Un Roi Sans Divertissement Les Intertextes Et Les Tropes

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Dédicace

Je tiens à vous remercier Mr le professeur S.SLAMTI pour tous les efforts


fournis durant le semestre à savoir 14 séances et deux séminaires. Une
bibliothèque, des références, un savoir diversifié, des idées sur les courants
littéraires des écrivains. Je ne vous cache pas que les prises de note durant
votre séance s’étalent parfois sur plus 08 pages.

Après plusieurs lectures du romans on découvre pourquoi ce roman Un


roi sans divertissement a fait l’objet de plusieurs études. Une analyse du
vocabulaire nous fait découvrir la nature et la musique les couleurs on est
devant un peintre .Puis une autre étude basée sur les clefs données en classe
nous a permis une étude critique qui vous ouvre les yeux sur des intertextes et
la présence de plusieurs genres littéraires dans le texte. On est face à un
écrivain manipulateur qui nous implique dans l’histoire.

Écouter la musicalité du texte et la dramaturgie dans les dialogues le


suspense des romans policiers la poétique et les rythmes variés on dirait un
cinéaste un conteur ambulent. Un repérage des intertextes et des tropes le
long du roman nous a donné une idée sur la stylistique et l’esthétique d’un
conte merveilleux.

Cette modeste étude est renforcée par plusieurs idées de votre agréable cours.

Ce travail est une idée personnelle et un défit pour rehausser mon niveau.
C’est improvisé un résultat qui me rend satisfait et heureux d’être un étudiant
d’un grand professeur productif. J’ai savouré le roman et je me suis rappelé des
passages et de idées traités en classe une réponse raisonnable m’est venue en
tête le professeur a raison de dire chaque nouvelle lecture du roman n’est
jamais semblable à la précédente.
Merci une autre fois Mr le professeur et je serai ravi d’assister à vos cours
pour améliorer mon niveau.

Un roi sans divertissement


Un roman à lire et à relire chaque lecture vous fait découvrir une esthétique et un jeu.
On est devant un conte fantastique qui utilise surtout la double énonciation et les tropes
pour valoriser une nature qui cache une beauté cruelle les énumérations la polyphonie les
anaphores la gradation le parallélisme et autres tropes lèvent le voile sur le sens oblique du
texte .Notre lecture approfondie nous a permis un repérage le longe du roman en se
focalisant sur une approche intertextuelle cette coprésence des autres textes sur notre
roman objet d’analyse . Cette étude critique d’un œil et d’un esprit qui cherche tout ce qui
nous rappelle un déjà vu ou un déjà selon Julia Kristeva chaque texte est une mosaïque de
citation.

Un roman qui commence par une épigraphe : c’est une orientation et ouverture du texte

Elle annonce le spleen et la musique

-l’incipit

La mythologie, l’éloge de l’être

Apollon mythe de beauté

Asyndète : si bien et reste si simple Baudelaire oxymore

Il convoque les fleurs du mal

L’hypotypose

L’énumération, la gradation

Enumération : ironie intertextuelle

Giono annonce son projet

La rose : Ronsard

Le petit jardin : allusion à Verlaine

- interférence entre beauté et laideur

Un jeune homme brun : les sœurs de charité d’Arthur Rimbaud

Le naturalisme : il commence à décrire CHéchilien des descriptions


Le mythe : Apollon

Il lit lisait : anaphore Sylvie allusion et référence à Gérard de Nerval

Gris sournois : personnification

Page 9

-Je suis bien persuadé qu’il n’existe pas de plus beaux. Hyperbole

- il n’est pas possible qu’il y ait, dans un autre hêtre, ou qu’il soit, une peau plus lisse, de
couleur plus belle, une carrure plus exacte, des proportions plus justes, plus de noblesse, de
grâce et d’éternelle jeunesse. Enumération.

- le plus extraordinaire est qu’il puisse être si beau et rester si simple. Antithèse

- Apollon-citharède : le mythe

Page 10

L’interprétant du Protocol

On irait on ne ferait quoi ? Deux interrogations

Naturellement :

La parole est une communauté sociale

Le présent de la narrativité : c’est comme ici

Dans chichilien c’est l’ennui

L’écrivain est celui qui absorbe la question de pourquoi dans un comment écrire ?

Le rapport symbolique Baudelairien

Il ne fait pas le réel fuligineux il l’approfondie pour le transposé

Et les roses trémières sont là je ne sais pas pourquoi ? L’ironie

L’ennui lieu de la création : c’est l’ennui qui nous permis de créer

Pour Pascal l’ennui nous pousse à revenir à Dieu

Giono l’ennui c’est l’outil principal de la création

Ce V n’as pas de trace au cimetière

Un protocole de lecture qui fait appelle à l’intertextualité qui est nervalien dans le texte l’oxymore
Sylvie de Gérard de Nerval

Vous : une interaction les « on » les parenthèses, Vous êtes appelé à une vision, La fonction phatique

Le conte merveilleux, Le bricolage mythique

Il apostrophe

La stylistique

Page 11

En 1843-44-45 : chronologie

Des roses trimères : Gérard de Nerval le poème d’Artémise allusion et référence en même
temps.

- Un petit jardin : Antéposition d’adjectif Paul Verlaine

- un jeune homme très brun, maigre, avec un peu de barbe, ce qui démesure ses yeux déjà
très large et très rêveurs. Il convoque Arthur Rimbaud

- il lit, il lisait Gérard de Nerval : Sylvie. Anaphore référence

- de vague monstrueuse bleu baleine. Personnification

- gris sournois : Personnification

« Il lit, il lisait » anaphore

Il lit Gérard de Nerval

- hypotypose - le rêve

L’ambigüité que crée le fantastique

- il y a des éléments lexico syntaxique qui joue avec l’ambivalence

Sylvie : référence illusion et citation

L’endroit : glauque noirâtre

Thème de rêve

Gérard de Nerval : roman baroque

Les antépositions des adjectifs dépréciatives

« On » pour impliquer le lecteur « Alors » l’intensité


La métaphore : « vague monstrueuse »

Avant pour : description

Après pour : intensité

L’adjective antépositions

Un espace qui annonce le meurtre, la beauté cruelle

La répétition pour évoquer la nostalgie

-Justifier les axes interprétés

Les champs sémantiques paradigmatiques

Giono joue de l’état civile comme Balzac

Un narrateur qui joue la mise en abime comme Jacques le Fataliste et son maître de Diderot

Jacques le Fataliste et son maître est un roman de Denis Diderot, dialogue philosophique (entre
Jacques et son maître) dont l'écriture s'étend de 1765 jusqu'à la mort de l'auteur en 1784.

La fiction raconte le réel mieux que le réel lui-même

Page 12

-Les roses trémières sont là : clin d’œil sur Baudelaire la beauté et le mal

-Il lit Sylvie, de Gérard de Nerval. Référence

- il était grand ou petit. Oxymore

Page 13

-Répétition du pronom ON

- Ce qui est arrivé est plus beau : je crois. Hyperbole

Evidemment : adverbe

« Ce qui est arrivée est plus beau je crois » l’oxymore baudelairien la beauté cruelle

Et Gérard de Nerval Sylvie le texte appel à lire Nerval

Page 15
- L’ombre des fenêtres, le papillonnement de la neige qui tombe l’éclaircit et la rend d’un
rose sang frais dans lequel on voit battre le métronome d’une main qui essuie le givre de la
vitre, puis apparait dans le carreau un visage émacié et cruel qui regarde. Antithèse

-Ils ont tous l’aire de prêtre d’une sorte de serpent à plumes, métaphore

- Une heure, deux heures, trois heures ; gradation

- la neige continue à tomber. Quatre heure ; la nuit ; On continue à tomber. Quatre heure ; la
nuit ; on allume les âtres ; il neige, cinq heures .six. Sept on allume les lampes …. (anaphore,
gradation) asyndète

Page 16

- Un jour, deux jours, trois jours, vingt jours de neige.

- page 17

- Cette Marie Chazottes avait vingt ans, vingt deux ans. Difficile aussi de savoir comment elle
était, car ici on vous dit : « C’est une belle femme » pour « une grosse femme ». Belle ? il
faut de gros mollets, de grosse cuisse, une grosse poitrine et se bouger assez vite ; alors c’est
beau. Sinon, on considère que c’est du temps perdu. On ira jusqu’à dire : « Elle est pas mal »,
ou : « Elle est jolie », mais on ne dira jamais : « Elle est belle. » parallélisme

(Il est vrai qu’on ne juge pas les hommes comme on juge les femmes) comparaison

Page 18

Les Dumont, les Pugnet, la femme de Raoult sont bruns, d’un brun même rare ici : très noir
et luisant. Et, la femme de Raoul, même en faisant le travail qu’elle fait, toujours dehors et
aux champs, est restée blanche. Antithèse

- est resté blanc comme du lait. Comparaison

- une petite brune aux yeux clairs, blanche comme du lait, vive et bien faite, comme la
femme de Raoul.

Page 19

-Faire……………serait……..disparaissent ………….Marie ………….l’aurait ………..il l’aurait

Altération

Page 21

-Ça devait être un petit assez gros. Antithèse


- il avait des bruits pas catholiques. Intertexte biblique

Page 23

- il a le meilleur pas de tout le village. Hyperbole

- dans les nuages. Oui, dans les nuages. Parallélisme

- nous avons affaire à un dieu, un demi-dieu ou un quart de dieu. Gradation et pastiche

Mais alors, brusquement : la fonction phatique

Page 24

- Peine comme un œuf. Comparaison

- je pense à Perceval hypnotisée, endormi ; opium ?qui ?tabac ? Intertexte avec le roman chevalier
de ronde

- page 25 : Une allusion de Perceval à travers la référence d’un « chevalier de ronde »

- Langlois se prend comme Perceval

- analyse d’un passage page25

- rappelez un passage parallèle

-Perceval : allusion

- la peinture, histoire de peinture

- décrire un paysage

-allusion : roman de chevalerie

- la quête de la vérité le graal

-Ravenelle la polyphonie page 25

- l’ironie intertextuelle : incérer un texte dans un autre texte de manière à lever le voile

Le rouge et le blanc : la peinture l’écrivain doit être un artiste

Hypnotisé par le sang de l’oie : allusion au roman chevalier

() Les parenthèses la métanarativité

Page 27
-S’allonge, s’allonge indéfiniment. Répétition

- floc, floc, floc,,,, une musicalité

-oui ?non ? Oxymore

Page 28

De Jacques, Pierre, Paul, mais, dans tout le village il y a un entremêlement souterrain de bruit, de
bridon, de bat-flanc, de bêlement, de fers, de fourches, de seaux d’eau, de suintement, d’auges, de
mots, de noms de bêtes : Bijou, Cavale, et Rousse, et Grise. Énumération

Page 29

- le rôdeur rôde

- Garibaldi, le maréchal .Prime et les exigences de la liberté. Intertexte Garibaldi est un général et
homme politique patriote italien

- Page 30

Naturellement, attendre…attendre…

Tous les chemins luisant comme des baves de limace. Comparaison

La lumière dorée et de l’aire qui pétille comme de l’eau de Seltz. Pléonasme et personnification

Il y a le ciel un beau ciel : asyndète

De jour en jour plus propre, de jour en jour plus lisse : parallélisme et asyndète

Page 31

-Ce printemps qui ne rendait rien cette fois : personnification

Ici, il faut parler d’un Frédéric. Le grand-père. Appelons-le Frédéric II, puisque la scierie a commencé
à fonctionner avec Frédéric I et a continuer fonctionner sous Frédéric II, Frédéric III jusqu’à celui de
maintenant, Frédéric IV. Parlons du deux. Gradation

Page 32

-Qui puait comme cent mille diable. Comparaison

- que c’était déjà le plus beau hêtre qu’on ait jamais vu. Hyperbole

Page 33

Par-ci par là comme des écus : comparaison

Encore moins sous un arbre de l’envergure et de ce hêtre divin : métaphore

A CHichilien les gens sont peut –être plus bête qu’ici : comparaison
Page 35

Gneiss, porphyre, grès, serpentine, schiste pourris .Horizons entièrement fermé de roche acérées,
aiguilles de lus, canines, molaires, incisive…. : énumération

Page 36

Jaune d’or : pléonasme et métaphore

La garde des indiens, les Aztèques, les pétrisseurs de sang , les batteur d’or, les mineur d’ocre, les
papes, les cardinaux, les évêques, les chevalier de la forêt ; entremêlent les tiares, les bonnets, les
casques, les jupes, les chaires peintes, les pans brodés, les feuillages d’automne, des frênes, des
hêtres, des érables, des amélanchiers, des ornes, des rouvres, des bouleaux, des trembles, des
sycomores, des mélèzes et des sapins dont le vert-noir exalte les autres couleurs. Gradation
l’énumération et la métaphore filée

Vénus était douce comme un grain. Comparaison et intertexte avec

Page 38

L’hêtre : la personnification

La description

La mouche métonymie de la mort

« O mort vieux capitaine ce pays m’ennui » poème le voyage de Baudelaire

_ page 38 : la fascination, la beauté cruelle, la personnification, des métaphores, des


connotations religieuses, un paradigme, des anaphores. Illustration de la beauté cruelle

L’intertextualité : biblique, poésie, musique, mythique

Page 38 La procession : Cortège solennel, à caractère religieux, accompagné de manifestations


rituelles (chants, prières, etc.).

Tout le texte est traversé par un paradigme religieux

Des protocoles qui définissent l’interprétant du texte

Page 39

D’un blanc il fait le rouge


-Le bricolage l’auteur est un teinturier

-ils rassemblent les textes au servie d’un seul texte

Page 39 : les mots ont une connotation religieuse

« Comme des bouchers » une intertextualité avec Rambaud

- le narrateur est un blagueur

- M.V : un langage barbare monstrueux il écrit des zigzagues sur le cochon

- il n’y pas d’étranger on est tous pareils : une idée contre l’étranger de Camus

- un lieu mortifère

Ivresse connotation du fantastique

Ensanglante : la monstruosité

Le soleil avait l’air de se décomposer en arcs-en-ciel comme à traves des jaillissements d’embruns.
Métaphore au début puis comparaison

Les forêts assises sur les gradins des montagnes, finissaient par le regarder en silence.
Personnification

Il crépitait comme un brasier. Comparaison et bruissement de la langue

-Cette virtuosité de beauté hypnotisait comme l’œil des serpents ou le sang des oies sauvage sur la
neige : COMPARAISON ET passage parallèle avec l’excipite et la page 25

S’alignait la procession des érables ensanglantés comme des bouchers. Comparaison

PAGE 40

Un homme fait, costaud, courageux, le plus malin de tous, personne ne se sentait assez costaud
assez courageux et assez malin désormais. Hyperbole et asyndète

Page 42

A cheval, avec arme et bagage et un capitaine nommé Langlois. Intertexte avec Cervantès

Page 44

Répétition du mo « deux » plusieurs fois ce qui crée une polyphonie et une altération

Honorius :

Page 47

Têtue comme une statue de mule. COMPARAISON


Page 48

Le col SOUVAROFF

PAGE 49

C’est comme si Langlois avait disparu COMPARAISON

Des prêtres Quetzalcóatl

Page 50

Des lambeaux comme une pure émeraude COMPARAISON………….. Le haut pays d’ombre. Antithèse

Le père de Burle, le père de Cather ,la mère de Sazerat , le père de Pierrisnard, la mère de Juli, le père
de Raffin, la mère d’Antoinette Save, La mère. De Lambert, la mère D’Horatius, le père de Clément, le
cousin de Cléristin : énumération

La répétition du groupe « son père » : une assonance et un jeu de mot

Page 52

Le café de la route chômait : personnification

Page 53

C’était, comme les années précédentes, un hiver lourd, noir de neige : oxymore

Lourd et bas : spleen oxymore

Page 55

De plus beaux, de bien plus beaux : parallélisme

Trente ? Quarante ?cinquante femmes ? Gradation

Les lanternes faisaient jouer des lueurs brusques à travers la neige qui tombait. Personnification

Il y avait également deux ou trois porteurs de torche qui balançait des flammes nue et des fumées de
poix dans l’écroulement blanc. Personnification et allégorie

Page 56

Je suis comme un chien qui flaire un gigot dans un placard. Comparaison

La nuit était serrée dans un calme de fer : métaphore

Page57

On voyait dans la nuit très noire la muraille très noire de la forêt : pléonasme.
Page58

Ce n’est un monstre .C ‘est un homme comme les autres. Comparaison

- la page 59

IL était sept heures ; nuit noire : pléonasme

Mais la neige commençait à prendre cette couleur verte du lever du jour. Métaphore

Frédéric II n’en aurait pas abandonné la prérogative pour tout l’or du monde : hyperbole

-Frédéric zéro : divertissement absolu

L’allégorie : décrire la scierie, il ya la page blanche l’écriture

Il n’existe pas Frédéric zéro : c’est la page blanche

« Dans nuit du temps » : l’éternité

- le tiroir : le temps

Le texte : c’est la jubilation du divertissement

Les protocoles : le texte produit son propre lecteur

L’horloge : Baudelaire la fuit de temps

- Mme Time vêtement sobre

Caractère hétéroclite : riche diversifié

L’auteur est diversifié : conte merveilleux, poésie, la musicalité, le théâtre, la peinture

- Claude Lévi-Strauss: le structuralisme

- il a associé la pensée mythique à l’ingénierie en l’opposant à l’ingénierie

- Mme Time : le mythe la notion du mythe

- l’écrivain essaye de produire. Approfondir le réel pour le transformer en littérature.

- l’écrivain bricole

- « un roi sans divertissement » est une histoire d’ennui

- « tu m’as donnée la boule et je t’ai donné de l’or »

Page 60
L’horloge était sur ses genoux et il pensait : personnification et intertexte avec le poème l’horloge de
Baudelaire

Musicalité tic tac

Le bruissement de la langue Roland Barth

Page 61

Ce qu’il fallait faire : il allait faire : chiasme

Pendant cette journée qui s’annonçait noire : métaphore

Page 62

De la brume comme d’une trappe Comparaison

Page 64

-Celui-ci était dilaté au point maintenant d’avoir au moins l’épaisseur de cinq hommes : hyperbole

-Sans qu’il s’en rendît compte, son corps et son esprit se préparèrent à la monstruosité.

-Il s’approcha (il ne monta plus, il s’étira vers le rebord de cette sorte de nid énorme, large comme
une cuve, que le chancre avait creusé dans l’énorme branche) une comparaison avec des adjectifs
mélioratifs.

- ses bras étaient raides comme des clefs de maçonneries. Comparaison

- il resta face à face avec le visage très blanc quelques seconde à peine. Le temps de cent mille ans. Il
se croyait dans un rêve et face à face : spleen et intertexte avec le poème de Baudelaire « j’ai des
souvenirs comme si j’avais mille ans »

Le temps : Lamartine

Page 65

« Dorothée ! Dorothée morte ! »

Car, c’était le visage bien connu de Dorothée dont, le beau visage de Dorothée, Dorothée

Alors, l’homme ? C’était l’homme !

Page 67

Sa trace était nette, comme gravée au couteau : Comparaison

Il était là-haut comme une silhouette.(« comme une cible »,dira FrédéricII.)
Un océan de sirop d’orgeat aux vagues endormies (personnification) , dans lequel ces jets de lumière
blanche(pléonasme) devaient faire surgir, comme des îles blême serties de noir l’archipel des
sommets de montagnes. Comparaison

Page 69

L’homme descendait paisiblement, d’un tel pas de promenade Comparaison

Page 70

IL était devenu renard : métaphore et intertexte avec les fables de la fontaine

Le renard Allégorie de la leçon

Pas un cheveu de sa tête qui pensait à autre chose qu’à ruser.(personnification)

Ce nouveau monde était d’un vaste sans limites (hyperbole); semblable à l’archipel d’îles blême
serties de noire : Comparaison

Page71

..et de faire un bruit très effrayant dans ce silence si tendu : antithèse et une métaphore avec
intertexte avec Pascale « le silence du monde qui nous effraie ….)

Frédéric II gardera de cette poursuite un souvenir renard : métaphore et intertexte avec la fontaine
« le corbeau et le renard »

L’Archat il en parlera comme Colombe devait parler des indes : Comparaison avec intertexte avec
Christophe colombe

Page 72

Il laissa derrière lui des bois des mélèzes, les bois de sapins, les bois de hêtres les bois de rouvre

L’énumération, la répétition, la polyphonie une sorte de musicalité et une allitération

Page 73

Une petite plume de fumée bleue montait des toits épais. Métaphore

(Frédéric II dira : « j’ai pensée tout de suite … » il ne dira vraiment pas à quoi il a pensée car c’est ici
qu’i a fallu de dépouiller d’une peau de renard qui était presque une peau de loup.) Intertexte avec la
fontaine et une métaphore

Rangées de hampes de maïs émerge comme des poils de barbe. Comparaison

Ce village est plus conséquent que le nôtre. Comparaison

Page 74

De son pas de promeneur, comme s’il venait de prendre l’air : Comparaison

Car le temps est noir : Allégorie


Page 76

Tout était marqué sur son visage : hyperbole

-Saucisse était seule. Ses quatre-vingt-huit kilos furent bouleversés d’une grosse respiration de vache
et elle ouvrit la bouche toute ronde pendant au moins vingt seconde avant de se délivrer d’un cri qui
fit trembler la lampe. Métaphore et hyperbole

- une petite voix enfantine : Allégorie

Page 77

La secoua comme un prunier ; enfin, il lui décocha, le plus galamment du monde : comparaison et
hyperbole

Bertrand et Horatius étaient les plus forts du pays : hyperbole

Page 78

Fit glisser Dorotée comme un fil à plombe entre ses grosses mains : comparaison

Page79

UN CHAMPS lexicale de lumière : lanterne, éclairée, bougiée, un fanal.

Page 81

Qu’à la guerre comme à la guerre : comparaison

Il me mène à la mairie qu’il ouvre comme si c’était sa maison paternelle. : Comparaison

Page 82

L’oreille aux contrevents et à la porte, mais comme un chat

Page 83

IL sortira, ne bouger pas.il partira, ne bougez pas. Polyphonie

Page 84

J’avoue que ma respiration s’arrêta. Et je vis l’homme de face. Il me sembla qu’il avait un air
familier. Comparaison

C’était en effet comme il le sut plus tard Comparaison

Se dirigeant vers la place de l’église, comme s’il allait faire un tour Comparaison

Le temps qu’il se soit avancé comme ça de, mettons cent mètres Comparaison

Page 85

Elle était là, avec son béret de neige sur son œil ; pareille à ce qu’elle était Comparaison
Page 86

..il y e eut une grosse détonation et l’homme tomba. Langlois lui avait tiré deux cous de pistolet
dans le ventre des deux mais, en même temps : passage parallèle

Tantôt l’un, tantôt l’autre : parallélisme

Page 87

Un cavalier qui venait de Saint-Mauric.Il montait un cheval vraiment très attirant dans lequel on
sentait beaucoup de nef, de courbette et pétardes que le cavalier dominait fort bien : intertexte
avec les roman de chevalerie et surtout Cervantès

Le cavalier avait une redingote boutonnée jusqu’au cou, sanglée très étroit : intertexte avec
Napoléon

Faisaient de ce chapeau comme un coup de pied au cul collectif : Comparaison

Page 88

Ni bonjour ni bonsoir : oxymore

Page 90

Il jouera aux quilles, il jouera aux boules, il jouera à la manille : énumération

Une poétique et une oralité

Page 91

IL était cassant comme ceux qui ne sont vraiment pas obligé de vous expliquer le pourquoi et le
comment. Comparaison

C’était à prendre ou à laisser,

Page92

C’était un cheval noir et qui savait rire, D’habitude, les chevaux ne savent pas rire et on a toujours
l’impression qu’ils vont mordre. Personnification et intertexte avec les roman des chevaliers et le
burlesque de Râblais

Page 93

Hennissement très mesurés, semblable à des roucoulements de colombe Comparaison

Le cheval se mettait doucement à rire et remettait de lui-même et d’autorité le front sous la main :
le burlesque et la personnification
Page 95

Souvent donc, si le cheval n’était pas sur le seuil de son écurie pour guetter et saluer ses amis, et si
l’on avait besoin de lui, on entrait chez lui et on demandait : « Oh ! Est-ce que tu es là ? » Et il
répondait de son petit cri de colombe…. : personnification et Allégorie

Page 97

La rose est verte ou sont brodées au fil d’or des roses avec leurs feuilles : intertexte avec Ronsard
et Baudelaire

Page 98

Hé ! là-dedans ! dit Langlois, alors quoi ? L’oralité

Page 99

Langlois s’étant mis dès trois heures de l’après-midi en redingote serrée et gibus tromblon sella son
cheval, le monta et fit ces deux cents pas en grand uniforme, sur place en faisant l’hippocampe.
Napoléon

Page 100

IL avait L’aire comme nous : Comparaison

Page 102

Enfin, amis comme cochons.

Page 106

C’était un « Guadalajara » comme on appelle ici ceux qui sont allés faire fortune au Mexique :
Comparaison et intertexte avec l’histoire

Page 107(Madame Time)

(Elle avait alors près de la soixantaine ; elle en paraissait vingt, mettons trente : comparaison

Ces yeux qui mettaient un temps infini pour battre comme le soleil qui se couchait ! comparaison
et métaphore

Je ne crois pas.je crois qu’on n’avait palé que de neige. Je crois même que c’est Madame Time en
personne fit sciemment répandre le bruit : anaphore

« Leur, dit-elle, que c’est très haut, très haut qu’ici. » Rien que pour l’entendre prononcer ces très
« haut, très haut, plus haut » gradation et poétique
Page 108

Comme un lointain tonnerre : comparaison et bruissement de la langue

Mme Time : l’énumération description l’hypotypose

Asyndète

C’était : présentateur

Les deux points : l’asyndète

Alors : la fonction phatique

Tonnerre : bruissement de la langue

Opulent contre bure : oxymore dans la description de Mme Time

« Son corps de statue » la métrologie

Page 109

Onésiphore : intertexte biblique

PAGE 111

J’ai l’impression que, cet après-midi-là, il s’amusa un peu de nous, car, comme sa route le menait

Devant les tilleuls de la place qui murmurait comme un ruisseau frais face à face avec les cent mille
étoiles : personnification et comparaison avec intertexte avec mille nuit de Schéhérazade

Page 112

IL était bel et bien allé à Saint-Baidille ; c’était bel et bien pour les patentes ; Urbaine c’était bel et
bien Nommé capitaine de louveterie.

Polyphonie

Page 113

LES pets et les soupirs à fendre l’âme d’un Jérémie essoufflé : intertexte biblique

Ah ! On eut de ce côté-là pas mal de soucis pendant deux ou trois jours ; puis, le quatrième :
apostrophe et gradation

Le vent d’octobre fait charger comme d’un miel et d’un vin sombre : comparaison

C’est qu’Onésiphore avait enfin cédé sa place à un Pierre-le-Brave, ancien cor de fanfare :
intertexte biblique et musicalité

Mme time fut habillé d’une petite veste à la zouave (soldat d’un corps d’infanterie en Algérie)
Faire zouave c’est faire l’idiot

Page 114

SOULOUQUE : homme de poétique en Haïti

Revinrent les temps noir de neige : oxymore

On ne pouvait pas oublier tout de suite ces temps ou nous avons été, pour ainsi dire, comme des
moutons dans les claies pour M.V. comparaison

Page 115

Les vaches et les chevreaux dansèrent la sarabande dans les écurés. Personnification

Page 116

Il ne s’agit plus de louvards. On avait affaire à quelqu’un qui ne s’embarrassait pas de figurer ou non
dans les fables de FONTAINE. Intertexte avec la Fontaine

Page 117

Langlois rien ne signifie rien : passage parallèle

Un dialogue de cor de chasse tout à fait magnifique. Donner la chaire de poule, même en sachant ce
que c’était, tant il y avait dans cette musique de menace ancestrales. La musicalité

Page 118

Notre bise qui vous fait pisser un nez comme une fontaine : comparaison et hyperbole

Page 119

Nos vallons, nos crête, nos haberts, nos jas et nos piste les plus secrète : assonance et énumérations

Page 120

(Auxquels nous tenons comme à la prunelle de nos yeux) comparaison

« Un tel, fils d’u tel père d’un tel sera à tel endroit, à tel moment. Il aura à sa gauche Baculard. » jeux
de mot

Page 121

On vit arriver un traîneau de Saint-Baudille. Attelé à trois ; vide ; rempli d’une simple couverture, oh !
De quarante kilos, à croire qu’il transportait de la neige. Apostrophe

Un virage ou les patins font un rond comme si on l’avait tracé au compas. Comparaison

Page 122

Moire, jais, satin : énumération et peinture


Et Bouvard qui la connaissait d’Eve et d’Adam : intertexte biblique

Y a-t-il vraiment une raison ? Y avait-il une raison : un rejet

« un amateur d’âme »

Page 126

Un air calme : Allégorie

(ce fut visible comme le nez au milieu de la figure) comparaison

Page 129

Je pouvais imaginer dans le bois la longue file de tirailleurs et chacun faisait comme moi, marchait à
pas de serpent en guettant de droite et de gauche : métaphore

PAGE 131

La cruauté, voyez-vous, inspire. Le loup qui est bien plus cruel que le renard est bien plus fini que lui.

Comparaison et intertexte avec la fontaine

« Ils croient que la peur va nous faire partir, eh bien, la peur va nous faire rester » antithèse

Page 132

L a lumière d’après-midi vire au sombre et l’on commence à voir ce qui n’existe pas. Antithèse

C’était seulement les taillis qui semblait bondir les uns des autres : comparaison

On avait les yeux fatigués : personnification

Page 133

Bossuet en personne ! Bossuet général en chef ! Bossuet à Austerlitz ! Qu’est ce qu’on nous passait
comme félicitation avec la bouche de cuivre ! Et comme ordre ! Comparaison et intertexte avec
Bossuet

Jacques-Bénigne Bossuet, surnommé l'« Aigle de Meaux », né le 27 septembre 1627 à Dijon et


décédé le 12 avril 1704 à Paris, est un homme d'Église, évêque, prédicateur et écrivain français.
Prédicateur tôt renommé, il prononce des sermons et des oraisons funèbres qui demeurent célèbres.

Quel est le mouvement littéraire de Bossuet ?


Courant littéraire : Le Baroque.

On hucha la nouvelle au groupe de droite et au groupe de gauche : antithèse

Page 134

Les autres se rabattaient comme le disait Pierre : Comparaison


Page 135

Où toute notre musique tournait en venin (allégorie), et ce venin elle ne le versait pas dans un loup.
Ah mai non (apostrophe), j’imaginais que cette oreille était comme un entonnoir embouché dans les
queues d’un paquet de mille vipère grosse comme le bras (comparaison), et que c’est dans ces
vipères que le venin était bourrée comme le sang dans un boudin. Comparaison)

Il fallait regarder tous le buisson comme si on cherchait des champignons. Comparaison)

Un venu de droit un venu de gauche : antithèse

Page 139

Elle devait tourner devant nous comme un brin de bois : Comparaison)

Solennité et silence : passage parallèle

Page 141

Il a des pectoraux comme un âne de meunier. il n'a pas d'oreille. Il a la tête ronde comme une
courge. Il marche à pas compté comme le procureur. Il a toute l’épine dorsale en arête de poisson. Il
a la queue raide comme une tringle. Il est superbe ! Métaphore filée

Ni peur ni joie : oxymore

C’est le seul bruit du monde entier ici : hyperbole

Page 142

Ni de droite ni de gauche : antithèse

PAGE 143

Sans Langlois qu’il beau massacre : métaphore et intertexte avec Baudelaire et passage parallèle avec
l’incipit

Page 144

Ainsi donc, tout ça, pour en arriver encore une fois à ces deux coups de pistolets tirés à la diables,

Après un petit conciliabule muet entre l’expéditeur et l’encaisseur de mort subite ! Métaphore et
passage parallèle

Un bout entier gros comme l’ongle.

Page 146

A l‘époque du café de la route elle avait un visage d’homme ; maintenant il avait un visage de
notaire. Métaphore
Page 147

Un éclat de rire, une larme, ou n’importe quoi, finirait par nous expliquer ce qui ne s’était jamais
expliqué. Allégorie

On avait toujours les yeux fixés sur l’emplacement :

Vue plongeante : Allégorie

Page 148

Voyait, regarde, regardait, regardait, on voyait : un champ lexical de la vue

Page149

Cela durait des heures : une fois ; deux fois ; trois fois : la gradation

Page 151

Si on n’avait pas vu ce qui s’appelle voir : paronomase

La paronomase est une figure de mots par jeux de sonorités qui repose sur l'association de deux
paronymes, à savoir deux mots qui se ressemblent phonétiquement mais qui sont pourtant presque
antonymes. Le but de ce rapprochement est de souligner paradoxalement la différence de sens dans
la ressemblance de sons.

Page 152

Leurs visages sur lesquels nous comprenions bien qu’ils installaient pour nous des lueurs de joies
artificielles ? Allégorie

À nous, il nous fallait du temps en temps du temps : jeux de mot et polyphonie

Page 153

Quand Langlois eut tiré ses deux coups de pistolets : passage parallèle

(Comme d’habitude il faut bien dire ; et à la diable ; ajustés, mais à la diable) comparaison

Page154

De volcan et de glace : oxymore

Page155

Vous auriez voulu que je sois comme une tenancière : comparaison


Page 158

Répétition du mot raison

L'allitération et l'assonance sont deux figures de style qui visent à créer des effets sonores fondés
sur la répétition de consonnes (allitération) ou de sons vocaliques (assonance) identiques.

Page 159

IL n’y a pas d’étranger, il n’y a pas d’étranger ; comprends tu ça, ma vieille ? Anaphore et intertexte
avec l’étranger d’Albert Camus

Tu dit que rien ne se fait par l’opération du Saint-Esprit et moi je dis que peut être tout se fait par
l’opération du Saint-Esprit précisément. Intertexte biblique et antithèses

J’avais dit ça en l’air, pour me débarrasser de mille autres images : hyperbole

Page161

IL m’a regardé d’un air interrogateur : Allégorie

Page 163

Mais si ! À croire que, sans brodeuse, notre vie avait été jusqu’ici un phénomène de cirque :
Métaphore

C’est cette vache de Delphine qui dit ça. Métaphore

Il produisait l’effet de l’au sur les fleurs : métaphore intertexte avec Baudelaire

Page168

Mais aussi fourrer son nez dans ce qui vous ne regarde pas

Depuis le XVIe siècle, elle est employée dans le sens figuré pour qualifier l'attitude d'une personne
qui a pour habitude de se mêler des affaires des autres alors que cela ne la regarde pas. "Quelqu'un
qui fourre son nez partout" cherche donc à s'immiscer dans la vie de tous sans y être invité.

Comment écrire sur la page blanche ?

La peinture

Page 169
Ses yeux qui étaient du bleu le plus bleu ! Quoiqu’ils soient si bleus, ils ne donnaient pas du tout
cette impression de jeunesse que donne les yeux bleus. Jeux de mot et métaphore et une peinture

Une inquiétude qui fatigue, qui use et qui vieillit : Allégorie

C’était : le conte

Page 170

Des pieds soigné comme des crosse de violons : comparaison et musique

L’hypotypose de la description : on voyait

Page 172

Son âme pleine d’étangs et de verveines, et sa tête d’oiseaux sauvage : métaphore

Page 173

Avoir les doigts usés et les yeux rougis : métaphore et une rime

Page 174

Les ombres de cette grande pièce sombre : paronomase

Page 175

Il y avait un portrait ovale dont le cadre luisant, fluide comme un rameau d’osier, contenait du rose,
du vert tendre et du bleu, en forme vaguement de jeune fille. Métaphore filée et intertexte avec
Baudelaire et de la peinture Joachim Du Bellay : fait intégrer la rose dans la poésie
Française

Page 176

Presque entièrement dans l’ombre, au milieu des objets à forme imprécises, je voyais l’épaule de
Langlois. Il était assis profondément dans un fauteuil à oreillettes. Sans le drap clair de sa
redingote … : Napoléon

Page 179

Le temps d’un clin d’œil elle fut heureuse au point qu’elle souriait à un ange. La métaphore et Le
fantastique

Elle était à bout de force et elle me jeta un regard désespéré : Allégorie

Page 180
Même la bourgeoise Dont Mme time tenait le rôle devait en avoir pitié. Si elle voulait être
dans son rôle, c’était le moment de se dresser et de partir. Le théâtre

Page183

Elle avait sa vieille bouche de quatre-vingt ans enfoncée dans ces os jaunes par des coups de poing
qui avaient dû lui marteler la bouche pendant quatre-vingts ans et n’avait réussi à la lui défoncer
que depuis peu. Ses lèvres noires très minces et par- dessus, tremblaient les gros poils raides et
blancs de ses moustaches clairsemées. Des poils aigus comme des dents de brochets.

Métaphore et comparaison et hyperbole

Page183

Lorsqu’elle était morte de fatigue : hyperbole

Page183

Ce jour était noir : métaphore

Répétition du groupe nominale « huis jours » Page183 et page 184

Page187

Répétition du groupe nominale « TROIS HEURES »

Page188

Mme Time l’invite. Elle l’invite. Jeu de mot

Et là Langlois se mit à sourire.

J’ai compris son sourire plus tard. Un joli sourire qu’il avait qui sauvait par en dessous tout le petit
serpentement de sa moustache : répétition du mot et le burlesque

Page 189

Alors, la nuit qui allait est venir : antithèse

Je recevais ces mot tout chauds su mon visage : Allégorie

De ce portrait en pied que Langlois avait contemplé jusqu’à en avoir des yeux comme des œufs de
pigeons et la joue gaufrée par un reps de fauteuil : comparaison
Page 191

Souffert d’attendre, souffert d’avoir, souffert de perdre : gradation

Page 193

Et quel alentour ! La rosée couvrait les champs ou’ le blé avait été coupé et l’éteule en était rose
comme un beurre qui fait la perle. Le ciel était bleu comme une charrette neuve. De tous les côtés :
comparaison

Les alouettes faisaient grincer des couteaux dans des pommes vertes. Personnification

Il y avait des odeurs fines et piquantes qui faisaient froid dans le nez comme des prises de civette .
Comparaison

Page 194

Onze enfants qui se mirent dans nos jambes comme une flaque d’oiseaux : comparaison

Page 198

VOIR-voir-vue- revoir : champ lexical

A lui seul il était plus vaste que mes trois pièces du café de la route et c’était, tel que, un endroit
très agréable à vivre, frais, parfumé de l’odeur balsamique des pins, illustré de tous les côtés par
des peintures de volière et d’oiseaux, dans des coques de rubans et des trait de plumes. Mais je me
dis «tu peux courir ! » comparaison métaphore peinture

C’était la salle de théâtre : exactement pareille, en réduction, à une salle de théâtre.

Comparaison et théâtre

Page 199 ET 200

La scène couverte de son rideau rouge peint en faux rideaux, avec des continuations de vol
d’oiseaux autour d’une grosse figure aux yeux terriblement vides…métaphore

Scène, rideau haute pièce, la scène, ses troupes, cette salle de théâtre, terrasse, vestibule, salon,
théâtre : pragmatiquement dans les deux pages un champ lexical de théâtre

Page 201

Les terrasses couvertes d’un soleil de cendre : métaphore

Page 202
« Hausse, Hausse, hausse-nous ! Jusqu’à quel endroit vas-tu nous hausser ?... » Bruissement de
langue un sifflement

Page 205

Je me déclenche comme un long oiseau gris : comparaison

Page 205

Un mot ne semblait qu’un mot au premier abord, mais je me méfiais beaucoup des mots.

Comparaison

Page 207

-UN labyrinthe, me dit-il.

- UN labyrinthe ? Anaphore

Page 209, 210,211 ET 212

Un dialogue comme en théâtre ponctué par dis-je et dit-il

Page 213

Je suis à peut prés sûr que, si tu parles de la femme de trente ans, tu va m’amener Mme Time en
chair et en os sur le coup du crépuscule. Métaphore

- ce serait cependant ta place, dit-il, en prenant prudemment du champ comme s’il avait peur :
Comparaison

Page 214

Mme Time sauta du traineau comme si elle avait vingt ans Comparaison

On aurait pu croire que Mme Time avait été transportée ici par la fameuse opération du Saint-
Esprit : fantastique et métaphore

Page 220

Si nous parlons comme nous venons de parler, à des oies ou à des dindes, ça piailler.

Fantastique et métaphore

Page 220

Stichomythie : le théâtre
Page 223

-Les autres aussi, dit Mme Time.

- Les autres aussi, : ANAPHORE

Page 225

Nous prendrons la voiture publique.

C’est la voiture qui descendait du col.

Aller et venir : oxymore

Page 226

Le jour était bien levé et plein de brume d’ange sur un ciel rose. Métaphore

Page 227

Il avait l’air d’une poule qui a trouvé un coteau. Métaphore

De mon côté, il y avait encore deux hommes : celui au bouton de cuivre et une sorte de roublard en
blouse. A côté du roublard, une jeune villageoise dégrafa finalement son corsage et donna le sein à
un gros nourrisson gras, si goulu qu’il pompait avec ses trous de nez le lait qui lui échappait de la
bouche .Et le lait luit échappait de la bouche parce qu’il grognait. Et il grognait parce qu’en
pompant le lait avec le nez il s’engorgeait et perdait le souffle. Il était dans une rage ! il mordait sa
nourrice. C’est sensible un sein. Description métaphorique

Page 228

Langlois avait tout à fait l’aire de ceux qu’on plante à la porte des églises pour nous inciter à faire
notre mea-culpa : intertexte biblique

Faire son mea-culpa, reconnaître ses torts. Synonyme : demander pardon, se frapper la poitrine, se
repentir, se reprocher, s'en vouloir.

Mea culpa est une expression d'origine latine qui signifie "ma faute" ou "mon erreur" et est une
reconnaissance d'avoir mal agi.

Je lorgnais de droite et de gauche. Antithèse

J’avais une boule sur l’estomac et la gorge. Métaphore

Page 231

Envieuse ; et jalouse : rime plate

Page 232
Répétition du mot idée en parallèle avec un autre passage

A la guerre comme à la guerre aux grands maux les grands remèdes : une comparaison et un
parallélisme avec rapport à un passage parallèle Page 81

Qu’à la guerre comme à la guerre : comparaison

Page 236

Et, s’il avait pu y partir le 8 au soir il y serait partir le 8 au soir : parallélisme

Page 237

Nous pouvions marcher bras dessus bras dessous : un passage parallèle

Même s’il est question de respect.et puis, respect…. Est-ce qu’on respecte ceux qu’on aime ?

Page 238

Je n’ai rien reproché, pas plus que je n’avais à reprocher au tablier blanc de sa bonne qui était très
blanc

Page 239

Les soirées était paisibles (métaphore) Langlois comme tous les soirs, avait ouvert la boîte de
cigares, pris un cigare et il était allé le fumer au bout de jardin. Par la fenêtre on voyait le point
rouge du cigare allumé qu’il a vait à la bouche aller et venir (oxymore) dans la nuit ; une nuit très
noire (pléonasme) dans laquelle on voyait la forme des montagnes et la brise de cigare se déplacer
lentement (personnification) comme une lanterne de voiture qui se serait déplacée dans les forêts

« Je fait des point…. »

Elle lutte contre l’ennui

Page 239

Mais, dès la première chute de neige ……C’était évidement suffisant pour que tout le pays soit
blanc, même beaucoup plus blanc que lorsqu’il en tombait un mètre. Hyperbole
Page 240

C’est une bête cette femme ? Démonstratif exclamation phatique

Page 243

Eh bien : adverbe qui, exprime l’oralité

Le conte populaire

Ce qu’il du faire : l’imagination

La fonction phatique avec le lecteur

Eclaira la nuit : réponse à Pascale

Seulment : adverbe in passage vers l’idéal

D’or … nuit : oxymore

Comme d’habitude : le monde de spleen

Enfin : adverbe pour donner sa thèse

« qui a dit un roi sans divertissement est homme plein de misère » parodie

Enorme éclaboussement : bruissement de la langue

La fonction essentielle d'un excipit est de donner un sentiment d'achèvement au lecteur. Il s'agit le
plus souvent de sceller le sort des personnages ; mais l'aboutissement peut aussi être d'ordre
idéologique avec une conclusion morale, philosophique ou politique.

Qu’ils sont ces espaces qui nous effraient

Objectif : montrer que le dénouement, tel qu’il est narré, ne nous délivre, comme l’incipit,
qu’une révélation partielle ou fragile. C’est la puissance évocatrice de la poésie, l’appui sur
les textes antérieurs et l’effet de répétition des scènes qui permettent de reconstituer le
parcours intérieur du personnage et le drame de Langlois. Giono livre toutefois une vision
pessimiste de la condition humaine, que la comparaison avec Pascal, qui voyait un salut
possible dans la foi, assombrit encore davantage.
Notions abordées : l’excipit, le dialogue, l’intertexte, le mélange des genres.
- excipit : la présence de l’oralité qui renvoie au conte.

Il fumait une cartouche de dynamite : hyperbole

Eclaira la nuit : oxymore

Or et nuit : antithèse

LES CITATIONS

« Les classiques nous apprennent ce que nous sommes devenus »

« Quand j’écrit c’est toujours après quelqu'un »

Italo Calvino l’a dit et bien dit, déjà: « Les classiques sont des livres qui, quand ils nous parviennent,
portent en eux la trace des lectures qui ont précédé la nôtre. » Ces livres, poursuivait l’Italien dans
sa réflexion Pourquoi lire les classiques, « traînent derrière eux la trace qu’ils ont laissée dans la ou
les cultures qu’ils ont traversées (ou plus simplement dans le langage et les moeurs) ».

« Tu m’as donné la boue et j’en ai fait de l’or »


Quand Baudelaire, dans l'appendice aux Fleurs du mal, écrit « Tu m'as donné ta boue et j'en ai fait
de l'or. », il développe le sens de l'oxymore du titre qu'il a choisi pour son recueil et nous ouvre son
laboratoire.

« Quand je joue à la pomme c’est dans une même balle dont joue l’un et
l’autre main l’un l’a place mieux »
Pensées de Blaise Pascal. Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau, la disposition des
matières est nouvelle. Quand on joue à la paume c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais
l'un la place mieux.

« L’écrivain est celui qui absorbe la question du pourquoi ? Dans un comment


écrire ? »
Son but n'est pas d'expliquer le monde : « L'écrivain est un homme qui absorbe le pourquoi du
monde dans un comment écrire » (p. 154). En effet, la littérature fonctionne à l'envers : « en
s'enfermant dans le comment écrire, l'écrivain finit par trouver la question ouverte par excellence :
pourquoi le monde ?

« Le style c’est l’homme »

« Je savoure le règne des formules les renversements des origines la


désinvolture qui fait venir le texte antérieur du texte ultérieur »

« Les mots savent de nous ce que nous ignorons d’eux »

« L’écriture de Montaigne est une illumination mais ne me dite pas que j’ai
rien dit de nouveau »

« Il faut rappeler à l’auteur que ce n’est pas lui qui crée son texte mais qu’il
s’écrie sans lui »

« Je ne sais pas bien sûr comme disent un certain que la femme soit l’avenir
de l’homme »

« Un texte est un commentaire des textes qui l’ont précédé »

« Le silence éternel de ces espaces infinies de l’univers nous effrayent »

« Le personnage a laissé son costume dans le grenier »

« Le texte est une mosaïque de citation »

« Mensonge romantique et vérité romanesque »

« L’oreille parle la bouche écoute »

« Les tropes lèvent le voile sue le sens oblique »

« Quand j’écris c’est toujours après quelqu’un »

« Le poète et comme le teinturier d’un blanc il fait le noir »

« Tout discours est traversé par le discours des autres » Michel Foucault

Tout texte se construit comme mosaïque de citations, tout texte est ... Julia Kristeva,
Le romancier c’est celui qui se diverti en racontant

Le texte entretien des relations avec d’autres textes.

Blaise Pascal est fasciné par Montaigne,

« qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau: la disposition des matières est nouvelle;
quand on joue à la paume, c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais l'un la place
mieux »

Au mort de capitaine voyage Charles Baudelaire

Le Voyage – VIII O Mort, vieux capitaine, il est temps ! Levons l'ancre !


La fontaine : Le Chêne et le Roseau

- Le dormeur du val Arthur Rambaud


Paul Verlaine est un écrivain et poète français né le 30 mars 1844 à Metz

Au Lecteur
C'est l'Ennui ! L'œil chargé d'un pleur involontaire,
II rêve d'échafauds en fumant son houka.
Tu le connais, lecteur, ce monstre délicat,
- Hypocrite lecteur, - mon semblable, - mon frère !

Charles Baudelaire, Les Fleurs du mal

Après trois ans


Ayant poussé la porte étroite qui chancelle,
Je me suis promené dans le petit jardin
- Paul Verlaine Après trois ans : la musique

- la rose trémière Gérard de Nerval Artémis

La Treizième revient… C’est encor la première;


Et c’est toujours la seule, ou c’est le seul moment;
Car es-tu reine, ô toi ! la première ou dernière ?
Es-tu roi, toi le seul ou le dernier amant ?…

Aimez qui vous aima du berceau dans la bière ;


Celle que j’aimai seul m’aime encor tendrement :
C’est la mort, ou la morte… O délice ! ô tourment !
La rose qu’elle tient, c’est la Rose trémière.

l’hypotypose : décrire comme si c’était devant les yeux, les jeux de peinture dans le texte .

- le passage parallèle :

Un passage d’un texte pour expliquer un autre passage d’un autre texte. Convoquer un texte d’un
autre auteur ou du même auteur pour renforcer.

« Tu m'as donné La boue et j'en ai fait de l'or », écrit Baudelaire dans l'épilogue des Fleurs du mal.
C'est ainsi qu'il définit cette esthétique moderne prenant pour objet poétique la laideur et
l'horreur banale de la réalité urbaine.

Charles BAUDELAIRE
1821 - 1867 Une charogne

Alors, ô ma beauté! Dites à la vermine


Qui vous mangera de baisers,
Que j'ai gardé la forme et l'essence divine
De mes amours décomposés!
Le testament trahis : milan Kundera

Le Livre à venir - Maurice Blanchot

La fonction phatique : l’hypotypose.

L’ironie intertextuelle qui rappelle que le texte est enchâssé entre deux citations.

Le calembour est un jeu de mots oral fondé sur l'homophonie et la polysémie

La phrase incise contient un verbe de parole (dire, répondre, répliquer, protester, chuchoter, crier,
implorer, etc.)

- la mort de l’auteur. L’auteur n’existe pas

- il annonce le thème majeur du roman la découverte d’une beauté fatale, mortifère, cruelle.

Frédéric c‘est Giono

- la découverte d’une beauté d’une beauté mortifère qui annone l’angoisse de la mort.
- Frédéric fait l’expérience de la fascination il va découvrir la monstruosité dans l’être.

La seconde main: ou, Le travail de la citation


Livre d'Antoine Compagnon

Une - René Gérard : « mensonge et vérité romanesque »

Figures III Gérard Genette


Nathalie Sarraute : le personnage vide.

Palimpsestes. La Littérature au second degré est un livre de Gérard Genette paru en 1982
aux éditions du Seuil. Il développe la théorie de la transtextualité, c'est-à-dire l'ensemble des
relations qui peuvent exister entre deux ou plusieurs textes, et définit les différentes relations
hypertextuelles.

Titre et composition
Le mot palimpseste désigne un parchemin qu'on a gratté dans l'intention d'en effacer le texte pour
en écrire un nouveau ; le premier texte reste cependant souvent visible, par transparence, sous le
second. Par métaphore, le palimpseste représente donc la relation hypertextuelle : on peut trouver
dans tout texte littéraire la trace d'un autre texte littéraire plus ancien.

Umberto Eco
- le narrateur c’est le porte -parole de l’écrivain.

-le narrateur au service de l’écrivain.

asyndète est une figure de style qui consiste à supprimer volontairement dans une phrase les
conjonctions qui y seraient nécessaires pour préciser la liaison logique entre les mots ou les
groupes de mots.

Exemple : Femmes, enfants, parents, il a tout sur les bras.

La scierie : vous rappelle « le rouge et le noire » de Stendhal Julien Sorel Le Héros qui a reçu
une gifle de son père pour avoir abandonner le travail dans la scierie en lisant un livre julien
Sorel pensait au livre « livre sur Napoléon » qu’il a perdu dans la rivière plus que la gifle.

-Toute la littérature est une Allégorie.

-Gérard de Nerval joue avec le temps.


- quels sont les dispositifs stylistiques par lesquelles le narrateur se met en scène ?

- le bricolage de la métaphore - la manipulation de lecture

La notion du rêve : Rambaud, Freud, Nerval.

- la fonctionne phatique : maintenir le contacte

Le texte produit son protocole : la rose trémière je ne peux lire ce texte que dans l’oxymore
Baudelairien la beauté dans le mal

Saucisse sorte de reine allégorique

La problématique : nous tâcherons de voir comment à travers un incipit naturaliste transparait une
parodie du réalisme ? Parodie

Intertextualité
Dans "Un roi sans divertissement", plusieurs motifs comportent une intertextualité
schopenhauerienne : il s'agit notamment du motif des hiéroglyphes étranges gravés sur le dos d'un
cochon par le tueur en série M.V. où nous retrouvons la métaphore scripturaire récurrente chez
Schopenhauer.

la narration. Par son refus ou son incapacité d’omniscience, par ses lacunes ostentatoires, le
narrateur développe un jeu métatextuel, fait d’humour et de cocasserie, qui le rapproche à la
fois de Diderot et de Cervantès.

l’intertextualité. Il y a un sens à analyser les réécritures ou les citations de Giono. Placer la


description du paysage du Trièves sous l’influence de Nerval, c’est signaler la contamination
poétique que vont subir les lieux et le récit mais aussi le tiraillement de l’individu entre
l’idéal, la beauté et la mort. La personnification du hêtre ressemble à celle du « Bateau ivre »
de Rimbaud. Tous deux symbolisent à la fois l’expérience de la vie et de la création poétique.
Les gouttes de sang que contemple Perceval, héros naïf, le rendent encore plus étranger à
l’action. Sa quête est suspendue ; il n’entend plus rien. Son ambiguïté, à ce moment-là, et sa
fascination pour l’image, le rapprochent de Langlois. Ce que Vigny raconte dans « La mort du
loup », Giono le redéploie, dans un registre différent et implicite. Langlois, comme le poète, a
reconnu l’humanité du loup.

Le spleen est un mal de vivre, une angoisse existentielle tandis que l'Idéal est un monde d'ordre, de
sens et de beauté vers lequel le poète tend. L'Idéal

Au sujet du Spleen

Dans la section Spleen et Idéal, quatre poèmes portent le titre de « Spleen ». Ce terme anglais
désigne un état de mélancolie caractérisé par le dégoût de toute chose. Dans une lettre à sa
mère, le poète le définit comme « un immense découragement, une sensation d’isolement
insupportable, une peur perpétuelle d’un malheur vague, une défiance complète de ses forces,
une absence totale de désirs, une impossibilité de trouver un amusement quelconque ».
hur RIMBAUD
1854 - 1891

Le dormeur du val
C'est un trou de verdure où chante une rivière,
Accrochant follement aux herbes des haillons
D'argent ; où le soleil, de la montagne fière,
Luit : c'est un petit val qui mousse de rayons.

Un soldat jeune, bouche ouverte, tête nue,


Et la nuque baignant dans le frais cresson bleu,
Dort ; il est étendu dans l'herbe, sous la nue,
Pâle dans son lit vert où la lumière pleut.

Les pieds dans les glaïeuls, il dort. Souriant comme


Sourirait un enfant malade, il fait un somme :
Nature, berce-le chaudement : il a froid.

Les parfums ne font pas frissonner sa narine ;


Il dort dans le soleil, la main sur sa poitrine,
Tranquille. Il a deux trous rouges au côté droit.

Broder : métaphore de la manipulation

Adverbe : trace énonciative

derrière Langlois il y une allégorie du personnage

Dialogisme : Bakhtine

Saucisse tricote l’auteur tricote son texte la métaphore

La neige propre : connote vierge pure

Le graal : quête de l’héroïne

Blaise Pascal. Qu'on ne dise pas que je n'ai rien dit de nouveau: la disposition des matières est
nouvelle; quand on joue à la paume, c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais l'un la
place mieux.

L’histoire est racontée par plusieurs narrateurs

La pluralité des sens : Umberto Eco

Il reprend Zola Balzac Molière


Le fusil de Langlois : le gnome citation de la société

Après un effort sur la totalité du roman et la révision des cours on découvre que ce conte est
pleine d’intertexte et de passage parallèles, plusieurs tropes ont été analysés pour décortiquer et
déceler le sens caché c’est un texte poétique et théâtral en même temps l’auteur joue avec les mots
et nous fait impliqué et nous donne des clins d’œil pour imaginé et être fasciné

Bonne chance j’aurais aimé faire un travail mieux que ce travail modeste mais dommage le temps
presse

Je vous conseil de faire une approche intertextuelle et stylistique du passage pas linière

Des fautes vous allez ont trouvé parce ce que ‘est un travail qui n’est pas vérifié ni de ma part ni
quelqu’un d’autre

C’est effort individuel alors ‘est à vérifier


« La raison vous mène d’un point A à un point B et l’imagination vous
mène là où vous voulez »

Mes salutations et mes remerciements les plus


distingués

Un travail réalisé par un de vos modestes étudiant Y .AZRHIRH

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