Un Roi Sans Divertissement Les Intertextes Et Les Tropes
Un Roi Sans Divertissement Les Intertextes Et Les Tropes
Un Roi Sans Divertissement Les Intertextes Et Les Tropes
Cette modeste étude est renforcée par plusieurs idées de votre agréable cours.
Ce travail est une idée personnelle et un défit pour rehausser mon niveau.
C’est improvisé un résultat qui me rend satisfait et heureux d’être un étudiant
d’un grand professeur productif. J’ai savouré le roman et je me suis rappelé des
passages et de idées traités en classe une réponse raisonnable m’est venue en
tête le professeur a raison de dire chaque nouvelle lecture du roman n’est
jamais semblable à la précédente.
Merci une autre fois Mr le professeur et je serai ravi d’assister à vos cours
pour améliorer mon niveau.
Un roman qui commence par une épigraphe : c’est une orientation et ouverture du texte
-l’incipit
L’hypotypose
L’énumération, la gradation
La rose : Ronsard
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-Je suis bien persuadé qu’il n’existe pas de plus beaux. Hyperbole
- il n’est pas possible qu’il y ait, dans un autre hêtre, ou qu’il soit, une peau plus lisse, de
couleur plus belle, une carrure plus exacte, des proportions plus justes, plus de noblesse, de
grâce et d’éternelle jeunesse. Enumération.
- le plus extraordinaire est qu’il puisse être si beau et rester si simple. Antithèse
- Apollon-citharède : le mythe
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L’interprétant du Protocol
Naturellement :
L’écrivain est celui qui absorbe la question de pourquoi dans un comment écrire ?
Un protocole de lecture qui fait appelle à l’intertextualité qui est nervalien dans le texte l’oxymore
Sylvie de Gérard de Nerval
Vous : une interaction les « on » les parenthèses, Vous êtes appelé à une vision, La fonction phatique
Il apostrophe
La stylistique
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En 1843-44-45 : chronologie
Des roses trimères : Gérard de Nerval le poème d’Artémise allusion et référence en même
temps.
- un jeune homme très brun, maigre, avec un peu de barbe, ce qui démesure ses yeux déjà
très large et très rêveurs. Il convoque Arthur Rimbaud
- hypotypose - le rêve
Thème de rêve
L’adjective antépositions
Un narrateur qui joue la mise en abime comme Jacques le Fataliste et son maître de Diderot
Jacques le Fataliste et son maître est un roman de Denis Diderot, dialogue philosophique (entre
Jacques et son maître) dont l'écriture s'étend de 1765 jusqu'à la mort de l'auteur en 1784.
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-Les roses trémières sont là : clin d’œil sur Baudelaire la beauté et le mal
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-Répétition du pronom ON
Evidemment : adverbe
« Ce qui est arrivée est plus beau je crois » l’oxymore baudelairien la beauté cruelle
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- L’ombre des fenêtres, le papillonnement de la neige qui tombe l’éclaircit et la rend d’un
rose sang frais dans lequel on voit battre le métronome d’une main qui essuie le givre de la
vitre, puis apparait dans le carreau un visage émacié et cruel qui regarde. Antithèse
-Ils ont tous l’aire de prêtre d’une sorte de serpent à plumes, métaphore
- la neige continue à tomber. Quatre heure ; la nuit ; On continue à tomber. Quatre heure ; la
nuit ; on allume les âtres ; il neige, cinq heures .six. Sept on allume les lampes …. (anaphore,
gradation) asyndète
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- page 17
- Cette Marie Chazottes avait vingt ans, vingt deux ans. Difficile aussi de savoir comment elle
était, car ici on vous dit : « C’est une belle femme » pour « une grosse femme ». Belle ? il
faut de gros mollets, de grosse cuisse, une grosse poitrine et se bouger assez vite ; alors c’est
beau. Sinon, on considère que c’est du temps perdu. On ira jusqu’à dire : « Elle est pas mal »,
ou : « Elle est jolie », mais on ne dira jamais : « Elle est belle. » parallélisme
(Il est vrai qu’on ne juge pas les hommes comme on juge les femmes) comparaison
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Les Dumont, les Pugnet, la femme de Raoult sont bruns, d’un brun même rare ici : très noir
et luisant. Et, la femme de Raoul, même en faisant le travail qu’elle fait, toujours dehors et
aux champs, est restée blanche. Antithèse
- une petite brune aux yeux clairs, blanche comme du lait, vive et bien faite, comme la
femme de Raoul.
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Altération
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- je pense à Perceval hypnotisée, endormi ; opium ?qui ?tabac ? Intertexte avec le roman chevalier
de ronde
-Perceval : allusion
- décrire un paysage
- l’ironie intertextuelle : incérer un texte dans un autre texte de manière à lever le voile
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-S’allonge, s’allonge indéfiniment. Répétition
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De Jacques, Pierre, Paul, mais, dans tout le village il y a un entremêlement souterrain de bruit, de
bridon, de bat-flanc, de bêlement, de fers, de fourches, de seaux d’eau, de suintement, d’auges, de
mots, de noms de bêtes : Bijou, Cavale, et Rousse, et Grise. Énumération
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- le rôdeur rôde
- Garibaldi, le maréchal .Prime et les exigences de la liberté. Intertexte Garibaldi est un général et
homme politique patriote italien
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Naturellement, attendre…attendre…
La lumière dorée et de l’aire qui pétille comme de l’eau de Seltz. Pléonasme et personnification
De jour en jour plus propre, de jour en jour plus lisse : parallélisme et asyndète
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Ici, il faut parler d’un Frédéric. Le grand-père. Appelons-le Frédéric II, puisque la scierie a commencé
à fonctionner avec Frédéric I et a continuer fonctionner sous Frédéric II, Frédéric III jusqu’à celui de
maintenant, Frédéric IV. Parlons du deux. Gradation
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- que c’était déjà le plus beau hêtre qu’on ait jamais vu. Hyperbole
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A CHichilien les gens sont peut –être plus bête qu’ici : comparaison
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Gneiss, porphyre, grès, serpentine, schiste pourris .Horizons entièrement fermé de roche acérées,
aiguilles de lus, canines, molaires, incisive…. : énumération
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La garde des indiens, les Aztèques, les pétrisseurs de sang , les batteur d’or, les mineur d’ocre, les
papes, les cardinaux, les évêques, les chevalier de la forêt ; entremêlent les tiares, les bonnets, les
casques, les jupes, les chaires peintes, les pans brodés, les feuillages d’automne, des frênes, des
hêtres, des érables, des amélanchiers, des ornes, des rouvres, des bouleaux, des trembles, des
sycomores, des mélèzes et des sapins dont le vert-noir exalte les autres couleurs. Gradation
l’énumération et la métaphore filée
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L’hêtre : la personnification
La description
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- il n’y pas d’étranger on est tous pareils : une idée contre l’étranger de Camus
- un lieu mortifère
Ensanglante : la monstruosité
Le soleil avait l’air de se décomposer en arcs-en-ciel comme à traves des jaillissements d’embruns.
Métaphore au début puis comparaison
Les forêts assises sur les gradins des montagnes, finissaient par le regarder en silence.
Personnification
-Cette virtuosité de beauté hypnotisait comme l’œil des serpents ou le sang des oies sauvage sur la
neige : COMPARAISON ET passage parallèle avec l’excipite et la page 25
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Un homme fait, costaud, courageux, le plus malin de tous, personne ne se sentait assez costaud
assez courageux et assez malin désormais. Hyperbole et asyndète
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A cheval, avec arme et bagage et un capitaine nommé Langlois. Intertexte avec Cervantès
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Répétition du mo « deux » plusieurs fois ce qui crée une polyphonie et une altération
Honorius :
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Le col SOUVAROFF
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Des lambeaux comme une pure émeraude COMPARAISON………….. Le haut pays d’ombre. Antithèse
Le père de Burle, le père de Cather ,la mère de Sazerat , le père de Pierrisnard, la mère de Juli, le père
de Raffin, la mère d’Antoinette Save, La mère. De Lambert, la mère D’Horatius, le père de Clément, le
cousin de Cléristin : énumération
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C’était, comme les années précédentes, un hiver lourd, noir de neige : oxymore
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Les lanternes faisaient jouer des lueurs brusques à travers la neige qui tombait. Personnification
Il y avait également deux ou trois porteurs de torche qui balançait des flammes nue et des fumées de
poix dans l’écroulement blanc. Personnification et allégorie
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On voyait dans la nuit très noire la muraille très noire de la forêt : pléonasme.
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- la page 59
Mais la neige commençait à prendre cette couleur verte du lever du jour. Métaphore
Frédéric II n’en aurait pas abandonné la prérogative pour tout l’or du monde : hyperbole
- le tiroir : le temps
- l’écrivain bricole
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L’horloge était sur ses genoux et il pensait : personnification et intertexte avec le poème l’horloge de
Baudelaire
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-Celui-ci était dilaté au point maintenant d’avoir au moins l’épaisseur de cinq hommes : hyperbole
-Sans qu’il s’en rendît compte, son corps et son esprit se préparèrent à la monstruosité.
-Il s’approcha (il ne monta plus, il s’étira vers le rebord de cette sorte de nid énorme, large comme
une cuve, que le chancre avait creusé dans l’énorme branche) une comparaison avec des adjectifs
mélioratifs.
- il resta face à face avec le visage très blanc quelques seconde à peine. Le temps de cent mille ans. Il
se croyait dans un rêve et face à face : spleen et intertexte avec le poème de Baudelaire « j’ai des
souvenirs comme si j’avais mille ans »
Le temps : Lamartine
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Car, c’était le visage bien connu de Dorothée dont, le beau visage de Dorothée, Dorothée
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Il était là-haut comme une silhouette.(« comme une cible »,dira FrédéricII.)
Un océan de sirop d’orgeat aux vagues endormies (personnification) , dans lequel ces jets de lumière
blanche(pléonasme) devaient faire surgir, comme des îles blême serties de noir l’archipel des
sommets de montagnes. Comparaison
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Ce nouveau monde était d’un vaste sans limites (hyperbole); semblable à l’archipel d’îles blême
serties de noire : Comparaison
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..et de faire un bruit très effrayant dans ce silence si tendu : antithèse et une métaphore avec
intertexte avec Pascale « le silence du monde qui nous effraie ….)
Frédéric II gardera de cette poursuite un souvenir renard : métaphore et intertexte avec la fontaine
« le corbeau et le renard »
L’Archat il en parlera comme Colombe devait parler des indes : Comparaison avec intertexte avec
Christophe colombe
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Il laissa derrière lui des bois des mélèzes, les bois de sapins, les bois de hêtres les bois de rouvre
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Une petite plume de fumée bleue montait des toits épais. Métaphore
(Frédéric II dira : « j’ai pensée tout de suite … » il ne dira vraiment pas à quoi il a pensée car c’est ici
qu’i a fallu de dépouiller d’une peau de renard qui était presque une peau de loup.) Intertexte avec la
fontaine et une métaphore
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-Saucisse était seule. Ses quatre-vingt-huit kilos furent bouleversés d’une grosse respiration de vache
et elle ouvrit la bouche toute ronde pendant au moins vingt seconde avant de se délivrer d’un cri qui
fit trembler la lampe. Métaphore et hyperbole
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La secoua comme un prunier ; enfin, il lui décocha, le plus galamment du monde : comparaison et
hyperbole
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Fit glisser Dorotée comme un fil à plombe entre ses grosses mains : comparaison
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J’avoue que ma respiration s’arrêta. Et je vis l’homme de face. Il me sembla qu’il avait un air
familier. Comparaison
Se dirigeant vers la place de l’église, comme s’il allait faire un tour Comparaison
Le temps qu’il se soit avancé comme ça de, mettons cent mètres Comparaison
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Elle était là, avec son béret de neige sur son œil ; pareille à ce qu’elle était Comparaison
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..il y e eut une grosse détonation et l’homme tomba. Langlois lui avait tiré deux cous de pistolet
dans le ventre des deux mais, en même temps : passage parallèle
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Un cavalier qui venait de Saint-Mauric.Il montait un cheval vraiment très attirant dans lequel on
sentait beaucoup de nef, de courbette et pétardes que le cavalier dominait fort bien : intertexte
avec les roman de chevalerie et surtout Cervantès
Le cavalier avait une redingote boutonnée jusqu’au cou, sanglée très étroit : intertexte avec
Napoléon
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IL était cassant comme ceux qui ne sont vraiment pas obligé de vous expliquer le pourquoi et le
comment. Comparaison
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C’était un cheval noir et qui savait rire, D’habitude, les chevaux ne savent pas rire et on a toujours
l’impression qu’ils vont mordre. Personnification et intertexte avec les roman des chevaliers et le
burlesque de Râblais
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Le cheval se mettait doucement à rire et remettait de lui-même et d’autorité le front sous la main :
le burlesque et la personnification
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Souvent donc, si le cheval n’était pas sur le seuil de son écurie pour guetter et saluer ses amis, et si
l’on avait besoin de lui, on entrait chez lui et on demandait : « Oh ! Est-ce que tu es là ? » Et il
répondait de son petit cri de colombe…. : personnification et Allégorie
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La rose est verte ou sont brodées au fil d’or des roses avec leurs feuilles : intertexte avec Ronsard
et Baudelaire
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Langlois s’étant mis dès trois heures de l’après-midi en redingote serrée et gibus tromblon sella son
cheval, le monta et fit ces deux cents pas en grand uniforme, sur place en faisant l’hippocampe.
Napoléon
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C’était un « Guadalajara » comme on appelle ici ceux qui sont allés faire fortune au Mexique :
Comparaison et intertexte avec l’histoire
(Elle avait alors près de la soixantaine ; elle en paraissait vingt, mettons trente : comparaison
Ces yeux qui mettaient un temps infini pour battre comme le soleil qui se couchait ! comparaison
et métaphore
Je ne crois pas.je crois qu’on n’avait palé que de neige. Je crois même que c’est Madame Time en
personne fit sciemment répandre le bruit : anaphore
« Leur, dit-elle, que c’est très haut, très haut qu’ici. » Rien que pour l’entendre prononcer ces très
« haut, très haut, plus haut » gradation et poétique
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Asyndète
C’était : présentateur
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J’ai l’impression que, cet après-midi-là, il s’amusa un peu de nous, car, comme sa route le menait
Devant les tilleuls de la place qui murmurait comme un ruisseau frais face à face avec les cent mille
étoiles : personnification et comparaison avec intertexte avec mille nuit de Schéhérazade
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IL était bel et bien allé à Saint-Baidille ; c’était bel et bien pour les patentes ; Urbaine c’était bel et
bien Nommé capitaine de louveterie.
Polyphonie
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LES pets et les soupirs à fendre l’âme d’un Jérémie essoufflé : intertexte biblique
Ah ! On eut de ce côté-là pas mal de soucis pendant deux ou trois jours ; puis, le quatrième :
apostrophe et gradation
Le vent d’octobre fait charger comme d’un miel et d’un vin sombre : comparaison
C’est qu’Onésiphore avait enfin cédé sa place à un Pierre-le-Brave, ancien cor de fanfare :
intertexte biblique et musicalité
Mme time fut habillé d’une petite veste à la zouave (soldat d’un corps d’infanterie en Algérie)
Faire zouave c’est faire l’idiot
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On ne pouvait pas oublier tout de suite ces temps ou nous avons été, pour ainsi dire, comme des
moutons dans les claies pour M.V. comparaison
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Les vaches et les chevreaux dansèrent la sarabande dans les écurés. Personnification
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Il ne s’agit plus de louvards. On avait affaire à quelqu’un qui ne s’embarrassait pas de figurer ou non
dans les fables de FONTAINE. Intertexte avec la Fontaine
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Un dialogue de cor de chasse tout à fait magnifique. Donner la chaire de poule, même en sachant ce
que c’était, tant il y avait dans cette musique de menace ancestrales. La musicalité
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Notre bise qui vous fait pisser un nez comme une fontaine : comparaison et hyperbole
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Nos vallons, nos crête, nos haberts, nos jas et nos piste les plus secrète : assonance et énumérations
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« Un tel, fils d’u tel père d’un tel sera à tel endroit, à tel moment. Il aura à sa gauche Baculard. » jeux
de mot
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On vit arriver un traîneau de Saint-Baudille. Attelé à trois ; vide ; rempli d’une simple couverture, oh !
De quarante kilos, à croire qu’il transportait de la neige. Apostrophe
Un virage ou les patins font un rond comme si on l’avait tracé au compas. Comparaison
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« un amateur d’âme »
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Je pouvais imaginer dans le bois la longue file de tirailleurs et chacun faisait comme moi, marchait à
pas de serpent en guettant de droite et de gauche : métaphore
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La cruauté, voyez-vous, inspire. Le loup qui est bien plus cruel que le renard est bien plus fini que lui.
« Ils croient que la peur va nous faire partir, eh bien, la peur va nous faire rester » antithèse
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L a lumière d’après-midi vire au sombre et l’on commence à voir ce qui n’existe pas. Antithèse
C’était seulement les taillis qui semblait bondir les uns des autres : comparaison
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Bossuet en personne ! Bossuet général en chef ! Bossuet à Austerlitz ! Qu’est ce qu’on nous passait
comme félicitation avec la bouche de cuivre ! Et comme ordre ! Comparaison et intertexte avec
Bossuet
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Où toute notre musique tournait en venin (allégorie), et ce venin elle ne le versait pas dans un loup.
Ah mai non (apostrophe), j’imaginais que cette oreille était comme un entonnoir embouché dans les
queues d’un paquet de mille vipère grosse comme le bras (comparaison), et que c’est dans ces
vipères que le venin était bourrée comme le sang dans un boudin. Comparaison)
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Il a des pectoraux comme un âne de meunier. il n'a pas d'oreille. Il a la tête ronde comme une
courge. Il marche à pas compté comme le procureur. Il a toute l’épine dorsale en arête de poisson. Il
a la queue raide comme une tringle. Il est superbe ! Métaphore filée
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Sans Langlois qu’il beau massacre : métaphore et intertexte avec Baudelaire et passage parallèle avec
l’incipit
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Ainsi donc, tout ça, pour en arriver encore une fois à ces deux coups de pistolets tirés à la diables,
Après un petit conciliabule muet entre l’expéditeur et l’encaisseur de mort subite ! Métaphore et
passage parallèle
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A l‘époque du café de la route elle avait un visage d’homme ; maintenant il avait un visage de
notaire. Métaphore
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Un éclat de rire, une larme, ou n’importe quoi, finirait par nous expliquer ce qui ne s’était jamais
expliqué. Allégorie
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Cela durait des heures : une fois ; deux fois ; trois fois : la gradation
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La paronomase est une figure de mots par jeux de sonorités qui repose sur l'association de deux
paronymes, à savoir deux mots qui se ressemblent phonétiquement mais qui sont pourtant presque
antonymes. Le but de ce rapprochement est de souligner paradoxalement la différence de sens dans
la ressemblance de sons.
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Leurs visages sur lesquels nous comprenions bien qu’ils installaient pour nous des lueurs de joies
artificielles ? Allégorie
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Quand Langlois eut tiré ses deux coups de pistolets : passage parallèle
(Comme d’habitude il faut bien dire ; et à la diable ; ajustés, mais à la diable) comparaison
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L'allitération et l'assonance sont deux figures de style qui visent à créer des effets sonores fondés
sur la répétition de consonnes (allitération) ou de sons vocaliques (assonance) identiques.
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IL n’y a pas d’étranger, il n’y a pas d’étranger ; comprends tu ça, ma vieille ? Anaphore et intertexte
avec l’étranger d’Albert Camus
Tu dit que rien ne se fait par l’opération du Saint-Esprit et moi je dis que peut être tout se fait par
l’opération du Saint-Esprit précisément. Intertexte biblique et antithèses
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Mais si ! À croire que, sans brodeuse, notre vie avait été jusqu’ici un phénomène de cirque :
Métaphore
Il produisait l’effet de l’au sur les fleurs : métaphore intertexte avec Baudelaire
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Mais aussi fourrer son nez dans ce qui vous ne regarde pas
Depuis le XVIe siècle, elle est employée dans le sens figuré pour qualifier l'attitude d'une personne
qui a pour habitude de se mêler des affaires des autres alors que cela ne la regarde pas. "Quelqu'un
qui fourre son nez partout" cherche donc à s'immiscer dans la vie de tous sans y être invité.
La peinture
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Ses yeux qui étaient du bleu le plus bleu ! Quoiqu’ils soient si bleus, ils ne donnaient pas du tout
cette impression de jeunesse que donne les yeux bleus. Jeux de mot et métaphore et une peinture
C’était : le conte
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Avoir les doigts usés et les yeux rougis : métaphore et une rime
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Il y avait un portrait ovale dont le cadre luisant, fluide comme un rameau d’osier, contenait du rose,
du vert tendre et du bleu, en forme vaguement de jeune fille. Métaphore filée et intertexte avec
Baudelaire et de la peinture Joachim Du Bellay : fait intégrer la rose dans la poésie
Française
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Presque entièrement dans l’ombre, au milieu des objets à forme imprécises, je voyais l’épaule de
Langlois. Il était assis profondément dans un fauteuil à oreillettes. Sans le drap clair de sa
redingote … : Napoléon
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Le temps d’un clin d’œil elle fut heureuse au point qu’elle souriait à un ange. La métaphore et Le
fantastique
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Même la bourgeoise Dont Mme time tenait le rôle devait en avoir pitié. Si elle voulait être
dans son rôle, c’était le moment de se dresser et de partir. Le théâtre
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Elle avait sa vieille bouche de quatre-vingt ans enfoncée dans ces os jaunes par des coups de poing
qui avaient dû lui marteler la bouche pendant quatre-vingts ans et n’avait réussi à la lui défoncer
que depuis peu. Ses lèvres noires très minces et par- dessus, tremblaient les gros poils raides et
blancs de ses moustaches clairsemées. Des poils aigus comme des dents de brochets.
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J’ai compris son sourire plus tard. Un joli sourire qu’il avait qui sauvait par en dessous tout le petit
serpentement de sa moustache : répétition du mot et le burlesque
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De ce portrait en pied que Langlois avait contemplé jusqu’à en avoir des yeux comme des œufs de
pigeons et la joue gaufrée par un reps de fauteuil : comparaison
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Et quel alentour ! La rosée couvrait les champs ou’ le blé avait été coupé et l’éteule en était rose
comme un beurre qui fait la perle. Le ciel était bleu comme une charrette neuve. De tous les côtés :
comparaison
Les alouettes faisaient grincer des couteaux dans des pommes vertes. Personnification
Il y avait des odeurs fines et piquantes qui faisaient froid dans le nez comme des prises de civette .
Comparaison
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Onze enfants qui se mirent dans nos jambes comme une flaque d’oiseaux : comparaison
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A lui seul il était plus vaste que mes trois pièces du café de la route et c’était, tel que, un endroit
très agréable à vivre, frais, parfumé de l’odeur balsamique des pins, illustré de tous les côtés par
des peintures de volière et d’oiseaux, dans des coques de rubans et des trait de plumes. Mais je me
dis «tu peux courir ! » comparaison métaphore peinture
Comparaison et théâtre
La scène couverte de son rideau rouge peint en faux rideaux, avec des continuations de vol
d’oiseaux autour d’une grosse figure aux yeux terriblement vides…métaphore
Scène, rideau haute pièce, la scène, ses troupes, cette salle de théâtre, terrasse, vestibule, salon,
théâtre : pragmatiquement dans les deux pages un champ lexical de théâtre
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« Hausse, Hausse, hausse-nous ! Jusqu’à quel endroit vas-tu nous hausser ?... » Bruissement de
langue un sifflement
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Page 205
Un mot ne semblait qu’un mot au premier abord, mais je me méfiais beaucoup des mots.
Comparaison
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- UN labyrinthe ? Anaphore
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Je suis à peut prés sûr que, si tu parles de la femme de trente ans, tu va m’amener Mme Time en
chair et en os sur le coup du crépuscule. Métaphore
- ce serait cependant ta place, dit-il, en prenant prudemment du champ comme s’il avait peur :
Comparaison
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Mme Time sauta du traineau comme si elle avait vingt ans Comparaison
On aurait pu croire que Mme Time avait été transportée ici par la fameuse opération du Saint-
Esprit : fantastique et métaphore
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Si nous parlons comme nous venons de parler, à des oies ou à des dindes, ça piailler.
Fantastique et métaphore
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Stichomythie : le théâtre
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Le jour était bien levé et plein de brume d’ange sur un ciel rose. Métaphore
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De mon côté, il y avait encore deux hommes : celui au bouton de cuivre et une sorte de roublard en
blouse. A côté du roublard, une jeune villageoise dégrafa finalement son corsage et donna le sein à
un gros nourrisson gras, si goulu qu’il pompait avec ses trous de nez le lait qui lui échappait de la
bouche .Et le lait luit échappait de la bouche parce qu’il grognait. Et il grognait parce qu’en
pompant le lait avec le nez il s’engorgeait et perdait le souffle. Il était dans une rage ! il mordait sa
nourrice. C’est sensible un sein. Description métaphorique
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Langlois avait tout à fait l’aire de ceux qu’on plante à la porte des églises pour nous inciter à faire
notre mea-culpa : intertexte biblique
Faire son mea-culpa, reconnaître ses torts. Synonyme : demander pardon, se frapper la poitrine, se
repentir, se reprocher, s'en vouloir.
Mea culpa est une expression d'origine latine qui signifie "ma faute" ou "mon erreur" et est une
reconnaissance d'avoir mal agi.
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Répétition du mot idée en parallèle avec un autre passage
A la guerre comme à la guerre aux grands maux les grands remèdes : une comparaison et un
parallélisme avec rapport à un passage parallèle Page 81
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Même s’il est question de respect.et puis, respect…. Est-ce qu’on respecte ceux qu’on aime ?
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Je n’ai rien reproché, pas plus que je n’avais à reprocher au tablier blanc de sa bonne qui était très
blanc
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Les soirées était paisibles (métaphore) Langlois comme tous les soirs, avait ouvert la boîte de
cigares, pris un cigare et il était allé le fumer au bout de jardin. Par la fenêtre on voyait le point
rouge du cigare allumé qu’il a vait à la bouche aller et venir (oxymore) dans la nuit ; une nuit très
noire (pléonasme) dans laquelle on voyait la forme des montagnes et la brise de cigare se déplacer
lentement (personnification) comme une lanterne de voiture qui se serait déplacée dans les forêts
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Mais, dès la première chute de neige ……C’était évidement suffisant pour que tout le pays soit
blanc, même beaucoup plus blanc que lorsqu’il en tombait un mètre. Hyperbole
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Le conte populaire
« qui a dit un roi sans divertissement est homme plein de misère » parodie
La fonction essentielle d'un excipit est de donner un sentiment d'achèvement au lecteur. Il s'agit le
plus souvent de sceller le sort des personnages ; mais l'aboutissement peut aussi être d'ordre
idéologique avec une conclusion morale, philosophique ou politique.
Objectif : montrer que le dénouement, tel qu’il est narré, ne nous délivre, comme l’incipit,
qu’une révélation partielle ou fragile. C’est la puissance évocatrice de la poésie, l’appui sur
les textes antérieurs et l’effet de répétition des scènes qui permettent de reconstituer le
parcours intérieur du personnage et le drame de Langlois. Giono livre toutefois une vision
pessimiste de la condition humaine, que la comparaison avec Pascal, qui voyait un salut
possible dans la foi, assombrit encore davantage.
Notions abordées : l’excipit, le dialogue, l’intertexte, le mélange des genres.
- excipit : la présence de l’oralité qui renvoie au conte.
Or et nuit : antithèse
LES CITATIONS
Italo Calvino l’a dit et bien dit, déjà: « Les classiques sont des livres qui, quand ils nous parviennent,
portent en eux la trace des lectures qui ont précédé la nôtre. » Ces livres, poursuivait l’Italien dans
sa réflexion Pourquoi lire les classiques, « traînent derrière eux la trace qu’ils ont laissée dans la ou
les cultures qu’ils ont traversées (ou plus simplement dans le langage et les moeurs) ».
« Quand je joue à la pomme c’est dans une même balle dont joue l’un et
l’autre main l’un l’a place mieux »
Pensées de Blaise Pascal. Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau, la disposition des
matières est nouvelle. Quand on joue à la paume c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais
l'un la place mieux.
« L’écriture de Montaigne est une illumination mais ne me dite pas que j’ai
rien dit de nouveau »
« Il faut rappeler à l’auteur que ce n’est pas lui qui crée son texte mais qu’il
s’écrie sans lui »
« Je ne sais pas bien sûr comme disent un certain que la femme soit l’avenir
de l’homme »
« Tout discours est traversé par le discours des autres » Michel Foucault
Tout texte se construit comme mosaïque de citations, tout texte est ... Julia Kristeva,
Le romancier c’est celui qui se diverti en racontant
« qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau: la disposition des matières est nouvelle;
quand on joue à la paume, c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais l'un la place
mieux »
Au Lecteur
C'est l'Ennui ! L'œil chargé d'un pleur involontaire,
II rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !
l’hypotypose : décrire comme si c’était devant les yeux, les jeux de peinture dans le texte .
- le passage parallèle :
Un passage d’un texte pour expliquer un autre passage d’un autre texte. Convoquer un texte d’un
autre auteur ou du même auteur pour renforcer.
« Tu m'as donné La boue et j'en ai fait de l'or », écrit Baudelaire dans l'épilogue des Fleurs du mal.
C'est ainsi qu'il définit cette esthétique moderne prenant pour objet poétique la laideur et
l'horreur banale de la réalité urbaine.
Charles BAUDELAIRE
1821 - 1867 Une charogne
L’ironie intertextuelle qui rappelle que le texte est enchâssé entre deux citations.
La phrase incise contient un verbe de parole (dire, répondre, répliquer, protester, chuchoter, crier,
implorer, etc.)
- il annonce le thème majeur du roman la découverte d’une beauté fatale, mortifère, cruelle.
- la découverte d’une beauté d’une beauté mortifère qui annone l’angoisse de la mort.
- Frédéric fait l’expérience de la fascination il va découvrir la monstruosité dans l’être.
Palimpsestes. La Littérature au second degré est un livre de Gérard Genette paru en 1982
aux éditions du Seuil. Il développe la théorie de la transtextualité, c'est-à-dire l'ensemble des
relations qui peuvent exister entre deux ou plusieurs textes, et définit les différentes relations
hypertextuelles.
Titre et composition
Le mot palimpseste désigne un parchemin qu'on a gratté dans l'intention d'en effacer le texte pour
en écrire un nouveau ; le premier texte reste cependant souvent visible, par transparence, sous le
second. Par métaphore, le palimpseste représente donc la relation hypertextuelle : on peut trouver
dans tout texte littéraire la trace d'un autre texte littéraire plus ancien.
Umberto Eco
- le narrateur c’est le porte -parole de l’écrivain.
asyndète est une figure de style qui consiste à supprimer volontairement dans une phrase les
conjonctions qui y seraient nécessaires pour préciser la liaison logique entre les mots ou les
groupes de mots.
La scierie : vous rappelle « le rouge et le noire » de Stendhal Julien Sorel Le Héros qui a reçu
une gifle de son père pour avoir abandonner le travail dans la scierie en lisant un livre julien
Sorel pensait au livre « livre sur Napoléon » qu’il a perdu dans la rivière plus que la gifle.
Le texte produit son protocole : la rose trémière je ne peux lire ce texte que dans l’oxymore
Baudelairien la beauté dans le mal
La problématique : nous tâcherons de voir comment à travers un incipit naturaliste transparait une
parodie du réalisme ? Parodie
Intertextualité
Dans "Un roi sans divertissement", plusieurs motifs comportent une intertextualité
schopenhauerienne : il s'agit notamment du motif des hiéroglyphes étranges gravés sur le dos d'un
cochon par le tueur en série M.V. où nous retrouvons la métaphore scripturaire récurrente chez
Schopenhauer.
la narration. Par son refus ou son incapacité d’omniscience, par ses lacunes ostentatoires, le
narrateur développe un jeu métatextuel, fait d’humour et de cocasserie, qui le rapproche à la
fois de Diderot et de Cervantès.
Le spleen est un mal de vivre, une angoisse existentielle tandis que l'Idéal est un monde d'ordre, de
sens et de beauté vers lequel le poète tend. L'Idéal
Au sujet du Spleen
Dans la section Spleen et Idéal, quatre poèmes portent le titre de « Spleen ». Ce terme anglais
désigne un état de mélancolie caractérisé par le dégoût de toute chose. Dans une lettre à sa
mère, le poète le définit comme « un immense découragement, une sensation d’isolement
insupportable, une peur perpétuelle d’un malheur vague, une défiance complète de ses forces,
une absence totale de désirs, une impossibilité de trouver un amusement quelconque ».
hur RIMBAUD
1854 - 1891
Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.
Dialogisme : Bakhtine
Blaise Pascal. Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau: la disposition des matières est
nouvelle; quand on joue à la paume, c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais l'un la
place mieux.
Après un effort sur la totalité du roman et la révision des cours on découvre que ce conte est
pleine d’intertexte et de passage parallèles, plusieurs tropes ont été analysés pour décortiquer et
déceler le sens caché c’est un texte poétique et théâtral en même temps l’auteur joue avec les mots
et nous fait impliqué et nous donne des clins d’œil pour imaginé et être fasciné
Bonne chance j’aurais aimé faire un travail mieux que ce travail modeste mais dommage le temps
presse
Je vous conseil de faire une approche intertextuelle et stylistique du passage pas linière
Des fautes vous allez ont trouvé parce ce que ‘est un travail qui n’est pas vérifié ni de ma part ni
quelqu’un d’autre