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LEGISLATION DES ARRURANCES 1

0. INTRODUCTION
1. OBJECTIF DU COURS

Le cours vise à apprendre aux étudiants les principaux fondamentaux et


le notions élémentaire des lois applicable aux activités d’assurances.

A la fin de ce enseignement les étudiants devront à même de


discerne les aspects juridique et commerciale du contrent d’assurances.

2. OBJECTIF DU COURS

Au vu de nombre de risques on couris dans la vie les quelles ont pour


conséquences de perturbes les activités des hommes ce derniers
recourent à l’assurance pour satisfaire leur sécurité.

En effet, l’assurance contribue à diminuer et à étaler le risques, elle


constitue une méthode de répartition des risques extrêmement
imprévisible et sujet hasard en ce qui concerne une individu ; quand on
le considère en masse battement prévisible et uniforme.

Ce donc la célèbre lois de grand nombre qui permet à une compagnie de


fixer un taux de prime d’assurance vie de calculer de telle sorte qu’elle
ne soit jamais exposé de perdre de l’argent. Pour les sous comptes,
l’assurance revêt un caractère d’épargne – sécurité « automatique et
volontaire ».

Cependant, tous les risques de l’existence ne sont pas assemble. Ceci


tient en faut incontestable que deux conditions mathématique précis
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doivent à remplir avant que des pros……….. Actuarielles suffisamment


précises puisse être calculé.

En premier lieu, les nombres des événements doivent être élevés car ce
seulement en cas elles deviennent possible la mise en commun de
risque et « la compensation par les moyennes ».

En seconde lieu, les événements incertaines ……………….


Interrogativement indépendant.

L’étude mathématique d’assurance sert du cadre de ce cours qui borne


à suinter les aspects juridique du contrat d’assurance ainsi que les règles
de doit applicable au commerce des assurances.

3. PLAN DU COURS

Conformément à l’objet susmentionné ce cours comprend 3 parties


consacré respectivement au généralité, contrat d’assurance et
commerce d’assurance.

Chaque chapitre comporte 2 chapitres.

Ceux de la première partie traite, autour de rôle les opérations et de la


typologie des assurances.

Ceux de la seconde décrivent le déroulement du contrat d’assurance et


on discute les éléments.
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Tandis que ceux de 3ème partie présente les éléments d’assurance avant
de relever les particularités du marchés Congolais des assurances.
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CHAPITRE I : OPERATION DES ASSURANCES


SECTION 1 : DEFINITION, ROLE ET HISTORIQUE

1. DEFINITION

Selon la dictionnaire Roser méthodique l’assurance est un contrant par


le quel un assureur garanti à l’assuré moyennant du prime ou une
cotisation les paiements d’une sommes copris en cas de réalisation d’un
risque déterminé.

Cette définition juridique « du contrat d’assurance » devient plus


significative si elle est complétée par une définition technique des
« opération d’assurance ».

Selon la définition de elussique de Joseph J, Hermars cité par André


ROSA, l’opération d’assurance est une opération par le quelle une
partie, d’assuré se fait promettre moyennant d’une rémunération la prime
pour lui ou pour un tiens, en cas de réalisation d’un risque, une
prestation percuterai par une autre partie, mais le cadre de l’utilisation
des ressources des calculs de problème. Jacques BERNOULLE (1654 –
1705) formula la fameuse loi de grand ombre.

Au Congo (RDC), l’industrie des assurances semblait avoir une


existence assez veille CHARLE le jeune pour ne ….. que cette
compagnie d’assurance existant déjà ses ………… depuis 1889 c’est-à-
dire l’époque de L’E.I.C.
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Aux USA, il y a lien de relever l’incendie de Chicago qui amis en


évidence l’importance de l’indépendance et de la diversification de risque
pour la compagnie d’assurance.

Signalons en fin que selon Paul Samuelson la fameuse lhy de …… n’est


plus aujourd’hui qu’un simple lien de réunion pour les courtines
d’assurances.

SECTION 2 : BASES TECHNIQUES

1. TECHNIQUE DE LA MUTUALITE

L’assurance repose sur une technique appelé Technique de la mutualité,


celle-ci consiste en le mise en commun des ressources pour un certain
nombre de personne conscientes d’un exposées à un risque afin
d’indemniser celui ou ceux frappé par un sort. Cette indemnisation
demeure possible dans la mesure où tous ceux qui sort exposer ne sont
pas effectivement frappés.

La mutualité fondé sur sentiment de solidarité ou d’entraider de l’intérêt


individuel. D’encroiser en tant que association de personne, la mutualité
fonctionne grâce aux cotisations de ces adhérant ce groupement de
personne exposée pour se prémunis contre le risque constitue une de
tache de l’assureur sera déterminer la participation de chacun de
membre de telle sorte que grâce aux ressources collectées, ont puisse
établir un équilibre rigoureuse entre les recettes et ces dépenses.
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L’assurance se fonde sur le risque moyen pour déterminer la part de


chacun.

Quand à l’assurance tanestre il est classique de fixer sa date de


naissance au lendemain du fameux incendie qui renvergeant l’ordre le 2
septembre 1666. Le feu parti d’une boulagarete pour gagner en peu de
temps une aire de 15 hectares.

Il fallut au préparés 4 jours pour le maitriser. Le bilan Just


catastrophique : 1300 maisons détruites. Une des rares habitations
épargné est comportait une tavienne exploitée par un certain Edord
Loyed.

Ce dernier, tirent partir de sa chance créant son établissement un office


d’assurance incendie. C’est ainsi que na ………… la plus ancienne et la
plus importante institution mondiale dans le domaine des assurances.
L’Angleterre fut donc l’un de pays a s’organisé dans le domaine des
assurances. La France lui en soient le pas avec la codification, 1681, de
l’assurance maritime par J.B Ptise Colber (1619 – 83) mais, ce n’est
qu’après 1716 date de création de la Brigade de sapeurs pompiers de
Paris, que le ………. Société d’assurance contre incendie, appelé risque
majeur à cette époque virent le jour. Aux 19 siècles le Roi Louis XVIII
(1755 – 1824) autorisant de tendre l’activité d’une compagnie
d’assurance de responsabilité.

C’est ainsi que la loi Français de 1898 sur les accident du rendu la
responsabilité des employés pratiquement automatique.
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Ce qui entrainant de leur part une souscriptions d’assurance systémique


quand aux technique mathématique des assurances, et la doivent leur
développe à l’intervention de calcul de probabilité par Blaise Pascal
(1623 – 1667) et la mise au plus de ces applications à la fin du 17emè,
par les pères……………….

Des 1660, l’anglais John Crrount avait étudié la méthode mortalité des
habitant de lordre a vu de l’organisation d’un système d’assurance sur
livre mais l’assurance et l’assuré sont des personnes distingues ayant
des intérêt opposés : l’assureur émierait voir le taux de la prime
augmenter au fon dé hausser son bénéfice. Tandis que l’assuré
souhaitant voir le taux baissé.
La technique de l’assurance à permis s’oppose a celle de l’assurance
naturelle.

2. L’ASSURANCE NATURELLE

Est celle dans la quelle similaire de décode de mettre le ressource e


commun pour faire face à leur risque et constituent à cet effet une
société qui est en réalité une association (société naturelle).

Cette dernier est une association sans but lucratif (ASBL) dans le quelle
à la foi associé est endêveront assureur et assuré.

Contrairement à l’assurance à prime dans l’assurance naturelle, les


cotisations sont voie selon le nombre est l’importance de risque au cours
des exercices.

De nos jours, cette forme d’assurance à perdu son importance parce que
les 2 sortes organisations ce sont emporté les avantage réciproque.
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SECTION 2 : SELON L’ASPECT SOCIAL DES ASSURANCES

1. ASSURANCE SEULE

Cette assurance tant à garantir une sécurité collective à certain groupe


sociaux ou à ne certaine catégorie particulaire ou nombre de la société.
Elle se caractérise par le fait que le bénéficiaire est uniquement leur
nombre mais d’autre part que lui participent au paiement de cotisation
(employeur ou Etat).

Mais, cette notion de long terme recouvre de durée différente selon la


catégorie d’assurance. Ainsi, en assurance vie, un contrat fait généré le
résultat pendant une durée (une période) en prévue à 20 ans.

En non vie les contrats ont en principe, une durée orale supérieure à un
an. Mais dans le cas particulier e la responsabilité de senale regarde de
la construction ………………. Est accordé une durée de 20 ans.

A. Caractéristiques dérivées

La contrainte de capital minimum est une septicité de l’assurance. De


sociétés ……… mobiliser un certain montant de capital en fait d’assuré
l’insolvabilité en cas de difficulté financière. Ainsi pur voir fonctionner une
société d’assurance doit satisfaire le condition de capital minimum
communément admise dans le marché.

Les comptes annuels (Bilan et TFR) ne reflètent que partiellement la


situation patrimoniale réelle d’une société d’assurance d’où utilité d’une
vision différant si leur exercices permettent d’analyser sur le long terme
le principe tendance de l’évolution de résultat de contrats portefeuille.
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CHAPITRE II TYPOLOGIE DES ASSURANCES

SECTION 1 : SELON LA FORME DE SOCIETE D’ASSURANCE

Selon la forme de société à but lucratif ou non on distingue des


assurances à prime fixé et des assurances à prime variable (ou mi
duelles).

1. Assurance à prime ou à prime fixé

Les sociétés d’assurance à prime sont organisées sous forme des


sociétés anonymes. Ce sont des sociétés qui poursuivraient en
réalisation de…………………….ou des dividendes au projet de
partenaire. Par de formation l’assurance à permis est cette dans le quelle
l’assureur s’engage auprès de l’assuré moyennant d’une convenu d’une
variable appelé « Prime ».

Les risques couverts par l’assurance sociale se repartissent en 3


groupes :

- D’origine professionnel : Accident de travail maladie,


professionnelles, etc ;
- D’origine économique : Chômage un portraire etc…
- D’origine non professionnelle et non économique : invalidité
veilleuse, etc.

Dans notre pays, RDC c’est institution nation al de sécurité sociale


(INSS) qui s’occupe de cette catégorie d’assurance.
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2. Assurance privée

L’assurance privée vise la sécurité individuelle de l’assurance, elle est


exploité finalement par de société privée para étatique.

Dans notre pays c’est la SONAS qui est une entreprise public qui
s’occupe, à ce côté on avait sien imaginé d’autre société primé pour
assure la sécurité individuelle.

SECTION 3 : SELON ELEMENT NATUREL DE L’ASSURANCE

D’après éléments naturel on distingue des assurances maritimes, filiale,


la caste, terrestre et aérienne. L’assurance aérienne et régit aussi bien
par de disposition légales internes et par les conventions internationales.
Les assurances terrestres regroupent toutes les assurances qui ne sont
ni maritime, ni fluviale, ni castes ni aérienne.

Dans les assurances maritime, fluviale la caste et aérienne on trouve 2


sortes d’assurances
- L’assurance sur cops qui porte sur les appareils et
- L’assurance sur la faculté qui couvre le risque de marchandises
transportées.
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SECTION 4 : L’OBJET DE L’ASSURANCE

Selon leur objet – bien ou individu – les assurances se scindent en 2


catégories :

- Les assurances de dommage ;


- Les assurances de personne.

1. L’assurance de dommages

Ces assurances ont pour but de garantir l’assuré contre les


conséquences à son patrimoine. Leur fonction consiste à indemniser
l’assuré, l’indemnité d’assurance étant dans les dépenses du dommage
effective produit par le sinistre. Cette assurance est soumise au principe
inséminateur qui empêche l’assureur de percevoir le montant du
dommage effectif là il s’agit d’une raison d’ordre public. Cela veut dire
que la prestation de l’assureur ne peut, en cours ou excédé le montant
effectif au préjudice subit par l’assuré.

A. Les assurances du dommage se subdivisent :


L’assurance de choses : qui couvre les pertes matériels qui frappe les
biens propres de l’assuré ces pertes peuvent provoquer par un
événement ………………………………………….

B. L’assurance de responsabilité

Elle a pour objet de garantir les conséquences paumières de l’oslgation


d’un combat à l’assure reposer de dommage causé à autant par sa
faute. Elle permet donc à l’assuré responsable de joue face à la dette de
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dommage intérêt qu’il peut voir à la victime. Elle vise à compenser la


perte que subit la patrimoine de l’assuré grevé d’une dette de
responsabilité. Ce n’est pas de dommage subit par le tiens que
l’assureur réparé mais celui qui subit l’assuré du fait qu’elle est
responsable de dommage envers ce tiers d’intérêt. Cette assurance
cherche aussi à préserver le patrimoine de l’assuré.

2. Assurance de personne

Elles sont relatives à ceux qui concernant de personnes humaines. On


prend en considération la personne même qui est menancé à son
intégrité sa santé pour sa rigueur. Les plus situent sont des assurances
sur la vie dont les risques demeurent la durée de la vie humaine (vie,
décès, accident, maladie, survie, mariage, naissance) et sa principale
variété, les assurances contient les accidents corporelles et les
assurances médicaux et pharmaceutique qui relèvent les assurances de
dommage et restes soumissent aux principes indemnitaires.

A la différence des assurances des dommages, elle n’est pas pour tout
but redéposer un pré justice ; ce ne sont pas des contrats d’indemnités
et elles ne sont donc pas soumisses aux principes indemnitaires.

Les assurances prévoient de prestations en cas de réalisation de risque


qui menace la personne même de l’assuré, tel que l’infirmité accident ou
décès ; les prestations sont naturellement forfaitaire car il est difficile, si
non impossible d’évaluer en argent la vie, l’intégrité physique ou la santé
d’un être humaine. Il existe 3 types principaux d’assurances de
personnes :
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1. L’assurance sur la vie ;


2. L’assurance contre les accidents corporels ;
3. L’assurance maladie

A. L’assurance sur la vie

Elle est destinée en garantie soit les risque de décès soit le risque de sa
survie à une époque déterminé (l’assurance en cas de vie) soit les deux
à la fois l’assurance mixte).

B. L’assurance contre les accidents corporels

Par accident corporelle il faut attendre toutes l’espions de l’organisme


(blessure et même la mort décès) résultent directement de l’action
violente et soudaine d’une cause fortement extérieure et indépendante
de la volonté de l’assuré et le cas échéant de celle du bénéficiaire.

L’assurance contre les accidents corporelles peuvent garantir soit le


versement d’un capital en cas de décès ou d’un capacité permanente ou
d’infirmité (totale ou partielle) sont le versement d’une indemnité
journalière en cas d’arrêt de même (incapacité temporel) de l’assuré soit
de remboursement complémentaire ; soit à la sécurité sociale ; de frais
médicaux, d’hospitalisation et pharmaceutique.

Contrairement à la règle (forfaitaire) en matière d’assurance de


personne ; les principes indemnitaires s’appliquent en matière de frais.
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C. Assurance maladie

L’assurance maladie a pour objet de garantir de frais engagés par


l’assuré à la suite d’une maladie. Elle couvre également l’incapacité
consolative à la maladie cette assurance joue un rôle de complément ou
substitut de la sécurité sociale selon que l’assuré en bénéficie ou non.

Section 5 : selon le mode de gestion risque

Selon le mode de gestion de risque, on distingue les assurances de


répartition et des assurances de capitalisation.

1. Assurance de répartition

La répartition est une technique fondée sur la redistribution aux assurés


victimes d’un sinistre des sommes civile (RC). Etc.

2. Assurance de capitalisation

La capitalisation est l’opération inverse de l’actualisation. La prime n’est


pas seulement versée en prévision du risque. Elle comporte une part
d’épargné qui doit fructifier et servir à constitues le capital promis au
contrant (vie, nuptialité etc).
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CHAPITRE III : DEROULEMENT DU CONTRANT


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Dans les pays occidentaux, les contrant, le contrant d’assurance est un


‘’Contrat nommé’’, c’est-à-dire une convention entre deux partie qui
présentent un certain nombre de caractères permettant de la situer dans
la classification usuelle du point de vue de contrat.

Au Congo RDC le contrat d’assurance est un ‘’Contrant innommé c’est-


à-dire qui n’a pas reçu du point civil de dénomination particulière. En
autre

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