Liberté Publique Dernier Cours

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Liberté publique

Dernier cours :

Sujet très général qui porte sur deux notions transversales de touts nos cours, ça ne va pas être par
exemple l’origine préventif ou les lois de luttes contre le terrorisme. C’est un sujet très large mais
qui demandera pour dépasser le stade intermédiaire entre 9 et 11, mais des connaissances précises
qui ne seront pas exclusives, assez libre sur nos exemples.
introduction, définir les termes du sujet, et problématique.
histoire et le droit deux ou trois partis historique, social et culturel.
Pour chaque axe argumenter, et conclure j’ai posé une hypothèse donc conclusion en répondant à
notre problématique.
101 salle, de 14H à 16h

Chapitre 7 : Laïcité, et Liberté des Cultes

Pour commencer nous allons parlons d’une actualité, la loi du 24 août 2021, loi «
confortant les principes de la République». C’est une loi voulu par notre président, qui était
initialement une loi confortant les principes républicains, visant à lutter contre tout les
« séparatismes ». Ce terme a été choisi par Emmanuel Macron le 2 octobre 2020, Dans un
discours prononcé dans les Evelynes, au Muraux. Discours dans lequel notre président a parlé
d’une nouvelle division de la société française, notamment relative a de nouvelles radicalités
religieuses. Les députés puis les sénateurs ont examiné cette loi assez rapidement, plus précisément
au palais Bourbon en Janvier 2021. Dans cette loi la laïcité et la liberté des cultes sont au cœur de
cette nouvel appareil législatif. La loi d’août 2021 est depuis plusieurs années plusieurs législatures,
une loi parmi les plus importantes après la loi de la séparation des églises et de l’état de 1905.
Loi de notre temps dont a minoré la porté en matière de laïcité et de libertés des cultes.

Plusieurs libertés publiques :


La liberté de conscience est une liberté individuelle qui est en quelque sorte au fondement des
régimes révolutionnaires dès 1789, au début de la révolution française l’état toujours royal
autorise la vie des minorités religieuses, juives, protestantes notamment…

Qu’est ce que la liberté de conscience ?

• La liberté de conscience désigne un état dans lequel tout a chacun peut exercer son
libre choix en matière philosophique et religieuse. A la possibilité de croire ou de ne
pas croire, de choisir une religion ou une communauté philosophique ou pas. C’est à
dire que tout a chacun à la possibilité de ne pas avoir de religion ou de position
philosophique particulière. Dans les années d’occupations, exemple, les années Vichy, le
régime interdit la liberté de conscience, il est très difficile d’être protestant et surtout juif
pratiquant. La liberté de conscience est purement individuelle. La liberté de conscience
s’appuie sur une autre liberté individuelle qui est la liberté de penser. La liberté de
penser n’est pas dissociée de la liberté de conscience dans la législation européenne.
Trois principales échelles de droit, le droit positif le droit des nations, le droits des régions
notamment la région pour nous européenne et le droit international. En droit européen
article 9 de la convention européen de sauvegarde des droits de l’homme qui déclare
que, je cite « Toutes personnes a droit à la liberté de penser, de conscience et de religion».
Revenons à la France, dans sa décision du 23 novembre 1977, le conseil constitutionnel, a
fait de la liberté de conscience un « principe fondamental reconnu par les lois de la
République.» Plus récemment dans une décision d’une QPC ( question prioritaire de
constitutionnalité), le 18 octobre 2013, le conseil constitutionnel a rappeler l’article 10 de
la DDHC, la liberté de conscience qui est reconnue a égal de la liberté religieuse.

• La liberté des cultes, est a la différence de la liberté de penser est une liberté publique
collective dans lequel le juriste consulte et voit la religion comme un phénomène collectif et
le droit doit gérer les manifestations sociales et culturelles des pratiques religieuses.
Ainsi, le passage de la liberté de conscience à la liberté des cultes est bien le passage
entre la sphère de l’intime et la sphère sociale. Il n’y a pas de société sans collectif.
Ainsi les liberté des cultes ne touchent pas les convictions de tout à chacun. Elle sert
seulement a encadrer les potentielles dérives des manifestations extérieures des cultes.

Question : quelle est la différence entre le culte et la communauté philosophique ?

Un culte s’est un collectif qui a une singularité qui procède de ce qu’il fait socialement ou plus en
interne, c’est une association de personnes qui partagent les mêmes convictions religieuses ou
philosophique, mais l’association est singulière par ce que font les gens. Le culte catholique repose
sur le dôme de la messe quand le prêtre rejoue la passion du Christ. Nous formerons une association
Cultuelle, car nous aurions un moment qui s’appellerait messe. C’est ça un culte.

Une communauté philosophique c’est une association de personne qui partagent un certain
nombre d’idées ou de principes, mais qui ne sont pas des valeurs qui entraînent des actions
particulières, ou un positionnement social, ou politique précis et particulier.

Est ce que la maçonnerie est un culte ou une communauté philosophique ? Pour le régime de Vichy,
elle était secrète donc ritualiste, donc un culte. Elle est plus proche de culte. Si la religion veut dire
« religarer » = lier, alors elle est une religion. Si définir un culte c’est définir des principes
communs dans la franc-maçonnerie est une religion cultuelle. La tension de notre réflexion, passe
par la densité des pratiques sociales. Si les pratiques sont fortes = culte, faible = communauté
religieuse.

4 critères qui font toutes religions :


- Existence de croyance dogmatique ( régit la religion, baptême ou communion)
- Ensemble des pratiques sociales
- Ensemble des principes éthiques qui apparaissent souvent dans cette citation « se faire une
religion de quelque chose » je respecte certaine chose que mon voisin n’est pas obligé ou d’accord
de respecter.
- Souvent une position dans le monde, une croyance qui nous positionne, qui nous place,
notamment ceux qui espèrent la vie après la mort, cela nous change nos rapport aux temps.

La liberté de conscience et la liberté de cultes peuvent être considérés comme des libertés à la
fois complémentaires et antagonistes.
→ Complémentaire parce que l’organisation des cultes reposent sur un ensemble de croyances
individuelles qui sont partagés.
→ Antagoniste, puisque la liberté de conscience impose souvent une abstention de l’état, l’état
n’a rien à dire en matière de convictions philosophique ou religieuse, alors que pour la liberté
des cultes c’est le contraire, l’état intervient souvent. En matière de liberté de conscience l’état
n’intervient pas sauf sous le régime de vichy, ou dans des états autoritaires comme l’Arabie
Saoudite. Mais en matière de liberté des cultes l’état intervient touts les jours.

I) La laïcité principe de l’organisation de l’état


La laïcité est une position juridique très française qui régit la liberté des cultes de
manière assez particulière, par rapport au reste du monde, organisé de manière très différente selon
les pays de notre études. 6 principales manières pour un état de rentrer en contact avec les religions.

1) Avec les pays communistes et les situations surtout historiques des pays qui
n’acceptaient le fait religieux en tant que tel. La religion est au mieux considéré comme
quelque chose de tolérer, d’accident, mais en rien une réalité qui est digne de légitime.
Actualité, la Chine, renoue avec une tradition très liberticide en matière des libertés des cultes,
puisque l’appareil d’état chinois a une relation très conflictuelle avec les minorités religieuses
notamment l’islam et la chrétienté. Ça veut dire la destruction d’édifices religieux et un régime
préventif qui empêche toute réunion ou la plupart des réunions religieuses.

2) Une situation ou il y a une confusion entre le pouvoir et la religion. Cette


situation est majoritaire depuis la fin de l’antiquité. Elle existe depuis toujours notamment dans
plusieurs pays musulman, en Iran, Arabie Saoudite, la religion est une religion d’état et plus que
cela, la religion est le critère a partir duquel toute conception politique est pensée.

3) C’est la relation où un état, une religion d’état, deux exemples européens le


royaume uni avec l’Angleterre qui a son souverain le chef religieux de l’anglicanisme. La
Suède, avec la religion luthérienne qui est la religion d’état. L’état entretient des relations
privilégier avec la religion dit dominante et méprise souvent d’autres religions philosophiques
comme les Athéismes.etc..

4) Ce qu’on appelle le confessionnalisme, qui ne doit pas être confondu avec le


sécularisme américain. C’est une situation où la religion imprègne la vie sociale alors que l’état
est en principe laïque d’après sa constitution. L’état d’Israël normalement l’état israélien est
laïque la religion imprègne la vie sociale.

5) La reconnaissance dans un état de plusieurs religions et finalement un système


ou l’état n’est pas laïque mais pluraliste. On reconnaît a peu près a part égal, les religions vont
intégrer l’appareil d’état, l’Allemagne est un état confessionnelle avec le protestantisme et le
catholicisme. Il y a un impôt en Allemagne et il faut se faire débaptiser pour ne plus payer cet
impôt.

6) La fameuse laïcité qui est un régime qui concerne moins d’une 10 d’états dans notre monde,
parmi les plus développer du point de vu population, le Portugal, le Mexique. La laïcité est un
régime juridique de neutralité, en latin « ni l’un ni l’autre », un retrait de la puissance publique qui
ne doit pas exprimer de différences ou de choix en matière religieux dans certains lieux. La pratique
religieuse relève alors dans un régime laïque de la vie privée et apparaît dans la vie publique que
dans des situations prévues par la loi. Exemple : les cloches de la cathédrale qui sonnent. On
considère que la sonnerie des cloches est une culture, c’est un son qui fait parti de la culture
française.

Six caractéristiques ! Le contrôle, la confusion, la religion d’état, le confessionnalisme, la


reconnaissance pluraliste et enfin la laïcité.

A) Le principe de laïcité dans l’ordre juridique

Le système français de laïcité est original dans notre monde, puisqu’il procède d’un
contexte historique particulier, puisqu’on la appelé la guerre des Deux France, la France
monarchiste et révolutionnaire. Monarchiste avec le drapeau blanc la figure du Christ. L’histoire
contemporaine de notre pays s’est configuré dans cette oppositions souvent conflictuelle, entre des
gens qui contestaient la république et qui souvent étaient catholiques pas toujours et des forces
républicaines qui progressivement se détache de la religion. Cette guerre s’est aujourd’hui
modifié, car la France, a une nouvelle religion qui est l’islam, presque 8 millions de français
sont musulmans. Or, la loi de séparation des églises et de l’état n’est pas adapté à la religion
musulmane, l’islam. On trouve sur deux articles sur 3, retraites, prêtres..
Deuxièmement si la guerre des deux France est éteinte depuis la fin des années 50 ; il y a des
feus qui naissent au moins par décennie. Exemples :
1° ) Dans les années 80 François Mitterrand a voulu en 1983 unifier le service public
d’éducation. Fin de l’école privé, plus de 1million 500 milles personne dans les rues, la guerre
des deux France avait recommencer.
2°) 2016, la polémique le Burkini, peut on se baigner caché ?

Tout cela pour vous dire que la Laïcité est à la foi une sorte de synthèse mais également un
équilibre très précaire qui mêle le droit, la politique et l’histoire.

Le système français se distingue très clairement d’autres systèmes de libertés


religieuses. Le droit américain, le système religieux est très particulier qui s’appelle le
sécularisme. La sécularisation est le fait que les sociétés soient indifférentes aux religions. Alors
que le Sécularisme c’est presque le contraire. Dans le système américain dit de sécularisme, les
religions ont une marges d’autonomie qui est très importante, le droit doit assurer aux
religions un libre développement, l’état férale doit tolérer les manifestations religieuses, au
point parfois d’accepter les mouvement sectaires. Il y a la législation américaine elle a évolué, et
aujourd’hui on est sur une législation qui a évolué sur les faits de l’évolution de la cours
Suprême redevenue ultra conservatrice. Les organisations religieuses doivent être traiter à pied
égale avec d’autres association organisations. Les actions sociales des religions ne doivent pas
être exclues dans les subventions, même remarque dans l’enseignement secondaire c’est-à-
dire doit être soutenu par l’état. Troisième chose il y a des revendications qui sont en train
d’être mené par la cours suprêmes pour permettre aux responsables, aux médecins ou des
cadres pour se retirer de leurs fonction, pour qu’ils puissent refuser de pratiquer pour les
motifs religieux. Un médecin peut désormais ne pas vouloir opérer un musulman. Cela a déjà était
validé. Les pharmacies américaines qui n’ont plus de préservatifs à cause des religions. Les libertés
publiques en Amérique n’est pas du tout sur la voie du progrès, mais régresse.

1) La Laïcité est associée aux principes républicains.

Article 1er de la constitution de 1958 affirme que « La France est une République
indivisible laïque, démocratique et sociale. » Laïque est le deuxième qualificatif. Ce principe
républicain de laïcité figure donc au sommet de la pyramide juridique.
Elle repose sur la loi de séparation des églises et de l’état en 1905, et dorénavant sur la loi
d’août de 2021 relatif aux principes républicains. Même en régime de séparation, l’état persiste
a exercer un contrôle, et ce contrôle de l’état pour les cérémonies religieuses a été admit par la
Cour européenne des droits de l’homme est en générale plus libérale que la législation laïque
française en matière des libertés des cultes.

2) La valeur constitutionnelle du principe de laïcité

Dans une décision du 19 novembre 2004, le conseil constitutionnel, a affirmé la valeur


constitutionnelle de la laïcité. Dans une autre décision du 22 octobre 2009, le conseil
constitutionnel précise les relations entre les collectivités locales et l’enseignement privé sous
contrat avec l’état. La neutralité publique, est donc en France mêlé avec un régime de
contrôle sur certaines manifestations religieuses et sur un système de relations privilégier avec
certaines églises. En France, par exemple, il est plus facile d’être chrétien et musulman que d’être
Hindouiste.

B) Le principe de neutralité

La neutralité s’est d’abord et avant tout la neutralité du service public, puisque la


puissance publique, l’état entant que tel ne peut pas être neutre. L’état a reconnu qu’un certain
nombre de manifestations religieuses sont des manifestations culturelles a reconnu la religion.
Le service public lui peut être neutre mais pas l’état. Le principe de neutralité s’applique d’abord
aux agents de ce service public et dans une moindre mesures aux employés du secteur privé qui
exerce une mission de service public.

Exemple = Les piscines du Puy de Dôme 15cas


Est-ce que une femme voilée peut vendre des bonnets de bains dans une piscine publique ? La loi
dit que non. Un salarié qui exerce une mission des services publics doit appliquer la règle des
fonctionnaires. Dans les entreprises privés le principe de laïcité ne s’applique pas entant que
tel, sauf si le règlement intérieur de l’entreprise exerce une directive en ce sens. Il y a juste une
restriction. Quand la mission du salarié n’est pas compatible avec la pratique religieuse du
salarié. Des gens ont perdu des emplois parce que leurs missions n’étaient pas compatible avec leur
religion, avec la pratique de leur religion. 56 licenciements pour toute la France en 2021.

II) L’exercice du culte

A) L’organisation des cultes

Depuis la loi de séparation des églises et de l’état, le culte est encadré par des
associations cultuelles. Toutes religions doit a une échelle locale (paroisse ou communauté),
doit avoir fondé une association cultuelle qui dispose de la responsabilité juridique qui
encadre toutes pratiques sociales. Si vous avez, une personne au cour d’une messe il se fait coupé
la main, le prêtre est responsable. Pour toute manifestation cultuelle il y a un responsable. Pour
le catholicisme, première religion française 35 millions de fidèles, se sont depuis 1924, des
associations cultuelles particulières, qui encadrent la manifestation du culte catholique se sont les
fameuses associations diocésaine.
Troisième type, les congrégations phénomène essentiellement catholique mais de plus en plus
musulman. C’est une communauté de vie, de vivre en collectif, en commun, on se lève à la
même heure… le problème, les congrégations sont fondées sur des vœux obéissance, chasteté et
pauvreté. Or problème depuis la révolution française, la loi Française ne reconnaît pas les
vœux, car se sont des vœux entre Dieu et nous. Ce n’est pas un acte civique, mais c’est un
engagement. Et comme l’état est Laïque, il n’a pas a considéré le vœux.

L’islam paraît finalement peut adapté car ses structures sont différentes de celles
chrétiennes. En islam il n’y a pas de clergé structuré. Tout croyant pour animer une prière.
L’islam n’a pas d’organisation hiérarchique aussi poussé que pour la catholicismes, le
protestantisme et l’orthodoxie.. L’islam est souvent organisé depuis des pays étranger. L’islam
repose surtout sur des rites juridiques, les égyptiens, algériens, marocains la Turquie et l’Arabie
saoudite. Or l’état français, a du mal a obligé les états mêmes si ils sont en relation
diplomatique avec la France, mais elle a du mal a conformer à la sauce laïque les relations
qu’elle entretient avec les pays cité juste avant.

D’où une idée lumineuse, en 2003, la création du conseil français du culte musulman. C’est une
structure gouvernementale, cultuelle et anti-séparatisme, l’état créé une sorte de fédération
religieuse. On est a l’opposer du principe de la séparation de l’église et de l’état. Ce conseil du
culte musulman est là pour concerté l’état avec les représentants du culte musulman.
Strictement concertés à trois reprises : 1) par plusieurs états étrangers, 2) par une partie des
fidèles et 3) par une parties des représentants islamique, des communautés religieuses.

Ainsi en 2016 a été fondé une fondation pour l’islam de France, une nouvelle instance de
dialogue, et une nouvelle organisation du culte musulman.

B) La police des cultes

Désigne la discipline intérieure que l’état peut imposer à un groupe religieux. Tout
d’abord, à l’intérieur d’un bâtiment religieux, le responsable du culte peut demander
l’insistance de la gendarmerie, et de la Police. Ils sont en contact avec les services préfectoraux.
À l’extérieur de l’église, de la synagogue, quand le culte sort dans la rue ou dans l’espace, la
responsabilité de la police est partagé entre le responsable religieux et les forces républicaines.
Lors de la cérémonie de Lourde, la police est partagé entre les forces de l’ordre et les responsables
religieux.

III) Les mouvements sectaires et la protection des personnes

Qu’est ce qu’une secte en droit français ?


Le droit français ne définit pas de manière précise la notion de secte. Pour certain
juriste la secte a de grandes convergences avec la religion. A ce titre doit être réguler au même
titre que la religion. Pour d’autre la secte est une radicalité pseudo religieuse et doit être traité
comme une menace à l’ordre public. Ce qu’on retient par les procès, c’est la perte de la liberté
individuelle. La justice, la république va s’engager seulement quand est établi que le
mouvement sectaire est un véritable danger pour la liberté de l’un ou plusieurs de ses adeptes.
Ainsi, le droit français, a du mal a encadrer le développement des sectes et l’état a
choisi la voix de la prévention, réalisé dans le cadre de la Miviludes mission vigilance et de lutte
contre les dérives sectaires.
Ainsi la MIVILUDES cherche a contenir le prosélytisme sectaire. La MIVILUDES cherche
également à punir les actes délictueux des gourous. Trois cocktails dangereux pour les adeptes.
1) La perte des consciences des adeptes, manipulation complotiste le monde contre le groupe,
couper de la famille
2) les détournements financier
3) Des dérives sexuelles pédophilie, viol, détournement d’argent, la justice pénale intervient.

Pour Conclure :

La laïcité est un régime orignal mais qui n’est pas majoritaire dans notre monde.
La liberté des cultes, est un enjeu politique souvent délicat, surtout lorsque les principes de
neutralité ne sont plus respectés. Exemple, dans une école élémentaire, on ne peut pas prendre un
humaniste religieux pour donner le nom de l’école, vis à vis d’enfants et en faire un exemple car ils
ne sont pas en mesure de faire la distinction de la religion à l’homme savant que pouvait être ce
dernier.
La législation européenne, le droit européen est beaucoup moins laïque que le droit français.
La législation européenne est dans une situation intermédiaire entre le séparatisme français et
le sécularisme américain. Plusieurs associations et églises se servent des différences entre les
échelles juridiques, de droits pour créer des contentieux et parfois mettre a mal les principes
républicains et nationaux. Parfois les églises jouent sur le droit européen pour édulcorer le
principe séparatiste français.

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