Da Vinci Code - Résumé Du Livre-3
Da Vinci Code - Résumé Du Livre-3
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Da Vinci code
Dan Brown
lePetitLittéraire.fr
Résumé
Extrait de la fiche de lecture
Document rédigé par Nathalie Roland
Da Vinci code
Dan Brown
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RÉSUMÉ 3
CLÉS DE LECTURE 8
Un artiste au cœur d’une œuvre : Léonard de Vinci
Le portrait de Léonard de Vinci
Les tableaux évoqués dans le roman
Un code De Vinci ?
Un thriller ésotérique
Quelques repères scientifiques, religieux et ésotériques
Deux symboles : la suite de Fibonacci et le nombre d’or
Les mystères de la Bible
Une organisation secrète : les Templiers ou l'ordre des Pauvres Chevaliers du Temple de Salomon de Jérusalem
PISTES DE RÉFLEXION 13
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Dan Brown Da Vinci code
Romancier américain Un bestseller autour des
symboles religieux
• Né en 1964 à Exeter (New Hampshire)
• Quelques-unes de ses œuvres : • Genre : roman
Anges et Démons (2000), roman • Édition de référence : Da Vinci Code, traduit de
Da Vinci code (2003), roman l’anglais par Daniel Roche, Paris, Pocket, 2009, 744 p.
Le Symbole perdu (2009), roman • 1re édition : 2003
• Thématiques : Graal, art, enquête, suspense, énigme,
Diplômé en art et en lettres de Amherst College et de symboles, religion
UN MEURTRE AU LOUVRE
De passage à Paris pour une conférence, Robert Langdon, professeur de symbolique religieuse
à l’université de Harvard, est réveillé par la police : ils ont besoin de lui pour élucider le meurtre
de Jacques Saunière, le conservateur du musée du Louvre. Celui-ci a été sauvagement attaqué
et torturé, avant d’être tué par un albinos du nom de Silas dans la grande galerie du Louvre.
Son corps a été retrouvé au centre d’un pentagramme (une étoile à cinq branches à la significa-
tion magique) et de symboles. La disposition du défunt rappelle L’Homme de Vitruve, un dessin
anatomique de Léonard de Vinci (artiste et savant italien, 1542-1519).
Après avoir commis ce meurtre, le moine Silas parvient à rentrer en pleine nuit dans l’église
Saint-Sulpice à Paris, grâce à ses contacts avec l’Opus Dei (institution catholique fondée en 1928).
Il doit y récupérer une mystérieuse clé de voute pour le « Maitre ».
Arrivé au musée, Robert rencontre le commissaire chargé de l’enquête, Bézu Fache. Une crypto-
graphe (la cryptographie consiste à protéger un texte grâce à des codes), Sophie Neveu, la petite-fille
de la victime, lui annonce qu’elle a déchiffré le code écrit par Saunière. Il s’agit, selon elle, de la suite
de Fibonacci dans le désordre, une simple « plaisanterie numérique » (p. 101), suivie du message
suivant : « O DRACONIAN DEVIL ! OH, LAME SAINT ! P.S. TROUVER ROBERT LANGDON. » (p. 113)
Sophie en déduit que Saunière voulait qu’elle et Langdon se rencontrent. Par ailleurs, elle met ce
dernier en garde : Fache est convaincu de sa culpabilité. Pour lui prouver qu’elle dit vrai, elle lui
montre qu’il porte sur lui une puce GPS. Très vite, Robert comprend que le message de Saunière fait
référence à La Joconde de Léonard de Vinci. Il explique également à Sophie que le sigle P.S. couplé
à une fleur de lys est l’emblème d’une confrérie secrète, le Prieuré de Sion, dont Léonard de Vinci
a été l’un des membres. Il s’agit d’un ordre fondé par Godefroy de Bouillon (vers 1061-1100) dont
la légende est connue sous le nom de Saint Graal.
Lorsque Fache apprend que le service de cryptographie n’a jamais envoyé Sophie, une alarme
retentit dans le musée. Les policiers se lancent à la poursuite des fugitifs en suivant l’émetteur GPS
que Sophie a lancé par la fenêtre alors que les deux héros sont toujours dans le Louvre. Ceux-ci
entament alors un véritable jeu de pistes. Ils découvrent un message sur La Joconde : « Sa croix
grave l’heure. » (p. 202) Sophie comprend que c’est l’anagramme de La Vierge aux rochers, un autre
tableau de De Vinci et, au dos de ce dernier, elle trouve une clé sur laquelle une adresse est gravée.
Après avoir neutralisé un gardien, tous deux quittent les lieux. La clé les mène dans une banque
suisse où ils obtiennent un coffre qu’ils parviennent à ouvrir. Ils y découvrent un petit écrin en
bois de rose. Mais le directeur les avertit que la police a été prévenue de leur arrivée et les aide
à sortir de la banque dans un fourgon blindé.
Pendant ce temps, Mgr Aringarosa, président de l’Opus Dei, arrive au Vatican pour une réunion
secrète et emporte une mallette remplie d’argent sous forme de titres négociables.
Ce dernier se lance dans une longue explication : De Vinci a été non seulement le gardien du
Graal, mais en outre, il l’a peint. Dans la représentation de La Cène, le Graal n’est pas une coupe
mais une personne, Marie-Madeleine, l’épouse du Christ. Le Saint Graal, dont l’étymologie est
« Sang royal », est le « calice qui contient le sang du Christ » (p. 404), soit un enfant de Jésus
et de Marie-Madeleine. Tout au long des siècles, les Templiers puis le Prieuré de Sion ont eu pour
mission de protéger les documents évoquant la maternité de Marie-Madeleine ainsi que sa tombe,
mais aussi de veiller sur les descendants de Jésus.
Robert réfléchit à l’énigme du cryptex et Sophie comprend qu’elle est écrite en miroir et qu’elle
évoque les Templiers. Ils parviennent à ouvrir le cryptex grâce au mot Sofia, qui signifie « sagesse »
en grec (p. 524), et découvrent un second cryptex scellé par une nouvelle énigme : « Un chevalier à
Londres gît, qu’un Pope enterra. Une ire extrême le fruit de ses œuvres causa. Cherchez la sphère
qui devrait sa tombe orner. Tel un cœur fertile à la chair rosée. » (p. 549)
Silas, informé que la clé de voute se trouve en possession de Sophie et Robert, pénètre dans
le château de Teabing pour la récupérer, mais il échoue. De son côté, après avoir localisé les
fugitifs au château, la police intervient mais trouve les lieux vides. Robert, Sophie, Teabing,
son chauffeur et Silas, leur prisonnier, roulent vers l’aéroport du Bourget pour s’envoler vers
Londres. Après avoir été libéré par le domestique de Teabing, Silas prend Teabing en otage et
récupère la clé de voute.
De leur côté, Robert et Sophie se rendent à Temple Church, une église construite par les
Templiers, mais ne trouvent aucune tombe. Ils se rendent ensuite à l’Institut des sciences
religieuses et décryptent l’énigme : Isaac Newton (physicien, mathématicien et astronome
anglais, 1642-1727), chevalier et ami d’Alexander Pope (poète anglais, 1688-1744), est enterré à
l’abbaye de Westminster. Sur place, ils retrouvent Teabing qui les menace d’une arme. Il apprend
à Sophie que ses parents et son frère ne sont pas morts dans un accident de voiture comme
elle le croyait. Il oblige Robert à ouvrir la clé de voute mais ce dernier lance le cryptex qui se
fracasse sur le sol. Profitant de la confusion, Sophie récupère le révolver et Robert subtilise le
parchemin. Alors que Teabing le supplie de lui révéler où est le Graal, Robert lui répond que
« [s]eules les âmes nobles sont dignes de découvrir le Graal » (p. 692).
De retour à Paris, Robert suit la Rose Ligne, qui l’emmène au Louvre, où il aperçoit deux pyramides
se touchant par la pointe : c’est là que repose Marie-Madeleine.
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