Suit
Suit
Suit
Les coefficients de pression extérieure Cpe applicables aux bâtiments et aux parties de
bâtiments dépendent de la dimension de la surface chargée A, qui est la surface de la
construction produisant l'action du vent dans la section à calculer. Les coefficients de pression
extérieure sont donnés pour des surfaces chargées A de 1 m² et 10 m² dans les tableaux
relatifs aux configurations de bâtiment appropriées ; ils sont notés Cpe1 pour les coefficients
locaux, et Cpe10 pour les coefficients globaux, respectivement. (RNVA2013 : Chap. 5 :
Coefficient dépression).
• CPe = CPe1 S ≤ 1m
• CPe = Cpe10 S ≥ 10 m2
B = 4e/5 → B = 16m
C = d – e = 32 – 20= 12 m
Et D = E = 65.8 m
SB = 10 × 12 = 197.13m2 → SB >10m2
SC = 10 × 12 = 197.58m2 → SC >10m2
Et les coefficients de pression extérieure Cpe dans chaque zone sont donnés dans le tableau
suivant :
On Remarque que toutes les surfaces sont supérieures à 10m 2, donc la formule
correspond est : CPe = Cpe10
2.1.1.5. Toiture :
• Interpolation linéaire :
La valeur de α= 5.14° n’existe pas dans le Tab. 5.4 du RNVA2013, les valeurs de Cpe
s’obtient par interpolation linéaire entre les valeurs correspondantes à α= 5° et celles de α=
15°.
1. Parois verticales
On Remarque que toutes les surfaces sont supérieures à 10m2 donc la formule est : Cpe =
Cpe10 Et les coefficients de pression extérieure Cpe dans chaque zone sont donnés dans le
tableau suivant :
2.2. Toiture
Mais dans notre cas on a l’ongle de versant α = 5.54°, donc on doit faire une interpolation,
et les résultats sont dans le tableau suivant :
L’accumulation de la neige sur la terrasse produit une surcharge qu’il faut prendre en compte
pour les vérifications des éléments de la structure.
D’où :
La charge de neige sur le sol SK définie par unité de surface est fonction de la localisation
géographique et de l’altitude de lieu considéré.
H : l’altitude géographique.
Dans le cas de toiture à versants multiples ; des valeurs de µ sont données en fonction
de l’angle α, α=arctan (0,9/10) → α=5.14°.
S = µ1 (α1) × Sk
S = 0.8 × 0.532 = 0.288 KN/m2
Ou bien:
S = µ2 (α1) × Sk
S = 315.84 m2
S = 465 cm2
d = 32 cm
S = 315.84 × 2 = 631.68 m2
S = 735 cm2
d = 32 cm
D = 26 cm
Mmax=p.(l/3)
Mmax = 100×2 = 200 Kg.m
Afin d’unifier l’expression de la flèche sous les charges (charges permanentes) et les
surcharges (charges d’exploitation), on cherche la charge uniformément répartie équivalente
qui nous donne le même moment trouvé par les deux charges concentrées.
La charge uniformément répartie (P) due à la surcharge d’entretien est obtenue en égalisant
les deux moments max due à P aux charges ponctuelles (Peq).
Mmax = P’l/ 3 = Pl²/8
P = 8*P’/ 3*l = 8*P’/ 3*l = 8*100/2*6 =44,44 kg /ml
Peq=0,444 kN/ml
Surcharges climatiques :
Surcharge du vent (W) :
La panne la plus sollicitée est celle exposée au vent de dépression défavorable donc le
Cpi= - 0,17 zone Finf tel que la charge considérée est : -1298 N/m2 [Chapitre II, tableau II.5]
D’où :
W= (-1.298 x1.3)= -1.687 kN /ml
3.2.2.3Condition de la flèche
Q = G + Q = 0,3429 + 1,5 = 1,8429KN/ml
qsz= Gz+W = −1.398 KN/ml
b) Vérification au cisaillement :
Pour la vérification au cisaillement on utilise la condition suivante :
Vz,sd ≤ Vpl,rd ....................................................
Vy,sd ≤ Vpl,y,rd .................................................
Et Av = A- 2btf ( tw + 2r ) * tf
Av = 2010 – 2 × 73 × 6.9 + (4.7 + 2 × 7) × 6.9 = 503,57mm2
Av = 503.57 mm2
Avec : Vpl, Rd : Effort tranchant résistant de la section.
Av : Aire de cisaillement.
C) Vérification au déversement :
Déversement = flambement latéral + rotation de la section transversale
La semelle supérieure qui est comprimée sous l’action des charges descendantes est
susceptible de déverser. Vu qu’elle est fixée à la toiture il n’y a donc pas de risque de
déversement contrairement à la semelle inferieure qui est comprimée sous l’action du vent de
soulèvement et qui est quant à elle susceptible de déverser du moment qu’elle est libre tout au
long de sa portée.
• La vérification au déversement se fait par l’utilisation de la condition suivante
La vérification à faire est : MSd, max ≤ Mb, Rd ……………………… [EC3 Art 5.5.2]
MSd, max = My, Sd = = -12.015 KN.m
→ qmax = 8× (12.015) / (6) ² = 2.67 KN/m
Avec : β w =1 → Section de classe 1
2
3 ,14 × 2 ,1 × 44,925
Mcr = 1.132 ×
( 1× 6 )2
−6
1× 123 . 9× 10 ×235
λ ¿= −3 = 1.550
11. 981×10
La condition n’est pas vérifiée donc la stabilité au déversement de la panne n’est pas
vérifiée, on augmente la section de profile a un IPE 180,
On aura : Mbrd = 20. 25KN.m Mbrd = 20.25KN.m ˃ M =11.981 kN.m
Donc la condition est vérifiée on adopte un IPE 180
Wely =
b ×e 2
6
⇒ ⅇ=
√
3 ,6 × 6
200
=09.90 mm ≈ 10 mm
Dans notre cas la charge du vent maximale sur les parois verticales W= 0.857kN/m2. (Une
compression).
On suppose que le panneau de bardage soit repose sur plusieurs appuis (lisses), à l’aide de
tableau ci-dessous on déterminera la portée maximale entre les lisses :
[ ][ ]
α β
My Mz
La condition à vérifier est : +
Mp l , y Mp l, z
Avec : α = 2, β = 1
Mpl,y = (Wpl,y × fy) / γM0 = ((85.6×23.5) / 1) × 10−2 = 20.11 KN.m
Mpl,z= (Wpl,z × fy) / γM0 = ((13.8 ×23.5) / 1) ×10−2=3.24 KN.m
Sous le vent : (8.685 / 20.11)2 + (2.191 / 3.24)1 = 0.86 ≤ 1 Vérifiée.
III.6.4 Vérification au cisaillement
𝐕𝐳<𝐕𝐩𝐥,𝐳
𝐕𝐕𝐩𝐩𝐥𝐥,𝐳𝐳=𝐀𝐀𝐯𝐯𝐳𝐳×𝐟𝐟𝐲𝐲 √𝟑𝟑×𝛄𝛄𝐌𝐌𝟐𝟐
𝐀𝐯 = 𝐀 – 𝟐b𝐭𝐟 + (𝐭𝐰 + 𝟐𝐫) × 𝐭𝐟 = 1840 – 2 × 65 × 9 + (5 + 2 × 12) × 9 =930.0 mm2
Vz = (𝐪𝐳.𝐥 / 𝟐) = (1.930 ×6) / 2 =5.79 KN
Vpl,z = (930×23.5) / (√3×1) = 12.617 KN
𝐕𝐳 = 𝟓.𝟕9 𝐊N < 𝐕𝐩𝐥,𝐳 = 𝟏𝟐.61𝟕 𝐊N L’effort tranchant est vérifié.