Ewald Frank et le voile de femmes,

Selon la Bible et le message de

William Marrion Branham

Enseignant et Pasteur :
Pierre MUTAMBA WANG

Goma, Décembre 2016

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Ewald Frank et le voile de femmes, selon la

Bible et le message de W. M. Branham
L’ouvrage : « LE MARIAGE : PROBLEME ANCIEN » 1Corinthiens 11.
« En ce qui concerne les ministères de la Parole, ils ont été réellement confiés aux frères pour
l’édification de l’Eglise, (1Cor. 12 : 28 ; Eph. 4 : 11 et autres). Paul commande aux femmes qui
s’apprêtent à exercer les dons, à prier ou prophétiser …(1) de voiler leur tête et de ne pas
relever le nez … (2) Les longs cheveux leur servent de couverture dans les réunions
particulières de prière où elles exercent les dons», (1Cor. 11 : 15). (3) Mais ceci (longs
cheveux) sert aussi de signe, celui que dans la pratique elles sont complètement soumises et
intégrées à l’ordre biblique dans l’Eglise, (4) cela à cause des anges qui sont établis par le
Seigneur comme messagers de Dieu (v. 10). … (5) Et lorsqu’il est écrit que plusieurs ont
logé des anges sans le savoir (Héb. 13 : 2), il ne s’agit pas de l’ange Gabriel ou de l’ange
Michaël, mais d’avoir eu pour hôte Paul ou Pierre, ou quelque autre serviteur du
Seigneur », {Le mariage : problème ancien, p. 18}.
Allons au commencement pour arriver à aujourd’hui ; ainsi, par la grâce du Seigneur et par la
révélation du Saint-Esprit qui a fait écrire la Bible par les hommes, (2Pierre 1 : 20-21), nous
verrons où est la vérité, tout en gardant dans l’esprit que la parole de Dieu ne vient point aux
tuologiens, c’est-à-dire aux théologiens, ces tueurs de la parole de Dieu. Elle vient aux
prophètes et, après, aux serviteurs de Dieu envoyés par le Seigneur avec la parole de l’heure,
par l’esprit de sagesse et de révélation, (EPh. 1 : 17 ; 4 : 11-15). Professer la vérité.
Frère Ewald Frank a été, est, et reste toujours un tuologien, un théologien baptiste. Il n’a
jamais cru au message prêché par W.M. Branham. Comme nous le disons dans presque tous
nos écrits, il était en quête de renommée et de popularité dans le monde du christianisme
comme révérend pasteur. Pareil à un nain, il a trouvé l’occasion d’assouvir sa soif après la
mort du prophète Branham, de monter sur les épaules du géant. Paul nous recommande de
nous « éloigner d’un tel homme, sachant qu’un homme de cette espèce est perverti, et
qu’il pèche, en se condamnant lui-même», (Phil. 3 : 10, 11). Et encore : « Je sais qu’il
s’introduira parmi vous, après mon départ, des loups cruels qui n’épargneront pas le
troupeau, et qu’il s’élèvera du milieu de vous des hommes qui enseigneront des choses
pernicieuses, pour entrainer les disciples après eux », (Act. 20 : 29-30). J’ai toujours dit que
si Fr. Frank avait été envoyé par le Seigneur pour Le servir correctement, nous aurions eu à
lutter tous contre les idolâtres tonnerristes. Mais que Dieu soit loué, lui à qui « toutes choses
sont connues de toute éternité », (Act. 15 : 18).
Et frère Branham d’abonder dans le même sens et par le même Esprit-Saint lorsqu’il dit :
«Chaque génération a son réveil. Dieu suscite un homme à qui Il confie Sa Parole et le fait
démarrer avec le message pour cet âge. Mais aussitôt que cet homme est retiré de la
scène, quelqu’un d’autre s’en empare et hybride ce message : alors tout cela retombe
dans une parfaite ‘‘confusion’’ … c’est exactement ainsi que cela débuta tout au
commencement dans la Genèse. Dieu mit en route Sa récolte de race humaine, mais Eve
l’hybrida … Ce fut le jugement pour Eve », [La Parole Parlée est la Semence Originelle, p.
15]. Et pour Séduire les non élus, E. Frank crie à qui veut l’entendre que Dieu l’a établi selon
Matthieu 24 : 45-47, et que lui avec tous les serviteurs qui le suivent ont aussi l’esprit d’Elie,

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étalant d’emblée par-là, devant tout le monde, pour ceux qui ont des yeux, et qui ont été
correctement enseignés, qu’il est un faux Elie, un faux prophète ! Mais ce sont les fruits qui
nous montrent celui que Dieu a réellement envoyé. Rien n’arrive ni au hasard ni par
coïncidence. C’est Dieu qui accomplit sa volonté sur un homme, une famille, une nation ou sur
un âge, comme il le fait dans notre âge. Qu’il soit loué pour sa sagesse. Eternelle.

A propos du voile et des cheveux de femmes, notre docteur et 6e Elie croit et enseigne que
la femme doit avoir sur sa tête les deux, le voile et les cheveux !

I. Le voile dans l’Ancien Testament

Depuis la Genèse 3 : 15, après le péché, l’homme reçut de Dieu l’autorité sur la femme.
L’Ancien Testament nous parle d’abord de lettre de divorce que lui donnerait son mari dès
qu’il jugeait ne plus vivre avec elle, pour une raison ou pour une autre, dans sa maison, (Deut.
24 : 1-2). Et même dans la maison de son père, une femme était toujours soumise à l’autorité
de l’homme, qu’est son père. Elle n’avait aucun droit de faire un vœu ni de prendre un
engagement sans l’autorisation de son mari ou de son père. C’est ce que nous lisons dans
Nombres 30. Tant qu’elle sera dans la maison de son père, tout vœu ou tout engagement
qu’elle aurait à prendre serait soumis à l’approbation ou à la désapprobation de son père, (v.
4-6). Si elle est mariée, c’est son mari qui en jugera, (v. 7-9, 11-14) ; tandis que le vœu ou
l’engagement d’une femme veuve ou répudiée était valable pour elle, car elle n’est pas, ou
n’est plus, sous l’autorité d’un homme, (v. 10). Alors, cette abomination des « droits de la
femme » est une rébellion contre Dieu et contre sa parole, comme commise par Eve au jardin ;
et c’est le même séducteur, le serpent ancien, le diable et Satan, (Ap. 12 : 9).
Nous voyons le voile sur la tête de Rébecca lorsqu’elle aperçoit Isaac, (Gen. 24 : 65) ; sur la
tête de Tamar lorsqu’elle s’apprêta à tromper son beau-père Jacob, (Id. 38 : 14, 19 ; Job 24 :
15). Dans Cantique des Cantiques nous lisons : « que tu es belle, mon amie, que tu es belle !
Tes yeux sont des colombes, derrière ton voile … Les gardes qui font la ronde dans la ville
m’ont rencontrée ; ils m’ont frappée ; ils m’ont blessée ; ils m’ont enlevé mon voile, … », (Cant.
4 : 1 ; 5 : 7).
C’était donc une obligation, un ordre pour la femme juive de porter le voile sur sa tête. Le
geste de Rébecca en voyant son mari pour la première fois, celui de Tamar devant Jacob, et
de la prostituée, etc, nous enseignent une chose ayant trait au respect, à la soumission de
la femme à l’homme. Rebecca avait la tête découverte (donc rasée) tout le long du voyage ;
mais lorsque Eliezer lui dit « c’est mon seigneur», elle a remis son voile (en d’autres termes
elle a gardé sa chevelure sur la tête), (Gen. 24 : 65). Soumission de la femme à l’autorité de
l’homme
C’était un opprobre de voir une femme juive sans voile, donc sans cheveux sur la tête ;
elle était comme rasée, chauve. Elle donnait ainsi l’impression d’être aussi « un homme »,
par conséquent, une rebelle, une orgueilleuse. Elle donnait l’impression de violer pour sa part
la loi de Dieu, (Gén. 3 : 15).
Ainsi, le plus sévère châtiment infligé à une femme Juive était de lui raser les cheveux,
rendre sa tête chauve. L’Eternel dit par Esaïe le prophète, lorsqu’il vit l’orgueil des femmes
juives : « L’Eternel dit : Parce que les filles de Sion sont orgueilleuses, … le Seigneur rendra
chauve le sommet de la tête des filles de Sion … En ce jour … au lieu de cheveux bouclés,

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une tête chauve … », (Es. 3 : 17, 24). Une menace de l’Eternel. C’était honteux parce qu’elle
ressemblait à un homme. Seul l’homme a le droit d’avoir la calvitie sur la tête, donc d’être
chauve. A ce propos Lévitique nous dit : «Lorsqu’un homme aura la tête dépouillée de
cheveux (=rasée), c’est un chauve : il est pur. S’il a la tête dépouillée de cheveux du côté
de la face, c’est un chauve par devant : il est pur », (Lév. 40-41). Autrement dit une femme
qui a la tête dépouillée de cheveux est chauve ; elle est « impure » ; elle a la tête rasée.
Voilà pourquoi aucune femme ne peut avoir la calvitie. Ceci est pour l’homme. Amen. Gloire
soit rendue à l’Eternel notre Dieu Père et à Jésus-Christ son Fils notre Seigneur, pour sa
révélation par le Saint-Esprit qui avait été promis, et que nous avons reçu par le message
prêché par son serviteur le prophète, W.M. Branham.

Je suis content d’en avoir. Merci Seigneur mon Dieu. Je t’en remercie une fois encore de ne
m’avoir pas fait femme, et de m’avoir donné ton Saint-Esprit qui « m’enseigne toutes choses et
qui me conduit dans toute la vérité », (Jn. 14 : 26 ; 16 : 13). Toutes tes promesses sont vraies.
Amen.
Lorsqu’une femme mariée a été soupçonnée d’adultère, ou si elle l’avait réellement commis
et qu’elle ne l’avait pas avoué à son mari, celui-ci l’amenait au sacrificateur qui lui découvrait
la tête (elle avait la tête couverte), autrement dit, il lui rasait la tête. Il lui faisait jurer et lui
disait : « si aucun homme n’a couché avec toi, et si, étant sous la puissance de ton mari tu
ne t’en es pas détournée pour te souiller, … Mais si, étant sous la puissance de ton mari tu
t’en es détournée et que tu te sois souillée, … », (Nbr 5 : 19, 20).
Le sacrificateur découvrait la tête de la femme parce qu’elle est sous le soupçon d’adultère,
donnant par-là l’impression d’être sortie de l’autorité maritale, bien que présumée innocente
jusqu’à l’épreuve du contraire. C’était cela la loi de jalousie.
Le point culminant de cette soumission de la femme à l’homme est donné dans 1Timothée
2 :12 : « Je ne permets pas à la femme d’enseigner, ni de prendre de l’autorité sur
l’homme ; … ». C’est depuis Genèse 3 : 15. Combien sont maudits, tous ceux qui s’assoient
devant des femmes soi-disant pasteurs pour les écouter prétendant prêcher ?, (Gal. 1 : 8-9).
Il leur arrive ce que notre Dieu a dit par la bouche de son prophète : « Mon peuple est détruit
parce qu’il lui manque la connaissance », (Osée 4 : 6).
Les cheveux de la femme sont une sorte de fioriture sur l’ensemble de sa beauté. Une femme
sans cheveux sur la tête est comme une montagne sans végétation, dénudée. Mais ils sont
plus que cela. Sous « l’ombre », c’est le voile que le sacrificateur enlevait de la tête de la
femme présumée adultère. Mais aujourd’hui, selon la vérité nous savons que c’est « la
chevelure » que le sacrificateur enlevait pour la déclarer adultère et répudiée. Amen. Alléluia.
Ce n’est pas Paul qui a dit cela. Mais il avait en lui le même Saint-Esprit que celui que j’ai.
Amen.
Le voile de femme peut être aussi assimilé à la virginité de la fiancée, car tout comme son
fiancé, et lui seul, a le droit d’enlever le voile du visage de sa fiancée le jour du mariage, il en
est aussi de même de l’hymen. C’est le mari qui doit enlever cette membrane le premier jour
du mariage. Le voile. Le voile est lié au mariage de la mariée. C’est pourquoi une fille fiancée
chrétienne doit attendre jusqu’au jour du mariage pour que son époux seul puisse « enlever
son hymen », après avoir invoqué le nom du Seigneur comme témoin de leur union : « Et

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vous dites pourquoi ? Parce que l’Eternel a été témoin entre toi et la femme de ta jeunesse
…», (Mal. 2 : 14).

II. Le voile dans le Nouveau Testament : 1Corinthiens 11

Dans le Nouveau Testament nous trouvons le terme « voile » de femme et sa signification
dans 1Cor. 11 : « Toute femme, au contraire, qui prie ou qui prophétise, la tête non voilée,
déshonore son chef : c’est comme si elle était rasée » ; elle est donc chauve. Notez la
continuité des écritures. L’Ancien Testament est l’ombre du Nouveau Testament qui est la
réalité, la vérité.
Gloire à Dieu notre Père par Jésus-Christ notre Seigneur.
Nous remarquons déjà que le voile sur la tête de femme va avec la chevelure. Ce n’est pas
Paul qui a inventé ni le voile ni la chevelure de femme. Enlever le voile équivaut à couper la
chevelure ou à se raser la tête pour une femme, comme nous venons de le voir dans le cas
d’une femme soupçonnée d’adultère. C’est pourquoi dans Esaïe 3, versets 17 et 24 le
châtiment dont le Seigneur menace les filles de Sion, c’est de leur « rendre chauve le
sommet de la tête ». Le Seigneur ne parle pas d’enlever le « voile ». Ceci peut aider notre
frère E. Frank, docteur en tuologie, (de tuer –logos, la parole), à comprendre cette écriture. Si
Dieu pouvait avoir pitié de lui !
D’où Paul dit « si elle n’est pas voilée, qu’elle se coupe les cheveux ou qu’elle se rase la
tête », parce que n’est pas être voilée équivaut a été rasée. Amen.
Il est écrit, Paul parlant des choses de l’Ancien Testament « c’était l’ombre des choses à
venir, mais le corps (la vérité, la réalité) est Christ », (Col. 2 : 16, 17). Et Jean de dire : « car
la loi a été donnée par Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus-Christ », (Jn. 1 : 17).
Et l’ombre n’est pas la représentation exacte de la vérité : « En effet, la loi, qui possède une
ombre des biens à venir, et non l’exacte représentation des choses, … », (Hébr. 10 : 1).
Ainsi ce qui était ‘‘ombre’’ un peu floue dans la loi est devenue la réalité, la vérité dans la
nouvelle alliance où le ‘‘corps’’ de Jésus-Christ a révélé tout ce qui a été caché dans les
paraboles et dans les ombres. Car, il n’y a aucune femme, depuis la création du monde, qui
nait avec un voile ou un foulard sur la tête. Toutes naissent avec leurs cheveux sur la tête.
Amen. Frère Branham, donnant la loi de Dieu dit : « La loi de Dieu est de recevoir un serviteur
confirmé…. Vous ne pouvez servir Dieu sur cette terre que lorsque les serviteurs de Dieu
envoyés sur la terre par inspiration divine interprètent la Parole pour vous … La
Semence de Christ doit venir par l’intermédiaire de Son Corps, non pas par l’intermédiaire
d’une dénomination, mais par l’intermédiaire d’une semence née de nouveau, une
semence de la Parole … La seule façon pour vous de naître de nouveau est de recevoir
premièrement la Parole dans la matrice de votre pensée ; ensuite l’Esprit vient là-dessus et
produit le fruit. Voilà ! C’est le véritable enseignement de l’Evangile, frères », [La Parole
Parlée est la Semence Originelle, pp. 73,92, 93].
Ainsi la nouvelle naissance est en rapport avec la parole révélée en son âge. Le prophète dit :
« Peu importe à quoi vous appartenez : si vous n’êtes pas né de l’Esprit de Dieu, … vous n’avez
pas reçu le Saint-Esprit, si vous ne croyez pas toute la Parole de Dieu, vous n’avez pas encore
reçu le Saint-Esprit. C’est vrai. C’est exactement cela. Quand vous entendez la Vérité, si le
Saint-Esprit ne vous conduit pas à Elle, alors, c’est qu’il y a en vous un autre esprit qui vous
en tient éloigné ; l’esprit qui est en vous n’est pas le Saint-Esprit … Vous ne pouvez être une

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semence et être en désaccord avec la Parole, car la Parole est la Semence … C’est la raison
pour laquelle quelqu’un qui est double est un hypocrite. C’est un hybride. Celui qui prétend
être un homme de Dieu, mais qui nie la Parole est un hypocrite », [Id. p. 56, 20]. Amen.
Que ton âme repose en paix, serviteur et prophète de Dieu. Je ne dis pas que frère Frank est
un hypocrite. Je répète ce que dit le véritable Elie.
‘‘Bientôt nous serons ensemble dans le temps ou l’éternité,
Tous ceux qui t’aiment, et tous ceux que tu as aimés’’.
Puisque nous sommes encore sur ce point posons-nous cette question : Si notre frère E. Frank
est né de nouveau, selon ce que vient de dire frère Branham, pourquoi nie-t-il plusieurs
écritures, prétendant qu’elles ne sont pas inspirées, et dit qu’elles ont été ajoutées … ? Peut-il
être un esprit séducteur dans le message ? Une question qui dérange pour plusieurs dont le
nom n’a pas été écrit dès la fondation du monde dans le livre de vie de l’Agneau de Dieu.
Revenons à notre sujet sur le voile de femme.
Au commencement, Dieu créa l’homme à son image et à sa ressemblance. Il créa l’homme et
la femme ; Il leur donna le même pouvoir de dominer les autres créatures, et le même ordre
de garder la parole, (Gen. 1 : 26, 27 ; 2 : 16-17). Mais lorsque la femme choisit « les droits
de la femme » et qu’elle séduisit l’homme, son mari, et avec lui toute l’humanité, ce qui était
une alliance commune, produit une alliance double. L’égalité prit fin, et l’homme reçut
l’autorité sur sa femme ; non pas l’autorité de la considérer comme un torchon, de lui ajouter
d’autres femmes : « C’est ainsi que les maris doivent aimer leurs femmes comme leurs
propres corps. Celui qui aime sa femme s’aime lui-même. Car jamais personne n’a haï sa
propre chair ; mais il la nourrit et en prend soin, comme Christ le fait pour l’Eglise », (Eph. 5 :
28-29). Où est la polygamie là ? Il n’est pas dit « celui qui aime ses femmes », mais « sa
femme ». Et encore : « Toutefois, pour éviter l’impudicité, que chacun ait sa femme, et que
chaque femme ait son mari », (1Cor. 7 : 2). Et il lui est recommandé de vivre avec elle dans
la sagesse, (1Pier. 3 : 7). Pauvres impudiques séduits par frère E. Frank ! Cet esprit séducteur !
Et physiquement, pour « exhiber » cette autorité de l’homme sur la femme Dieu lui intima
l’ordre de garder sa chevelure, de ne pas la couper ou de raser la tête, sous peine d’être
déclarée adultère et être ainsi répudiée ; car couper les cheveux ou raser la tête est un
signe d’insoumission, de mépris, de déshonneur et de rébellion à l’égard du mari, la
femme montrant par-là qu’elle n’est plus sous l’autorité, sous la puissance d’un homme.
C’est la même chose que l’adultère. Amen.

Donc, la chevelure de la femme est un signe plus pour l’homme que pour la femme parce
que chaque fois qu’il la voit sur la tête de sa femme il sait que celle-ci lui est soumise et qu’elle
reconnait son autorité, comme le dit la parole du Seigneur. Malheureusement, en dehors de
véritables chrétiens du message, beaucoup d’hommes chez beaucoup de peuples, ce fait n’est
pas connu. Chez les Kasaïens de la RD Congo par contre cela existe jusqu’aujourd’hui. Ceux
qui le pratiquent n’en savent peut-être pas l’origine, mais ils en savent au moins la
signification. Lorsque le mari meurt, le même jour les autres femmes amènent la veuve à la
rivière, ou partout où il y a de l’eau ; elles lui rasent la tête, parce que, disent-elles, celle-ci
n’a plus de mari sous l’autorité duquel elle vivait ; elle n’a plus de tête. Amen. Elle n’est
plus sous la puissance d’un homme. Et vite son beau-frère peut la prendre pour femme
le même jour, s’il l’aime, (cfr Rom. 7 : 3). Ce n’est pas un voile que ces femmes enlèvent de

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la tête de l’éprouvée, mais toute la chevelure, frère E. Frank ! Je ne pense pas que l’épouse
de frère Frank se couche sur son lit ou se lave dans la douche avec son foulard sur sa tête !
Alors, où est-ce que ce grand peuple Kasaïen a-t-il trouvé cela ? Dieu seul le sait. C‘est
pourquoi Paul dit : « Quand les païens, qui n’ont pas la loi, font naturellement ce que prescrit
la loi, ils sont, eux qui n’ont pas la loi, une loi pour eux-mêmes ; ils montrent que l’œuvre de
la loi est écrite dans leurs cœurs, leur conscience en rendant témoignage, et leurs pensées
s’accusant ou se défendant tour à tour », (Rom. 2 : 14-15). C’est comme il est aussi dit ailleurs
que « Dieu a mis dans leur cœur la pensée de l’éternité », (Eccl. 3 : 11). N’est-il pas
écrit : « J’ouvrirai ma bouche en paraboles, je publierai des choses cachées depuis la création
du monde » ?, (Matth. 13 : 35 ; Ps. 78 : 2). Et le voile de femme d’abord, leur chevelure ensuite,
sont quelques-unes de ces choses qui avaient été cachées depuis la création du monde, et
aujourd’hui révélées par le Saint-Esprit au véritable Elie des nations, W. M. Branham, lorsque
les six sceaux ont été révélés. Amen.
Gloire à l’Eternel notre Dieu et à Jésus-Christ notre Seigneur.
Que son amour est insondable, et sa miséricorde éternelle ! Quelle grâce éternelle de m’avoir
donné à croire et à prêcher aux miens un Evangile Eternel pour un Peuple Eternel ! Dieu de
grâce et de miséricorde.
« Crois au Seigneur Jésus, et tu seras sauvé, toi et ta toute famille », (Ac. 16 : 31). Tu as
accompli cette parole dans ma famille pour me consoler de toutes les souffrances que j’ai
connues depuis que j’étais un bébé de deux semaines ! Merci.

1. Dans 1Corinthiens 11
Paul commence par rappeler l’Ancien Testament, lorsqu’il parle du voile : savoir que « Christ
est le chef de tout homme, que l’homme est le chef de la femme, et que Dieu est le chef de
Christ. Tout homme qui prie ou qui prophétise la tête couverte déshonore son chef », Christ,
car cet homme est impur, (Ancien Testament). D’où l’homme n’a pas à porter le voile sur sa
tête. Tel il était dans l’Ancien, tel il est dans le Nouveau Testaments. Mais la femme doit l’avoir,
comme signe ostentatoire et public qu’elle est sous l’autorité d’un homme, son mari, (Gen.
3 : 15). Or Christ n’est pas « le mari » de l’homme ; Christ est, dans le Nouveau Testament,
l’Epoux de l’Epouse, c’est-à-dire de l’Eglise ; pas d’une seule personne. Celle-ci étant
membre du corps, de l’Eglise. La seule marque que, individuellement, l’homme doit avoir en
lui, comme aussi la femme, est le Saint-Esprit, sans lequel il ne fait pas partie de l’Epouse de
Christ, de l’Eglise, du corps de Christ. L’Ancien Testament ordonnait à la femme d’avoir
constamment le voile sur la tête, et de l’enlever peut-être pendant la douche, ou quand elle
se couche. Dans ce cas elle violait potentiellement la loi. Voyez-vous ? Mais ici le voile était
une ombre ; c’est pourquoi elle pouvait l’enlever quelques fois sans que cela soit un péché
pour elle, ni offenser son mari.
Oh ! Eternel. Tes pensées ne sont pas nos pensées, (Es.55 : 8). Amen.
L’homme a été créé à l’image et à la ressemblance de Dieu ; pas la femme. Dieu dit : « J’ai
dit : vous êtes des ‘‘dieux’’, (Ps. 82 : 10 ; Jn. 10 : 34). Dans l’Adoption frère Branham dit « nous
sommes des dieux amateurs … Mais savez-vous que les hommes qui sont les fils de Dieu
sont des dieux amateurs ? … D’ailleurs Dieu avait dit, dans Genèse 2, qu’ils étaient des
dieux, puisqu’ils avaient pleine autorité sur l’empire du monde. Il lui avait donné autorité sur

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toutes choses … Ensuite, il a fait de l’homme ‘‘un petit dieu’’ … dans son empire. Et son
empire s’étend d’un océan à l’autre, d’un rivage à un autre. Parlant du Seigneur Jésus il dit : En
vérité, je vous le dis, à vous qui êtes des petits dieux (avec Dieu en vous, Eph. 2 : 22, NDE)
si vous dites à cette montagne ‘‘Ote-toi de là, et si vous ne doutez pas dans votre cœur, mais
vous croyez que ce que vous avez dit arrivera, ce que vous aurez dit vous sera fait’’ … toute la
nature attend la manifestation des fils de Dieu … C’est ce que j’ai attendu avec impatience,
j’attends de voir le moment où on marchera dans la rue, et voyant un homme étendu là,
infirme de naissance : « Je n’ai ni or ni argent ». Oh ! Attendant la manifestation des fils de
Dieu, alléluia, quand Dieu se fera connaitre … », [L’Adoption pp. 169 : 76, 77, 79, 84, 87].
Paul, parlant devant des philosophes d’Athènes leur dit : « C’est ce qu’ont dit aussi quelques-
uns de vos poètes ‘‘De lui nous sommes la race. Ainsi donc, étant de la race de Dieu, …’’,
(Ac. 17 : 28, 29). Dieu n’a pas de plus grand que lui. Il jure par lui-même, (Es. 45 : 23). Ainsi,
l’homme qui est son image n’a pas à avoir un signe de soumission, Dieu est en lui par le
Saint-Esprit, selon qu’il est dit ‘‘Dieu au-dessus de nous, Dieu parmi nous, et Dieu en nous,
(Eph. 4 : 6). Hier il était ‘‘Dieu au-dessus d’eux et parmi eux; mais aujourd’hui nous avons
‘‘Dieu en nous’’, Christ en nous par le baptême du Saint-Esprit… « Si quelqu’un m’aime, il
gardera ma parole, et mon Père l’aimera ; nous viendrons à lui, et nous ferons notre
demeure chez lui … l’Esprit de vérité, que le monde ne peut recevoir, parce qu’il ne le voit
point et ne le connait point ; mais vous vous le connaissez, car il demeure avec vous et il sera
en vous … moi en eux, et toi en moi, afin qu’ils soient parfaitement un … », (Jn. 14 : 15,
23, 17 ; 17 : 23). Alléluia. « L’homme chrétien, aujourd’hui, n’est pas seulement à l’image de
Dieu, à sa ressemblance, mais plus encore il est habitation de Dieu. Amen. Voilà pourquoi
il ne doit pas avoir beaucoup de cheveux ni des cheveux longs sur la tête. Notre frère Paul
dit : « Il est l’image du Dieu invisible, … », (Col. 1 : 15). Amen. Nous, à l’image de Dieu, et
notre frère Jésus-Christ, à l’image de Dieu. Alléluia. Il est écrit : « C’est pourquoi il n’a pas honte
de les appeler frères, car celui qui sanctifie et ceux qui sont sanctifiés sont tous issus
d’un seul », (Héb. 2 : 11), Dieu. Si Jésus notre frère est Dieu, nous sommes ipso facto
‘‘des petits dieux’’ par le fait qu’il demeure en nous. Amen. Pourquoi aurais-je sur moi une
marque de soumission ? Non.
Oh ! La stimulation de la révélation ! Quelle consolation éternelle, Seigneur Jésus pour moi et
ma famille ! Quelle insondable grâce ! Gloire te soit rendue aux siècles des siècles. Amen.
Lorsque la loi ordonnait que l’on circoncît l’homme, la femme n’était pas concernée. Notre
prophète dit que la femme était dans l’homme, tout comme Lévi paya sa dime quand il était
encore dans les reins d’Abraham, (Hébr. 7 : 9). Notre Dieu est un Dieu d’ordre, (1Cor. 14 : 32).
Il sait ce qu’il fait, ce qu’il veut et ce qu’il dit.

2. Du verset 4 au verset 13 de 1Corinthiens 11

Dans les versets 14 et 15, ce qui était une ombre est dévoilé et exprimé selon la réalité : il
s’agit de ‘‘longs cheveux’’ que doit avoir la femme sur sa tête. La femme doit en avoir, et pas
l’homme. Comme c’était une honte pour la femme de couper les cheveux ou de raser la tête, il
en est de même pour l’homme d’avoir de longs cheveux sur sa tête. C’est une honte, comme
c’était une honte de porter le voile, comme le font les musulmans. Paul conclue : « la chevelure
a été don-née à la femme COMME voile ». C’est un don fait à la femme pour sa gloire et

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pour la gloire de son mari. A quelle femme Dieu a-t-il jamais fait don d’un voile à sa naissance ?
Ce sont ses cheveux. Ce n’est pas un mouchoir de tête, frère Frank !
Si la femme ne pouvait prier SANS voile, et qu’elle pouvait cependant l’enlever dans la
douche ou sur sa couche, elle ne doit pas non plus couper sa chevelure ou raser sa tête,
soit dans la douche, soit sur son lit. La chevelure LUI A ETE DONNEE PAR DIEU. Dieu ne lui
a pas donné un morceau de tissus, frère Frank ! Le voile était une ombre de ce qui devait
arriver avec Christ. La vérité. Dieu ne fait pas tomber du ciel des voiles pour toutes ses filles !
Je remercie le Seigneur. Quand j’étais célibataire j’aimais beaucoup voir de petites filles avec
beaucoup de cheveux sur leur tête. Quand je me suis marié, ma femme n’en a pas beaucoup,
mais ma première fille Meda, en a. Et ma femme fait ses efforts pour les multiplier. Que Dieu
la bénisse.

 L’erreur de frère E. Frank

Pour lui, premièrement, Paul recommande aux femmes QUI S’apprêtent A EXERCER les
dons, à prier ou à prophétiser de VOILER leur tête ;
Deuxièmement, LES LONGS CHEVEUX leur servent de COUVERTURE dans les réunions
particulières de prière où elles exercent les dons ;
Troisièmement, les longs cheveux leur servent de signe de leur intégration …
Donc pour E. Franc, la femme doit porter et le voile et les cheveux longs ; dans une
circonstance donnée, elle voile la tête ; et dans une autre circonstance, elle est sans voile,
mais garde ses cheveux ! Est-ce, mes frères frankistes, ce que dit la parole de Dieu et le
message de W.M. Branham, même si vous l’avez rejeté ? N’est-ce pas la confusion dont a
parlé le prophète ? C’est ce que croient les docteurs en tuologie des dénominations. Frère
Frank est-il aussi et un théologien baptiste ? Un dénominationnel ? Alors, puisqu’il a rejeté la
connaissance par le Saint-Esprit, Dieu l’a rejeté et l’a dépouillé de son sacerdoce, (Osée 4 :
6) ; par conséquent, il n’a pas de ministère d’Epouse dans le message. Il est encore dans
l’Ancien Testament. Le jour où nous nous serons partis, ce sera le jour où il verra le Nouveau
Testament. Si le Seigneur pouvait avoir pitié de lui !
Frère Branham répond à une question qui lui a été posée par une sœur : « Frère Branham, s’il
vous plait, expliquer 1Corinth 11 : 4-6. : Quand nous prions, nous prophétisons, pouvons-nous
mettre nos cheveux ou les enlever quand nous prophétisons ? », [Conduite-Ordre-Doctrine,
vol. II, p. 924, Q 351, § 213].
Il répond : « Je ne vois là rien à propos de mettre ou d’enlever des cheveux, à moins que la
femme ne désire … si elle dit qu’elle doit les couper, alors qu’elle soit rasée complètement.
Voyez ? Parce que, si ce n’est pas le cas, alors, qu’elle garde ses cheveux, parce que sa
chevelure est son voile … qu’elle ait ses cheveux longs », [p. 925 : 213 ; p. 926 : 215]. Vous
voyez la confusion que frère Frank a semée chez les femmes et chez les serviteurs qui le
suivent aveuglement ? Une visiteuse qui est chez moi en provenance de Kinshasa m’a dit
qu’elle a une cousine d’une assemblée ; leur pasteur leur commande de porter un mouchoir
de tête avant d’entrer dans l’assemblée ! Alors j’ai compris que c’étaient ces frankistes
confusionnistes. « Le Seigneur leur rendra selon leurs œuvres », pour avoir rejeté la vérité,
(2Tim. 4 : 14).

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3. 1Corinthiens 11 : 10

« … c’est pourquoi, à cause des anges … » « C’est pourquoi la femme, à cause des
anges, doit avoir sur la tête une marque de l’autorité dont elle dépend ... Et lorsqu’il est écrit
que plusieurs ont logé des anges sans le savoir (Héb. 13 : 2), il ne s’agissait pas de l’ange
Gabriel ou de l’ange Micaël, mais bien d’avoir eu pour hôte Paul ou Pierre, ou quelque autre
serviteur du Seigneur. Il est écrit sept fois dans l’Apocalypse : Ecris à l’ange de l’Eglise … » -
c’est-à- dire au messager que Dieu y avait établi. Les vrais serviteurs sont des ambassadeurs
de Christ (1Cor. 5 : 20).
Frère E. Frank prétend ici que les anges dont il est question dans ces versets ne sont pas des
anges célestes, mais des serviteurs dans des églises, comme Paul, Pierre, et lui-même ! Tel
est le résultat du rejet du prophète et du manque du Saint-Esprit : la confusion, l’ignorance.
Que dirait-il des anges dont il est question dans Hébreux 1 ? La parole de Dieu ne vient jamais
aux théologiens, ni aux anciens diplomates. Et sans le Saint-Esprit, mes frères, nul ne peut
comprendre la parole de Dieu. Ce n’est pas étonnant que Fr. Frank ne comprenne pas la
Divinité du Seigneur Jésus-Christ, dans Matthieu 28 : 19 et dans 1Jean 5 : 7, 8 dont il dit
qu’ils sont ajoutés.
La Bible nous parle de Dieu comme « l’Ange de l’Eternel », lorsqu’Il est dans une mission sur
terre, (Gen. 16 :7-13). C’est le Seigneur lui-même ; tout le monde le sait ; même si les
théologiens traducteurs écrivent le mot ‘‘ange’’ avec minuscule. Ce qui prouve leur manque
de connaissance et de révélation. Si Dieu lui-même se révèle être ‘‘un messager de l’alliance’’,
(Mal. 3 : 1), pourquoi n’enverrait-il pas des anges du ciel avec pour mission d’apporter une
bonne nouvelle aux enfants de Dieu, pour leur salut ?
Hébreux 1 : 13, 14 : « Et auquel des anges a-t-il jamais dit … Ne sont-ils pas tous des esprits
au service de Dieu, envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent
hériter du salut ? » Frère E. Frank n’est pas un ‘‘esprit’’, que je sache. Comme un grand
confusionniste le docteur E. Frank veut oublier que Dieu envoie des anges célestes sur la
terre avec mission relative au salut des enfants de Dieu, comme cela est proclamé par l’apôtre
Paul. C’est pourquoi je me demande toujours pourquoi frère Frank avait abandonné la
diplomatie, comme nous l’avions appris par ouï-dire, pour venir s’engouffrer dans la parole de
Dieu, un domaine mystérieux !
Qu’est-ce que ma femme, par exemple, aurait-elle à faire avec un serviteur d’une assemblée
qui viendrait chez moi pour une raison ou pour une autre ? C’est un homme, un serviteur. Il
serait un ange que Dieu aurait envoyé chez moi. Il est vrai qu’un serviteur de Dieu est un
messager, un envoyé de Dieu, un homme terrestre. Mais cela n’est pas à confondre avec les
anges célestes ! Ils sont au service de Dieu pour notre salut.
Les anges ont été créés par Dieu. Mais ils sont supérieurs à l’homme, par le fait même qu’ils
sont des êtres spirituels avec Dieu. Et ce sont des envoyés de Dieu comme le dit Paul de
Tarse : ‘‘ce sont tous des esprits au service de Dieu (= des serviteurs de Dieu) envoyés
pour exercer un ministère en faveur de ceux qui doivent hériter du salut’’. Si la femme
doit avoir sur sa tête une marque de respect de son mari, à plus forte raison elle doit l’avoir
aussi devant un ange de Dieu, serviteur du Dieu vivant, saint venu de la présence de Dieu
Tout-Puissant, et sous la forme d’un homme. La même marque de respect pour le mari est

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aussi pour un ange en mission. Il est vrai que les véritables serviteurs de Dieu sont des
‘‘anges’’, mais ils sont terrestres, pécheurs sauvés par la grâce, alors que les anges célestes
ne connaissent pas ce qu’est la grâce. C’est pour cette raison qu’il n’existe pas d’anges-
femmes, même si les païens féminisent les noms d’anges, Gabriel est Gabriella ; Micaël est
Micaëlla, etc. Ceci est le démon de mondialisation politique qui féminise tout, comme le font
les Français avec leur langue.
Dieu est Esprit. Et lorsqu’il est venu chez Abram, il était sous la forme d’un homme, et les
deux anges qui l’accompagnaient étaient aussi des hommes, (Gen. 18 : 2). Le Seigneur était
en mission avec ses anges. L’ange Gabriel a été envoyé à Zacharie pour lui annoncer la venue
du prophète Jean, avec l’esprit d’Elie, avec la mission de ramener les enfants de Dieu à Dieu,
leur Seigneur; il est allé aussi à Marie, lui parler de la naissance du sauveur Jésus, (Luc 1 :
11,19, 26, 38). Il était un homme, en faveur de ceux qui doivent hériter du salut. Marie devrait
avoir le voile sur sa tête, car elle était Juive. Après la résurrection du Seigneur Jésus, ce sont
les femmes qui, les premières, ont connu sa résurrection par la bouche d’un ange envoyé du
ciel, (Matth. 28 : 2 ; Luc 23 : 54-56 ; 24 : 1-4, 5-9). C’étaient de véritables anges envoyés en
rapport avec notre salut. Ils ont annoncé aux femmes voilées la résurrection du Seigneur,
selon les écritures. Amen. Ces femmes devaient être toutes voilées, parce que des Juives.
Les anges ont toujours été envoyés en mission de service sur la terre : chez Corneille, (Ac.
10 : 3) ; à Jean, (Ap. 1 : 1 ; 5 : 2 ; 7 : 1 ; 22 : 6,8, 16). Dans le Psaumes 104 et repris par Paul
dans Hébreux 1 : 7 « Celui qui fait de ses anges des vents… », C’est-à-dire, des envoyés.
Les anges cherchaient même à connaitre les choses qui concernaient notre salut, (1Pier. 1 :
12).
Ainsi, la chevelure de la femme est une marque de respect de son homme, son mari ; et
dans l’Eglise, la marque de l’Epouse de Christ est le Saint-Esprit.
Si nous pouvions mettre ensemble les deux écritures « à cause des anges … qui sont tous
des esprits au service de Dieu, envoyés pour exercer un ministère en faveur de ceux qui
doivent hériter du salut », il est donc évident que les anges, supérieurs en force et en
puissance, ont droit au même respect de la part de la femme, comme en a le mari de sa femme.
La femme doit avoir sur sa tête la chevelure, marque de respect et d’autorité devant l’homme.
Et non pas un petit morceau de tissus fait de main d’homme. Si Dieu ne peut se contenter
d’habiter une demeure faite de main d’homme, comment trouverait-il le plaisir devant une
femme portant un morceau de tissus fait de main d’homme comme couverture ?

Puisse frère Frank être un tout petit peu spirituel ! « Telle voie parait droite devant un homme.
Mais son issue, c’est la voie de la mort », (Prov. 16 : 25).

4. Cheveux longs ou cheveux tout court ?

Par un mauvais enseignement des docteurs en tuologie des femmes africaines pensent que
Dieu exige de toutes les femmes d’avoir de longs cheveux. Dans ce cas, Dieu ne serait pas
Dieu. Car il aurait créé des femmes noires aux cheveux crépus, ensuite leur demander de les
rendre longs par leur propre effort. Non. Ce qui est demandé à la femme, c’est de ne pas
couper ses cheveux et de ne pas raser sa tête. Peu importe leur longueur, qu’ils soient

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gardés tels qu’ils sont. Qu’ils mesurent un mètre ou qu’ils mesurent un centimètre, c’est la
chevelure qui lui a été donnée comme voile par Dieu. Qu’elle les soigne. Si c’étaient des
morceaux de tissus, combien en faudrait-il par femme, car il faudrait les lessiver presque
chaque jour ?

5. Conclusion
Il est écrit dans la Bible que celui qui reçoit un prophète en qualité de prophète recevra la
récompense de prophète, (Matth. 10 : 41). Remarquez que le Seigneur a dit « recevra », ce
n’est pas aujourd’hui. Que feront les frères frankistes lorsqu’il sera tard ?
Si le prophète de l’âge a reçu la révélation sur une écriture, et si, avec le même Esprit, nous
croyons que la révélation est vraie, qu’en est-il encore à chercher à semer la confusion dans
les cœurs des enfants de Dieu, si ce n’est pas l’œuvre de l’ennemi ? Elie a été envoyé pour
nous libérer des mains des théologiens. Un véritable élu de Dieu ne peut plus tomber dans les
mains des esprits séducteurs qui se sont introduits furtivement dans le message. C’est pourquoi
il y a plus des ténèbres aujourd’hui que du vivant du prophète. Mais les élus ne seront pas
séduits. C’est notre confiance en Dieu. Le Seigneur a dit « Et mon peuple ne sera plus
jamais dans la confusion », (Joël 2 : 26, 27).
Paul conclue ainsi son épitre : « si quelqu’un se plait à contester, nous n’avons pas cette
habitude, non plus que les Eglises de Dieu », (1Cor. 11 : 16). Les églises créées par les
hommes contesteront. Mais dans toutes les Eglises des saints, « car Dieu n’est pas un Dieu de
désordre … », (1Cor. 14 : 33).
Pour Sa gloire.

Un Evangile Eternel, pour Un Peuple Eternel.

Pasteur et enseignant, Pierre Mutamba Wang

Petit Troupeau Tabernacle/ Goma RDC

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