗⃗
{
𝑓(𝑗⃗) = −𝑖⃗ + 𝑗⃗
1- Déterminer la matrice M de f dans la base (𝑖⃗, 𝑗⃗)
2- Déterminer le noyau de f ainsi qu’une base 𝑒1
3- Déterminer l’image de f ainsi qu’une base 𝑒2
4- Démontrer que (𝑒1 , 𝑒2 ) est une base de E
5- Donner la matrice de f dans la base (𝑒1 , 𝑒2 )
Exercice 3
A. Déterminer la solution particulière h de l’équation différentielle (𝐸): 𝑦" + 4𝑦′ + 4𝑦 = 0
vérifiant les relations h(0)=1 et h’(0)=-1
B. On considère la fonction f de la variable réelle x définie sur IR par :
𝑓(𝑥) = (𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥 𝑠𝑖 𝑥 ≤ 0
{
𝑓(𝑥) = 1 + 𝑥 + 2𝑥𝑙𝑛𝑥 𝑠𝑖 𝑥 > 0
On note (C) la courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗) ;
unité graphique : 4cm
1- Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 𝑥0 = 0
2- Etudier les variations de f
3 3
3- Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼𝜖 ]− 2 ; − 4[
4- Etudier les branches infinies à (C)
5- Construire (C)
6- Calculer en cm2 l’aire de la partie du plan délimitée par la courbe (C), l’axe des
1
abscisses et les droites d’équations 𝑥 = − 2 et 𝑥 = 0
Exercice 4
Soit la série statistique double suivante :
xi
-1 0 1
yj
0 3 4 1
1 1 0 1
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Sujet n°3
Niveau : Terminal D
Exercice 1
a) Résoudre dans l’ensemble des nombres complexes C l’équation 𝑍 2 + 𝑍 + 1 = 0. On
désigne par j une solution de cette équation, vérifie que𝑗 2 + 𝑗 + 1 = 0
b) Soit Z1, Z2 et Z les complexes définis par 𝑍1 = 1 + 𝑖√3 ; 𝑍2 = 1 − 𝑖 ;
𝑍1
𝑍=
𝑍2
1- Déterminer la forme algébrique de Z
2- Déterminer le module et un argument de Z1, Z2 puis Z
7𝜋 1−√3 7𝜋 1+√3
3- En déduire des deux questions précédentes que 𝑐𝑜𝑠 12 = et 𝑠𝑖𝑛 12 =
2√2 2√2
Exercice 2
Soit (E) l’espace vectoriel de dimension 2 rapporté à la base (𝑖⃗, 𝑗⃗). Soit f l’endomorphisme de
E dont la matrice dans la base (𝑖⃗, 𝑗⃗) est :
2 𝑎
𝐴=( ) (𝑎, 𝑏)𝜖𝐼𝑅 2
1 𝑏
1) Déterminer a et de manière que f soit un projecteur.
2) On donne 𝑎 = −2 et 𝑏 = −1.
a) Déterminer le noyau de f ainsi qu’une base 𝑒⃗1
b) Déterminer l’image de f ainsi qu’une base𝑒⃗2
c) Montrer que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) forme une base de E
d) Donner la matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
Exercice 3
Soit 𝑓𝑚 (𝑥) = 𝑙𝑛𝑥 − 𝑚(𝑙𝑛𝑥)2 ; m est un paramètre réel non nul
1) Discuter selon les valeurs du paramètre m, les variations de la fonction𝑓𝑚 (on
dressera un tableau de variations pour chaque cas)
2) Déterminer le point fixe aux courbes (Cm) de la fonction 𝑓𝑚
3) On pose 𝑚 = 1
a) Dresser le tableau de variations de la fonction 𝑓1
b) Etudier les branches infinies à la courbe (C1) de 𝑓1
c) Construire la courbe (C1) de 𝑓1 dans un repère orthonormé
d) Calculer l’aire limitée par la courbe (C1), l’axe des abscisses (ox) et les droites
d’équations 𝑥 = √𝑒 ; 𝑥 = 𝑒
Exercice 4
Le tableau suivant donne l’âge X et la moyenne Y des maximas de tension artérielle en
fonction de l’âge d’une population féminine
X 36 42 48 54 60 69
Y 11,8 14,0 12,6 15,0 15,5 15,1
1- Représenter graphiquement le nuage des points dans un plan muni du repère
orthogonal(𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗) (0,5 cm pour 1an et 3cm pour l’unité de tension artérielle).
2- Calculer la moyenne et la variance des séries statistiques associées aux variables X et
Y.
3- a) Trouver une équation de la droite de régression de Y en fonction de X
b) Trouver une équation de la droite de régression de X en fonction de Y
c) Représenter ces droites sur le même graphique que celui utilisé pour le nuage de
points
4- Calculer le coefficient de corrélation linéaire entre les variables X et Y.
5- Une personne de 70 ans a une tension maximale de 16,2. Cela vous parait-il normal ?
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Sujet n°4
Niveau : Terminal D
Exercice 1
On considère dans C l’équation (E) : 𝑍 3 + (2 + 2𝑖)𝑍 2 + (2 + 8𝑖)𝑍 + 4 + 8𝑖 = 0
1) Montrer que l’équation (E) admet une solution réelle notée Z0 que l’on calculera
2) Résoudre dans C cette équation. On notera Z1 la solution dont la partie réelle est
positive et Z3 la troisième solution.
3) Dans le plan complexe rapporté à un repère orthonormé, représenter les points A, B
et C d’affixes respectives Z0, Z1 et Z2. Montrer que le triangle ABC est rectangle
isocèles.
Exercice 2
On définit une application f d’un plan (P) dans lui-même par :
1 √3
𝑓(𝑖⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
2 2 où 𝐵 = (𝑖⃗ , 𝑗⃗)est une base orthonormé de (𝑃)
√3 1
𝑓(𝑗⃗) = 𝑖⃗ − 𝑗⃗
{ 2 2
1. Ecrire la matrice M de l’application f dans la base B
2. Montrer que f est un endomorphisme bijectif
3. Déterminer l’ensemble F défini par 𝐹 = {𝑢 ⃗⃗𝜖(𝑃); 𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗}
4. Quelle est la nature de f ?
5. Déterminer complètement Kerf et Imf.
Exercice 3
1. Résoudre l’équation différentielle (𝐸): 𝑦" + 2𝑦′ + 2𝑦 = 0
2. Déterminer la solution particulière f dont la courbe représentative (C) passe par le
𝜋
𝜋 5𝜋
point 𝐴 ( 2 ; 𝑒 − 2 ) et admet en 𝑥 = 4 une tangente horizontale.
3. On définit sur IR, la fonction g telle que 𝑔(𝑥) = 𝑒 −𝑥 𝑠𝑖𝑛𝑥
a) Etudier les variations de g sur l’intervalle [0 ; 𝜋]puis construire la courbe (C) de g
dans le repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗)
b) Résoudre dans IR l’équation 𝑔′ (𝑥) = 0, on notera Uk la solution obtenue.
c) Montrer que la suite (𝑈𝑘 )𝑘𝜖𝐼𝑁 est arithmétique, préciser la raison et le premier
terme.
d) Calculer la somme Sk=U0+U1+…+Uk-1, des termes en fonction de l’entier k
Exercice 4
On lance un dé pipé à six faces numérotées de 1 à 6. On désigne par Pi la probabilité de la
4
face non visible telle que 𝑃1 𝜖 {−2 ; −1 ; 0 ; ; 2 ; 3 ; 4 }. Les réels Pi sont en progression
2
arithmétique.
1. Démontrer que P1=0 ; puis déterminer la raison r de cette progression
2. Déterminer P2 ; P3 ; P4 ; P5 ; P6.
3. On désigne par X la variable aléatoire qui à chaque lancer du dé, on associe le numéro
de la face non visible.
a) Déterminer la loi de probabilité de X
b) Calculer l’espérance mathématique E(x) et la variance V(x) de X
c) Définir la fonction F de répartition de X, puis la construire.
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Sujet n°5
Niveau : Terminal D
Exercice 1
Soit l’application P de C dans C définie par :
𝑃(𝑍) = 𝑍 3 − (1 − 2𝑠𝑖𝑛𝜃)𝑍 2 + (1 − 2𝑠𝑖𝑛𝜃)𝑍 − 1 𝑜ù 𝜃𝜖]0 ; 𝜋[
a) Calculer P(1). Puis déterminer les réels a, b et c tels que
𝑃(𝑍) = (𝑍 − 1)(𝑎𝑍 2 + 𝑏𝑍 + 𝑐)
b) Résoudre dans C 𝑃(𝑍) = 0. On notera Z1, Z2, Z3 les trois solutions.
c) Déterminer le module et un argument des nombres complexes Z1, Z2, Z3
Exercice 2
V désigne un plan vectoriel de base (𝑖⃗ , 𝑗⃗)et 𝑓 l’endomorphisme de V tel que :
𝑓(𝑖⃗) = 2𝑖⃗ − 5𝑗⃗
{ 2 𝑜ù 𝛼 est un paramètre réel
𝑓(𝑗⃗) = 𝑖⃗ + 𝛼𝑗⃗
5
1- Donner la matrice de f dans la base (𝑖⃗ , 𝑗⃗)
𝑥′
2- On note 𝑢
⃗⃗′ (𝑦′ ⃗⃗ (𝑦𝑥 )de V par f. Ecrire les composantes (𝑦′
) l’image du vecteur 𝑢 𝑥′
) de𝑢
⃗⃗′en
fonction des composantes (𝑦𝑥 ) de𝑢 ⃗⃗.
3- Trouver 𝛼 pour que f soit une projection vectorielle.
4- Dans la suite de l’exercice, on pose 𝛼 = −1. Déterminer :
a) Le noyau de f noté Kerf et une base (𝑒⃗1 )de Kerf
b) L’image de f notée Imf et une base (𝑒⃗2 ) de Imf
c) Montrer que (𝑒⃗1 , 𝑒⃗2 )est une base de V. en déduire la matrice de f dans cette base.
Exercice 3
On considère la fonction numérique g de la variable réelle x définie par :
1 1
𝑔(𝑥) = 3 𝑥 + 3 √𝑥 2 + 1 ; et on note (C) la courbe représentative de g dans le plan muni d’un
repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗)
1 𝑥
1. Démontrer que ∀ 𝑥𝜖𝐼𝑅, 𝑔′ (𝑥) = 3 +
3√𝑥 2 +1
2. a) Etudier les variations de g’.
2
b) Démontrer que ∀ 𝑥𝜖𝐼𝑅, 0 ≤ 𝑔′ (𝑥) ≤ 3.
3. Dresser le tableau de variation de g.
4. a) Etudier les branches infinies de la courbe (C) de g.
b) Construire la courbe (C) dans le repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
2 √3
5. On considère la suite (Un) définie par : 𝑈0 = 3 + 𝑒𝑡 ∀ 𝑛𝜖𝐼𝑁, 𝑈𝑛+1 = 𝑔(𝑈𝑛 )
3
√3
a) Démontrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 𝑥 admet une solution unique 𝑥0 = 3
b) Démontrer en utilisant le théorème des accroissements finis que :
√3 2 √3
∀ 𝑛𝜖𝐼𝑁, |𝑈𝑛+1 − | ≤ |𝑈𝑛 − |
3 3 3
√3 2 𝑛+1
c) Démontrer que ∀ 𝑛𝜖𝐼𝑁, |𝑈𝑛 − | ≤ ( )
3 3
√3
d) En déduire que (Un) tend vers 3 quand n tend vers +∞.
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Exercice 4
Soit la série statistique à deux caractères (x ; y) donnés par le tableau à double entrée ci-
contre :
Y -1 0 1 3
x
-1 2 5 3 0
2 2 4 1 1
3 0 2 0 0
0 3 2 1 4
Sujet n°6
Niveau : Terminal D
Exercice 1
1) Résoudre dans l’ensemble C des nombre complexes, l’équation : 𝑍 2 + 𝑍 + 1 = 0
2) Le plan complexe est muni de repère orthonormé (𝑜, 𝑢⃗⃗, 𝑣⃗), on considère les points A, B et
C d’affixes respectives 𝑍𝐴 = 1 + 𝑖√3 ; 𝑍𝐵 = 1 − 𝑖√3et 𝑍𝐶 = 2
𝑍 −𝑍
a) Calculer le module et un argument du nombre complexe 𝑍𝐶 −𝑍𝐴 puis déduire la nature
𝐶 𝐵
du triangle ABC
b) Déterminer une mesure d’angle de la rotation R de centre C qui transforme B en A.
Exercice 2
Dans le plan IR2 muni de la base canonique(𝑖⃗ , 𝑗⃗), on considère les ensembles
𝐸 = {(𝑥, 𝑦) ∈ 𝐼𝑅 2 / 3𝑥 − 2𝑦 = 0} et
𝐹 = {(𝑥, 𝑦) ∈ 𝐼𝑅 2 / −𝑥 − 𝑦 = 0}
1- Montrer que E et F sont deux sous espaces vectoriels supplémentaires de IR2.
2- Soit 𝑒⃗1 = 2𝑖⃗ + 3𝑗⃗ 𝑒𝑡 𝑒⃗2 = 𝑖⃗ − 𝑗⃗ les bases respectives de E et de F.
On considère l’endomorphisme f de IR2 tel que :
𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑒⃗1
{
𝑓(𝑒⃗2 ) = −𝑒⃗2
a) Ecrire la matrice de f dans la base (𝑖⃗ , 𝑗⃗)
b) Déterminer le noyau et l’image de f.
c) Etudier la nature de f. on précisera ses éléments caractéristiques.
Exercice 3
A- Soit g la fonction numérique définie pour tout réel strictement positif par 𝑔(𝑥) =
𝑥 2 + 4 − 4𝑙𝑛𝑥
1) Etudier les variations de g
2) Déduire suivant les valeurs de 𝑥, le signe de 𝑔(𝑥)
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4𝑙𝑛𝑥
B- Soient f la fonction numérique définie par : 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 + 𝑥
Et (C) sa courbe représentative dans un repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗) (unité : 1cm sur chaque
axe)
𝑔(𝑥)
1- Etudier les variations de f, on montrera que 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑥 2
2- Soit (D) la droite d’équation𝑦 = 𝑥 − 1. Etudier le signe de 𝑓(𝑥) − (𝑥 − 1) et
interpréter graphiquement le résultat.
3- Construire (D) et (C).
4- Démontrer que f admet une application réciproque f-1.
5- Tracer la courbe de la fonction f-1 dans le même repère que f.
Exercice 4
Les deux caractères X et Y sont distribués de la manière suivante :
Yj
Y1 Y2 Y3
Xi
X1 1 0 3
X2 2 3 0
X3 0 2 2
1.a) Déterminer X1, X2, X3 sachant que X1, X2, X3 sont des termes consécutifs d’une suite
arithmétique de raison r=2 tels que X1+ X2+ X3 =6
b) Déterminer Y1, Y2, Y3 sachant que Y1, Y2, Y3 sont des termes consécutifs d’une suite
géométrique de raison q=3 tels que Y1. Y2. Y3=27
2) a) Compléter le tableau
b) Déterminer les distributions marginales de X et de Y
3) Calculer l’inertie du nuage par rapport à O(0 ; 0)
Sujet n°7
Niveau : Terminal D
Exercice 1
1- Soit l’application P de C dans C définie par :
𝑃(𝑍) = 𝑍 3 − 2(1 + 2𝑖)𝑍 2 + 7𝑖𝑍 + 3(1 − 3𝑖)
a) Démontrer qu’il existe un nombre imaginaire pur 𝑖𝛽 solution de l’équation 𝑃(𝑧) = 0
b) Trouver les nombres complexes a et b tels que l’on ait :
(𝑍 − 3𝑖)(𝑍 2 + 𝑎𝑍 + 𝑏) = 0
c) Achever la résolution de l’équation 𝑃(𝑧) = 0
2- On considère l’application 𝑇: 𝑀(𝑍) → 𝑀′ (𝑍 ′ )telle que
1
𝑍 ′ = (1 − 𝑖)𝑍 + 1 − 𝑖
2
a) Donner la nature de T
b) Caractériser T
Exercice 2
m étant un paramètre réel, on considère l’endomorphisme fm de ℝ2 dont la matrice relative à
m + 1 2m − 1
la base (𝑖⃗ , 𝑗⃗) est : 𝑀𝑓m = ( )
1 m−1
1) Déterminer les valeurs de m pour lesquelles fm n’est pas bijectif.
2) Suivant les valeurs de m, déterminer le noyau et l’image de fm.
3) Dans la suite, on prend m=2
a) Trouver le noyau de f2. En donner une base 𝑒⃗1
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b) Trouver l’image de f2. En donner une base 𝑒⃗2
c) Montrer que 𝑓2 (𝑒⃗2 ) = 4𝑒⃗2
d) Montrer que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de ℝ2 . Déterminer la matrice de f2 dans la base
(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
Exercice 3
I) On considère la fonction numérique f de la variable réelle x définie, continue et
dérivable sur ]0 ; +∞[ par : 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 − 𝑙𝑛𝑥
On note (C) la courbe représentative de f dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗),
unité graphique 2cm.
1- Dresser le tableau de variation de g.
2- En déduire le signe de 𝑔(𝑥) suivant les valeurs de 𝑥
1+𝑙𝑛𝑥
II) Soit la fonction f définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 2 + 𝑥
1- Dresser le tableau de variation de f
2- Démontrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique.
3- Etudier les branches infinies
4- Construire la courbe (C).
Exercice 4
1
Un dé truqué a six faces numérotées de 1 à 6. La probabilité d’apparition de la face 6 est 2 et
celle des faces numérotées 1, 2, 3, 4, 5 est la même notée P.
On lance une fois le dé.
1. a) Déterminer la probabilité P d’apparition des faces numérotées 1, 2, 3, 4, 5.
b) Calculer les probabilités P(A) et P(B) de chacun des événements :
A ={obtenir un nombre pair}
B ={obtenir un nombre impair}
2. Le dé est lancé 4 fois de suite. On admet que la probabilité d’apparition d’un nombre
3
impaire en chacun des lancers est . Calculer la probabilité P1 d’obtenir exactement
10
trois fois un nombre impaire.
Sujet n°8
Niveau : Terminal D
Exercice 1
On donne les nombres complexe z et u définis par :
𝑧 = −8√3 + 8𝑖 𝑒𝑡 𝑢 = (√6 − √2) + 𝑖(√6 + √2)
1- Ecrire le nombre complexe z sous forme trigonométrique
2- Déterminer les racines carrées de z sous la forme trigonométrique
3- Calculer u2
4- Utiliser ce résultat pour exprimer les racines carrées de z sous leur forme algébrique.
5𝜋 5𝜋
5- En déduire la valeur exacte de 𝑐𝑜𝑠 12 𝑒𝑡 𝑑𝑒 𝑠𝑖𝑛 12
Exercice 2
Soit E un espace vectoriel de base (𝑖⃗ , 𝑗⃗). On considère l’endomorphisme fa de E dont la
matrice associée dans la (𝑖⃗ , 𝑗⃗) est :
𝑎−1 1
𝑀𝑓𝑎 = (𝑎 − 2 − 3 𝑎 + 2) avec a réel donné
2
1- Déterminer, suivant les valeurs de a, l’ensemble Ia des vecteurs invariants par fa.
2- a) Dans la suite, on prend a=0. Préciser I0, en donner une base ⃗⃗⃗⃗
𝑒1
b) Déterminer Kerf0, en donner une base ⃗⃗⃗⃗ 𝑒2
c) Montrer que (𝑒⃗⃗⃗⃗1 , ⃗⃗⃗⃗)
𝑒2 est une base de E.
d) Quelle est la matrice de f0 dans la base (𝑒⃗⃗⃗⃗1 , ⃗⃗⃗⃗)
𝑒2
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Exercice 3
On se propose de chercher les fonctions f de IR vers IR telles que : pour tout nombre
réel 𝑥, (𝐸): 𝑦 ′′ − 4𝑦 ′ + 3𝑦 = 6𝑥 2 + 5𝑥
1- On désigne par g un polynôme défini par : 𝑔(𝑥) = 𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐 𝑜ù 𝑎, 𝑏, 𝑐 ∈ 𝐼𝑅.
Déterminer a, b, c pour que g soit solution de (E).
2- Démontrer que si f est solution de l’équation (E) alors f-g est solution de l’équation
(E’) :𝑦" − 4𝑦 + 3𝑦 = 0
3- Résoudre sur IR l’équation (E’)
4- Déduire f solution de (E)
Exercice 4
On considère un dé cubique dont les faces numérotées de 1 à 6. On note Pk la probabilité
d’apparition de la face marquée k lorsque le dé est lancé. Le dé est supposé équilibré telle
manière que les nombres P1, P2, P3, P4, P5 et P6 constituent dans cet ordre une progression
géométrique de raison q=0,5
1) Calculer Pk pour tout k de {0, 1, 2, 3, 4, 5, 6}
2) Le dé est utilisé pour un jeu dont les conditions sont les suivantes : l’apparition d’une
face portant un nombre pair fait gagner 200F ; l’apparition d’une face portant un nombre
impair fait perdre 300F.
Calculer la probabilité de l’événement « après ces trois lancers, le gain du joueur est
exactement 100F.
Sujet n°9
Niveau : Terminal D
Exercice 1
2𝜋
Soit Z0 le nombre complexe de module 1 et d’argument 5
1- Montrer que Z0 est solution de l’équation 𝑧 5 − 1 = 0
2- Simplifier l’écriture de : (𝑧 − 1)(1 + 𝑧 + 𝑧 2 + 𝑧 3 + 𝑧 4 )
3- En déduire que z0 est solution de l’équation (E) :
1 1
(𝑧 2 + 𝑍 2 ) + (𝑧 + 𝑍) + 1 = 0
1
4- On pose 𝑍 = 𝑧 + 𝑍. Montrer que Z vérifie une équation du second degré (E)
5- Résoudre (E)
2𝜋 2𝜋
6- En déduire Z0 puis les valeurs exactes de 𝑐𝑜𝑠 5 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑛 5
Exercice 2
𝑥 ′ = 2𝑥 − 3𝑦 + 5𝑧
Soit f l’application IR3 définie par : 𝑓: { 𝑦 ′ = −𝑥 + 4𝑦 + 𝑧
𝑧 ′ = 𝑥 + 6𝑦 + 13𝑧
⃗⃗ ).
IR3 est un espace vectoriel de base 𝐵 = (𝑖⃗ , 𝑗⃗, 𝑘
1. Déterminer la matrice de f
2. Déterminer le noyau N(f) en donner une base
3. Déterminer l’image Im(f) en donner une base
4. Montrer que le noyau et l’image de f sont deux sous espaces vectoriels
supplémentaires de IR3
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Exercice 3
On considère la suite (𝑈𝑛 ) définie par :
𝑈0 = 𝑒
{
∀𝑛 ∈ 𝐼𝑁, 𝑈𝑛+1 = √𝑈𝑛
1- On pose pour tout entier naturel n, 𝑉𝑛 = ln(𝑈𝑛 ) où ln désigne la fonction logarithme
népérien, e la base des logarithmes népériens.
a) Démontrer que (Vn) est une suite géométrique dont on précisera la raison et le
premier terme
b) Déterminer Vn puis Un en fonction de n
2- Calculer le produit : 𝑃𝑛 = 𝑈𝑜 × 𝑈1 × 𝑈2 … .× 𝑈𝑛 en fonction de n.
Etudier sa limite éventuelle lorsque n tend vers +∞
Exercice 4
L’étude du poids P de la larve de l’insecte TENEBRIO MOLITOR en fonction de l’âge X a
conduit au tableau suivant :
X ]0 ; 2] ]2 ; 6] ]6 ; 12] ]12 ; 20] ]20 ; 30]
P 7 13 25 47 88
1- Tracer le nuage des points représentant la série (X, P)
2- a) On pose Y=lnP, calculer les différentes valeurs prises par la variable Y.
b) Déterminer une équation de la droite de régression de y en x.
3- Si l’évolution se poursuivait de la même manière, quel serait le poids de la larve au
bout de 6 mois ?
Sujet n°10
Niveau : Terminal D
Exercice 1
On considère l’ensemble ℂ des nombres complexes et on rappelle que 𝑖 2 = −1
1) Déterminer les racines carrées du nombre complexe 𝑢 = 6 + 6𝑖√3
2) Soit l’équation (E) définie dans ℂ telle que : (𝐸): 4𝑧 3 − 6𝑖√3𝑧 2 − (9 + 3𝑖√3)𝑧 − 4 = 0
1
a) Vérifier que 𝑧0 = − 2 est une solution de l’équation (E).
b) Résoudre dans ℂ, l’équation (E)
3) Le plan complexe ℂ est rapporté à un repère orthonormal direct (𝑜, 𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗). On donne
1 1 √3
les points A, B, C d’affixes respectives 𝑧𝐴 = − 2 , 𝑧𝐵 = − 2 + 2 𝑖 , 𝑍𝐶 = 1 + 𝑖√3
a) Déterminer l’écriture complexe de la similitude plane directe S qui transforme A
en B et B en C.
b) Déterminer les éléments caractéristiques de la similitude S.
Exercice 2
Soit E le plan vectoriel rapporté à sa base canonique (𝑖⃗ , 𝑗⃗). On donne les vecteurs 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
et 𝑒⃗2 = 2𝑖⃗ + 3𝑗⃗. On considère l’endomorphisme f ; de E telle que 𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑒⃗1 𝑒𝑡 𝑓(𝑒⃗2 ) = 𝑜⃗
1) Vérifier que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E.
2) Ecrire la matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
3) Soit 𝑢 ⃗⃗ ′ = 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗ image de 𝑢
⃗⃗ = 𝑥𝑖⃗ + 𝑦𝑗⃗ par l’endomorphisme f ; 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′
a) Montrer que 𝑓(𝑖⃗) = 3𝑖⃗ + 3𝑗⃗ et 𝑓(𝑗⃗) = −2𝑖⃗ − 2𝑗⃗
b) Exprimer les coordonnées 𝑥 ′ et 𝑦′ de 𝑢 ⃗⃗ ′ en fonction des coordonnées de 𝑥 et 𝑦 de
𝑢
⃗⃗.
c) Calculer 𝑓𝑜𝑓(𝑢 ⃗⃗)
d) En déduire la nature de f
e) Déterminer les caractéristiques de f.
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Exercice 3
1
On considère la fonction numérique f à variable réelle x, définie telle que : 𝑓(𝑥) = 𝑥𝑙𝑛𝑥
(C) désigne la courbe la courbe représentative de f dans le repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗) du
plan.
1) Montrer que f est définie sur ]0 ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[
2) Vérifier que la dérivée f’ de f est :
−1 − 𝑙𝑛𝑥
𝑓 ′ (𝑥) =
(𝑥𝑙𝑛𝑥)2
3) a) Etudier le signe de f’
b) Dresser le tableau de variation de f
c) Etudier les branches infinies à (C).
4) Tracer (C)
1
𝑥
a) Montrer que f peut s’écrire 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛𝑥
3
b) Calculer l’intégrale 𝐼 = ∫𝑒 𝑓(𝑥)𝑑𝑥
c) En déduire l’aire A du domaine plan limité par la courbe (C) de f, l’axe (ox) des
abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 𝑒 ; 𝑥 = 3. Unité graphique : 2cm
Exercice 4
Un joueur utilise un dé à six faces qui a été truqué. La probabilité Pi de voir apparaitre la face
numéroté i est donnée par le tableau suivant :
i 1 2 3 4 5 6
Pi 0,4 0,15 0,15 0,05 a b
1-a) Calculer a et b sachant que P5=4P6
b) Quelle est la probabilité de voir apparaitre un numéro pair ? Un numéro impair ?
c) Quelle est la probabilité que ce soit le numéro 1 sachant que c’est un numéro impair.
2- On considère les événements suivants :
A : « Voir apparaitre un numéro pair »
B : « Voir apparaitre un numéro multiple de 3 »
C : « Voir apparaitre un numéro inférieur ou égal à 3 »
a) A est il indépendant de B ?
b) A est il indépendant de C ?
3- On lance ce dé quatre fois de suite. Quelle est la probabilité de voir apparaitre le numéro 1
au moins une fois au cours de ces quatre lancers.
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SUJETS DE RECHERCHE
Sujet n°11
Niveau : Terminal D
Exercice 1
Dans le plan rapporté à un repère orthonormal direct (𝑜, 𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗) ; on désigne par R la
transformation ponctuelle qui a tout point M d’affixe 𝑍 = 𝑥 + 𝑖𝑦 associe le point M’ d’affixe
𝑥 ′ = −𝑦 + 1
𝑍 ′ = 𝑥 ′ + 𝑖𝑦′ définie par 𝑀′ = 𝑅(𝑀), on a : { ′
𝑦 =𝑥+1
1-a) Donner l’écriture complexe de R
b) Déterminer les éléments caractéristiques de R
2- Soit B le point d’affixe 𝑍𝐵 = 3 + 2𝑖. Déterminer le point C d’affixe 𝑍𝐶 tel que 𝐶 = 𝑅(𝐵)
3- On désigne par A, B et C les points d’affixes 𝑍𝐴 = 𝑖 ; 𝑍𝐵 = 3 + 2𝑖 𝑒𝑡 𝑍𝐶 = −1 + 4𝑖
a) Placer les points A, B et C dans le repère (𝑜, 𝑢
⃗⃗, 𝑣⃗) ; unité graphique 2cm
𝑍𝐶 −𝑍𝐴
b) Donner la forme algébrique et trigonométrique de
𝑍𝐵 −𝑍𝐴
En déduire la nature du triangle ABC.
Exercice 2
Dans le plan vectoriel E muni d’une base (𝑖⃗ , 𝑗⃗), on considère l’application linéaire f définie
par :
1 + 𝑐𝑜𝑠𝜃 1 − 𝑐𝑜𝑠𝜃
𝑓(𝑖⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
{ 2 2 𝑜𝑢 𝜃 = [0 ; 𝜋]
1 − 𝑐𝑜𝑠𝜃 1 + 𝑐𝑜𝑠𝜃
⃗⃗⃗⃗ =
𝑓(𝑗) 𝑖⃗ + 𝑗⃗
2 2
1- Ecrire la matrice de f puis donner son expression analytique de f
2- Pour quelle valeur de 𝜃 f est-elle bijective ?
3- On considère la valeur de 𝜃 pour laquelle f n’est pas bijective. Montrer que dans ce cas
f est un projecteur. On précisera ses éléments caractéristiques.
4- Soit 𝑒⃗1 une base de Imf et 𝑒⃗2 une base de Kerf.
a) Montrer que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E
b) Déterminer la matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
Exercice 3
Partie A :
Le but du problème est l’étude de la fonction numérique d’une variable réelle x définie par :
𝑓(𝑥) = 2(√1 − 𝑥 2 )𝑙𝑛𝑥 où ln désigne le logarithme népérien.
Soit g la fonction numérique de variable réelle définie par 𝑔(𝑥) = 1 − 𝑥 2 − 𝑥 2 𝑙𝑛𝑥
1- Etudier les variations de g, après avoir calculer g(1).
2- En déduire le signe de g(x) sur ]0 ; +∞[
3- Résoudre l’équation g(x)=1
Partie B
1- Déterminer le domaine de définition de la fonction f.
2- Déterminer f’(x) en fonction de g(x)
3- Dresser le tableau de variation de f.
1 1 3
4- Calculer 𝑓 (4) ; 𝑓 (2) 𝑒𝑡 𝑓 (4), en donnant de ces nombres des valeurs approchées à
10-2 près.
5- Construire la courbe (Cf) de f dans le repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗). Unité 4cm
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Exercice 4
Un sac contient 3 boules blanches et 2 boules noires. Les boules sont indiscernables au
toucher, on tire successivement avec remise 3 boules du sac. On considère la variable
aléatoire réelle x liée au nombre de boules blanches tirées.
a) Donner la loi de probabilité de X
b) Calculer l’espérance mathématique de X
c) Calculer la variance de X.
Sujet n°12
Niveau : Terminal D
Exercice 1
Soit le nombre complexe 𝑍 = √6 + √2 + 𝑖(√6 − √2)
1- Calculer Z2
2- Déterminer le module et un argument de Z
3- Quel est l’ensemble des entiers n tels que Zn soit un réel.
Exercice 2
P un plan vectoriel, f une application linéaire de P dans P telle que :
𝑎 √3
𝑓𝑎,𝑏 (𝑖⃗) = (𝑏 + ) 𝑖⃗ + 𝑎 𝑗⃗
2 2
√3 𝑎
𝑓𝑎,𝑏 (𝑗) = 𝑎 𝑖⃗ + (𝑏 − ) 𝑗⃗
{ 2 2
1- Ecrire la matrice de 𝑓𝑎,𝑏
2- Déterminer les couples (a, b) pour lesquels 𝑓𝑎,𝑏 n’est pas bijective, alors dans ce cas,
déterminer Kerfa,b et Imfa,b suivant les valeurs de a et de b.
3- Montrer que 𝑓1,1 est une projection vectorielle dont on déterminera les éléments
22
caractéristiques
4- Déterminer les couples (a, b) pour lesquels fa,b est une symétrie vectorielles
Exercice 3
On considère l’équation différentielle :
(𝐸): 𝑦 ′′ + 4𝑦 = 3𝑐𝑜𝑠𝑥 (1) dans laquelle y est une fonction inconnue.
1- On pose 𝑦 = 𝑍 + 𝑎𝑐𝑜𝑠𝑥 (2).
a) Former l’équation à laquelle satisfait la fonction Z.
b) Déterminer a pour que cette équation se réduise à 𝑍 ′′ + 4𝑍 = 0
2- a) Donner la solution générale de l’équation (1)
b) Donner la solution qui satisfait aux conditions suivantes :
𝜋
𝑦(0) = 0 𝑒𝑡 𝑦′ ( 2 ) = 0
Exercice 4
Soit la série statistique suivante :
X 1 2 b 4
Y 2 a 6 8
1- Déterminer a et b pour que la droite d’ajustement de y en x ait pour équation y=2x.
2- Dans la suite du problème a et b sont les valeurs trouvées au 1°). Représenter le
nuage des points et estimer le coefficient de corrélation entre x et y
3- Déterminer l’inertie du nuage par rapport à A (1 ; 1) puis par rapport au point G
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Sujet n°13
Niveau : Terminal D
Exercice 1
𝜋 𝜋
Soit 𝜃 un réel de l’intervalle ]− 2 ; 2 [
1
1- Montrer que 1 + 𝑡𝑎𝑛2 𝜃 = 𝑐𝑜𝑠2 𝜃
2- On considère les nombres complexes : 𝑍1 = 1 + 𝑖𝑡𝑎𝑛𝜃 𝑒𝑡 𝑍2 = 1 − 𝑖𝑡𝑎𝑛𝜃. Calculer et
𝑍
un argument en fonction de 𝜃 de 𝑍1 , 𝑍2 𝑒𝑡 𝑍1
2
𝑍1
3- Ecrire sous forme algébrique le nombre complexe . En déduire 𝑐𝑜𝑠2𝜃 𝑒𝑡 𝑠𝑖𝑛2𝜃 en
𝑍2
fonction de 𝑡𝑎𝑛𝜃
Exercice 2
L’espace vectoriel E est rapporté à sa base canonique(𝑖⃗ , 𝑗⃗).
On considère l’endomorphisme 𝑓𝑎 de E défini par :
𝑓 (𝑖⃗) = (𝑎 − 1)𝑖⃗ − 3𝑗⃗
{𝑎 𝑎 désigne un paramètre réel
𝑓𝑎 (𝑗⃗) = 𝑖⃗ + (1 − 𝑎)𝑗⃗
1) Donner l’expression analytique de 𝑓𝑎 en fonction de a.
2) Déterminer l’ensemble des valeurs du réels a, pour lesquelles 𝑓𝑎 n’est pas bijectif.
3) Dans la suite a = 3
a) Déterminer le noyau et l’image de 𝑓𝑎
b) Montrer que 𝑓𝑎 est une symétrie vectorielle. Préciser ses éléments
caractéristiques
Exercice 3
Partie A
On considère la fonction f définie par :
𝑓(𝑥) = −2√1 − 𝑥|𝑥| 𝑠𝑖 𝑥 < 1
{
𝑓(𝑥) = ln (𝑥 + √𝑥 2 − 1) 𝑠𝑖 𝑥 ≥ 1
1- Donner l’ensemble de définition de f
2- Etudier la continuité et la dérivabilité de f en 0 et 1.
3- Etudier les variations de f
4- Etudier les branches infinies de (C)
5- Tracer (C)
Partie B
1- Démontrer que f est une bijection de Ef sur un ensemble à préciser. Tracer sur le
même graphique (C) et (C’) représentative de f-1, réciproque de f.
2- Soit g la restriction de f sur l’intervalle[1; +∞[. Expliciter g-1.
Exercice 4
On considère la série statistique suivante :
xi 4 6 10 12 8
yj 7 10 14 14 11
On désigne par xi les notes de maths et par yj les notes de physique de 5 élèves au BAC 2016.
1- Représenter le nuage de points
2- Trouver les coordonnées du point moyen G
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3- Calculer les variances de x et de y
4- Déterminer les deux droites de régression
5- Calculer le coefficient de corrélation linéaire. Cette corrélation est-elle forte ou
faible ?
6- Calculer l’inertie du nuage par rapport au point A (1 ; 1) et au point moyen G
Sujet n°14
Niveau : Terminal D
Exercice 1
𝑛
1- Soit Z le nombre complexe défini par : 𝑍 = [(1 − √3) + 𝑖((1 + √3)] où n est un réel
naturel.
a) Calculer Z pour n = 12.
b) Trouver tous les entiers naturels n tels que Z soit un nombre réel.
2- Résoudre dans le corps des nombres complexes l’équation suivante :
𝑋 5 + 𝑋 4 + 𝑋 3 + 𝑋 2 + 𝑋 + 1 = 0, puis représenter ses solutions sur un plan
complexe.
Exercice 2
Sur l’espace vectoriel E muni de la base canonique (𝑖⃗ , 𝑗⃗)et l’endomorphisme de E tel que :
1
𝑓(𝑖⃗) = (𝑖⃗ − 𝑗⃗)
{ 4
3
𝑓(𝑗⃗) = (−𝑖⃗ + 𝑗⃗)
4
1) f est-elle bijective ?
2) soit 𝑢⃗⃗ ′ = 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗ image de 𝑢
⃗⃗ = 𝑥𝑖⃗ + 𝑦𝑗⃗ par f
1 3 1 3
a) En se servant de 𝑓(𝑖⃗) et 𝑓(𝑗⃗), montrer que (4 𝑥 − 4 𝑦) 𝑖⃗ + (− 4 𝑥 + 4 𝑦) 𝑗⃗ = 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗
b) En déduire les expressions de x’ et y’ en fonction de x et y
3) Montrer que f est une projection vectorielle.
4) Donner la base E1 de f ainsi qu’un vecteur 𝑒⃗1 qui l’engendre
5) Donner la direction E2 de f ainsi qu’un vecteur 𝑒⃗2 qui l’engendre
6) On donne 𝑢⃗⃗ = −𝑖⃗ + 𝑗⃗ et 𝑣⃗ = 3𝑖⃗ + 𝑗⃗
a) Montrer que (𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗) est une base de E
b) Déterminer la matrice de f dans la base (𝑢 ⃗⃗, 𝑣⃗)
Exercice 3
Partie A
On considère la fonction g définie sur ]0 ; +∞[ par: 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 + 3 − 2𝑙𝑛𝑥
1. Calculer les limites de g en 𝑥 = 0 à droite et en +∞
2. Calculer la dérivée g’ de g puis étudier le signe de g’
3. Dresser le tableau de variation de g.
4. Etablir le signe de g sur son ensemble de définition.
Partie B
𝑥 2 −1 𝑙𝑛𝑥
Soit la fonction f définie sur ]0 ; +∞[ par: 𝑓(𝑥) = + , on désigne par (C) la courbe
2𝑥 𝑥
représentative de f dans le repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗ , 𝑗⃗) du plan.
1. Calculer les limites de f en 𝑥 = 0 à droite et en +∞
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𝑔(𝑥)
2. Montrer que la dérivée f’ de f s’écrit telle que 𝑓 ′ (𝑥) = puis déduire le signe de f’.
2𝑥 2
3. Dresser le tableau de variation de f
1
4. Montrer que la droite (D) d’équation 𝑦 = 𝑥 est asymptote à (C) puis étudier la
2
position relative de (C) par rapport à (D)
5. Tracer (C) et (D) dans le même repère.
Exercice 4
Une urne contient 4 boules numérotées de 1 à 4. Toutes les boules sont indiscernables au
toucher. On tire successivement sans remise deux boules de l’urne. On note x le produit des
numéros des deux boules tirées.
On considère la variable aléatoire réelle x qui prend pour valeur la partie réelle du
𝑖𝜋
complexe : 𝑍 = 𝑒 4
1- Définir la loi de probabilité de X
2- Calculer E(X) et V(X)
3- On répète trois fois de suite cette épreuve. Quelle est la probabilité d’obtenir
√2 𝑖√2
exactement deux fois le complexe 𝑧 = − +
2 2
Sujet n°15
Niveau : Terminal D
Exercice 1
Soit le polynôme P à variable complexe Z, tel que : 𝑃(𝑍) = 2𝑍 4 − 6𝑍 3 + 9𝑍 2 − 6𝑍 + 2
1- Déterminer les nombres a, b, c tels que l’on ait :
2
1 2 1
𝑃(𝑍) = 𝑍 [𝑎 (𝑍 + ) + 𝑏 (𝑍 + ) + 𝑐]
𝑧 𝑧
2
2- Résoudre dans C, l’équation : 2𝑍 − 6𝑍 + 5 = 0
3- En déduire les solutions dans l’ensemble C, de l’équation 𝑃(𝑧) = 0 (on posera 𝑡 = 𝑍 +
1
)
𝑧
4- Le plan complexe est muni d’un repère orthonormal direct (𝑜, 𝑢
⃗⃗, 𝑣⃗). On considère les
points A, B, C et D d’affixes respectives :
1 1
𝑍𝐴 = 1 + 𝑖 ; 𝑍𝐵 = 1 − 𝑖 ; 𝑍𝐶 = 2 (1 − 𝑖) ; 𝑍𝐷 = 2 (1 + 𝑖)
a) Montrer que les points O, D et A son alignés
b) Montrer que le point C est milieu du segment [OB]
𝑍 −𝑍
c) Calculer le module et un argument du nombre complexe 𝑍𝐴−𝑍𝐵 puis déduire la
𝐵 𝑂
nature du triangle AOB.
d) Déterminer le centre et une mesure d’angle de la rotation R qui transforme A en B
et C en C.
Exercice 2
⃗⃗ ) et soit f l’application de ℝ3 dans ℝ3 définie
Soit l’espace vectoriel ℝ3 de base 𝐵 = (𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
par :
𝑥 ′ = 2𝑥
{𝑦 ′ = 2𝑦 + 𝑧
𝑧′ = 𝑧
1-a) Montrer que f est un endomorphisme de ℝ3
b) Déterminer la matrice de f dans la base B
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⃗⃗ de ℝ3 qui vérifient 𝑓(𝑢
2-a) Soit E l’ensemble des vecteurs 𝑢 ⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗. Déterminer E, en donner
une base 𝑒⃗1 .
Exercice 3
Soit f la fonction numérique à variable réelle x par :
𝑒 2𝑥
𝑓(𝑥) = 2𝑥
𝑒 +1
1
1- Démontrer que f(x) peut se mettre sous la forme 𝑓(𝑥) = 𝑒 −2𝑥 +1
2- Démontrer que la courbe (Cf) de la fonction f admet le point I(0 ; ½) comme centre de
symétrie.
3- Etudier les variations de la fonction f sur son ensemble de définition.
4- Etudier les branches infinies à (Cf), puis construire (Cf) dans un plan muni d’un
repère orthonormé (𝑜, 𝑖⃗, 𝑗⃗). Unité 2cm.
5- Prouver que la restriction g de la fonction f sur l’intervalle ]0 ; +∞[ admet une
réciproque g-1 dans le même repère que (Cf) de f.
𝛼+1
6- a) Pour tout réel 𝛼 > 0, calculer le réel 𝐴(𝛼) définie par 𝐴(𝛼) = ∫𝛼 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
c) Calculer la limite de 𝐴(𝛼) quand 𝛼 tend vers +∞.
Exercice 4
Une urne contient 4 jetons qui n’ont pas la même probabilité d’être tirés. Sur ces jetons sont
inscrits respectivement les nombres 1, 2, 3 et a (supposés différents tous). On désigne par Pi
la probabilité de tirer le jeton numéroté i, 𝑖𝜖{1, 2, 3, 4, 𝑎}. P1, P2, P3 et Pa constituent dans cet
1
ordre, 4 termes consécutifs d’une suite arithmétique de raison 9. On tire un jeton de l’urne.
1- Calculer P1, P2, P3 et Pa
2- Soit x la variable aléatoire qui prend les valeurs 1, 2, 3 et a avec les probabilités
respectives P1, P2, P3 et Pa. Déterminer le réel a sachant que l’espérance
35
mathématique de X est 36
3- Dans cette question, on prend a=-1
a) Définir la fonction de répartition de x.
b) On procède à cinq tirages successifs avec remise. Calculer la probabilité des
événements suivants :
A « obtenir exactement trois fois le jeton numéroté 1 »
B « obtenir cinq fois un même jeton »
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CORRIGE
Sujet n°1 𝐸1 = {𝑢
⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑥 + 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
Exercice 1 engendrée par 𝑒⃗2 = 𝑖⃗ − 𝑗⃗
1) Solution réelle Z0
𝑧0 = 𝑎𝜖(𝐸) ⟺ 𝑎3 + (3 − 2𝑖)𝑎2 + (1 − 4𝑖)𝑎 − 1 − 2𝑖 = 0 Exercice 3
⟺ 𝑎3 + 𝑎2 + 𝑎 − 1 + 𝑖(−2𝑎2 − 4𝑎 − 2) = 0 A- 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 − 2𝑙𝑛𝑥
Soit −2𝑎2 − 4𝑎 − 2 = (𝑎 + 1)2 = 0 ⇒ 𝑎 = −1 1- Etude des variations de g
D’où 𝑧0 = −1 Ensemble de définition
2) Résolution de l’équation (E) 𝐸𝑔 = ]0 ; + ∞[
(𝐸): (𝑧 + 1)(𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐) = 0 Limites aux bornes
1 3-2i 1-4i -1-2i lim+ 𝑔(𝑥) = +∞ ; lim 𝑔(𝑥) = +∞
𝑥→0 𝑥→+∞
-1 -1 -2+2i 1+2i Dérivée, signe et sens de variation
1 2-2i -1-2i 0 2𝑥 2 − 2
(𝐸): (𝑧 + 1)[𝑧 2 + (2 − 2𝑖)𝑧 − 1 − 2𝑖] = 0 𝑔′ (𝑥) =
𝑥
𝑧0 = −1 ∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑥 > 0, 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑒𝑠𝑡 𝑐𝑒𝑙𝑢𝑖 𝑑𝑒 2𝑥 2 − 2
{ 2
𝑧 + (2 − 2𝑖)𝑧 − 1 − 2𝑖 ∀𝑥𝜖]0; 1[, 𝑔′ (𝑥) < 0, 𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑é𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒
∆′ = 1 ∀𝑥𝜖]1; +∞[, 𝑔′ (𝑥) > 0, 𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒
On a : 𝑧 ′ = −2 + 𝑖 𝑒𝑡 𝑧" = 𝑖 Tableau de variation
D’où 𝑆 = {−1 ; −2 + 𝑖 ; 𝑖} 𝑥 0 1 +∞
3) a) Module et un argument 𝑔′ (𝑥) − +
𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 𝜋 𝑔(𝑥) +∞ +∞
=𝑖 ⇒ | | = 1 𝑒𝑡 𝐴𝑟𝑔 ( ) = [2𝜋]
𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 2
𝑧 −𝑧
b) Comme 𝐵 𝐴 = 𝑖 alors le triangle ABC est rectangle 1
𝑧𝐶 −𝑧𝐴
isocèle en A.
c) Le centre, le rapport et l’angle de la similitude 2) Signe de 𝑔(𝑥)
𝑆(𝐴) = 𝐴 ⟺ 𝑧𝐴 = 𝑎𝑧𝐴 + 𝑏 ⇒ −1 = −𝑎 + 𝑏 (1) ∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑔(𝑥) > 0
1 1+𝑙𝑛𝑥
𝑆(𝐵) = 𝐶 ⟺ 𝑧𝐶 = 𝑎𝑧𝐵 + 𝑏 ⇒ 𝑖 = 𝑎(−2 + 𝑖) + 𝑏 (2) B- On donne 𝑓(𝑥) = 𝑥 + 1 +
2 𝑥
(1) − (2) ⇒ 𝑎 = −𝑖
1- Calcul des limites
Dans (1) on a : 𝑏 = −1 − 𝑖 lim+ 𝑓(𝑥) = −∞ ; lim 𝑓(𝑥) = +∞
D’où 𝑧 ′ = −𝑖𝑧 − 1 − 𝑖 𝑥→0 𝑥→+∞
- Centre : le point A (D) est asymptote à (C) en +∞ car
- Rapport : 𝑘 = |𝑎| = 1 1 + 𝑙𝑛𝑥
𝜋
lim [𝑓(𝑥) − 𝑦] = lim =0
- Angle : 𝜃 = 𝐴𝑟𝑔(𝑎) = [2𝜋] 𝑥→+∞ 𝑛→∞ 𝑥
2
𝑀𝑓 = (21 2
1) 𝑔(𝑥)
𝑓 ′ (𝑥) =
2 2 2𝑥 2
𝐸1 = {𝑢
⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
engendrée par 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
Direction : 𝐸2 = {𝑢 ⃗⃗𝜖𝐸/𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑜⃗}
1 1
0= 𝑥+ 𝑦
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ { 2 2 ⟺ 𝑥+𝑦 = 0
1 1
0= 𝑥+ 𝑦
2 2
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𝑥 ′ = −2𝑥 − 𝑦
𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢 ⃗⃗′ ⇒ 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦 ′ 𝑗⃗ = 𝑥𝑓(𝑖⃗) + 𝑦𝑓(𝑗⃗) ⇒ { ′
Exercice 4 𝑦 = 2𝑥 + 𝑦
Ω = {2𝑏 , 3𝐵 , 4𝑅}, B : blanche 𝑘𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 / 𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗}
Les boules sont indiscernables au toucher : équiprobabilité −2𝑥 − 𝑦 = 0
𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ { ⟺ 2𝑥 + 𝑦 = 0
Epreuve : tirage simultané de deux boules 2𝑥 + 𝑦 = 0
9!
𝐶𝑎𝑟𝑑Ω = 𝐶92 = = 36 𝑘𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 / 2𝑥 + 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
2! × 7!
1) Calcul de probabilité : engendrée par le vecteur 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ − 2𝑗⃗
a) Deux boules de même couleur 3) Image de f
𝐴 = {2𝑏 , 2𝐵 , 2𝑅} 𝐼𝑚𝑓 = {∀𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸, ∃𝑢 ⃗⃗ ′ ∈ 𝐸/ 𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′}
𝐶𝑎𝑟𝑑A = 𝐶22 + 𝐶32 + 𝐶42 = 10 𝑥 ′ = −2𝑥 − 𝑦
𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′ ⟺ { ′ ⟺ 𝑥 ′ + 𝑦′ = 0
10 5 𝑦 = 2𝑥 + 𝑦
𝑃(𝐴) = = 𝐼𝑚𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ ′ ∈ 𝐸/ 𝑥′ + 𝑦′ = 0} est une droite vectorielle
36 18
b) Deux boules de couleurs différentes engendrée par le vecteur 𝑒⃗2 = 𝑖⃗ − 𝑗⃗
𝐵 = {𝑏𝐵 , 𝑏𝑅 , 𝐵𝑅} 4) Démontrons que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E
𝐶𝑎𝑟𝑑B = 𝐶21 × 𝐶31 + 𝐶21 × 𝐶41 + 𝐶31 × 𝐶41 = 26 2 1
𝑑𝑒𝑡(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) = | | = −2 + 1 = −1 ≠ 0
26 13 −1 −1
𝑃(𝐵) = = Donc (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E
36 18 5) Matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
Ou bien 𝑃(𝐵) = 1 − 𝑃(𝐴) 𝑒⃗1 𝜖𝐾𝑒𝑟𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑜⃗
2) a) Loi de probabilité 𝑒⃗2 𝜖𝐼𝑚𝑓 ⇒ 𝑓 (𝑒⃗2 ) = −𝑒⃗2
𝐶22 1 𝑓(𝑒⃗ ) = 0𝑒⃗1 + 0𝑒⃗2 0 0
𝑃(𝑋 = −1) = =
36 36 On a : { 1 ⇒𝑀=( )
𝑓(𝑒⃗2 ) = 0𝑒⃗1 − 𝑒⃗2 0 −1
𝐶32 3
𝑃(𝑋 = 0) = =
36 36 Exercice 3
𝐶41 6 A- Détermination de la solution particulière
𝑃(𝑋 = 1) = =
36 36 Equation caractéristique : r2+4r+4=0
26 ∆= 0 ⇒ 𝑟 = −2 𝑒𝑡 𝑦 = (𝐴𝑥 + 𝐵)𝑒 −2𝑥
𝑃(𝑋 = 2) = 𝑃(𝐵) =
36 ℎ(0) = 1 ⟺ 𝐵 = 1
𝑋 = 𝑥𝑖 -1 0 1 2 ℎ′ (0) = −1 ⟺ 𝐴 = 1
(𝑃𝑋 = 𝑥𝑖 ) 1/36 3/36 6/36 26/36
D’où ℎ(𝑥) = (𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥
b) Espérance mathématique B- a) Continuité de f en x=0
1 6 52 lim− 𝑓(𝑥) = lim+ 𝑓(𝑥) = 𝑓(0) = 1
𝐸(𝑋) = − + 0 + + = 1,58 𝑥→0 𝑥→0
36 36 36 Donc f est continue en x=0
b) Dérivabilité de f en x=0
Sujet n°2 𝑓(𝑥) − 𝑓(0) 𝑒 −2𝑥 − 1
Exercice 1 lim− = lim− [𝑒 −2𝑥 + ] = −2
𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑥
𝑓(𝑍) = 𝑍 3 + 9𝑖𝑍 2 + 2(6𝑖 − 11)𝑍 − 3(4𝑖 + 12) 𝑓(𝑥)−𝑓(0)
1) Solution réelle et imaginaire lim = lim+(1 + 2𝑙𝑛𝑥) = −∞
𝑥→0+ 𝑥 𝑥→0
𝑍1 = 𝑎 𝜖𝑓(𝑍) ⟺ 𝑓(𝑎) = 0 f n’est pas dérivable
1
⟺ 𝑎′ = −2 𝑒𝑡 𝑎′′ = 2) Variations de f
3
𝑍1 = −2 Ensemble de définition
𝑍2 = 𝑖𝑏 𝜖𝑓(𝑍) ⟺ 𝑓(𝑖𝑏) = 0 𝐸𝑓 = ]−∞ ; +∞[
⟺ 𝑏 = −3𝑖 Limites
𝑍2 = −3𝑖 lim 𝑓(𝑥) = −∞ 𝑒𝑡 lim 𝑓(𝑥) = +∞
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
Dérivée, signe et sens de variation
2) Factorisons f(Z) Pour 𝑥 ≤ 0, 𝑓′𝑥) = (−2𝑥 − 1)𝑒 −2𝑥
1 9i -22+12i -36-12i ∀𝑥 < 0, 𝑒 −2𝑥 > 0, le signe de 𝑓 ′ (𝑥)est celui de − 2𝑥 − 1
-2 -2 4-18i 36+12i 1
∀𝑥𝜖 ]−∞ ; − [ , 𝑓 ′ (𝑥) > 0, 𝑓 est strictement croissante
1 -2+9i -18-6i 0 2
-3i 18+6i 1
∀𝑥𝜖 ]− ; 0[ , 𝑓 ′ (𝑥) < 0, 𝑓 est strictement décroissante
-3i a=1 b=-2+6i 0 2
𝑓(𝑍) = (𝑍 − 𝑍1 )(𝑍 − 𝑍2 )(𝑎𝑍 + 𝑏) Pour 𝑥 > 0, 𝑓′𝑥) = 3 + 2𝑙𝑛𝑥
𝑓(𝑍) = (𝑍 + 2)(𝑍 + 3𝑖)(𝑍 − 2 + 6𝑖) ∀𝑥𝜖]0 ; 𝑒 −3/2 [, 𝑓 ′ (𝑥) < 0, 𝑓 est strictement décroissante
∀𝑥𝜖]𝑒 −3/2 ; +∞[, 𝑓 ′ (𝑥) < 0, 𝑓 est strictement croissante
Résolution dans C
Tableau de variation
𝑆 = {−2 ; −3𝑖 ; 2 − 6𝑖} 1
𝑥 −∞ − 0 𝑒 −3/2
3) Montrons que les points sont alignés 2
𝑍𝐴 − 𝑍𝐵 −2 + 3𝑖 1 +∞
= = 𝜖ℝ∗ 𝑓 ′ (𝑥) + − − +
𝑍𝐴 − 𝑍𝑐 −2 − 2 + 6𝑖 2
𝑓(𝑥) 1
Donc les points A, B et C sont alignés. 𝑒
2
+∞
Exercice 2
1) Matrice 1
−2 −1 −∞ 1 − 2𝑒 −3/2
𝑀=( )
2 1 3) Montrons que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution
2) Noyaux de f
unique
Expression analytique
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3 1 3 1 𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) 1 3
𝑓 (− ) = − 𝑒 3 < 0 𝑒𝑡 𝑓 (− ) = 𝑒 4 > 0 𝑎= =− 𝑒𝑡 𝑏 = 𝑦̅ − 𝑎𝑥̅ =
2 2 4 4 𝑉(𝑋) 14 14
3 3
f étant continue et strictement croissante sur ]− ; − [, Ainsi ∆𝑌/𝑋 : 𝑦 = −
1
𝑥+
3
2 4
3 3 14 14
de plus 𝑓 (− ) × 𝑓 (− ) < 0alors l’équation 𝑓(𝑥) = 0 𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) 1 1
2 4
3 3 𝑎′ = =− 𝑒𝑡 𝑏′ = 𝑥̅ − 𝑎′𝑦̅ =
admet une solution unique 𝛼 ∈ ]− ; − [ / 𝑓(𝛼) = 0 𝑉(𝑌) 4 4
2 4
4) Etudes des Branches infinies 1 1
∆𝑋/𝑌 : 𝑥 = − 𝑦 +
𝑓(𝑥) 4 4
lim 𝑓(𝑥) = −∞ 𝑒𝑡 lim = +∞ 2) Coefficient de corrélation linéaire
𝑥→−∞ 𝑥→−∞ 𝑥
La courbe admet une branche parabolique de direction (oy) 𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌)
𝜌(𝑋, 𝑌) = = −013
au voisinage de −∞ √𝑉(𝑋) ∙ 𝑉(𝑌)
𝑓(𝑥)
lim 𝑓(𝑥) = −∞ 𝑒𝑡 lim = +∞
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥
Sujet n°3
La courbe admet une branche parabolique de direction (oy) Exercice 1
au voisinage de +∞ a) Résolution de l’équation
5) Construction ∆= 3𝑖 2 𝑐𝑎𝑟 𝑖 2 = −1
−1 + 𝑖√3 −1 − 𝑖√3
𝑜𝑛 𝑎 𝑧1 = = 𝑗 ; 𝑍2 = = 𝑗̅
2 2
𝑆 = {𝑗 , 𝑗}
Il est claire que 𝑗 2 + 𝑗 + 1 = 0
b) 1) Forme algébrique de Z
𝑍1 1 + 𝑖√3 (1 + 𝑖√3)(1 + 𝑖)
𝑍= = =
𝑍2 1−𝑖 2
1−√3 1+√3
𝑍= +𝑖
2 2
2) Module et un argument
|𝑍1 | = √1 + 3 = 2 ; |𝑍2 | = √1 + 1 = √2
|𝑍1 | 2
6) Calcul d’aire |𝑍| = = = √2
0 0 |𝑍2 | √2
𝐴 = ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 × 16𝑐𝑚2 = 16 ∫ (𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥 𝑑𝑥 𝜋 𝜋
1 1 𝐴𝑟𝑔(𝑍1 ) = [2𝜋] ; 𝐴𝑟𝑔(𝑍2 ) = − [2𝜋]
2 2 3 4
On pose : 𝑢 = 𝑥 + 1 ⇒ 𝑢′ = 1 𝜋 𝜋 7𝜋
1 )
𝐴𝑟𝑔(𝑍) = 𝐴𝑟𝑔(𝑍1 − 𝐴𝑟𝑔(𝑍2 = + =) [2𝜋]
𝑣 ′ = 𝑒 −2𝑥 ⇒ 𝑣 = − 𝑒 −2𝑥 3 4 12
2 3) Valeurs exactes
0 0
1 1 − √3 1 + √3
𝐴 = 16 ([− (𝑥 + 1)𝑒 −2𝑥 ] 1 − ∫ 𝑒 −2𝑥 𝑑𝑥 ) 𝑍= +𝑖
2 − 1
2 2
2 2
3 7𝜋 7𝜋 1 − √3 1 + √3
𝐴 = 4(𝑒 − )𝑐𝑚2 √2 (cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 )= +𝑖
2
12 12 2 2
7𝜋 1−√3 7𝜋 1+√3
Exercice 4 D’où cos = ; sin =
12 2 12 2
1) Droites de régression
- Série marginale de x et de y Exercice 2
𝑥𝑖 -1 0 1 1) Détermination de a et b
𝑛𝑖 4 4 2 𝑥 ′ = 2𝑥 + 𝑎𝑦
f est un projecteur ⟺ 𝑓 𝑜𝑓 = 𝑓 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑓: { ′
𝑦 = 𝑥 + 𝑏𝑦
𝑦𝑗 0 1 𝑥 ′′ = 2𝑥 ′ + 𝑎𝑦 ′ = 2(2𝑥 + 𝑎𝑦) + 𝑎(𝑥 + 𝑏𝑦)
on a : 𝑓𝑜𝑓: { ′′
𝑛𝑗 8 2 𝑦 = 𝑥 ′ + 𝑏𝑦 ′ = (2𝑥 + 𝑎𝑦) + 𝑏(𝑥 + 𝑏𝑦)
- Moyenne de x et de y 𝑥 ′′ = (4 + 𝑎)𝑥 + (2𝑎 + 𝑎𝑏)𝑦
𝑓𝑜𝑓: { ′′
3 𝑦 = (2 + 𝑏)𝑥 + (𝑎 + 𝑏 2 )𝑦
1 1 1
𝑥̅ = ∑ 𝑥𝑖 ∙ 𝑛𝑖 = (−4 + 2) = Par identification : 4 + 𝑎 = 2 et 2 + 𝑏 = 1
𝑁 10 5 D’où 𝑎 = −2 𝑒𝑡 𝑏 = −1
𝑖=1
2
1 1 1 2) a) Noyau de f
𝑦̅ = ∑ 𝑦𝑗 ∙ 𝑛𝑗 = (0 + 2) = Application analytique
𝑁 10 5
𝑗=1 𝑥 ′ = 2𝑥 − 2𝑦
- Variance de x et de y 𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢⃗⃗ ′ ⇒ 𝑓: { ′
𝑦 = 𝑥−𝑦
3
1 1 1 14 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑜⃗}
𝑉(𝑋) = ∑ 𝑛𝑖 ∙ 𝑥𝑖2 − 𝑥̅ 2 = (4 + 2) − = 2𝑥 − 2𝑦 = 0
𝑁 10 25 25 𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ { ⟺ 𝑥−𝑦 = 0
𝑖=1 𝑥−𝑦 = 0
2
1 1 1 4 Donc 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 / 𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
𝑉(𝑌) = ∑ 𝑛𝑗 ∙ 𝑦𝑖2 − 𝑦̅ 2 = (0 + 2) − =
𝑁 10 25 25 engendrée par le vecteur 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
𝑗=1
b) Image de f
- Covariance
3 2 𝐼𝑚𝑓 = {∀𝑢 ⃗⃗ 𝜖𝐸, ∃𝑢 ⃗⃗′ ∈ 𝐸 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′}
1 1 1 1 2𝑥 − 2𝑦 = 𝑥 ′
𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) = ∑ ∑ 𝑛𝑖𝑗 ∙ 𝑥𝑖 ∙ 𝑦𝑗 − 𝑥̅ ∙ 𝑦̅ = (0) − =− 𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢⃗⃗′ ⟺ { ⟺ 𝑥′ − 2𝑦′ = 0
𝑁 10 25 25 𝑥 − 𝑦 = 𝑦′
𝑖=1 𝑗=1
Donc 𝐼𝑚𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 / 𝑥 − 2𝑦 = 0} est une droite vectorielle
engendrée par le vecteur 𝑒⃗2 = 2𝑖⃗ + 𝑗⃗
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𝑒 𝑒
c) montrons que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base
1 2 𝐴 = ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫ [𝑙𝑛𝑥(1 − 𝑙𝑛𝑥)]𝑑𝑥
𝑑𝑒𝑡(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) = | | = 1 − 2 = −1 ≠ 0 √𝑒 √𝑒
1 1 1
Donc (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E On pose : 𝑢 = 1 − 𝑙𝑛𝑥 ⇒ 𝑢′ = −
𝑥
6) Matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) 𝑣 = 𝑙𝑛𝑥 ⇒ 𝑣 = 𝑥𝑙𝑛𝑥 − 𝑥
𝑒
𝑒⃗1 𝜖𝐾𝑒𝑟𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑜⃗ 1
𝑒⃗2 𝜖𝐼𝑚𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗2 ) = 𝑒⃗2 𝐴 = [(1 − 𝑙𝑛𝑥)(𝑥𝑙𝑛𝑥 − 𝑥)]𝑒√𝑒 + ∫ (𝑥𝑙𝑛𝑥 − 𝑥)𝑑𝑥
√𝑒 𝑥
𝑓(𝑒⃗ ) = 0𝑒⃗1 + 0𝑒⃗2 0 0
On a : { 1 ⇒𝑀=( ) √𝑒 7√𝑒
𝑓(𝑒⃗2 ) = 0𝑒⃗1 + 𝑒⃗2 0 1 𝐴= + [𝑥𝑙𝑛𝑥 − 2𝑥]𝑒√𝑒 ⇒ 𝐴 = ( − 𝑒) 𝑈. 𝑎
4 4
Exercice 3
1) Variation de 𝑓𝑚 c) construction
Ensemble de définition
𝐸𝑓𝑚 = ]0 ; +∞[
Limites aux bornes de 𝐸𝑓𝑚
+∞ 𝑠𝑖 𝑚 < 0
lim 𝑓𝑚 (𝑥) = lim+ 𝑙𝑛𝑥(1 − 𝑚𝑙𝑛𝑥) = {
𝑥→0+ 𝑥→0 −∞ 𝑠𝑖 𝑚 > 0
+∞ 𝑠𝑖 𝑚 < 0
lim 𝑓𝑚 (𝑥) = lim 𝑙𝑛𝑥(1 − 𝑚𝑙𝑛𝑥) = {
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ −∞ 𝑠𝑖 𝑚 > 0
Dérivée, signe, sens de variation et tableau de variation
1
𝑓𝑚′ (𝑥) = (1 − 2𝑚𝑙𝑛𝑥)
𝑥
1
∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, > 0, le signe dépend de 1 − 2𝑚𝑙𝑛𝑥
𝑥 Exercice 4
On pose 1 − 2𝑚𝑙𝑛𝑥 = 0 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑥 = 𝑒1/2𝑚 1) Nuage des points
1er cas : pour 𝑚 < 0
∀𝑥𝜖]0 ; 𝑒1/2𝑚 [, 𝑓𝑚 ′ (𝑥) < 0, 𝑓𝑚 est strictement décroissante
∀𝑥𝜖]𝑒1/2𝑚 ; +∞[, 𝑓𝑚 ′ (𝑥) > 0, 𝑓𝑚 est strictement croissante
Tableau de variation
𝑥 0 𝑒1/2𝑚 +∞
′
𝑓𝑚 (𝑥) − +
𝑓𝑚 (𝑥) +∞ +∞
1
4𝑚 2) Moyennes et variances des séries statistiques
2e cas : pour 𝑚 > 0 6
1 1
∀𝑥𝜖]0 ; 𝑒1/2𝑚 [, 𝑓𝑚 ′ (𝑥) > 0, 𝑓𝑚 est strictement croissante 𝑥̅ = ∑ 𝑥𝑖 = (309) = 51,5
𝑁 6
∀𝑥𝜖]𝑒1/2𝑚 ; +∞[, 𝑓𝑚 ′ (𝑥) < 0, 𝑓𝑚 est strictement décroissante 𝑖=1
6
Tableau de variation 1 1
𝑦̅ = ∑ 𝑦𝑗 = (84) = 51,5
𝑥 0 𝑒1/2𝑚 +∞ 𝑁 6
𝑗=1
𝑓𝑚 ′ (𝑥) + − 6
𝑓𝑚 (𝑥) 1 2 1
1 𝑉(𝑋) = ∑ 𝑥𝑖2 − 𝑥 = (16641) − 2652,25 = 121,25
4𝑚 𝑁 6
𝑖=1
6
1 2 1
𝑉(𝑌) = ∑ 𝑦𝑗2 − 𝑦 = (1187,26) − 2652,25 = 121,25
−∞ −∞ 𝑁 6
𝑗=1
2) Le point fixe 3) a) Equation de la droite de régression de Y en x
On pose 𝑓𝑚 (𝑥) = 𝑓𝑚+1 (𝑥) 6 6
1 1
On a : 𝑙𝑛𝑥 − 𝑚(𝑙𝑛𝑥)2 = 𝑙𝑛𝑥 − (𝑚 + 1)(𝑙𝑛𝑥)2 𝐶𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) = ∑ ∑ 𝑥𝑖 ∙ 𝑦𝑗 − 𝑥 ∙ 𝑦 = (4399,5) − 721 = 12,25
Soit 𝑥 = 1 ; 𝑦 = 𝑓𝑚 (1) = 0 𝑁 6
𝑖=1 𝑗=1
Donc le point 𝐴(1 ; 0) est un point fixe à la courbe. 𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌)
3) a) Tableau de variation de 𝑓1 𝑎= = 0,1 𝑒𝑡 𝑏 = 𝑦̅ − 𝑎𝑥̅ = 8,85
𝑉(𝑋)
𝑥 0 𝑒1/2 +∞ Ainsi ∆𝑌/𝑋 : 𝑦 = 0,1𝑥 + 8,85
′
𝑓1 (𝑥) + −
b) Equation de la droite de régression de x en y
𝑓1 (𝑥) 1 𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌)
4 𝑎= = 0,07 𝑒𝑡 𝑏 = 𝑦̅ − 𝑎𝑥̅ = 50,52
𝑉(𝑌)
Ainsi ∆𝑌/𝑋 : 𝑦 = 0,07𝑥 + 50,52
−∞ −∞ 4) Coefficient de corrélation
𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌)
𝜌(𝑋, 𝑌) = = 0,08
b) Branches infinies √𝑉(𝑋) ∙ 𝑉(𝑌)
lim+ 𝑓1 (𝑥) = −∞, (C) admet une asymptote verticale 5) Cela parait normal car pour ∆𝑌/𝑋 : 𝑦 = 0,1𝑥 + 8,85 ,
𝑥→0
d’équation x=0 au voisinage de −∞ 16,2 ≈ 0,1(70) + 8,85 = 15,85
lim 𝑓1 (𝑥) = −∞
𝑥→+∞
𝑓1 (𝑥) 𝑙𝑛𝑥 (𝑙𝑛𝑥)2
lim = lim − = 0, (C) admet une branche
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥 𝑥 Sujet n°4
parabolique de direction (ox) au voisinage de +∞ Exercice 1
d) Calcul d’aire 1) Racine réelle
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On pose 𝑍0 = 𝑎 Exercice 3
𝑍0 𝜖(𝐸) ⟺ 𝑎3 + (2 + 2𝑖)𝑎2 + (2 + 8𝑖)𝑎 + 4 + 8𝑖 = 0 1) Résolution de (E)
⟺ 𝑎3 + 2𝑎2 + 2𝑎 + 4 + 𝑖(2𝑎2 + 8𝑎 + 8) = 0 Equation caractéristique : r2+2r+2=0
⟺ 𝑎2 + 4𝑎 + 4 = 0 ∆= −1 ⇒ 𝑟1 = −1 − 𝑖 et 𝑟2 = −1 + 𝑖
⟺ 𝑎 = −2 𝑑′ 𝑜ù 𝑍0 = −2 soit 𝛼 = −1 et 𝛽 = 1
𝑦 = 𝑒 −𝑥 (𝐴𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝐵𝑠𝑖𝑛𝑥)
2) Solution générale
2) Résolution dans C 𝜋 𝜋
𝑓 ( ) = 𝑒−2 ⟺ 𝐵 = 1
1 2+2i 2+8i 4+8i 2
-2 -2 -4i -4-8i 5𝜋
𝑓′ ( ) = 0 ⟺ 𝐴 = 0
1 2i 2+4i 0 4
On a : (𝑍 + 2)(𝑍 2 + 2𝑖𝑍 + 2 + 4𝑖) = 0 D’où 𝑓(𝑥) = 𝑒 −𝑥 𝑠𝑖𝑛𝑥
𝑍0 = −2 3) a) Etude des variations de g sur [0 ; 𝜋]
{ 2 𝑔(0) = 0 𝑒𝑡 𝑔(𝜋) = 0
𝑍 + 2𝑖𝑍 + 2 + 4𝑖 = 0 (1)
Pour (1) : ∆′ = 𝑖 2 − (2 + 4𝑖) = −3 − 4𝑖 Dérivée et signe
𝜋
Recherche des racines carrées 𝑔′ (𝑥) = √2𝑒 −𝑥 cos(𝑥 + )
𝑥 2 + 𝑦 2 = 5 (1) 4
𝜋
On a :{ 𝑥 2 − 𝑦 2 = −3 (2) ∀𝑥 ∈ [0 ; 𝜋], √2𝑒 −𝑥 > 0, le signe est dépend de cos(𝑥 + )
4
𝜋 𝜋 𝜋
2𝑥𝑦 = −4 (3) On pose cos (𝑥 + ) = 0 ⟺ 𝑥 + = + 𝑘. 𝜋 ; 𝑘𝜖ℤ
4 4 2
(1) + (2): 𝑥 = ∓1 ⟺𝑥=
𝜋
+ 𝑘. 𝜋 𝑠𝑜𝑖𝑡 𝑥 =
𝜋
𝑝𝑜𝑢𝑟 𝑘 = 0
pour 𝑥 = 1 ⇒ 𝑦 = −2 et pour 𝑥 = −1 ⇒ 𝑦 = 2 4 4
𝜋
Soit: 𝛿 = 1 − 2𝑖 𝑥 0 𝜋
4
−𝑏′ −𝛿 −𝑏′ +𝛿 𝑔′ (𝑥) + −
𝑍1 = = 1 − 𝑖 𝑒𝑡 𝑍2 = = −1 + 3𝑖
𝑎 𝑎
𝑔(𝑥) 𝜋
D’où 𝑆 = {1 − 𝑖 ; −1 + 3𝑖} 𝑔( )
4
3) Montrons que le triangle ABC est isocèle en A
𝑍𝐶 − 𝑍𝐴 −1 + 3𝑖 + 2 1 + 3𝑖
= = =𝑖
𝑍𝐵 − 𝑍𝐴 1−𝑖+2 3−𝑖 0 0
ABC est un triangle rectangle isocèle en A. 𝜋 √2 −𝜋
𝑔( ) = 𝑒 4
Exercice 2 4 2
1) Matrice Construction
1 √3
𝑀= 2 2
√3 1
−
(2 2)
2) Montrons que f est un endomorphisme bijectif.
Par hypothèse, f est une application linéaire de (P) dans (P) b) Résolution de l’équation
donc un endomorphisme. 𝜋 𝜋
𝑔′ (𝑥) = 0 ⇒ cos (𝑥 + ) = 0 ⇒ 𝑥 = + 𝑘. 𝜋
1 √3 4 4
𝜋
De plus 𝑑𝑒𝑡𝑀 = | 2 2
|
= −1 ≠ 0, f est bijective. 𝑆 = { + 𝑘. 𝜋 ; 𝑘𝜖ℤ}
√3
−
1 4
2 2 𝜋
Par conséquent f est un endomorphisme bijectif Soit 𝑈𝑘 = + 𝑘. 𝜋
4
3) Détermination de F c) Montrons que (𝑈𝑘 ) est arithmétique
𝜋 𝜋
𝐹 = {𝑢⃗⃗𝜖(𝑃); 𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗} 𝑈𝑘+1 = + 𝑘. 𝜋 + 𝜋 ⇒ 𝑈𝑘+1 = 𝑈𝑘 + 𝜋 soit 𝑟 = 𝜋 et 𝑈0 =
4 4
1 √3 (𝑈𝑘 ) est une suite arithmétique.
𝑥= 𝑥+ 𝑦
𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢⃗⃗ ⟺ 2 2 ⟺ 𝑥 − √3𝑦 = 0 d) Calculons 𝑆𝑘
√3 1 𝑘
𝑦= 𝑥− 𝑦 𝑆𝑘 = (𝑈0 + 𝑈𝑘−1 )
{ 2 2 2
𝑘 𝜋
𝐹 = {𝑢 ⃗⃗𝜖(𝑃)/ 𝑥 − √3𝑦 = 0} est une droite vectorielle Soit 𝑆𝑘 = (− + 𝑘. 𝜋)
2 2
engendrée par le vecteur 𝑒⃗1 = √3𝑖⃗ + 𝑗⃗
4) Nature Exercice 4
1 √3 Ω = {1, 2, 3, 4, 5, 6}
𝑥′ = 𝑥 + 𝑦 4
𝑓: 2 2 𝑃1 𝜖 {−2, −1, 0, , 2, 3, 4}
√3 1 2
𝑦′ = 𝑥− 𝑦 1) Démontrons que 𝑃1 = 0, puis déterminons la raison.
{ 2 2 Par définition 0 ≤ 𝑃1 ≤ 1 donc 𝑃1 = 0
Les 𝑃𝑖 sont en progression arithmétique, on a :
1 √3 ′ 1 1 √3 √3 √3 1 𝑃2 − 𝑃1 = 𝑟 ⇒ 𝑃2 = 𝑃1 + 𝑟
𝑥 ′′ = 𝑥 ′ + 𝑦 = ( 𝑥+ 𝑦) + ( 𝑥 − 𝑦)
2 2 2 2 2 2 2 2 𝑃3 − 𝑃2 = 𝑟 ⇒ 𝑃3 = 𝑃1 + 2𝑟
𝑓𝑜𝑓 = 𝑃4 − 𝑃3 = 𝑟 ⇒ 𝑃4 = 𝑃1 + 3𝑟
√3 ′ 1 ′ √3 1 √3 1 √3 1
𝑦 ′′ = 𝑥 − 𝑦 = ( 𝑥+ 𝑦) − ( 𝑥 − 𝑦) 𝑃5 − 𝑃4 = 𝑟 ⇒ 𝑃5 = 𝑃1 + 4𝑟
{ 2 2 2 2 2 2 2 2
𝑃6 − 𝑃5 = 𝑟 ⇒ 𝑃6 = 𝑃1 + 5𝑟
𝑥 ′′ = 𝑥 Or 𝑃1 + 𝑃2 + 𝑃3 + 𝑃4 + 𝑃5 + 𝑃6 = 1
𝑓𝑜𝑓 = { ′′ ⇒ 𝑓𝑜𝑓 = 𝑖𝑑(𝑃) ; f est une symétrie vectorielle
𝑦 =𝑦 On a : 6𝑃1 + 15𝑟 = 1
5) Détermination de Kerf et Imf
f étant un endomorphisme bijectif, 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑜⃗} et 𝐼𝑚𝑓 = (𝑃)
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𝑖𝜋
1 𝑧1 = −𝑠𝑖𝑛𝜃 − 𝑖𝑐𝑜𝑠𝜃 = −𝑖(𝑐𝑜𝑠𝜃 − 𝑖𝑠𝑖𝑛𝜃) = 𝑒 − 2 . 𝑒 −𝑖𝜃
donc 𝑟 = 𝜋
15
𝑍1 = 𝑒 𝑖(− 2 −𝜃)
2) Détermination des 𝑃𝑖
1 𝜋
𝑃2 = 𝑃1 + 𝑟 = ⟹ |𝑍1 | = 1 𝑒𝑡 𝐴𝑟𝑔(𝑍1 ) = − − 𝜃[2𝜋]
15 2
𝑖𝜋
2 𝑧2 = −𝑠𝑖𝑛𝜃 + 𝑖𝑐𝑜𝑠𝜃 = 𝑖(𝑐𝑜𝑠𝜃 + 𝑖𝑠𝑖𝑛𝜃) = 𝑒 2 . 𝑒 𝑖𝜃
𝑃3 = 𝑃1 + 2𝑟 = 𝜋
15
3 𝑍2 = 𝑒 𝑖( 2 +𝜃)
𝑃4 = 𝑃1 + 3𝑟 = 𝜋
15 ⟹ |𝑍2 | = 1 𝑒𝑡 𝐴𝑟𝑔(𝑍2 ) = + 𝜃[2𝜋]
4 2
𝑃5 = 𝑃1 + 4𝑟 =
15 Exercice 2
5 1) Matrice
𝑃6 = 𝑃1 + 5𝑟 = 2
15
3) a) Loi de probabilité 𝑀=( 2 5)
−5 𝛼
𝑋 = 𝑥𝑖 1 2 3 4 5 6
(𝑃𝑋 = 𝑥𝑖 ) 0 1/15 2/15 3/15 4/15 5/15 2) Composantes
b) Espérance mathématique et variance 2
𝑥 ′ = 2𝑥 + 𝑦
6 𝑓(𝑢 ⃗⃗′ ⇒ 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦 ′ 𝑗⃗ = 𝑥𝑓(𝑖⃗) + 𝑦𝑓(𝑗⃗) ⇒ {
⃗⃗) = 𝑢 5
70
𝐸(𝑋) = ∑ 𝑥𝑖 . 𝑃𝑖 = = 4,67 𝑦 ′ = −5𝑥 + 𝛼𝑦
15 3) Valeur de 𝛼
𝑖=1
6 f est une projection vectorielle ⟺ 𝑓 𝑜𝑓 = 𝑓
𝑉(𝑋) = ∑ 𝑥𝑖2 . 𝑃𝑖 − [𝐸(𝑋)]2 = 0,2 2 2
𝑥 ′′ = 2𝑥 ′ + 𝑦 ′ = 2 (2𝑥 + 𝑦) + (−5𝑥 + 𝛼𝑦)
2
5 5 5
𝑖=1 on a : 𝑓𝑜𝑓: { 2
c) Fonction de répartition 𝑦 ′′ = −5𝑥 ′ + 𝛼𝑦 ′ = −5 (2𝑥 + 𝑦) + 𝛼(−5𝑥 + 𝛼𝑦)
5
𝐹: ℝ ⟶ [0 ; 1] 4 2𝛼
𝑥 ′′ = 2𝑥 + ( + ) 𝑦
𝑥 ⟶ 𝐹(𝑥) = 𝑃(𝑋 < 𝑥𝑖 ) 𝑓𝑜𝑓: { 5 5
Pour 1 < 𝑥 ⇒ 𝐹(𝑥) = 0 𝑦 ′′ = (−10 − 5𝛼)𝑥 + (−2 + 𝛼 2 )𝑦
Pour 1 ≤ 𝑥 < 2 ⟹ 𝐹(𝑥) = 0 Par identification : −10 − 5𝛼 = −5 ⇒ 𝛼 = −1
1
Pour 2 ≤ 𝑥 < 3 ⟹ 𝐹(𝑥) = 4) 𝛼 = −1
15
3 a) Le noyau de f
Pour 3 ≤ 𝑥 < 4 ⟹ 𝐹(𝑥) = 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝑉 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑜⃗}
15
6
Pour 4 ≤ 𝑥 < 5 ⟹ 𝐹(𝑥) = 2
15 2𝑥 + 𝑦 = 0
10 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ { 5 ⟺ 5𝑥 + 𝑦 = 0
Pour 5 ≤ 𝑥 < 6 ⟹ 𝐹(𝑥) =
15 −5𝑥 − 𝑦 = 0
Pour 𝑥 > 6 ⟹ 𝐹(𝑥) = 1
Donc 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝑉 /5𝑥 + 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
Construction
engendrée par le vecteur 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ − 5𝑗⃗
b) Image de f
𝐼𝑚𝑓 = {∀𝑢 ⃗⃗ 𝜖𝑉, ∃𝑢 ⃗⃗′ ∈ 𝑉 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′}
′
2
𝑥 = 2𝑥 + 𝑦
𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢⃗⃗′ ⟺ { 5 ⟺ 5𝑥′ + 2𝑦′ = 0
𝑦 ′ = −5𝑥 − 𝑦
Donc 𝐼𝑚𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝑉 / 5𝑥′ + 2𝑦′ = 0} est une droite
vectorielle engendrée par le vecteur 𝑒⃗2 = 2𝑖⃗ − 5𝑗⃗
d) montrons que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base
1 2
𝑑𝑒𝑡(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) = | | = −5 + 10 = 5 ≠ 0
−5 −5
Donc (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de V
7) Matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
Sujet n°5
𝑒⃗1 𝜖𝐾𝑒𝑟𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑜⃗
Exercice 1
𝑒⃗2 𝜖𝐼𝑚𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗2 ) = 𝑒⃗2
a) Calcul de P(1)
𝑓(𝑒⃗ ) = 0𝑒⃗1 + 0𝑒⃗2 0 0
𝑃(1) = 1 − 1 + 2𝑠𝑖𝑛𝜃 + 1 − 2𝑠𝑖𝑛𝜃 − 1 On a : { 1 ⇒𝑀=( )
𝑓(𝑒⃗2 ) = 0𝑒⃗1 + 𝑒⃗2 0 1
⇒ 𝑃(1) = 0
Détermination de a, b et c
Exercice 3
1 −1 + 2𝑠𝑖𝑛𝜃 1 − 2𝑠𝑖𝑛𝜃 -1
1) Démonstration
1 1 2𝑠𝑖𝑛𝜃 1 1 1 1 2𝑥
1 2𝑠𝑖𝑛𝜃 1 0 𝑔(𝑥) = 𝑥 + √𝑥 2 + 1 ⟹ 𝑔′ (𝑥) = +
3 3 3 2 × 3√𝑥 2 + 1
1 𝑥
Donc 𝑎 = 1, 𝑏 = 2𝑠𝑖𝑛𝜃 et 𝑐 = 1 D’où ∀ 𝑥𝜖ℝ, 𝑔′ (𝑥) = + 2 3 3√𝑥 +1
b) Résolution 2-a) Variation de g’
𝑃(𝑧) = (𝑧 − 1)(𝑧 2 + 2𝑧𝑠𝑖𝑛𝜃 + 1) 𝐸𝑔′ = ]−∞ ; +∞[
𝑧=1 Limites aux bornes
𝑃(𝑧) = 0 ⟺ { 2
𝑧 + 2𝑧𝑠𝑖𝑛𝜃 + 1 = 0 2
∆′ = 𝑠𝑖𝑛2 𝜃 − 1 = 𝑖 2 𝑐𝑜𝑠 2 𝜃 lim 𝑔′ (𝑥) = 0 𝑒𝑡 lim 𝑔′(𝑥) =
𝑧1 = −𝑠𝑖𝑛𝜃 − 𝑖𝑐𝑜𝑠𝜃
𝑥→−∞ 𝑥→+∞ 3
Dérivée et signe
𝑧2 = −𝑠𝑖𝑛𝜃 + 𝑖𝑐𝑜𝑠𝜃 2𝑥
√𝑥 2 +1−𝑥.
𝑆 = {−𝑠𝑖𝑛𝜃 − 𝑖𝑐𝑜𝑠𝜃 ; −𝑠𝑖𝑛𝜃 + 𝑖𝑐𝑜𝑠𝜃} ′′ (𝑥) 1 2√𝑥2 +1 1 1
𝑔 = ( ) ⟹ 𝑔′′ (𝑥) = ((𝑥 2 )
3 𝑥 2 +1 3 +1)2
c) Module et un argument
Proposé par Monsieur Phinehas KELA, professeur certifié des Lycées. Contact : [email protected]
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∀𝑥𝜖ℝ, 𝑔′′ (𝑥) > 0 donc g’ est strictement croissante Pour n=1, |𝑈2 −
√3
| ≤ |𝑈1 −
2 √3
|
Tableau de variation de g’ 3 3 3
𝑥 −∞ +∞ . . .
. . .
𝑔′′ (𝑥) +
2 . . .
𝑔′(𝑥) √3 2 √3
3 Pour n-1, |𝑈𝑛 − | ≤ |𝑈𝑛−1 − |
3 3 3
En multipliant membre à membre, on a :
√3 2 𝑛 √3
0 |𝑈𝑛 −
| ≤ ( ) |𝑈0 − |
3 3 3
√3 2 𝑛 2 √3 √3
2 |𝑈𝑛 − | ≤ ( ) | + − |
b) D’après le tableau de variation, ∀ 𝑥𝜖ℝ, 0 ≤ 𝑔′ (𝑥) ≤ . 3 3 3 3 3
3 2 𝑛+1
√3
3) Tableau de variation de g D’où ∀ 𝑛𝜖𝐼𝑁, |𝑈𝑛 − | ≤ ( )
3 3
𝐸𝑔 = ]−∞ ; +∞[ 2 2 𝑛
lim 𝑔(𝑥) = 0 𝑒𝑡 lim 𝑔(𝑥) = +∞ d) comme 𝜖]−1 ; 1[ ⟹ lim ( )
3 𝑛→+∞ 3
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
′ √3 √3
∀𝑥𝜖ℝ, 𝑔 (𝑥) > 0, donc g est strictement croissante ainsi lim |𝑈𝑛 − | ≤ 0 ⇒ lim 𝑈𝑛 − =0
𝑛→+∞ 3 𝑛→+∞ 3
√3
𝑥 −∞ +∞ d’où lim 𝑈𝑛 =
𝑛→+∞ 3
𝑔′ (𝑥) +
𝑔(𝑥) +∞ Exercice 4
1) Nuage des points
0
4-a) Branches infinies de la courbe
lim 𝑔(𝑥) = 0 ⇒ 𝑦 = 0 est une asymptote e horizontale à
𝑥→−∞
la courbe au voisinage de −∞
lim 𝑔(𝑥) = +∞
𝑥→+∞
1 1
𝑔(𝑥) 𝑥 + √𝑥 2 + 1 2
lim = lim 3 3 = =𝑎
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥 3
1 1 2
𝑏 = lim [𝑔(𝑥) − 𝑎𝑥] = lim [ 𝑥 + √𝑥 2 + 1 − 𝑥]
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 3 3 3 2) Séries marginales
2
𝑏 = lim − 𝑥 = −∞ 𝑥𝑖 -1 2 3 0
𝑥→+∞ 3
La courbe admet une direction asymptotique d’équation 𝑦 = 𝑛𝑖 10 8 2 10
2
𝑥 au voisinage de +∞ 𝑦𝑗 -1 0 1 3
3
b) Construction 𝑛𝑗 7 13 5 5
3) Point moyen
4
1 1 2
𝑥̅ = ∑ 𝑥𝑖 ∙ 𝑛𝑖 = (−10 + 16 + 6) =
𝑁 30 5
𝑖=1
4
1 1 13
𝑦̅ = ∑ 𝑦𝑗 ∙ 𝑛𝑗 = (−7 + 5 + 15) =
𝑁 30 30
𝑗=1
2 13
𝐺( ; )
5 30
4) Les variances
5-a) Démonstration 4
1 1 1 1
𝑔(𝑥) = 𝑥 ⟺ 𝑥 + √𝑥 2 + 1 = 𝑥 𝑉(𝑋) = ∑ 𝑛𝑖 ∙ 𝑥𝑖2 − 𝑥̅ 2 = (10 + 32 + 18) − 0,16
3 3 𝑁 30
𝑖=1
1 2
⟺ √𝑥 2 + 1 = 𝑥 𝑉(𝑋) = 1,84
3 3
4
⟺ 3𝑥 2 = 1 1 1
√3 𝑉(𝑌) = ∑ 𝑛𝑗 ∙ 𝑦𝑖2 − 𝑦̅ 2 = (7 + 5 + 45) − 0,18
⟺ 𝑥 = 𝜖]0 ; +∞[ 𝑁 30
3 𝑗=1
b) Démonstration en utilisant le TAF
𝑉(𝑌) = 1,84
d’après le TAF sur l’intervalle [𝑥0 ; 𝑢𝑛 ] on a :
g est continue sur [𝑥0 ; 𝑢𝑛 ], dérivable sur ]𝑥0 ; 𝑢𝑛 [ alors il 5) Covariance
4 4
𝑔(𝑢𝑛)−𝑔(𝑥0 ) 1 1
existe un nombre réel 𝑐𝜖]𝑥0 ; 𝑢𝑛 [ / 𝑔′(𝑐) = 𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) = ∑ ∑ 𝑛𝑖𝑗 ∙ 𝑥𝑖 ∙ 𝑦𝑗 − 𝑥̅ ∙ 𝑦̅ = (3) − 0,172
𝑢𝑛−𝑥0 𝑁 30
𝑔(𝑢𝑛 )−𝑔(𝑥0 ) 2 2 𝑖=1 𝑗=1
on a : | |= |𝑔′ ′
(𝑐)| ≤ car 0 ≤ 𝑔 (𝑥) ≤
𝑢𝑛 −𝑥0 3 3 𝐶𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) = −0,07
2
|𝑔(𝑢𝑛 ) − 𝑔(𝑥0 )| ≤ |𝑢𝑛 − 𝑥0 | 6) Les droites de régression
3
√3 √3 2 - De y en x
D’où ∀ 𝑛𝜖𝐼𝑁, |𝑈𝑛+1 − | ≤ |𝑈𝑛 −
|
3 3 3 𝐶𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) 0,07
√3 2 𝑛+1 ∆𝑦/𝑥 : 𝑦 = 𝑎𝑥 + 𝑏 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑎 = =− = −0,03
c) Démontrons que ∀ 𝑛𝜖𝐼𝑁, |𝑈𝑛 − | ≤ ( ) 𝑉(𝑋) 1,84
3 3
√3 2 √3 Et 𝑏 = 𝑦 − 𝑎𝑥 = 0,43 + 0,03 × 0,4 ⇒ 𝑏 = 0,44
|𝑈𝑛+1 − | ≤ |𝑈𝑛 − | D’où ∆𝑦/𝑥 : 𝑦 = −0,03𝑥 + 0,44
3 3 3
√3 2 √3
Pour n=0, |𝑈1 − | ≤ |𝑈0 − | - De x en y
3 3 3
Proposé par Monsieur Phinehas KELA, professeur certifié des Lycées. Contact : [email protected]
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𝐶𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) 0,07 1 4
∆𝑥/𝑦 : 𝑥 = 𝑎′𝑦 + 𝑏′ 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑎′ = =− = −0,04 𝑥′ = − 𝑥 + 𝑦
𝑉(𝑌) 1,72 𝑓: { 5 5
Et 𝑏′ = 𝑥 − 𝑎′𝑦 = 0,04 + 0,04 × 0,43 ⇒ 𝑏′ = 0,05 ′
6 1
𝑦 = 𝑥+ 𝑦
D’où ∆𝑥/𝑦 : 𝑥 = −0,04𝑦 + 0,05 5 5
𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 / 𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑜⃗}
7) Tracer (voir le graphique) 1 4
0=− 𝑥+ 𝑦
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ { 5 5 ⟺ { −𝑥 + 4𝑦 = 0 ⇒ 𝑥 = 𝑦 = 0
Sujet n°6 6 1 6𝑥 + 𝑦 = 0
Exercice 1 0= 𝑥+ 𝑦
5 5
1) Résolution de l’équation Donc 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑜⃗}
∆= 3𝑖 2 𝑐𝑎𝑟 𝑖 2 = −1
Comme 𝐾𝑒𝑟𝑓 = {𝑜⃗}, forcement 𝐼𝑚𝑓 = ℝ2
−1 + 𝑖√3 −1 − 𝑖√3
𝑜𝑛 𝑎 𝑧1 = = 𝑗 ; 𝑍2 = = 𝑗̅ c) Nature de f
2 2 1 4 1 1 4 4 6 1
𝑥 ′′ = − 𝑥 ′ + 𝑦 ′ = − (− 𝑥 + 𝑦) + ( 𝑥 + 𝑦)
𝑆 = {𝑗 , 𝑗} 5 5 5 5 5 5 5 5
𝑓𝑜𝑓 = {
′′
6 1 6 1 4 1 6 1
2) a) Module et un argument 𝑦 = 𝑥′ + 𝑦′ = (− 𝑥 + 𝑦) + ( 𝑥 + 𝑦)
5 5 5 5 5 5 5 5
𝑍𝑐 − 𝑍𝐴 1 √3 𝑥 ′′ = 𝑥
=− − 𝑖 𝑓𝑜𝑓 = { ′′ ; f est une symétrie vectorielle.
𝑍𝑐 − 𝑍𝐵 2 2 𝑦 =𝑦
𝑍𝐶 − 𝑍𝐴 Eléments caractéristiques
| |=1 Direction : 𝐸1 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 / 𝑓(𝑢⃗⃗) = −𝑢 ⃗⃗}
𝑍𝐶 − 𝑍𝐵
1 4
1 −𝑥 = − 𝑥 + 𝑦
𝑐𝑜𝑠𝜃 = − 𝑓(𝑢⃗⃗) = −𝑢 ⃗⃗ ⟺ { 5 5 ⟹ {4𝑥 + 4𝑦 = 0 ⇒ 𝑥 + 𝑦 = 0
𝑍𝑐 − 𝑍𝐴 2 6 1 6𝑥 + 6𝑦 = 0
𝐴𝑟𝑔 ( ) = 𝜃: −𝑦 = 𝑥 + 𝑦
𝑍𝑐 − 𝑍𝐵 √3 5 5
{𝑠𝑖𝑛𝜃 = − 2 D’où 𝐸1 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 / 𝑥 + 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
4𝜋 engendrée par 𝑒⃗2 = 𝑖⃗ − 𝑗⃗
𝜃= [2𝜋]
3 Base : 𝐸2 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢⃗⃗}
Nature du triangle : ABC est un triangle isocèle de 1 4
𝑥=− 𝑥+ 𝑦
sommet C.
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢 ⃗⃗ ⟺ { 5 5 ⟹ {6𝑥 − 4𝑦 = 0 ⇒ 3𝑥 − 2𝑦 = 0
b) Mesure d’angle de la rotation 6 1 6𝑥 − 4𝑦 = 0
𝑅: 𝑍 ′ = 𝑎𝑍 + 𝑏 𝑦= 𝑥+ 𝑦
5 5
𝑅(𝐶) = 𝐶 ⟺ 𝑍𝐶 = 𝑎𝑍𝐶 + 𝑏 D’où 𝐸1 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 / 3𝑥 − 2𝑦 = 0} est une droite vectorielle
⟺ 2 = 2𝑎 + 𝑏 (1) engendrée par 𝑒⃗1 = 2𝑖⃗ + 3𝑗⃗
𝑅(𝐵) = 𝐴 ⟺ 𝑍𝐴 = 𝑎𝑍𝐵 + 𝑏
⟺ 1 + 𝑖√3 = 𝑎(1 − 𝑖√3) + 𝑏 (2) Exercice 3
1 √3 A-1) Variation de g
De (1) et (2) on a : 𝑎 = − − 𝑖. L’angle de R est
2 2
4𝜋 Ensemble de définition
l’argument de a. Or 𝐴𝑟𝑔(𝑎) = [2𝜋]. 𝐸𝑔 = ]0 ; + ∞[
3
4𝜋
D’où l’angle de R est [2𝜋]. Limites aux bornes
3
lim+ 𝑔(𝑥) = +∞ ; lim 𝑔(𝑥) = +∞
𝑥→0 𝑥→+∞
Exercice 2 Dérivée, signe et sens de variation
1) Montrons que E et F sont deux sous espaces 2𝑥 2 − 4
supplémentaires de ℝ2 𝑔′ (𝑥) =
𝑥
3𝑥 − 2𝑦 = 0 ∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑥 > 0, 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑔′ (𝑥) 𝑑𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑 𝑑𝑒 2𝑥 2 − 4
𝐸⋂𝐹: { ⇒𝑥=𝑦=0
−𝑥 − 𝑦 = 0 ∀𝑥𝜖]0; √2[, 𝑔′ (𝑥) < 0, 𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑é𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒
𝐸⋂𝐹 = {𝑜⃗}
E est une droite vectorielle alors 𝑑𝑖𝑚𝐸 = 1 ∀𝑥𝜖]√2; +∞[, 𝑔′ (𝑥) > 0, 𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒
F est une droite vectorielle alors 𝑑𝑖𝑚𝐹 = 1 Tableau de variation
Or ℝ2 est un espace vectoriel de dimension 2 𝑥 0 √2 +∞
Alors 𝑑𝑖𝑚ℝ2 = 𝑑𝑖𝑚𝐸 + 𝑑𝑖𝑚𝐹 𝑔′ (𝑥) − +
Par conséquent E et F sont deux sous espaces 𝑔(𝑥) +∞ +∞
supplémentaires de ℝ2 .
2) a) Matrice de f dans la base (𝑖⃗ , 𝑗⃗) 𝑔(√2)
𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑒⃗1 𝑓(2𝑖⃗ + 3𝑗⃗) = 2𝑖⃗ + 3𝑗⃗
{ ⇒{ 𝑔(√2) = 6 − 2𝑙𝑛2
𝑓(𝑒⃗2 ) = −𝑒⃗2 𝑓(𝑖⃗ − 𝑗⃗) = −𝑖⃗ + 𝑗⃗
2𝑓(𝑖⃗) + 3𝑓(𝑗⃗) = 2𝑖⃗ + 3𝑗⃗ (1) 2) Le signe de 𝑔(𝑥)
{ ∀𝑥𝜖]0; +∞[, 𝑔(𝑥) >0
𝑓(𝑖⃗) − 𝑓(𝑗⃗) = −𝑖⃗ + 𝑗⃗ (2)
1 6 B- 1) Variation de f
(1) + 3 × (2) ⟹ 𝑓(𝑖⃗) = − 𝑖⃗ + 𝑗⃗ Ensemble de définition
5 5
4
Dans (2) on a : 𝑓(𝑗⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
1 𝐸𝑓 = ]0 ; + ∞[
5 5 Calcul des limites
1 6 1 4 lim+ 𝑓(𝑥) = −∞ ; lim 𝑓(𝑥) = +∞
𝑓(𝑖⃗) = − 𝑖⃗ + 𝑗⃗ − 𝑥→0 𝑥→+∞
5 5 ⇒ 𝑀=( 5 5) Dérivée f’(x)
4 1 6 1
𝑓(𝑗⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗ Après calcul, il est claire que :
{ 5 5 5 5 𝑔(𝑥)
b) Noyau et l’Image de f 𝑓 ′ (𝑥) =
2𝑥 2
Sens de variation
Proposé par Monsieur Phinehas KELA, professeur certifié des Lycées. Contact : [email protected]
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∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 2𝑥 2 > 0, 𝑔(𝑥) > 0 ⇒ 𝑓 ′ (𝑥) > 0 donc f est 3 3
2 2 2 2
strictement croissante 𝐼𝑜 = ∑ ∑ 𝑛𝑖𝑗 ∙ 𝑂𝑀𝑖𝑗 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝑂𝑀𝑖𝑗 = 𝑥𝑀 + 𝑦𝑀
Tableau de variation 𝑖=1 𝑗=1
2 2
𝑥 0 +∞ 𝑛1∙1 = 1 ; 𝑀1∙1 (0,1) ; 𝑂𝑀1.1 = 1 ⇒ 𝑛1∙1 ∙ 𝑂𝑀1∙1 =1
2
𝑓 ′ (𝑥) + 𝑛1∙2 = 0 ; ⇒ 𝑛1∙2 ∙ 𝑂𝑀1∙2 = 0
2 2
𝑓(𝑥) +∞ 𝑛1∙3 = 3 ; 𝑀1∙3 (0,3) ; 𝑂𝑀1.3 = 9 ⇒ 𝑛1∙3 ∙ 𝑂𝑀1∙3 = 27
2 2
𝑛2∙1 = 2 ; 𝑀2∙1 (2,1) ; 𝑂𝑀2.1 = 5 ⇒ 𝑛2∙1 ∙ 𝑂𝑀2∙1 = 10
2 2
𝑛2∙2 = 3 ; 𝑀2∙2 (2,3) ; 𝑂𝑀2.2 = 13 ⇒ 𝑛2∙2 ∙ 𝑂𝑀2∙2 = 39
−∞ 2
𝑛2∙3 = 0 ; ⇒ 𝑛2∙3 ∙ 𝑂𝑀2∙3 =0
2
𝑛3∙1 = 0 ⇒ 𝑛3∙1 ∙ 𝑂𝑀3∙1 =0
2) Signe de 𝑓(𝑥) − (𝑥 − 1) 2
𝑛3∙2 = 2 ; 𝑀3∙2 (4,3) ; 𝑂𝑀3.2 2
= 25 ⇒ 𝑛3∙2 ∙ 𝑂𝑀3∙2 = 50
4𝑙𝑛𝑥 2 2
𝑓(𝑥) − (𝑥 − 1) = 𝑛3∙3 = 2 ; 𝑀3∙3 (4,9) ; 𝑂𝑀3.3 = 97 ⇒ 𝑛3∙3 ∙ 𝑂𝑀3∙3 = 194
𝑥 𝐼𝑂 = 1 + 0 + 27 + 10 + 39 + 0 + 0 + 50 + 194
∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑥 > 0, le signe dépend de 4𝑙𝑛𝑥
𝐼𝑂 = 321
Or ∀𝑥𝜖]0 ; 1[ , 𝑙𝑛𝑥 < 0 ⇒ 𝑓(𝑥) − (𝑥 − 1) < 0, la courbe de f
est en dessous de la droite (D).
∀𝑥𝜖]1 ; +∞[ , 𝑙𝑛𝑥 > 0 ⇒ 𝑓(𝑥) − (𝑥 − 1) > 0, la courbe de f Sujet n°7
est au dessus de la droite (D). Exercice 1
Pour 𝑥 = 1, 𝑓(𝑥) − (𝑥 − 1) = 0, la courbe coupe la droite (D) a) Solution imaginaire pure
𝑃(𝑖𝛽) = 0 ⟺ (𝑖𝛽)3 − 2(1 + 2𝑖)(𝑖𝛽)2 + 7𝑖(𝑖𝛽) + 3(1 − 3𝑖) = 0
3) Construction ⟺ 2𝛽2 − 7𝛽 + 3 + 𝑖(−𝛽3 + 4𝛽2 − 9) = 0
Soit 2𝛽2 − 7𝛽 + 3 = 0
1
∆= 25 ⇒ 𝛽′ = 𝑒𝑡 𝛽′′ = 3
2
On prend 𝛽 = 3 car cette valeur vérifie la partie imaginaire
𝑍0 = 3𝑖
b) Les nombres complexes a et b
(𝑍 − 3𝑖)(𝑍 2 + 𝑎𝑍 + 𝑏) = 0
Après développement, on a :
𝑍 3 + (𝑎 − 3𝑖)𝑍 2 + (𝑏 − 3𝑖𝑎)𝑍 − 3𝑖𝑏 = 0
Par identification :
𝑎 − 3𝑖 = −2 − 4𝑖 ⇒ 𝑎 = −2 − 𝑖
4) Démonstration {
−3𝑖𝑏 = 3 − 9𝑖 ⇒ 𝑏 = 3 + 𝑖
f étant continue et strictement croissante sur l’intervalle D’où 𝑎 = −2 − 𝑖 ; 𝑏 = 3 + 𝑖
]0 ; +∞[, alors f admet une application réciproque notée f-1 c) Résolution de l’équation
définie sur l’intervalle ]−∞ ; +∞[ vers l’intervalle ]0 ; +∞[. (𝑍 − 3𝑖)(𝑍 2 + (−2 − 𝑖)𝑍 + 3 + 𝑖) = 0
5) Tracer (voir figure) 𝑍0 = 3𝑖
{ 2
𝑍 + (−2 − 𝑖)𝑍 + 3 + 𝑖 = 0
Exercice 4 ∆= (−2 − 𝑖)2 − 4(1)(3 + 𝑖)
1-a) Détermination de X1, X2, X3 ∆= −9 = 9𝑖 2
X1, X2, X3 sont les termes d’une suite arithmétique de 𝑍1 = 1 − 𝑖 𝑒𝑡 𝑍2 = 1 + 2𝑖
raison 2 ⟺ 𝑋3 − 𝑋2 = 2 ⟹ 𝑋3 = 2 + 𝑋2 D’où 𝑆 = {3𝑖 ; 1 − 𝑖 ; 1 + 2𝑖}
⟺ 𝑋2 − 𝑋1 = 2 ⟹ 𝑋1 = 𝑋2 − 2
Or 𝑋1 + 𝑋2 + 𝑋3 = 6 2-a) Nature de T
On a : 𝑋2 − 2 + 𝑋2 + 𝑋2 + 2 = 6 ⟹ 𝑋2 = 2 1 √2
𝑎 = (1 − 𝑖) ⇒ |𝑎| = ≠1
Donc 𝑋1 = 0 ; 𝑋2 = 2 𝑒𝑡 𝑋3 = 4 2 2
Comme 𝑎𝜖ℂ 𝑒𝑡 |𝑎| ≠ 1 donc T est une similitude plane
b) Détermination de Y1, Y2, Y3
directe
Y1, Y2, Y3 sont des termes d’une suite géométrique de raison
b) Eléments caractéristiques
3 ⟺ 𝑌3 = 3𝑌2 𝑏
𝑌 - Centre : Ω d’affixe 𝜔 = ⇒ 𝜔 = −2𝑖
⟺ 𝑋2 = 3𝑌1 ⟹ 𝑌1 = 2 1−𝑎
3 √2
Or 𝑌1 ∙ 𝑌2 ∙ 𝑌3 = 27 ⟹ 𝑌23
= 27 ⟹ 𝑌2 = 3 - Rapport : 𝑘 = |𝑎| =
2
𝜋
D’où 𝑌1 = 1 ; 𝑌2 = 3 𝑒𝑡 𝑌3 = 9 - Angle : 𝜃 = 𝐴𝑟𝑔(𝑎) = − [2𝜋]
4
2-a) Tableau
Yj 1 3 3 Exercice 2
Xi 1) Valeurs de m
f n’est pas bijectif ⟺ 𝑑𝑒𝑡𝑀𝑓m = 0
0 1 0 3
𝑚 + 1 2𝑚 − 1
2 2 3 0 𝑑𝑒𝑡𝑀𝑓m = | |=0
1 𝑚−1
4 0 2 2 ⟹ (𝑚 + 1)(𝑚 − 1) − 2𝑚 + 1 = 0
𝑚(𝑚 − 2) = 0 ⇒ 𝑚 = 0 ; 𝑚 = 2
b) Les distributions marginales
𝑥𝑖 0 2 4 2) Le noyau et l’image
𝑛𝑖 4 5 4 𝐾𝑒𝑟𝑓𝑚 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 / 𝑓𝑚 (𝑢
⃗⃗) = 𝑜⃗}
(𝑚 + 1)𝑥 + (2𝑚 − 1)𝑦 = 0
𝑓𝑚 (𝑢
⃗⃗) = 𝑜⃗ ⇒ {
𝑦𝑗 1 3 9 𝑥 + (𝑚 − 1)𝑦 = 0
𝑛𝑗 3 5 5 𝑚 + 1 2𝑚 − 1
∆= | | = 𝑚(𝑚 − 2)
1 𝑚−1
Discussion :
3) Inertie du nuage 1er cas : si ∆≠ 0, le système est de Cramer.
Or ∆𝑥 = ∆𝑦 = 0 car le 2ème membre du système est nul.
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Donc 𝑥 = 𝑦 = 0 ⇒ 𝐾𝑒𝑟𝑓𝑚 = {𝑂 ⃗⃗ } 𝑔′ (𝑥) − +
𝑔(𝑥) +∞ +∞
2 cas : si ∆= 0 ⇒ 𝑚 = 0 𝑜𝑢 𝑚 = 2
ème
𝑥−𝑦=0
Pour 𝑚 = 0, le système devient : { ⇒ 𝑥−𝑦 =0 𝑔( )
√2
𝑥−𝑦=0 2
⃗⃗ 𝜖 ℝ2 /𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
𝐾𝑒𝑟𝑓0 = {𝑢 √2 1
engendrée par le vecteur 𝑖⃗ + 𝑗⃗ 𝑔 ( ) = − 𝑙𝑛√2
2 2
3𝑥 + 3𝑦 = 0
Pour 𝑚 = 2, le système devient : { ⇒𝑥+𝑦=0 2) Le signe de 𝑔(𝑥)
𝑥+𝑦 = 0
∀𝑥𝜖]0; +∞[, 𝑔(𝑥) >0
2
𝐾𝑒𝑟𝑓2 = {𝑢
⃗⃗ 𝜖 ℝ /𝑥 + 𝑦 = 0} est une droite vectorielle II- 1) Tableau de variation de f
engendrée par le vecteur 𝑖⃗ − 𝑗⃗ Ensemble de définition
𝐸𝑓 = ]0 ; + ∞[
𝐼𝑚𝑓𝑚 = {∀𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 , ∃𝑢⃗⃗′ ∈ ℝ2 / 𝑓𝑚 (𝑢 ⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′}
𝑥 ′ = (𝑚 + 1)𝑥 + (2𝑚 − 1)𝑦 Calcul des limites
𝑓𝑚 (𝑢⃗⃗) = 𝑢⃗⃗′ ⇒ { ′ lim+ 𝑓(𝑥) = −∞ ; lim 𝑓(𝑥) = +∞
𝑦 = 𝑥 + (𝑚 − 1)𝑦 𝑥→0 𝑥→+∞
𝑚 + 1 2𝑚 − 1 Dérivée f’(x)
∆= | | = 𝑚(𝑚 − 2)
1 𝑚−1 Après calcul, il est claire que :
Discussion : 𝑔(𝑥)
1er cas : si ∆≠ 0, le système est de Cramer. 𝑓 ′ (𝑥) =
𝑥2
Comme 𝐾𝑒𝑟𝑓𝑚 = {𝑂 ⃗⃗ } alors 𝐼𝑚𝑓𝑚 = ℝ2 Sens de variation
2 cas : si ∆= 0 ⇒ 𝑚 = 0 𝑜𝑢 𝑚 = 2
ème ∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑥 2 > 0, 𝑔(𝑥) > 0 ⇒ 𝑓 ′ (𝑥) > 0 donc f est
𝑥′ = 𝑥 − 𝑦 strictement croissante
Pour 𝑚 = 0, le système devient : { ′ ⇒ 𝑥′ − 𝑦′ = 0
𝑦 =𝑥−𝑦
𝐼𝑚𝑓0 = {𝑢 ⃗⃗′ 𝜖 ℝ2 /𝑥′ − 𝑦′ = 0} est une droite vectorielle
Tableau de variation
engendrée par le vecteur 𝑖⃗ + 𝑗⃗ 𝑥 0 +∞
𝑥 ′ = 3𝑥 + 3𝑦 𝑓 ′ (𝑥) +
Pour 𝑚 = 2, le système devient : { ′ ⇒ 𝑥 ′ − 3𝑦 = 0
𝑦 = 𝑥+𝑦 𝑓(𝑥) +∞
𝐼𝑚𝑓2 = {𝑢 ⃗⃗′ 𝜖 ℝ2 /𝑥′ − 3𝑦′ = 0} est une droite vectorielle
engendrée par le vecteur 3𝑖⃗ + 𝑗⃗
3) m=2 −∞
a) Noyau 2) Démonstration
𝐾𝑒𝑟𝑓2 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 ℝ2 /𝑥 + 𝑦 = 0} est une droite vectorielle f étant continue et strictement croissante sur l’intervalle
]0 ; +∞[, de plus lim+ 𝑓(𝑥) × lim 𝑓(𝑥) < 0 alors
engendrée par le vecteur 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ − 𝑗⃗ 𝑥→0 𝑥→+∞
b) Image l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution unique 𝛼 ∈
𝐼𝑚𝑓2 = {𝑢 ⃗⃗′ 𝜖 ℝ2 /𝑥′ − 3𝑦′ = 0} est une droite vectorielle ]0 ; +∞[ tel que 𝑓(𝛼)=0
3) Etude des branches infinies
engendrée par le vecteur 𝑒⃗2 = 3𝑖⃗ + 𝑗⃗
lim 𝑓(𝑥) = −∞ ⇒ 𝑥 = 0 est une asymptote verticale à la
c) Montrons que 𝑓2 (𝑒⃗2 ) = 4𝑒⃗2 𝑥→0
𝑥′ = 9 + 3 12 3 courbe au voisinage de −∞
𝑓2 (𝑒⃗2 ) = { ′ ⟹ 𝑓2 (𝑒⃗2 ) = ( ) = 4 ( ) 1+𝑙𝑛𝑥
𝑦 =3+1 4 1 lim 𝑓(𝑥) = +∞ Comme lim = 0 alors la droite
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥
⇒ 𝑓2 (𝑒⃗2 ) = 4𝑒⃗2
d’équation 𝑦 = 𝑥 − 2 est une asymptote oblique à la courbe
d) montrons que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base
1 3 au voisinage de +∞
𝑑𝑒𝑡(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) = | | =1+3 = 4≠ 0 4) Construction
−1 1
Donc (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de ℝ2
Matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
𝑒⃗1 𝜖𝐾𝑒𝑟𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑜⃗
𝑒⃗2 𝜖𝐼𝑚𝑓 ⇒ 𝑓(𝑒⃗2 ) = 4𝑒⃗2
𝑓(𝑒⃗ ) = 0𝑒⃗1 + 0𝑒⃗2 0 0
On a : { 1 ⇒𝑀=( )
𝑓(𝑒⃗2 ) = 0𝑒⃗1 + 4𝑒⃗2 0 4
Exercice 3
I-1) Tableau de variation de g
Ensemble de définition
𝐸𝑔 = ]0 ; + ∞[
Limites aux bornes
Exercice 4
lim+ 𝑔(𝑥) = +∞ ; lim 𝑔(𝑥) = +∞
𝑥→0 𝑥→+∞ 1-a) Détermination de P
Dérivée, signe et sens de variation 𝑃1 + 𝑃2 +𝑃3 + 𝑃4 + 𝑃5 + 𝑃6 = 1
2𝑥 2 − 1 1 1
𝑔′ (𝑥) = 5𝑃 + = 1 ⇒ 𝑃 =
𝑥 2 10
∀𝑥𝜖]0 ; +∞[, 𝑥 > 0, 𝑙𝑒 𝑠𝑖𝑔𝑛𝑒 𝑑𝑒 𝑔′ (𝑥) 𝑑𝑒𝑝𝑒𝑛𝑑 𝑑𝑒 2𝑥 2 − 1
2) Calcule des probabilités
√2 1
∀𝑥𝜖 ]0; [ , 𝑔′ (𝑥) < 0, 𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑é𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑃(𝐴) = 𝑃2 + 𝑃4 + 𝑃6 = 2𝑃 +
2 2
√2 7
∀𝑥𝜖 ] ; +∞[ , 𝑔′ (𝑥) > 0, 𝑔 𝑒𝑠𝑡 𝑠𝑡𝑟𝑖𝑐𝑡𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑐𝑟𝑜𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡𝑒 𝑃(𝐴) =
10
2
7 3
Tableau de variation 𝑃(𝐵) = 1 − ⇒ 𝑃(𝐵) =
𝑥 √2 10 10
0 +∞ 2) Calcule de la probabilité
2
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3 3 7 Discussion
𝑃 = 𝐶43 ( ) . ( ) = 0,76 1er cas : si ∆≠ 0, le système est de Cramer.
10 10
𝑃 = 0,76 Or ∆𝑥 = ∆𝑦 = 0 car le 2ème membre du système est nul.
⃗⃗ }
Donc 𝑥 = 𝑦 = 0 ⇒ 𝐼𝑎 = {𝑂
2e cas : si ∆= 0 ⇒ 𝑎 = 0 𝑜𝑢 𝑎 = 2
Sujet n°8 Pour a=0, le système devient :
Exercice 1 −2𝑥 + 𝑦 = 0
1) Forme trigonométrique de Z { ⇒ 2𝑥 − 𝑦 = 0
−2𝑥 + 𝑦 = 0
|𝑍| = √64 × 3 + 64 = √64 × 4 = 16 𝐼0 = {𝑢 ⃗⃗𝜖𝐸 / 2𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle engendrée
√3 par le vecteur 𝑖⃗ + 2𝑗⃗
𝑐𝑜𝑠𝜃 = − Pour a=2, le système devient :
𝐴𝑟𝑔(𝑍): 2 ⇒ 𝜃 = 5𝜋 [2𝜋]
1 6 𝑦=0
{ ⇒𝑦=0
{ 𝑠𝑖𝑛𝜃 = 2 −2𝑦 = 0
5𝜋 5𝜋 𝐼0 = {𝑢 ⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑦 = 0} est une droite vectorielle engendrée par
D’où 𝑍 = 16(cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) le vecteur 𝑖⃗
6 6
2-a) on prend m=0, précisons I0
2) Racine carrée de Z sous forme trigonométrique 𝐼0 = {𝑢 ⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑢 ⃗⃗}
5𝜋 −2𝑥 + 𝑦 = 0
𝑍 2 = −8√3 + 8𝑖 ⟺ [𝜌 ; 𝜃]2 = [16 ; ] { ⇒ 2𝑥 − 𝑦 = 0
−2𝑥 + 𝑦 = 0
6
2 {𝑢
𝐼0 = ⃗⃗𝜖𝐸 / 2𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle engendrée
𝜌 = 16 ⇒ 𝜌 = 4
par le vecteur 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ + 2𝑗⃗
⟺{ 5𝜋 5𝜋 𝑘𝜖ℤ
2𝜃 = + 𝑘. 2𝜋 ⇒ 𝜃 = + 𝑘. 𝜋 b) Détermination de Kerf0
6 12 𝐾𝑒𝑟𝑓0 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 / 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑜⃗}
5𝜋 5𝜋 −𝑥 + 𝑦 = 0
𝑍𝑘 = 4 [cos ( + 𝑘. 𝜋) + 𝑖𝑠𝑖𝑛( + 𝑘. 𝜋)] 𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ { ⟺ 𝑥−𝑦 = 0
12 12 −2𝑥 + 2𝑦 = 0
5𝜋 5𝜋
Pour 𝑘 = 0 ; 𝑍0 = 4(cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) Donc 𝐾𝑒𝑟𝑓0 = {𝑢 ⃗⃗ 𝜖 𝐸 /𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle
12 12
17𝜋 17𝜋
Pour 𝑘 = 1 ; 𝑍1 = 4(cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) engendrée par le vecteur 𝑒⃗2 = 𝑖⃗ + 𝑗⃗
12 12
Donc Z0 et Z1 sont les racines carrées de Z. c) montrons que (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base
3) Calcul de U2 1 1
𝑑𝑒𝑡(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) = | | = 1 − 2 = −1 ≠ 0
2 2 2 2 1
𝑈 2 = [(√6 − √2) + 𝑖(√6 + √2) ] Donc (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E
= (√6 − √2)2 − (√6 + √2)2 + 2𝑖(√6 − √2)(√6 + √2) d) Matrice de f dans la base (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 )
𝑒⃗1 𝜖𝐼0 ⇒ 𝑓0 (𝑒⃗1 ) = 𝑒⃗1
= 6 + 2 − 2√12 − 6 − 2 − 2√12 + 8𝑖
𝑒⃗2 𝜖𝐾𝑒𝑟𝑓0 ⇒ 𝑓0 (𝑒⃗2 ) = 𝑜⃗
𝑈 2 = −8√3 + 8𝑖 𝑓 (𝑒⃗ ) = 𝑒⃗1 + 0𝑒⃗2 1 0
4) Les racines carrées de Z sous forme algébrique On a : { 0 1 ⇒𝑀=( )
𝑓0 (𝑒⃗2 ) = 0𝑒⃗1 + 0𝑒⃗2 0 0
Les racines carrées d’un nombre complexe sont
diamétralement opposées Exercice 3
5𝜋 5𝜋
Comme 𝑈 2 = 𝑍 𝑒𝑡 cos > 0 ; sin > 0 1) Détermination de a, b et c
12 12
Donc 𝑍0 = (√6 − √2) + 𝑖(√6 + √2) g solution de (E)⟺ 𝑔′′ (𝑥) − 4𝑔′ (𝑥) + 3𝑔(𝑥) = 6𝑥 2 + 5𝑥 (1)
⟺ 2𝑎 − 4(2𝑎𝑥 + 𝑏) + 3(𝑎𝑥 2 + 𝑏𝑥 + 𝑐) = 6𝑥 2 + 5𝑥
𝑍1 = −(√6 − √2) − 𝑖(√6 + √2)
⟺ 3𝑎𝑥 2 + (−8𝑎 + 3𝑏)𝑥 + 2𝑎 − 4𝑏 + 3𝑐 = 6𝑥 2 + 5𝑥
5) Déduction 3𝑎 = 6 ⇒ 𝑎 = 2
𝑍0 = (√6 − √2) + 𝑖(√6 + √2) ⟺ { −8𝑎 + 3𝑏 = 5 ⇒ 𝑏 = 7
5𝜋 5𝜋 2𝑎 − 4𝑏 + 3𝑐 = 0 ⇒ 𝑐 = 8
4(cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) = (√6 − √2) + 𝑖(√6 + √2)
12 12 D’où 𝑎 = 2 ; 𝑏 = 7 ; 𝑐 = 8 𝑒𝑡 𝑔(𝑥) = 2𝑥 2 + 7𝑥 + 8
5𝜋 √6−√2
cos = 2) Démonstration
12 4
On a : { f est solution de (E)⟺ 𝑓 ′′ − 4𝑓 ′ + 3𝑓 = 6𝑥 2 + 5𝑥
5𝜋 √6+√2
sin = ⟺ 𝑓 ′′ − 4𝑓 ′ + 3𝑓 = 𝑔′′ − 4𝑔′ + 3𝑔 d’après (1)
12 4
⟺ 𝑓 ′′ − 4𝑓 ′ + 3𝑓 − 𝑔′′ + 4𝑔′ − 3𝑔 = 0
Exercice 2 ⟺ (𝑓 − 𝑔)′′ − 4(𝑓 − 𝑔)′ + 3(𝑓 − 𝑔) = 0
1) L’ensemble Ia des vecteurs invariants ⟺ 𝑓 − 𝑔 est solution de (E’)
𝐼𝑎 = {𝑢⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗} 3) Résolution de (E’)
Expression analytique Equation caractéristique
𝑟 2 − 4𝑟 + 3 = 0
𝑥 ′ = (𝑎 − 1)𝑥 + 𝑦
∆= 4 − 3 = 1 ⟹ 𝑟 ′ = 1 𝑒𝑡 𝑟 ′′ = 3
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′ ⟺ { ′ 3
𝑦 = (𝑎 − 2)𝑥 + (− 𝑎 + 2) 𝑦 la solution générale de (E’) est : 𝑦 = 𝐴𝑒 𝑥 + 𝐵𝑒 3𝑥
2
𝑥 = (𝑎 − 1)𝑥 + 𝑦 4) Déduction de f
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗ ⟺ { 3 f-g solution de (E’)⇒ 𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥) = 𝐴𝑒 𝑥 + 𝐵𝑒 3𝑥
𝑦 = (𝑎 − 2)𝑥 + (− 𝑎 + 2) 𝑦 d’où 𝑓(𝑥) = 𝐴𝑒 𝑥 + 𝐵𝑒 3𝑥 + 2𝑥 2 + 7𝑥 + 8
2
(𝑎 − 2)𝑥 + 𝑦 = 0
Exercice 4
⟺{ 3 1) Calcule de Pk
(𝑎 − 2)𝑥 + (− 𝑎 + 1) 𝑦 = 0
2 P1, P2, P3, P4, P5, P6 sont en progression géométrique de
Déterminant principal : raison q⟺ 𝑃2 = 𝑞. 𝑃1 ; 𝑃3 = 𝑞2 . 𝑃1 ; 𝑃4 = 𝑞3 . 𝑃1 ; 𝑃5 = 𝑞4 . 𝑃1 ;
𝑎−2 1 3 𝑃6 = 𝑞5 . 𝑃1
∆= | 3 | ⇒ ∆= − 𝑎(𝑎 − 2)
𝑎−2 − 𝑎+1 2 Or 𝑃1 + 𝑃2 + 𝑃3 + 𝑃4 + 𝑃5 + 𝑃6 = 1
2 On a : 𝑃1 (1 + 𝑞 + 𝑞2 + 𝑞3 + 𝑞4 + 𝑞5 ) = 1
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1 − 𝑞6 1 − √5
2
1 + 5 − 2√5 5 + √5
𝑃1 ( )=1 ∆= ( ) −4= − 4 = 𝑖2 ( )
1−𝑞 2 4 2
1 32
𝑃1 = = −1+√5 𝑖 5+√5 −1+√5 𝑖 5+√5
1 6 63 𝑧3 = + √ et 𝑧4 = − √
4 2 2 4 2 2
2 [1 − ( ) ]
2 D’autre part 𝑅𝑒(𝑧0 ) > 0 𝑒𝑡 𝐼𝑚(𝑧0 ) > 0 donc cos
2𝜋
>0
32 16 8 4 2 1 5
D’où 𝑃1 = ; 𝑃2 = ; 𝑃3 = ; 𝑃4 = ; 𝑃5 = ; 𝑃6 = 2𝜋
63 63 63 63 63 63 et sin > 0.
5
2𝜋 −1+√5 2𝜋 1 5+√5
2) La probabilité d’obtenir un nombre pair est P2+P4+P6 Ainsi cos = ; sin = √
1 1 2 5 4 5 2 2
soit . Celle d’obtenir un nombre impair est 1 − =
3 3 3
Soit X la variable aléatoire égale au gain du joueur pour un Exercice 2
lancer 1) Matrice
X 200 -300 2 −3 5
1 2 𝑀 = (−1 4 1)
P(X=x)
1 6 13
3 3
Avec trois lancers successifs, on a un schéma de Bernoulli. 2) Noyau de f
Gagner exactement 100F, c’est obtenir deux fois un nombre
𝑁(𝑓) = {𝑢 ⃗⃗𝜖ℝ3 /𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗}
1 2 2
pair. D’où 𝑃 = 𝐶32 ( ) 𝑃= 2𝑥 − 3𝑦 + 5𝑧 = 0 (1)
3 9
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗ ⟺ {−𝑥 + 4𝑦 + 𝑧 = 0 (2)
𝑥 + 6𝑦 + 13𝑧 = 0 (3)
Sujet 9 4(1) + 3(2) ⇒ 8𝑥 − 12𝑦 + 20𝑧 − 3𝑥 + 12𝑦 + 3𝑧 = 0
Exercice 1 23
⇒ 5𝑥 + 23𝑧 = 0 ⇒ 𝑥 = − 𝑧
2𝜋 2𝜋 5
𝑧0 = cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 7
5 5 ⇒ (2) + (3): 10𝑦 + 14𝑧 = 0 ⇒ 𝑦 = − 𝑧
1) z0 est solution de l’équation 𝑧 5 − 1 = 0 ⇔ 𝑧05 − 1 = 0 5
2𝜋 2𝜋 5
23
En effet, 𝑧05 − 1 = (cos + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) − 1 𝑥 − 𝑧
5 5
3
5 1 23 1
= cos 2𝜋 + 𝑖𝑠𝑖𝑛 2𝜋 − 1 d’après Moivre 𝑢
⃗⃗𝜖ℝ ⇒ 𝑢 𝑦
⃗⃗ = ( ) = 7 = − 𝑧 ( 7 ) = − 𝑧𝑒⃗1
𝑧 − 𝑧 5 5
=1−1=0 5 5
D’où z0 est solution de l’équation 𝑧 5 − 1 ( 𝑧 )
2) Simplification 23 7
𝑁(𝑓) = {𝑢 ⃗⃗𝜖ℝ3 / 𝑥 = − 𝑧 𝑒𝑡 𝑦 = − 𝑧} est une droite
5 5
(𝑧 − 1)(1 + 𝑧 + 𝑧 2 + 𝑧 3 + 𝑧 4 ) = 𝑧 5 − 1
3) Déduction vectorielle engendrée par le vecteur 𝑒⃗1 = 23𝑖⃗ + 7𝑗⃗ + 5𝑘⃗⃗
1 1 3) Image de f
Z0 est solution de (E)⟺ (𝑧02 + 2) + (𝑧0 + ) + 1 = 0
𝑧0 𝑧0 𝐼𝑚(𝑓) = {∀𝑢 ⃗⃗𝜖ℝ3 , ∃𝑢
⃗⃗′ ∈ ℝ3 /𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗′}
1 1 𝑧04 +1 𝑧02 +1 ′
𝑥 = 2𝑥 − 3𝑦 + 5𝑧 (1)
En effet, (𝑧02 + ) + (𝑧0 + ) + 1 = + +1
𝑧02 𝑧0 𝑧02 𝑧0 𝑓(𝑢 ⃗⃗′ ⇒ { 𝑦 ′ = −𝑥 + 4𝑦 + 𝑧 (2)
⃗⃗) = 𝑢
𝑧04 +𝑧03 +𝑧02 +𝑧0 +1
= 𝑧 ′ = 𝑥 + 6𝑦 + 13𝑧 (3)
𝑧02
5 2(1) + 3(2) − (3) ⇒ 2𝑥 ′ + 3𝑦 ′ − 𝑧 ′ = 0 ⇒ 𝑧 ′ = 2𝑥 ′ + 3𝑦 ′
𝑧0 −1
= d’après 2) 𝑥′ 𝑥′ 𝑥′ 0 1 0
𝑧02 (𝑧0 −1)
⃗⃗ ′ = (𝑦′) = (
𝑢 𝑦′ ) = ( 0 ) + ( 𝑦′ ) = 𝑥′ (0) + 𝑦′ (1)
= 0 d’après 1)
𝑧′ 2𝑥 ′ + 3𝑦′ 2𝑥′ 3𝑦′ 2 3
D’où Z0 est solution de (E)
1
4) on pose 𝑍 = 𝑧 + . Equation du second degré 𝐼𝑚𝑓 = {𝑢⃗⃗′ ∈ ℝ3 /2𝑥 + 3𝑦 − 𝑧 = 0} est un plan vectoriel
𝑧
1 1 2 engendré par les vecteurs 𝑒⃗2 = 𝑖⃗ + 2𝑘⃗⃗ 𝑒𝑡 𝑒⃗3 = 𝑗⃗ + 3𝑘⃗⃗
Remarquons que 𝑧 2 + 2 = (𝑧 + 2) − 2 4) Montrons que N(f) et Im(f) sont deux sous espaces vectoriel
𝑧 𝑧
(𝐸) ⇒ 𝑍 2 − 2 + 𝑍 + 1 = 0 supplémentaire
D’où (𝐸): 𝑍 2 + 𝑍 − 1 = 0 23
𝑥=− 𝑧 (1)
5) Résolution de (E) 5
𝑁(𝑓) ∩ 𝐼𝑚(𝑓): 7
−1 − √5 −1 + √5 𝑦=− 𝑧 (2)
∆= √5 ⇒ 𝑍1 = 𝑒𝑡 𝑍2 = 5
2 2 { 2𝑥 + 3𝑦 − 𝑧 = 0 (3)
−1−√5 −1+√5
D’où 𝑆 = { ; } (1)𝑒𝑡 (2)𝑑𝑎𝑛𝑠 (3) ⇒ 𝑧 = 0
2 2
𝑥=𝑦=0
6) Déduction de z0
Donc 𝑁(𝑓) ∩ 𝐼𝑚(𝑓) = {𝑂 ⃗⃗ }
Z0 est solution de l’une des deux équations
1 1 N(f) est une droite vectorielle ⇒ 𝑑𝑖𝑚𝑁(𝑓) = 1
𝑧 + = 𝑧1 𝑒𝑡 𝑧 + = 𝑧2 Im(f) est un plan vectoriel ⇒ 𝑑𝑖𝑚𝐼𝑚(𝑓) = 2
𝑧 𝑧
Soit 𝑧 2 − 𝑧1 𝑧 + 1 = 0 𝑒𝑡 𝑧 2 − 𝑧2 𝑧 + 1 = 0 Or ℝ3 est un espace vectoriel de dimension 3
−1−√5 Donc dimℝ3 =dimN(f)+dimIm(f)
Pour 𝑧 2 − ( )𝑧 + 1 = 0
2 Par conséquent N(f) et Im(f) sont deux sous espaces vectoriels
1+√5
𝑧2 + ( )𝑧 + 1 = 0 supplémentaires de ℝ3 .
2
2
1 + √5 1 + 5 + 2√5 5 − √5 Exercice 3
∆= ( ) −4= − 4 = 𝑖2 ( )
2 4 2 1-a) Démonstration
−1−√5 𝑖 5−√5 −1−√5 𝑖 5−√5
𝑣𝑛 = ln(𝑢𝑛 )
𝑧1 = + √ et 𝑧2 = − √ 𝑣𝑛+1 = ln(𝑢𝑛+1 )
4 2 2 4 2 2
1−√5 1
Pour 𝑧 2 + ( )𝑧 + 1 = 0 𝑣𝑛+1 = ln(√𝑢𝑛 ) = ln(𝑢𝑛 )
2 2
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1 1) Les racines carrées de u
𝑣𝑛+1 = 𝑣𝑛 , d’où (𝑣𝑛 ) est une suite géométrique de raison
2
1 Soit 𝛿 = 𝑥 + 𝑖𝑦 une racine carrée de u
𝑞 = et de premier terme 𝑣0 = ln(𝑢0 ) = 1 𝑥 2 + 𝑦 2 = 12 (1)
2 𝑥 2 + 𝑦 2 = |𝑢|
b) Détermination de Vn puis Un 2 2 2
On a : { 𝑥 − 𝑦 = 𝑎 ⇒ { 𝑥 − 𝑦 = 6 2
(2)
𝑣𝑛 = 𝑣0 ∙ 𝑞𝑛
2𝑥𝑦 = 𝑏 2𝑥𝑦 = 6√3 (3)
1 𝑛 (1) + (2) ⇒ 2𝑥 2 = 18 ⇒ 𝑥 = ±3
𝑣𝑛 = ( )
2 Pour 𝑥 = 3 ; (3) ⇒ 𝑦 = √3
𝑣𝑛 = ln(𝑢𝑛 ) ⇒ 𝑢𝑛 = 𝑒 𝑣𝑛 Pour 𝑥 = −3 ; (3) ⇒ 𝑦 = −√3
1 𝑛
( )
D’où 𝛿1 = 3 + 𝑖√3 ; 𝛿2 = −3 − 𝑖√3
𝑢𝑛 = 𝑒 2 2-a) Vérification
2) Calcule de Pn 1 3 1 2 1
𝑃𝑛 = 𝑈𝑜 × 𝑈1 × 𝑈2 … .× 𝑈𝑛 𝑧0 𝜖(𝐸) ⟺ 4 (− ) − 6𝑖√3 (− ) − (9 + 3𝑖√3) (− ) − 4 = 0
2 2 2
= 𝑒 𝑣0 × 𝑒 𝑣1 × 𝑒 𝑣2 × … × 𝑒 𝑣𝑛 4 6𝑖√3 9 3𝑖√3
= 𝑒 𝑣0+𝑣1+𝑣2+⋯+𝑣𝑛 ⟺− − + + −4 = 0
8 4 2 2
On pose : 𝑆𝑛 = 𝑣0 + 𝑣1 + 𝑣2 + ⋯ + 𝑣𝑛 ⟺0=0
1
1 − 𝑞𝑛+1 Donc 𝑧0 = − est une solution de (E)
𝑆𝑛 = 𝑣0 . 2
1−𝑞 b) Résolution de (E)
1 𝑛 1
𝑆𝑛 = 2 [1 − ( ) ] (𝐸): (𝑧 + ) (𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐) = 0
2 2
1 𝑛
2[1−( ) ]
4 −6𝑖√3 −9 − 3𝑖√3 -4
D’où 𝑃𝑛 = 𝑒 2
-1/2 -2 4
1 + 3𝑖√3
4 −2 − 6𝑖√3 -8 0
Calcule de la limite
1 1 𝑛
Comme 𝜖]−1 ; 1[ ⇒ lim ( ) = 0 1
2 𝑛→+∞ 2 (𝐸): (𝑧 + ) (4𝑧 2 − 2(1 + 3𝑖√3)𝑧 − 8) = 0
Ainsi lim 𝑃𝑛 = 𝑒 2 2
𝑛→+∞ 1
𝑧0 = −
Exercice 4 { 2
1) Nuage de points 4𝑧 2 − 2(1 + 3𝑖√3)𝑧 − 8 = 0 ⇒ 2𝑧 2 − (1 + 3𝑖√3)𝑧 − 4 = 0
𝑎+𝑏 2
Il faut calculer le centre de chaque classe 𝑐 = où a et b sont ∆= (1 + 3𝑖√3) − 4(2)(−4)
2
les bornes de l’intervalle ∆= 6 + 6𝑖√3 = 𝑢
𝛿1 est une racine de Δ
x 1 4 9 16 25
P 7 13 25 47 88 −𝑏 − 𝛿1 1 𝑖√3 −𝑏 + 𝛿1
𝑧1 = =− + ; 𝑧2 = = 1 + 𝑖√3
2𝑎 2 2 2𝑎
1 1 𝑖√3
𝑆 = {− ; − + ; 1 + 𝑖√3}
2 2 2
3-a) Ecriture complexe
𝑆(𝐴) = 𝐵 ⟺ 𝑧𝐵 = 𝑎𝑧𝐴 + 𝑏
⟺ 𝑎 − 2𝑏 = 1 − 𝑖√3 (1)
𝑆(𝐵) = 𝐶 ⟺ 𝑧𝐶 = 𝑎𝑧𝐵 + 𝑏
⟺ (−1 + 𝑖√3)𝑎 + 2𝑏 = 2 + 2𝑖√3 (2)
2-a) Les différentes valeurs prises par Y (1) + (2) ⟹ 𝑖√3𝑎 = 3 + 𝑖√3
P 7 13 25 47 88 ⇒ 𝑎 = 1 − 𝑖√3 (3)
Y 1,945 2,564 3,218 3,850 4,477 (3)dans (1) ⇒ 1 − 𝑖√3 − 2𝑏 = 1 − 𝑖√3 ⇒ 𝑏 = 0
b) Détermination de la droite de régression
D’où 𝑧 ′ = (1 − 𝑖√3)𝑧
𝑥𝑖 𝑦𝑗 𝑥𝑖 . 𝑦𝑗 𝑥𝑖2
1 1,945 1,945 1 b) Eléments caractéristiques
4 2,564 10,256 16 - Centre Ω d′ affixe 𝜔 = 0
9 3,218 28,962 81 - Rapport : 𝑘 = |𝑎| = √1 + 3 = 2
1
16 3,850 61,6 256 𝑐𝑜𝑠𝜃 = 𝜋
2
25 4,477 111,925 625 - Angle : 𝜃: { √3
⇒ 𝜃 = − [2𝜋]
3
∑ 55 16,054 214,688 979 𝑠𝑖𝑛𝜃 = −
2
Exercice 2
55 16,054
𝑥= = 11 ; 𝑦 = = 3,21 ⇒ 𝐺(11; 3,21) 1) Vérification
5 5
1 1 1 2
𝑑𝑒𝑡(𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) = | |=3−2=1≠0
𝑐𝑜𝑣(𝑋, 𝑌) 𝑁 ∑ 𝑛𝑖𝑗 . 𝑥𝑖 . 𝑦𝑗 − 𝑥. 𝑦 5 (214,688) − 35,31 1 3
𝑎= = = Donc (𝑒⃗1 ; 𝑒⃗2 ) est une base de E
𝑉(𝑋) 1 2 1
∑ 𝑛𝑖 . 𝑥𝑖2 − 𝑥 (979) − 121 2) Matrice de f
𝑁 5
𝑎 = 0,101 1 0
𝑀=( )
𝑏 = 𝑦 − 𝑎𝑥 = 3,21 − 0,101(11) = 2,099 0 0
3-a) Montrons que 𝑓(𝑖⃗) = 3𝑖⃗ + 3𝑗⃗ et 𝑓(𝑗⃗) = −2𝑖⃗ − 2𝑗⃗
D’où (𝐷): 𝑦 = 0,101𝑥 + 2,099
𝑓(𝑒⃗1 ) = 𝑒⃗1 ⇒ 𝑖⃗ + 𝑗⃗ = 𝑓(𝑖⃗ + 𝑗⃗) ⇒ 𝑓(𝑖⃗) + 𝑓(𝑗⃗) = 𝑖⃗ + 𝑗⃗ (1)
3) 𝑦 = 0,101𝑥 + 2,1 ⟺ 𝑦 = 0,101(6) + 2,099 = 2,705 𝑓(𝑒⃗2 ) = 𝑜⃗ ⇒ 𝑓(2𝑖⃗ + 3𝑗⃗) = 𝑜⃗ ⇒ 2𝑓(𝑖⃗) + 3𝑓(𝑗⃗) = 𝑜⃗ (2)
𝑦 = 𝑙𝑛𝑃 ⇒ 𝑃 = 𝑒 𝑦 = 𝑒 2,705 ≈ 14,95 ⇒ 𝑃 = 15 −2(1) + (2) ⇒ 𝑓(𝑗⃗) = −2𝑖⃗ − 2𝑗⃗ (3)
(3)dans (1) ⇒ 𝑓(𝑖⃗) = 3𝑖⃗ + 3𝑗⃗
Sujet 10 D’où 𝑓(𝑖⃗) = 3𝑖⃗ + 3𝑗⃗ ; 𝑓(𝑗⃗) = −2𝑖⃗ − 2𝑗⃗
Exercice 1
Proposé par Monsieur Phinehas KELA, professeur certifié des Lycées. Contact : [email protected]
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b) Les coordonnées
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢⃗⃗ ′ ⇒ 𝑓(𝑥𝑖⃗ + 𝑦𝑗⃗) = 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗
⇒ 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗ = 𝑥𝑓(𝑖⃗) + 𝑦𝑓(𝑗⃗)
⇒ 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗ = 𝑥(3𝑖⃗ + 3𝑗⃗) + 𝑦(−2𝑖⃗ − 2𝑗⃗)
⇒ 𝑥′𝑖⃗ + 𝑦′𝑗⃗ = (3𝑥 − 2𝑦)𝑖⃗ + (3𝑥 − 2𝑦)𝑗⃗
𝑥 ′ = 3𝑥 − 2𝑦
⇒ 𝑓: { ′
𝑦 = 3𝑥 − 2𝑦
c) Calcule de 𝑓𝑜𝑓(𝑢 ⃗⃗)
𝑥 ′′ = 3𝑥′ − 2𝑦′
𝑓𝑜𝑓(𝑢 ⃗⃗) = { ′′
𝑦 = 3𝑥′ − 2𝑦′ 1
𝑥 ′′ = 3(3𝑥 − 2𝑦) − 2(3𝑥 − 2𝑦) a) Il est claire que f peut s’écrire sous la forme : 𝑓(𝑥) = 𝑥
𝑓𝑜𝑓(𝑢 ⃗⃗) = { ′′ 𝑙𝑛𝑥
𝑦 = 3(3𝑥 − 2𝑦) − 2(3𝑥 − 2𝑦)
𝑥 ′′ = 3𝑥 − 2𝑦 b) Calcule de l’intégrale
𝑓𝑜𝑓(𝑢 ⃗⃗) = { ′′ ⇒ 𝑓𝑜𝑓(𝑢 ⃗⃗) = 𝑓(𝑢
⃗⃗) 3 3
1
𝑦 = 3𝑥 − 2𝑦
f est une projection vectorielle 𝐼 = ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫ 𝑥 𝑑𝑥 = [𝑙𝑛|𝑙𝑛𝑥|]3𝑒 = ln(𝑙𝑛3)
𝑒 𝑒 𝑙𝑛𝑥
D’où 𝐼 = ln(𝑙𝑛3)
e) Eléments caractéristiques
- Base : 𝐸1 = {𝑢 ⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑢
⃗⃗} c) Déduction
3
𝑥 = 3𝑥 − 2𝑦
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑢⃗⃗ ⇒ { ⇒𝑥−𝑦=0 𝐴 = ∫ 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 × 4𝑐𝑚2 ⇒ 𝐴 = 4ln(𝑙𝑛3)𝑐𝑚2
𝑦 = 3𝑥 − 2𝑦 𝑒
𝐸1 = {𝑢⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑥 − 𝑦 = 0} est une droite vectorielle engendrée Exercice 4
par le vecteur 𝑒⃗1 = 𝑖⃗ + 𝑗⃗ 1-a) Calcule de a et b
- Direction : 𝐸2 = {𝑢 ⃗⃗𝜖𝐸 / 𝑓(𝑢
⃗⃗) = 𝑜⃗} 𝑃5 = 4𝑃6 ⟺ 𝑎 = 4𝑏
0 = 3𝑥 − 2𝑦 Or ∑ 𝑃𝑖 = 1 ⇒ 0,4 + 0,15 + 0,15 + 0,05 + 4𝑏 + 𝑏 = 1
𝑓(𝑢⃗⃗) = 𝑜⃗ ⇒ { ⇒ 3𝑥 − 2𝑦 = 0 ⇒ 5𝑏 = 0,25 ⇒ 𝑏 = 0,05 𝑒𝑡 𝑎 = 0,2
0 = 3𝑥 − 2𝑦
𝐸2 = {𝑢⃗⃗𝜖𝐸 / 3𝑥 − 2𝑦 = 0} est une droite vectorielle engendrée D’où 𝑏 = 0,05 ; 𝑎 = 0,2
par le vecteur 𝑒⃗2 = 2𝑖⃗ + 3𝑗⃗
b) Probabilité de voir un numéro pair
Exercice 3 𝑃 = 𝑃2 + 𝑃4 + 𝑃6 = 0,15 + 0,05 + 0,05
1) Montrons que f est définie sur ]0 ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[ ⇒ 𝑃 = 0,25
𝑥≠0 Probabilité de voir un numéro impair
f est définie ⟺ {
𝑙𝑛𝑥 ≠ 0 ⇒ 𝑥 ≠ 1 𝑃 = 𝑃1 + 𝑃3 + 𝑃5 = 0,4 + 0,15 + 0,2
Donc f est définie sur ]0 ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[ ⇒ 𝑃 = 0,75
2) Vérification c) Probabilité pour que ça soit le numéro 1 sachant que c’est le
−(𝑥𝑙𝑛𝑥)′ −𝑙𝑛𝑥 − 1 numéro impair
𝑓 ′ (𝑥) = =
(𝑥𝑙𝑛𝑥)2 (𝑥𝑙𝑛𝑥)2 𝑃1 0,4
−1−𝑙𝑛𝑥 𝑃= = = 0,533
D’où 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑃1 + 𝑃3 + 𝑃5 0,75
(𝑥𝑙𝑛𝑥)2 D’où 𝑃 = 0,533
3-a) Signe de f’ 2-a) A indépendant de B
∀𝑥𝜖]0 ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[, (𝑥𝑙𝑛𝑥)2 > 0 le signe dépend du 𝑃(𝐴) = 0,25
1
numérateur. On pose −1 − 𝑙𝑛𝑥 = 0 ⇒ 𝑥 = 𝑃(𝐵) = 𝑃3 + 𝑃6 = 0,20
𝑒
1 𝑃(𝐶) = 𝑃1 + 𝑃2 + 𝑃3 = 0,70
′
∀𝑥𝜖 ]0 ; [ , 𝑓 (𝑥) > 0 ⇒ fest strictement croissante
𝑒 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐵) = 0,05
1 𝑃(𝐴 ∩ 𝐵) = 0,05
] ; 1[ ∪ ]1 ; +∞[, 𝑓 ′ (𝑥) < 0 ⇒ fest strictement décroissante 𝑃(𝐴 ∩ 𝐵) = 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐵) ; donc A et B sont indépendants
𝑒
b) Tableau de variations de f b) A indépendant de C
1 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐶) = 0,175
lim 𝑓(𝑥) = − − = −∞ , lim 𝑓(𝑥) = 0 𝑃(𝐴 ∩ 𝐶) = 0,175
𝑥→0+ 0 𝑥→+∞
lim− 𝑓(𝑥) = −∞ ; lim+𝑓(𝑥) = +∞ 𝑃(𝐴 ∩ 𝐶) = 𝑃(𝐴) × 𝑃(𝐶) ; donc A et C sont indépendants
𝑥→1 𝑥→1
3) Calcule de la probabilité
𝑥 1
0 1 +∞ La loi binomiale B (n, P) ; n=4 ; P=0,4 et q=0,6
𝑒
Voir apparaitre le numéro 1 au moins une fois au cours de ces
𝑓 ′ (𝑥) + - -
1 quatre lancers « l’événement contraire : ne pas voir apparaitre
𝑓(𝑥) 𝑔( ) +∞
𝑒 le numéro 1 au cours de ces quatre lancers » d’où la probabilité
cherchée est :
𝑃 = 1 − 𝐶40 𝑃 0 𝑞4 = 1 − 𝑞4 = 1 − (0,6)4 = 0,8704
−∞ −∞ ⇒ 𝑃 = 0,8704
0
1
𝑔 ( ) = −1
𝑒
c) Branches infinies
lim+ 𝑓(𝑥) = −∞ ⇒ 𝑥 = 0 est une asymptote verticale au
𝑥→0
voisinage de −∞
lim 𝑓(𝑥) = ±∞ ⇒ 𝑥 = 1 est une asymptote verticale au
𝑥→1
voisinage de ±∞
4) Le tracer
Proposé par Monsieur Phinehas KELA, professeur certifié des Lycées. Contact : [email protected]
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