Livre - 2bac-BIOF-semestre-02

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Sommaire :

Programme du semestre 02
 Cours détaillé  Chapitre 08 : Nombres complexes-(Partie II) 02……..09
 Série d’exercices 08 : Nombres complexes 10….…..11
 Séries  Correction de série 8 : Nombres complexes 12….….. 22
corrigées  Chapitre 09 : Fonction exponentielle 23……..40
 Série d’exercices 08 : Fonction exponentielle 40….…..41
 Examens  Correction de série 8 : Fonction exponentielle 12….….. 22
blancs  Chapitre 09 : Equation différentielle 23……….23
 Série d’exercices 09 : Equation différentielle 24………24
 Correction de série 09 : Equation différentielle 24…...….24
Devoir 01 semestre 02

 Chapitre 10 : Calcul d’intégrales 25 ………40


 Série 10 : Calcul d’intégrales 41 ……….42
 Correction de série 10 : Calcul d’intégrales 43…….. . 53
Deuxième baccalauréat sciences  Chapitre 11 : Produit scalaire dans l’espace 54 ….……66

expérimentales 

Série 11 : Produit scalaire dans l’espace
Correction de série 11 : Produit scalaire
67 ……….68
69 …..…. 77

Semestre 02 Devoir 02 semestre 02


 Chapitre 12 : Produit vectoriel 78 ….……79
 Série 12 : Produit vectoriel 80 ……….81
 Correction de série 12 : Produit vectoriel 80 ………. 81
 Chapitre 13 : Dénombrement et probabilité 82………98
 Série 13 : Dénombrement et probabilité 99…….102
 Correction de série 13 : Probabilité 103 …. 111
Devoir 03 semestre 02
 Examens blancs 160……180
Prof : fayssal Site web : www.elboutkhili.jimdofree.com Cours : Nombres complexes-Partie(II) 2 bac BIOF Page 02
I) Notation exponentielle d’un nombre complexe non nul Définition 02:
1)Notation exponentielle d’un nombre complexe non nul : La forme exponentielle d’un nombre complexe z non nul est :
𝐳 = 𝐫𝐞𝐢𝛉 𝐚𝐯𝐞𝐜 𝐫 =∣ 𝐳 ∣ 𝐞𝐭 𝛉 ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐳)[𝟐𝛑]
Activité :
𝛑 Exemples
1) On pose 𝐳 = 𝟐√𝟐 + 𝟐𝐢√𝟔 𝐌𝐨𝐧𝐭𝐫𝐞𝐫 𝐪𝐮𝐞 𝐳 = [𝟒√𝟐, ]
𝟑  (∀𝐱 ∈ 𝐈𝐑∗+ ) ∶ 𝐱 = 𝐱𝐞𝐢𝟎
On peut aussi écrire 𝐳 = 𝟒√𝟐𝐞𝐢𝛉 cette écriture s’appelle la notation  (∀𝐱 ∈ 𝐈𝐑∗− ) ; 𝐱 = −𝐱𝐞𝐢𝛑
𝛑
exponentielle du nombre z
 ∀𝐲 ∈ 𝐢𝐈𝐑∗+ ∶ 𝐲𝐢 = 𝐲𝐞𝐢𝟐
2) Écrire sous forme exponentielle les nombres complexes suivants : 𝛑
 (∀𝐲 ∈ 𝐢𝐈𝐑∗− ) ∶ 𝐲𝐢 = −𝐲𝐞−𝐢𝟐
𝐳 = 𝟏 − 𝐢 ; 𝐳 = 𝟐𝐢 ; 𝐳 = 𝟑 + 𝟑𝐢√𝟑 ; 𝐳 = −𝟑 𝛑 𝛑 𝛑

Définition 01:  𝟏 + 𝐢√𝟑 = 𝟐(𝐜𝐨𝐬 ( ] + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ( )) = 𝟐𝐞𝐢𝟑


𝟑 𝟑
Pour tout réel , on note le nombre 𝐞 le nombre complexe de 𝐢𝛉
Exercice 01
module 1 et d’argument 𝛉 1)Déterminer la forme exponentielle de 𝐳 = 𝟏 + 𝐢√𝟑.
Autrement dit : 𝐞𝐢𝛉 = 𝐜𝐨𝐬( 𝛉) + 𝐢𝐬𝐢𝐧(𝛉) 2) En déduire la forme exponentielle des nombres suivants :
Exemples : a) 𝐢𝐳 ; b) 𝐢𝐳̅ ; c) −
𝟐𝐢
d) (𝟏 + 𝐢√𝟑)𝟏𝟐
𝐳
 𝐞𝐢𝛑 = 𝐜𝐨𝐬(𝛑] + 𝐢𝐬𝐢𝐧(𝛑) = −𝟏
𝛑 𝛑 𝛑
3) Écrire les nombres complexes suivants sous la forme
 𝐞𝐢𝟐 = 𝐜𝐨𝐬 ( ] + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ( ) = 𝐢 𝝅 𝝅

𝟑𝐢𝛑
𝟐 𝟐 algébrique : a) 𝒛 = 𝒆𝒊𝟔 b) 𝒛 = 𝟒𝒆𝒊𝟒
𝟑𝛑 𝟑𝛑
 𝟐𝐞 𝟒 = 𝟐 (𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ( )) = −√𝟐 + 𝐢√𝟐 Solution
𝟒 𝟒
𝛑
Propriété 01 : 1) 𝐳 = 𝟏 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 ( + 𝐢
𝟏 √𝟑
) = 𝟐 (𝐜𝐨𝐬
𝛑 𝛑
+ 𝐢𝐬𝐢𝐧 ) = 𝟐𝐞𝐢𝟑
′ 𝟐 𝟐 𝟑 𝟑
On pose ; 𝒛 = 𝒆𝒊𝜽 et 𝒛′ = 𝒆𝒊𝜽 avec 𝐫, 𝐫 ′ ∈ 𝐈𝐑+∗ 𝐞𝐭 𝛉, 𝛉′ ∈ 𝐈𝐑 𝐢
𝛑
𝐢
𝛑
𝐢
𝛑 𝛑 𝛑
𝐢( + ) 𝐢
𝟓𝛑

 ∣ 𝒆𝒊𝜽 ∣= 𝟏 ; 𝐚𝐫𝐠(𝒆𝒊𝜽 ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] 2) a) 𝐢𝐳 = 𝟐𝐢𝐞 = 𝟐𝐞 𝐞 = 𝟐𝐞


𝟑 𝟐 𝟑 𝟐 𝟑 = 𝟐𝐞 𝟔
𝛑 𝛑 𝛑 𝛑 𝛑 𝛑
−𝐢 𝐢 −𝐢 𝐢( − )
= 𝟐𝐞𝐢𝟔
′ ′
 𝒛𝒛′ = 𝒆𝒊𝜽 𝒆𝒊𝜽 = 𝒆𝒊(𝜽+𝜽 ) b) 𝐢𝐳̅ = 𝟐𝐢𝐞 𝟑 = 𝟐𝐞 𝐞 𝟐 𝟑 = 𝟐𝐞 𝟐 𝟑

𝒛 𝒆𝒊𝜽 ′ −𝐢
𝛑
 = ′ = 𝒆𝒊(𝜽−𝜽 ) c) −
𝟐𝐢
=
𝟐×(−𝐢)
=
𝐞 𝟐
=𝐞
𝛑 𝛑
𝐢(− − )
𝟐 𝟑 =𝐞−𝐢 𝟔
𝟓𝛑
𝒛′ 𝒆𝒊𝜽 𝛑 𝛑
𝟏 𝟏 𝐳 𝐢
𝟐𝐞 𝟑
𝐢
𝐞𝟑
 = 𝒊𝜽 = 𝒆−𝒊𝜽 𝛑 𝟏𝟐 𝛑
𝒛 𝒆
̅̅̅̅ d) (𝟏 + 𝐢√𝟑)𝟏𝟐 = (𝟐𝐞𝐢𝟑 ) = 𝟐𝟏𝟐 𝐞𝟏𝟐𝐢𝟑 = 𝟐𝟏𝟐 𝐞𝟒𝐢𝛑 = 𝟐𝟏𝟐 𝐞𝟎 = 𝟐𝟏𝟐
 𝒆 = 𝒆−𝒊𝜽 ; −𝒆𝒊𝜽 = 𝒆𝒊(𝜽+𝝅)
𝒊𝜽

 Formule de MOIVRE 𝝅 𝝅 𝝅 √𝟑 𝟏
Pour tout entier relatif n on a ; 𝟑 ) 𝒂) 𝒛 = 𝒆𝒊 𝟔 = 𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 ( ) = + 𝒊
𝟔 𝟔 𝟐 𝟐
𝒏
(𝒛)𝒏 = ( 𝒆𝒊𝜽 ) = 𝒆𝒊𝒏𝜽 𝝅 𝝅 𝝅 √𝟐 √𝟐
𝒏 𝒃)𝒛 = 𝟒𝒆𝒊𝟒 = 𝟒 (𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 ( )) = 𝟒 ( + 𝒊 ) = 𝟐√𝟐 + 𝟐𝒊√𝟐
(𝒄𝒐𝒔(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) = 𝐜𝐨𝐬(𝒏𝛉) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧(𝐧𝛉) 𝟒 𝟒 𝟐 𝟐
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Exercice02 2) Formules d’Euler :
1) Ecrire par deux méthodes 𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐥𝐚 𝐟𝐨𝐫𝐦𝐞 𝐚𝐥𝐠é𝐛𝐫𝐢𝐪𝐮𝐞
𝟐
Activité :D’après la formule de MOIVRE on trouve que
(𝐜𝐨𝐬(𝐱) + 𝐢𝐬𝐢𝐧(𝐱)) puis déduire cos(2x) et sin(2x) en fonction
𝐞𝐢𝛉 = (𝐜𝐨𝐬(𝛉) + 𝐢𝐬𝐢𝐧(𝛉)) ; (𝑳𝟏 )
de cos(x) et sin(x) (∀𝛉 ∈ 𝐈𝐑) : {
2) Exprimer 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝒙) en fonction de 𝐜𝐨𝐬 𝒙. 𝐞−𝐢𝛉 = (𝐜𝐨𝐬(𝛉) − 𝐢𝐬𝐢𝐧(𝛉)) ; (𝑳𝟐 )
𝐞𝐢𝛉 +𝐞−𝐢𝛉
Solution (𝑳𝟏 ) + 𝑳𝟐 ) donne : 𝐞𝐢𝛉 + 𝐞−𝐢𝛉 = 𝟐𝒄𝒐𝒔𝛉 donc : 𝐜𝐨𝐬(𝛉) =
𝟐
1) Selon la formule de Moivre : 𝐞𝐢𝛉 −𝐞−𝐢𝛉
(𝑳𝟏 ) − 𝑳𝟐 ) donne : 𝐞𝐢𝛉 − 𝐞−𝐢𝛉 = 𝟐𝒊 𝒔𝒊𝒏 𝛉 donc : 𝐬𝐢𝐧(𝛉) =
(𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙)𝟐 = 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝒙) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙) 𝟐𝐢

Et par la formule (𝒂 + 𝒃)𝟐 = 𝒂𝟐 + 𝟐𝒂𝒃 + 𝒃𝟐 Ces deux formules sont appelées << Formules d’Euler >>
𝐞𝐢𝛉 +𝐞−𝐢𝛉
(𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙)𝟐 = 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 + 𝟐𝒊 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝒊𝟐 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 𝐜𝐨𝐬(𝛉) =
𝟐
= 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 + 𝟐𝒊 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 Proposition : (∀𝛉 ∈ 𝐈𝐑) : {
𝐞𝐢𝛉 −𝐞−𝐢𝛉
Donc : 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝒙) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙) = 𝐜𝐨𝐬 𝟐 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 + 𝒊 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 𝐬𝐢𝐧(𝛉) =
𝟐𝐢
Exercice 03
En déduit que : 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝒙) = 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙
1) Par utilisation des formules d’Euler Montrer que :
E t que : 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙) = 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙
𝟏 𝟏
2)Selon la formule de Moivre : (𝐜𝐨𝐬(𝐱))𝟐 = 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) +
𝟐 𝟐
(𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙)𝟑 = 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝒙) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧(𝟑𝒙) On dit alors On dit que l'on a linéarisé le polynôme
𝟑 𝟑 𝟐 𝟐 𝟑 trigonométrique(𝐜𝐨𝐬(𝐱))𝟐
Et par la formule + 𝒃) = 𝒂 + 𝟑𝒂 𝒃 + 𝟑𝒂𝒃 + 𝒃
(𝒂
Linéariser une telle expression consiste à la ramener comme
(𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙)𝟑 = 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 + 𝟑𝒊 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝟑𝒊𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 + 𝒊𝟑 𝐬𝐢𝐧𝟑 𝒙 somme d’expressions du type 𝐜𝐨𝐬 𝒂𝒙 et 𝐬𝐢𝐧 𝒂𝒙.
= 𝐜𝐨𝐬 𝟑 𝒙 + 𝟑𝒊 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 − 𝒊 𝐬𝐢𝐧𝟑 𝒙 2)Linéariser l’expression 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙.
𝟑
= 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 + 𝒊(𝟑𝐜𝐨𝐬 𝟐 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟑 𝒙) 3) En déduire une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ 𝐜𝐨𝐬 𝒙.
Solution
Donc :
1)On applique une formule d’Euler :
𝟑 𝟐 𝟐 𝟑
𝐜𝐨𝐬(𝟑𝒙) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧(𝟑𝒙) = 𝐜𝐨𝐬 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝒊(𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧 𝒙) 𝟐
𝟐
𝒆𝒊𝒙 + 𝒆−𝒊𝒙 𝟏
𝐜𝐨𝐬 𝒙 = ( ) = ((𝒆𝒊𝒙 )𝟐 + (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + 𝟐𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 ),
On en déduit que : 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝒙) = 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 𝟐 𝟒
Or, 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 = 𝟏 − 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙, donc : 𝟏 𝟏
= (𝒆𝒊 𝟐𝒙 + 𝒆−𝒊 𝟐𝒙 + 𝟐𝒆𝒊𝒙−𝒊 𝒙 ) = (𝟐𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) + 𝟐𝒆𝟎 )
𝟒 𝟒
𝐜𝐨𝐬(𝟑𝒙) = 𝐜𝐨𝐬 𝟑 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 ( 𝟏 − 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙) Donc :
= 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝟑 𝒙 𝟏 𝟏
= 𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 − 𝟑 𝐜𝐨𝐬 𝒙 (𝐜𝐨𝐬(𝐱))𝟐 = 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) +
𝟐 𝟐
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2) On applique une formule d’Euler : Solution
−𝒊𝒙 𝟑 𝒂+𝒃 𝒂+𝒃 𝒂+𝒃
𝟑
𝒆𝒊𝒙 + 𝒆 𝟏) 𝒂) 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝒆𝒊 𝟐 (𝒆
𝒊(𝒂−
𝟐
)
+𝒆
𝒊(𝒃−
𝟐
)
𝐜𝐨𝐬 𝒙 = ( )
𝟐 𝒂+𝒃 𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
𝟏 = 𝒆𝒊 𝟐 (𝒆𝒊( 𝟐
)
+ 𝒆−𝒊( 𝟐
)
) = 𝟐𝐜𝐨𝐬( )𝒆 𝟐
= ((𝒆𝒊𝒙 )𝟑 + 𝟑(𝒆𝒊𝒙 )𝟐 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + (𝒆−𝒊𝒙 )𝟑 ), 𝟐
𝟖 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
Donc : 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐜𝐨𝐬( )𝒆 𝟐
𝟐
𝟏 𝒂+𝒃
𝒊(𝒂−
𝒂+𝒃
) 𝒊(𝒃−
𝒂+𝒃
)
𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 = (𝒆𝟑𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝟐𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝟐𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 ) 𝒃) 𝒆𝒊𝒂 − 𝒆𝒊𝒃 = 𝒆𝒊 𝟐 (𝒆 𝟐 −𝒆 𝟐
𝟖
𝟏 𝟑𝒊𝒙 𝒂+𝒃 𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
= (𝒆 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 + 𝟑𝒆−𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 ) = 𝒆𝒊 𝟐 (𝒆𝒊( 𝟐
)
− 𝒆−𝒊( 𝟐
)
) = 𝟐𝐢 𝐬𝐢𝐧( )𝒆 𝟐
𝟖 𝟐
𝟏 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
= (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 − 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 − 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐢𝐬𝐢 𝐧 ( )𝒆 𝟐
𝟖 𝟐
𝟏 𝟏 √𝟑
= (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙) 𝟐) 𝒛=𝟏+ +𝒊
𝝅
= 𝒆𝟎 + 𝒆𝒊𝟑
𝟖 𝟐 𝟐
𝟏 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
= (𝟐𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟔𝐜𝐨𝐬 𝒙) = 𝒆 (𝒆𝒊
𝟔
−𝒊
𝟔 +𝒆 𝒊( − )
𝟑 𝟔 )
𝟖
𝟏 𝝅
𝒊𝟔
𝝅
−𝒊 𝟔
𝝅
𝒊𝟔 𝝅
𝝅
= (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙) = 𝒆 (𝒆 + 𝒆 ) = 𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) 𝒆𝒊𝟔
𝟒 𝟔
𝝅
3) Ainsi, chercher une primitive de 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 revient à chercher une 𝝅 𝝅
𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) > 𝟎 donc 𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) 𝒆 est la forme exponentielle de z 𝒊
𝟔
𝟏 𝟔 𝟔
primitive de (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙).
𝟒
𝟏
Une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙) est la √𝟐 √𝟐
𝟒 𝒛′ = 𝟐 − √𝟐 − 𝒊√𝟐 = 𝟐 [𝟏 − ( + 𝒊 )]
fonction : 𝟐 𝟐
𝟏 𝟏 𝟏 𝟑 𝝅
𝒊𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
𝒙 ⟼ ( 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐬𝐢𝐧 𝒙) = 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝐬𝐢𝐧 𝒙 = 𝟐(𝟏 − 𝒆𝒊𝟒 ) = 𝟐𝒆 𝟖 (𝒆−𝒊𝟖 − 𝒆𝒊( 𝟒−𝟖) )
𝟒 𝟑 𝟏𝟐 𝟒 𝝅 𝝅 𝝅
Exercice 04 = 𝟐𝒆𝒊𝟖 (𝒆−𝒊𝟖 − 𝒆𝒊𝟖 )
1) Montrer que pour tout a et b dans IR on a : 𝝅 𝝅
−𝒊 𝟖
𝝅
𝝅
− 𝒆𝒊𝟖 = −𝟐𝒊 𝒔𝒊𝒏 )
𝝅
𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃 = − 𝟒𝒊 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆𝒊𝟖 ; ( car𝒆
𝟖 𝟖
𝒂) 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐜𝐨𝐬( )𝒆 𝟐 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
𝟐 =𝟒𝒆 −𝒊
𝟐
𝒊
𝒔𝒊𝒏 ( ) 𝒆 = 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆
𝟖
𝒊( − )
𝟖 𝟐 ; (car −𝒊 = 𝒆 −𝒊
𝟐 )
𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃 𝟖 𝟖
𝒃) 𝒆𝒊𝒂 − 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧( )𝒆 𝟐 𝝅 − 𝒊𝟑𝝅
𝟐 = 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆 𝟖
2) Ecrire sous forme exponentielle les nombres suivants : 𝟖
𝝅 𝝅 𝟑𝝅
𝒛=𝟏+ +𝒊
𝟏 √𝟑
; ′
𝒛 = 𝟐 − √𝟐 − 𝒊√𝟐 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) > 𝟎 donc 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆− 𝒊 𝟖 est la forme exponentielle de z’
𝟐 𝟐 𝟖 𝟖
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II) Ecritures complexe des transformations usuelles 𝐡(𝐌) = 𝐌′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐌′ = 𝐤 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐌
1)Ecritures complexe d’une translation ⇔ 𝐳’ − 𝐳𝛀 = 𝐤(𝐳 − 𝐳𝛀 )
Soit t la translation de vecteur 𝐮
⃗ (𝐚)et soit M’(z’) l’image de M(z) ⇔ 𝐳’ = 𝐳𝛀 + 𝐤(𝐳 − 𝐳𝛀 )
par la translation t on a : ⇔ 𝐳’ = 𝐤𝐳 + 𝐳𝛀 (𝟏 − 𝐤)
𝐭(𝐌) = 𝐌′ ⇔ 𝐌𝐌 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗′ = 𝐮
⃗ Cette écriture s’appelle l’écriture (ou la formule) complexe de
⇔ 𝐳′ − 𝐳 = 𝐚 l’homothétie h de centre 𝛀(𝐙𝛀 ) 𝐞𝐭 𝐝𝐞 𝐫𝐚𝐩𝐩𝐨𝐫𝐭 𝐤
⇔ 𝐳′ = 𝐳 + 𝐚 Remarque : f une transformation tel que 𝐳’ = 𝐚𝐳 + 𝐛
𝒃
Cette écriture s’appelle l’écriture (ou la formule) complexe de la Si 𝐚 ≠ 𝟏 alors f est l’homothétie de rapport a et de centre 𝛀( )
𝟏−𝒂
translation t de vecteur 𝐮 ⃗ (𝐚) Exercice 06
Remarque : f une transformation tel que 𝐳’ = 𝐚𝐳 + 𝐛 On considère l’homothétie h de centre 𝛀(−𝟑𝒊) et de rapport k=2
Si 𝐚 = 𝟏 alors f est la translation de vecteur 𝐮
⃗ (𝐛) 1)Déterminer b l’affixe du point B l’image de point A
Exercice 05 d’affixes 𝒂 = 𝟏 + 𝒊 par l’homothétie h
Dans le plan considère les deux points A et B 2) Déduire que A est le milieu du [𝛀 B]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ Solution
d’affixes : 𝐚 = 𝟏 − 𝐢 𝐞𝐭 𝐛 = 𝟐 + 𝟐𝐢 et la translation 𝐭 de vecteur 𝐎𝐀
1)Déterminer c l’affixe de point C l’image du point B par 𝐭
𝟏) 𝐡(𝐀) = 𝐁 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐁 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐀
2)Déduire la nature du quadrilatère OACB
3) Déterminer d l’affixe de D tel que 𝒕(𝑫) = 𝑫’ 𝒆𝒕 𝑫’(𝟐 − 𝟑𝒊) ⇔ 𝐛 − 𝐳𝛀 = 𝐤(𝐚 − 𝐳𝛀 )
⇔ 𝐛 − (−𝟑𝐢) = 𝟐(𝟏 + 𝐢 − (−𝟑𝐢))
Solution ⇔ 𝐛 = 𝟐(𝟏 + 𝟒𝐢) + 𝟑𝐢 = 𝟐 + 𝟏𝟏 𝐢
⃗⃗⃗⃗⃗
𝟏) 𝐭(𝐁) = 𝐂 ⇔ 𝐁𝐂 = 𝐎𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟐) 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐡(𝐀) = 𝐁 𝐝𝐨𝐧𝐜 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐁 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐀 donc A est le milieu du [𝛀 B]
⇔𝒄−𝐛=𝐚 ⇔𝒄=𝐚+𝐛 Exercice 07
⇔ 𝒄 = 𝟏 − 𝐢 + 𝟐 + 𝟐𝐢 ⇔ 𝒄 = 𝟑 + 𝐢
1) Déterminer la nature de la transformation f qui associe
( )
2) On a ; 𝐭 𝐁 = 𝐂 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐁𝐂 = 𝐎𝐀⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ chaque point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝐳 ′ = 𝐳 − 𝟑𝐢
Donc le quadrilatère OACB est un parallélogramme 2) Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
𝟑) 𝐭(𝐃) = 𝐃′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐃𝐃′ = 𝐎𝐀 point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝐳 ′ = 𝟒𝐳 − 𝟑𝐢
Solution
⇔ 𝒅′ − 𝐝 = 𝐚 ⇔ 𝒅 = 𝐝′ − 𝐚
1) 𝐳 ′ = 𝐳 − 𝟑𝐢 ; on a 𝐚 = 𝟏
⇔ 𝒅 = 𝟐 − 𝟑𝒊 − 𝟏 + 𝐢 ⇔ 𝒅 = 𝟏 − 𝟐𝐢
Donc f est la translation de vecteur 𝐮
⃗ (−𝟑𝐢)
2)Ecritures complexe d’une homothétie
2) 𝐳 ′ = 𝟒𝐳 − 𝟑𝐢 , on a 𝐚 = 𝟒 ≠ 𝟏
𝛀(𝐙𝛀 ) un point du plan et 𝐤 une nombre réel non nul. Donc f est l'homothétie de rapport 4 est de centre 𝛀 d’affixe
Soit h l'homothétie de centre 𝛀 et de rapport k. 𝒃 𝟑𝒊
𝛚= = =𝒊
Et M’(z’) l’image de M(z) par l’homothétie𝐡 on a : 𝟏−𝒂 𝟑
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3)Ecriture complexe d’une rotation : ⇔ 𝐳′ = 𝒊(𝐳 − 𝟑𝐢) + 𝟑𝐢 ⇔ 𝐳′ = 𝒊𝐳 + 𝟑𝐢 + 𝟑
Soit R la rotation de centre 𝛀(𝐳𝛀 ) 𝟐) 𝐑(𝐀) = 𝐀′ ⇔ 𝐚′ = 𝒊𝐚 + 𝟑𝐢 + 𝟑
⇔ 𝐚′ = 𝒊(𝟐 − 𝐢) + 𝟑𝐢 + 𝟑 = 𝟒 + 𝟓𝐢
𝐞𝐭 𝐝′ 𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞 𝛉 , Soit M’(z’) l’image
𝛀𝐀′ = 𝛀𝐀
de M(z) par la rotation R. On a : ′
𝟑)𝐎𝐧 𝐚 ; 𝐑(𝐀) = 𝐀 𝒅𝒐𝒏𝒄 { ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑
(𝛀𝐀, 𝛀𝐀⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗′ ) ≡ [𝟐𝛑]
𝛀𝐌′ = 𝛀𝐌 𝟐
𝐑(𝐌) = 𝐌’ ⇔ { ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ D’où le triangle 𝛀𝐀𝐀′ est isocèle et rectangle en 𝛀
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝛀𝐌 𝛀𝐌′ ) ≡ 𝛉[𝟐𝛑] Propriété : Soient a et b deux nombres complexes

∣ 𝐳 ′ − 𝐳𝛀 ∣ Soit f une transformation qui associe chaque point du plan
∣ 𝐳 − 𝐳𝛀 ∣=∣ 𝐳 − 𝐳𝛀 ∣ =𝟏
′ ∣ 𝐳 − 𝐳𝛀 ∣ M(z) par son image M’(z’) tel que 𝒇(𝒛) = 𝒛′ = 𝒂𝒛 + 𝒃
⇔{ 𝐳 − 𝐳𝛀 ⇔
𝐚𝐫𝐠( ) ≡ 𝛉[𝟐𝛑] 𝐳 ′ − 𝐳𝛀
𝐳 − 𝐳𝛀 𝐚𝐫 𝐠 ( ) ≡ 𝛉[𝟐𝛑] Si 𝒂 ≠ 𝟏 et |𝒂| = 𝟏 alors la transformation f est la rotation de
{ 𝐳 − 𝐳 𝛀
𝒃
𝐳 ′ − 𝐳𝛀 centre 𝛀 d’affixe 𝝎 = est d’angle 𝛉 = 𝒂𝒓𝒈(𝒂)
∣ ∣= 𝟏 𝟏−𝒂
𝐳 − 𝐳𝛀 𝐳′ − 𝐳𝛀
⇔ ⇔ = 𝐞𝐢𝛉 Démonstration :
𝐳 ′ − 𝐳𝛀 𝐳 − 𝐳𝛀
𝐚𝐫𝐠( ) ≡ 𝛉[𝟐𝛑] Soient a et b deux nombre complexe tel que 𝒂 ≠ 𝟏 et |𝒂| = 𝟏
{ 𝐳 − 𝐳𝛀
⇔ 𝐳 ′ − 𝐳𝛀 = (𝐳 − 𝐳𝛀 )𝐞𝐢𝛉 𝒃
𝒇(𝝎) = 𝝎 ⇔ 𝒂𝝎 + 𝒃 = 𝝎 ⇔ 𝝎 =
Définition 𝟏−𝒂
𝒃
Donc il existe un point 𝛀 unique invariant par f d’affixe 𝝎 =
L’écriture 𝐳 ′ − 𝐳𝛀 = (𝐳 − 𝐳𝛀 )𝐞𝐢𝛉 , s’appelle l’écriture (ou la 𝟏−𝒂
𝒛′ = 𝒂𝒛 + 𝒃 𝐳 ′ −𝝎
formule ) complexe de la rotation R de centre 𝛀(𝐳𝛀 ) 𝐞𝐭 𝐝′ 𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞 𝛉 { ⇒ 𝐳 ′ − 𝝎 = 𝐚(𝒛 − 𝝎) ⇒ 𝐚 =
𝝎 = 𝒂𝝎 + 𝒃 𝐳−𝝎
Exercice 08 ′ 𝐳 −𝝎 𝛀𝐌 ′
𝛑 |𝒂| =∣ ∣ |𝒂| =
On considère la rotation r de centre 𝛀(𝟑𝐢)et d’angle 𝑫𝒐𝒏𝒄 ; { 𝐳−𝝎
donc { 𝛀𝐌
𝟐 ′
𝐳 −𝝎 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
M(z) un point du plan complexe et M’(z’) son image par r. 𝐚𝐫𝐠(𝐳) = 𝐚𝐫 𝐠 ( ) 𝒂𝒓𝒈(𝒂) = (𝛀𝐌 𝛀𝐌′ ) ≡ 𝛉[𝟐𝛑]
𝐳−𝝎
1) Donner l’écriture complexe de la rotation Exercice 09
2) Déterminer l’affixe de A’ l’image de point A(2-i) par la rotation Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
3) Déduire la nature de triangle 𝛀𝐀𝐀′ point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝒇(𝒛) = 𝐳 ′ = 𝐢𝐳 + 𝟐 − 𝐢
Solution
Solution
𝐳 ′ = −𝐢𝐳 + 𝟐 − 𝐢 , on a 𝐚 = −𝐢 ≠ 𝟏 et |𝐚| = |−𝐢| = 𝟏
𝟏) 𝐑(𝐌) = 𝐌’ ⇔ 𝐳 ′ − 𝐳𝛀 = 𝐞𝐢𝛉 (𝐳 − 𝐳𝛀 )
𝛑
Donc f est la rotation de centre 𝛀 d’affixe
⇔ 𝐳 ′ − 𝟑𝒊 = 𝐞𝐢𝟐 (𝐳 − 𝟑𝐢) 𝛚=
𝒃
=
𝟐−𝒊
=
(𝟐−𝒊)(𝟏+𝒊)
=
𝟐+𝟐𝒊−𝒊+𝟏 𝟑
= + 𝒊
𝟏
𝟏−𝒂 𝟏+𝒊 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝛑 𝛑 𝛑

⇔ 𝐳 − 𝟑𝐢 = (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ) (𝐳 − 𝟑𝐢) et d’angle 𝛉 ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−𝐢) ≡ − [𝟐𝛑]
𝟐 𝟐 𝟐
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III)Résolution d’équation du second degré á coefficients réels Exercice 10
1) Résolution d’équation 𝐳 𝟐 = 𝐚 avec 𝐚 ∈ ℝ , dans ℂ Résoudre dans ℂ les équations suivantes :
Proposition : (𝐄𝟏 ): 𝐳 𝟐 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 ; (𝐄𝟐 ): 𝟐 𝐳 𝟐 − 𝟐√𝟑𝐳 + 𝟐 = 𝟎
Solution
Soit 𝐚 ∈ ℝ ,
( 𝐄𝟏 ) : 𝐳 𝟐 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 ;
L’ensemble des solutions de l’équation 𝐳 𝟐 = 𝐚 ; 𝒛 ∈ ℂ est :
 𝑺 = {𝟎} , si 𝐚 = 𝟎 𝚫 = 𝟏𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟏 = −𝟑 < 𝟎
 𝑺 = {√𝒂; −√𝒂} , si 𝐚 > 𝟎 Alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes distinctes
 𝑺 = {𝒊√−𝒂; −𝒊√−𝒂} , si 𝐚 < 𝟎 conjuguées 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
−𝟏+𝟑𝐢 −𝟏 𝟑 −𝟏−𝟑𝐢 −𝟏 𝟑
3) Résolution d’équation 𝐚𝐳 𝟐 + 𝐛𝐳 + 𝐜 = 𝟎 , dans ℂ 𝐳𝟏 = = + 𝒊 et 𝐳𝟐 = = − 𝒊
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
−𝟏 𝟑 −𝟏 𝟑
Proposition : 𝑺={ + 𝒊 ; − 𝒊}
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
Soient a ,b, et c trois nombres réels , a étant non nul , Remarque
𝟐
Considérons l’équation (𝐄) dans ℂ : 𝐚𝐳 + 𝐛𝐳 + 𝐜 = 𝟎 −𝟏 𝟑
On note la solution 𝐳𝟏 = + 𝒊 par 𝒋
𝟐 𝟐
On note 𝚫 = 𝐛𝟐 − 𝟒𝐚𝐜 son discriminant
𝐛
Donc 𝐳𝟏 = 𝒋 et 𝐳𝟐 = 𝐣̅
Si 𝚫 = 𝟎 , l’équations a une racine réel donnée par : 𝐳𝟎 = − 𝟐𝝅 𝟐𝝅
𝟐𝐚
On a 𝐳𝟏 = 𝒋 = [𝟏, ] et 𝐳𝟏 = 𝒋̅ = [𝟏, − ]
𝟑 𝟑
Si 𝚫 < 𝟎 , alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes
De plus 𝒋𝟐 = 𝒋̅ ; 𝒋𝟑 = 𝟏 et 𝟏 + 𝒋𝟐 + 𝒋𝟑 = 𝟎
conjuguées 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
−𝐛+𝐢√−𝚫 −𝐛−𝐢√−𝚫
(𝐄𝟐 ): 𝟐 𝐳 𝟐 − 𝟐√𝟑𝐳 + 𝟐 = 𝟎
𝐳𝟏 = 𝐞𝐭 𝐳𝟐 = ̅̅̅
𝐳𝟏 =
𝟐𝐚 𝟐𝐚
𝚫 = (−𝟐√𝟑)𝟐 − 𝟒 × 𝟐 × 𝟐 = −𝟒 < 𝟎
Remarque Alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes conjuguées
 Si 𝚫 = 𝟎 , alors 𝐚𝐳 𝟐 + 𝐛𝐳 + 𝐜 = 𝐚(𝐳 − 𝐳𝟎 )𝟐
 Si 𝚫 ≠ 𝟎 , alors 𝐚𝐳 𝟐 + 𝐛𝐳 + 𝐜 = 𝐚(𝐳 − 𝐳𝟏 )(𝐳 − 𝐳𝟐 ) 𝟐√𝟑 + 𝐢√𝟒 𝟐(√𝟑 + 𝐢) √𝟑 𝟏
𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶ 𝐳𝟏 = = = + 𝐢
𝐛 𝐜 𝟐×𝟐 𝟐×𝟐 𝟐 𝟐
 Si 𝚫 ≠ 𝟎 , alors on a 𝐳𝟏 + 𝐳𝟐 = − et 𝐳𝟏 × 𝐳𝟐 =
𝐚 𝐚
𝐞𝐭 𝐳𝟐 = ̅̅̅
𝐳𝟏
 Pour déterminer deux complexes 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 tels que
√𝟑 𝟏 √𝟑 𝟏
𝐳𝟏 + 𝐳𝟐 = 𝐒 et 𝐳𝟏 × 𝐳𝟐 = 𝐏 avec S et P donnés 𝑺={ + 𝐢 ; − 𝐢}
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
On résoudre l’équation 𝐳 𝟐 − 𝐒𝐳 + 𝐏 = 𝟎
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Exercice 11 ∆= 𝟒(𝟏 − 𝟐√𝟐 + 𝟐) − 𝟏𝟔 + 𝟖√𝟐
A) On considère dans ℂ l’équation : ∆= 𝟏𝟐 − 𝟖√𝟐 − 𝟏𝟔 + 𝟖√𝟐
(𝐄): 𝐳 𝟐 − 𝟐( 𝟏 − √𝟐)𝐳 + 𝟐(𝟐 − √𝟐) = 𝟎 ∆= −𝟒 < 𝟎
1) Vérifier que : ∆= −𝟒 2) ∆= −𝟒 < 𝟎 ; alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes
2) En déduire les solutions 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 de (E) distinctes 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
B)1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮| 𝟐( 𝟏−√𝟐)+𝟐𝐢 𝟐( 𝟏−√𝟐)−𝟐𝐢
𝐳𝟏 = = 𝟏 − √𝟐 + 𝐢 et 𝐳𝟐 = = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢
𝟐 𝟐
2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
3) a)Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡
𝟑𝛑
[𝟐𝛑] 𝑺 = {𝟏 − √𝟐 + 𝐢 ; 𝟏 − √𝟐 − 𝐢}
𝟖
𝟒
b) Montrer que : 𝒖𝟒 = 𝒊 (√𝟒 − 𝟐√𝟐) B)1) |𝐮| = √(𝟏 − √𝟐)𝟐 + (−𝟏)𝟐 = √𝟏 − 𝟐√𝟐 + 𝟐 + 𝟏

C)On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :


|𝐮| = √𝟒 − 𝟐√𝟐
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
1) Soit N l’image du point F par l’homothétie h de centre G et de 1) (𝟏 + 𝐢)𝐮 = (𝟏 + 𝐢)(𝟏 − √𝟐 − 𝐢) = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 + 𝐢 − 𝐢√𝟐 + 𝟏
rapport 2 = 𝟐 − √𝟐 − 𝐢√𝟐 (∗)
Montrer que : 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) ̅ = −√𝟐 × (𝟏 − √𝟐 + 𝐢) = −√𝟐 + 𝟐 − 𝐢√𝟐 ; (∗∗)
−√𝟐 × 𝐮
𝛑
2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du point G et C De (∗) et (∗∗) on a : (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮
̅
𝟐
est l’image de N par R 𝟑)𝒂) (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅ ⟺ 𝒂𝒓𝒈[(𝟏 + 𝐢)𝐮] ≡ 𝐚𝐫𝐠[−√𝟐 × 𝐮
̅ ][𝟐𝝅]
Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 ⟺ 𝒂𝒓𝒈(𝟏 + 𝐢) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮
̅ )[𝟐𝝅]
3) T la translation de vecteur 𝐮⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du point N 𝟏 𝟏
⟺ 𝒂𝒓𝒈 (√𝟐( + 𝒊 )) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅]
et D est l’image de G par T √𝟐 √𝟐
Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢 𝝅
⟺ + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − 𝒂𝒓𝒈(𝒖)[𝟐𝝅]
4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] 𝟒
𝝅
𝐳 −𝐳
b) Vérifier que : 𝐂 𝐄 = 𝐢 ; puis en déduire la nature du triangle ⟺ 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − [𝟐𝝅]
𝐳𝐁 −𝐳𝐄 𝟒
BCE 𝟑𝝅
⟺ 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅]
c) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré 𝟒
𝟑𝝅
Solution ⟺ 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅]
𝟐 𝟖
𝐀)𝟏) ∆= [−𝟐( 𝟏 − √𝟐)] − 𝟒 × 𝟏 × 𝟐(𝟐 − √𝟐) 𝟑𝝅
[𝟐𝝅] et |𝐮| = √𝟒 − 𝟐√𝟐
b) On a 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡
𝟐 𝟖
∆= [𝟒( 𝟏 − √𝟐)] − 𝟖(𝟐 − √𝟐) 𝟑𝝅 𝟑𝝅
Donc 𝒖 = √𝟒 − 𝟐√𝟐( 𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 )
𝟖 𝟖
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𝟒
𝟑𝝅
𝟒
𝟑𝝅
𝟒 𝐳𝐀 + 𝐳𝐂 √𝟑 + 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 𝟐 + 𝟐𝐢 𝟐(𝟏 + 𝐢)
𝒖𝟒 = [√𝟒 − 𝟐√𝟐; ] = [(√𝟒 − 𝟐√𝟐) ; 𝟒 × ] 𝟒)𝒂) = = = = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
𝟖 𝟖 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
Donc E est le milieu de [𝐀𝐂]
𝟒
𝟑𝝅 𝟑𝝅 𝐳𝐁 + 𝐳𝐃 𝟐 + 𝐢√𝟑 + (𝟐 − √𝟑)𝐢 𝟐 + 𝐢√𝟑 + 𝟐𝐢 − √𝟑𝐢
𝒖 = (√𝟒 − 𝟐√𝟐) ( 𝒄𝒐𝒔(
𝟒
) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏( ) ) = = = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝟒 𝟒 E est le milieu [𝐁𝐃]
𝒖𝟒 = (√𝟒 − 𝟐√𝟐) ( 𝟎 − 𝒊 ) = 𝒊 (√𝟒 − 𝟐√𝟐) 𝐛) 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = (𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢) − (𝟏 + 𝐢) = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗∗)
C)On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes respectifs : 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 ) = 𝒊(𝟐 + 𝐢√𝟑 − 𝟏 − 𝒊) = 𝟐𝒊 − √𝟑 − 𝒊 + 𝟏 = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗)
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑 Donc de (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 )
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
𝑪)𝟏) 𝒉(𝑭) = 𝑵 ⟺ 𝐳𝐍 − 𝐳𝐆 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ =𝐢
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) + 𝐳𝐆 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝟏 − 𝐢 + 𝐢√𝟑) − 𝐢√𝟑 = 𝐢 ⇔ 𝒂𝒓𝒈( ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒊)[𝟐𝝅]
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝟐𝐢√𝟑 − 𝐢√𝟑 𝝅
⇔ (𝑬𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ [𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑬𝑪 ; (∗)
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) 𝟐
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
𝛑
𝟐) 𝑹(𝑮) = 𝑨 ⟺ 𝐳𝐀 − 𝐳𝑶 = 𝒆𝒊𝟐 (𝐳𝐆 − 𝐳𝑶 ) =𝐢⇔ | | = |𝒊|
𝛑
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐀 = 𝒊 𝐳𝐆 ; car 𝒆𝒊𝟐 = 𝒊 |𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 |
⇔ =𝟏
⟺ 𝐳𝐀 = −√𝟑 |𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 |
𝑹(𝑵) = 𝑪 ⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 𝐳𝐍 𝑬𝑪
⇔ =𝟏
⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 (𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)) 𝑬𝑩
⇔ 𝑬𝑪 = 𝑬𝑩 ; (∗∗)
⟺ 𝐳𝐂 = 𝟐𝒊 − (√𝟑 − 𝟐)) = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢
De (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : le triangle BCE est isocèle et réctangle en E
𝟑) 𝑻(𝑵) = 𝑩 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐍𝐁 = 𝐮 ⃗
⟺ 𝐳𝐁 − 𝐳𝐍 = 𝐳𝐮⃗ c) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré
⟺ 𝐳𝐁 = 𝐳𝐮⃗ + 𝐳𝐍  On a : [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] sont de même milieu donc le quadrilatère
⟺ 𝐳𝐁 = 𝟐𝐢 + 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) = 𝟐 + 𝐢√𝟑 ABCD est un parallélogramme
𝑻(𝑮) = 𝑫 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐃 = 𝐮 ⃗  Et on a (𝑬𝑩
𝝅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑬𝑪) ≡ [𝟐𝝅] donc (𝑬𝑩)𝒆𝒕 ( 𝑬𝑪) sont
𝟐
⟺ 𝐳𝐃 − 𝐳𝐆 = 𝐳𝐮⃗
perpondiculaires donc ABCD est un losange
⟺ 𝐳𝐃 = 𝐳𝐮⃗ + 𝐳𝐆  E on a 𝑬𝑪 = 𝑬𝑩 et E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] donc AC=BD
⟺ 𝐳𝐃 = 𝟐𝐢 − 𝐢√𝟑 = (𝟐 − √𝟑)𝐢  D’où ABCD est un carré
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Exercice 01 1) Vérifier que : z’= −𝐢𝐳 − 𝟏 + 𝟑𝐢
1) Déterminer la forme exponentielle de 𝐳 = 𝟏 + 𝐢√𝟑. 2) Vérifier que 𝐜 = −𝐢 est l’affixe de C l’image de A par R
2) En déduire la forme exponentielle des nombres suivants : 3) En déduire la nature du triangle 𝛀𝐀𝐂
a) 𝐢𝐳 ; b) 𝐢𝐳̅ ; c) −
𝟐𝐢
d) (𝟏 + 𝐢√𝟑)𝟏𝟐 4) Montrer que : 𝐛 − 𝐜 = 𝟐(𝐚 − 𝐜)
𝐳
5) En déduire que les points A ; B et C sont alignés
3) Écrire les nombres complexes suivants sous la forme
𝝅 𝝅 Exercice 06
algébrique : a) 𝒛 = 𝒆𝒊𝟔 b) 𝒛 = 𝟒𝒆𝒊𝟒 B) On considère dans ℂ l’équation :
Exercice 02 (𝐄): 𝐳 𝟐 − 𝟐( 𝟏 − √𝟐)𝐳 + 𝟐(𝟐 − √𝟐) = 𝟎
Dans le plan considère les deux points A et B d’affixes :
1) Vérifier que ∆= −𝟒
𝐚 = 𝟏 − 𝐢 𝐞𝐭 𝐛 = 𝟐 + 𝟐𝐢 et la translation 𝐭 de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐀 2) En déduire les solutions 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 de (E)
1)Déterminer c l’affixe de point C l’image du point B par 𝐭 B) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮|
2)Déduire la nature du quadrilatère OACB
2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
3) Déterminer d l’affixe de D tel que 𝒕(𝑫) = 𝑫’ 𝒆𝒕 𝑫’(𝟐 − 𝟑𝒊) 𝟑𝛑
3) a)Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝛑]
Exercice 03 𝟖
𝟒
On considère l’homothétie h de centre 𝛀(−𝟑𝒊) et de rapport k=2 b) Montrer que 𝒖𝟒 = 𝒊 (√𝟒 − 𝟐√𝟐)
1) Déterminer b l’affixe de B l’image de point 𝑨(𝟏 + 𝒊) par h
C) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :
2) Déduire que A est le milieu du [𝛀 B]
Exercice 04 𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
A) Résoudre dans ℂ l’équation suivante : (𝐄 ): 𝐳 𝟐 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 1) Soit N l’image de F par l’homothétie h de centre G et de rapport 2
𝛑
B) On considère la rotation r de centre 𝐎 et d’angle Montrer que : 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
𝟑 𝛑
M(z) un point du plan complexe et M’(z’) son image par R. 2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du point G et C
𝟐
4) Donner l’écriture complexe de la rotation est l’image de N par R
5) Déterminer l’affixe de A’ l’image de point A(2-i) par la rotation
Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢
6) Déduire la nature de triangle 𝐎𝐀𝐀′ 3) T la translation de vecteur 𝐮
⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du point N
Exercice 05 et D est l’image de G par T
A) Résoudre dans ℂ l’équation suivante : (𝐄): 𝟐 𝐳 𝟐 − 𝟐√𝟑𝐳 + 𝟐 = 𝟎Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
B) On considère R la rotation de centre 𝛀 𝐝′ 𝐚𝐟𝐟𝐢𝐱𝐞 𝛚 = 𝟏 + 𝟐𝐢 et 4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃]
𝛑 𝐳 −𝐳
d’angle − ; et M’(z’)est l’image de M(z) par la rotation R. b) Vérifier que 𝐂 𝐄 = 𝐢 ; puis en déduire la nature du triangle BCE
𝟐 𝐳𝐁 −𝐳𝐄
Et A(𝐚); 𝐁(𝐛) deux points tel que : 𝐚 = 𝟒 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐛 = 𝟖 + 𝟑𝐢 c) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré
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Exercice 07 Exercice 09
Soit L’homothétie h de centre 𝑺 d’affixe 𝒔 = −𝟓 + 𝟓𝒊 et de 1) Linéariser l’expression (𝐬𝐢𝐧(𝐱))𝟐 𝒑𝒖𝒊𝒔 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙.
rapport 2 et les pts 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑬(𝒆) tel que 2) En déduire une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙.
𝒂 = −𝟐 + 𝟒𝒊 ; 𝒃 = −𝟒 + 𝟐𝒊 ; 𝒆 = −𝟐 + 𝟑𝒊 Exercice 10
1)Déterminer c l’affixe de C l’image de A et d l’affixe de D l’image 1) Montrer que pour tout a et b dans IR on a :
de B par l’homothétie h 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
𝒂) 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐜𝐨𝐬( )𝒆 𝟐
2) Montrer que les points A ; B ;C ; D apartient au même cercle 𝟐
3) Déterminer 𝒑 l’affixe de P le milieu de [𝑨𝑪] 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
𝒃) 𝒆𝒊𝒂 − 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧( )𝒆 𝟐
4) a) Montrer que
𝒆−𝒑 𝟏
= 𝒊 puis en déduire que 𝑫𝑩 = 𝟐𝑷𝑬 𝟐
𝒃−𝒅 𝟐 2) Ecrire sous forme exponentielle les nombres suivants :
b) En déduire que les droite (DB) et (PE) sont perpondiculaire 𝟏 √𝟑
𝒛=𝟏+ +𝒊 ; 𝒛′ = 𝟐 − √𝟐 − 𝒊√𝟐
5)Déterminer l’ensemble des points M(z) tel que |𝐳 + 𝟐 − 𝟒𝐢 | = 𝟓 𝟐 𝟐

Exercice 08 Exercice 11
√𝟐 √𝟐 3) Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
1) On le nombre complexe 𝐚 = + 𝐢 point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝐳 ′ = 𝐳 − 𝟑𝐢
𝟐 𝟐
a) Ecrire a sous forme trigonométrique et déduire que 𝐚𝟐𝟎𝟐𝟒 ∈ ℝ 4) Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
𝛑 𝛑
b) On pose 𝐛 = 𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ;prouver que 𝐛𝟐 = 𝐚 point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝐳 ′ = 𝟒𝐳 − 𝟑𝐢
𝟖 𝟖
3)Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
2) Dans le repère orthonormé (𝐎; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) , on considère les points point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝒇(𝒛) = 𝐳 ′ = 𝐢𝐳 + 𝟐 − 𝐢
𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) tel que : 𝐜 = 𝟏 et la rotation R de centre 𝐎 et Exercice 12
𝛑
d’angle et M’(z’) l’image de M(z) par R 1) En utilisant la formule de d’EULER linéariser 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) puis
𝟖
a)Vérifier que : 𝒛′ = 𝐛𝐳 déduire que 𝟐 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) = 𝟏 + 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱)
b)Déterminer l’image de C par la rotation R et montrer que A est 2) Développer (𝐜𝐨𝐬𝐱 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 𝐱)𝟐 avec deux méthodes différentes
l’image de B par R puis déduire que 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝐱) = 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐬𝐢𝐧 𝐱
3)a) Montrer que |𝐚 − 𝐛| = |𝐛 − 𝐜| et déterminer la nature du 3) On considère le nombre complexe 𝐚 = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢
triangle ABC
Montrer que |𝐚| = 𝟐√𝟐 + √𝟑
b) Déterminer une mesure de(𝐁𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐂) 𝛑 𝛑
4) Soit T la translation de vecteur 𝐮 ⃗ et 𝐃(𝐝) l’image de point A 4) Vérifier que 𝐚 = 𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 ( )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( )
𝟔 𝟔
par la translation T ; 𝛑 𝛑 𝛑
5)Montrer que 𝐚 = 𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟐 ( ) + 𝟒 𝐢 𝐜𝐨𝐬 ( ) 𝐬𝐢𝐧 ( )
a) Vérifier que : 𝐝 = 𝐛𝟐 + 𝟏 𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐

𝐛𝟐 +𝟏
6) Déduire la forme trigonométrique de a
b)Montrer que = 𝐛 + 𝐛̅ et déduire que O ; B et D sont alignés
𝐛 7) Montrer que : 𝐚𝟔 = (𝟐√𝟐 + √𝟑)𝟔 𝐢
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Exercice 01 2) On a ; 𝐭(𝐁) = 𝐂 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐁𝐂 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐎𝐀
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
1) Déterminer la forme exponentielle de 𝐳 = 𝟏 + 𝐢√𝟑. Donc le quadrilatère OACB est un parallélogramme
2) En déduire la forme exponentielle des nombres suivants : 𝟑) 𝐭(𝐃) = 𝐃′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐃𝐃′ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐀
𝟐𝐢
a) 𝐢𝐳 ; b) 𝐢𝐳̅ ; c) − d) (𝟏 + 𝐢√𝟑)𝟏𝟐 ⇔ 𝒅′ − 𝐝 = 𝐚 ⇔ 𝒅 = 𝐝′ − 𝐚
𝐳
3) Écrire les nombres complexes suivants sous la forme ⇔ 𝒅 = 𝟐 − 𝟑𝒊 − 𝟏 + 𝐢 ⇔ 𝒅 = 𝟏 − 𝟐𝐢
𝝅 𝝅
Exercice 03
algébrique : a) 𝒛 = 𝒆𝒊𝟔 b) 𝒛 = 𝟒𝒆𝒊𝟒
On considère l’homothétie h de centre 𝛀(−𝟑𝒊) et de rapport k=2
Solution
𝛑 1) Déterminer b l’affixe de B l’image de point 𝑨(𝟏 + 𝒊) par h
𝟏 √𝟑 𝛑 𝛑
1) 𝐳 = 𝟏 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 ( + 𝐢 ) = 𝟐 (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ) = 𝟐𝐞𝐢𝟑 2) Déduire que A est le milieu du [𝛀 B]
𝟐 𝟐 𝟑 𝟑
𝐢
𝛑
𝐢
𝛑
𝐢
𝛑 𝛑 𝛑
𝐢( + ) 𝐢
𝟓𝛑
Solution
2) a) 𝐢𝐳 = 𝟐𝐢𝐞 = 𝟐𝐞 𝐞 = 𝟐𝐞
𝟑 𝟐 𝟑 𝟐 𝟑 = 𝟐𝐞 𝟔
𝛑 𝛑 𝛑 𝛑 𝛑
𝐢( − )
𝛑 𝟏) 𝐡(𝐀) = 𝐁 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐁 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐀
−𝐢 𝐢 −𝐢 𝐢
b) 𝐢𝐳̅ = 𝟐𝐢𝐞 𝟑 = 𝟐𝐞 𝐞 𝟐 𝟑 = 𝟐𝐞 𝟐 𝟑 = 𝟐𝐞 𝟔
⇔ 𝐛 − 𝐳𝛀 = 𝐤(𝐚 − 𝐳𝛀 )
𝛑
−𝐢
𝟐𝐢 𝟐×(−𝐢) 𝐞 𝟐 𝐢(− − )
𝛑 𝛑
−𝐢
𝟓𝛑
⇔ 𝐛 − (−𝟑𝐢) = 𝟐(𝟏 + 𝐢 − (−𝟑𝐢))
c) − = 𝛑 = 𝛑 =𝐞 𝟐 𝟑 =𝐞 𝟔
𝐳 𝐢
𝟐𝐞 𝟑
𝐢
𝐞𝟑 ⇔ 𝐛 = 𝟐(𝟏 + 𝟒𝐢) + 𝟑𝐢 = 𝟐 + 𝟏𝟏 𝐢
𝛑 𝟏𝟐
𝟐) 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐡(𝐀) = 𝐁 𝐝𝐨𝐧𝐜 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐁 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛑
d) (𝟏 + 𝐢√𝟑)𝟏𝟐 = (𝟐𝐞𝐢𝟑 ) = 𝟐𝟏𝟐 𝐞𝟏𝟐𝐢𝟑 = 𝟐𝟏𝟐 𝐞𝟒𝐢𝛑 = 𝟐𝟏𝟐 𝐞𝟎 = 𝟐𝟏𝟐 𝛀𝐀 donc A est le milieu du [𝛀 B]
Exercice 04
𝝅 𝝅 𝝅 √𝟑 𝟏
𝟑 ) 𝒂) 𝒛 = 𝒆𝒊 𝟔 = 𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 ( ) = + 𝒊 C) Résoudre dans ℂ l’équation suivante : (𝐄 ): 𝐳 𝟐 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
𝟔 𝟔 𝟐 𝟐 𝛑
D) On considère la rotation R de centre 𝐎 et d’angle
𝝅 𝝅 𝝅 √𝟐 √𝟐 𝟑
𝒃)𝒛 = 𝟒𝒆𝒊𝟒 = 𝟒 (𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 ( )) = 𝟒 ( + 𝒊 ) = 𝟐√𝟐 + 𝟐𝒊√𝟐 M(z) un point du plan complexe et M’(z’) son image par r.
𝟒 𝟒 𝟐 𝟐
Exercice 02 7) Donner l’écriture complexe de la rotation
Dans le plan considère les deux points A et B d’affixes : 8) Déterminer l’affixe de A’ l’image de point A(2-i) par la rotation
9) Déduire la nature de triangle 𝐎𝐀𝐀′
𝐚 = 𝟏 − 𝐢 𝐞𝐭 𝐛 = 𝟐 + 𝟐𝐢 et la translation 𝐭 de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐀
1)Déterminer c l’affixe de point C l’image du point B par 𝐭 Solution
2)Déduire la nature du quadrilatère OACB 𝐀) 𝚫 = 𝟏𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟏 = −𝟑 < 𝟎
3) Déterminer d l’affixe de D tel que 𝒕(𝑫) = 𝑫’ 𝒆𝒕 𝑫’(𝟐 − 𝟑𝒊) Alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes distinctes
Solution conjuguées 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
−𝟏+𝟑𝐢 −𝟏 𝟑 −𝟏−𝟑𝐢 −𝟏 𝟑
𝟏) 𝐭(𝐁) = 𝐂 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐂 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐀 𝐳𝟏 =
𝟐
=
𝟐
+ 𝒊
𝟐
et 𝐳𝟐 =
𝟐
=
𝟐
− 𝒊
𝟐
⇔𝒄−𝐛=𝐚 ⇔𝒄=𝐚+𝐛 −𝟏 𝟑 −𝟏 𝟑
⇔ 𝒄 = 𝟏 − 𝐢 + 𝟐 + 𝟐𝐢 ⇔ 𝒄 = 𝟑 + 𝐢 𝑺={ + 𝒊 ; − 𝒊}
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
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𝐁) 𝟏) 𝐑(𝐌) = 𝐌’ ⇔ 𝐳 ′ − 𝐳𝐎 = 𝐞𝐢𝛉 (𝐳 − 𝐳𝐎 ) 𝐀) (𝐄): 𝟐 𝐳 𝟐 − 𝟐√𝟑𝐳 + 𝟐 = 𝟎 ; 𝚫 = (−𝟐√𝟑)𝟐 − 𝟒 × 𝟐 × 𝟐 = −𝟒 < 𝟎
𝛑 Alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes conjuguées
⇔ 𝐳 ′ − 𝟎 = 𝐞𝐢𝟑 (𝒛 − 𝟎)
𝟐√𝟑 + 𝐢√𝟒 𝟐(√𝟑 + 𝐢) √𝟑 𝟏
𝛑 𝛑 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶ 𝐳𝟏 = = = + 𝐢
⇔ 𝐳 ′ = (𝐜𝐨𝐬+ 𝐢𝐬𝐢𝐧 ) 𝐳 𝟐×𝟐 𝟐×𝟐 𝟐 𝟐
𝟑 𝟑
𝐞𝐭 𝐳𝟐 = ̅̅̅
𝐳𝟏
𝟏 √𝟑
⇔ 𝐳′ = ( + 𝐢 ) 𝒛 √𝟑 𝟏 √𝟑 𝟏
𝟐 𝟐 𝑺={ + 𝐢 ; − 𝐢}
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 √𝟑 𝐁) 𝟏) 𝐑(𝐌) = 𝐌’ ⇔ 𝐳 − 𝐳𝛀 = 𝐞𝐢𝛉 (𝐳 − 𝐳𝛀 )

𝟐) 𝐑(𝐀) = 𝐀′ ⇔ 𝐚′ = ( + 𝐢 )𝒂
𝟐 𝟐 𝛑

𝟏 √𝟑 ⇔ 𝐳 ′ − (𝟏 + 𝟐𝐢) = 𝐞− 𝐢𝟐 (𝒛 − (𝟏 + 𝟐𝐢))
⇔ 𝐚′ = ( + 𝐢 ) (𝟐 − 𝒊)
𝟐 𝟐
𝛑 𝛑
𝟏 √𝟑 ⇔ 𝐳 ′ − 𝟏 − 𝟐𝐢 = (𝐜𝐨𝐬 (− ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 (− )) (𝐳 − 𝟏 − 𝟐𝐢 )
⇔ 𝐚′ = 𝟏 − 𝐢 + 𝐢 √𝟑 + 𝟐 𝟐
𝟐 𝟐 ′
⇔ 𝐳 − 𝟏 − 𝟐𝐢 = (𝟎 − 𝐢)(𝒛 − 𝟏 − 𝟐𝒊)
√𝟑 𝟏
⇔ 𝐚′ = (𝟏 + ) + (√𝟑 − )𝐢 ⇔ 𝐳 ′ = −𝐢𝒛 + 𝒊 − 𝟐 + 𝟏 + 𝟐𝒊
𝟐 𝟐
𝐎𝐀′ = 𝐎𝐀 ⇔ 𝐳 ′ = − 𝐢𝒛 − 𝟏 + 𝟑𝒊

𝟑)𝐎𝐧 𝐚 ; 𝐑(𝐀) = 𝐀 𝒅𝒐𝒏𝒄 { ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑 𝟐) 𝐑(𝐀) = 𝐂 ⇔ 𝐜 = − 𝐢𝒂 − 𝟏 + 𝟑𝒊
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐎𝐀 𝐎𝐀′ ) ≡ [𝟐𝛑]
𝟑 ⇔ 𝐜 = − 𝐢(𝟒 + 𝒊) − 𝟏 + 𝟑𝒊
D’où le triangle 𝐎𝐀𝐀′ est équilatérale ⇔ 𝐜 = −𝟒 𝐢 + 𝟏 − 𝟏 + 𝟑𝒊
Exercice 05
⇔𝐜=−𝐢
C) Résoudre dans ℂ l’équation suivante : (𝐄): 𝟐 𝐳 𝟐 − 𝟐√𝟑𝐳 + 𝟐 = 𝟎 𝛀𝑪 = 𝛀𝐀
𝟑) 𝐎𝐧 𝐚 ; 𝐑(𝐀) = 𝑪 𝒅𝒐𝒏𝒄 {(𝛀𝐀 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑
D) On considère R la rotation de centre 𝛀 𝐝′ 𝐚𝐟𝐟𝐢𝐱𝐞 𝛚 = 𝟏 + 𝟐𝐢 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐂) ≡ − [𝟐𝛑]
𝛑 𝟐
d’angle − ; et M’(z’)est l’image de M(z) par la rotation R. D’où le triangle 𝛀𝐀𝐂 est rectangle et isocèle en 𝛀
𝟐
Et A(𝐚); 𝐁(𝐛) deux points tel que : 𝐚 = 𝟒 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐛 = 𝟖 + 𝟑𝐢 4)Montrer que : 𝐛 − 𝐜 = 𝟐(𝐚 − 𝐜)
6) Vérifier que : z’= −𝐢𝐳 − 𝟏 + 𝟑𝐢 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐛 − 𝐜 = 𝟖 + 𝟑𝐢 − (−𝐢) = 𝟖 + 𝟒𝐢
7) Vérifier que 𝐜 = −𝐢 est l’affixe de C l’image de A par R 𝐄𝐭 ∶ 𝟐(𝐚 − 𝐜) = 𝟐(𝟒 + 𝐢 + 𝐢) = 𝟖 + 𝟒𝐢
8) En déduire la nature du triangle 𝛀𝐀𝐂 Donc : 𝐛 − 𝐜 = 𝟐(𝐚 − 𝐜)
9) Montrer que : 𝐛 − 𝐜 = 𝟐(𝐚 − 𝐜) 5)En déduire que A ; B et C sont alignés
10) En déduire que les points A ; B et C sont alignés 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐛 − 𝐜 = 𝟐(𝐚 − 𝐜)
Solution :𝐛 − 𝐜
𝐃𝐨𝐧𝐜 =𝟐∈ℝ
𝒂−𝒄
D’où les points A ; B et C sont alignés
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Exercice 06 ∆= 𝟒(𝟏 − 𝟐√𝟐 + 𝟐) − 𝟏𝟔 + 𝟖√𝟐
C) On considère dans ℂ l’équation : ∆= 𝟏𝟐 − 𝟖√𝟐 − 𝟏𝟔 + 𝟖√𝟐
(𝐄): 𝐳 𝟐 − 𝟐( 𝟏 − √𝟐)𝐳 + 𝟐(𝟐 − √𝟐) = 𝟎 ∆= −𝟒 < 𝟎
1) Vérifier que ∆= −𝟒 2) ∆= −𝟒 < 𝟎 ; alors l’équation (𝐄) a deux racines complexes
2) En déduire les solutions 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 de (E) distinctes 𝐳𝟏 𝐞𝐭 𝐳𝟐 𝐝𝐨𝐧𝐧é𝐞𝐬 𝐩𝐚𝐫 ∶
B) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮| 𝟐( 𝟏−√𝟐)+𝟐𝐢 𝟐( 𝟏−√𝟐)−𝟐𝐢
𝐳𝟏 = = 𝟏 − √𝟐 + 𝐢 et 𝐳𝟐 = = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢
𝟐 𝟐
2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
3) a)Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡
𝟑𝛑
[𝟐𝛑] 𝑺 = {𝟏 − √𝟐 + 𝐢 ; 𝟏 − √𝟐 − 𝐢}
𝟖
𝟒
b) Montrer que : 𝒖𝟒 = 𝒊 (√𝟒 − 𝟐√𝟐) B)1) |𝐮| = √(𝟏 − √𝟐)𝟐 + (−𝟏)𝟐 = √𝟏 − 𝟐√𝟐 + 𝟐 + 𝟏

C) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :


|𝐮| = √𝟒 − 𝟐√𝟐
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
2) (𝟏 + 𝐢)𝐮 = (𝟏 + 𝐢)(𝟏 − √𝟐 − 𝐢) = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 + 𝐢 − 𝐢√𝟐 + 𝟏
1) Soit N l’image du point F par l’homothétie h de centre G et de
= 𝟐 − √𝟐 − 𝐢√𝟐 (∗)
rapport 2
−√𝟐 × 𝐮̅ = −√𝟐 × (𝟏 − √𝟐 + 𝐢) = −√𝟐 + 𝟐 − 𝐢√𝟐 ; (∗∗)
Montrer que : 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
( )
2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du point G et C De (∗) et (∗∗) on a : 𝟏 + 𝐢 𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
𝛑
𝟐
𝟑)𝒂) (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅ ⟺ 𝒂𝒓𝒈[(𝟏 + 𝐢)𝐮] ≡ 𝐚𝐫𝐠[−√𝟐 × 𝐮 ̅ ][𝟐𝝅]
est l’image de N par R
Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 ⟺ 𝒂𝒓𝒈(𝟏 + 𝐢) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅]
3) T la translation de vecteur 𝐮 ⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du point N 𝟏 𝟏
⟺ 𝒂𝒓𝒈 (√𝟐( + 𝒊 )) + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−√𝟐) + 𝒂𝒓𝒈(𝐮 ̅ )[𝟐𝝅]
et D est l’image de G par T √𝟐 √𝟐
𝝅
Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢 ⟺ + 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − 𝒂𝒓𝒈(𝒖)[𝟐𝝅]
𝟒
4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] 𝝅
𝐳𝐂 −𝐳𝐄 ⟺ 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ 𝝅 − [𝟐𝝅]
b) Vérifier que = 𝐢 ; puis en déduire la nature du triangle BCE 𝟒
𝐳𝐁 −𝐳𝐄
𝟑𝝅
c) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré ⟺ 𝟐𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅]
𝟒
Solution 𝟑𝝅
𝟐 ⟺ 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅]
𝐀)𝟏) ∆= [−𝟐( 𝟏 − √𝟐)] − 𝟒 × 𝟏 × 𝟐(𝟐 − √𝟐) 𝟖
𝟑𝝅
𝟐
∆= [𝟒( 𝟏 − √𝟐)] − 𝟖(𝟐 − √𝟐) b) On a 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝝅] et |𝐮| = √𝟒 − 𝟐√𝟐
𝟖
𝟑𝝅 𝟑𝝅
Donc 𝒖 = √𝟒 − 𝟐√𝟐( 𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 )
𝟖 𝟖
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𝟒
𝟑𝝅
𝟒
𝟑𝝅
𝟒 𝐳𝐀 + 𝐳𝐂 √𝟑 + 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 𝟐 + 𝟐𝐢 𝟐(𝟏 + 𝐢)
𝒖𝟒 = [√𝟒 − 𝟐√𝟐; ] = [(√𝟒 − 𝟐√𝟐) ; 𝟒 × ] 𝟒)𝒂) = = = = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
𝟖 𝟖 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
Donc E est le milieu de [𝐀𝐂]
𝟒
𝟑𝝅 𝟑𝝅 𝐳𝐁 + 𝐳𝐃 𝟐 + 𝐢√𝟑 + (𝟐 − √𝟑)𝐢 𝟐 + 𝐢√𝟑 + 𝟐𝐢 − √𝟑𝐢
𝒖 = (√𝟒 − 𝟐√𝟐) ( 𝒄𝒐𝒔(
𝟒
) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏( ) ) = = = 𝟏 + 𝐢 = 𝐳𝐄
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝟒 𝟒 E est le milieu [𝐁𝐃]
𝒖𝟒 = (√𝟒 − 𝟐√𝟐) ( 𝟎 − 𝒊 ) = 𝒊 (√𝟒 − 𝟐√𝟐) 𝐛) 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = (𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢) − (𝟏 + 𝐢) = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗∗)
C)On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes respectifs : 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 ) = 𝒊(𝟐 + 𝐢√𝟑 − 𝟏 − 𝒊) = 𝟐𝒊 − √𝟑 − 𝒊 + 𝟏 = 𝟏 − √𝟑 + 𝒊 ; (∗)
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑 Donc de (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 = 𝒊(𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 )
𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
𝑪)𝟏) 𝒉(𝑭) = 𝑵 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐍 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐅 ⟺ 𝐳𝐍 − 𝐳𝐆 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ =𝐢
𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝐳𝐅 − 𝐳𝐆 ) + 𝐳𝐆 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
= 𝐢 ⇔ 𝒂𝒓𝒈( ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒊)[𝟐𝝅]
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐(𝟏 − 𝐢 + 𝐢√𝟑) − 𝐢√𝟑 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝟐𝐢√𝟑 − 𝐢√𝟑 𝝅
⇔ (𝑬𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ [𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑬𝑪 ; (∗)
𝟐
⟺ 𝐳𝐍 = 𝟐 − 𝟐𝒊 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 𝐳𝐂 − 𝐳𝐄
𝛑 =𝐢⇔ | | = |𝒊|
𝟐) 𝑹(𝑮) = 𝑨 ⟺ 𝐳𝐀 − 𝐳𝑶 = 𝒆𝒊𝟐 (𝐳𝐆 − 𝐳𝑶 ) 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 𝐳𝐁 − 𝐳𝐄
𝛑
⟺ 𝐳𝐀 = 𝒊 𝐳𝐆 ; car 𝒆𝒊𝟐 = 𝒊 |𝐳𝐂 − 𝐳𝐄 |
⇔ =𝟏
⟺ 𝐳𝐀 = −√𝟑 |𝐳𝐁 − 𝐳𝐄 |
𝑹(𝑵) = 𝑪 ⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 𝐳𝐍 𝑬𝑪
⇔ =𝟏
𝑬𝑩
⟺ 𝐳𝐂 = 𝒊 (𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐))
⇔ 𝑬𝑪 = 𝑬𝑩 ; (∗∗)
⟺ 𝐳𝐂 = 𝟐𝒊 − (√𝟑 − 𝟐)) = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢 De (∗) 𝒆𝒕 (∗∗) on a : le triangle BCE est isocèle et réctangle en E
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝐮
𝟑) 𝑻(𝑵) = 𝑩 ⟺ 𝐍𝐁 ⃗
⟺ 𝐳𝐁 − 𝐳𝐍 = 𝐳𝐮⃗ c) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré
⟺ 𝐳𝐁 = 𝐳𝐮⃗ + 𝐳𝐍  On a : [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] sont de même milieu donc le quadrilatère
⟺ 𝐳𝐁 = 𝟐𝐢 + 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐) = 𝟐 + 𝐢√𝟑 ABCD est un parallélogramme
𝑻(𝑮) = 𝑫 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐆𝐃 = 𝐮 ⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
 Et on a (𝑬𝑩
𝝅
𝑬𝑪) ≡ [𝟐𝝅] donc (𝑬𝑩)𝒆𝒕 ( 𝑬𝑪) sont
𝟐
⟺ 𝐳𝐃 − 𝐳𝐆 = 𝐳𝐮⃗
perpondiculaires donc ABCD est un losange
⟺ 𝐳𝐃 = 𝐳𝐮⃗ + 𝐳𝐆
 E on a 𝑬𝑪 = 𝑬𝑩 et E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] donc AC=BD
⟺ 𝐳𝐃 = 𝟐𝐢 − 𝐢√𝟑 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
 D’où ABCD est un carré
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Exercice 07 3) Montrer que les points A ; B ;C ; D apartient au même cercle
Soit L’homothétie h de centre 𝑺 d’affixe 𝒔 = −𝟓 + 𝟓𝒊 et de rapport 2 𝒂 − 𝒃 𝒄 − 𝒅 −𝟐 + 𝟒𝒊 − (−𝟒 + 𝟐𝒊) 𝟏 + 𝟑𝒊 − (−𝟑 − 𝒊)
× = ×
et les pts 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑬(𝒆) tel que 𝒄−𝒃 𝒂−𝒅 𝟏 + 𝟑𝒊 − (−𝟒 + 𝟐𝒊) −𝟐 + 𝟒𝒊 − (−𝟑 − 𝒊)
𝒂 = −𝟐 + 𝟒𝒊 ; 𝒃 = −𝟒 + 𝟐𝒊 ; 𝒆 = −𝟐 + 𝟐𝒊 −𝟐 + 𝟒𝒊 + 𝟒 − 𝟐𝒊 𝟏 + 𝟑𝒊 + 𝟑 + 𝒊
1)Déterminer c l’affixe de C l’image de A et d l’affixe de D l’image = ×
𝟏 + 𝟑𝒊 + 𝟒 − 𝟐𝒊 −𝟐 + 𝟒𝒊 + 𝟑 + 𝒊
de B par l’homothétie h 𝟐 + 𝟐𝒊 𝟒 + 𝟒𝒊
2) Montrer que les points A ; B ;C ; D apartient au même cercle = ×
𝟓 + 𝒊 𝟏 + 𝟓𝒊
3) Déterminer 𝒑 l’affixe de P le milieu de [𝑨𝑪]
𝒆−𝒑 𝟏 𝟖(𝟏 + 𝒊)𝟐
4) a) Montrer que = 𝒊 puis en déduire que 𝑫𝑩 = 𝟐𝑷𝑬 =
𝒃−𝒅 𝟐 (𝟓 + 𝒊)(𝟏 + 𝟓𝒊)
b) En déduire que les droite (DB) et (PE) sont perpondiculaire
𝟖(𝟏 + 𝟐𝐢 − 𝟏)
5)Déterminer l’ensemble des points M(z) tel que |𝐳 + 𝟐 − 𝟒𝐢 | = 𝟓 =
𝟓 + 𝟐𝟓𝒊 + 𝒊 − 𝟓
Solution
𝟏𝟔𝐢
Soit L’homothétie h de centre 𝑺 d’affixe 𝒔 = −𝟓 + 𝟓𝒊 et de rapport 3 =
et les pts 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑬(𝒆) tel que 𝟐𝟔𝒊
𝒂 = −𝟐 + 𝟒𝒊 ; 𝒃 = −𝟒 + 𝟐𝒊 ; 𝒆 = −𝟐 + 𝟑𝒊 𝟖
= ∈ℝ
1)Déterminer c l’affixe de C l’image de A et d l’affixe de D l’image 𝟏𝟑
de B par l’homothétie h Donc les points A ; B ;C ; D apartient au même cercle
𝒉(𝑨) = 𝑪 ⟺ ⃗⃗⃗⃗
𝐒𝐂 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐒𝐀 3) Déterminer 𝒑 l’affixe de P le milieu de [𝑨𝑪]
⟺ 𝒄 − 𝒔 = 𝟐(𝐚 − 𝐬) 𝒂 + 𝒄 −𝟐 + 𝟒𝒊 + 𝟏 + 𝟑𝒊 𝟏 𝟕
𝒑= = =− + 𝒊
⟺ 𝒄 = 𝟐(𝐚 − 𝐬) + 𝒔 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
⟺ 𝒄 = 𝟐(−𝟐 + 𝟒𝐢 + 𝟓 − 𝟓𝐢) − 𝟓 + 𝟓𝐢 4) a) Montrer que
𝒆−𝒑 𝟏
= 𝒊 et en déduire que 𝑫𝑩 = 𝟐𝑷𝑬
𝒃−𝒅 𝟐
⟺ 𝐜 = 𝟐(𝟑 − 𝐢) − 𝟓 + 𝟓𝐢
⟺ 𝐜 = 𝟏 + 𝟑𝒊 1ère méthode :
𝒉(𝑩) = 𝑫 ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐒𝐃 = 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐒𝐁 𝟏 𝟕 −𝟑 − 𝐢
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝟐(𝒆 − 𝒑) = 𝟐 (−𝟐 + 𝟑𝒊 + − 𝒊) = 𝟐 ( ) = −𝟑 − 𝒊
⟺ 𝒅 − 𝒔 = 𝟐(𝐛 − 𝐬) 𝟐 𝟐 𝟐
⟺ 𝒅 = 𝟐(𝐛 − 𝐬) + 𝒔 𝑬𝒕 ∶ (𝒃 − 𝒅)𝒊 = (−𝟒 + 𝟐𝒊 + 𝟑 + 𝒊)𝒊 = (−𝟏 + 𝟑𝐢)𝐢 = −𝟑 − 𝒊
⟺ 𝒅 = 𝟐(−𝟒 + 𝟐𝐢 + 𝟓 − 𝟓𝐢) − 𝟓 + 𝟓𝐢
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝟐(𝒆 − 𝒑) = (𝒃 − 𝒅)𝒊
⟺ 𝐝 = 𝟐(𝟏 − 𝟑𝐢) − 𝟓 + 𝟓𝐢
𝒆−𝒑 𝟏
⟺ 𝐝 = −𝟑 − 𝒊 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = 𝒊
𝒃−𝒅 𝟐
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2ème méthode : Exercice 08
√𝟐 √𝟐
𝟏
−𝟐 + 𝟑𝒊 + − 𝒊
𝟕 −𝟑−𝐢 1) On le nombre complexe 𝐚 = + 𝐢
𝒆−𝒑 𝟐 𝟐 𝟐 𝟏 −𝟑 − 𝒊 𝟐 𝟐
= = = ( ) a) Ecrire a sous forme trigonométrique et déduire que 𝐚𝟐𝟎𝟐𝟒 ∈ ℝ
𝒃 − 𝒅 −𝟒 + 𝟐𝒊 + 𝟑 + 𝒊 −𝟏 + 𝟑𝐢 𝟐 −𝟏 + 𝟑𝒊
𝛑 𝛑
𝟏 −𝟑 − 𝒊 𝟏 (−𝟑 − 𝒊)(−𝟏 − 𝟑𝒊) b) On pose 𝐛 = 𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ;prouver que 𝐛𝟐 = 𝐚
𝟖 𝟖
= ( )= ( ) 2) Dans le repère orthonormé (𝐎; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) , on considère les points
𝟐 −𝟏 + 𝟑𝒊 𝟐 𝟏𝟎
𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) tel que : 𝐜 = 𝟏 et la rotation R de centre 𝐎 et
𝟏 𝟑 + 𝟗𝒊 + 𝒊 − 𝟑 𝟏 𝟏𝟎 𝒊 𝛑
= ( )= ( ) d’angle et M’(z’) l’image de M(z) par R
𝟐 𝟏𝟎 𝟐 𝟏𝟎 𝟖

𝟏 a)Vérifier que : 𝒛′ = 𝐛𝐳
= 𝒊 b)Déterminer l’image de C par la rotation R et montrer que A est
𝟐
l’image de B par R
EN déduire que 𝑫𝑩 = 𝟐𝑷𝑬
3)a) Montrer que |𝐚 − 𝐛| = |𝐛 − 𝐜| et déterminer la nature du
𝒆−𝒑 𝟏 𝒆−𝒑 𝟏 triangle ABC
= 𝒊⟹| | = | 𝒊|
𝒃−𝒅 𝟐 𝒃−𝒅 𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗ )
⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝐁𝐂
b) Déterminer une mesure de(𝐁𝐀
|𝒆 − 𝒑| 𝟏 4) Soit T la translation de vecteur 𝐮
⃗ et 𝐃(𝐝) l’image de point A
⟹ = | | × |𝒊|
|𝒃 − 𝒅| 𝟐 par la translation T ;
𝑷𝑬 𝟏 a) Vérifier que : 𝐝 = 𝐛𝟐 + 𝟏
⟹ = 𝐛𝟐 +𝟏
𝑫𝑷 𝟐 b)Montrer que = 𝐛 + 𝐛̅ et déduire que O ; B et D sont alignés
𝐛
⟹ 𝑫𝑩 = 𝟐𝑷𝑬
Solution
b) En déduire que les droite (DB) et (PE) sont perpondiculaire √𝟐 √𝟐 𝝅 𝝅 𝝅
𝒆−𝒑 𝟏 𝒆−𝒑 𝟏 𝟏)𝐚) 𝐚= + 𝐢 = (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ) = 𝒆𝒊 𝟒
= 𝒊 ⟹ 𝒂𝒓𝒈( ) ≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝒊)[𝟐𝝅] 𝟐 𝟐 𝟒 𝟒
𝒃−𝒅 𝟐 𝒃−𝒅 𝟐 𝝅 𝟐𝟎𝟐𝟒 𝝅
𝝅 𝐚𝟐𝟎𝟐𝟒 = (𝒆𝒊𝟒 ) = 𝒆𝟐𝟎𝟐𝟒𝒊𝟒 = 𝒆𝟓𝟎𝟔𝒊𝝅
⟹ (𝑫𝑩⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑷𝑬) ≡ [𝟐𝝅]
𝟐 = 𝒄𝒐𝒔(𝟓𝟎𝟔𝝅) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏(𝟓𝟎𝟔𝝅) = 𝟏 + 𝟎𝒊 = 𝟏 ∈ ℝ
Donc les droite (DB) et (PE) sont perpondiculaire 𝛑 𝛑
b) On pose 𝐛 = 𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ;prouver que 𝐛𝟐 = 𝐚
𝟖 𝟖
5)Déterminer l’ensemble des points M(z) tel que |𝐳 + 𝟐 − 𝟒𝐢 | = 𝟓
𝛑 𝛑 𝟐 𝛑 𝛑
|𝐳 + 𝟐 − 𝟒𝐢 | = 𝟓 ⟹ |𝐳 − (−𝟐 + 𝟒𝐢) | = 𝟓 𝐛𝟐 = (𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 ) = 𝐜𝐨𝐬 (𝟐 × ) + 𝐢𝐬𝐢𝐧 (𝟐 × )
𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
⟹ |𝐳 − 𝐚 | = 𝟓 𝝅 𝝅
⟹ 𝑨𝑴 = 𝟓 = 𝐜𝐨𝐬 + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 = 𝒂
𝟒 𝟒
L’ensemble des points 𝑴 est le cercle de centre 𝑨 et de rayon 5. 𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐛 = 𝐚
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2) Dans le repère orthonormé (𝐎; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) , on considère les points −𝟏
≡ 𝒂𝒓𝒈( )[𝟐𝝅]
𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) tel que : 𝐜 = 𝟏 et la rotation R de centre 𝐎 et 𝐛
𝛑
d’angle
𝟖
et M’(z’) l’image de M(z) par R ≡ 𝒂𝒓𝒈(−𝟏) − 𝐚𝐫𝐠(𝐛)[𝟐𝝅]
2)a)Vérifier que : 𝒛′ = 𝐛𝐳 𝝅
𝝅 ≡ 𝝅 − [𝟐𝝅]
𝑹(𝑴) = 𝑴′ ⟺ 𝒛′ − 𝒐 = 𝒆𝒊𝟖 (𝒛 − 𝒐) 𝟖
⟺ 𝒛′ = 𝒃𝒛 𝟕𝝅
≡ [𝟐𝝅]
b)Déterminer l’image de C par la rotation R et montrer que A est 𝟖
l’image de B par R 2ème méthode :
𝑹(𝑪) = 𝑴′ ⟺ 𝒛′ = 𝒃𝒄 𝝅
𝑶𝒏𝒂 ∶ 𝑹(𝑪) = 𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑹(𝑩) = 𝑨 𝒅𝒐𝒏𝒄 (𝐁𝐂 𝐀𝐁) ≡ [𝟐𝝅]
⟺ 𝒛′ = 𝒃 × 𝟏 𝟖
⟺ 𝒛′ = 𝒃 C’est une propriétés de rotaion
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑹(𝑪) = 𝑩 𝝅
𝑹(𝑩) = 𝑴′ ⟺ 𝒛′ = 𝒃 × 𝒃 ⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝐀𝐁 𝐁𝐂) ≡ − [𝟐𝝅]
𝟖
⟺ 𝒛′ = 𝒃𝟐 𝝅
⟺ 𝒛′ = 𝒂 𝐁𝐀; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (− ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐁𝐂) ≡ − [𝟐𝝅]
𝟖
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑹(𝑩) = 𝑨 𝝅
3)a) Montrer que |𝐚 − 𝐛| = |𝐛 − 𝐜| et déterminer la nature du 𝐁𝐀; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ( ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐁𝐂) ≡ 𝝅 − [𝟐𝝅]
𝟖
triangle ABC 𝟕𝝅
𝑶𝒏𝒂 ∶ 𝑹(𝑪) = 𝑩 𝒆𝒕 𝑹(𝑩) = 𝑨 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝑨𝑩 = 𝑩𝑪 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝐁𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡
⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝐁𝐂 [𝟐𝝅]
𝟖
Car la rotation vonserve les distances
4) Soit T la translation de vecteur 𝐮
⃗ et 𝐃(𝐝) l’image de point A
D’où |𝐚 − 𝐛| = |𝐛 − 𝐜|
la nature du triangle ABC par la translation T ;
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑨𝑩 = 𝑩𝑪 donc le triangle ABC et isocèle en B a) Vérifier que : 𝐝 = 𝐛𝟐 + 𝟏
b) Déterminer une mesure de (𝐁𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐂) On a 𝐃(𝐝) l’image de point A par la translation T de vecteur 𝐮
⃗ (𝟏) ;
1ère méthode :
𝒄−𝒃 Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐃 = 𝐮 ⃗
(𝐁𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(
⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝐁𝐂 )[𝟐𝝅]
𝒂−𝒃 Donc 𝐝−𝐚=𝟏
𝟏−𝒃
≡ 𝒂𝒓𝒈( 𝟐 )[𝟐𝝅] Donc 𝐝 =𝐚+𝟏
𝐛 −𝒃
𝟏−𝒃 Donc 𝐝 = 𝐛𝟐 + 𝟏
≡ 𝒂𝒓𝒈( )[𝟐𝝅]
𝐛(𝐛 − 𝟏)
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𝐛𝟐 +𝟏 b) On applique une formule d’Euler :
b)Montrer que = 𝐛 + 𝐛̅ et déduire que O ; B et D sont alignés
𝐛 𝟑
𝟑
𝒆𝒊𝒙 + 𝒆−𝒊𝒙
𝐛𝟐 + 𝟏 𝐛𝟐 𝟏 𝟏 𝐜𝐨𝐬 𝒙 = ( )
= + =𝐛+ 𝟐
𝐛 𝐛 𝒃 𝒃 𝟏
𝟏 = ((𝒆𝒊𝒙 )𝟑 + 𝟑(𝒆𝒊𝒙 )𝟐 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + (𝒆−𝒊𝒙 )𝟑 ),
=𝐛+ 𝟖
𝛑 𝛑
𝐜𝐨𝐬 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 Donc :
𝟖 𝟖
𝛑 𝛑 𝟏
= 𝐛 + 𝐜𝐨𝐬 (− ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 (− ) 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 = (𝒆𝟑𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝟐𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝟐𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 )
𝟖 𝟖 𝟖
𝟏 𝟑𝒊𝒙
𝛑 𝛑 = (𝒆 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 + 𝟑𝒆−𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 )
= 𝐛 + 𝐜𝐨𝐬 ( ) − 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) 𝟖
𝟖 𝟖 𝟏
= (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 − 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙
= 𝐛 + 𝐛̅ 𝟖
− 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙)
𝐛𝟐 + 𝟏 𝟏
𝑶𝒏 𝒂 ∶ = 𝐛 + 𝐛̅ = (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙)
𝐛 𝟖
𝒅 𝛑 𝛑 𝛑 𝛑 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = 𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) + 𝐨𝐬 ( ) − 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) = (𝟐𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟔𝐜𝐨𝐬 𝒙)
𝐛 𝟖 𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
𝟏
𝒅−𝒐 𝛑 = (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = 𝟐𝐜𝐨𝐬 ( ) ∈ ℝ 𝟒
𝐛−𝐨 𝟖 2) Ainsi, chercher une primitive de 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 revient à chercher une
D’où les points O ; B et D sont alignés 𝟏
primitive de (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙).
𝟒
Exercice 09 𝟏
Une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙) est la
1) Linéariser l’expression (𝐬𝐢𝐧(𝐱))𝟐 𝒑𝒖𝒊𝒔 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙. 𝟒
𝟏 𝟏 𝟏 𝟑
2) En déduire une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙. fonction :𝒙 ⟼ ( 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐬𝐢𝐧 𝒙) = 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝐬𝐢𝐧 𝒙
𝟒 𝟑 𝟏𝟐 𝟒
Solution Exercice 10
1)On applique une formule d’Euler : 1) Montrer que pour tout a et b dans IR on a :
𝟐 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
𝟐
𝒆𝒊𝒙 − 𝒆−𝒊𝒙 𝟏 𝒂) 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐜𝐨𝐬( )𝒆 𝟐
𝐬𝐢𝐧 𝒙 = ( ) = − ((𝒆𝒊𝒙 )𝟐 − (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + 𝟐𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 ), 𝟐
𝟐𝒊 𝟒 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃
𝟏 𝟏 𝒃) 𝒆𝒊𝒂 − 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧( )𝒆 𝟐
= − (𝒆𝒊 𝟐𝒙 + 𝒆−𝒊 𝟐𝒙 − 𝟐𝒆𝒊𝒙−𝒊 𝒙 ) = − (𝟐𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) − 𝟐𝒆𝟎 ) 𝟐
𝟒 𝟒 2) Ecrire sous forme exponentielle les nombres suivants :
𝟏 𝟏 𝒛=𝟏+ +𝒊
𝟏 √𝟑
; 𝒛′ = 𝟐 − √𝟐 − 𝒊√𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (𝐬𝐢𝐧 𝐱 )𝟐 = − 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) + 𝟐 𝟐
𝟐 𝟐
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Solution Exercice 11
𝒂+𝒃 𝒂+𝒃 𝒂+𝒃
𝒊 𝒊(𝒂− ) 𝒊(𝒃− ) 1) Déterminer la nature de la transformation f qui associe
𝟏) 𝒂) 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝒆 𝟐 (𝒆 𝟐 +𝒆 𝟐

𝒂+𝒃 𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃 chaque point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝐳 ′ = 𝐳 − 𝟑𝐢
= 𝒆𝒊 𝟐 (𝒆𝒊( 𝟐
)
+ 𝒆−𝒊( 𝟐
)
) = 𝟐𝐜𝐨𝐬(
)𝒆 𝟐
𝟐
𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃 2) Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐜𝐨𝐬( )𝒆 𝟐
𝟐 point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝐳 ′ = 𝟒𝐳 − 𝟑𝐢
𝒂+𝒃 𝒂+𝒃 𝒂+𝒃
𝒊𝒂 𝒊𝒃 𝒊 𝒊(𝒂− ) 𝒊(𝒃− )
𝒃) 𝒆 −𝒆 =𝒆 𝟐 (𝒆 𝟐 −𝒆 𝟐 3)Déterminer la nature de la transformation f qui associe chaque
𝒂+𝒃 𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃 point M(z) par son image M’(z’) tel que 𝒇(𝒛) = 𝐳 ′ = 𝐢𝐳 + 𝟐 − 𝐢
= 𝒆𝒊 𝟐 (𝒆𝒊( 𝟐
)
− 𝒆−𝒊( 𝟐
)
) = 𝟐𝐢 𝐬𝐢𝐧(
)𝒆 𝟐
𝟐
𝒂 − 𝒃 𝒊𝒂+𝒃 Solution
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒆𝒊𝒂 + 𝒆𝒊𝒃 = 𝟐𝐢𝐬𝐢 𝐧 ( )𝒆 𝟐
𝟐 1) 𝐳 ′ = 𝐳 − 𝟑𝐢 ; on a 𝐚 = 𝟏
𝟏 √𝟑 𝝅
Donc f est la translation de vecteur 𝐮
⃗ (−𝟑𝐢)
𝟐) 𝒛=𝟏+ +𝒊 = 𝒆𝟎 + 𝒆𝒊𝟑
𝟐 𝟐
𝝅
𝒊𝟔 −𝒊𝟔
𝝅 𝝅 𝝅
𝒊( 𝟑 − 𝟔 )
2) 𝐳 ′ = 𝟒𝐳 − 𝟑𝐢 , on a 𝐚 = 𝟒 ≠ 𝟏
= 𝒆 (𝒆 +𝒆 )
𝝅 𝝅 𝝅 𝝅 Donc f est l'homothétie de rapport 4 est de centre 𝛀 d’affixe
𝒊𝟔 −𝒊 𝟔 𝒊𝟔 𝝅 𝒊
= 𝒆 (𝒆 + 𝒆 ) = 𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) 𝒆 𝟔 𝒃 𝟑𝒊
𝟔 𝛚= = =𝒊
𝝅 𝝅 𝝅 𝟏−𝒂 𝟑
𝒊
𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) > 𝟎 donc 𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) 𝒆 est la forme exponentielle de z 𝟔
𝟔 𝟔 3) 𝐳 ′ = −𝐢𝐳 + 𝟐 − 𝐢 ,
On a 𝐚 = −𝐢 ≠ 𝟏 et |𝐚| = |−𝐢| = 𝟏
√𝟐 √𝟐
𝒛′ = 𝟐 − √𝟐 − 𝒊√𝟐 = 𝟐 [𝟏 − ( + 𝒊 )] Donc f est la rotation de centre 𝛀 d’affixe
𝟐 𝟐
𝝅
𝒊𝝅 𝝅 𝝅 𝝅 𝒃 𝟐−𝒊
= 𝟐(𝟏 − 𝒆𝒊𝟒 ) = 𝟐𝒆 𝟖 (𝒆−𝒊𝟖 − 𝒆𝒊( 𝟒−𝟖) ) 𝛚= =
𝝅 𝝅 𝝅 𝟏−𝒂 𝟏+𝒊
= 𝟐𝒆𝒊𝟖 (𝒆−𝒊𝟖 − 𝒆𝒊𝟖 ) (𝟐 − 𝒊)(𝟏 + 𝒊)
𝝅 𝝅 =
𝝅 𝒊
𝝅
−𝒊 𝒊 𝝅 𝟐
= − 𝟒𝒊 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆 𝟖 ; ( car𝒆 𝟖 − 𝒆 = −𝟐𝒊 𝒔𝒊𝒏 )
𝟖
𝟖 𝟖 𝟐 + 𝟐𝒊 − 𝒊 + 𝟏
=𝟒𝒆 −𝒊
𝝅 𝝅
𝒔𝒊𝒏 ( ) 𝒆 = 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆 𝒊
𝝅 𝝅 𝝅 𝝅
𝒊( − )
; (car −𝒊 = 𝒆 −𝒊
𝝅
) =
𝟐
𝟖 𝟖
𝟖 𝟖 𝟐 𝟐
𝟐
𝝅 − 𝒊𝟑𝝅 𝟑 𝟏
= 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆 𝟖 = + 𝒊
𝟖 𝟐 𝟐
𝝅 𝝅 𝟑𝝅
𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) > 𝟎 donc 𝟒 𝒔𝒊𝒏( ) 𝒆− 𝒊 𝟖 est la forme exponentielle de z’ et d’angle 𝛉 ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒂) ≡ 𝐚𝐫𝐠(−𝐢) ≡ − [𝟐𝛑]
𝛑
𝟖 𝟖 𝟐
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Exercice 12 2) Développer (𝐜𝐨𝐬𝐱 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 𝐱)𝟐 avec deux méthodes différentes
1) En utilisant la formule de d’EULER linéariser 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) puis puis déduire que 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝐱) = 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐬𝐢𝐧 𝐱
déduire que 𝟐 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) = 𝟏 + 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) Selon la formule de Moivre :
2) Développer (𝐜𝐨𝐬𝐱 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 𝐱)𝟐 avec deux méthodes différentes
(𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙)𝟐 = 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝒙) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙)
puis déduire que 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝐱) = 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐬𝐢𝐧 𝐱
3) On considère le nombre complexe 𝐚 = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢 Et par la formule (𝒂 + 𝒃)𝟐 = 𝒂𝟐 + 𝟐𝒂𝒃 + 𝒃𝟐
Montrer que |𝐚| = 𝟐√𝟐 + √𝟑 (𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙)𝟐 = 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 + 𝟐𝒊 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝒊𝟐 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙
𝛑 𝛑
4) Vérifier que 𝐚 = 𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 ( )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) = 𝐜𝐨𝐬 𝟐 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 + 𝟐𝒊 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙
𝟔 𝟔
𝛑 𝛑 𝛑 Donc : 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝒙) + 𝒊 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙) = 𝐜𝐨𝐬𝟐 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙 + 𝒊 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙
5)Montrer que 𝐚 = 𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟐 ( ) + 𝟒 𝐢 𝐜𝐨𝐬 ( ) 𝐬𝐢𝐧 ( )
𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐
6) Déduire la forme trigonométrique de a En déduit que : 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝒙) = 𝐜𝐨𝐬 𝟐 𝒙 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝒙

7) Montrer que : 𝐚𝟔 = (𝟐√𝟐 + √𝟑)𝟔 𝐢 E t que : 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙) = 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙


Solution 3) On considère le nombre complexe 𝐚 = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢
1) En utilisant la formule de d’EULER linéariser 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) puis Montrer que |𝐚| = 𝟐√𝟐 + √𝟑
déduire que 𝟐 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) = 𝟏 + 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱)
𝟐
On applique une formule d’Euler : |𝐚| = |𝟐 + √𝟑 + 𝐢| = √(𝟐 + √𝟑) + 𝟏
𝟐
𝒆𝒊𝒙 + 𝒆−𝒊𝒙 𝟏
𝟐
𝐜𝐨𝐬 𝒙 = ( ) = ((𝒆𝒊𝒙 )𝟐 + (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + 𝟐𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 ), = √𝟒 + 𝟒√𝟑 + 𝟑 + 𝟏
𝟐 𝟒
𝟏 𝒊 𝟐𝒙 = √𝟖 + 𝟒√𝟑
= (𝒆 + 𝒆−𝒊 𝟐𝒙 + 𝟐𝒆𝒊𝒙−𝒊 𝒙 )
𝟒
𝟏
= (𝟐𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) + 𝟐𝒆𝟎 ) = √𝟒(𝟐 + √𝟑)
𝟒
𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) 𝟏
= + = 𝟐√𝟐 + √𝟑
𝟐 𝟐
𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) + 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (𝐜𝐨𝐬(𝐱))𝟐 =
𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝟐 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) = 𝟏 + 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱)
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𝛑
4) Vérifier que 𝐚 = 𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 ( )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( )
𝛑 11) Déduire la forme trigonométrique de a
𝟔 𝟔
𝛑 𝛑 𝛑
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐚 = 𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟐 ( ) + 𝟒 𝐢 𝐜𝐨𝐬 ( ) 𝐬𝐢𝐧 ( )
1ère méthode : 𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝛑 𝛑 𝛑
𝛑 𝛑 √𝟑 𝟏 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐚 = 𝟒 𝒄𝒐𝒔 ( ) (𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ))
𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 ( )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) = 𝟐 (𝟏 + ) + 𝟐 𝐢 𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝟔 𝟔 𝟐 𝟐
𝛑 𝛑 𝛑
𝑶𝒏 𝒂 ∶ ∈ ]𝟎, [ 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝟒 𝒄𝒐𝒔 ( ) > 𝟎
= 𝟐 + √𝟑 + 𝐢 = 𝐚 𝟏𝟐 𝟐 𝟏𝟐
2ème méthode
𝛑 𝛑 𝛑
√𝟑 𝟏 D’où 𝟒 𝒄𝒐𝒔 ( ) (𝐜𝐨𝐬 ( ) + 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( )) est l’écriture
𝐚 = 𝟐 + √𝟑 + 𝐢 = 𝟐 + 𝟐( + 𝐢) 𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝟐 𝟐
trigonométrique de a
𝛑 𝛑
= 𝟐 + 𝟐(𝒄𝒐𝒔 + 𝐢𝐬𝐢𝐧 )
𝟔 𝟔 12) Montrer que : 𝐚𝟔 = (𝟐√𝟐 + √𝟑)𝟔 𝐢
𝛑 𝛑 𝟔
= 𝟐 + 𝟐𝒄𝒐𝒔 ( ) + 𝟐𝐢𝐬𝐢𝐧 ( ) 𝛑
𝟔 𝟔 𝐚𝟔 = (𝟐√𝟐 + √𝟑 𝒆 ) 𝒊
𝟏𝟐

𝛑 𝛑
= 𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 ( )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) 𝟔
𝟔 𝟔 𝛑 𝟔
𝛑 𝛑 𝛑
= (𝟐√𝟐 + √𝟑 ) (𝒆𝒊𝟏𝟐 )
5)Montrer que 𝐚 = 𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟐 ( ) + 𝟒 𝐢 𝐜𝐨𝐬 ( ) 𝐬𝐢𝐧 ( )
𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐
𝟔
𝛑 𝛑 𝛑
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐚 = 𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 ( )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 ( ) = (𝟐√𝟐 + √𝟑 ) 𝒆𝟔𝒊𝟏𝟐
𝟔 𝟔
𝟔
𝛑 𝛑 𝛑
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐚 = 𝟐 (𝟏 + 𝐜𝐨𝐬 (𝟐 × )) + 𝟐 𝐢 𝐬𝐢𝐧 (𝟐 × ) = (𝟐√𝟐 + √𝟑 ) 𝒆𝒊𝟐
𝟏𝟐 𝟏𝟐
Et on a 𝟐 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) = 𝟏 + 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝒆𝒕 𝐬𝐢𝐧(𝟐𝒙) = 𝟐 𝐜𝐨𝐬 𝒙 𝐬𝐢𝐧 𝒙 𝟔
𝛑 𝛑
𝛑 𝛑 𝛑 = (𝟐√𝟐 + √𝟑 ) (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 )
𝟐 𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐚 = 𝟐 (𝟐𝐜𝐨𝐬𝟐 ( )) + 𝟐 𝐢 (𝟐𝒄𝒐𝒔 𝒔𝒊𝒏 )
𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟔
𝛑 𝛑 𝛑 = (𝟐√𝟐 + √𝟑 ) 𝒊
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐚 = 𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟐 ( ) + 𝟒 𝐢 𝐜𝐨𝐬 ( ) 𝐬𝐢𝐧 ( )
𝟏𝟐 𝟏𝟐 𝟏𝟐
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I) Fonction exponentielle népérienne  (∀𝒙 ∈ ℝ); (∀𝒚 ∈]𝟎, +∞[) ∶ 𝒚 = 𝒆𝒙 ⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏(𝒚)
1)Définition de fonction exponentielle népérienne  (∀𝒙 ∈ ℝ): 𝒍𝒏(𝒆𝒙 ) = 𝒙 𝒆𝒕(∀𝒙 ∈]𝟎, +∞[): 𝒆𝒍𝒏(𝒙) = 𝒙
La fonction ln et strictement croissante sur ]𝟎, +∞[ ,alors elle
 (∀𝒙 ∈ ℝ) ∶ 𝒆𝒙 > 𝟎
admet une fonction réciproque sur l’intervalle
𝑱 =] 𝐥𝐢𝐦+ 𝒍𝒏(𝒙) , 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝒙) [=] − ∞, +∞[= ℝ  La fonction exponentielle est strictement croissante sur ℝ
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶+∞
On l’appelle fonction exponentielle et on la note par exp  (∀𝒙; 𝒚 ∈ ℝ) ; 𝒆𝒙 < 𝒆𝒚 ⇔ 𝒙 < 𝒚
La fonction exponentielle est définit comme suit : :  (∀𝒙; 𝒚 ∈ ℝ) ; 𝒆𝒙 = 𝒆𝒚 ⇔ 𝒙 = 𝒚
𝐞𝐱𝐩 ∶ ℝ ⟶ ℝ  𝐥𝐢𝐦 𝒆𝒙 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒆𝒙 = 𝟎+
𝒙 ⟼ 𝒆𝒙𝒑(𝒙) 𝒙⟶+∞ 𝒙⟶−∞

Autre écriture de la fonction 𝒆𝒙𝒑 Exercice 01


On écrit : (∀𝒙 ∈ ℝ); 𝒆𝒙𝒑(𝒙) = 𝒆𝒙 1) Résoudre dans IR les équations suivantes :
𝟑
2)Conséquences : (𝐄𝟏 ): 𝐞𝒙+𝟐 = 𝟑 ; (𝐄𝟐 ): 𝐞 𝒙 −𝒙 = 𝟏
 L’ensemble de définition de la fonction exp est ℝ 2)Résoudre dans IR les inéquations suivantes :
𝟐
 𝒆𝟎 = 𝟏 et 𝒆𝟏 = 𝒆 (𝐈𝟏 ): 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆 ; (𝐈𝟐 ): 𝐞 𝒙 −𝟐𝒙 < 𝟏
 La courbe de la fonction exp Solution :
(𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐞𝒙+𝟐 = 𝟑 ⇔ 𝐞𝒙+𝟑 = 𝒆𝒍𝒏(𝟑) ⇔ 𝐱 + 𝟐 = 𝒍𝒏𝟑 ⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏(𝟑) − 𝟐
Donc 𝑺 = {𝒍𝒏(𝟑) − 𝟐}
𝟑
(𝐄𝟐 ) ⇔ 𝐞 𝒙 −𝒙 = 𝒆𝟎 ⇔ 𝒙𝟑 − 𝒙 = 𝟎 ⇔ 𝐱(𝒙𝟐 − 𝟏) = 𝟎
⇔ 𝐱(𝐱 − 𝟏)(𝐱 + 𝟏) = 𝟎 ⇔ 𝐱 = 𝟎 𝐨𝐮 𝐱 = 𝟏 𝐨𝐮 𝐱 = −𝟏
Donc 𝑺 = {−𝟏; 𝟎; 𝟏}
(𝐈𝟏 ) ⇔ 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆 ⇔ 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆𝟏 ⇔ 𝟑𝒙 − 𝟓 > 𝟏
⇔ 𝟑𝒙 > 𝟔 ⇔ 𝒙 > 𝟐 ⇔ 𝒙 ∈ ]𝟐; +∞[
Donc 𝑺 = ]𝟐; +∞[
𝟐 𝟐
(𝐈𝟐 ) ⇔ 𝐞 𝒙 −𝟐𝒙 < 𝟏 ⇔ 𝐞 𝒙 −𝟐𝒙 < 𝒆𝟎 ⇔ 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 < 𝟎
⇔ 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟏 < 𝟏 ⇔ (𝒙 − 𝟏)𝟐 < 𝟏 ⇔ |𝒙 − 𝟏| < 𝟏
⇔ −𝟏 < 𝒙 − 𝟏 < 𝟏 ⇔ 𝟎 < 𝒙 < 𝟐 ⇔ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟐[
Donc 𝑺 = ]𝟎; 𝟐[
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2) Propriétés algébriques le la fonction exponentielle Solution :
Propriétés : 𝑨 = 𝟑(𝐞𝒍𝒏𝟑 )𝟐 − 𝟓(𝐞𝒍𝒏𝟐 )𝟐 − 𝐋𝐧(𝒆𝟕 )
𝑨 = 𝟑 × 𝟑𝟐 − 𝟓 × 𝟐𝟐 − 𝟕𝐋𝐧(𝒆)
Soient x et y deux nombres réels :
𝑨 = 𝟐𝟕 − 𝟐𝟎 − 𝟕
 𝐞 𝐱+𝐲 = 𝐞𝒙 × 𝐞𝒚 ; 𝑨= 𝟎
𝟏 𝟏
 𝐞−𝐱 = 𝑩 = 𝒆−𝟐 𝒍𝒏𝟐 𝒆𝟐 𝒍𝒏𝟐 + 𝒆 𝒍𝒏𝟏𝟎 − 𝒍𝒏(𝟐𝒆𝟏𝟎 ) − 𝒍𝒏
𝐞𝐱
𝟐
𝐞𝐱 −𝟐 𝒍𝒏𝟐+𝟐 𝒍𝒏 𝟐 𝟏𝟎 )
 𝐞 𝐱−𝐲 = 𝑩=𝒆 + 𝟏𝟎 − 𝒍𝒏(𝟐) − 𝐥𝐧(𝒆 − 𝒍𝒏(𝟏) + 𝒍𝒏(𝟐)
𝐞𝒚
𝑩 = 𝒆𝟎 + 𝟏𝟎 − 𝒍𝒏(𝟐) − 𝟏𝟎 − 𝟎 + 𝒍𝒏 𝟐
 (𝐞𝐱 )𝒓 = 𝐞𝐫𝐱 ;𝒓∈ℚ
𝑩= 𝟏
Exemple 𝟑
𝑪 = 𝒆𝒍𝒏((√𝟐−𝟏) ) 𝒆𝒍𝒏((√𝟐+𝟏)
𝟑)

−𝟔 −𝟏
𝑨=
𝒆𝟕 ×𝒆−𝟒
𝑩 = (𝒆𝟓 ) × 𝒆−𝟑 𝟏 (𝒆𝟒 ) 𝑪 = (√𝟐 − 𝟏)𝟑 ((√𝟐 + 𝟏)𝟑 )
𝒆−𝟓 𝑪 = (𝒆−𝟑)𝟐 +
𝒆𝟐 ×𝒆−𝟔
𝑪 = ((√𝟐 − 𝟏)(√𝟐 + 𝟏)𝟑 )
𝟓×(−𝟔) −𝟑
𝒆𝟕−𝟒 =𝒆 ×𝒆 𝒆𝟒×(−𝟏) 𝟐
= =
𝟏
+ 𝑪 = ((√𝟐 − 𝟏𝟐 ))𝟑 )
𝒆−𝟓 −𝟑×𝟐
𝒆 𝒆𝟐−𝟔
= 𝒆−𝟑𝟎 × 𝒆−𝟑
𝒆𝟑 𝑪 = (𝟐 − 𝟏)𝟑 )
= 𝟏 𝒆−𝟒
𝒆−𝟓 = 𝒆−𝟑𝟎−𝟑 = + 𝑪= 𝟏
𝒆−𝟔 𝒆−𝟒
𝟑−(−𝟓)
=𝒆 (𝒆𝟐𝒙 )𝟑
= 𝒆−𝟑𝟑 = 𝒆𝟔 + 𝟏 𝑫 = 𝟑𝒙+𝟏
=𝒆 𝟖 𝒆 × 𝒆−𝒙−𝟏
𝒆𝟐𝒙×𝟑 𝒆𝟔𝒙
Exercice 02 𝑫 = 𝟑𝒙+𝟏−𝒙−𝟏
= = 𝒆𝟔𝒙−𝟐𝒙
𝒆 𝒆𝟐𝒙
Simplifier les expressions suivantes : 𝑫=𝒆 𝟒𝒙
𝒍𝒏𝟑 𝟐 𝒍𝒏𝟐 𝟐 𝟕)
𝑨 = 𝟑(𝐞 ) − 𝟓(𝐞 ) − 𝐋𝐧(𝒆 Exercice 03
𝟏 1)Résoudre dans IR les équations suivantes :
𝑩 = 𝐞−𝟐 𝒍𝒏𝟐 𝐞𝟐 𝒍𝒏𝟐 + 𝐞 𝒍𝒏𝟏𝟎 − 𝒍𝒏(𝟐𝐞𝟏𝟎 ) − 𝒍𝒏
𝟐 (𝐄𝟏 ): 𝐞𝟐𝒙 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎; (𝐄𝟐 ): 𝒆𝒙
𝟐 −𝟑
− 𝒆−𝟐𝒙 = 𝟎
𝟑 𝟑)
𝑪 = 𝒆𝒍𝒏((√𝟐−𝟏) ) 𝒆𝒍𝒏((√𝟐+𝟏) 2)Résoudre dans IR les inéquations suivantes :
𝟑 𝟐 −𝒙 𝟏
(𝒆𝟐𝒙 ) (𝐄𝟑 ): 𝐞𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎 ; (𝐄𝟒 ): 𝐞 𝒙 𝐞 −𝟐𝒙 >
𝑫= 𝐞𝟐
𝒆𝟑𝒙+𝟏 ×𝒆−𝒙−𝟏
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Solution : Donc 𝐞 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝐞 𝒙 = 𝟐
(𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐞𝟐𝒙 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 ⇔ (𝐞 𝒙 )𝟐 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 Donc 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝐱 = 𝒍𝒏(𝟐)
On pose : 𝐗 = 𝐞 𝒙
 Le tableau de signe de 𝐞 𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐
( 𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐗 𝟐 + 𝐗 − 𝟐 = 𝟎
Le discriminant de l’équation est ∆= 𝟗 > 𝟎 x +∞ 𝟎 𝒍𝒏(𝟐) +∞
Donc l’équation 𝑿𝟐 + 𝑿 − 𝟐 = 𝟎 admet deux solutions sont : 𝐞 𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 +2 + 0 - 0 +
𝑿 = 𝟏 𝒐𝒖 𝑿 = −𝟐
 Donc 𝑺 = ]𝟎 ; 𝐥 𝐧(𝟐)[
Donc 𝐞 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝐞 𝒙 = −𝟐
Donc 𝐱 = 𝒍𝒏(𝟏) et l’équation 𝐞 𝒙 = −𝟐 n’admet pas de solution
Donc 𝐱 = 𝟎 𝟐 +𝒙 𝟏 𝟐
( 𝐄𝟒 ) ⇔ 𝐞 𝒙 𝐞 𝟐𝒙 > ⇔ 𝐞 𝒙 +𝟑𝒙 > 𝐞−𝟐 ⇔ 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 > −𝟐
D’où 𝑺 = {𝟎} 𝐞 𝟐

⇔ 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟐 > 𝟎
𝒙𝟐 −𝟑
( 𝐄𝟐 ) ⇔ 𝒆 − 𝒆−𝟐𝒙 = 𝟎
Le discriminant de l’équation 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟐 = 𝟎 est ∆= 𝟏 > 𝟎
𝟐 −𝟑
⟺ 𝒆𝒙 = 𝒆−𝟐𝒙 Donc l’équation 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟐 = 𝟎 admet deux solutions sont :
⟺ 𝒙𝟐 − 𝟑 = −𝟐𝒙 𝒙 = −𝟏 𝒐𝒖 𝒙 = −𝟐
𝟐
⟺ 𝒙 + 𝟐𝒙 − 𝟑 = 𝟎  Le tableau de signe de 𝐱 𝟐 + 𝟑𝐱 + 𝟐
𝚫 = 𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × (−𝟑) = 𝟏𝟔
−𝟐−√𝟏𝟔 −𝟐+√𝟏𝟔
x −𝟐+∞ −𝟏 +∞
Donc 𝒙 = = −𝟑 ou 𝒙 = =𝟏 𝟐
𝐱 + 𝟑𝐱 + 𝟐 + 0 - 0 +
𝟐×𝟏 𝟐×𝟏
Les solutions sont –3 et 1.  Donc 𝑺 = ]−∞; −𝟐[ ∪ ]−𝟏; +∞[
3) Limites de la fonction exponentielle
(𝐄𝟑 ) ⇔ 𝐞𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎 ⇔ (𝐞 𝒙 )𝟐 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎
Propriétés :
 Résoudrons l’équation (𝐞 𝒙 )𝟐 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 = 𝟎
On pose : 𝐗 = 𝐞 𝒙  𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎+ ; 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→+∞

(𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐗 𝟐 − 𝟑𝐗 + 𝟐 = 𝟎 𝐞𝐱
 𝐥𝐢𝐦 𝒙 𝐞𝐱 = 𝟎− ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱
Le discriminant de l’équation est ∆= 𝟏 > 𝟎 𝐞𝐱
 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒓 𝐞𝐱 = 𝟎 ; 𝐥𝐢𝐦 = +∞
Donc l’équation 𝑿𝟐 − 𝟑𝑿 + 𝟐 = 𝟎 admet deux solutions sont : 𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐱 𝒓
𝐞 𝐱 −𝟏
𝑿 = 𝟏 𝒐𝒖 𝑿 = 𝟐  𝐥𝐢𝐦 =𝟏
𝒙→𝟎 𝒙
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Exercice 04 0
Calculer les limites suivantes : 𝟔) Il s'agit d'une forme indéterminée de type " ".
0
𝟏
𝟏) 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 − 𝐱 − 𝟏 ; 𝟐) 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 𝟐 − 𝟑𝐱 + 𝟐)𝐞𝐱 ; 3) 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐞𝒙 𝐞𝟐𝐱 − 𝐞𝟑𝐱 𝐞𝟐𝐱 − 𝟏 + 𝟏 − 𝐞𝟑𝐱
𝒙→+∞ 𝒙→−∞ 𝒙→𝟎 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙
𝐱−𝟐 𝟐 𝐱−𝟐 𝟐 𝐞𝟐𝐱 −𝐞𝟑𝐱
𝟒) 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 ; 𝟓) 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 ; 𝟔) 𝐥𝐢𝐦 𝐞 − 𝟏 𝟏 − 𝐞𝟑𝐱
𝟐𝐱
𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 +
𝐞𝐱 −𝟏 𝐞𝐱 −𝐱 𝟏 𝐱 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙
𝟕) 𝐥𝐢𝐦 ; 𝟖) 𝐥𝐢𝐦 ; 𝟗) 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + ) 𝟐𝐱
𝐞 −𝟏 𝐞𝟑𝐱 − 𝟏
𝒙→+∞ 𝐞𝐱 +𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 −𝟏 𝒙→+∞ 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 ×𝟐− × 𝟑 = 𝟐 − 𝟑 = −𝟏
Solution : 𝒙→𝟎 𝟐𝒙 𝟑𝒙
𝐞𝟐𝐱 −𝟏 𝐞𝟑𝐱 −𝟏
𝟏) Il s'agit d'une forme indéterminée de type "+ ¥ - ¥ ". Car 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟏
𝒙→𝟎 𝟐𝒙 𝒙→𝟎 𝟑𝒙
𝐞𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 − 𝐱 − 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱( − 𝟏) − 𝟏 = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 𝟏 𝟏
𝐞𝐱 𝐞𝐱 − 𝟏 𝐞𝐱 (𝟏 − 𝐱) 𝟏− 𝐱 𝟏−𝟎
𝐞 𝐞
Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝟕) 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 = =𝟏
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝐞 + 𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 (𝟏 + ) 𝒙→+∞ 𝟏 + 𝟏 𝟏+𝟎
𝐞𝐱 𝐞𝐱
𝟐) Il s'agit d'une forme indéterminée de type "+ .0 ".
𝟏
𝐥𝐢𝐦 (𝐱 𝟐 − 𝟑𝐱 + 𝟐)𝐞𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝟐 𝐞 𝐱 − 𝟑𝐱𝐞𝐱 + 𝟐𝐞𝐱 = 𝟎 Car 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐞𝐱
Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝟐 𝐞𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝟑𝐱𝐞 𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝐞𝐱 = 𝟎 𝐞𝐱 (𝟏 − 𝐱)
𝒙
𝟏− 𝐱 𝟏−𝟎
𝒙
𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝐞𝐱 − 𝐱 𝐞 𝐞
3) Il s'agit d'une forme indéterminée de type. " 0. " 𝟖) 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 = =𝟏
𝒙→+∞ 𝐞 − 𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 (𝟏 − ) 𝒙→+∞ 𝟏 − 𝟏 𝟏+𝟎
𝟏 𝟏 𝐞𝐱 𝐞𝐱
On pose 𝑿 = donc 𝒙 = ; or 𝒙 → 𝟎+ ⟺ 𝑿 → +∞
𝒙 𝑿 𝟏 𝒙 𝟏
𝐗 Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 =𝟎
𝟏 𝟏 𝐞 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐞 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐗 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙 = +∞ 𝒙
𝒙→𝟎 𝑿→+∞ 𝑿 𝑿→+∞ 𝑿
𝟏 𝐱 𝟏 𝐱
𝐥𝐧 (𝟏+ )
¥ 𝟗) 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + ) = 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝒙
𝟒) Il s'agit d'une forme indéterminée de type " ". 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞
¥ 𝟏

𝐱−𝟐 𝟐
𝟐 𝟐 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 𝐥𝐧 (𝟏+𝒙)
𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − ) 𝐞𝐱 𝐞−𝟒 = +∞ 𝟏 𝟏
𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→−∞ 𝒙 On pose 𝑿 = donc 𝒙 = ; or 𝒙 → +∞ ⟺ 𝑿 → 𝟎+
𝒙 𝑿
𝟐 𝟐
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − ) = 𝟏 et 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = +∞ et 𝐞−𝟒 > 𝟎 𝟏 𝟏 𝐥𝐧 (𝟏+𝐗)
𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→−∞ 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 𝐥𝐧 (𝟏+𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐞 𝑿 𝐥𝐧 (𝟏+𝐗) = 𝐥𝐢𝐦+𝐞 𝑿 =𝒆
𝟐 𝟐 𝒙→+∞ 𝑿→𝟎 𝑿→𝟎
𝐱−𝟐 (𝐱 − 𝟐) 𝐱−𝟒 𝐥𝐧 (𝟏+𝐗)
𝟓) 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ Car 𝐥𝐢𝐦+ =𝟏
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙𝟐 𝑿→𝟎 𝑿
(𝐱 − 𝟐)𝟐 D’où 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + ) = 𝒆
𝟏 𝐱
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝒙→+∞ 𝒙
𝒙→𝟎 𝒙𝟐
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5) Dérivée de la fonction exponentielle 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)𝐞𝐱 = +∞ ;
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
Propriétés 01 : 𝐂𝐚𝐫 𝐥𝐢𝐦 𝒙 + 𝟏 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = +∞
La fonction 𝒙 ↦ 𝐞 𝐱 est dérivable sur IR et on a : ∀𝒙 ∈ ℝ: (𝐞𝐱 )′ = 𝐞 𝐱 𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝒇(𝒙) 𝐞𝐱
Démonstration : 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏) = +∞
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙
La fonction 𝒙 ↦ 𝒍𝒏(𝒙) est dérivable sur ]𝟎; +∞[ et sa fonction Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐞𝐱
𝟏 𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
dérivée 𝒙 ↦ s’annule pas sur ]𝟎; +∞[
𝒙 Donc la courbe (Cf) admet une branche parabolique de
𝐱
Donc la fonction 𝒙 ↦ 𝐞 est dérivable sur IR et on a : direction l’axe des ordonnées au voisinage de +∞
𝟏 𝟏 2) 𝒇′ (𝒙) = 𝒆𝒙 + (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 = (𝒙 + 𝟐)𝒆𝒙
∀𝒙 ∈ ℝ: (𝐞 𝐱 )′ = (𝐥𝐧−𝟏 )′ (𝒙) = = 𝟏 = 𝐞 𝐱
𝒍𝒏′(𝐞𝐱 ) Comme 𝒆𝒙 > 𝟎, 𝒇′ (𝒙) est du signe de 𝒙 + 𝟐.
𝐞𝐱
Propriétés 02 : U une fonction dérivable sur I, la fonction f est donc décroissante sur l'intervalle ]−∞ ; −𝟐] et croissante
𝒙 ↦ 𝐞𝐔(𝐱) est dérivable sur I et on a : (∀𝒙 ∈ 𝐈); (𝐞𝐔(𝐱) ) = 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) sur l'intervalle [−𝟐 ; +∞[. Et on dresse le tableau de variations :

x −∞ –2 +∞
Exemple ′
𝟐 +𝟑𝒙+𝟏 𝒇 (𝒙) − 0 +
Calculer la dérivée de la fonction f tel que : 𝒇(𝒙) = 𝐞𝟐𝐱 0 +∞
𝟐𝐱 𝟑 +𝟒𝒙+𝟏
𝒇′(𝒙) = (𝟔𝒙 + 𝟒)𝐞 𝒇(𝒙)
Remarque : Les fonctions primitives de 𝒙 ↦ 𝐔′(𝐱)𝐞𝑼(𝒙) sur ℝ −𝒆−𝟐
sont les fonctions : 𝒙 ↦ 𝐞𝐔(𝐱) + 𝒄 ; 𝒄 ∈ ℝ 3) 𝒇(𝟎) = 𝟏 et 𝒇′(𝟎) = 𝟐
Exercice 5 Une équation de la tangente à la courbe en 0 est donc :
Soit f la fonction définie sur ℝ par 𝒇(𝒙) = (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 . 𝒚 = 𝒇′ (𝟎)(𝒙 − 𝟎) + 𝒇(𝟎) , donc 𝒚 = 𝟐𝒙 + 𝟏
1) Etudier les braches infinies de la courbe de la fonction f 4)
(Cf)
2) Calculer la dérivée de la fonction f.
puis dresser son tableau de variations
3) Déterminer une équation de la tangente à la courbe en 0
4) Tracer la courbe représentative de la fonction f
Solution :
𝟏) 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)𝐞𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 + 𝐞 𝐱 = 𝟎 ;
𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝒙→−∞
𝐱 𝐱
Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = 𝟎
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
Donc la droite d’équation 𝒚 = 𝟎, c-à-dire l’axe des abscisses est
une asymptote horizontale à la courbe de f au voisinage de −∞
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I) Fonction exponentielle de base a 5) Dérivée de la fonction exponentielle
1)Définition de fonction exponentielle de base a Propriétés 01 :
Soit a un réel strictement positif et 𝒂 ≠ 𝟏 La fonction 𝒙 ↦ 𝐚𝐱 est dérivable sur IR et on a :
𝒍𝒏(𝒙)
Rappel : (∀𝒙 ∈ ℝ) ∶ 𝒍𝒏𝒂 (𝒙) =
𝒍𝒏(𝒂) ∀𝒙 ∈ ℝ: (𝒂𝒙 )′ = 𝒂𝒙 𝒍𝒏(𝒂)
La fonction 𝒍𝒏𝒂 et strictement croissante sur ]𝟎, +∞[ , alors elle
Démonstration :
admet une fonction réciproque sur l’intervalle
𝑱 =] 𝐥𝐢𝐦+ 𝒍𝒏(𝒙) , 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝒙) [=] − ∞, +∞[= ℝ 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝒙 ∈ ℝ:
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶+∞ ′
(𝐚𝐱 )′ = (𝐞 𝐱𝐥 𝐧(𝐚) ) = 𝐥𝐧(𝐚) 𝐞𝐱 𝐥𝐧(𝐚) = 𝐚𝐱 𝐥𝐧(𝐚)
On l’appelle fonction exponentielle de base a ; sera noté par 𝒆𝒙𝒑𝒂
Propriétés 02 :
La fonction exponentielle est définit comme suit : :
Soit U une fonction dérivable sur un intervalle I
𝒆𝒙𝒑𝒂 ∶ ℝ ⟶ ℝ
𝒙 ⟼ 𝒆𝒙𝒑𝒂 (𝒙) = 𝒂𝒙 La fonction 𝒙 ↦ 𝐚𝐔(𝐱) est dérivable sur I et on a
On écrit : (∀𝒙 ∈ ℝ); 𝒆𝒙𝒑𝒂 (𝒙) = 𝒂𝒙 ′
(∀𝒙 ∈ 𝑰); (𝒂𝑼(𝒙) ) = 𝑼′ (𝒙)𝒂𝑼(𝒙) 𝒍𝒏(𝒂)
2)Conséquences :
 L’ensemble de définition de la fonction 𝒆𝒙𝒑𝒂 est ℝ Exercice 06
 𝒂𝟎 = 𝟏 ; 𝒂𝟏 = 𝒆 et on admet que : 𝟏𝐱 = 𝟏 Déterminer le plus petit entier naturel n tel que 𝟐𝒏 ≥ 𝟏𝟎𝟗
 (∀𝒙 ∈ ℝ); (∀𝒚 ∈]𝟎, +∞[) ∶ 𝒚 = 𝒂𝒙 ⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏𝒂 (𝒚) Solution :
𝟐𝒏 ≥ 𝟏𝟎𝟗 ⇔ 𝒍𝒏(𝟐𝒏 ) ≥ 𝐥𝐧(𝟏𝟎𝟗 )
 (∀𝒙 ∈ ℝ): 𝒍𝒏𝒂 (𝒂𝒙 ) = 𝒙 𝒆𝒕 (∀𝒙 ∈]𝟎, +∞[): 𝒂𝒍𝒏𝒂(𝒙) = 𝒙
 𝐚𝐱+𝐲 = 𝐚𝒙 × 𝐚𝒚 ; ⇔ 𝒏 𝒍𝒏(𝟐) ≥ 𝟗𝒍𝒏(𝟏𝟎)
𝟏 𝐚𝐱 𝟗𝒍𝒏(𝟏𝟎)
 𝐚−𝐱 = ; 𝐚𝐱−𝐲 = ⇔𝒏 ≥
𝐚𝐱 𝐚𝒚
𝒍𝒏(𝟐)
 (𝐚 ) = 𝐚𝐫 𝐱
𝐱 𝒓
;𝒓∈ℚ
⇔ 𝒏 ≥ 𝟐𝟗, 𝟖 …
Propriétés :
⇔ 𝒏 ≥ 𝟑𝟎 (𝒄𝒂𝒓 𝒏 𝒖𝒏 𝒆𝒏𝒕𝒊𝒆𝒓 )
(∀𝒙 ∈ ℝ); 𝒂𝒙 = 𝒂𝒙 𝒍𝒏(𝒂)
D’où le plus petit entier cherché est 30
Démonstration
Exercice 07
Soient 𝒙 ∈ ℝ et 𝒚 ∈]𝟎, +∞[ 𝟑
Soit f la fonction définie par 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒙 −𝒙 .
𝒚 = 𝒂𝒙 ⇔ 𝒍𝒏(𝒚) = 𝒍𝒏(𝒂𝒙 )
1) Déterminer sur 𝑫𝒇 puis calculer les limites aux bornes de 𝑫𝒇
⇔ 𝒍𝒏(𝒚) = 𝒙𝒍𝒏(𝒂)
2) Etudier les braches infinies de la courbe de la fonction f
⇔ 𝒆𝒍𝒏(𝒚) = 𝒆𝒙 𝒍𝒏(𝒂) 2) Calculer la dérivée de la fonction f , puis dresser son tableau
⇔ 𝒚 = 𝒆𝒙 𝒍𝒏(𝒂) de variations
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Exercice 08 Exercice 09
Soit f la fonction définie sur ℝ par 𝒇(𝒙) = 𝒙𝒆− 𝒙 𝟐 .
𝟏
− 𝒙 𝟏
g une fonction définit sur 𝑰 = [𝟎; +∞[ par𝐠(𝐱) = 𝟏 − 𝐞 𝟐 − 𝒙
𝟐
𝟏 𝟐 𝒙𝟐
1) Montrer que g est strictement décroissante sur [𝟎; +∞[ 1)a) Montrer que (∀𝐱 ∈ ℝ+ ) 𝒇(𝒙) = √
𝟏 √𝟐 𝒆 𝒙𝟐
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 𝟏
2) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ): <− b) En déduire la limite de f en +∞ et interpréter le résultat
𝒙𝟐 𝟐𝒙
− 𝒙
𝟏 géométriquement
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
et déduire 𝐥𝐢𝐦+ c) Etudier la parité de f puis en déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙)
𝐱→𝟎 𝒙𝟐 𝒙→−∞
Solution 3) Déterminer la dérivée de la fonction f, puis dresser son
1) la fonction g est dérivable sur [𝟎; +∞[ tableau de variations
𝟏 𝟏
𝟏 𝟏 𝟏 4) Tracer la courbe représentative de la fonction f
Et on a : ∀𝐱 ∈ 𝑰 ; 𝒈′ (𝐱) = 𝐞− 𝟐𝒙 − = (𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏) Solution
𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 𝟏 𝟏 1)a) Soit 𝐱 ∈ ℝ+
𝒙 ≥ 𝟎 ⟺ − 𝒙 ≤ 𝟎 ⟺ 𝐞− 𝟐𝒙 ≤ 𝐞𝟎 ⟺ 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏 ≤ 𝟎
𝟐 𝟐
𝟏 − 𝒙 𝟏 𝒇(𝒙) = √ 𝒙𝟐 (√ 𝒆− 𝒙 𝟐
) = √𝒙𝟐 √𝒆− 𝒙 𝟐 × 𝒆− 𝒙 𝟐 = √𝒙𝟐 √𝒆− 𝟐𝒙 𝟐
⟺ (𝐞 𝟐 − 𝟏) ≤ 𝟎 ⟺ 𝒈′ (𝐱) ≤ 𝟎
𝟐
Donc g est strictement décroissante sur [𝟎; +∞[ 𝒙𝟐 𝟏 𝟐𝒙𝟐 𝟏 𝟐 𝒙𝟐
= √ √
𝟐 = 𝟐 × 𝟐 𝒙𝟐 =
√ 𝟐
2) Soit 𝒙 ∈ ]𝟎 ; +∞[ 𝒆𝟐 𝒙 𝒆 √ 𝟐 𝒆𝒙
𝒙 > 𝟎 𝐞𝐭 𝐠 𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐭𝐫𝐢𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝é𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐬𝐮𝐫 [𝟎; +∞[ ⇒ 𝒈(𝒙) < 𝒈(𝟎)
𝟏 𝟏 𝟏 𝟐 𝒙𝟐
⇒ 𝒈(𝒙) < 𝟎 ⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 < 𝟎 𝒃) 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 √
𝟐 𝒙→+∞ 𝒙→+∞ √𝟐 𝒆 𝒙 𝟐
𝟏
𝟏
⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 < 𝒙 On pose 𝑿 = 𝟐𝒙𝟐 donc 𝒙 → +∞ ⟺ 𝑿 → +∞
𝟐
𝟏
𝟏
⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 < − 𝒙 𝟏 𝑿 𝟏 𝟏 𝟏
𝟐
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 √ 𝑿 = 𝐥𝐢𝐦 = × √𝟎 = 𝟎
𝟏 𝒙→+∞ 𝑿→+∞ √𝟐 𝒆 𝑿→+∞ √𝟐 √ 𝒆𝑿 √𝟐
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 𝟏 𝑿
⇒ <−
𝐱𝟐 𝟐𝒙 𝒆𝑿
𝟏
Car 𝐥𝐢𝐦 = +∞
− 𝒙 𝑿→+∞ 𝑿
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 𝟏 𝟏
On a : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ): <− et 𝐥𝐢𝐦 − = −∞ Interprétation géométrique :
𝒙𝟐 𝟐𝒙 𝐱→𝟎+ 𝟐𝒙
𝟏
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝟎
− 𝒙 𝒙→+∞
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
Donc 𝐥𝐢𝐦+ = −∞ Donc la droite d’équation 𝒚 = 𝟎, c-à-dire l’axe des abscisses est
𝐱→𝟎 𝒙𝟐
une asymptote horizontale à la courbe de f au voisinage de +∞
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c) Soit 𝐱 ∈ ℝ ; on a ; −𝐱 ∈ ℝ Exercice 10
Et 𝒇(−𝒙) = −𝒙𝒆− 𝒙 𝟐 = −𝒇(𝒙) Soit f une fonction définie par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|)
Donc la fonction f est impaire 1) Déterminer 𝐃𝒇 puis calculer 𝐟(−𝐥𝐧𝟐) ; 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱)
𝐱→+∞ 𝐱→−∞
On pose 𝒕 = −𝒙 donc 𝒙 = −𝒕 ; or 𝒙 → −∞ ⟺ 𝒕 → +∞ 2) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) et interpréter le résultat
𝐱→𝟎
Donc 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒇(−𝒕) = 𝐥𝐢𝐦 − 𝒇(𝒕) = 𝟎 géométriquement
𝒙→−∞ 𝒕→+∞ 𝒕→+∞
𝟐𝐞𝐱 −𝟏
Car f es impaire et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒕) = 𝟎 3) Montrer que : ∀𝐱 ∈ 𝐃𝒇 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = , puis dresser le
𝒕→+∞ 𝐞𝐱 −𝟏
3) 𝒇′ (𝒙) = 𝒆− 𝒙 𝟐 − 𝟐𝒙 × 𝒙𝒆− 𝒙 𝟐 = (𝟏 − 𝟐𝒙𝟐 )𝒆− 𝒙 𝟐 tableau de variations de la fonction f
Comme 𝒆− 𝒙 𝟐 > 𝟎, 𝒇′ (𝒙) est du signe de 𝟏 − 𝟐𝒙𝟐 . 4) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝟐𝐱 est asymptote oblique
𝟏 𝟏 𝟏 de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝟏 − 𝟐𝒙𝟐 ⟺ 𝒙𝟐 = ⟺ 𝒙 = 𝒐𝒖 𝒙 = − b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) sur ]𝟎 ; +∞[
𝟐 √𝟐 √𝟐
on dresse le tableau de variations : 5) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆′) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote oblique
de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆)′ sur ]−∞; 𝟎[
6) Monter que l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution
𝛂 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝛂 ∈ ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère orthonormé ( 𝐎; 𝐢; 𝐣)
Solution
𝟏) 𝐱 ∈ 𝐃𝒇 ⟺ |𝐞𝐱 − 𝟏| > 𝟎
⟺ 𝐞𝐱 − 𝟏 ≠ 𝟎 ⟺ 𝐞𝐱 ≠ 𝟏 ⟺ 𝒙 ≠ 𝟎
Donc 𝐃𝒇 = ℝ∗
𝟏
 𝐟(−𝐥𝐧𝟐) = −𝐥𝐧𝟐 + 𝐥𝐧(|𝐞−𝐥𝐧𝟐 − 𝟏|) = −𝐥𝐧𝟐 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐥𝐧𝟐 − 𝟏|)
𝟏 𝟏
= −𝐥𝐧𝟐 + 𝐥𝐧 (| − 𝟏|) = −𝒍𝒏𝟐 + 𝐥𝐧 ( ) = −𝟐𝒍𝒏𝟐
𝟐 𝟐
𝐱
 On a 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 |𝐞 − 𝟏| = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝑿) = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐗→+∞
Donc 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
 On a 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 |𝐞 𝐱 − 𝟏| = 𝟏 car 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
4) Donc 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = −∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
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2) On a 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦|𝐞 𝐱 − 𝟏| = 𝟎+ et 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏(𝑿) = −∞ 4)b) Soit 𝒙 ∈ ]𝟎 ; +∞[
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐗→𝟎
𝟏
 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = −∞ 𝐟(𝐱) − 𝟐𝒙 = 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|)
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐞
Interprétation géométrique : 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
On a : 𝐥𝐢𝐦𝒇(𝒙) = −∞ ; donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎, c-à-dire 𝐱
> 𝟎 ⟺ − 𝐱 < 𝟎 ⟺ 𝟏 − 𝐱 < 𝟏 ⟺ |𝟏 − 𝐱 | < 𝟏
𝒙→𝟎 𝐞 𝐞 𝐞 𝐞
l’axe des ordonnées est une asymptote verticale à la courbe de f 𝟏
⟺ 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) < 𝟎 ⟺ 𝐟(𝐱) − 𝟐𝒙 < 𝟎
3) Soit 𝐱 ∈ ℝ∗ 𝐞
𝐞𝐱 𝟐𝐞𝐱 − 𝟏 𝒖′ Donc (𝐂𝐟 ) est en dessous de la droite (∆)
′ (𝐱)
𝐟 =𝟏+ 𝐱 = 𝐱 𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍: 𝐥𝐧(|𝐮|) = 5)a) On a 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞
𝐞 −𝟏 𝐞 −𝟏 𝐮 𝐱→−∞
Le tableau de variation de f Et 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) − 𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝟏 𝟏
 𝟐𝐞𝐱 − 𝟏 = 𝟎 ⟺ 𝐞 𝐱 = ⟺ 𝒙 = 𝒍𝒏 ( ) ⟺ 𝒙 = −𝒍𝒏(𝟐) Car 𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝐞 = 𝟎
𝟐 𝟐 𝐱→−∞
𝐱
 𝐞 −𝟏=𝟎⟺𝒙=𝟎 Donc 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆′) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au
x −∞ –ln 2 0 +∞
voisinage de −∞
𝟐𝐞𝐱 − 𝟏 − 0 + +
b) Soit 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟎[ , donc |𝐞𝐱 − 𝟏| = 𝟏 − 𝐞 𝐱
𝐞𝐱 − 𝟏 + − 0 +

𝒇 (𝒙) + 0 − + 𝐟(𝐱) − 𝒙 = 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = 𝐥𝐧(𝟏 − 𝐞 𝐱 )
–2ln2 +∞ 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐞𝐱 > 𝟎 ⟺ −𝐞𝐱 < 𝟎 ⟺ 𝟏 − 𝐞 𝐱 < 𝟏 ⟺ 𝐥𝐧(𝟏 − 𝐞 𝐱 ) < 𝟎
𝒇(𝒙) ⟺ 𝐟(𝐱) − 𝒙 < 𝟎
−∞ −∞ −∞ Donc (𝐂𝐟 ) est en dessous de la droite (∆) sur ]−∞; 𝟎[
4)a) On a 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞
𝐱→+∞ (∆′) 6) *f est dérivable
 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) − 𝟐𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) − 𝒙
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ sur]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[ donc elle est
𝟏 continue sur ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧 (|𝐞𝐱 (𝟏 − 𝐱 )|) − 𝒙
𝐱→+∞ 𝐞 *f est strictement
𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 |) + 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) − 𝒙 croissante sur ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
𝐱→+∞ 𝐞
𝟏 𝒇(]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[ = ]−∞; 𝐥𝐧(𝟐)[
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) − 𝒙 (∆) *Donc 𝟎 ∈ 𝒇(]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
𝐱→+∞ 𝐞
𝟏 𝟏 (Cf) D’où 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) = 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎 ; car 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱→+∞ 𝐞𝐱 unique solution
Donc 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝟐𝐱 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au 𝛂 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝛂 ∈ ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
voisinage de +∞
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Exercice 01 Exercice 05
4) Résoudre dans IR les équations suivantes : A) Soit g une fonction définit sur ]𝟎; +∞[par : 𝐠(𝐱) = 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏
(𝐄𝟏 ): 𝐞𝒙+𝟐 = 𝟑 ; (𝐄𝟐 ): 𝐞 𝒙
𝟑 −𝒙
=𝟏 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱)
𝐱→𝟎 𝐱→+∞

(𝐄𝟑 ): 𝐞𝟐𝒙 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 ; (𝐄𝟒 ): 𝒆 − 𝒆−𝟐𝒙 = 𝟎 𝒙𝟐 −𝟑 2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙)
5) Résoudre dans IR les inéquations suivantes : 3) Dresser le tableau de variations de g sur ]𝟎; +∞[
𝟐 −𝟐𝒙 4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
(𝐈𝟏 ): 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆 ; (𝐈𝟐 ): 𝐞 𝒙 <𝟏
𝟐 −𝒙 𝟏
B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
(𝐈𝟑 ): 𝐞𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎 ; (𝐈𝟒 ): 𝐞 𝒙 𝐞 −𝟐𝒙 > 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ et interpréter le résultat
𝐞𝟐 𝐱→𝟎
Exercice 02 géométriquement
Calculer les limites suivantes : 2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝟏 𝒈(𝒙)
𝟏) 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 − 𝐱 − 𝟏 ; 𝟐) 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 𝟐 − 𝟑𝐱 + 𝟐)𝐞𝐱 ; 3) 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐞𝒙 3 )a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏
𝒙→+∞ 𝒙→−∞ 𝒙→𝟎 𝒙

𝐱−𝟐 𝟐 𝐱−𝟐 𝟐 𝐞𝟐𝐱 −𝐞𝟑𝐱 b) Dresser le tableau de variation de f en justifiant votre réponse
𝟒) 𝐥𝐢𝐦 (
𝒙
) 𝐞𝐱−𝟒 ; 𝟓) 𝐥𝐢𝐦 ( 𝒙
) 𝐞𝐱−𝟒 ; 𝟔) 𝐥𝐢𝐦
𝒙 c) Déterminer l’équation de la tangente (T) de (𝐂𝐟 ) au point 1
𝒙→−∞ 𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
𝐞𝐱 −𝟏 𝐞𝐱 −𝐱 𝟏 𝐱 4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par : 𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏
𝟕) 𝐥𝐢𝐦 ; 𝟖) 𝐥𝐢𝐦 ; 𝟗) 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + )
𝒙→+∞ 𝐞𝐱 +𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 −𝟏 𝒙→+∞ 𝒙 x 𝟎 +∞
Exercice 03 +∞
Soit f la fonction définie sur ℝ par 𝒇(𝒙) = (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 . 𝒉 (𝐱 )
1) Etudier les braches infinies de la courbe de la fonction f −𝟏
a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[
2) Etudier les variations de f et dresser son tableau de variation 𝐡(𝐱)
3) Déterminer une équation de la tangente à la courbe en 0 b) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; : 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝟐 𝐞𝒙−𝟏
𝒙
4) Tracer la courbe représentative de la fonction f c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier que la courbe (𝐂𝐟 )
Exercice 04 admet un point d’inflexion unique au point d’abscisse 1
𝟏
𝟏 5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le
g une fonction définit sur 𝑰 = [𝟎; +∞[ par𝐠(𝐱) = 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙
𝟐
résultat géométriquement
1) Montrer que g est strictement décroissante sur [𝟎; +∞[
𝟏
− 𝒙 6) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 sur un
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 𝟏
2) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ): 𝟐
<− intervalle J à déterminer
𝒙 𝟐𝒙
𝟏
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋)
et déduire 𝐥𝐢𝐦+
𝐱→𝟎 𝒙𝟐
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Exercice 06 3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − 𝟐𝒙 , puis interpréter
𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞
A) Soit g la fonction définit sur ℝ par 𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏 graphiquement les résultats obtenus.
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏 b) Montrer que: 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞.
𝐱→−∞ 𝐱→+∞ 𝒙⟶+∞
′ (𝐱)
2)Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ; 𝒈 = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱 c) Montrer que la droite (𝑫) d’équation 𝒚 = 𝟐𝒙 + 𝟏 est une
3) Dresser le tableau de variations de g asymptote oblique à (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞.
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
d) Etudier la position relative de (𝑪𝒇 ) et (𝑫) sur ]𝟎, +∞[
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
𝟐𝒆𝟐𝒙 −𝟓𝒆𝒙 +𝟐
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 4) a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ℝ∗ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒆𝒙 −𝟏)𝟐
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
′ (𝒙)
2) a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱) b) Etudier le signe de 𝒇 puis dresser le tableau de
b) Dresser le tableau de variation de f variations de la fonction 𝒇 .
𝟏
3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote 5) Montrer que le point 𝑨(𝟎 ; ) est centre de symétrie de (𝑪𝒇 )
𝟐
oblique de (𝐂𝐟 ) .au voisinage de +∞ 6) Construire la courbe (𝑪𝒇 ) dans le repère (𝑶, 𝒊, 𝒋).
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) par rapport à (∆)
𝐟(𝐱)
Exercice 08
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis en déduire la branche infinie Soit f une fonction définie par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|)
𝐱→−∞ 𝐱
de (𝐂𝐟 ) au voisinage de−∞ 1) Déterminer 𝐃𝒇 puis calculer 𝐟(−𝐥𝐧𝟐) ; 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱)
𝐱→+∞ 𝐱→−∞
5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique de 2) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) puis interpréter le résultat géométri….
𝐱→𝟎
coordonnées (𝟐; 𝟐) 𝟐𝐞𝐱 −𝟏
′ (𝐱)
b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point d’abscisse 2 3) Montrer que : ∀𝐱 ∈ 𝐃𝒇 ∶ 𝐟 = , puis dresser le
𝐞𝐱 −𝟏
6) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique solution tableau de variations de la fonction f
𝛂 dan IR et que : 0 < 𝛂 < 𝟏 4) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝟐𝐱 est asymptote oblique
7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère (𝑶; 𝒊; 𝒋) (On admet que 𝛂 ≈ 𝟎. 𝟑) de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
Exercice 07 b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) sur ]𝟎 ; +∞[
On considère la fonction 𝒇 définie par 5) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆′) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote oblique
𝒙
𝒆 de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
𝒇(𝒙) = 𝟐𝒙 + 𝒙
𝒆 −𝟏 b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆)′ sur ]−∞; 𝟎[
1) Vérifier que 𝐃𝒇 = ℝ∗
6) Monter que l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution
2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝒙) , puis interpréter 𝛂 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝛂 ∈ ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎
graphiquement les résultats obtenus. 7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère orthonormé ( 𝐎; 𝐢; 𝐣)
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Exercice 01 𝑿 = 𝟏 𝒐𝒖 𝑿 = −𝟐
6) Résoudre dans IR les équations suivantes : Donc 𝐞 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝐞 𝒙 = −𝟐

(𝐄𝟏 ): 𝐞𝒙+𝟐 = 𝟑 ; (𝐄𝟐 ): 𝐞 𝒙


𝟑 −𝒙
=𝟏 Donc 𝐱 = 𝒍𝒏(𝟏) et l’équation 𝐞 𝒙 = −𝟐 n’admet pas de solution

(𝐄𝟑 ): 𝐞𝟐𝒙 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 ; (𝐄𝟒 ): 𝒆𝒙 −𝟑 − 𝒆−𝟐𝒙 = 𝟎


𝟐
Donc 𝐱 = 𝟎
7) Résoudre dans IR les inéquations suivantes : D’où 𝑺 = {𝟎}
𝟐 −𝟐𝒙 𝟐 −𝟑
(𝐈𝟏 ): 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆 ; (𝐈𝟐 ): 𝐞 𝒙 <𝟏 ( 𝐄𝟒 ) ⇔ 𝒆 𝒙 − 𝒆−𝟐𝒙 = 𝟎
𝟐 −𝒙 𝟏
(𝐈𝟑 ): 𝐞𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎 ; (𝐈𝟒 ): 𝐞 𝒙 𝐞 −𝟐𝒙 > ⟺ 𝒆𝒙
𝟐 −𝟑
= 𝒆−𝟐𝒙
𝐞𝟐
Solution : ⟺ 𝒙𝟐 − 𝟑 = −𝟐𝒙
(𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐞𝒙+𝟐 = 𝟑 ⟺ 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 − 𝟑 = 𝟎
⇔ 𝐞𝒙+𝟑 = 𝒆𝐥 𝐧(𝟑) 𝚫 = 𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × (−𝟑) = 𝟏𝟔
⇔ 𝐱 + 𝟐 = 𝒍𝒏𝟑 Donc 𝒙 =
−𝟐−√𝟏𝟔
= −𝟑 ou 𝒙 =
−𝟐+√𝟏𝟔
=𝟏
𝟐×𝟏 𝟐×𝟏
⇔ 𝒙 = 𝒍𝒏(𝟑) − 𝟐
Les solutions sont –3 et 1.
Donc 𝑺 = {𝒍𝒏(𝟑) − 𝟐}
𝟑 −𝒙
( 𝐄𝟐 ) ⇔ 𝐞 𝒙 = 𝒆𝟎 ⇔ 𝒙𝟑 − 𝒙 = 𝟎
(𝐈𝟏 ) ⇔ 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆 ⇔ 𝐞𝟑𝒙−𝟓 > 𝒆𝟏
𝟐
⇔ 𝐱(𝒙 − 𝟏) = 𝟎
⇔ 𝟑𝒙 − 𝟓 > 𝟏
⇔ 𝐱(𝐱 − 𝟏)(𝐱 + 𝟏) = 𝟎
⇔ 𝟑𝒙 > 𝟔
⇔ 𝐱 = 𝟎 𝐨𝐮 𝐱 = 𝟏 𝐨𝐮 𝐱 = −𝟏
⇔𝒙>𝟐
Donc 𝑺 = {−𝟏; 𝟎; 𝟏}
⇔ 𝒙 ∈ ]𝟐; +∞[
(𝐄𝟑 ) ⇔ 𝐞𝟐𝒙 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎 ⇔ (𝐞 𝒙 )𝟐 + 𝐞 𝒙 − 𝟐 = 𝟎
Donc 𝑺 = ]𝟐; +∞[
𝒙 𝟐
On pose : 𝐗 = 𝐞 donc (𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐗 + 𝐗 − 𝟐 = 𝟎
Le discriminant de l’équation est ∆= 𝟗 > 𝟎
Donc l’équation 𝑿𝟐 + 𝑿 − 𝟐 = 𝟎 admet deux solutions sont :
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(𝐈𝟐 ) ⇔ 𝐞 𝒙
𝟐 −𝟐𝒙
<𝟏 𝟐 +𝒙 𝟏
(𝐈𝟒 ) ⇔ 𝐞 𝒙 𝐞 𝟐𝒙 >
𝟐 −𝟐𝒙 𝐞𝟐
⇔ 𝐞𝒙 < 𝒆𝟎 𝟐 +𝟑𝒙
𝟐
⇔ 𝐞𝒙 > 𝐞−𝟐
⇔ 𝒙 − 𝟐𝒙 < 𝟎
𝟐
⇔ 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 > −𝟐
⇔ 𝒙 − 𝟐𝒙 + 𝟏 < 𝟏
𝟐
⇔ 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟐 > 𝟎
⇔ (𝒙 − 𝟏) < 𝟏 ⇔ |𝒙 − 𝟏| < 𝟏
⇔ −𝟏 < 𝒙 − 𝟏 < 𝟏
Le discriminant de l’équation 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟐 = 𝟎 est ∆= 𝟏 > 𝟎
⇔𝟎<𝒙<𝟐
Donc l’équation 𝒙𝟐 + 𝟑𝒙 + 𝟐 = 𝟎 admet deux solutions sont :
⇔ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟐[
𝒙 = −𝟏 𝒐𝒖 𝒙 = −𝟐
Donc 𝑺 = ]𝟎; 𝟐[
(𝐈𝟑 ) ⇔ 𝐞𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎
 Le tableau de signe de 𝐱 𝟐 + 𝟑𝐱 + 𝟐
⇔ (𝐞 𝒙 )𝟐 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 < 𝟎
x +∞ −𝟐 −𝟏 +∞
 Résoudrons l’équation (𝐞 𝒙 )𝟐 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐 = 𝟎
𝒙
𝐱 𝟐 + 𝟑𝐱 + 𝟐 + 0 - 0 +
On pose : 𝐗 = 𝐞
(𝐄𝟏 ) ⇔ 𝐗 𝟐 − 𝟑𝐗 + 𝟐 = 𝟎
 Donc 𝑺 = ]−∞; −𝟐[ ∪ ]−𝟏; +∞[
Le discriminant de l’équation est ∆= 𝟏 > 𝟎
Donc l’équation 𝑿𝟐 − 𝟑𝑿 + 𝟐 = 𝟎 admet deux solutions sont :
𝑿 = 𝟏 𝒐𝒖 𝑿 = 𝟐
Donc 𝐞 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝐞 𝒙 = 𝟐
Donc 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝐱 = 𝒍𝒏(𝟐)
 Le tableau de signe de 𝐞 𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 + 𝟐
x +∞ 𝟎 𝒍𝒏(𝟐) +∞
𝐞 𝟐𝒙 − 𝟑𝐞 𝒙 +2 + 0 - 0 +
 Donc 𝑺 = ]𝟎 ; 𝐥 𝐧(𝟐)[
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Exercice 02 0
Calculer les limites suivantes : 𝟔) Il s'agit d'une forme indéterminée de type " ".
0
𝟏
𝟏) 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 − 𝐱 − 𝟏 ; 𝟐) 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 𝟐 − 𝟑𝐱 + 𝟐)𝐞𝐱 ; 3) 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐞𝒙 𝐞𝟐𝐱 − 𝐞𝟑𝐱 𝐞𝟐𝐱 − 𝟏 + 𝟏 − 𝐞𝟑𝐱
𝒙→+∞ 𝒙→−∞ 𝒙→𝟎 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙
𝐱−𝟐 𝟐 𝐱−𝟐 𝟐 𝐞𝟐𝐱 −𝐞𝟑𝐱
𝟒) 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 ; 𝟓) 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 ; 𝟔) 𝐥𝐢𝐦 𝐞 − 𝟏 𝟏 − 𝐞𝟑𝐱
𝟐𝐱
𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 +
𝐞𝐱 −𝟏 𝐞𝐱 −𝐱 𝟏 𝐱 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙
𝟕) 𝐥𝐢𝐦 ; 𝟖) 𝐥𝐢𝐦 ; 𝟗) 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + ) 𝟐𝐱
𝐞 −𝟏 𝐞𝟑𝐱 − 𝟏
𝒙→+∞ 𝐞𝐱 +𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 −𝟏 𝒙→+∞ 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 ×𝟐− × 𝟑 = 𝟐 − 𝟑 = −𝟏
Solution : 𝒙→𝟎 𝟐𝒙 𝟑𝒙
𝐞𝟐𝐱 −𝟏 𝐞𝟑𝐱 −𝟏
𝟏) Il s'agit d'une forme indéterminée de type "+ ¥ - ¥ ". Car 𝐥𝐢𝐦 =𝟏 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟏
𝒙→𝟎 𝟐𝒙 𝒙→𝟎 𝟑𝒙
𝐞𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 − 𝐱 − 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱( − 𝟏) − 𝟏 = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 𝟏 𝟏
𝐞𝐱 𝐞𝐱 − 𝟏 𝐞𝐱 (𝟏 − 𝐱) 𝟏− 𝐱 𝟏−𝟎
𝐞 𝐞
Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝟕) 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 = =𝟏
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝐞 + 𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 (𝟏 + ) 𝒙→+∞ 𝟏 + 𝟏 𝟏+𝟎
𝐞𝐱 𝐞𝐱
𝟐) Il s'agit d'une forme indéterminée de type "+ .0 ".
𝟏
𝐥𝐢𝐦 (𝐱 𝟐 − 𝟑𝐱 + 𝟐)𝐞𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝟐 𝐞 𝐱 − 𝟑𝐱𝐞𝐱 + 𝟐𝐞𝐱 = 𝟎 Car 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝒙→+∞ 𝐞𝐱
Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝟐 𝐞𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝟑𝐱𝐞 𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝐞𝐱 = 𝟎 𝐞𝐱 (𝟏 − 𝐱)
𝒙
𝟏− 𝐱 𝟏−𝟎
𝒙
𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝒙→−∞ 𝐞𝐱 − 𝐱 𝐞 𝐞
3) Il s'agit d'une forme indéterminée de type. " 0. " 𝟖) 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 = =𝟏
𝒙→+∞ 𝐞 − 𝟏 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 (𝟏 − ) 𝒙→+∞ 𝟏 − 𝟏 𝟏+𝟎
𝟏 𝟏 𝐞𝐱 𝐞𝐱
On pose 𝑿 = donc 𝒙 = ; or 𝒙 → 𝟎+ ⟺ 𝑿 → +∞
𝒙 𝑿 𝟏 𝒙 𝟏
𝐗 Car 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 =𝟎
𝟏 𝟏 𝐞 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 𝒙→+∞ 𝐞𝐱 𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐞 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐗 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙 = +∞ 𝒙
𝒙→𝟎 𝑿→+∞ 𝑿 𝑿→+∞ 𝑿
𝟏 𝐱 𝟏 𝐱
𝐥𝐧 (𝟏+ )
¥ 𝟗) 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + ) = 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝒙
𝟒) Il s'agit d'une forme indéterminée de type " ". 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞
¥ 𝟏

𝐱−𝟐 𝟐
𝟐 𝟐 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 𝐥𝐧 (𝟏+𝒙)
𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − ) 𝐞𝐱 𝐞−𝟒 = +∞ 𝟏 𝟏
𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→−∞ 𝒙 On pose 𝑿 = donc 𝒙 = ; or 𝒙 → +∞ ⟺ 𝑿 → 𝟎+
𝒙 𝑿
𝟐 𝟐
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − ) = 𝟏 et 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = +∞ et 𝐞−𝟒 > 𝟎 𝟏 𝟏 𝐥𝐧 (𝟏+𝐗)
𝒙→−∞ 𝒙 𝒙→−∞ 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 𝐥𝐧 (𝟏+𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐞 𝑿 𝐥𝐧 (𝟏+𝐗) = 𝐥𝐢𝐦+𝐞 𝑿 =𝒆
𝟐 𝟐 𝒙→+∞ 𝑿→𝟎 𝑿→𝟎
𝐱−𝟐 (𝐱 − 𝟐) 𝐱−𝟒 𝐥𝐧 (𝟏+𝐗)
𝟓) 𝐥𝐢𝐦 ( ) 𝐞 𝐱−𝟒 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ Car 𝐥𝐢𝐦+ =𝟏
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙𝟐 𝑿→𝟎 𝑿
(𝐱 − 𝟐)𝟐 D’où 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 + ) = 𝒆
𝟏 𝐱
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝒙→+∞ 𝒙
𝒙→𝟎 𝒙𝟐
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Exercice 3 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)𝐞𝐱
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝒙
Soit f la fonction définie sur ℝ par 𝒇(𝒙) = (𝒙 + 𝟏)𝒆 . = +∞ ;
1) Etudier les braches infinies de la courbe de la fonction f 𝐂𝐚𝐫 𝐥𝐢𝐦 𝒙 + 𝟏 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
2) Calculer la dérivée de la fonction f. 𝒇(𝒙) 𝐞𝐱
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)
puis dresser son tableau de variations 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙

3) Déterminer une équation de la tangente à la courbe en 0 = +∞


𝐞𝐱
4) Tracer la courbe représentative de la fonction f Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
Solution : Donc la courbe (Cf) admet une branche parabolique de
𝐱
𝟏) 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)𝐞 direction l’axe des ordonnées au voisinage de +∞
𝒙→−∞ 𝒙→−∞

= 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 𝐱 + 𝐞 𝐱 = 𝟎 ; 2) 𝒇′ (𝒙) = 𝒆𝒙 + (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙


𝒙→−∞

Car 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = 𝟎 = (𝒙 + 𝟐)𝒆𝒙


𝒙→−∞ 𝒙→−∞
Comme 𝒆𝒙 > 𝟎, 𝒇′ (𝒙) est du signe de 𝒙 + 𝟐.
Donc la droite d’équation 𝒚 = 𝟎, c-à-dire l’axe des abscisses est
f est donc décroissante sur l'intervalle ]−∞ ; −𝟐] et croissante
une asymptote horizontale à la courbe de f au voisinage de −∞
sur l'intervalle [−𝟐 ; +∞[.
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)𝐞𝐱
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ Et on dresse le tableau de variations :
= +∞ ; x −∞ –2 +∞
𝐱
𝐂𝐚𝐫 𝐥𝐢𝐦 𝒙 + 𝟏 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ 𝒇′ (𝒙) − 0 +
𝒙→+∞ 𝒙→+∞

𝒇(𝒙) (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 0 +∞
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙 𝒇(𝒙)
𝐞𝐱 −𝒆−𝟐
= 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏)
𝒙→+∞ 𝒙
= +∞
𝐞𝐱
Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 + 𝟏) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
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3) 𝒇(𝟎) = 𝟏 et 𝒇′(𝟎) = 𝟐 Solution
Une équation de la tangente à la courbe en 0 est donc : 1) la fonction g est dérivable sur [𝟎; +∞[
𝟏 𝟏
𝟏 𝟏 𝟏
𝒚=𝒇 ′ (𝟎)(𝒙
− 𝟎) + 𝒇(𝟎) , Et on a : ∀𝐱 ∈ 𝑰 ; 𝒈′ (𝐱) = 𝐞− 𝟐𝒙 − = (𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏)
𝟐 𝟐 𝟐
𝟏
Donc 𝒚 = 𝟐𝒙 + 𝟏 𝒙≥𝟎⟺− 𝒙≤𝟎
𝟐
4) 𝟏
(Cf) ⟺ 𝐞− 𝟐𝒙 ≤ 𝐞𝟎
𝟏
⟺ 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏 ≤ 𝟎
𝟏 𝟏
⟺ (𝐞− 𝟐𝒙 − 𝟏) ≤ 𝟎
𝟐
⟺ 𝒈′ (𝐱) ≤ 𝟎
Donc g est strictement décroissante sur [𝟎; +∞[
2) Soit 𝒙 ∈ ]𝟎 ; +∞[
𝒙 > 𝟎 𝐞𝐭 𝐠 𝐞𝐬𝐭 𝐬𝐭𝐫𝐢𝐜𝐭𝐞𝐦𝐞𝐧𝐭 𝐝é𝐜𝐫𝐨𝐢𝐬𝐬𝐚𝐧𝐭𝐞 𝐬𝐮𝐫 [𝟎; +∞[ ⇒ 𝒈(𝒙) < 𝒈(𝟎)
𝟏 𝟏
⇒ 𝒈(𝒙) < 𝟎 ⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 < 𝟎
𝟐
𝟏 𝟏
⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 < 𝒙
𝟐
𝟏 𝟏
⇒ 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 < − 𝒙
𝟐
𝟏
𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 𝟏
⇒ < −
𝐱𝟐 𝟐𝒙
𝟏

Exercice 04 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 𝟏
𝐎𝐧 𝐚 : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ): < −
𝟏
𝟏 𝒙𝟐 𝟐𝒙
g une fonction définit sur 𝑰 = [𝟎; +∞[ par𝐠(𝐱) = 𝟏 − 𝐞− 𝟐𝒙 − 𝒙 𝟏
𝟐
𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+ − = −∞
1) Montrer que g est strictement décroissante sur [𝟎; +∞[ 𝐱→𝟎 𝟐𝒙
𝟏 𝟏
− 𝒙 − 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙 𝟏 𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
2) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎 ; +∞[ ): <− 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 = −∞
𝒙𝟐 𝟐𝒙 𝐱→𝟎+ 𝒙𝟐
𝟏
− 𝒙
𝟏−𝐞 𝟐 −𝒙
et déduire 𝐥𝐢𝐦+
𝐱→𝟎 𝒙𝟐
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Exercice 05 Solution
A) Soit g une fonction définit sur ]𝟎; +∞[par : 𝐠(𝐱) = 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏 A) Soit g une fonction définit sur ]𝟎; +∞[par : 𝐠(𝐱) = 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱)
𝐱→𝟎 𝐱→+∞ 𝐱→𝟎 𝐱→+∞
′(
2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈 𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙) 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐥 𝐧 𝒙 − 𝒙 + 𝟏
𝐱→𝟎+ 𝐱→𝟎
3) Dresser le tableau de variations de g sur ]𝟎; +∞[ =𝟏
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+ − 𝒙 + 𝟏 = 𝟏
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ et interpréter le résultat 𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐱→𝟎
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) + 𝟏
géométriquement 𝐱→+∞
2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞ = +∞
3 )a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒈(𝒙)
𝐞𝒙−𝟏 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝒙
b) Dresser le tableau de variation de f en justifiant votre réponse 2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙)
c) Déterminer l’équation de la tangente (T) de (𝐂𝐟 ) au point 1 f est dérivable sur ]𝟎; +∞[ car c’est une somme de deux fonctions
4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par : 𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏 dérivable sur ]𝟎; +∞[
Le tableau suivant présente les variations de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
𝟏
x 𝟎 +∞ 𝒈′ (𝐱) = 𝟏 × 𝒍𝒏(𝒙) + 𝒙 × − 𝟏 + 𝟎
𝒙
+∞
( )
= 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟏 − 𝟏
𝒉 (𝐱 )
= 𝒍𝒏(𝒙)
−𝟏
Donc : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙)
a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[
𝐡(𝐱)
3) Dresser le tableau de variations de g sur ]𝟎; +∞[
b) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; : 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 On sait que ∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏]; 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟏; +∞[; 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎 ,donc :
𝒙𝟐
c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier que la courbe (𝐂𝐟 ) x 𝟎 1 +∞
admet un point d’inflexion unique au point d’abscisse 1 ′
𝒈 (𝒙) − 0 +
5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le 1
résultat géométriquement 𝒈(𝒙) +∞
6) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 sur un 𝒈(𝟏) = 𝟎
intervalle J à déterminer 4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋) Le nombre 0 est une valeur minimale de la fonction g sur ]𝟎; +∞[
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
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B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ 𝟏
𝐱→𝟎 𝒇′ (𝐱) = × 𝐞𝒙−𝟏 + (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
𝒙
𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+(𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐞𝒙−𝟏
= −∞ = + 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏
𝒙
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏 𝒙 = −∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 > 𝟎 𝐞 𝒙−𝟏
+ 𝒙 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐱 𝐞𝒙−𝟏
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 =
Interpréter le résultat géométriquement 𝒙
𝒙−𝟏
On a : 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎 ; c-à-dire l’axe 𝐞 (𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐱)
𝐱→𝟎 =
𝒙
des ordonnées est une asymptote verticale à la courbe (𝐂𝐟 ) 𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏
2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞ = 𝐞
𝒙
𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 b) Dresser le tableau de variation de f en justifiant votre réponse
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙 𝐞−𝟏 Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[
𝐱→+∞
= +∞ 𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏
𝒙 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞
Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ 𝒙
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐟(𝐱) (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙 Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎
𝐞𝒙 −𝟏
(
= 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 ) 𝐞 D’où la fonction f est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
𝐱→+∞ 𝒙
= +∞ x 𝟎 +∞
𝐞𝒙
Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝒇′ (𝒙) +
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
𝐟(𝐱)
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞ +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
𝒇(𝒙)
Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche parabolique de direction −∞
l’axe des ordonnées au voisinage de +∞
𝒈(𝒙)
c) Déterminer l’équation de la tangente (𝑻) de (𝐂𝐟 ) au point 1
3 )a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏
𝒙 (𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟏)(𝒙 − 𝟏) + 𝒇(𝟏)
La fonction 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏𝒙 − 𝟏 est dérivable sur ]𝟎; +∞[
𝒈(𝟏) 𝟏−𝟏
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐞𝒙−𝟏 est dérivable sur ]𝟎; +∞[ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟏) = 𝐞 =𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟏) = −𝟏
𝟏
Donc la fonction f est dérivable sur l’intervalle ]𝟎; +∞[ car c’est
une somme de deux fonctions dérivables sur ]𝟎; +∞[ 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝑻): 𝒚 = −𝟏
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4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par : 𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏 c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier que la courbe (𝐂𝐟 )
a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ admet un point d’inflexion unique au point d’abscisse 1
𝐡(𝐱) = 𝟐 + 𝒍𝒏𝟏 − 𝟏𝟐 − 𝟏 = 𝟎 ′′ ( )
𝐞𝒙−𝟏 𝒉(𝒙)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 𝐱 = 𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒙𝟐 > 𝟎
On distingue deux cas ; 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] 𝒆𝒕 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ 𝒙𝟐
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] Donc le signe de 𝐟 ′′ est le signe de h sur ]𝟎; +∞[
𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ 𝒙 ≤ 𝟏 𝒆𝒕 𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓𝒊𝒄𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓]𝟎; 𝟏]
d’où le tableau de concavité suivant :
⟹ 𝒉(𝒙) ≤ 𝒉(𝟏)
⟹ 𝒉(𝒙) ≤ 𝟎 x 𝟎 𝟏 +∞
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ 𝒇’’(𝒙) − 𝟎 +
𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ 𝟏 ≤ 𝒙 𝒆𝒕 𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓𝒊𝒄 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓[𝟏; +∞[ La convexité de 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐚𝐯𝐞 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐯𝐞𝐱𝐞
⟹ 𝒉(𝟏) ≤ 𝒉(𝒙) la courbe (𝑪𝒇) ∩ 𝐀(𝟏; 𝟎) ∪

⟹ 𝟎 ≤ 𝒉(𝒙) 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐝 𝐢𝐧𝐟𝐥𝐞𝐱𝐢𝐨𝐧
On dresse le tableau de signe de h sur ]𝟎; +∞[ 𝐝𝐞 (𝑪𝒇)
x 𝟎 𝟏 −∞ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ s’annule et change de signe en 1 donc le point 𝐀(𝟏; 𝟎)
𝒉(𝒙) - 𝟎 + est une point d’inflexion de (𝑪𝒇)
𝐡(𝐱) 5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le
b) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; : 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏
𝒙𝟐 résultat géométriquement
𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙)
′( 𝐟(𝐱) = 𝟎 ⇔ (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 = 𝟎
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 𝐱) =
𝒙 ⇔ 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎
[𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙) + 𝐞𝒙−𝟏 𝒈′ (𝒙)]𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙) ⇔ 𝒍𝒏 𝒙 = 𝟏
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) =
𝒙 ⇔ 𝒙=𝒆
[𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏) + 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏(𝒙)]𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏) Interprétation géométrique
𝐟 ′′ (𝐱) = La courbe (𝑪𝒇) coupe l’axe des abscisses au point 𝐀(𝒆; 𝟎)
𝒙𝟐
𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝟐 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙𝟐 + 𝐱 + 𝐱𝒍𝒏(𝒙) − 𝒙𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 − 𝟏) 6) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 sur un
′′ (
𝐟 𝐱) = intervalle J à déterminer
𝒙𝟐
La fonction f est dérivable sur l’intervalle ]𝟎; +∞[ donc elle est
𝐞𝒙−𝟏 (𝟐𝐱 + 𝐱 𝟐 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏)
′′ (
𝐟 𝐱) = continue sur ]𝟎; +∞[
𝒙𝟐
La fonction f est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
𝐞𝒙−𝟏 𝒉(𝒙) Donc la fonction f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie sur
𝐟 ′′ (𝐱) =
𝒙𝟐 un intervalle J tel que 𝑱 = 𝒇(]𝟎; +∞[) = ]−∞; +∞[
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7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋) Exercice 06
A) Soit g la fonction définit sur ℝ par 𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
(𝐂𝐟 ) ′ (𝐱)
2)Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ; 𝒈 = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
3) Dresser le tableau de variations de g
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
′ (𝐱)
2) a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝐟 = 𝐠(𝐱)
(𝑪𝒇−𝟏 ) b) Dresser le tableau de variation de f
3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
oblique de (𝐂𝐟 ) .au voisinage de +∞
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) par rapport à (∆)
𝐟(𝐱)
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis en déduire la branche
𝐱→−∞ 𝐱
infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de−∞
1 5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique de
𝐞 coordonnées (𝟐; 𝟐)
b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point 2
𝐲=𝐱 6) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique solution
𝛂 dan IR et que : 0 < 𝛂 < 𝟏
7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère (𝑶; 𝒊; 𝒋) ; (On admet que 𝛂 ≈ 𝟎. 𝟑
Solution
A) Soit g la fonction définit sur ℝ par 𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
𝟐−𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞 +𝟏
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝑶𝒏 𝒂: 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − 𝐱 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
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𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 − 𝐱𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏 B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐞𝟐 𝒙 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞
𝟐 𝐱→−∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 − (𝐞 × )+𝟏 𝟐−𝒙
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱 𝐞𝐱 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝟐 = −∞
𝐞 𝟐
𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 − (𝐞 × )+𝟏
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱 𝐞𝐱 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = −∞
𝒙 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝟐−𝒙
=𝟏 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐞 𝟐 𝒙
(𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 =𝟎) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + (𝐞𝟐 × )
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐞 𝐱 𝐱→+∞ 𝐞𝐱
𝟏
𝐞𝐱 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + (𝐞𝟐 × 𝐞𝐱
)
(𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎) 𝐱→+∞
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙
𝒙
= +∞
2)Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ; 𝒈′ (𝐱) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ 𝐞𝐱 𝟏
(𝐂𝐚𝐫 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎)
𝒈′ (𝐱) = −𝟏 × 𝐞𝟐−𝐱 + (𝟏 − 𝒙) × (−𝐞𝟐−𝐱 ) + 𝟎 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
𝒙
= −𝐞𝟐−𝐱 − (𝟏 − 𝒙)𝐞𝟐−𝐱 ′ (𝐱)
2) a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝐟 = 𝐠(𝐱)
= −𝐞𝟐−𝐱 − 𝐞𝟐−𝐱 + 𝐱𝐞𝟐−𝐱
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 est dérivable sur ℝ
= −𝟐𝐞𝟐−𝐱 + 𝐱𝐞𝟐−𝐱
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐞𝟐−𝒙 est dérivable sur ℝ
= (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
Donc la fonction 𝒙 ⟼ 𝒙𝐞𝟐−𝒙 est dérivable sur ℝ
3) Dresser le tableau de variations de g
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 − 𝟐 est dérivable sur ℝ
On a ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟐]; 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟐; +∞[; 𝒙 − 𝟐 ≥ 𝟎 ,donc :
D’où la fonction f est dérivable sur ℝ
x −∞ 2 +∞

𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
𝒈 (𝒙) − 0 +
𝐟 ′ (𝐱) = 𝟏 − 𝟎 + (𝟏 × 𝐞𝟐−𝒙 + 𝒙 × (−𝐞𝟐−𝒙 ))
1 +∞
= 𝟏 + 𝐞𝟐−𝒙 − 𝒙𝐞𝟐−𝒙
𝒈(𝒙)
= 𝐞𝟐−𝐱 (𝟏 − 𝐱) + 𝟏
𝒈(𝟐) = 𝟎
= 𝒈(𝒙)
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
Le nombre 0 est une valeur minimale de la fonction g sur ℝ
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
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b) Dresser le tableau de variation de f b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) par rapport à (∆)
Soit 𝐱 ∈ ℝ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝒈(𝒙) Et comme 𝐞𝟐−𝒙 > 𝟎 donc le signe de 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) est le signe
de x qui s’annule en 0
𝑫′𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
x −∞ 𝟎 +∞
Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎 𝒇(𝒙) − (𝒙 − 𝟐) − 𝟎 +
D’où la fonction f est strictement croissante sur ℝ La position 𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐛𝐞 (𝑪𝒇) 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 (∆) 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧
x −∞ +∞ relative de (𝑪𝒇) 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧 𝐝𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐁(𝟎; −𝟐) 𝐝𝐞𝐬𝐬𝐮𝐬

et la droite (∆) 𝐝𝐞 (∆) 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐝 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐬𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞
𝒇′ (𝒙) + 𝐝𝐞 (𝑪𝒇) 𝐞𝐭 (∆) (∆)
+∞ 4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦
𝐟(𝐱)
= +∞ puis en déduire la branche
𝒇(𝒙) 𝐱→−∞ 𝐱
−∞ infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de−∞
3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote 𝐟(𝐱) 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞ 𝐱→−∞ 𝐱 𝐱→−∞ 𝐱
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 𝟐
𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − + 𝐞𝟐−𝒙
∗ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 − (𝐱 − 𝟐) 𝐱→−∞ 𝐱
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 = +∞
𝐱→+∞
𝒙 𝟐
= 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐 × 𝐱 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱
𝟏 𝐟(𝐱)
= 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐 × 𝐞𝐱 On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝒙
𝒙
Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche parabolique de direction
=𝟎
l’axe des ordonnées au voisinage de −∞
𝐞𝐱 𝟏
(𝐂𝐚𝐫 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎)
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
𝒙
𝐎𝐧 𝐚 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝟎 ;
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐝 𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au
voisinage de +∞
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5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique de 7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère (𝑶; 𝒊; 𝒋) ; (On admet que 𝛂 ≈ 𝟎. 𝟑
coordonnées (𝟐; 𝟐)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝒈′ (𝒙) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
On a ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟐]; 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟐; +∞[; 𝒙 − 𝟐 ≥ 𝟎 ,donc : (𝑪𝒇)
x −∞ 2 +∞
′ (𝑻) 𝑨
𝒇′ (𝒙) − 0 +
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ s’annule et change de signe en 2 donc le point
𝐀(𝟐; 𝒇(𝟐)) c-à-dire 𝐀(𝟐; 𝟐) est une point d’inflexion de (𝑪𝒇)
b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point 2
(𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟐)(𝒙 − 𝟐) + 𝒇(𝟐)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟐) = 𝒈(𝟐) = 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟐) = 𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝑻): 𝒚 = 𝟐
6) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique solution
𝛂 dan IR et que : 0 < 𝛂 < 𝟏
𝑩
 La fonction f est continue sur l’intervalle ℝ
 La fonction f est strictement croissante sur ℝ
 𝑬𝒕 𝒐𝒏𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞ 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒇(ℝ) = ℝ
𝐱→+∞ 𝐱→−∞
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝟎 ∈ 𝒇(ℝ)
D’où l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 dans ℝ
 La fonction f est continue sur l’intervalle [𝟎; 𝟏]
 La fonction f est strictement croissante sur [𝟎; 𝟏]
 𝑬𝒕 𝒐𝒏𝒂 ∶ 𝒇(𝟎) = −𝟐 𝒆𝒕 𝒇(𝟏) = 𝒆 − 𝟐 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒇(𝟎) × 𝒇(𝟏) < 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝜶 ∈ ]𝟎, 𝟏[
Interprétation géométrique
La courbe (𝑪𝒇) coupe l’axe des abscisse en un point unique
d’abscisse 𝜶 tel que 𝜶 ∈ ]𝟎, 𝟏[
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Exercice 07 2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝒙) , puis interpréter
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎
𝒆𝒙
On considère la fonction 𝒇 définie par 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒙 + graphiquement les résultats obtenus.
𝒆𝒙 −𝟏
𝒆𝒙
1) Vérifier que 𝐃𝒇 = ℝ∗ 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟐𝒙 +
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎 𝒆𝒙 −𝟏
2) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦− 𝒇(𝒙) , puis interpréter Tableau de signe de 𝒆𝒙 − 𝟏
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎
graphiquement les résultats obtenus. x −∞ 𝟎 +∞
3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − 𝟐𝒙 , puis interpréter 𝒙
𝒆 −𝟏 − 𝟎 +
𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞
graphiquement les résultats obtenus. Donc 𝐥𝐢𝐦+𝒆𝒙 − 𝟏 = 𝟎+ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦−𝒆𝒙 − 𝟏 = 𝟎−
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎
𝒙
b) Montrer que: 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞. 𝒆 𝟏
𝒙⟶+∞ ∗ 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟐𝒙 + = " " = +∞
c) Montrer que la droite (𝑫) d’équation 𝒚 = 𝟐𝒙 + 𝟏 est une 𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎 𝒆𝒙 − 𝟏 𝟎+
On a : 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = +∞ donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎 ; c-à-dire
asymptote oblique à (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞. 𝐱→𝟎
l’axe des ordonnées est une asymptote verticale à la courbe (𝐂𝐟 )
d) Etudier la position relative de (𝑪𝒇 ) et (𝑫) sur ]𝟎, +∞[
𝒆𝒙 1
4) a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ℝ∗ : 𝒇′ (𝒙) =
𝟐𝒆𝟐𝒙 −𝟓𝒆𝒙 +𝟐 ∗ 𝐥𝐢𝐦−𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦− 𝟐𝒙 + 𝒙 = " - " = −∞
(𝒆𝒙 −𝟏)𝟐
𝒙⟶𝟎 𝒙⟶𝟎 𝒆 −𝟏 0
b) Etudier le signe de 𝒇′ (𝒙) puis dresser le tableau de On a : 𝐥𝐢𝐦−𝐟(𝐱) = −∞ donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎 ; c-à-dire
𝐱→𝟎
variations de la fonction 𝒇 . l’axe des ordonnées est une asymptote verticale à la courbe (𝐂𝐟 )
𝟏
5) Montrer que le point 𝑨(𝟎 ; ) est centre de symétrie de (𝑪𝒇 ) 3) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − 𝟐𝒙 , puis interpréter
𝟐 𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞

6) Construire la courbe (𝑪𝒇 ) dans le repère (𝑶, 𝒊, 𝒋). graphiquement les résultats obtenus.
𝒆𝒙
Solution ∗ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 + 𝒙
𝒆𝒙 𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞ 𝒆 −𝟏
On considère la fonction 𝒇 définie par 𝒇(𝒙) = 𝟐𝒙 + 𝒙 = −∞
𝒆 −𝟏
1) Vérifier que 𝐃𝒇 = ℝ∗ 𝒆𝒙
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝒆𝒙 = 𝟎 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 = −∞
𝒙 ∈ 𝐃𝒇 ⇔ 𝒆𝒙 − 𝟏 ≠ 𝟎 𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞ 𝒆 − 𝟏 𝒙⟶−∞
𝒙
⇔ 𝒆𝒙 ≠ 𝟏 𝒆
∗ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − 𝟐𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 + 𝒙 − 𝟐𝒙
⇔ 𝒍𝒏(𝒆𝒙 ) ≠ 𝒍𝒏(𝟏) 𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞ 𝒆 −𝟏
𝒆𝒙
⇔𝒙≠𝟎 = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 =𝟎
𝒙⟶−∞ 𝒆 − 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝐃𝒇 = ℝ∗
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − 𝟐𝒙 = 𝟎 donc la droite (∆)
𝒙⟶−∞ 𝒙⟶−∞
d’équation 𝒚 = 𝟐𝒙 est asymptote à (𝑪𝒇 ) au voisinage de −∞
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b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞. d) Etudier la position relative de (𝑪𝒇 ) et (𝑫) sur ]𝟎, +∞[
𝒙⟶+∞
𝒆𝒙 𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 + 𝒙 𝒆𝒙
𝒙⟶+∞ 𝒙⟶+∞ 𝒆 −𝟏
𝒇(𝒙) − (𝟐𝒙 + 𝟏) = 𝟐𝒙 + 𝒙 − (𝟐𝒙 + 𝟏)
𝒆𝒙 𝒆 −𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 + 𝟏 𝒆𝒙
𝒙⟶+∞ 𝒆𝒙 (𝟏 − 𝒙)
𝒆 = 𝒙 −𝟏
𝒆 −𝟏
𝟏 𝒆𝒙 − 𝒆𝒙 + 𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 + 𝟏 =
𝒙⟶+∞ 𝟏− 𝒙
𝒆 𝒆𝒙 − 𝟏
= +∞ 𝟏
= 𝒙
𝟏 𝒆 −𝟏
(𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝒆𝒙 = +∞ 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 =𝟎) 𝒙 ∈ ]𝟎, +∞[ ⇒ 𝒙 > 𝟎 ⇒ 𝒆𝒙 > 𝒆𝟎
𝒙⟶+∞ 𝒙⟶+∞ 𝒆𝒙
c) Montrer que la droite (𝑫) d’équation 𝒚 = 𝟐𝒙 + 𝟏 est une ⇒ 𝒆𝒙 > 𝟏 ⇒ 𝒆𝒙 − 𝟏 > 𝟎
𝟏
asymptote oblique à (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞. ⇒ 𝒙 >𝟎
𝒆𝒙 𝒆 −𝟏
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − (𝟐𝒙 + 𝟏) = 𝐥𝐢𝐦 𝟐𝒙 + 𝒙 − (𝟐𝒙 + 𝟏) ⇒ 𝒇(𝒙) − (𝟐𝒙 + 𝟏) > 𝟎
𝒙⟶+∞ 𝒙⟶+∞ 𝒆 −𝟏
𝒆𝒙 Donc sur l’intervalle ]𝟎, +∞[, la courbe (𝑪𝒇 ) est située en dessus
= 𝐥𝐢𝐦 𝒙 −𝟏 de la droite (D)
𝒙⟶+∞ 𝒆 − 𝟏
𝟏 4) a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ℝ∗ : 𝒇′ (𝒙) =
𝟐𝒆𝟐𝒙 −𝟓𝒆𝒙 +𝟐
= 𝐥𝐢𝐦 −𝟏 (𝒆𝒙 −𝟏)𝟐
𝒙⟶+∞ 𝟏 − 𝟏
𝒙
𝒆 𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ℝ∗
=𝟎 𝒆𝒙 (𝒆𝒙 − 𝟏) − (𝒆𝒙 × 𝒆𝒙 )
′ (𝒙)
𝒇 = (𝟐 × 𝟏) +
𝟏 𝟏 (𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐
(𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝒙 = 𝟎 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 =𝟏) 𝒆𝟐𝒙 − 𝒆𝒙 − 𝒆𝟐𝒙
𝒙⟶+∞ 𝒆 𝒙⟶+∞ 𝟏 − 𝟏 ′ (𝒙)
𝒆𝒙
𝒇 =𝟐+
(𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − (𝟐𝒙 + 𝟏) = 𝟎 donc la 𝟐(𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐 − 𝒆𝒙
𝒙⟶+∞ 𝒙⟶−∞
=
droite (𝑫) d’équation 𝒚 = 𝟐𝒙 + 𝟏 est asymptote à (𝑪𝒇 ) au voisinage (𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐
de +∞ 𝟐𝒆𝟐𝒙 − 𝟒𝒆𝒙 + 𝟐 − 𝒆𝒙
=
(𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐
𝟐𝒆𝟐𝒙 − 𝟓𝒆𝒙 + 𝟐
=
(𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐
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b) Etudier le signe de 𝒇′ (𝒙) puis dresser le tableau de 𝟏
5) Montrer que le point 𝑨(𝟎 ; ) est centre de symétrie de (𝑪𝒇 )
𝟐
variations de la fonction 𝒇
Rappel : Le point 𝐀(𝐚, 𝐛) est un centre de symétrie de la courbe

𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ℝ ; (Cf) , ssi , pour tout 𝐱 ∈ 𝐃𝐟 :(𝟐𝐚 − 𝐱) ∈ 𝐃𝐟 e𝐭 𝐟(𝟐𝐚 − 𝐱) + 𝐟(𝐱) = 𝟐𝐛
𝟐𝒙 𝒙
𝟐𝒆 − 𝟓𝒆 + 𝟐 𝟏
𝐎𝐧 : 𝒇′ (𝒙) = 𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 (𝒆𝒙 − 𝟏)𝟐 > 𝟎 Dans notre exercice on a : 𝒂 = 𝟎 et 𝒃 = donc 𝟐𝐚 − 𝐱 = −𝐱
(𝒆𝒙− 𝟏) 𝟐 𝟐

𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ℝ∗ ;
𝒇′ (𝒙) = 𝟎 ⟹ 𝟐𝒆𝟐𝒙 − 𝟓𝒆𝒙 + 𝟐 = 𝟎
𝒙 ∈ ℝ∗ ⇔ 𝒙 ≠ 𝟎
⟹ 𝟐(𝒆𝒙 )𝟐 − 𝟓𝒆𝒙 + 𝟐 = 𝟎
⇔ −𝒙 ≠ 𝟎
On pose 𝑿 = 𝒆𝒙 , 𝒅𝒐𝒏𝒄 ∶
⇔ 𝒙 ∈ ℝ∗
𝒇′ (𝒙) = 𝟎 ⟹ 𝟐(𝑿)𝟐 − 𝟓𝑿 + 𝟐 = 𝟎
𝒆−𝒙 𝒆𝒙
∆= 𝟐𝟓 − 𝟒 × 𝟐 × 𝟐 = 𝟗 ; donc : ∗ 𝒇(−𝒙) + 𝒇(𝒙) = −𝟐𝒙 + −𝒙 + 𝟐𝒙 + 𝒙
𝒆 −𝟏 𝒆 −𝟏
𝟓 + √𝟗 𝟓 − √𝟗 𝒆−𝒙 𝒆𝒙
𝑿= 𝒐𝒖 𝑿= = +
𝟐×𝟐 𝟐×𝟐 𝟏 𝒙
𝒆−𝒙 (𝟏 − ) 𝒆 − 𝟏
𝟏 𝒆−𝒙
𝑿=𝟐 𝒐𝒖 𝑿= 𝟏 𝒆𝒙
𝟐 = + 𝒙
𝟏
𝟏 (𝟏 − ) 𝒆 −𝟏
𝒆 𝒙
=𝟐 𝒐𝒖 𝒆𝒙 = 𝒆−𝒙
𝟐 𝟏 𝒆𝒙
𝟏 = +
𝒙 = 𝒍𝒏(𝟐) 𝒐𝒖 𝒙 = 𝒍𝒏( ) 𝟏 − 𝒆𝒙 𝒆𝒙 − 𝟏
𝟐
−𝟏 𝒆𝒙
𝟏 = 𝒙 +
x −∞ 𝒍𝒏( ) 0 𝒍𝒏(𝟐) +∞ 𝒆 − 𝟏 𝒆𝒙 − 𝟏
𝟐
𝒇′ (𝒙) + 0 − − 0 + 𝒆𝒙 − 𝟏
𝟏 = 𝒙
𝒇 (𝒍𝒏 ) +∞ +∞ 𝒆 −𝟏
𝟐
𝒇(𝒙) =𝟏
−∞ −∞ 𝒇(𝒍𝒏(𝟐)) 𝟏
=𝟐×
𝟐
= 𝟐𝒃
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6) Construire la courbe (𝑪𝒇 ) dans le repère (𝑶, 𝒊, 𝒋). Exercice 08
Soit f une fonction définie par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|)
(𝐂𝐟 ) 1) Déterminer 𝐃𝒇 puis calculer 𝐟(−𝐥𝐧𝟐) ; 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱)
𝐱→+∞ 𝐱→−∞
2) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) puis interpréter le résultat
𝐱→𝟎
géométriquement
𝟐𝐞𝐱 −𝟏
3) Montrer que : ∀𝐱 ∈ 𝐃𝒇 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = , puis dresser le
𝐞𝐱 −𝟏
tableau de variations de la fonction f
4) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝟐𝐱 est asymptote oblique
(∆)
de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) sur ]𝟎 ; +∞[
5) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆′) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote oblique
de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆)′ sur ]−∞; 𝟎[
(𝐃) 6) Monter que l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution
𝛂 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝛂 ∈ ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère orthonormé ( 𝐎; 𝐢; 𝐣)
Solution
𝟏) 𝐱 ∈ 𝐃𝒇 ⟺ |𝐞𝐱 − 𝟏| > 𝟎
⟺ 𝐞𝐱 − 𝟏 ≠ 𝟎 ⟺ 𝐞𝐱 ≠ 𝟏 ⟺ 𝒙 ≠ 𝟎
Donc 𝐃𝒇 = ℝ∗
𝟏
 𝐟(−𝐥𝐧𝟐) = −𝐥𝐧𝟐 + 𝐥𝐧(|𝐞−𝐥𝐧𝟐 − 𝟏|) = −𝐥𝐧𝟐 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐥𝐧𝟐 − 𝟏|)
𝟏 𝟏
= −𝐥𝐧𝟐 + 𝐥𝐧 (| − 𝟏|) = −𝒍𝒏𝟐 + 𝐥𝐧 ( ) = −𝟐𝒍𝒏𝟐
𝟐 𝟐
𝐱
 On a 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 |𝐞 − 𝟏| = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏(𝑿) = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐗→+∞
Donc 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
 On a 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 |𝐞 𝐱 − 𝟏| = 𝟏 car 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
Donc 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = −∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
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2) On a 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝟎 et 𝐥𝐢𝐦|𝐞 𝐱 − 𝟏| = 𝟎+ et 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏(𝑿) = −∞ 4)b) Soit 𝒙 ∈ ]𝟎 ; +∞[
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐗→𝟎
𝟏
 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = −∞ 𝐟(𝐱) − 𝟐𝒙 = 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|)
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐞
Interprétation géométrique : 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
On a : 𝐥𝐢𝐦𝒇(𝒙) = −∞ ; donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎, c-à-dire 𝐱
> 𝟎 ⟺ − 𝐱 < 𝟎 ⟺ 𝟏 − 𝐱 < 𝟏 ⟺ |𝟏 − 𝐱 | < 𝟏
𝒙→𝟎 𝐞 𝐞 𝐞 𝐞
l’axe des ordonnées est une asymptote verticale à la courbe de f 𝟏
⟺ 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) < 𝟎 ⟺ 𝐟(𝐱) − 𝟐𝒙 < 𝟎
3) Soit 𝐱 ∈ ℝ∗ 𝐞
𝐞𝐱 𝟐𝐞𝐱 − 𝟏 𝒖′ Donc (𝐂𝐟 ) est en dessous de la droite (∆)
′ (𝐱)
𝐟 =𝟏+ 𝐱 = 𝐱 𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍: 𝐥𝐧(|𝐮|) = 5)a) On a 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞
𝐞 −𝟏 𝐞 −𝟏 𝐮 𝐱→−∞
Le tableau de variation de f Et 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) − 𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝟏 𝟏
 𝟐𝐞𝐱 − 𝟏 = 𝟎 ⟺ 𝐞 𝐱 = ⟺ 𝒙 = 𝒍𝒏 ( ) ⟺ 𝒙 = −𝒍𝒏(𝟐) Car 𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝐞 = 𝟎
𝟐 𝟐 𝐱→−∞
𝐱
 𝐞 −𝟏=𝟎⟺𝒙=𝟎 Donc 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆′) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au
x −∞ –ln 2 0 +∞
voisinage de −∞
𝟐𝐞𝐱 − 𝟏 − 0 + +
b) Soit 𝒙 ∈ ]−∞; 𝟎[ , donc |𝐞𝐱 − 𝟏| = 𝟏 − 𝐞 𝐱
𝐞𝐱 − 𝟏 + − 0 +

𝒇 (𝒙) + 0 − + 𝐟(𝐱) − 𝒙 = 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) = 𝐥𝐧(𝟏 − 𝐞 𝐱 )
–2ln2 +∞ 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐞𝐱 > 𝟎 ⟺ −𝐞𝐱 < 𝟎 ⟺ 𝟏 − 𝐞 𝐱 < 𝟏 ⟺ 𝐥𝐧(𝟏 − 𝐞 𝐱 ) < 𝟎
𝒇(𝒙) ⟺ 𝐟(𝐱) − 𝒙 < 𝟎
−∞ −∞ −∞ Donc (𝐂𝐟 ) est en dessous de la droite (∆) sur ]−∞; 𝟎[
4)a) On a 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞
𝐱→+∞ (∆′) 6) *f est dérivable
 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) − 𝟐𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 − 𝟏|) − 𝒙
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ sur]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[ donc elle est
𝟏 continue sur ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧 (|𝐞𝐱 (𝟏 − 𝐱 )|) − 𝒙
𝐱→+∞ 𝐞 *f est strictement
𝟏
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧(|𝐞𝐱 |) + 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) − 𝒙 croissante sur ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
𝐱→+∞ 𝐞
𝟏 𝒇(]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[ = ]−∞; 𝐥𝐧(𝟐)[
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 + 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) − 𝒙 (∆) *Donc 𝟎 ∈ 𝒇(]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
𝐱→+∞ 𝐞
𝟏 𝟏 (Cf) D’où 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une
= 𝐥𝐢𝐦 𝐥𝐧 (|(𝟏 − 𝐱 )|) = 𝒍𝒏(𝟏) = 𝟎 ; car 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐱→+∞ 𝐞 𝐱→+∞ 𝐞𝐱 unique solution
Donc 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝟐𝐱 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au 𝛂 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 𝛂 ∈ ]𝟎; 𝐥𝐧(𝟐)[
voisinage de +∞
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Equations différentielles de premier ordre : 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃 Equations différentielles du second ordre : 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
1) L’équation (E) ; 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃 tel que a et b deux constantes 1) L’équation (𝑬): 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎 tel que a et b deux
réelles est appelée équation différentielle linéaire d’ordre1 ; constantes réelles est appelée équation différentielle
ou y est la fonction inconnue et 𝒚’ sa fonction dérivée linéaire du second ordre ou y est la fonction inconnue et y’
2) On appelle solution de l’équation (E) , toute fonction f qui sa dérivée première et y’’ sa dérivée d’ordre 2

vérifie 𝒇 (𝒙) = 𝒂𝒇(𝒙) + 𝒃 2) L’équation 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 s’appelle l’équation
Résolution de l’équation : (E) ; 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃 caractéristique associée à l’équation (𝑬): 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
1) Les solutions de l’équation 𝒚′ = 𝒂𝒚 Résolution de : (E) ; 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
sont les fonctions y définies sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = 𝒌𝒆𝒂𝒙 Soit ∆ le discriminant de L’équation caractéristique
ou k est une constante réelle 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , associée à (𝑬): 𝒚′′ + 𝒂𝒚′ + 𝒃𝒚 = 𝟎
2) Les solutions de l’équation 𝒚′ = 𝒂𝒚 + 𝒃  Cas 01 ; ∆> 𝟎
𝒃
𝒂𝒙
sont les fonctions y définies sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = 𝒌𝒆 − L’équation caractéristique
𝒂
ou k est une constante 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , admet deux solutions réelles 𝒓𝟏 et 𝒓𝟐
3) Soient 𝒙𝟎 ∈ ℝ et 𝒚𝟎 ∈ ℝ Donc les solutions de l’équation (E) sont les fonctions y
Il existe une solution unique y de (E) qui vérifie 𝒚(𝒙𝟎 ) = 𝒚𝟎 définie sur ℝ par :
Exemple 𝒚(𝒙) = 𝜶𝒆𝒓𝟏 𝒙 + 𝜷𝒆𝒓𝟐 𝒙 ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
1) Résoudre dans ℝ l’équation différentielle suivantes :  Cas 02 ; ∆= 𝟎
(𝐄𝟏 ); 𝐲′ + 𝟐𝐲 = 𝟑 L’équation caractéristique
𝐲 ′ + 𝟐𝐲 = 𝟑 ⟺ 𝐲 ′ = −𝟐𝐲 + 𝟑
𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , admet une solution réelle unique 𝒓𝟎
La solution générale de l’équation (𝐄𝟏 );
sont les fonction y définie sur ℝ par : Donc les solutions de l’équation (E) ; sont les fonctions y
𝟑 définie sur ℝ par :
𝒚(𝒙) = 𝒌𝒆−𝟐𝒙 + ou k est une constante
𝟐 𝒚(𝒙) = (𝜶𝒙 + 𝜷)𝒆𝒓𝟎 𝒙 ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
2) Déterminer la solution 𝒇 de (𝐄𝟏 ) qui vérifie 𝒇(𝟏) = 𝟐
𝟑  Cas 03 ; ∆< 𝟎
−𝟐
𝒇(𝟏) = 𝟓 ⟺ 𝒌𝒆 + = 𝟓 L’équation caractéristique
𝟐
𝟐
−𝟐
𝟕 𝟕𝒆 𝒓𝟐 + 𝒂𝒓 + 𝒃 = 𝟎 , admet deux solutions complexes
⟺ 𝒌𝒆 = ⟺ 𝒌 =
𝟐 𝟐 𝒛𝟏 = 𝒑 + 𝒊𝒒 et 𝒛𝟐 = ̅̅̅
𝒛𝟏
𝟕 𝟐 −𝟐𝒙 𝟑 𝟕 −𝟐𝒙+𝟐 𝟑 Donc les solutions de l’équation (E) ; sont les fonctions y
𝐃𝐨𝐧𝐜 ; 𝒇(𝒙) = 𝒆 𝒆 + = 𝒆 +
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 définie sur ℝ par :
𝒚(𝒙) = (𝜶𝒄𝒐𝒔(𝒒𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝒒𝒙))𝒆𝒑 𝒙 𝒐𝒖 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
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Exercice 01 2) L’équation caractéristique associée à(𝐄𝟐 ) est 𝒓𝟐 − 𝟔𝒓 + 𝟗 = 𝟎
1) a) Résoudre dans ℝ l’équation différentielle On a ∆= 𝟔𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟗 = 𝟎
(𝐄𝟏 ); 𝐲 ′′ − 𝟑𝐲′ + 𝟐𝐲 = 𝟎 Donc l’équation caractéristique 𝒓𝟐 − 𝟔𝒓 + 𝟗 = 𝟎 , admet une
b) Déterminer la fonction 𝐟 solution de (𝐄𝟑 ) qui vérifie solution réel unique 𝒓𝟎 =
𝟔
=𝟑
𝟐×𝟏
𝐟(𝟎) = 𝟑 𝐞𝐭 𝐟 ′ (𝟎) = 𝟖
Et par suite les solutions de l’équation (𝐄𝟐 ) sont les fonctions y
2)a) Résoudre dans ℝ l’équation différentielle
définie sur ℝ par :
(𝐄𝟐 ); 𝐲 ′′ − 𝟔𝐲′ + 𝟗𝐲 = 𝟎
𝒚(𝒙) = (𝜶𝒙 + 𝜷)𝒆𝟑 𝒙 ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
b) Déterminer la fonction 𝐟 solution de (𝐄𝟐 ) qui vérifie
b) On a f(𝒙) = (𝜶𝒙 + 𝜷)𝒆𝟑 𝒙 ; 𝜶 ; 𝜷 ∈ ℝ
𝐟(𝟎) = −𝟏 𝐞𝐭 𝐟 ′ (𝟎) = 𝟓
Déterminons 𝜶 𝒆𝒕 𝜷 tels que 𝐟(𝟎) = −𝟏 𝐞𝐭 𝐟 ′ (𝟎) = 𝟓
3)a) Résoudre dans IR l’équation différentielle
On a ; f′(𝒙) = 𝜶𝒆 𝟑𝒙 + 𝟑(𝜶𝒙 + 𝜷)𝒆𝟑 𝒙 ; 𝜶 ; 𝜷 ∈ ℝ
(𝐄𝟑 ); 𝐲 ′′ − 𝟐𝐲′ + 𝟓𝐲 = 𝟎
𝒇(𝟎) = 𝟏 𝜷 = −𝟏
b) Déterminer la fonction 𝐟 solution de (𝐄𝟐 ) qui vérifie { ′ ⟺{
𝐟 (𝟎) = 𝟖 𝜶 + 𝟑𝜷 = 𝟓
𝐟(𝟎) = 𝟓 𝐞𝐭 𝐟 ′ (𝟎) = 𝟗 𝜷 = −𝟏 𝜷 = −𝟏
Solution ⟺{ ⟺{
𝜶−𝟑=𝟓 𝜶=𝟖
1) L’équation caractéristique associée à (𝐄𝟏 ) est 𝒓𝟐 − 𝟑𝒓 + 𝟐 = 𝟎 D’où f(𝒙) = (𝟖𝒙 − 𝟏)𝒆 𝟑𝒙

On a ∆= 𝟑𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟐 = 𝟏 > 𝟎 3) L’équation caractéristique associée à (𝐄𝟑 )est 𝒓𝟐 − 𝟐𝒓 + 𝟓 = 𝟎


Donc l’équation caractéristique 𝒓𝟐 − 𝟑𝒓 + 𝟐 = 𝟎 , admet deux On a ∆= 𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟓 = −𝟏𝟔 < 𝟎
solutions réelles sont 𝒓𝟏 =
𝟑−√𝟏
= 𝟏 et 𝒓𝟐 =
𝟑+√𝟏
=𝟐 Donc l’équation caractéristique 𝒓𝟐 − 𝟐𝒓 + 𝟑 = 𝟎 , admet deux
𝟐×𝟏 𝟐×𝟏
𝟐+𝒊√𝟏𝟔
Et par suite les solutions de l’équation (𝐄𝟏 )sont les fonctions y solutions complexes sont 𝒛𝟏 = = 𝟏 + 𝟐𝒊 et 𝒛𝟐 = ̅̅̅
𝒛𝟏
𝟐×𝟏
définie sur ℝ par : Donc les solutions de l’équation (𝐄𝟑 )sont les fonctions y définie
𝒚(𝒙) = 𝜶𝒆 𝒙 + 𝜷𝒆𝟐 𝒙 . ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = (𝜶𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟐𝒙))𝒆𝟏× 𝒙 𝒐𝒖 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ
b) On a f(𝒙) = 𝜶𝒆 𝒙 + 𝜷𝒆𝟐 𝒙 ; 𝜶 ; 𝜷 ∈ ℝ b) On a 𝒇(𝒙) = (𝜶 𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟐𝒙))𝒆 𝒙 ; 𝜶 ; 𝜷 ∈ ℝ
Déterminons 𝜶 𝒆𝒕 𝜷 tels que 𝐟(𝟎) = 𝟑 𝐞𝐭 𝐟 ′ (𝟎) = 𝟖 Déterminons 𝜶 𝒆𝒕 𝜷 tels que 𝐟(𝟎) = 𝟓 𝐞𝐭 𝐟 ′ (𝟎) = 𝟗
On a ; f′(𝒙) = 𝜶𝒆 𝒙 + 𝟐𝜷𝒆𝟐 𝒙 ; 𝜶 ; 𝜷 ∈ ℝ 𝒇′ = (−𝟐𝜶𝒔𝒊𝒏(𝟐𝒙) + 𝟐𝜷𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙))𝒆 𝒙 + (𝜶 𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟐𝒙))𝒆 𝒙
𝒇(𝟎) = 𝟑 𝜶+𝜷 =𝟑 𝒇(𝟎) = 𝟓 𝜶=𝟓
{ ′ ⟺{ { ′ ⟺{
𝐟 (𝟎) = 𝟖 𝜶 + 𝟐𝜷 = 𝟖 𝐟 (𝟎) = 𝟗 𝟐𝜷 + 𝜶 = 𝟗
𝜶+𝜷 =𝟑 𝜶 = −𝟐 𝜶=𝟑 𝜶=𝟓
⟺{ ⟺{ ⟺{ ⟺{
𝜷 = 𝟓 ; (𝑳𝟐 − 𝑳𝟏 ) 𝜷=𝟓 𝟐𝜷 + 𝟓 = 𝟗 𝜷=𝟐
𝒙 𝟐𝒙
D’où f(𝒙) = −𝟐𝒆 + 𝟓𝒆 D’où 𝒇(𝒙) = (𝟓 𝒄𝒐𝒔(𝟐𝒙) + 𝟐𝒔𝒊𝒏(𝟐𝒙))𝒆 𝒙
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𝟏
I) Intégrale d’une fonction continue sur un intervalle : 5) 𝐟(𝐱) = √𝐱 = 𝐱 𝟐
Activité 01 (Rappels sur les primitives ): 𝟏
+𝟏
𝐱𝟐
Déterminer les primitive 𝐅 de la fonction 𝐟 sur l'intervalle I. donc 𝐅(𝐱) = 𝟏 +𝐂
𝟑 +𝟏
𝟐
1) 𝐟(𝐱) = 𝐱 𝟑 − 𝟐𝐱 sur 𝐈 = ℝ ; 2) 𝐟(𝐱) = 𝟑𝐱 𝟐 − sur 𝐈 = ]𝟎 ; +∞[ 𝟐
𝐱𝟐
𝐱𝟑 𝟐
𝟐 𝟐𝐱 𝟑 +𝐱 = + 𝐂 = √𝐱 𝟑 + 𝐂
3) 𝐟(𝐱) = (𝟐𝐱 − 𝟓)(𝐱 − 𝟓𝐱 + 𝟒) ; 4) 𝐟(𝐱) = sur 𝐈 = ℝ 𝟐
𝟑
𝟑
√𝐱 𝟒 +𝐱 𝟐 +𝟏

5) 𝐟(𝐱) = √𝐱 ; sur 𝐈 = ℝ+ ; 6) 𝐟(𝐱) = 𝐜𝐨𝐬(𝐱) 𝐬𝐢𝐧𝟐 (𝐱) ; sur 𝐈 = ℝ 6) 𝐟(𝐱) = 𝐜𝐨𝐬(𝐱) 𝐬𝐢𝐧𝟐 (𝐱)
7) 𝐟(𝐱) = 𝐜𝐨𝐬 𝟑 (𝐱) , sur 𝐈 = ℝ ;8) 𝐟(𝐱) =
𝐱
]−𝟐 ; +∞[ de type 𝐮′𝐮𝟐 avec 𝐮(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧(𝐱) → 𝐮′ (𝐱) = 𝐜𝐨𝐬 𝐱
𝟒 sur 𝐈 = (𝐱+𝟐) 𝟏
𝟔 Une primitive de 𝐮′𝐮𝟐 est de la forme 𝐮𝟑 .
9) 𝐟(𝐱) = 𝐱(𝐱 + 𝟐) ; sur 𝐈 = ℝ 𝟑
𝟏
Solution D’où 𝐅(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧𝟑 (𝐱) + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ
𝟑
1) 𝐟(𝐱) = 𝐱 𝟑 − 𝟐𝐱 ; 7) 𝐟(𝐱) = 𝐜𝐨𝐬 𝟑 (𝐱)
= 𝐜𝐨𝐬(𝐱)𝐜𝐨𝐬 𝟐 (𝐱)
𝟏
𝐅(𝐱) = 𝐱 𝟒 − 𝐱 𝟐 + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ, = 𝐜𝐨𝐬(𝐱)(𝟏 − 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝐱 ) = 𝐜𝐨𝐬 𝐱 − 𝐜𝐨𝐬𝐱 𝐬𝐢𝐧𝟐 𝐱
𝟒
𝟏
2) 𝐟(𝐱) = 𝟑𝐱 𝟐 −
𝟑
= 𝟑𝐱 𝟐 − 𝟑 ×
𝟏 Une primitive de 𝐮′𝐮𝟐 est de la forme 𝐮𝟑 .
𝐱𝟐 𝐱𝟐 𝟑
𝟏 𝟑 (𝐱)
Donc 𝐅(𝐱) = 𝐱 𝟑 − 𝟑 × (− ) + 𝐂
𝟏 D’où 𝐅(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧 𝐱 − 𝐬𝐢𝐧 + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ
𝟑
𝐱 𝐱
𝟑 𝟑 8) 𝐟(𝐱) = (𝐱+𝟐)𝟒
= 𝐱 + + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ,
𝐱
𝐱+𝟐 𝟐
3) 𝐟(𝐱) = (𝟐𝐱 − 𝟓)(𝐱 𝟐 − 𝟓𝐱 + 𝟒) = (𝐱+𝟐)𝟒 − (𝐱+𝟐)𝟒
de type 𝐮′𝐮 avec 𝐮(𝐱) = 𝐱 𝟐 − 𝟓𝐱 + 𝟒 → 𝐮′ (𝐱) = 𝟐𝐱 − 𝟓 =
𝟏 𝟐
− (𝐱+𝟐)𝟒
𝟏 (𝐱+𝟐)𝟑
Une primitive de 𝐮′𝐮 est de la forme 𝐮𝟐
𝟐 = (𝐱 + 𝟐)−𝟑 − 𝟐(𝐱 + 𝟐)−𝟒
𝟏
Donc 𝐅(𝐱) = (𝐱 𝟐 − 𝟓𝐱 + 𝟒)𝟐 + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ, Une primitive de 𝐮′𝐮𝐧 est de la forme
𝟏
𝐮𝐧+𝟏
𝟐
𝐧+𝟏
𝟐𝐱 𝟑 +𝐱 𝟏 𝟒𝐱 𝟑 +𝟐𝐱 𝐮′ 𝟏 𝟏
4) 𝐟(𝐱) = = × de type 𝐅(𝐱) = (𝐱 + 𝟐)−𝟐 − 𝟐 × (𝐱 + 𝟐)−𝟑 + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ,
√𝐱 𝟒 +𝐱 𝟐 +𝟏 𝟐 √𝐱 𝟒 +𝐱 𝟐 +𝟏 √𝐮 −𝟐 −𝟐
𝟏 𝟏
avec 𝐮(𝐱) = 𝐱 𝟒 + 𝐱 𝟐 + 𝟏 → 𝐮′ (𝐱) = 𝟒𝐱 𝟑 + 𝟐𝐱 𝐅(𝐱) = − + (𝐱+𝟐)𝟑 + 𝐜 , avec 𝐂 ∈ ℝ,
𝟐(𝐱+𝟐)𝟐
𝐮′
Une primitive de est de la forme 𝟐√𝐮 9) 𝐟(𝐱) = 𝐱(𝐱 + 𝟐)𝟔 = [(𝐱 + 𝟐) − 𝟐](𝐱 + 𝟐)𝟔
√𝐮
𝟏
𝐅(𝐱) = × 𝟐√𝐱 𝟒 + 𝐱 𝟐 + 𝟏 + 𝐂 = √𝐱 𝟒 + 𝐱 𝟐 + 𝟏 + 𝐂 . avec 𝐂 ∈ ℝ, = (𝐱 + 𝟐)𝟕 − 𝟐(𝐱 + 𝟐)𝟔
𝟐 𝟏 𝟐
𝐅(𝐱) = (𝐱 + 𝟐)𝟖 − (𝐱 + 𝟐)𝟕 + 𝐂 , avec 𝐂 ∈ ℝ
𝟖 𝟕
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Activité 2 : 𝟏 𝟏
∫ √𝐱 + 𝟏𝐝𝐱 = ∫ (𝐱 + 𝟏)′ √𝐱 + 𝟏𝐝𝐱
Soit 𝐟 la fonction numérique d’une variable réelle définie par : 𝟎 𝟎
𝐟(𝐱) = 𝟑𝐱 𝟐 − 𝟏 𝟏 𝟏
(𝐱 ′ (𝐱
1) Déterminer deux primitives 𝐅 𝐞𝐭 𝐆 de la fonction 𝐟 sur ℝ = ∫ + 𝟏) + 𝟏) 𝟐 𝐝𝐱
𝟎
2) Calculer 𝐅(𝟐) − 𝐅(𝟎) 𝐞𝐭 𝐆(𝟐) − 𝐆(𝟎) ; Que constate-t-on ? 𝟐 𝟏
3) Soient 𝐚 𝐞𝐭 𝐛 deux nombres réels. Calculer en fonction de 𝐚 et = [ √(𝐱 + 𝟏) ] 𝟑
𝟑 𝟎
𝐛 les nombres 𝐅(𝐛) − 𝐅(𝐚), 𝐆(𝐛) − 𝐆(𝐚) Que constate-t-on ? 𝟐
= (√𝟖 − 𝟏)
** Le nombre 𝐅(𝐛) − 𝐅(𝐚) ne dépend pas de choix d’une 𝟑

primitive de la fonction 𝐟 Remarques :


𝐛
Le nombre 𝐅(𝐛) − 𝐅(𝐚) s’appelle intégrale de la fonction 𝐟 de 𝐚 à Dans l’écriture ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 , 𝐱 est une variable muette, on peut la
𝐛
𝐛 elle est notée ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 remplacer par n’importe quelle autre lettre.
𝐛 𝐛 𝐛
1) Définition :
∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 = ∫ 𝐟(𝐲)𝐝𝐲 = ∫ 𝐟(𝐭)𝐝𝐭
Soit 𝐟 une fonction continue sur un intervalle [𝐚, 𝐛] et 𝐅 une 𝐚 𝐚 𝐚
primitive de 𝐟 sur [𝐚, 𝐛] Résultat :
Le nombre 𝐅(𝐛) − 𝐅(𝐚) s’appelle intégrale de 𝐟 de 𝐚 à 𝐛 Soit 𝐟 une fonction continue sur un intervalle 𝐈. Alors on a pour
On écrit : tous 𝐚, 𝐛 𝐞𝐭 𝐜 𝐝𝐞 𝐈 ∶
𝐛 𝐚 𝐛 𝐚
 ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 = − ∫𝐛 𝐟(𝐱)𝐝𝐱
∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 = [𝐅(𝐱)]𝐛𝐚 = 𝐅(𝐛) − 𝐅(𝐚)
𝐛
𝐚  ∫𝐚 𝐟′(𝐱)𝐝𝐱 = [𝐟(𝐱)]𝐛𝐚 = 𝐟(𝐛) − 𝐟(𝐚)
Exemple :
𝒆𝟏 2) Relation de CHLES
1) Calculons l’intégrales suivante : ∫𝟏 𝒅𝒙 𝐛 𝐜 𝐛
𝒙  ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 = ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 + ∫𝐜 𝐟(𝐱)𝐝𝐱
En utilisant la fonction primitive on obtient :
𝒆 Exemple :
𝟏 𝟐 𝟎 𝟐
∫ 𝒅𝒙
𝟏 𝒙 ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 = ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 + ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱
= [𝐥 𝐧(𝒙)]𝒆𝟏 −𝟑 −𝟑
𝟎 𝟐
𝟎

= 𝒍𝒏(𝒆) − 𝐥𝐧(𝟏) = ∫ −𝐱𝐝𝐱 + ∫ 𝐱𝐝𝐱


=𝟏−𝟎=𝟎 −𝟑 𝟎
𝟐 𝟎 𝟐
𝟏
2) Calculons l’intégrales suivante : ∫𝟎 √𝐱 + 𝟏𝐝𝐱 𝐱 𝐱𝟐 𝟏𝟑
= [− ] + [− ] =
𝟐 −𝟑 𝟐 𝟎 𝟐
En utilisant la fonction primitive on obtient :
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𝛑
Exercice 01 𝟒
Calculer les intégrales suivantes : 𝐂 = ∫ 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝐝𝐱
𝛑 𝟎
𝟏 𝐞𝟒
−𝒙
𝐥𝐧(𝐱) 𝟒 𝛑
𝟏
𝛑
𝑨 = ∫ 𝒆 𝐝𝐱 ; 𝐁=∫ 𝐝𝐱 ; 𝐂 = ∫ 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝐝𝐱 𝟒
𝑪 = ∫ 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝐝𝐱 = [ 𝐬𝐢 𝐧(𝟐𝒙)]
𝟒

𝟎 𝐞𝟐 𝐱 𝟎 𝟐
𝟎 𝟎
𝟒 𝟓
𝟑 𝟏 𝛑 𝟏 𝟏
𝑫 = ∫ 𝟐 𝒅𝒙 ; 𝑬 = ∫ 𝟑𝒙𝟐 + 𝟒𝒙 − 𝟓 𝒅𝒙 = 𝐬𝐢 𝐧 ( ) − ( 𝐬𝐢 𝐧(𝟎)) =
𝟏 𝒙 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 𝟏 𝐥𝐧(𝟐) 𝟒
−𝟐𝒙
𝒆𝒙 𝟑
𝑭=∫ 𝒆 𝒅𝒙 ; 𝑮=∫ 𝒙 𝒅𝒙 ; 𝑯 = ∫ |𝒆𝒙 − 𝟏|𝐝𝐱 𝑫 = ∫ 𝟐 𝒅𝒙
−𝟏 𝟎 𝒆 + 𝟑 −𝐥𝐧(𝟐) 𝟏 𝒙
Solution 𝟒
𝟑 𝟑𝟒 𝟑 𝟑 𝟗
𝟏 𝑫 = ∫ 𝟐 𝒅𝒙 = [− ] = − − (− ) =
𝟏 𝒙 𝒙𝟏 𝟒 𝟏 𝟒
𝑨 = ∫ 𝒆−𝒙 𝐝𝐱 𝟓
𝟎
𝑬 = ∫ 𝟑𝒙𝟐 + 𝟒𝒙 − 𝟓 𝒅𝒙
= [−𝒆−𝒙 ]𝟏𝟎 𝟐
𝟏 = [𝒙𝟑 + 𝟐𝒙𝟐 − 𝟓𝒙]𝟓𝟐
= −𝒆−𝟏 + 𝒆−𝟎 =𝟏−
𝒆 = 𝟓𝟑 + 𝟐 × 𝟓𝟐 − 𝟓 × 𝟓 − (𝟐𝟑 + 𝟐 × 𝟐𝟐 − 𝟓 × 𝟐) = 𝟏𝟒𝟒
𝐞𝟒
𝐥𝐧(𝐱) 𝟏
𝐁=∫ 𝐝𝐱 𝑭 = ∫ 𝒆−𝟐𝒙 𝒅𝒙
𝐞𝟐 𝐱
−𝟏
𝐞𝟒 𝐞𝟒
𝐥𝐧(𝐱) 𝟏 𝟏
𝟏 −𝟐𝒙 𝟏
∫ 𝐝𝐱 = ∫ × 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝑭=∫ 𝒆 −𝟐𝒙
𝒅𝒙 = [ 𝒆 ]
𝐞𝟐 𝐱 𝐞𝟐 𝐱 −𝟏 −𝟐 −𝟏
𝐞𝟒 𝟏 −𝟐×𝟏 𝟏 −𝟐×(−𝟏)
= ∫ (𝐥𝐧 𝐱)′ 𝐥𝐧 𝐱 𝐝𝐱 = 𝒆 − 𝒆
𝐞𝟐
−𝟐 −𝟐
𝐞𝟒
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
(𝐥𝐧 𝐱)𝟐 = − 𝒆−𝟐 + 𝒆𝟐 = (𝒆𝟐 − 𝟐 )
=[ ] 𝟐 𝟐 𝟐 𝒆
𝟐 𝐞𝟐
𝟏
𝒆𝒙
𝑮=∫ 𝒙 𝒅𝒙
(𝐥𝐧 𝐞𝟒 )𝟐 (𝐥𝐧 𝐞𝟐 )𝟐 𝟎 𝒆 +𝟑
= −
𝟐 𝟐 = [𝐥𝐧(𝒆𝒙 + 𝟑)]𝟏𝟎
(𝟒𝐥𝐧 𝐞)𝟐 (𝟐𝐥𝐧 𝐞)𝟐 = 𝐥𝐧(𝒆𝟏 + 𝟑) − 𝐥𝐧(𝒆𝟎 + 𝟑)
= −
𝟐 𝟐 = 𝐥𝐧(𝒆 + 𝟑) − 𝐥𝐧(𝟒)
𝟏𝟔 𝟒 𝒆+𝟑
= − =𝟔 = 𝐥𝐧
𝟐 𝟐 𝟒
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𝐥𝐧(𝟐) 𝐥𝐧(𝟐)
3) Propriété : (Linéarité) : 𝐞𝐭 + 𝟏
=∫ 𝐝𝐭 = ∫ 𝟏 𝐝𝐭 = [𝐱]𝐥𝐧 𝟐
= 𝐥𝐧(𝟐)
𝐟 et 𝐠 deux fonctions continues sur l’intervalle [𝐚, 𝐛] et 𝛌 ∈ ℝ 𝟎
𝐭
𝐞 +𝟏 𝟎
𝟎
𝐛 𝐛 𝐛
On a ;
∫ (𝐟(𝐱) + 𝐠(𝐱))𝐝𝐱 = ∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 + ∫ 𝐠(𝐱)𝐝𝐱
𝐚 𝐚 𝐚 𝐊 + 𝟐𝐋 = 𝐥𝐧(𝟐) 𝐊 + 𝟐𝐋 = 𝐥𝐧(𝟐)
{ ⇔{
𝐛 𝐛 𝑲 + 𝑳 = 𝒍𝒏(𝟑) − 𝒍𝒏(𝟐) 𝑳 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑) ; (𝑳𝟏 − 𝑳𝟐 )
∫ 𝐤𝐟(𝐱)𝐝𝐱 = 𝐤 ∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 𝐊 + 𝟐(𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑)) = 𝐥𝐧(𝟐)
{ 𝐚 𝐚 ⇔{
Exemples : 𝑳 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑)
𝛑 𝛑 𝐊 = 𝟐𝐥𝐧(𝟑) − 𝟑𝐥𝐧(𝟐)
On pose 𝐈 = ∫𝟎 𝐬𝐢𝐧𝟐 (𝐱) 𝐝𝐱 𝐞𝐭 𝐉 = ∫𝟎 𝐜𝐨𝐬𝟐 (𝐱) 𝐝𝐱 Calculons 𝐈 + 𝐉 ⇔{
𝛑 𝛑
𝑳 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑)
𝛑 𝛑
𝟐 (𝐱) 𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝐈 + 𝐉 = ∫ 𝐬𝐢𝐧 𝐝𝐱 + ∫ 𝐜𝐨𝐬 𝟐 (𝐱) 𝐝𝐱 2) On pose : 𝐈 = ∫𝟎𝟑 𝐝𝐱 et 𝐉 = ∫𝟎𝟑 𝐝𝐱
𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱
𝟎 𝟎
𝛑 𝛑 Calculer 𝐈 + 𝐉 et 𝐈 − 𝐉 puis en déduire les valeurs de I et J
= ∫ 𝐬𝐢𝐧 𝟐 (𝐱)
+ 𝐜𝐨𝐬 𝟐 (𝐱)
𝐝𝐱 = ∫ 𝟏 𝐝𝐱 = [𝐱]𝛑𝟎 = 𝛑 𝛑
𝟑𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝟑 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝛑

𝟎 𝟎 𝐈+𝐉=∫ 𝐝𝐱 + ∫ 𝐝𝐱
Exercice 02 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱
𝛑 𝛑
𝐥𝐧(𝟐) 𝐞𝐭 −𝟏 𝐥𝐧(𝟐) 𝟏 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧 𝐱 𝛑
𝛑
1) On pose : 𝐊 = ∫𝟎 𝐝𝐭 𝐞𝐭 𝐋 = ∫𝟎 𝐝𝐭 =∫
𝟑 𝟑
𝐝𝐱 = ∫ 𝟏 𝐝𝐱 = [𝐱]𝟎𝟑 =
𝐞𝐭 +𝟏 𝐞𝐭 +𝟏
𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝟑
Calculer 𝐊 + 𝐋 𝐞𝐭 𝐊 + 𝟐𝐋 puis en déduire les valeurs de 𝐊 𝐞𝐭 𝐋 𝛑 𝛑
𝛑
𝐜𝐨𝐬 𝐱
𝛑
𝐬𝐢𝐧 𝐱 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝟑 𝐬𝐢𝐧 𝐱
2) On pose : 𝐈 = ∫𝟎 𝟑 𝐝𝐱 et 𝐉 = ∫𝟎 𝟑 𝐝𝐱 𝐈−𝐉=∫ 𝐝𝐱 − ∫ 𝐝𝐱
𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱
𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱
Calculer 𝐈 + 𝐉 et 𝐈 − 𝐉 puis en déduire les valeurs de I et J 𝛑 𝛑
𝐜𝐨𝐬 𝐱 − 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝟑 𝟑 (𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧 𝐱)′
Solution =∫ 𝐝𝐱 = ∫ 𝐝𝐱
𝐥𝐧(𝟐) 𝐭 𝐥𝐧(𝟐) 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱
𝐞 −𝟏 𝟏
𝟏) 𝐊 + 𝐋 = ∫ 𝐝𝐭 + ∫ 𝐝𝐭 𝟏 √𝟑
𝛑

𝟎 𝐞𝐭 + 𝟏 𝟎 𝐞𝐭 + 𝟏 = [𝐥𝐧(𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱)]𝟎 = 𝒍𝒏( + ) 𝟑

𝐥𝐧(𝟐) 𝐭 𝟐 𝟐
𝐞 −𝟏 𝟏 𝛑 𝛑
=∫ + 𝐝𝐭 𝐈+𝐉= 𝐈+𝐉=
𝟎 𝐞𝐭 + 𝟏 𝐞𝐭 + 𝟏 𝟑 𝟑
𝐥𝐧(𝟐) { ⇔{
𝐞𝐭 𝟏 √𝟑 𝛑 𝟏 √𝟑
=∫ 𝐝𝐭 = [𝐥𝐧(𝐞𝐭 + 𝟏)]𝐥𝐧 𝟎
𝟐
= 𝐥𝐧(𝟑) − 𝐥𝐧(𝟐) 𝐈 − 𝐉 = 𝒍𝒏( + ) 𝟐𝑰 = + 𝒍𝒏( + ) ; (𝑳𝟏 + 𝑳𝟐 )
𝟎
𝐭
𝐞 +𝟏 𝟐 𝟐 𝟑 𝟐 𝟐
𝐥𝐧(𝟐) 𝐭 𝐥𝐧(𝟐) 𝛑 𝟏 √𝟑
𝐞 −𝟏 𝟏 𝐈= −𝑱 𝛑 𝒍𝒏 ( + )
𝐊 + 𝟐𝐋 = ∫ 𝐭+𝟏
𝐝𝐭 + 𝟐 ∫ 𝐭+𝟏
𝐝𝐭 𝟑 𝐈 = − 𝟐 𝟐
𝟎 𝐞 𝟎 𝐞 𝟐 𝟐
⇔ 𝟏 √𝟑 ⇔
𝐥𝐧(𝟐)
𝐞𝐭 − 𝟏 𝟐 𝛑 𝒍𝒏 ( + ) 𝟏 √𝟑
=∫ + 𝐝𝐭 𝑰= + 𝟐 𝟐 𝛑 𝒍𝒏 (𝟐 + 𝟐 )
𝟎 𝐞𝐭 + 𝟏 𝐞𝐭 + 𝟏 { 𝟔 𝟐 {𝑰 = 𝟔 + 𝟐
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𝐛
5) Interprétation géométrique de ∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 II) Intégrale et ordre – la valeur moyenne :
Unité d'aire 1) Intégrale et ordre :
Activité :
Soit 𝐟 𝐮𝐧𝐞 fonction continue sur un intervalle [𝐚, 𝐛] et soit
𝐅 𝐮𝐧𝐞 𝐩𝐫𝐢𝐦𝐢𝐭𝐢𝐯𝐞 de 𝐟 sur l’intervalle [𝐚, 𝐛]
1) Montrer que, si pour tout 𝐱 de [𝐚, 𝐛], 𝐟(𝐱) ≥ 𝟎 alors 𝐅 est
croissante sur [𝐚, 𝐛]
2) En déduire que 𝐅(𝐚) < 𝐅(𝐛)
𝐛
3) En déduire le signe de l’intégrale ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱
Dans le repère (𝑶, 𝑰, ⃗𝑱), 4) Soit 𝐠 une fonction continue sur l’intervalle [𝐚, 𝐛] telle que
le rectangle rouge a comme dimension 1 sur 1. pour tout 𝐱 de [𝐚, 𝐛], 𝐠(𝐱) > 𝐟(𝐱)
𝐛 𝐛
Il s'agit du rectangle "unité" qui a pour aire 1 unité d'aire. Montrer que ∫𝐚 𝐠(𝐱)𝐝𝐱 ≥ ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱
On écrit 1 u.a. 5) Montrer que (∀𝐱 ∈ [𝐚, 𝐛]) : − |𝐟(𝐱)| ≤ 𝐟(𝐱) ≤ |𝐟(𝐱)|
L'aire du rectangle vert est égale à 8 fois l'aire du rectangle rouge. 𝐛 𝐛
Puis en déduire que : (∀𝐱 ∈ [𝐚, 𝐛]): |∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱| ≤ ∫𝐚 |𝐟(𝐱)|𝐝𝐱
L'aire du rectangle vert est donc égale à 8 u.a.
Il est possible de convertir les unités d'aire en unités de mesure
(le cm2 par exemple) Proposition :
𝐛
Interprétation géométrique de ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 Soit 𝐟𝐞𝐭 𝐠 deux fonctions continues sur l’intervalle [𝐚, 𝐛] (𝐚 ≤ 𝐛)
𝒂
𝐛
Soit f une fonction continue et positive sur un intervalle [𝒂 ; 𝒃].  𝐬𝐢 (∀𝐱 ∈ [𝐚, 𝐛]) ; 𝐟(𝐱) ≥ 𝟎 Alors ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 ≥ 𝟎.
L’intégrale de f sur [𝒂 ; 𝒃] est l'aire, exprimée en u.a., de la surface 𝐛
 si (∀𝐱 ∈ [𝐚, 𝐛]) ; 𝐟(𝐱) ≤ 𝐠(𝐱) alors ∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 ≤ ∫𝐚 𝐠(𝐱)𝐝𝐱
𝐛

délimitée par la courbe représentative de la fonction f, l'axe des 𝐛 𝐛


abscisses et les droites d'équations 𝒙 = 𝒂 et 𝒙 = 𝒃.  (∀𝐱 ∈ [𝐚, 𝐛]): |∫𝐚 𝐟(𝐱)𝐝𝐱| ≤ ∫𝐚 |𝐟(𝐱)|𝐝𝐱
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𝟏
Exercice 03 D’où (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏
𝟐 𝟏+𝒕
1) Vérifier que : ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 ≥𝟎 𝒙𝟐
b- En déduire que: (∀𝒙 ∈ ℝ+ ), 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙
𝟏 𝟏 𝟐
2) Vérifier que ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; ≤ 𝟏
𝐭𝟐 𝐭 Soit ( 𝒙 ∈ ℝ+ ), on a : (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏
𝟏 𝟏+𝒕
Puis en déduire que ∀𝐱 ∈ [𝟏, +∞[; 𝟏 − ≤ 𝐥𝐧(𝐱) 𝐱 𝐱 𝟏 𝐱
𝐱 Donc ∫𝟎 𝟏 − 𝒕 𝐝𝐭 ≤ ∫𝟏 𝐝𝐭 ≤ ∫𝟏 𝟏𝐝𝐭
𝟏+𝒕
Solution 𝐱
𝐭𝟐
1) On a : (∀𝐱 ∈ [𝟏, 𝟐]) ; 𝐥𝐧(𝐱) ≥ 𝟎 Donc [𝐭 − ] ≤ [𝐥𝐧(𝟏 + 𝐭)]𝟎𝐱 ≤ [𝐱]𝟎𝐱
𝟐 𝟎
𝟐
2) Donc ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 ≥𝟎 𝒙𝟐
Donc 𝒙 − 𝟐
≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙
𝟐
On a ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; 𝐭 ≤ 𝐭 𝒙𝟐
𝟏 𝟏 D’où (∀𝒙 ∈ ℝ+ ), 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙
𝟐
Donc ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; ≤
𝐭𝟐 𝐭 𝟏
2) Déterminer un encadrement de l’intégrale 𝑰 = ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) 𝒅𝒙
Soit 𝐱 un réel tel que 𝐱 ∈ [𝟏, +∞[
𝒙𝟐
𝐱 𝟏 𝐱𝟏 𝟏 𝐱 Soit ( 𝒙 ∈ ℝ+ ), On a , 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙
On a ∫𝟏 𝟐 𝐝𝐭 ≤ ∫𝟏 𝐭 𝐝𝐭 ; C’est-à-dire [− ] ≤ [𝐥𝐧𝐭]𝟏𝐱 𝟐
𝐭 𝐭 𝟏 𝟏 𝒙𝟐 𝟏 𝟏
d’où ∀𝐱 ∈ [𝟏, +∞[; 𝟏 − ≤ 𝐥𝐧(𝐱)
𝟏 Donc ∫𝟎 𝒙 − 𝒅𝒙 ≤ ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)𝒅𝒙 ≤ ∫𝟎 𝒙 𝒅𝒙
𝟐
𝐱 𝟏 𝟏
𝐱𝟐 𝒙𝟑 𝟏 𝐱𝟐
Exercice 04 Donc [ − ] ≤ ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)𝒅𝒙 ≤ [ ]
𝟏 𝟐 𝟔 𝟎 𝟐 𝟎
1)a- Montrer que: (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝟏+𝒕 Donc ≤ ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)𝒅𝒙 ≤
𝒙𝟐 𝟑 𝟐
+)
b- En déduire que: (∀𝒙 ∈ ℝ , 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙 2) Valeur moyenne d’une fonction continue sur un segment :
𝟐
𝟏
2) Déterminer un encadrement de l’intégrale 𝑰 = ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) 𝒅𝒙 Définition :
Solution Soit 𝐟 une fonction continue sur un segment [𝐚, 𝐛](𝐚 < 𝐛)
𝟏 𝟏 𝐛
1)a- Montrer que: (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏 Il existe au moins un réel 𝐜 ∈ [𝐚, 𝐛] tel que : 𝐟(𝐜) = ∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱
𝟏+𝒕 𝐛−𝐚 𝐚
+) 𝟏 𝐛
Soit ( 𝒕 ∈ ℝ , Le nombre ∫ 𝐟(𝐱)𝐝𝐱 s’appelle la valeur moyenne de la
𝟏 𝐛−𝐚 𝐚
Donc 𝟏 + 𝒕 ≥ 𝟏 donc ≤𝟏 fonction 𝐟 sur l’intervalle [𝐚, 𝐛]
𝟏+𝒕
Et on a 𝒕𝟐 ≥ 𝟎 donc −𝒕 ≤ 𝟎 𝟐 𝟐𝐱
Exemple : La valeur moyenne de la fonction 𝐱 → sur
𝟏+𝐱 𝟐
Donc 𝟏 − 𝒕𝟐 ≤ 𝟏
(𝟏−𝒕)(𝟏+𝒕) 𝟏
l’intervalle [𝟏, 𝟑]
Donc ≤ 𝟏 𝟑 𝟐𝐱
𝟏+𝒕 𝟏+𝒕 est la valeur ∫ 𝐝𝐱
𝟏 𝟐 𝟏 𝟏+𝐱 𝟐
Donc 𝟏 − 𝒕 ≤ 𝟏 𝟑 𝟐𝐱 𝟏 𝐥𝐧(𝟓)
𝟏+𝒕 C’est-à-dire : ∫ 𝐝𝐱 = [𝐥𝐧(𝐱 𝟐 + 𝟏)]𝟑𝟏 =
𝟐 𝟏 𝟏+𝐱 𝟐 𝟐 𝟐
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III) Techniques de calcul d’intégrales : Solution
𝟑
1) Utilisation des primitives : 𝒙 +𝒙+𝟒
𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 ∶ 𝒇(𝒙) = ; 𝒔𝒖𝒓 𝑰 = [𝟎; 𝟏]
Exercice 05 𝒙+𝟏
Calculer les intégrales suivantes : 𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 𝒙+𝟏
𝐞 𝟏
𝛑
𝟏 𝐞𝟐𝐱 −𝟏 𝒙𝟑 + 𝒙𝟐 𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐
𝑨= ∫𝟐 𝐱𝐥𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫𝟎 𝐭𝐚𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐂 = ∫𝟎
𝟑 𝐝𝐱
𝐞𝟐𝐱 +𝟏 𝟎 − 𝒙𝟐 + 𝒙 + 𝟒
Solution −𝒙𝟐 − 𝒙
𝐞 𝐞 𝐞
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟎 + 𝟐𝒙 + 𝟒
𝑨=∫ 𝐝𝐱 = ∫ × 𝐝𝐱 = ∫ (𝐥𝐧 𝐱)′ × 𝐝𝐱
𝟐 𝐱𝐥𝐧(𝐱) 𝟐 𝐱 𝒍𝒏(𝒙) 𝟐 𝒍𝒏(𝒙) 𝟐𝒙 + 𝟐
𝐞 (𝐥𝐧
𝐱)′ 𝟎+𝟐
=∫ 𝐝𝐱 = [𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝒙))]𝐞𝟐
𝟐 𝒍𝒏(𝒙) Donc : 𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 = (𝒙 + 𝟏)(𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐) + 𝟐
= 𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝒆)) − 𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝟐)) = −𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝟐)) 𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 (𝒙 + 𝟏)(𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐) 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = +
𝛑 𝛑 𝛑
′ 𝒙+𝟏 𝒙+𝟏 𝒙+𝟏
𝟑 𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝟑 𝟑 −(𝐜𝐨𝐬 𝐱)
𝟐
𝐁 = ∫ 𝐭𝐚𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫ 𝐝𝐱 = ∫ 𝐝𝐱 = 𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐 +
𝟎 𝟎 𝒄𝒐𝒔 𝒙 𝟎 𝒄𝒐𝒔 (𝒙) 𝒙+𝟏
𝛑
𝟏 𝒙𝟑 𝒙𝟐
= [−𝐥 𝐧(𝐜𝐨 𝐬(𝒙))]𝟎𝟑 = −𝒍𝒏 ( ) = 𝒍𝒏(𝟐) 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒎𝒊𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒆𝒔𝒕 ∶ 𝑭(𝒙) = − + 𝟐𝒙 + 𝟐 𝒍𝒏(𝒙 + 𝟏)
𝟐 𝟑 𝟐
𝟏 𝟏
𝟏 𝟐𝐱 𝟏 𝐞 𝐱 (𝐞 𝐱 − ) 𝟏 𝐱 𝟏
𝐞 −𝟏 𝐞𝐱 𝐞 − 𝐞−𝐱 𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 𝒙𝟑 𝒙𝟐
𝑪 = ∫ 𝟐𝐱 𝐝𝐱 = ∫ 𝟏 𝐝𝐱 = ∫ 𝐞 𝐱 + 𝐞−𝐱 𝐝𝐱
𝑨=∫ 𝐝𝐱 = [ − + 𝟐𝒙 + 𝟐 𝒍𝒏(𝒙 + 𝟏)]
𝟎 𝐞 +𝟏 𝟎 𝐞 𝐱 (𝐞 𝐱 + 𝐱 ) 𝟎 𝟎 𝒙+𝟏 𝟑 𝟐 𝟎
𝐞
𝟏 (𝐞 𝐱
+ 𝐞−𝐱 )′ 𝟏 𝟏
=∫ 𝐝𝐱 = [𝒍𝒏(𝐞 𝐱 + 𝐞−𝐱 )]𝟏𝟎 = − + 𝟐𝒍𝒏(𝟐)
𝐱
𝐞 +𝐞 −𝐱 𝟑 𝟐
𝟎 𝟏
𝟏 𝐞𝟐 + 𝟏 = − + 𝟐𝒍𝒏(𝟐)
𝟏 −𝟏
= 𝐥𝐧(𝐞 + 𝐞 ) − 𝒍𝒏(𝟏 + 𝟏) = 𝐥𝐧 (𝐞 + ) − 𝒍𝒏(𝟐) = 𝐥𝐧 ( ) 𝟔
𝒆 𝟐𝒆 𝟑
𝟓𝒙 + 𝟏
Décomposition des fractions rationnelles en une somme de 𝐁=∫ 𝟐 𝐝𝐱
𝟐 𝒙 +𝒙−𝟐
fractions rationnelles: 𝟓𝒙 + 𝟏 𝟓𝒙 + 𝟏
Exercice 06 𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒈(𝒙) = 𝟐 = 𝒔𝒖𝒓 𝑰 = [𝟐; 𝟑]
𝒙 +𝒙−𝟐 (𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟐)
Calculer les intégrales suivantes : Donc il existe deux réels a et b tel que : 𝒈(𝒙) =
𝒂
+
𝒃
𝟏 𝟑 𝟑 𝒙−𝟏 𝒙+𝟐
𝒙 +𝒙+𝟒 𝟓𝒙 + 𝟏
𝑨=∫ 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫ 𝟐 𝐝𝐱 Cherchons a et b :
𝟎 𝒙+𝟏 𝟐 𝒙 +𝒙−𝟐
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𝒂 𝒃 Linéarisation des fonctions trigonométriques :
𝒈(𝒙) = +
𝒙−𝟏 𝒙+𝟐 Exercice 07
𝒂𝒙 + 𝟐𝒂 + 𝒃𝒙 − 𝒃
= Linéariser le polynôme trigonométrique 𝐜𝐨𝐬 𝟑 𝐱 puis calculer
(𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟐) 𝛑
∫𝟎𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟑 (𝐱)𝐝𝐱.
(𝒂 + 𝒃)𝒙 + 𝟐𝒂 − 𝒃
= Solution
(𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟐)
On applique une formule d’Euler :
𝟓𝒙 + 𝟏 𝟑
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒈(𝒙) = 𝒆𝒊𝒙 + 𝒆−𝒊𝒙
𝒙𝟐 + 𝒙 − 𝟐 𝟑
𝐜𝐨𝐬 𝒙 = ( )
𝟐
𝒂+𝒃=𝟓
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { 𝟏
𝟐𝒂 − 𝒃 = 𝟏 = ((𝒆𝒊𝒙 )𝟑 + 𝟑(𝒆𝒊𝒙 )𝟐 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + (𝒆−𝒊𝒙 )𝟑 ),
𝟑𝒃 = 𝟗 ; 𝟐𝑳𝟏 − 𝑳𝟐 𝟖
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { 𝟏
Donc : 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 = (𝒆𝟑𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝟐𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝟐𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 )
𝟐𝒂 − 𝒃 = 𝟏 𝟖
𝒃=𝟑 ; 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { = (𝒆𝟑𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 + 𝟑𝒆−𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 )
𝟐𝒂 − 𝟑 = 𝟏 𝟖
𝟏
𝒃=𝟑 ; = (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 − 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 − 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { 𝟖
𝒂=𝟐 𝟏
𝟐 𝟑 (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙)
=
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒈(𝒙) = + 𝟖
𝒙−𝟏 𝒙+𝟐 𝟏 𝟏
= (𝟐𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟔𝐜𝐨𝐬 𝒙) = (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒎𝒊𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒅𝒆 𝒈 𝒆𝒔𝒕: 𝑮(𝒙) = 𝟐 𝒍𝒏(𝒙 − 𝟏) + 𝟑𝒍𝒏(𝒙 + 𝟐) 𝟖 𝟒
𝟏
𝟑 Une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙) est la
𝟓𝒙 + 𝟏 𝟒
𝐁=∫ 𝟐 𝐝𝐱 𝟏 𝟏 𝟏 𝟑
fonction :𝒙 ⟼ ( 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐬𝐢𝐧 𝒙) = 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝐬𝐢𝐧 𝒙
𝒙 +𝒙−𝟐
𝟐 𝟒 𝟑 𝟏𝟐 𝟒
𝛑 𝛑
= [𝟐 𝒍𝒏(𝒙 − 𝟏) + 𝟑𝒍𝒏(𝒙 + 𝟐)]𝟑𝟐 𝟒 𝟏 𝟑 𝟒
∫ 𝐜𝐨𝐬𝟑 (𝐱)𝐝𝐱 = [ 𝐬𝐢𝐧 𝒙]
𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 +
𝟏𝟐 𝟒 𝟎
= 𝟐𝒍𝒏(𝟐) + 𝟑𝒍𝒏(𝟓) − 𝟎 + 𝟑𝒍𝒏(𝟒) 𝟎
𝟏 𝟑𝛑 𝟑 𝛑
= 𝟖𝒍𝒏(𝟐) + 𝟑𝒍𝒏(𝟓) = 𝐬𝐢𝐧 + 𝐬𝐢𝐧
𝟏𝟐 𝟒 𝟒 𝟒
𝟏 √𝟐 𝟑 √𝟐
= × + ×
𝟏𝟐 𝟐 𝟒 𝟐
√𝟐 + 𝟗 √𝟐 𝟓 √𝟐
= =
𝟐𝟒 𝟏𝟐
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𝐞
2) Intégration par parties :  Calculons l’intégrale 𝐁 = ∫𝟏 𝐱𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱
Activité 𝟏
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱) 𝐮′ (𝐱) =
Soit 𝐮 𝐞𝐭 𝐯 deux fonctions dérivables sur un intervalle [𝐚, 𝐛] Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐱
𝟐
telles que 𝐮′ 𝐞𝐭 𝐯′ continues sur [a, b] 𝐯 (𝐱) = 𝐱 𝐯(𝐱) =
𝐱
𝟐
′ ′ (𝐱)𝐯(𝐱)
On a : (∀𝐱 ∈ [𝐚, 𝐛]) (𝐮(𝐱)𝐯(𝐱)) = 𝐮 + 𝐮(𝐱)𝐯′(𝐱). Il s’ensuit donc :
′ 𝐞
𝐛 𝐛
Alors : ∫𝐚 (𝐮(𝐱)𝐯(𝐱)) 𝐝𝐱 = ∫𝐚 𝐮′ (𝐱)𝐯(𝐱)𝐝𝐱 + ∫𝐚 𝐮 (𝐱)𝐯 ′(𝐱) 𝐝𝐱
𝐛 𝟏 𝟐 𝐞
𝟏 𝐱𝟐
𝐈 = [𝐱 𝐥 𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ × 𝐝𝐱
𝐛 𝐛 𝟐 𝟏 𝐱 𝟐
D’où ∫𝐚 𝐮′ (𝐱)𝐯(𝐱)𝐝𝐱 = [𝐮(𝐱)𝐯(𝐱)]𝐛𝐚 − ∫𝐚 𝐮 (𝐱)𝐯′(𝐱)𝐝𝐱.
𝟏 𝟐 𝐞
𝟏 𝐞
Proposition : = [𝐱 𝐥𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ 𝐱 𝐝𝐱
𝟐 𝟐 𝟏
𝐮 𝐞𝐭 𝐯 deux fonctions dérivables sur un intervalle 𝐈 telles que ser 𝐞
′ 𝟐 𝟏 𝟐 𝟏 𝐱𝟐
dérivées 𝐮 𝐞𝐭 𝐯′ soient continus sur 𝐈 . Alors pour tout (𝐚, 𝐛) ∈ 𝐈 , = [𝐱 𝐥𝐧(𝐱)]𝟏 − [ ]
𝐞
𝐛 𝐛 𝟐 𝟐 𝟐 𝟏
on a : ∫𝐚 𝐮′ (𝐱)𝐯(𝐱)𝐝𝐱 = [𝐮(𝐱)𝐯(𝐱)]𝐛𝐚 − ∫𝐚 𝐮 (𝐱)𝐯′(𝐱)𝐝𝐱
𝐞𝟐 + 𝟏
Exercice 08 =
𝟒
En utilisant la formule d’intégration par parties, Calculer les 𝛑
𝟏 𝐞
Calculons l’intégrale : 𝐂 = ∫𝟎
𝒙 𝒄𝒐𝒔 𝒙 𝐝𝐱
𝐱
intégrales suivantes : 𝐀 = ∫𝟎 𝐱𝐞 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫𝟏 𝐱𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝐮(𝐱) = 𝒙 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
𝛑 𝟏 𝐞 Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐂 = ∫𝟎 𝐱 𝐜𝐨𝐬(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐃 = ∫𝟎 𝐱 𝟐 𝐞𝐱 𝐝𝐱 ; 𝐄 = ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝐯 (𝐱) = 𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐯(𝐱) = 𝒔𝒊𝒏 𝒙
𝐞 𝟐 𝐞 Il s’ensuit donc :
𝑭 = ∫−𝟏 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)𝐝𝐱 ; 𝐆 = ∫𝟎 𝐱√𝟑 − 𝐱𝐝𝐱 ; 𝐇 = ∫𝟏 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐝𝐱 𝛑
𝛑
Solution 𝐈 = [𝒙 𝒔𝒊𝒏]𝟎 − ∫ 𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝐝𝐱
𝟏 𝟎
Calculons l’intégrale : 𝐀 = ∫𝟎 𝐱𝐞𝐱 𝐝𝐱 = 𝟎 − [−𝐜𝐨𝐬 𝐱]𝛑𝟎
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮′ (𝐱) = 𝟏 = (−𝟏 − 𝟏)
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐱 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱 = −𝟐
Il s’ensuit donc : 𝟏
𝟏 𝟏
Calculons l’intégrale : 𝐃 = ∫𝟎 𝐱 𝟐 𝐞𝐱 𝐝𝐱
𝐀 = ∫ 𝐱𝐞 𝐝𝐱 𝐱
= [𝐱𝐞 𝐱 ]𝟏𝟎 − ∫ 𝐞 𝐱 𝐝𝐱 𝐮(𝐱) = 𝐱 𝟐 𝐮′ (𝐱) = 𝟐𝐱
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝟎 𝟎 𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐱 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱
= [𝐱𝐞 𝐱 ]𝟏𝟎
− [𝐞 𝐱 ]𝟏𝟎 𝟏
Il s’ensuit donc : 𝐃 = [𝐱 𝟐 𝐞𝐱 ]𝟏𝟎 − ∫𝟎 𝟐𝐱𝐞𝐱 𝐝𝐱
=𝐞−𝐞+𝟏
=𝟏 = 𝒆 − 𝟐𝐀 = 𝐞 − 𝟐
𝟏
Car 𝐀 = ∫𝟎 𝐱𝐞 𝐱 𝐝𝐱 =𝟏
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𝐞 𝟓 𝟐
 Calculons l’intégrale 𝐄 = ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝟒 𝟐 𝟐
= − + × [(𝟑 − 𝒙)𝟐 ]
𝟏 𝟑 𝟑 𝟓
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱) 𝐮′ (𝐱) = 𝟎
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱 𝟒 𝟒 𝟓
𝐯 (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱 =− + (𝟏 − (𝟑)𝟐 )
𝟑 𝟏𝟓
Il s’ensuit donc : 𝟒 𝟒
𝐞
𝟏 =− + (𝟏 − √𝟑𝟓 )
𝐞
𝐅 = [𝐱𝐥 𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ × 𝐱 𝐝𝐱 𝟑 𝟏𝟓
𝟏 𝐱
𝐞 𝐞
[𝐱 𝐥𝐧(𝐱)]𝐞𝟏 Calculons l’intégrale 𝐇 = ∫𝟏 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐝𝐱
= − ∫ 𝟏 𝐝𝐱
𝟏
𝟏 𝐮(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐮′ (𝐱) = 𝒄𝒐𝒔(𝒍𝒏(𝒙))
=𝐞− [𝐱]𝐞𝟏 Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝒙
𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱
=𝟏
𝐞 Il s’ensuit donc :
 Calculons l’intégrale 𝐅 = ∫−𝟏 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)𝐝𝐱 𝐞
𝟏 𝐇 = [𝐱 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱))]𝐞𝟏 − ∫ 𝒄𝒐𝒔 (𝒍𝒏(𝒙)) 𝐝𝐱
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐) 𝐮′ (𝐱) =
Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱+𝟐 𝟏
𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱 + 𝟐 𝐞
𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − ∫ 𝒄𝒐𝒔 (𝒍𝒏(𝒙)) 𝐝𝐱
Il s’ensuit donc : 𝟏
𝐞
𝟏 𝐮(𝐱) = 𝐜𝐨𝐬(𝐥𝐧(𝐱))
𝟏
𝐮′ (𝐱) = − 𝒔𝒊𝒏(𝒍𝒏(𝒙))
𝐅 = [(𝐱 + 𝟐)𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)]𝐞−𝟏 − ∫ × (𝐱 + 𝟐) 𝐝𝐱 Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝒙
𝐱 + 𝟐 𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏
−𝟏
𝐞
𝐯(𝐱) = 𝐱
= [(𝐱 + 𝟐) 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)]𝐞−𝟏 − ∫ 𝟏 𝐝𝐱 Il s’ensuit donc :
−𝟏 𝐞
= (𝐞 + 𝟐)𝐥𝐧(𝐞 + 𝟐) − 𝐞
[𝐱]−𝟏 𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − ([𝐱 𝐜𝐨𝐬(𝐥𝐧(𝐱))]𝐞𝟏 + ∫ 𝒔𝒊𝒏 (𝒍𝒏(𝒙)) 𝐝𝐱)
𝟏
= (𝐞 + 𝟐)𝐥𝐧(𝐞 + 𝟐) − (𝒆 + 𝟏)
𝟐
𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − 𝐞 𝐜𝐨𝐬 (𝟏) − 𝑯
Calculons l’intégrale 𝐆 = ∫𝟎 𝐱√𝟑 − 𝐱 𝐝𝐱 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝟐𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − 𝐞 𝐜𝐨𝐬 (𝟏)
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮′ (𝐱) = 𝟏 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − 𝐞 𝐜𝐨𝐬 (𝟏)
Posons { 𝟏 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝟐 𝟑 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐇 =
𝐯 ′ (𝐱) = √𝟑 − 𝐱 = (𝟑 − 𝒙)𝟐 𝐯(𝐱) = − (𝟑 − 𝒙)𝟐 𝟐
𝟑
Il s’ensuit donc :
𝟐
𝟐 𝟑 𝟐 𝟐 𝟑
𝐆 = [− 𝒙(𝟑 − 𝒙) ] + ∫ (𝟑 − 𝒙)𝟐 𝐝𝐱
𝟐
𝟑 𝟎 𝟑 𝟎
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IV) Calcul d’aires et de volumes : Exercice 09
1) Calcul des aires : Le plan est apporté à un repère orthogonal (𝐎, 𝐢, 𝐣) avec
Activité : ‖𝐢‖ = 𝟑 𝐜𝐦 et ‖𝐣‖ = 𝟐 𝐜𝐦
𝟏
On considéra la fonction définie par : 𝐟(𝐱) = −𝐱 + 𝟐 et (𝐂𝐟 ) la 1) Soit f définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = et (𝑪𝒇) sa courbe
𝐱 (𝐱+𝟏)
courbe représentative de 𝐟 dans le plan rapporté à un repère 𝟏 𝟏
a) Vérifier que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐟(𝐱) = −
orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) unité (1cm) 𝐱 𝐱+𝟏
b) Calculer 𝑨, l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) ,
1) Tracer (𝐂𝐟 ) et colorier le domaine délimité par l'axe des
la droite (𝐨𝐱) et les droites x=1 et x=𝟐
abscisses, la courbe et les droites d'équations x = -1 et x = 3,
2) Soit 𝐠 la fonction définie par : 𝐠(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧(𝐱) et (𝑪𝒈) sa courbe
puis donner une valeur de son aire en unités d’aires
𝟑 Calculer l’aire du domaine délimité par la courbe de 𝐠 et les
2) Calculer ∫−𝟏|𝐟(𝐱)|𝐝𝐱 × ‖𝐢‖ × ‖𝐣‖ Qu'est-ce qu'on peut déduire 𝛑 𝛑
droites d’équations : 𝐱 = 𝐞𝐭 𝐱 = −
𝟐 𝟐
Proposition 01:
Solution
Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣)
𝟏 𝟏 𝟏
Soit 𝐟 une fonction continue sur un segment [𝐚, 𝐛] (a<b). et (𝐂𝐟 ) 𝟏) 𝑶𝒏 𝒂(: ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[) ∶ 𝐟(𝐱) = − = >𝟎
𝐱 𝐱 + 𝟏 𝐱 (𝐱 + 𝟏)
sa courbe représentative dans le repère (𝐎, 𝐢, 𝐣) 𝟐 𝟐
L’aire A du domaine délimité par (𝐂𝐟 ) , l’axe des abscisses et les 𝑨 = ∫ |𝐟(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟏 𝟏
droites d’équations 𝐱 = 𝐚 𝐞𝐭 𝐱 = 𝐛 est égale 𝟐
𝐛
𝟏 𝟏
𝑨 = ∫ ∣ 𝐟(𝐱) ∣ 𝐝𝐱 ( 𝐞𝐧 𝐮𝐧𝐢𝐭é 𝐝′ 𝐚𝐢𝐫𝐞 𝐮. 𝐚) =∫ − 𝐝𝐱 × ‖𝐢‖ × ‖𝐣‖
𝐚 𝟏 𝐱 𝐱+𝟏
= [𝒍𝒏|𝒙| − 𝒍𝒏|𝒙 + 𝟏|]𝟐𝟏 × 𝟐 𝐜𝐦 × 𝟑 𝐜𝐦
𝟐 𝟒
= (𝐥𝐧 ( ) + 𝐥𝐧(𝟐)) × 𝟔 𝐜𝐦𝟐 = 𝟔 𝐥𝐧 ( ) 𝐜𝐦𝟐
𝟑 𝟑
𝛑 𝛑
𝟐) 𝑶𝒏 𝒂 (: ∀𝐱 ∈ [𝟎, ]) ; 𝐬𝐢𝐧 𝐱 ≥ 𝟎 et (: ∀𝐱 ∈ [− 𝟐 ; 𝟎]) ; 𝐬𝐢𝐧 𝐱 ≤ 𝟎
𝟐
𝛑 𝛑
𝟎
𝟐 𝟐
𝑨 = ∫ |𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = (∫ −𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝒅𝒙 + ∫ 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐝𝐱) × 𝐮. 𝐚
𝛑 𝛑
− − 𝟎
𝟐 𝟐
Si 𝒇 ≥ 𝟎 sur [𝒂 ; 𝒄] 𝛑
et 𝒇 ≤ 𝟎 sur [𝒄 ; 𝒃] Si 𝒇 > 𝟎 sur [𝒂 ; 𝒃] = ([𝒄𝒐𝒔 𝒙]𝟎− 𝛑 + [−𝒄𝒐𝒔 𝒙]𝟎 ) × 𝟔 𝐜𝐦𝟐
𝟐
SI 𝒇 < 𝟎 sur [𝒂 ; 𝒃]
alors : 𝑨 = alors :
𝟐
𝒄 𝒃 alors : = ((𝟏 − 𝟎) − (𝟎 − 𝟏)) × 𝟔𝐜𝐦𝟐
∫𝒂 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 + ∫𝒄 −𝒇(𝐱) 𝐝𝐱 𝒃 𝒃
en u.a 𝑨 = ∫ 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 𝑨 = ∫ −𝒇(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = 𝟏𝟐𝐜𝐦𝟐
𝒂 𝒂
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𝟏 𝟐
Proposition 02 : 𝐱𝟑 𝐱𝟐 𝐱𝟑 𝐱𝟐
Le plan est rapporté à un repère orthogonal = (− [ − ] + [ − ] ) 𝐜𝐦𝟐
𝟑 𝟐 𝟎 𝟑 𝟐 𝟏
Soit 𝐟 et 𝐠 deux fonctions continues sur un segment [𝐚, 𝐛].
−𝟏 𝟏 𝟖 𝟒
Soit (𝐂𝐟 )𝐞𝐭 (𝐂𝐠 ) les courbes représentatives de 𝐟 et g. = (( + ) + ( − )) 𝐜𝐦𝟐
𝟑 𝟐 𝟑 𝟐
Soit (𝚫) le domaine délimité par les courbes (𝐂𝐟 )𝐞𝐭 (𝐂𝐠 ) et les 𝟓
= 𝐜𝐦𝟐
droites d’équations 𝐱 = 𝐚 𝐞𝐭 𝐱 = 𝐛. 𝟔
Alors l’aire du domaine (𝚫) en unités d’aire est donnée par : Exercice 10
𝐛
𝐀(𝚫) = ∫𝐚 |𝐟(𝐱) − 𝐠(𝐱)|𝐝𝐱 Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) ; ‖𝐢‖ = 𝟏 𝐜𝐦
𝟐
Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱)
𝐱
1) Montrer que (𝑪𝒇) la courbe de f est en dessous de la droite
(𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
2) Par intégration par parties ,montrer que
𝟐
𝟐
∫ ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐
𝟏 𝒙
3) Déduire l’aire du domaine plan délimité par (𝑪𝒇), la droite
(𝐃) et les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟐
Exemple : Solution
Le plan est rapporté à un repère orthogonal (𝐎, 𝐢, 𝐣) avec 𝟐
Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱)
‖𝐢‖ = ‖𝐣‖ = 𝟏𝐜𝐦 , considérons les fonctions 𝐟 𝐞𝐭 𝐠 définie par : 𝐱
1) Montrer que (𝑪𝒇) la courbe de f est en dessous de la droite
𝐟(𝐱) = 𝟐𝐱² + 𝟏 et 𝐠(𝐱) = 𝐱² + 𝐱 + 𝟏
(𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
Calculer l’aire du domaine délimité par les courbes des
Soit 𝒙 ∈ [𝟏, 𝟐]
fonctions 𝐟 𝐞𝐭 𝐠 et l’axe des abscisses et les droites d’équations
𝟐
𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐱 = 𝟐 𝐟(𝐱) − 𝐱 = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱) − 𝒙
𝟐 𝟐 𝐱
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐠(𝐱)|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ |𝟐𝐱 𝟐 + 𝟏 − 𝐱 𝟐 − 𝐱 − 𝟏|𝐝𝐱 . 𝐜𝐦𝟐 𝐱−𝟐
=( ) 𝐥𝐧(𝐱)
𝟎 𝟎 𝐱
𝟐 𝟐
𝟏 ≤ 𝒙 ≤ 𝟐 ⇒ 𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎
= ∫ |𝐱 𝟐 − 𝐱|𝐝𝐱 . 𝐜𝐦𝟐 = ∫ |𝐱(𝐱 − 𝟏)|𝐝𝐱 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎 𝟎
𝐱−𝟐
⇒( ) 𝐥𝐧(𝐱) ≤ 𝟎 ⇒ 𝐟(𝐱) − 𝐱 ≤ 𝟎
𝟏 𝟐 𝐱
= ∫ −(𝐱 − 𝐱)𝐝𝐱 . 𝐜𝐦 + ∫ 𝐱 𝟐 − 𝐱 𝐝𝐱 . 𝐜𝐦𝟐
𝟐 𝟐
Donc (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
𝟎 𝟏
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2) Par intégration par parties , montrer que Exercice 11
𝟐 Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) ; ‖𝐢‖ = 𝟏 𝐜𝐦
𝟐
∫ ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐
𝟏 𝒙
Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱) 𝐮′ (𝐱) =
𝟏 1) Montrer que (𝑪𝒇) est en dessous de la droite (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur
Posons { ′ 𝟐 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱
l’intervalle [𝟎, 𝟏]
𝐯 (𝐱) = − 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝟐𝐥𝐧(𝐱) −𝐱
𝒙
2)Monter que la fonction 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
Il s’ensuit donc :
𝟐 𝟐 primitive de la fonction 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 sur [𝟎, 𝟏]
𝟐 𝟐
𝟏 𝟏
∫ ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = [(𝟐𝐥𝐧(𝐱) − 𝐱)𝐥 𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ × (𝟐𝐥𝐧(𝐱) − 𝐱)𝐝𝐱 3) Déduire que : ∫𝟎 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 =
𝟐𝒆−𝟓
𝟏 𝒙 𝟏 𝐱 𝒆
𝟐 𝟏 𝒆−𝟐
𝟏 4) Par intégration par parties , montrer que ∫𝟎 𝐱𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
= (𝟐𝐥𝐧 𝟐 − 𝟐)𝐥𝐧𝟐 − ∫ 𝟐 𝐥𝐧(𝐱) − 𝟏 𝐝𝐱 𝒆
𝟏 𝐱 5) Déduire l’aire du domaine délimité par (𝑪𝒇), la droite (𝐃) et
𝟐 𝟐
𝐥𝐧 (𝐱) les droites d’équations x=0 et x=𝟏
= 𝟐𝒍𝒏𝟐 𝟐 − 𝟐𝒍𝒏𝟐 − [𝟐 − 𝒙]
𝟐 Solution
𝟏
= 𝟐𝒍𝒏𝟐 𝟐 − 𝟐𝒍𝒏𝟐 − 𝐥𝐧𝟐 (𝟐) + 𝟐 − 𝟏 Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱
= 𝟏 − 𝟐𝒍𝒏𝟐 + 𝒍𝒏𝟐 𝟐 1) Montrer que (𝑪𝒇) est en dessous de la droite (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur
= (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐 l’intervalle [𝟎, 𝟏]
3) Déduire l’aire du domaine plan délimité par (𝑪𝒇), la droite Soit 𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏]
(𝐃) et les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟐 𝐟(𝐱) − 𝐱 = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱 − 𝒙
On a (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐] = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟏, 𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐲 − 𝐟(𝐱) = 𝐱(𝐱 − 𝟏)𝒆−𝒙
𝟐 𝟎 ≤ 𝒙 ≤ 𝟏 ⇒ 𝒙 ≥ 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 ≤ 𝟎 𝒆𝒕 𝒆−𝒙 > 𝟎
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 ⇒ 𝐱(𝐱 − 𝟏)𝒆−𝒙 ≤ 𝟎 ⇒ 𝐟(𝐱) − 𝐱 ≤ 𝟎
𝟎
𝟐 Donc (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟎, 𝟏]
= ∫ 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 2)Monter que la fonction 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
𝟎
𝟐
primitive de la fonction 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙
𝟐
= ∫ − (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱) . 𝐜𝐦𝟐 Soit 𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏]
𝐱
𝟎 𝐇 ′ (𝐱) = [(𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 ]′
𝟐
𝟐 = (𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 − (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙
= ∫ ( − 𝟏) 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎 𝐱 = −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 = 𝒉(𝒙)
= (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐 𝐜𝐦𝟐 Donc 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une primitive de 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙
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𝟏 𝟐𝒆−𝟓 Exercice 12
3) Déduire que : ∫𝟎 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 =
𝒆 𝟏+𝒍𝒏 𝒙
On a 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une primitive de 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 Soit f une fonction définie sur]𝟎; +∞[ par : 𝒇(𝒙) = ; (𝑪𝒉 ) la
𝒙𝟐
𝟏 courbe de f dans un repère orthonormé (unité1 cm)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ∫ 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 = −[(𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 ]𝟏𝟎 Soient 𝐧 ∈ 𝐈𝐍 ∗ ; 𝒐𝒏 désigne par 𝑰𝒏 l’aire du domaine limité par la
𝟎 𝟏
𝟐𝒆 − 𝟓 −𝟏
courbe (𝑪𝒇 ) la droite (𝐎𝐱) et les droites ; 𝒙 = et 𝒙 = 𝒏
𝒆
= −𝟓𝐞 + 𝟐 =
𝒆 1) Montrer que la fonction 𝑭: 𝒙 →
−𝟐−𝒍𝒏𝒙
et une primitive de la
𝟏 𝒆−𝟐 𝒙
4) Par intégration par parties , montrer que ∫𝟎 𝐱𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
𝒆 fonction f sur ]𝟎; +∞[
′ (𝐱)
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮 =𝟏 2) Calculer 𝑰𝒏 en fonction de n
Posons { ′ −𝐱 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐯(𝐱) = −𝐞−𝐱 3) Déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑰𝒏
𝐧→+∞
Il s’ensuit donc :
𝟏 𝟏 Solution
∫ 𝐱𝐞 𝐝𝐱−𝐱
= [−𝐱𝐞−𝐱 ]𝟏𝟎 −𝐱
+ ∫ 𝐞 𝐝𝐱 1) Soit 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[
𝟎 𝟎 𝟏
−𝟏 [𝐞−𝐱 ]𝟏𝟎 −𝟏 −𝟏 −𝟐 − 𝒍𝒏𝒙 ′ − 𝒙 × 𝒙 + (𝟐 + 𝐥 𝐧 𝒙) 𝟏 + 𝒍𝒏 𝒙
= −𝐞 −
= −𝐞 − 𝐞 + 𝟏 𝐅 ′ (𝐱)
=[ ] = = = 𝒇(𝒙)
𝒆−𝟐 𝒙 𝒙 𝒙𝟐
= −𝟐𝐞−𝟏 + 𝟏 = Donc 𝑭: 𝒙 →
−𝟐−𝒍𝒏𝒙
et une primitive de la fonction f sur ]𝟎; +∞[
𝒆 𝒙
5) Déduire l’aire du domaine délimité par (𝑪𝒇), la droite (𝐃) et 𝟏 𝟏
𝟐) 𝒙 ≥ ⇒ 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝒍𝒏 ( ) ⇒ 𝒍𝒏(𝒙) ≥ −𝟏
les droites d’équations x=0 et x=𝟏 𝒆 𝒆
On a (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟎, 𝟏] 𝟏 + 𝒍𝒏 𝒙
⇒ 𝒍𝒏(𝒙) + 𝟏 ≥ 𝟎 ⇒ ≥ 𝟎 ⇒ 𝒇(𝒙) ≥ 𝟎
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝒙𝟐
𝒏 𝒏 𝒏 𝟏+𝒍𝒏 𝒙
𝟏 𝟏 𝑰𝒏 = ∫𝟏 |𝐟(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫𝟏 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫𝟏 𝐝𝐱 × 𝐜𝐦𝟐
𝒙𝟐
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 𝒆
𝐧
𝒆 𝒆

𝟎 𝟎 −𝟐 − 𝒍𝒏𝒙
𝟏 =[ ]𝟏 × 𝐜𝐦𝟐
𝒙
= ∫ −(𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐 𝒆

𝟎
𝟏 𝟏 −𝟐 − 𝒍𝒏 𝒏 −𝟐 + 𝟏 𝟐
𝟐 𝐥𝐧 𝐧
=( − 𝟏 ) × 𝐜𝐦 = (𝒆 − − ) × 𝐜𝐦𝟐
= (∫ 𝒙𝒆−𝒙 𝐝𝐱 − ∫ 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙) 𝐜𝐦𝟐 𝒏 𝒏 𝒏
𝒆
𝟎 𝟎
𝒆 − 𝟐 𝟐𝒆 − 𝟓 𝟐 𝐥𝐧 𝐧
=( − ) 𝐜𝐦𝟐 𝟑) 𝐥𝐢𝐦 𝑰𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 𝒆 − − =𝒆
𝒆 𝒆 𝐧→+∞ 𝐧→+∞ 𝒏 𝒏
𝟑−𝒆 𝟐 𝐥𝐧 𝐧
=( ) 𝐜𝐦𝟐 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐧→+∞ 𝒏 𝐧→+∞ 𝒏
𝒆
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2) Calcul des volumes : Exemple 02
Proposition 01: Soit (𝚺) un cylindre de rayon 𝐑 et de hauteur 𝐡
L’espace est rapporté à un repère orthonormé (𝐨, 𝐢, 𝐣, 𝐤) . Retrouver la formule du volume V du cylindre
Soit (𝐚, 𝐛) ∈ ℝ𝟐 tel que 𝐚 < 𝐛 On définit le disque C par l’intersection du plan horizontal
On considère un solide(𝚺) limité par d’équation z = t, avec 0 ≤ t ≤ h, et du cylindre (𝚺) .
deux plans parallèles au plan (𝐎, 𝐢, 𝐣) Lorsque t croit de 0 à h , C parcourt verticalement tout le cylindre
1) Le plan de cote 𝐚 d’équation 𝐳 = 𝐚 On a l’aire du disque 𝐂 est : 𝐒(𝐭) = 𝛑𝐑𝟐
2) Le plan de cote b d’équation 𝐳 = 𝐛 Alors le volume de cylindre est :
𝐡 𝐡 𝐡
Si 𝐒(𝐭) est l’aire de l’intersection du
𝐕 = ∫ 𝐒(𝐭)𝐝𝐭 = ∫ 𝛑𝐑𝟐 𝐝𝐭 = 𝛑𝐑𝟐 ∫ 𝐝𝐭
solide (𝚺) avec le plan parallèle à 𝟎 𝟎 𝟎
(𝐎, 𝐢, 𝐣) d’équation 𝒛 = 𝐭 alors le = 𝛑𝐑𝟐 𝐡 𝐜𝐦𝟑
volume de ce solide est (en unités de
𝐛
volume) est : 𝐯(𝐬) = ∫𝐚 𝐒(𝐭)𝐝𝐭 Proposition 02 :
Exemple 01 L’espace est rapporté à un repère orthonormé (𝐨, 𝐢, 𝐣, 𝐤)
Soit (𝐁) la boule de centre O de rayon Soit 𝐟 une fonction continue sur un segment [𝐚, 𝐛] (𝐚 < 𝐛) , et (𝐂𝐟 )
𝐑 sa courbe représentative dans le repère (𝐎, 𝐢, 𝐣)
Retrouver la formule du volume V du Le volume du solide engendré par la
De boule (B) rotation de la courbe (𝐂𝐟 )autour de
On définit le disque (C) par l’axe des abscisses sur [𝐚, 𝐛] (un tour
l’intersection du plan horizontal complet) est donné par la formule :
𝐛
d’équation z = t , avec −𝑹 ≤ 𝒕 ≤ 𝑹, 𝐕 = 𝛑 ∫𝐚 (𝐟(𝐱))𝟐 𝐝𝐱 (en unités de volume)
avec la boule (B) L’unité de volume est :
Lorsque t croit de -R à R, le disque ⃗‖
𝒖. 𝑽 = ‖𝐢‖ × ‖𝒋‖ × ‖𝒌
(C) parcourt toute la boule (B)
On a le rayon de (C) est 𝒓 = √𝐑𝟐 − 𝐭 𝟐 Exercice 16
Donc l’aire du disque (𝐂) est : 𝐒(𝐭) = 𝛑𝐫 𝟐 = 𝛑(𝐑𝟐 − 𝐭 𝟐 ) L’espace est rapporté à R.O.N ( 𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌) avec ‖𝐢‖ = 𝟏𝒄𝒎
Alors le volume 𝐕(𝐁) de la boule est donné par: Calculer en 𝒄𝒎𝟑 le volume de solide de révolution engendré par
𝐑 𝐑 𝐑
𝐭𝟑 𝟒 la rotation de (𝑪𝒇) par rapport à (Ox) (tour complet) sur 𝐈
𝐕(𝐁) = ∫ 𝐒(𝐭)𝐝𝐭 = ∫ 𝛑(𝐑 − 𝐭 ) 𝐝𝐭 = 𝛑 [𝐭𝐑 − ] = 𝛑𝐑𝟑
𝟐 𝟐 𝟐
−𝐑 −𝐑 𝟑 −𝐑 𝟑 1) 𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙 sur 𝑰 = [𝟎; 𝟏] ;
2) 𝒈(𝐱) = √𝟏 − 𝐱 𝟐 sur 𝑰 = [−𝟏; 𝟏]
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Solution
1) Le volume du solide engendré par la rotation de la courbe de la
fonction 𝐱 → 𝐞𝐱 sur [0,1]
Autour de l’axe des abscisses un tour complet est donné par :
𝟏
𝟐
𝐕 = 𝛑 ∫ (𝐟(𝐱)) 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑
𝟎
𝟏 𝟏
𝐱 )𝟐
𝛑 𝟐𝐱 𝟏 𝟑
= 𝛑 ∫ (𝐞 𝐝𝐱 = 𝛑 ∫ 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑 = [𝐞 ]𝟎 𝒄𝒎
𝟎 𝟎 𝟐
( 𝟐
𝛑 𝐞 − 𝟏)
= 𝒄𝒎𝟑
𝟐
2) Le volume du solide engendré par la rotation de la courbe de la
fonction 𝐱 → √𝟏 − 𝐱 𝟐 sur [-1,1]
Autour de l’axe des abscisses un tour complet est donné par :
𝟏
𝟐
𝐕 = 𝛑 ∫ (𝐠(𝐱)) 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑
−𝟏
𝟏 𝟐
= 𝛑 ∫ (√𝟏 − 𝐱 𝟐 ) 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑
−𝟏
𝟏
𝛑
= 𝛑 ∫ (𝟏 − 𝐱 𝟐 )𝟐 𝐝𝐱 = [𝟑𝐱 − 𝐱 𝟑 ]𝟏−𝟏 . 𝒄𝒎𝟑
−𝟏 𝟑
𝟒𝛑
= 𝒄𝒎𝟑
𝟑
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Exercice 01 Exercice 05
𝒆𝟏 𝟏 Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) ; ‖𝐢‖ = 𝟐 𝐜𝐦
Calculer les intégrales suivantes : 𝑨 = ∫𝟏 𝒙 𝒅𝒙 ; 𝑩= ∫𝟎 𝒆−𝒙 𝐝𝐱
𝟏
𝛑
𝟒 𝟓 3) Soit f définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = et (𝑪𝒇) sa courbe
𝟒 𝟑 𝐱 (𝐱+𝟏)
𝐂 = ∫ 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝑫 = ∫ 𝟐 𝒅𝒙 ; 𝑬 = ∫ 𝟑𝒙𝟐 + 𝟒𝒙 − 𝟓 𝒅𝒙 c) Vérifier que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐟(𝐱) = −
𝟏 𝟏
𝟎 𝟏 𝒙 𝟐 𝐱 𝐱+𝟏
𝟏 𝟏 𝐞
𝐥𝐧(𝐱) d) Calculer 𝑨, l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) ,
𝑭 = ∫ √𝐱 + 𝟏 𝐝𝐱 ; 𝑮 = ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 ; 𝐇=∫ 𝐝𝐱 la droite (𝐎𝐱) et les droites x=1 et x=𝟐
𝟎 −𝟏 𝟏 𝐱
𝟏
𝟏 𝒆𝒙 𝟏 𝐥𝐧(𝟐) 4) Soit 𝐠 la fonction définie par 𝐠(𝐱) = 𝒆𝒙−𝟏 − 𝟏 et (𝑪𝒈) sa courbe
𝑲 = ∫ 𝟐𝒙 𝒅𝒙 ; 𝑴=∫ 𝒙 𝒅𝒙 ; 𝑵 = ∫ |𝒆𝒙 − 𝟏|𝐝𝐱 Calculer l’aire du domaine délimité par(𝑪𝒈) , la droite (𝐎𝐱) et les
−𝟏 𝒆 𝟎 𝒆 +𝟑 −𝐥𝐧(𝟐)
𝛑 droites d’équations : 𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐱 = 𝟐
𝐞𝟒 𝟏
𝟏 𝟑 𝐞𝟐𝐱 − 𝟏 Exercice 06
𝑶=∫ 𝐝𝐱 ; 𝐏 = ∫ 𝐭𝐚𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐐 = ∫ 𝟐𝐱 𝐝𝐱
𝐞𝟐 𝐱 𝐥𝐧(𝐱) 𝟎 𝟎 𝐞 +𝟏 Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) ; ‖𝐢‖ = 𝟏 𝐜𝐦
Exercice 02 𝟐
Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱)
𝐱
𝐥𝐧(𝟐) 𝐞𝐭 −𝟏 𝐥𝐧(𝟐) 𝟏
3) On pose : 𝐊 = ∫𝟎 𝐝𝐭 𝐞𝐭 𝐋 = ∫𝟎 𝐝𝐭 1) Calculer
𝟐 𝟐 𝐥𝐧 𝐱
∫𝟏 𝒙 𝒅𝒙
𝐞𝐭 +𝟏 𝐞𝐭 +𝟏
Calculer 𝐊 + 𝐋 𝐞𝐭 𝐊 + 𝟐𝐋 puis en déduire les valeurs de 𝐊 𝐞𝐭 𝐋 𝟐 𝟐
𝛑 𝛑 2) Par I.P.P, montrer que : ∫𝟏 ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = (𝟏 − 𝒍𝒏 𝟐)𝟐
𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐬𝐢𝐧 𝐱 𝒙
4) On pose : 𝐈 = ∫𝟎 𝟐 𝐝𝐱 et 𝐉 = ∫𝟎 𝟐 𝐝𝐱 3) Montrer que (𝑪𝒇) la courbe de f est en dessous de la droite (𝑫)
𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱
Calculer 𝐈 + 𝐉 et 𝐈 − 𝐉 puis en déduire les valeurs de I et J 𝒅′ é𝒒𝒖𝒂𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
Exercice 03 4) Déduire l’aire du domaine plan limité par (𝑪𝒇), la droite (𝐃) et
En utilisant la formule d’intégration par parties, Calculer les les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟐
intégrales suivantes : Exercice 07
𝐥𝐧(𝟑) 𝟏 𝐞 Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱
𝐀 = ∫𝐥𝐧(𝟐) 𝐱𝐞 𝐱 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫𝟎 (𝐱+𝟏)𝐞−𝐱+𝟏 𝐝𝐱 ; 𝐂 = ∫𝟏 𝐱 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱
1) Monter que la fonction 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
𝐞𝟐 𝟏 𝐞
𝐃 = ∫𝐞 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 ; 𝐄 = ∫𝟎 𝐱 𝟐 𝐞 𝐱 𝐝𝐱 ; 𝑭 = ∫−𝟏 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)𝐝𝐱 primitive de la fonction 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 sur [𝟎, 𝟏]
𝛑 𝟐 𝐞 𝟏 𝟐𝒆−𝟓
𝐆 = ∫𝟎 𝐱 𝐜𝐨𝐬(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐇 = ∫𝟎 𝐱√𝟑 − 𝐱𝐝𝐱 ; 𝐊 = ∫𝟏 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐝𝐱 2) Déduire que : ∫𝟎 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 =
𝒆
𝟏 𝒆−𝟐
Exercice 04 3) Par intégration par parties , montrer que ∫𝟎 𝐱𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
𝛑 𝒆
1) Linéariser 𝐜𝐨𝐬 𝟑 𝐱 puis calculer ∫𝟎𝟒 𝐜𝐨𝐬𝟑 (𝐱)𝐝𝐱. 4) Montrer que (𝑪𝒇) est en dessous de la droite (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur
𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 𝟏 𝟑
𝟓𝒙 + 𝟏 l’intervalle [𝟎, 𝟏]
𝟐) 𝐂𝐚𝐥𝐜𝐮𝐥𝐞𝐫 𝐥𝐞𝐬 𝐢𝐧𝐭é𝐠𝐫𝐚𝐥𝐞𝐬: 𝑨 = ∫ 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫ 𝟐 𝐝𝐱 5) Déduire l’aire du domaine délimité par (𝑪𝒇), la droite (𝐃) et les
𝟎 𝒙+𝟏 𝟐 𝒙 +𝒙−𝟐
droites d’équations x=0 et x=𝟏 (On donne ; ‖𝐢‖ = ‖𝐣‖ = 𝟏 𝐜𝐦)
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Exercice 08 Exercice 13
Soit 𝝎 ∈ ℝ∗+ , et la fonction f définit sur ℝ par : 𝒇(𝒕) = 𝒄𝒐𝒔𝟐 (𝝎𝒕)
Soit 𝒏 ∈ ℕ , considérons la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ tel que :
𝝅 𝟐
Calculer la valeur moyenne de la f sur l’intervalle [𝟎 ; ] 𝟏
𝝎 𝑰𝒏 = ∫ 𝐝𝐱
𝟏 (𝟏 + 𝒙 )
𝟐 𝒏
Exercice 09
L’espace est rapporté à R.O.N ( 𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌) avec ‖𝐢‖ = 𝟏𝒄𝒎 1) Etudier le sens de variation de la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ
Calculer en 𝒄𝒎𝟑 le volume de solide de révolution engendré par la 2) Montrer que la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ est convergente
𝟏
rotation de (𝑪𝒇) par rapport à (Ox) (tour complet) sur 𝐈 3) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 ≤ 𝑰𝒏 ≤ 𝒏
𝟐
𝒙
1) 𝒇(𝐱) = 𝐞 sur 𝑰 = [𝟎; 𝟏] ; 2) 𝒈(𝐱) = √𝟏 − 𝐱𝟐 sur 𝑰 = [−𝟏; 𝟏] 4) En déduire la limite de la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ
Exercice 10 Exercice 14
𝟐 𝟏+𝒍𝒏 𝒙
1) Vérifier que : ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 ≥ 𝟎 Soit f une fonction définie sur]𝟎; +∞[ par : 𝒇(𝒙) = ; (𝑪𝒉 ) la
𝒙𝟐
𝟏 𝟏
2) a) Vérifier que ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; ≤ courbe de f dans un repère orthonormé (unité1 cm)
𝐭𝟐 𝐭
𝟏 Soient 𝐧 ∈ 𝐈𝐍 ∗ ; 𝒐𝒏 désigne par 𝑰𝒏 l’aire du domaine limité par la
b) En déduire que ∀𝐱 ∈ [𝟏, +∞[; 𝟏 − ≤ 𝐥𝐧(𝐱) 𝟏
𝐱 courbe (𝑪𝒇 ) la droite (𝐎𝐱) et les droites ; 𝒙 = et 𝒙 = 𝒏
𝟏 𝒆
3) a) Montrer que: (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏 −𝟐−𝒍𝒏𝒙
𝟏+𝒕 1) Montrer que la fonction 𝑭: 𝒙 → et une primitive de la
𝒙𝟐 𝒙
+)
b) En déduire que: (∀𝒙 ∈ ℝ , 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙 fonction f sur ]𝟎; +∞[
𝟐
𝟏
c) Déterminer un encadrement de l’intégrale 𝑰 = ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) 𝒅𝒙 2) Montrer que ∀𝐱 ∈ [𝟏 ; +∞] : 𝒇(𝒙) ≥ 𝟎
𝒆
Exercice 11 2) Calculer 𝑰𝒏 en fonction de n puis déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑰𝒏
𝟏 𝒙𝒏 𝐧→+∞
Soit (𝑼𝒏 )ℕ∗ une suite tel que : 𝑼𝒏 = ∫𝟎 𝒅𝒙 Exercice 15
𝟏+𝒙𝟐
𝟏 𝟏
1) Montrer que :(∀𝒏 ∈ ℕ∗ ) ∶ ≤ 𝑼𝒏 ≤ Soit l’équation différentielle :
𝟐(𝒏+𝟏) 𝒏+𝟏
2) Déduire la limite de la suite (𝑼𝒏 )𝒏≥𝟏 (𝐄): 𝐲 ′′ − 𝟒𝐲 ′ + 𝟏𝟑𝐲 = 𝟎
Exercice 12
𝒆 1) Résoudre dans IR l’équation (𝐄)
Soit (𝑰𝒏 )ℕ∗ une suite tel que 𝑰𝒏 = ∫𝟏 (𝒍𝒏𝒙)𝒏 𝒅𝒙
2) Déterminer la solution g de (𝐄)tel que :
1) Calculer 𝑰𝟏 𝒈(𝟎) = 𝟎 et 𝒈′(𝟎) = 𝟑
2) Montrer que (𝑰𝒏 )ℕ∗ est décroissante 𝝅 𝟑
3) Déduire que∫𝟎 𝐬𝐢𝐧(𝟑𝐱) 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱 = (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 )
3) Par une intégration par parties montrer 𝟏𝟑
𝝅 𝟐𝐱
(∀𝒏 ∈ ℕ∗ ) ∶ 𝑰𝒏 = 𝒆 − 𝒏 𝑰𝒏−𝟏 4) Calculer l’intégrale ∫𝟎 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝐱) 𝐞 𝐝𝐱
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Exercice 01 𝐞𝟒
(𝐥𝐧 𝐱)𝟐 (𝐥𝐧 𝐞𝟒 )𝟐 (𝐥𝐧 𝐞𝟐 )𝟐
𝒆𝟏 𝟏
Calculer les intégrales suivantes : 𝑨 = ∫𝟏 𝒅𝒙 ; 𝑩 = ∫𝟎 √𝐱 + 𝟏𝐝𝐱 =[ ] = −
𝒙 𝟐 𝐞𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 𝟐 𝐞𝟒
−𝒙
𝐥𝐧(𝐱) (𝟒𝐥𝐧 𝐞)𝟐 (𝟐𝐥𝐧 𝐞)𝟐 𝟏𝟔 𝟒
𝑪 = ∫ 𝒆 𝐝𝐱 ; 𝑫 = ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 ; 𝐄=∫ 𝐝𝐱 = − = − =𝟔
𝟎 −𝟑 𝐞𝟐 𝐱 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝛑 𝛑 𝛑
𝟒
𝟒
𝟑 𝟓 𝟒 𝟏 𝟒
𝐅 = ∫ 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝑮 = ∫ 𝒅𝒙 ; 𝑯 = ∫ 𝟑𝒙𝟐 + 𝟒𝒙 − 𝟓 𝒅𝒙 𝑭 = ∫ 𝐜𝐨𝐬(𝟐𝐱) 𝐝𝐱 = [ 𝐬𝐢 𝐧(𝟐𝒙)]
𝟎 𝟏 𝒙
𝟐
𝟐 𝟎 𝟐 𝟎
𝟏 𝟏
𝒆𝒙 𝐥𝐧(𝟐) 𝟏 𝛑 𝟏 𝟏
𝑲 = ∫ 𝒆−𝟐𝒙 𝒅𝒙 ; 𝑴=∫ 𝒙 𝒅𝒙 ; 𝑵 = ∫ |𝒆𝒙 − 𝟏|𝐝𝐱 = 𝐬𝐢 𝐧 ( ) − ( 𝐬𝐢 𝐧(𝟎)) =
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
−𝟏 𝟎 𝒆 +𝟑 −𝐥𝐧(𝟐) 𝟒 𝟒
𝛑 𝟑 𝟑 𝟑 𝟑 𝟗
𝟏 𝐞
𝟑
𝟏
𝐞𝟐𝐱 − 𝟏 𝑮 = ∫ 𝟐 𝒅𝒙 = [− ] = − − (− ) =
𝑶=∫ 𝐝𝐱 ; 𝐏 = ∫ 𝐭𝐚𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐐 = ∫ 𝟐𝐱 𝐝𝐱 𝟏 𝒙 𝒙𝟏 𝟒 𝟏 𝟒
𝟐 𝐱𝐥𝐧(𝐱) 𝟎 𝟎 𝐞 + 𝟏 𝟓
Solution 𝑯 = ∫ 𝟑𝒙𝟐 + 𝟒𝒙 − 𝟓 𝒅𝒙 = [𝒙𝟑 + 𝟐𝒙𝟐 − 𝟓𝒙]𝟓𝟐
𝒆 𝟐
𝟏
𝑨 = ∫ 𝒅𝒙 = [𝐥 𝐧(𝒙)]𝒆𝟏 = 𝒍𝒏(𝒆) − 𝐥𝐧(𝟏) = 𝟏 − 𝟎 = 𝟎 = 𝟓 + 𝟐 × 𝟓𝟐 − 𝟓 × 𝟓 − (𝟐𝟑 + 𝟐 × 𝟐𝟐 − 𝟓 × 𝟐) = 𝟏𝟒𝟒
𝟑
𝟏 𝒙
𝟏 𝟏
𝟏
−𝟐𝒙
𝟏 −𝟐𝒙 𝟏
𝑲=∫ 𝒆 𝒅𝒙 = [ 𝒆 ]
𝑩 = ∫ √𝐱 + 𝟏𝐝𝐱 = ∫ (𝐱 + 𝟏)′ √𝐱 + 𝟏𝐝𝐱 −𝟏 −𝟐 −𝟏
𝟎 𝟎 𝟏 𝟏
𝟏 ′
𝟏
𝟐 𝟏 𝟐 = 𝒆−𝟐×𝟏 − 𝒆−𝟐×(−𝟏)
= ∫𝟎 (𝐱 + 𝟏) (𝐱 + 𝟏) 𝐝𝐱 = [ √(𝐱 + 𝟏) ] = (√𝟖 − 𝟏)
𝟐 𝟑
−𝟐 −𝟐
𝟑 𝟎 𝟑
𝟏
𝟏 −𝟐
𝟏 𝟐
𝟏 𝟐 𝟏
𝟏 = − 𝒆 + 𝒆 = (𝒆 − 𝟐 )
𝑪 = ∫ 𝒆−𝒙 𝐝𝐱 = [−𝒆−𝒙 ]𝟏𝟎 = −𝒆−𝟏 + 𝒆−𝟎 = 𝟏 − 𝟐 𝟐 𝟐 𝒆
𝟎 𝒆 𝟏
𝒆𝒙
𝟐 𝟎 𝟐 𝑬=∫ 𝒙 𝒅𝒙 = [𝐥𝐧(𝒆𝒙 + 𝟑)]𝟏𝟎 = 𝐥𝐧(𝒆𝟏 + 𝟑) − 𝐥𝐧(𝒆𝟎 + 𝟑)
𝑫 = ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 = ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 + ∫ ∣ 𝐱 ∣ 𝐝𝐱 𝟎 𝒆 +𝟑
−𝟑 −𝟑 𝟎 𝒆+𝟑
𝟎 𝟐 𝟎 𝟐 = 𝐥𝐧(𝒆 + 𝟑) − 𝐥𝐧(𝟒) = 𝐥𝐧
𝐱𝟐 𝐱𝟐 𝟏𝟑 𝟒
= ∫ −𝐱𝐝𝐱 + ∫ 𝐱𝐝𝐱 = [− ] + [− ] = 𝐞
𝟏 𝐞
𝟏 𝟏 𝐞
𝟏
−𝟑 𝟎 𝟐 −𝟑
𝟐 𝟎
𝟐 𝑶=∫ 𝐝𝐱 = ∫ × 𝐝𝐱 = ∫ (𝐥𝐧 𝐱)′ × 𝐝𝐱
𝐞 𝟒 𝐞𝟒 𝐞 𝟒 𝟐 𝐱𝐥𝐧(𝐱) 𝟐 𝐱 𝒍𝒏(𝒙) 𝟐 𝒍𝒏(𝒙)
𝐥𝐧(𝐱) 𝟏 𝐞 (𝐥𝐧
𝑬=∫ 𝐝𝐱 = ∫ × 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 = ∫ (𝐥𝐧 𝐱)′ 𝐥𝐧 𝐱 𝐝𝐱 𝐱)′
𝐞𝟐 𝐱 𝐞𝟐 𝐱 𝐞𝟐
=∫ 𝐝𝐱 = [𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝒙))]𝐞𝟐
𝟐 𝒍𝒏(𝒙)
= 𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝒆)) − 𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝟐)) = −𝒍𝒏(𝒍𝒏(𝟐))
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𝛑 𝛑 𝛑 𝐥𝐧(𝟐) 𝐥𝐧(𝟐)
𝟑 𝒔𝒊𝒏 𝒙𝟑 𝟑 −(𝐜𝐨𝐬 𝐱)
′ 𝐞𝐭 + 𝟏
𝐏 = ∫ 𝐭𝐚𝐧(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫ 𝐝𝐱 = ∫ 𝐝𝐱 =∫ 𝐭
𝐝𝐭 = ∫ 𝟏 𝐝𝐭 = [𝐱]𝐥𝐧
𝟎
𝟐
= 𝐥𝐧(𝟐)
𝟎 𝟎 𝒄𝒐𝒔 𝒙 𝟎 𝒄𝒐𝒔 (𝒙) 𝟎 𝐞 +𝟏 𝟎
𝛑
𝟏 On a ;
= [−𝐥 𝐧(𝐜𝐨 𝐬(𝒙))]𝟎𝟑 = −𝒍𝒏 ( ) = 𝒍𝒏(𝟐) 𝐊 + 𝟐𝐋 = 𝐥𝐧(𝟐) 𝐊 + 𝟐𝐋 = 𝐥𝐧(𝟐)
𝟐 { ⇔{
𝟏 𝟐𝐱 𝟏 𝐞 (𝐞 𝐱 − )
𝐱 𝟏
𝟏 𝐱 𝑲 + 𝑳 = 𝒍𝒏(𝟑) − 𝒍𝒏(𝟐) 𝑳 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑) ; (𝑳𝟏 − 𝑳𝟐 )
𝐞 −𝟏 𝐞𝐱 𝐞 − 𝐞−𝐱
𝑸 = ∫ 𝟐𝐱 𝐝𝐱 = ∫ 𝟏 𝐝𝐱 = ∫ 𝐞 𝐱 + 𝐞−𝐱 𝐝𝐱
𝐊 + 𝟐(𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑)) = 𝐥𝐧(𝟐)
𝟎 𝐞 +𝟏 𝟎 𝐞 𝐱 (𝐞 𝐱 + 𝐱 ) 𝟎 ⇔{
𝐞 𝑳 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑)
𝟏 (𝐞 𝐱
+𝐞 −𝐱 )′ 𝐊 = 𝟐𝐥𝐧(𝟑) − 𝟑𝐥𝐧(𝟐)
=∫ 𝐝𝐱 = [𝒍𝒏(𝐞 𝐱 + 𝐞−𝐱 )]𝟏𝟎 ⇔{
𝐞 𝐱 + 𝐞−𝐱 𝑳 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐) − 𝒍𝒏(𝟑)
𝟎 𝛑 𝛑
𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝟏 −𝟏
𝟏 𝐞𝟐 + 𝟏 2) On pose : 𝐈 = ∫𝟎𝟑 𝐝𝐱 et 𝐉 = ∫𝟎𝟑 𝐝𝐱
= 𝐥𝐧(𝐞 + 𝐞 ) − 𝒍𝒏(𝟏 + 𝟏) = 𝐥𝐧 (𝐞 + ) − 𝒍𝒏(𝟐) = 𝐥𝐧 ( ) 𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱
𝒆 𝟐𝒆 Calculer 𝐈 + 𝐉 et 𝐈 − 𝐉 puis en déduire les valeurs de I et J
𝛑 𝛑
Exercice 02 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝟑 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝐥𝐧(𝟐) 𝐞𝐭 −𝟏 𝐥𝐧(𝟐) 𝟏 𝐈+𝐉=∫ 𝐝𝐱 + ∫ 𝐝𝐱
5) On pose : 𝐊 = ∫𝟎 𝐝𝐭 𝐞𝐭 𝐋 = ∫𝟎 𝐝𝐭 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱
𝐞𝐭 +𝟏 𝐞𝐭 +𝟏 𝛑 𝛑
Calculer 𝐊 + 𝐋 𝐞𝐭 𝐊 + 𝟐𝐋 puis en déduire les valeurs de 𝐊 𝐞𝐭 𝐋 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝟑 𝟑
𝛑
𝛑
𝛑 𝛑 =∫ 𝐝𝐱 = ∫ 𝟏 𝐝𝐱 = [𝐱]𝟎𝟑 =
6) On pose : 𝐈 = ∫𝟎𝟑
𝐜𝐨𝐬 𝐱
𝐝𝐱 et 𝐉 = ∫𝟎𝟑
𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝐝𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝟑
𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐜𝐨𝐬 𝐱+𝐬𝐢𝐧𝐱 𝛑 𝛑
𝟑𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝟑 𝐬𝐢𝐧 𝐱
Calculer 𝐈 + 𝐉 et 𝐈 − 𝐉 puis en déduire les valeurs de I et J 𝐈−𝐉=∫ 𝐝𝐱 − ∫ 𝐝𝐱
Solution 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱
𝛑 𝛑
𝐥𝐧(𝟐) 𝐭
𝐞 −𝟏 𝐥𝐧(𝟐)
𝟏 𝐜𝐨𝐬 𝐱 − 𝐬𝐢𝐧 𝐱
𝟑 𝟑 (𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧 𝐱)′
𝟏) 𝐊 + 𝐋 = ∫ 𝐝𝐭 + ∫ 𝐝𝐭 =∫ 𝐝𝐱 = ∫ 𝐝𝐱
𝐞 𝐭+𝟏 𝐞 𝐭+𝟏 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝟎 𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱
𝟎 𝟎
𝐥𝐧(𝟐) 𝐭 𝟏 √𝟑
𝛑
𝐞 −𝟏 𝟏
=∫ + 𝐝𝐭 = [𝐥𝐧(𝐜𝐨𝐬 𝐱 + 𝐬𝐢𝐧𝐱)]𝟎 = 𝒍𝒏( + ) 𝟑

𝐞𝐭 + 𝟏 𝐞𝐭 + 𝟏 𝟐 𝟐
𝟎 𝛑 𝛑
𝐥𝐧(𝟐)
𝐞𝐭 𝐈+𝐉= 𝐈+𝐉=
=∫ 𝐝𝐭 = [𝐥𝐧(𝐞𝐭 + 𝟏)]𝐥𝐧 𝟐
= 𝐥𝐧(𝟑) − 𝐥𝐧(𝟐) 𝟑 𝟑
𝐞 𝐭+𝟏 𝟎 { ⇔{
𝟎 𝟏 √𝟑 𝛑 𝟏 √𝟑
𝐥𝐧(𝟐) 𝐭
𝐞 −𝟏 𝐥𝐧(𝟐)
𝟏 𝐈 − 𝐉 = 𝒍𝒏( + ) 𝟐𝑰 = + 𝒍𝒏( + ) ; (𝑳𝟏 + 𝑳𝟐 )
𝐊 + 𝟐𝐋 = ∫ 𝐝𝐭 + 𝟐 ∫ 𝐝𝐭 𝟐 𝟐 𝟑 𝟐 𝟐
𝐭
𝐞 +𝟏 𝐭
𝐞 +𝟏 𝟏 √𝟑
𝟎 𝟎 𝛑 𝒍𝒏 ( + )
𝐥𝐧(𝟐) 𝐈= −𝑱 𝛑 𝟐 𝟐
𝐞𝐭 − 𝟏 𝟐 𝟑 𝐈 = −
=∫ + 𝐝𝐭 ⇔ ⇔ 𝟐 𝟐
𝟎 𝐞𝐭 + 𝟏 𝐞𝐭 + 𝟏 𝛑 𝒍𝒏 (
𝟏
+
√𝟑
) 𝟏 √𝟑
𝑰= + 𝟐 𝟐 𝛑 𝒍𝒏 (𝟐 + 𝟐 )
{ 𝟔 𝟐 {𝑰 = 𝟔 + 𝟐
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𝟏
Exercice 03 3) Déterminer un encadrement de l’intégrale 𝑰 = ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) 𝒅𝒙
𝟐
3) Vérifier que : ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 ≥ 𝟎 Soit ( 𝒙 ∈ ℝ+ ), On a , 𝒙 −
𝒙𝟐
≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙
𝟏 𝟏 𝟐
4) Vérifier que ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; ≤ 𝟏 𝒙𝟐 𝟏 𝟏
𝐭𝟐 𝐭 Donc ∫𝟎 𝒙 − 𝒅𝒙 ≤ ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)𝒅𝒙 ≤ ∫𝟎 𝒙 𝒅𝒙
𝟏 𝟐
Puis en déduire que ∀𝐱 ∈ [𝟏, +∞[; 𝟏 − ≤ 𝐥𝐧(𝐱) 𝟏 𝟏
𝐱 𝐱𝟐 𝒙𝟑 𝟏 𝐱𝟐
3)a)Montrer que: (∀ 𝒕 ∈ ℝ , 𝟏 − 𝒕 ≤ +) 𝟏
≤𝟏 Donc [ − ] ≤ ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)𝒅𝒙 ≤ [ ]
𝟏+𝒕 𝟐 𝟔 𝟎 𝟐 𝟎
𝒙𝟐 𝟏 𝟏 𝟏
b) En déduire que: (∀𝒙 ∈ ℝ+ ), 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙 Donc ≤ ∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙)𝒅𝒙 ≤
𝟐 𝟑 𝟐

c) Déterminer un encadrement de l’intégrale 𝑰 =


𝟏
∫𝟎 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) 𝒅𝒙 Exercice 05
Solution Soit 𝒏 ∈ ℕ , considérons la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ tel que :
𝟐
𝟐 𝟏
1) On a : (∀𝐱 ∈ [𝟏, 𝟐]) ; 𝐥𝐧(𝐱) ≥ 𝟎 donc ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 ≥ 𝟎 𝑰𝒏 = ∫ 𝐝𝐱
𝟏 (𝟏 + 𝒙 )
𝟐 𝒏
𝟏 𝟏
2) On a ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; 𝐭 ≤ 𝐭 𝟐 donc ∀𝐭 ∈ [𝟏, +∞[ ; ≤
𝐭𝟐 𝐭 5) Etudier le sens de variation de la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ
𝐱 𝟏 𝐱𝟏 𝟏 𝐱
On a ∫𝟏 𝟐 𝐝𝐭 ≤ ∫𝟏 𝐭 𝐝𝐭 c’est-à-dire [− ] ≤ [𝐥𝐧𝐭]𝟏𝐱 6) Montrer que la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ est convergente
𝐭 𝐭 𝟏
𝟏 𝟏
d’où ∀𝐱 ∈ [𝟏, +∞[; 𝟏 − ≤ 𝐥𝐧(𝐱) 7) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 ≤ 𝑰𝒏 ≤
𝐱 𝟐𝒏
𝟏
3)a- Montrer que: (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏 8) En déduire la limite de la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ
𝟏+𝒕
𝟏 Solution
Soit ( 𝒕 ∈ ℝ+ ), donc 𝟏 + 𝒕 ≥ 𝟏 donc ≤𝟏 𝟐 𝟏
𝟏+𝒕
Et on a 𝒕𝟐 ≥ 𝟎 donc −𝒕𝟐 ≤ 𝟎 donc 𝟏 − 𝒕𝟐 ≤ 𝟏 1) Soit 𝒏 ∈ ℕ , la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ tel que : 𝑰𝒏 = ∫𝟏 𝒏 𝐝𝐱
(𝟏+𝒙𝟐 )
(𝟏−𝒕)(𝟏+𝒕) 𝟏 𝟏
Donc ≤ donc 𝟏 − 𝒕 ≤ Etudier le sens de variation de la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ
𝟏+𝒕 𝟏+𝒕 𝟏+𝒕
𝟏
D’où (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏 Soit 𝒏 ∈ ℕ
𝟏+𝒕 𝟐 𝟐
𝒙𝟐 𝟏 𝟏
b- En déduire que: (∀𝒙 ∈ ℝ+ ), 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙 𝑰𝒏+𝟏 − 𝑰𝒏 = ∫ 𝐝𝐱 − ∫ 𝐝𝐱
𝟐
𝟏 𝟏 (𝟏 + 𝒙 𝟐 )𝒏+𝟏
𝟏 (𝟏 + 𝒙𝟐 )𝒏
Soit ( 𝒙 ∈ ℝ+ ), on a : (∀ 𝒕 ∈ ℝ+ ), 𝟏 − 𝒕 ≤ ≤𝟏 𝟐
𝟏+𝒕 𝟏 𝟏
Donc
𝐱
∫𝟎 𝟏 − 𝒕 𝐝𝐭 ≤
𝐱 𝟏
∫𝟏 𝟏+𝒕 𝐝𝐭 ≤
𝐱
∫𝟏 𝟏𝐝𝐭 =∫ − 𝐝𝐱
𝟏 (𝟏 + 𝒙 ) (𝟏 + 𝒙𝟐 )𝒏
𝟐 𝒏+𝟏
𝐱
𝐭𝟐 𝟐
Donc [𝐭 − ] ≤ [𝐥𝐧(𝟏 + 𝐭)]𝟎𝐱 ≤ [𝐱]𝟎𝐱 𝟏 − 𝟏 − 𝒙𝟐
𝟐 𝟎 =∫ 𝐝𝐱
𝟏 (𝟏 + 𝒙 )
𝟐 𝒏+𝟏
𝒙𝟐
Donc 𝒙 − ≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙 𝟐
𝟐 −𝒙𝟐
D’où (∀𝒙 ∈ ℝ+ ), 𝒙 −
𝒙𝟐
≤ 𝒍𝒏(𝟏 + 𝒙) ≤ 𝒙 =∫ 𝐝𝐱
𝟏 (𝟏 + 𝒙 )
𝟐 𝒏+𝟏
𝟐
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Soit 𝒙 ∈ [𝟏 ; 𝟐] Exercice 04
𝟐
−𝒙𝟐 −𝒙𝟐 Calculer les intégrales suivantes :
𝑶𝒏 𝒂 ∶ ≤ 𝟎 𝒅𝒐𝒏𝒄 ∫ 𝐝𝐱 ≤ 𝟎 𝟏 𝟑 𝟑
(𝟏 + 𝒙𝟐 )𝒏+𝟏 𝟏 (𝟏 + 𝒙 )
𝟐 𝒏+𝟏 𝒙 +𝒙+𝟒 𝟓𝒙 + 𝟏
𝑨=∫ 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫ 𝟐 𝐝𝐱
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑰𝒏+𝟏 − 𝑰𝒏 ≤ 𝟎 𝟎 𝒙+𝟏 𝟐 𝒙 +𝒙−𝟐
Donc la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ est décroissante Solution
𝟑
2) Montrer que la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ est convergente 𝒙 +𝒙+𝟒
𝟏 𝟐 𝟏 𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 ∶ 𝒇(𝒙) = ; 𝒔𝒖𝒓 𝑰 = [𝟎; 𝟏]
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒏 ≥𝟎 ;; 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∫𝟏 𝒏 𝐝𝐱 ≥ 𝟎 𝒙+𝟏
(𝟏+𝒙𝟐 ) (𝟏+𝒙𝟐 ) 𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 𝒙+𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒍𝒂 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ est minorée par 0 𝟑
𝒙 +𝒙 𝟐
𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐
la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ est décroissante et minorée par 0 donc elle est 𝟎 − 𝒙𝟐 + 𝒙 + 𝟒
convergente −𝒙𝟐 − 𝒙
𝟏
1) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 ≤ 𝑰𝒏 ≤ 𝟎 + 𝟐𝒙 + 𝟒
𝟐𝒏
Soit 𝒙 ∈ [𝟏 ; 𝟐] et 𝒏 ∈ ℕ 𝟐𝒙 + 𝟐
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒙𝟐 ≥ 𝟎 ; 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒙𝟐 + 𝟏 ≥ 𝟐 𝟎+𝟐
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 Donc : 𝒙 + 𝒙 + 𝟒 = (𝒙 + 𝟏)(𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐) + 𝟐
𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 ≤ ; 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟎 ≤ 𝒏 ≤
𝒙𝟐 +𝟏 𝟐 (𝟏+𝒙𝟐 ) 𝟐𝒏 𝒙𝟑 + 𝒙 + 𝟒 (𝒙 + 𝟏)(𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐) 𝟐
𝟐 𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = +
𝟏 𝟏 𝒙+𝟏 𝒙+𝟏 𝒙+𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟎 ≤ ∫ 𝐝𝐱 ≤ ∫ 𝐝𝐱 𝟐
𝟏 (𝟏 + 𝒙𝟐 )𝒏
𝟏 𝟐 𝒏
= 𝒙𝟐 − 𝒙 + 𝟐 +
𝟐 𝒙+𝟏
𝟏 𝟏 𝟑 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝟎 ≤ ∫ 𝐝𝐱 ≤ 𝒏 (𝟐 − 𝟏) 𝒙 𝒙
𝟏 (𝟏 + 𝒙 )
𝟐 𝒏 𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒎𝒊𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒆𝒔𝒕 ∶ 𝑭(𝒙) = − + 𝟐𝒙 + 𝟐 𝒍𝒏(𝒙 + 𝟏)
𝟑 𝟐
𝟏 𝟏 𝟑 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 ≤ 𝑰𝒏 ≤ 𝒏 𝒙 +𝒙+𝟒 𝒙𝟑 𝒙𝟐
𝟐 𝑨=∫ 𝐝𝐱 = [ − + 𝟐𝒙 + 𝟐 𝒍𝒏(𝒙 + 𝟏)]
2) En déduire la limite de la suite (𝑰𝒏 )𝒏∈ℕ 𝟎 𝒙+𝟏 𝟑 𝟐 𝟎
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝑶𝒏 𝒂 ∶ (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟎 ≤ 𝑰𝒏 ≤ 𝒏 = − + 𝟐𝒍𝒏(𝟐) = − + 𝟐𝒍𝒏(𝟐)
𝟐 𝟑 𝟐 𝟔
𝒏 𝟑
𝟏 𝟏 𝟏 𝟓𝒙 + 𝟏
𝑬𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝟎 𝒄𝒂𝒓 − 𝟏 < < 𝟏 𝐁=∫ 𝟐 𝐝𝐱
𝒏→+∞ 𝟐 𝒏→+∞ 𝟐 𝟐 𝟐 𝒙 + 𝒙 − 𝟐
Donc d’après théorème de gendarme on a : 𝟓𝒙 + 𝟏 𝟓𝒙 + 𝟏
𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒈(𝒙) = 𝟐 = 𝒔𝒖𝒓 𝑰 = [𝟐; 𝟑]
𝐥𝐢𝐦 𝑰𝒏 = 𝟎 𝒙 +𝒙−𝟐 (𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟐)
𝒏→+∞
𝒂 𝒃
Donc il existe deux réels a et b tel que : 𝒈(𝒙) = +
𝒙−𝟏 𝒙+𝟐
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Cherchons a et b : Exercice 06
𝒂 𝒃 Linéariser le polynôme trigonométrique 𝐜𝐨𝐬 𝟑 𝐱 puis calculer
𝒈(𝒙) = +
𝒙−𝟏 𝒙+𝟐 𝛑

𝒂𝒙 + 𝟐𝒂 + 𝒃𝒙 − 𝒃 ∫𝟎 𝐜𝐨𝐬𝟑 (𝐱)𝐝𝐱.
𝟒

=
(𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟐) Solution
(𝒂 + 𝒃)𝒙 + 𝟐𝒂 − 𝒃 On applique une formule d’Euler :
= 𝒆𝒊𝒙 + 𝒆−𝒊𝒙
𝟑
(𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟐) 𝟑
𝐜𝐨𝐬 𝒙 = ( )
𝟓𝒙 + 𝟏 𝟐
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒈(𝒙) = 𝟏
𝒙𝟐 +𝒙−𝟐 = ((𝒆𝒊𝒙 )𝟑 + 𝟑(𝒆𝒊𝒙 )𝟐 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 (𝒆−𝒊𝒙 )𝟐 + (𝒆−𝒊𝒙 )𝟑 ),
𝟖
𝒂+𝒃=𝟓 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { Donc : 𝐜𝐨𝐬𝟑 𝒙 = (𝒆𝟑𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝟐𝒊𝒙 𝒆−𝒊𝒙 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 𝒆−𝟐𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 )
𝟐𝒂 − 𝒃 = 𝟏 𝟖
𝟑𝒃 = 𝟗 ; 𝟐𝑳𝟏 − 𝑳𝟐 𝟏 𝟑𝒊𝒙
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { = (𝒆 + 𝟑𝒆𝒊𝒙 + 𝟑𝒆−𝒊𝒙 + 𝒆−𝟑𝒊𝒙 )
𝟐𝒂 − 𝒃 = 𝟏 𝟖
𝟏
𝒃=𝟑 ; = (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 − 𝟑𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 − 𝒊 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { 𝟖
𝟐𝒂 − 𝟑 = 𝟏 𝟏
𝒃=𝟑 ; (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙 + 𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙)
=
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ { 𝟖
𝒂=𝟐 𝟏 𝟏
= (𝟐𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟔𝐜𝐨𝐬 𝒙) = (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙)
𝟐 𝟑 𝟖 𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒈(𝒙) = + 𝟏
𝒙−𝟏 𝒙+𝟐 Une primitive de la fonction 𝒙 ⟼ (𝐜𝐨𝐬 𝟑𝒙 + 𝟑𝐜𝐨𝐬 𝒙) est la
𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒖𝒏𝒆 𝒑𝒓𝒊𝒎𝒊𝒕𝒊𝒗𝒆 𝒅𝒆 𝒈 𝒆𝒔𝒕: 𝑮(𝒙) = 𝟐 𝒍𝒏(𝒙 − 𝟏) + 𝟑𝒍𝒏(𝒙 + 𝟐) fonction :𝒙 ⟼ ( 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑𝐬𝐢𝐧 𝒙) = 𝟏 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝟑 𝐬𝐢𝐧 𝒙
𝟏 𝟏
𝟒 𝟑 𝟏𝟐 𝟒
𝟑
𝟓𝒙 + 𝟏 𝛑 𝛑
𝐁=∫ 𝟐 𝐝𝐱 𝟒
𝟑
𝟏 𝟑 𝟒

𝟐 𝒙 +𝒙−𝟐
∫ 𝐜𝐨𝐬 (𝐱)𝐝𝐱 = [ 𝐬𝐢𝐧 𝟑𝒙 + 𝐬𝐢𝐧 𝒙]
𝟎 𝟏𝟐 𝟒 𝟎
𝟑 𝟏 𝟑𝛑 𝟑 𝛑
= [𝟐 𝒍𝒏(𝒙 − 𝟏) + 𝟑𝒍𝒏(𝒙 + 𝟐)]𝟐
= 𝐬𝐢𝐧 + 𝐬𝐢𝐧
= 𝟐𝒍𝒏(𝟐) + 𝟑𝒍𝒏(𝟓) − 𝟎 + 𝟑𝒍𝒏(𝟒) 𝟏𝟐 𝟒 𝟒 𝟒
𝟏 √𝟐 𝟑 √𝟐
= 𝟖𝒍𝒏(𝟐) + 𝟑𝒍𝒏(𝟓) = × + ×
𝟏𝟐 𝟐 𝟒 𝟐
√𝟐 + 𝟗 √𝟐
=
𝟐𝟒
𝟓√𝟐
=
𝟏𝟐
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Exercice 07 Calculons l’intégrale : 𝐂 =
𝛑
En utilisant la formule d’intégration par parties, Calculer les
∫ 𝒙 𝒄𝒐𝒔 𝒙 𝐝𝐱
intégrales suivantes : 𝟎
𝟏 𝐞
𝐀 = ∫𝟎 𝐱𝐞 𝐱 𝐝𝐱 ; 𝐁 = ∫𝟏 𝐱𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝐮(𝐱) = 𝒙 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝛑 𝟏 𝐞 𝐯 (𝐱) = 𝐜𝐨𝐬 𝐱 𝐯(𝐱) = 𝒔𝒊𝒏 𝒙
𝐂 = ∫𝟎 𝐱 𝐜𝐨𝐬(𝐱) 𝐝𝐱 ; 𝐃 = ∫𝟎 𝐱 𝟐 𝐞𝐱 𝐝𝐱 ; 𝐄 = ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 Il s’ensuit donc :
𝐞 𝟐 𝐞 𝛑
𝑭 = ∫−𝟏 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)𝐝𝐱 ; 𝐆 = ∫𝟎 𝐱√𝟑 − 𝐱𝐝𝐱 ; 𝐇 = ∫𝟏 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐝𝐱
𝐈 = [𝒙 𝒔𝒊𝒏 𝒙]𝛑𝟎 − ∫ 𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝐝𝐱
Solution 𝟎
𝛑
Calculons l’intégrale : 𝐀 =
𝟏
∫𝟎 𝐱𝐞𝐱 𝐝𝐱 = 𝟎 − [−𝐜𝐨𝐬 𝐱]𝟎
′ (𝐱) = (−𝟏 − 𝟏)
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮 =𝟏
Posons { ′ 𝐱 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { = −𝟐
𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱
Il s’ensuit donc : Calculons l’intégrale :
𝟏
𝟏 𝟏
𝐀 = ∫ 𝐱𝐞 𝐱 𝐝𝐱 = [𝐱𝐞 𝐱 ]𝟏𝟎 − ∫ 𝐞 𝐱 𝐝𝐱 𝐃 = ∫ 𝐱 𝟐 𝐞 𝐱 𝐝𝐱
𝟎
𝟎 𝟎 ′ (𝐱)
𝟐 𝐮 = 𝟐𝐱
= [𝐱𝐞 𝐱 ]𝟏𝟎 − [𝐞 𝐱 ]𝟏𝟎 𝐮(𝐱) = 𝐱
Posons { ′ (𝐱) 𝐱 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱
𝐯 =𝐞
=𝐞−𝐞+𝟏 𝟏
=𝟏 Il s’ensuit donc : 𝐃 = [𝐱 𝟐 𝐞𝐱 ]𝟏𝟎 − ∫𝟎 𝟐𝐱𝐞𝐱 𝐝𝐱
𝐞
 Calculons l’intégrale 𝐁 = ∫𝟏 𝐱𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 = 𝒆 − 𝟐𝐀
𝟏 =𝐞−𝟐
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱) 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
𝐱
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { Car 𝐀 = ∫𝟎 𝐱𝐞 𝐱 𝐝𝐱 = 𝟏
𝐯 (𝐱) = 𝐱 𝐱𝟐
𝐯(𝐱) =
𝟐
Il s’ensuit donc :
𝐞
𝟏 𝟐 𝐞
𝟏 𝐱𝟐
𝐈= [𝐱 𝐥 𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ × 𝐝𝐱
𝟐 𝟏 𝐱 𝟐
𝐞
𝟏 𝟏
= [𝐱 𝟐 𝐥𝐧(𝐱)]𝐞𝟏 − ∫ 𝐱 𝐝𝐱
𝟐 𝟐 𝟏
𝐞
𝟏 𝟐 𝐞
𝟏 𝐱𝟐 𝐞𝟐 + 𝟏
= [𝐱 𝐥𝐧(𝐱)]𝟏 − [ ] =
𝟐 𝟐 𝟐 𝟏 𝟒
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𝐞 𝟓 𝟐
 Calculons l’intégrale 𝐄 = ∫𝟏 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 𝟒 𝟐 𝟐
= − + × [(𝟑 − 𝒙)𝟐 ]
𝟏 𝟑 𝟑 𝟓
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱) 𝐮′ (𝐱) = 𝟎
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱 𝟒 𝟒 𝟓
𝐯 (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱 =− + (𝟏 − (𝟑)𝟐 )
𝟑 𝟏𝟓
Il s’ensuit donc : 𝟒 𝟒
𝐞
𝟏 =− + (𝟏 − √𝟑𝟓 )
𝐞
𝐅 = [𝐱𝐥 𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ × 𝐱 𝐝𝐱 𝟑 𝟏𝟓
𝟏 𝐱
𝐞 𝐞
[𝐱 𝐥𝐧(𝐱)]𝐞𝟏 Calculons l’intégrale 𝐇 = ∫𝟏 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐝𝐱
= − ∫ 𝟏 𝐝𝐱
𝟏
𝟏 𝐮(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱)) 𝐮′ (𝐱) = 𝒄𝒐𝒔(𝒍𝒏(𝒙))
=𝐞− [𝐱]𝐞𝟏 Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝒙
𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱
=𝟏
𝐞 Il s’ensuit donc :
 Calculons l’intégrale 𝐅 = ∫−𝟏 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)𝐝𝐱 𝐞
𝟏 𝐇 = [𝐱 𝐬𝐢𝐧(𝐥𝐧(𝐱))]𝐞𝟏 − ∫ 𝒄𝒐𝒔 (𝒍𝒏(𝒙)) 𝐝𝐱
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐) 𝐮′ (𝐱) =
Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱+𝟐 𝟏
𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝐱 + 𝟐 𝐞
𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − ∫ 𝒄𝒐𝒔 (𝒍𝒏(𝒙)) 𝐝𝐱
Il s’ensuit donc : 𝟏
𝐞
𝟏 𝐮(𝐱) = 𝐜𝐨𝐬(𝐥𝐧(𝐱))
𝟏
𝐮′ (𝐱) = − 𝒔𝒊𝒏(𝒍𝒏(𝒙))
𝐅 = [(𝐱 + 𝟐)𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)]𝐞−𝟏 − ∫ × (𝐱 + 𝟐) 𝐝𝐱 Posons { 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝒙
𝐱 + 𝟐 𝐯 ′ (𝐱) = 𝟏
−𝟏
𝐞
𝐯(𝐱) = 𝐱
= [(𝐱 + 𝟐) 𝐥𝐧(𝐱 + 𝟐)]𝐞−𝟏 − ∫ 𝟏 𝐝𝐱 Il s’ensuit donc :
−𝟏 𝐞
= (𝐞 + 𝟐)𝐥𝐧(𝐞 + 𝟐) − 𝐞
[𝐱]−𝟏 𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − ([𝐱 𝐜𝐨𝐬(𝐥𝐧(𝐱))]𝐞𝟏 + ∫ 𝒔𝒊𝒏 (𝒍𝒏(𝒙)) 𝐝𝐱)
𝟏
= (𝐞 + 𝟐)𝐥𝐧(𝐞 + 𝟐) − (𝒆 + 𝟏)
𝟐
𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − 𝐞 𝐜𝐨𝐬 (𝟏) − 𝑯
Calculons l’intégrale 𝐆 = ∫𝟎 𝐱√𝟑 − 𝐱 𝐝𝐱 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝟐𝐇 = 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − 𝐞 𝐜𝐨𝐬 (𝟏)
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮′ (𝐱) = 𝟏 𝒆 𝒔𝒊𝒏(𝟏) − 𝐞 𝐜𝐨𝐬 (𝟏)
Posons { 𝟏 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝟐 𝟑 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐇 =
𝐯 ′ (𝐱) = √𝟑 − 𝐱 = (𝟑 − 𝒙)𝟐 𝐯(𝐱) = − (𝟑 − 𝒙)𝟐 𝟐
𝟑
Il s’ensuit donc :
𝟐
𝟐 𝟑 𝟐 𝟐 𝟑
𝐆 = [− 𝒙(𝟑 − 𝒙) ] + ∫ (𝟑 − 𝒙)𝟐 𝐝𝐱
𝟐
𝟑 𝟎 𝟑 𝟎
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Exercice 08 Exercice 09
Le plan est apporté à un repère orthogonal (𝐎, 𝐢, 𝐣) avec Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) ; ‖𝐢‖ = 𝟏 𝐜𝐦
‖𝐢‖ = 𝟑 𝐜𝐦 et ‖𝐣‖ = 𝟐 𝐜𝐦 𝟐
Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱)
𝟏 𝐱
5) Soit f définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = et (𝑪𝒇) sa courbe
1) Montrer que (𝑪𝒇) la courbe de f est en dessous de la droite
𝐱 (𝐱+𝟏)
𝟏 𝟏
e) Vérifier que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[ ∶ 𝐟(𝐱) = − (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
𝐱 𝐱+𝟏
f) Calculer 𝑨, l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) , la 2) Par intégration par parties ,montrer que
𝟐
droite (𝐨𝐱) et les droites x=1 et x=𝟐 𝟐
∫ ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐
6) Soit 𝐠 la fonction définie par : 𝐠(𝐱) = 𝐬𝐢𝐧(𝐱) et (𝑪𝒈) sa courbe 𝟏 𝒙
Calculer l’aire du domaine délimité par la courbe de 𝐠 et les 3) Déduire l’aire du domaine plan délimité par (𝑪𝒇), la droite
𝛑 𝛑
droites d’équations : 𝐱 = 𝐞𝐭 𝐱 = − (𝐃) et les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟐
𝟐 𝟐
Solution Solution
𝟐
𝟏 𝟏 𝟏 Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱)
𝟏) 𝑶𝒏 𝒂(: ∀𝐱 ∈ ]𝟎, +∞[) ∶ 𝐟(𝐱) = − = >𝟎 𝐱
𝐱 𝐱 + 𝟏 𝐱 (𝐱 + 𝟏) 1) Montrer que (𝑪𝒇) la courbe de f est en dessous de la droite
𝟐 𝟐
𝑨 = ∫ |𝐟(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
𝟏 𝟏 Soit 𝒙 ∈ [𝟏, 𝟐]
𝟐
𝟏 𝟏 𝟐
=∫ − 𝐝𝐱 × ‖𝐢‖ × ‖𝐣‖ 𝐟(𝐱) − 𝐱 = 𝐱 + (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱) − 𝒙
𝟏 𝐱 𝐱+𝟏 𝐱
= [𝒍𝒏|𝒙| − 𝒍𝒏|𝒙 + 𝟏|]𝟐𝟏 × 𝟐 𝐜𝐦 × 𝟑 𝐜𝐦 𝐱−𝟐
=( ) 𝐥𝐧(𝐱)
𝟐 𝟒 𝐱
= (𝐥𝐧 ( ) + 𝐥𝐧(𝟐)) × 𝟔 𝐜𝐦𝟐 = 𝟔 𝐥𝐧 ( ) 𝐜𝐦𝟐 𝟏 ≤ 𝒙 ≤ 𝟐 ⇒ 𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎
𝟑 𝟑
𝐱−𝟐
𝛑 𝛑 ⇒( ) 𝐥𝐧(𝐱) ≤ 𝟎 ⇒ 𝐟(𝐱) − 𝐱 ≤ 𝟎
𝟐) 𝑶𝒏 𝒂 (: ∀𝐱 ∈ [𝟎, ]) ; 𝐬𝐢𝐧 𝐱 ≥ 𝟎 et (: ∀𝐱 ∈ [− 𝟐 ; 𝟎]) ; 𝐬𝐢𝐧 𝐱 ≤ 𝟎 𝐱
𝟐
𝛑
𝟐
𝟎
𝛑
𝟐
Donc (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐]
𝑨 = ∫ |𝐠(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = (∫ −𝒔𝒊𝒏 𝒙 𝒅𝒙 + ∫ 𝐬𝐢𝐧𝐱 𝐝𝐱) × 𝐮. 𝐚
𝛑 𝛑
− − 𝟎
𝟐 𝟐
𝛑
= ([𝒄𝒐𝒔 𝒙]𝟎− 𝛑 + [−𝒄𝒐𝒔 𝒙]𝟎 ) × 𝟔 𝐜𝐦𝟐
𝟐
𝟐
= ((𝟏 − 𝟎) − (𝟎 − 𝟏)) × 𝟔𝐜𝐦𝟐
= 𝟏𝟐𝐜𝐦𝟐
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2) Par intégration par parties , montrer que Exercice 10
𝟐 Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝐎, 𝐢, 𝐣) ; ‖𝐢‖ = 𝟏 𝐜𝐦
𝟐
∫ ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐
𝟏 𝒙
Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱
𝐮(𝐱) = 𝐥𝐧(𝐱) 𝐮′ (𝐱) =
𝟏 1) Montrer que (𝑪𝒇) est en dessous de la droite (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur
Posons { ′ 𝟐 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝐱
l’intervalle [𝟎, 𝟏]
𝐯 (𝐱) = − 𝟏 𝐯(𝐱) = 𝟐𝐥𝐧(𝐱) −𝐱
𝒙
2)Monter que la fonction 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
Il s’ensuit donc :
𝟐 𝟐 primitive de la fonction 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 sur [𝟎, 𝟏]
𝟐 𝟐
𝟏 𝟏
∫ ( − 𝟏) 𝒍𝒏𝒙 𝒅𝒙 = [(𝟐𝐥𝐧(𝐱) − 𝐱)𝐥 𝐧(𝐱)]𝟏 − ∫ × (𝟐𝐥𝐧(𝐱) − 𝐱)𝐝𝐱 3) Déduire que : ∫𝟎 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 =
𝟐𝒆−𝟓
𝟏 𝒙 𝟏 𝐱 𝒆
𝟐 𝟏 𝒆−𝟐
𝟏 4) Par intégration par parties , montrer que ∫𝟎 𝐱𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
= (𝟐𝐥𝐧 𝟐 − 𝟐)𝐥𝐧𝟐 − ∫ 𝟐 𝐥𝐧(𝐱) − 𝟏 𝐝𝐱 𝒆
𝟏 𝐱 5) Déduire l’aire du domaine délimité par (𝑪𝒇), la droite (𝐃) et
𝟐 𝟐
𝐥𝐧 (𝐱) les droites d’équations x=0 et x=𝟏
= 𝟐𝒍𝒏𝟐 𝟐 − 𝟐𝒍𝒏𝟐 − [𝟐 − 𝒙]
𝟐 Solution
𝟏
= 𝟐𝒍𝒏𝟐 𝟐 − 𝟐𝒍𝒏𝟐 − 𝐥𝐧𝟐 (𝟐) + 𝟐 − 𝟏 Soit f la fonction définie sur ]𝟎, +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱
= 𝟏 − 𝟐𝒍𝒏𝟐 + 𝒍𝒏𝟐 𝟐 1) Montrer que (𝑪𝒇) est en dessous de la droite (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur
= (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐 l’intervalle [𝟎, 𝟏]
3) Déduire l’aire du domaine plan délimité par (𝑪𝒇), la droite Soit 𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏]
(𝐃) et les droites d’équations 𝒙 = 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟐 𝐟(𝐱) − 𝐱 = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 + 𝐱 − 𝒙
On a (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟏, 𝟐] = (𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟏, 𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐲 − 𝐟(𝐱) = 𝐱(𝐱 − 𝟏)𝒆−𝒙
𝟐 𝟎 ≤ 𝒙 ≤ 𝟏 ⇒ 𝒙 ≥ 𝟎 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 ≤ 𝟎 𝒆𝒕 𝒆−𝒙 > 𝟎
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 ⇒ 𝐱(𝐱 − 𝟏)𝒆−𝒙 ≤ 𝟎 ⇒ 𝐟(𝐱) − 𝐱 ≤ 𝟎
𝟎
𝟐 Donc (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟎, 𝟏]
= ∫ 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 2)Monter que la fonction 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une
𝟎
𝟐
primitive de la fonction 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙
𝟐
= ∫ − (𝟏 − ) 𝐥𝐧(𝐱) . 𝐜𝐦𝟐 Soit 𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏]
𝐱
𝟎 𝐇 ′ (𝐱) = [(𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 ]′
𝟐
𝟐 = (𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 − (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙
= ∫ ( − 𝟏) 𝐥𝐧(𝐱)𝐝𝐱 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎 𝐱 = −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 = 𝒉(𝒙)
= (𝟏 − 𝒍𝒏𝟐)𝟐 𝐜𝐦𝟐 Donc 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une primitive de 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙
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𝟏 𝟐𝒆−𝟓 Exercice 11
3) Déduire que : ∫𝟎 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 =
𝒆 𝟏+𝒍𝒏 𝒙
On a 𝐇: 𝐱 → (𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 est une primitive de 𝐡: 𝐱 → −𝒙𝟐 𝐞−𝒙 Soit f une fonction définie sur]𝟎; +∞[ par : 𝒇(𝒙) = ; (𝑪𝒉 ) la
𝒙𝟐
𝟏 courbe de f dans un repère orthonormé (unité1 cm)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ ∫ 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙 = −[(𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟐)𝐞−𝒙 ]𝟏𝟎 Soient 𝐧 ∈ 𝐈𝐍 ∗ ; 𝒐𝒏 désigne par 𝑰𝒏 l’aire du domaine limité par la
𝟎 𝟏
𝟐𝒆 − 𝟓 −𝟏
courbe (𝑪𝒇 ) la droite (𝐎𝐱) et les droites ; 𝒙 = et 𝒙 = 𝒏
𝒆
= −𝟓𝐞 + 𝟐 =
𝒆 1) Montrer que la fonction 𝑭: 𝒙 →
−𝟐−𝒍𝒏𝒙
et une primitive de la
𝟏 𝒆−𝟐 𝒙
4) Par intégration par parties , montrer que ∫𝟎 𝐱𝒆−𝒙 𝒅𝒙 =
𝒆 fonction f sur ]𝟎; +∞[
′ (𝐱)
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮 =𝟏 2) Calculer 𝑰𝒏 en fonction de n
Posons { ′ −𝐱 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐯(𝐱) = −𝐞−𝐱 3) Déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑰𝒏
𝐧→+∞
Il s’ensuit donc :
𝟏 𝟏 Solution
∫ 𝐱𝐞 𝐝𝐱−𝐱
= [−𝐱𝐞−𝐱 ]𝟏𝟎 −𝐱
+ ∫ 𝐞 𝐝𝐱 1) Soit 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[
𝟎 𝟎 𝟏
−𝟏 [𝐞−𝐱 ]𝟏𝟎 −𝟏 −𝟏 −𝟐 − 𝒍𝒏𝒙 ′ − 𝒙 × 𝒙 + (𝟐 + 𝐥 𝐧 𝒙) 𝟏 + 𝒍𝒏 𝒙
= −𝐞 −
= −𝐞 − 𝐞 + 𝟏 𝐅 ′ (𝐱)
=[ ] = = = 𝒇(𝒙)
𝒆−𝟐 𝒙 𝒙 𝒙𝟐
= −𝟐𝐞−𝟏 + 𝟏 = Donc 𝑭: 𝒙 →
−𝟐−𝒍𝒏𝒙
et une primitive de la fonction f sur ]𝟎; +∞[
𝒆 𝒙
5) Déduire l’aire du domaine délimité par (𝑪𝒇), la droite (𝐃) et 𝟏 𝟏
𝟐) 𝒙 ≥ ⇒ 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝒍𝒏 ( ) ⇒ 𝒍𝒏(𝒙) ≥ −𝟏
les droites d’équations x=0 et x=𝟏 𝒆 𝒆
On a (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟎, 𝟏] 𝟏 + 𝒍𝒏 𝒙
⇒ 𝒍𝒏(𝒙) + 𝟏 ≥ 𝟎 ⇒ ≥ 𝟎 ⇒ 𝒇(𝒙) ≥ 𝟎
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟎, 𝟏𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝒙𝟐
𝒏 𝒏 𝒏 𝟏+𝒍𝒏 𝒙
𝟏 𝟏 𝑰𝒏 = ∫𝟏 |𝐟(𝐱)| 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫𝟏 𝒇(𝒙) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫𝟏 𝐝𝐱 × 𝐜𝐦𝟐
𝒙𝟐
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 = ∫ 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚 𝒆
𝐧
𝒆 𝒆

𝟎 𝟎 −𝟐 − 𝒍𝒏𝒙
𝟏 =[ ]𝟏 × 𝐜𝐦𝟐
𝒙
= ∫ −(𝐱 𝟐 − 𝐱)𝒆−𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐 𝒆

𝟎
𝟏 𝟏 −𝟐 − 𝒍𝒏 𝒏 −𝟐 + 𝟏 𝟐
𝟐 𝐥𝐧 𝐧
=( − 𝟏 ) × 𝐜𝐦 = (𝒆 − − ) × 𝐜𝐦𝟐
= (∫ 𝒙𝒆−𝒙 𝐝𝐱 − ∫ 𝒙𝟐 𝐞−𝒙 𝒅𝒙) 𝐜𝐦𝟐 𝒏 𝒏 𝒏
𝒆
𝟎 𝟎
𝒆 − 𝟐 𝟐𝒆 − 𝟓 𝟐 𝐥𝐧 𝐧
=( − ) 𝐜𝐦𝟐 𝟑) 𝐥𝐢𝐦 𝑰𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 𝒆 − − =𝒆
𝒆 𝒆 𝐧→+∞ 𝐧→+∞ 𝒏 𝒏
𝟑−𝒆 𝟐 𝐥𝐧 𝐧
=( ) 𝐜𝐦𝟐 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝐧→+∞ 𝒏 𝐧→+∞ 𝒏
𝒆
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Exercice 12
L’espace est rapporté à R.O.N ( 𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌) avec ‖𝐢‖ = 𝟏𝒄𝒎
Calculer en 𝒄𝒎𝟑 le volume de solide de révolution engendré par la
rotation de (𝑪𝒇) par rapport à (Ox) (tour complet) sur 𝐈
1) 𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙 sur 𝑰 = [𝟎; 𝟏] ; 2) 𝒈(𝐱) = √𝟏 − 𝐱 𝟐 sur 𝑰 = [−𝟏; 𝟏]
Solution
3) Le volume du solide engendré par la rotation de la courbe de la
fonction 𝐱 → 𝐞𝐱 sur [0,1]
Autour de l’axe des abscisses un tour complet est donné par :
𝟏
𝟐
𝐕 = 𝛑 ∫ (𝐟(𝐱)) 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑
𝟎
𝟏 𝟏
𝛑 𝟐𝐱 𝟏 𝟑 𝛑(𝐞𝟐 − 𝟏)
= 𝛑 ∫ (𝐞𝐱 )𝟐 𝐝𝐱 = 𝛑 ∫ 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑 = [𝐞 ]𝟎 𝒄𝒎 = 𝒄𝒎𝟑
𝟎 𝟎 𝟐 𝟐
4) Le volume du solide engendré par la rotation de la courbe de la
fonction 𝐱 → √𝟏 − 𝐱 𝟐 sur [-1,1]
Autour de l’axe des abscisses un tour complet est donné par :
𝟏 𝟏 𝟐
𝟐
𝐕 = 𝛑 ∫ (𝐠(𝐱)) 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑 = 𝛑 ∫ (√𝟏 − 𝐱 𝟐 ) 𝐝𝐱 𝒄𝒎𝟑
−𝟏 −𝟏
𝟏
𝛑 𝟒𝛑
= 𝛑 ∫ (𝟏 − 𝐱 𝟐 )𝟐 𝐝𝐱 = [𝟑𝐱 − 𝐱 𝟑 ]𝟏−𝟏 . 𝒄𝒎𝟑 = 𝒄𝒎𝟑
−𝟏 𝟑 𝟑
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I) Rappels Correction
L’espace est rapporté à un repère orthonormé directe (𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌) 1) Dans chaque cas, vérifier si les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗
⃗ sont colinéaires.
1)Colinéarité de deux vecteurs 𝟏𝟎 −𝟏𝟓
∆𝒙 = | | = (𝟏𝟎) × (−𝟑) − (−𝟏𝟓) × 𝟏 = −𝟏𝟓 + 𝟏𝟓 = 𝟎
a) Déterminant extraites de deux vecteurs 𝟏 −𝟑
−𝟔 𝟗
Définition : ∆𝒚 = | | = (−𝟔) × (−𝟑) − 𝟏 × 𝟗 = 𝟗 − 𝟗 = 𝟎
𝟏 −𝟑
𝒙 𝒙′ −𝟔 𝟗
∆𝒛 = | | = (−𝟔) × (−𝟏𝟓) − 𝟏𝟎 × 𝟗 = 𝟗𝟎 − 𝟗𝟎 = 𝟎
Soit deux vecteurs 𝒖 ⃗ (𝒚′ ) dans l’espace
⃗ (𝒚) et 𝒗 𝟏𝟎 −𝟏𝟓
𝒛 𝒛′ Les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗 ⃗ sont donc colinéaires.
𝒚 𝒚′ 𝟗 𝟐𝟑
Les déterminants suivants : ∆𝒙 = | | = 𝒚𝒛’ − 𝒚’𝒛 b) ∆𝒙 = | | = 𝟗 × 𝟏 − 𝟐𝟑 × 𝟏 = 𝟗 − 𝟐𝟑 = −𝟏𝟔 ≠ 𝟎
𝒛 𝒛′ 𝟏 𝟏
𝒙 𝒙′ Les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗 ⃗ ne sont donc pas colinéaires.
et ∆𝒚 = |𝒙 𝒙′| = 𝒙𝒛’ − 𝒛𝒙’ et ∆𝒛 = | | = 𝒙𝒚’ − 𝒚𝒙’
𝒛 𝒛′ 𝒚 𝒚′ 𝟑 − (−𝟏) 𝟒 𝟔 − (−𝟐) 𝟖
S’appellent déterminant extraites des vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗
⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2)a) 𝑨𝑩 ( 𝟐 − 𝟏 ) = (𝟏) et 𝑪𝑫 (−𝟏 − (−𝟑)) = (𝟐).⃗⃗⃗⃗⃗⃗
b) Critère de colinéarité 𝟑−𝟏 𝟐 𝟔−𝟐 𝟒
𝟏 𝟐
Propriété : ∆𝒙 = | |=𝟒×𝟏−𝟐×𝟐=𝟒−𝟒=𝟎
𝟐 𝟒
Les vecteurs 𝒖⃗ et 𝒗
⃗ sont colinéaires équivaut à ∆𝒙 = ∆𝒚 = ∆𝒛 = 𝟎 𝟒 𝟖
∆𝒚 = | | = 𝟒 × 𝟒 − 𝟖 × 𝟐 = 𝟏𝟔 − 𝟏𝟔 = 𝟎
Résultat : 𝟐 𝟒
𝟒 𝟖
1) Dire que les droites (𝑨𝑩) et (𝑪𝑫) sont parallèles revient à dire ∆𝒛 = | |=𝟒×𝟐−𝟖×𝟏=𝟖−𝟖=𝟎
𝟏 𝟐
𝑨𝑩 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
que les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑪𝑫 sont colinéaires. Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑫 sont colinéaires.
2) Dire que les points 𝑨, 𝑩 et 𝑪 sont alignés revient à dire que les Donc les droites (𝑨𝑩) et (𝑪𝑫) sont parallèles.
𝑨𝑩 et ⃗⃗⃗⃗⃗
vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 sont colinéaires. 𝟑−𝟓 −𝟐 𝟔−𝟓 𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝟐 − 𝟎) = ( 𝟐 ) et 𝑬𝑫
b) 𝑬𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (−𝟏 − 𝟎) = (−𝟏).
Exercice 01
𝟏−𝟎 𝟏 𝟐−𝟎 𝟐
⃗ et 𝒗
1) Dans chaque cas, vérifier si les vecteurs 𝒖 ⃗ sont colinéaires. −𝟐 −𝟏
−𝟔 𝟗 𝟒 𝟏𝟏 ∆𝒙 = | | = −𝟐 × (𝟐) − (−𝟏) × 𝟏 = −𝟑
𝟏 𝟐
⃗ ( 𝟏𝟎 ) et 𝒗
a) 𝒖 ⃗ (−𝟏𝟓) ⃗ (𝟗) et 𝒗
b) 𝒖 ⃗ (𝟐𝟑) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ et 𝑬𝑫
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas colinéaires.
Les vecteurs 𝑬𝑩
𝟏 −𝟑 𝟏 𝟏
−𝟏 𝟑 −𝟐 𝟔 Donc les points 𝑬, 𝑩 et 𝑫 ne sont pas alignés.
𝟓
2) On considère les points 𝑨 ( 𝟏 ), 𝑩 (𝟐), 𝑪 (−𝟑), 𝑫 (−𝟏) et 𝑬 ( )
𝟑 𝟏 𝟔 𝟐 𝟎
a) Démontrer que les droites (𝑨𝑩) et (𝑪𝑫) sont parallèles.
b) Démontrer que les points 𝑬, 𝑩 et 𝑫 ne sont pas alignés.
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2) Trois vecteurs coplanaires Correction
a) Déterminant de trois vecteurs 𝟐𝒎 + 𝟏 −𝟏 − 𝟑
( ⃗ ⃗
𝟏) 𝒅𝒆𝒕 𝒖 ; 𝒗 ; 𝒘 )
⃗⃗⃗ = | 𝟑 𝟐 𝟏|
Définition :
−𝒎 𝟑 𝟐
𝒙 𝒙′ 𝒙′′ 𝟐 𝟏 −𝟏 −𝟑 −𝟏 −𝟑
Soit trois vecteurs 𝒖 ⃗ (𝒚) ; 𝒗 ⃗ (𝒚′ ) et 𝒘 ⃗⃗⃗ (𝒚′′ )dans l’espace = (𝟐𝒎 + 𝟏) | | − 𝟑| |−𝒎| |
𝟑 𝟐 𝟑 𝟐 𝟐 𝟏
𝒛 𝒛′ 𝒛′′ = 𝟏 × (𝟐𝒎 + 𝟏) − 𝟑(−𝟐 + 𝟗) − 𝒎(−𝟏 + 𝟔)
′ 𝒙′′ 𝒙′′
𝒚′ 𝒚′′ 𝒙′ 𝒚′ = (𝟐𝒎 + 𝟏) − 𝟐𝟏 − 𝟓𝒎
Le nombre 𝒙 | | − 𝒚| |+ 𝒛| | est appelé
𝒛′ 𝒛′′ 𝒛′ 𝒛′ ′ 𝒚′ 𝒚′′
= −𝟑𝒎 − 𝟐𝟎
déterminant des vecteurs 𝒖 ⃗ ; 𝒗 ⃗⃗⃗ 𝒆𝒕 𝒘 ⃗⃗⃗⃗ dans cet ordre et on écrit :
′ ′′ 2) Les vecteurs 𝒖 ⃗ ;𝒗 ⃗ et 𝒘
⃗⃗⃗ sont coplanaires
𝒙 𝒙 𝒙
′ 𝒚′ 𝒚′′ 𝒙′ 𝒚′′ 𝒙′′ 𝒙′′ Donc 𝒅𝒆𝒕(⃗𝒖 ; ⃗𝒗 ; 𝒘⃗⃗⃗ ) = 𝟎
𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗⃗ ;𝒘⃗⃗⃗ ) = |𝒚 𝒚 𝒚′′ | = 𝒙 | |− 𝒚| |+ 𝒛| |.
′ 𝒛′ 𝒛′′ 𝒛′ 𝒛′ ′ 𝒚′ 𝒚′′ Donc −𝟑𝒎 − 𝟐𝟎 = 𝟎
𝒛 𝒛 𝒛′′
𝟐𝟎
Exemple : Donc 𝒎 = −
𝟑
𝟏 𝟎 𝟓 3) Droites dans l’espace
Calculons 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗⃗ ;𝒘 ⃗⃗⃗ ) tels que 𝒖 ⃗ (𝟐 ) ; 𝒗 ⃗ (−𝟏) et 𝒘 ⃗⃗⃗ ( 𝟒 )
a)Vecteur directeur et représentation paramétrique d’une droite
𝟑 −𝟐 −𝟓
𝟏 𝟎 𝟓 Définition : (D)
𝒅𝒆𝒕(𝒖⃗ ;𝒗 ⃗⃗⃗ ) = | 𝟐 −𝟏 𝟒 |
⃗ ;𝒘 (𝑫) est une droite dans l’espace
𝟑 −𝟐 −𝟓 On appelle vecteur directeur de (𝑫)
−𝟏 𝟒 𝟎 𝟓 𝟎 𝟓
=𝟏×| | − 𝟐| | + 𝟑| | tout vecteur non nul 𝒖 ⃗ qui
−𝟐 −𝟓 −𝟐 −𝟓 −𝟏 𝟒
= 𝟏 × (𝟓 + 𝟖) − 𝟐(𝟎 + 𝟏𝟎) + 𝟑(𝟎 + 𝟓) possède la même direction que la droite (𝑫).
=𝟖 a) Représentation paramétrique d’une droite
Critère de trois vecteurs coplanaires 𝑺𝒐𝒊𝒕 (𝑫) la droite qui passe par 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) et de vecteur
Propriété : directeur ⃗⃗⃗𝑼(𝜶; 𝜷; 𝜸)
Dire que les vecteurs 𝒖 ⃗ ; 𝒗 ⃗⃗⃗ 𝒆𝒕 𝒘 ⃗⃗⃗⃗ sont coplanaires Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) un point de (𝑫)
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕
équivaut à 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗⃗ ;𝒘 ⃗⃗⃗ ) = 𝟎. ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹 )
Le système {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕 est appelé représentation
Exercice 02 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕
Soient les vecteurs 𝒖 ⃗ (𝟐𝒎 + 𝟏; 𝟑; −𝒎) et 𝒗 ⃗ (−𝟏; 𝟐; 𝟑) et 𝒘 ⃗⃗⃗ (−𝟑; 𝟏; 𝟐) paramétrique de la droite (D) dans l’espace
1) Calculer 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗
⃗ ;𝒘⃗⃗⃗ ) en fonction de réel m
2) Déterminer le réel m pour que les vecteurs 𝒖 ⃗ ;𝒗
⃗ et 𝒘 ⃗⃗⃗ soient
coplanaires
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II) Produit scalaire dans l’espace 3) Définition par Projection orthogonale


1) Définition du produit scalaire dans l’espace Propriété :
Définition : ⃗ et 𝒗
𝒖 ⃗ deux vecteurs non nuls tels que 𝒖⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 et 𝒗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪
⃗ et 𝒗
Soit 𝒖 ⃗ deux vecteurs dans l’espace H est le projeté orthogonal du point C sur la droite (AB) on a
Alors il existe trois points A ; B et C
Si les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑯 ont le même sens alors :
tels que 𝒖 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒆𝒕 𝒗
⃗ = 𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ = 𝑨𝑪
⃗ .𝒗
𝒖 ⃗ = 𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑨𝑩
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑨𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑨𝑯
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑨𝑩 × 𝑨𝑯
Le produit scalaire de 𝒖 ⃗ par 𝒗
⃗ , noté 𝒖
⃗ .𝒗
⃗ dans l’espace est le
Si ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝑨𝑯 ont une sens opposée alors :
⃗⃗⃗⃗⃗ dans le plan donc il est défini par :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑨𝑪
produit scalaire 𝑨𝑩
⃗ .𝒗
𝒖 𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑯 = −𝑨𝑩 × 𝑨𝑯
⃗ .𝒗
 𝒖 ⃗ = 𝟎, si l'un des deux vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗⃗ est nul
⃗ = ‖𝒖
⃗ .𝒗
 𝒖 ⃗ ‖ × ‖𝒗 ⃗ ‖ × 𝒄𝒐𝒔(𝒖 ⃗ ;𝒗 ⃗ ), dans le cas contraire.
Remarque :
⃗ .𝒗
 𝒖 ⃗ = 𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗ = ‖𝑨𝑩
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑨𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ × 𝐜𝐨𝐬 𝑩𝑨𝑪
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ × ‖𝑨𝑪 ̂
 Toutes les propriétés du produiit scalaire dans le plan se
prolongent dans l’espace
Exercice 3
Soit un triangle équilatéral ABC de côté a.
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗
Calculer, en fonction de a, le produit scalaire ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪. Exercice 4
Solution de l’exercice 1 Soit un carré ABCD de côté c.
⃗⃗⃗⃗⃗ = ‖𝑨𝑩
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑨𝑪
𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ × 𝐜𝐨𝐬 𝑩𝑨𝑪
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ × ‖𝑨𝑪 ̂ Calculer, en fonction de c, les produits scalaires :
𝝅 𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗
a) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 b) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑫 𝑨𝑫. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
c) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑪𝑩
= 𝒂 × 𝒂 × 𝐜𝐨𝐬
𝟑 Solution de l’exercice 2
𝟏 a) Par projection, on a :
= 𝒂𝟐 ×
𝟐 𝟐
𝒂 𝟐 𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = 𝒄𝟐
𝑨𝑩 = ‖𝑨𝑩
=
𝟐 b) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑫 = 𝟎 car les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑫
2) Vecteurs orthogonaux sont orthogonaux.
Propriété : 𝟐
c) 𝑨𝑫 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑨𝑫
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑪𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑫𝑨
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = −‖𝑨𝑫
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = −𝒄𝟐
Les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗
⃗ sont orthogonaux ssi 𝒖
⃗ .𝒗
⃗ =𝟎
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2) Produit scalaire dans un repère orthonormé Solution
⃗ ).
L’espace est muni d'un repère orthonormé (𝑶 ; 𝒊 ; 𝒋; 𝒌 Soient 𝑨(𝟏; −𝟐; −𝟏) ;𝑩(𝟑; 𝟑; 𝟎) et 𝑪(𝟔; 𝟎; 𝟎) 𝒅𝒆𝒔 points
Propriété : 1) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas alignés
Soient 𝒖 ⃗ deux vecteurs de coordonnées respectives (𝒙 ; 𝒚; 𝒛) et
⃗ et 𝒗 Cordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑶 𝒆𝒔𝒕 (𝒙𝑶 − 𝒙𝑩 ; 𝒚𝑶 − 𝒚𝑩 ; 𝒛𝑶 − 𝒛𝑩 )
(𝒙′ ; 𝒚′; 𝒛′) Cordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑶 𝒆𝒔𝒕 (𝟎 − 𝟑 ; 𝟎 − 𝟑; 𝟎 − 𝟎)
𝒙 𝒙′ Cordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑶 𝒆𝒔𝒕 (−𝟑 ; −𝟑; 𝟎)
On a : 𝒖⃗ .𝒗⃗ = (𝒚) . (𝒚′ ) = 𝒙𝒙′ + 𝒚𝒚′ + 𝒛𝒛′
𝒛 Cordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑪 𝒆𝒔𝒕 (𝟑 ; −𝟑; 𝟎)
𝒛′ −𝟑 𝟑
Exemple : ∆𝒛 = | | = 𝟗 + 𝟗 = 𝟏𝟖 ≠ 𝟎
−𝟑 −𝟑
Soit 𝒖⃗ (𝟓 ; −𝟒; 𝟏) et 𝒗⃗ (−𝟑 ; 𝟕; 𝟏) deux vecteurs. Calculer 𝒖
⃗ .𝒗
⃗ Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐎 𝐞𝐭 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐁𝐂 ne sont pas colinéaires
𝒖 ⃗ = 𝟓 × (−𝟑) + (−𝟒) × 𝟕 + 𝟏 × 𝟏
⃗ .𝒗 D’où les points 𝐎; 𝐁; 𝐂 𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐥𝐢𝐠𝐧é𝐬
= −𝟏𝟓 − 𝟐𝟖 + 𝟐 2) Montrer que le triangle OBC est rectangle est isocèle en B
= −𝟒𝟏
𝑩𝑶 = √(−𝟑)𝟐 + (−𝟑)𝟐 + 𝟎𝟐 = √𝟏𝟖
1) Norme d’un vecteur et distance entre deux points
Résultat : 𝑩𝑪 = √(𝟑)𝟐 + (−𝟑)𝟐 + 𝟎𝟐 = √𝟏𝟖
Donc le triangle OBC est isocèle en B
 Soit⃗⃗⃗⃗⃗𝑼(𝒙; 𝒚; 𝒛) un vecteur dans l’espace
−𝟑 𝟑
 La norme de vecteur 𝑼 ⃗⃗ est : ‖𝑼
⃗⃗ ‖ = √𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = (−𝟑) . (−𝟑) = 𝟑 × (−𝟑) + (−𝟐) × (−𝟑) + 𝟎 = 𝟎
𝑩𝑶. 𝑩𝑪
𝟎 𝟎
 Distance entre deux points : Donc les vecteurs 𝐁𝐁 ⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux
⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐞𝐭 𝐀𝐂
Soient 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; ; 𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒙𝑩 ; 𝒚𝑩 ; ; 𝒛𝑨 ) deux points Donc le triangle ABC est rectangle en B
 Cordonnées de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒔𝒕 (𝒙𝑩 − 𝒙𝑨 ; 𝒚𝑩 − 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 ) D’où le triangle ABC est isocèle est rectangle en B
 La distance AB est la norme de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 3) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ‖ = √(𝒙𝑩 − 𝒙𝑨 )𝟐 + (𝒚𝑩 − 𝒚𝑨 )𝟐 + (𝒛𝑩 − 𝒛𝑨 )𝟐
𝑨𝑩 = ‖𝑨𝑩 𝟏 𝟑 𝟔
𝒅𝒆𝒕(𝑶𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑩 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑪) = |−𝟐 𝟑 𝟎|
Exercice 05 −𝟏 𝟎 𝟎
Soient 𝑨(𝟏; −𝟐; −𝟏) ;𝑩(𝟑; 𝟑; 𝟎) et 𝑪(𝟔; 𝟎; 𝟎) 𝒅𝒆𝒔 points dans l’espace 𝟑 𝟎 𝟑 𝟔 𝟑 𝟔
=𝟏×| | − (−𝟐) | | + (−𝟏) | |
1) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas alignés 𝟎 𝟎 𝟎 𝟎 𝟑 𝟎
2) Montrer que le triangle OBC est rectangle est isocèle en B = 𝟏 × (𝟎 − 𝟎) + 𝟐(𝟎 + 𝟎) − (−𝟏𝟖)
3) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires = 𝟏𝟖 ≠ 𝟎
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑶𝑨 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑪 ne sont pas coplanaires
D’où que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires
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III) Applications du produit scalaire c) Equation cartésienne d’un plan par un point et un vecteur
1) Plan dans l’espace : normal
a) Rappels Soit le plan (P) passant par A et de vecteur normale ⃗⃗⃗𝒏(𝒂; 𝒃; 𝒄)
Soit 𝑷(𝑨; ⃗⃗⃗𝑼; ⃗⃗⃗𝑽) le plan passant par le point A 𝒙 − 𝒙𝑨
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (P) si et seulement si 𝑨𝑴 ( 𝒚−𝒚𝑨 ) et
dirigé par les deux vecteurs ⃗⃗⃗𝑼 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗𝑽
𝒛 − 𝒛𝑨
Toute plan de l’espace admet une équation de la forme : 𝒂
𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 , avec (𝒂 ; 𝒃; 𝒄) ≠ (𝟎 ; 𝟎; 𝟎). ⃗ (𝒃) sont orthogonaux ; donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒏 𝑨𝑴. 𝒏⃗ =𝟎
𝒄
Cette équation est appelée équation cartésienne du plan (P)
Donc 𝒂(𝒙 − 𝒙𝑨 ) + 𝒃(𝒚−𝒚𝑨 ) + 𝒄(𝒛 − 𝒛𝑨 ) = 𝟎
Exercice 06
Donc 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 , avec 𝒅 = −(𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 )
Déterminer une équation cartésienne du plan (𝑷) passant par le
Une équation cartésienne de (P) est : 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎.
𝟑 −𝟏 𝟎
point 𝑨 (−𝟏) et de vecteurs directeurs 𝒖 ⃗ ( 𝟐 ) et 𝒗
⃗ (𝟏 ) Propriétés
𝟎 𝟏 𝟏  Le Vecteur ⃗⃗⃗𝒏(𝒂; 𝒃; 𝒄) est un vecteur normal au plan
Correction (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
1ère méthode en utilisant démonstration de l’activité :  Soit A un point et 𝒏 ⃗ un vecteur de l’espace
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) un point du plan (𝑷) L’ensemble des points M(𝒙; 𝒚; 𝒛)de l’espace tel que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴 . ⃗⃗⃗𝒏 = 𝟎
Les vecteurs 𝑨𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝒖
⃗ ;𝒗
⃗ sont coplanaires donc 𝒅𝒆𝒕(𝑨𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗𝒖 ; 𝒗
⃗)=𝟎 est un plan (P) passant par A et de vecteur normale ⃗⃗⃗𝒏
𝒙 − 𝟑 −𝟏 𝟎 Exercice 07
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝒖
𝒅𝒆𝒕(𝑨𝑴 ⃗ ;𝒗
⃗ ) = 𝟎 ⇔ |𝒚 + 𝟏 𝟐 𝟏 | = 𝟎 Déterminer une équation cartésienne des plans suivants
𝒛−𝟎 𝟏 𝟏 𝟏) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑷) passant par le point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎)est de vecteur
𝟐 𝟏 −𝟏 𝟎 −𝟏 𝟎 normale ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏)
⇔| | (𝒙 − 𝟑) − | | (𝒚 + 𝟏) + | |𝒛 = 𝟎
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟐 𝟏 𝟐) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑸) passant par le point 𝑶 est de vecteur normale⃗⃗⃗𝒌
⇔ (𝒙 − 𝟑 ) + (𝒚 + 𝟏 ) − 𝒛 = 𝟎 Solution
⇔𝒙+𝒚−𝒛−𝟐=𝟎 𝟏) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑷) passant par la point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎)est de vecteur
b) Vecteur normal au plan normale ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏)
Définition : 1ère méthode :
Tout vecteur 𝒏 ⃗ non nul sa direction est perpendiculaire au plan Comme ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏) est un vecteur normal au (P), une équation
(𝑷)s’appelle vecteur normale au plan (𝑷) cartésienne de (P) est de la forme 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
Le point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎) appartient au plan, donc :
𝟑 × (𝟏) + 𝟐 × (−𝟏) − (𝟎) + 𝒅 = 𝟎 et donc : 𝒅 = −𝟏.
Une équation cartésienne de (P) est : 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎.
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2ème méthode : Exercice 08
𝒙−𝟏 Soient les plans ; (P) : 𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 et
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (P) si et seulement si 𝑨𝑴 (𝒚 + 𝟏) et 𝟏 𝟏
(Q) : 𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟐 = 𝟎 𝐞𝐭 (R) : 𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐳 + 𝟑 = 𝟎
𝒛−𝟎 𝟐 𝟐
𝟑 1) Montrer que (𝑷)//(𝑸)
⃗𝒏 ( 𝟐 ) sont orthogonaux. 2) Montrer que (𝑷) ⊥ (𝑹)
−𝟏 3) En déduire la position relative des plans (𝑸) 𝒆𝒕 (𝑹)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝒏
Donc 𝑨𝑴 ⃗ =𝟎 4) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (D)
Donc 𝟑(𝒙 − 𝟏) + 𝟐(𝒚 + 𝟏) − 𝒛 = 𝟎 l’intersection des plan (𝑷)𝐞𝐭 (𝑹)
Donc 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎 Correction
Une équation cartésienne de (P) est : 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎 1) Montrer que (𝑷)//(𝑸)
𝟐) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑸) passant par le point 𝑶(𝟎; 𝟎; 𝟎) est de vecteur
On a 𝒏⃗ (𝟐; 𝟏; −𝟏) 𝒆 est un vecteur normal au plan (P)
normale⃗⃗⃗𝒌(𝟎; 𝟎; 𝟏) 𝟏 𝟏
𝒙−𝟎 𝟎 On a ⃗⃗⃗⃗
𝒏′ (𝟏; ; − ) est un vecteur normal au plan (Q)
𝟐 𝟐
M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (Q) si et seulement si 𝑨𝑴 (𝒚 − 𝟎) et ⃗𝒌 (𝟎)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝟏
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟐 𝟏
𝒛−𝟎 ∆𝒙 = | 𝟐
| = 𝟎 ; ∆ = | 𝟏| = 𝟎 et ∆𝒛 = | 𝟏| =𝟎
sont orthogonaux. −𝟏 −
𝟏 𝒚 −𝟏 − 𝟏
𝟐 𝟐
𝟐
𝑶𝑴. ⃗𝒌 = 𝟎
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc les vecteurs 𝒏 ⃗ et ⃗⃗⃗
𝒏′ sont colinéaire
Donc 𝒛 = 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝑷)//(𝑸)
d) Position relative de deux plans
2) Montrer que (𝑷) ⊥ (𝑹)
Soient (𝑷) Un plan de vecteur normale 𝒏 ⃗ et (𝑸) un plan de vecteur On a 𝒏 ⃗ (𝟐; 𝟏; −𝟏) 𝒆 est un vecteur normal au plan (P)
normale ⃗⃗⃗
𝒏′
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝒏′′ (𝟏; −𝟑; −𝟏) est un vecteur normal au plan (R)
 (𝑷)//(𝑸) ssi 𝒏 ⃗ et ⃗⃗⃗
𝒏′ sont colinéaire 𝟐 𝟏
 (𝑷) ⊥ (𝑸) 𝒔𝒔𝒊 ⃗𝑼 ⃗ et ⃗𝑽 sont orthogonaux ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ . 𝒏′′ = ( 𝟏 ) . (−𝟑) = 𝟐 − 𝟑 + 𝟏 = 𝟎
𝒏
−𝟏 −𝟏
Donc 𝒏 ⃗ 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗
𝒏′ sont orthogonaux
Donc (𝑷) ⊥ (𝑹)
3) En déduire la position relative des plans (𝑸) 𝒆𝒕 (𝑹)
On a (𝑷)//(𝑸) et (𝑷) ⊥ (𝑹)
Donc (𝑸) ⊥ (𝑹)
4) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (D)
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(𝑷) 𝐞𝐭 (𝑹) sont sécantes suivant une droite (D) définit par les deux Exercice 09
(𝑷): 𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 Soit le plan (P) : 4𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
équation des plans (P) et (R) donc : (𝑫) : {
(𝑹): 𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐳 + 𝟑 = 𝟎 𝒙=𝟏−𝒕
𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐭 + 𝟏 = 𝟎 𝟏 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒛 = 𝒕 𝒅𝒐𝒏𝒄 { Et la droite (𝑫) : {𝒚 = −𝟏 + 𝒕 𝟐
𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐭 + 𝟑 = 𝟎 𝟏
𝟐𝒙 + 𝒚 = 𝐭 − 𝟏 𝒛=− 𝒕
𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 {
𝒙 − 𝟑𝒚 = 𝐭 − 𝟑 1) Montrer que (𝑷) 𝐞𝐭 (𝑫) sont orthogonaux
On cherche à exprimer x et y en fonction de t 2) Déterminer les cordonnées de points H l’intersection de
J’ai choisit la méthode de déterminant de GRAMER (𝑷) 𝐞𝐭 (𝑫)
𝟐 𝟏 Correction
𝑫=| | = −𝟔 − 𝟏 = −𝟕 ≠ 𝟎
𝟏 −𝟑 ⃗ (𝟒; −𝟐; 𝟏) 𝒆 est un vecteur normal au plan (P)
1) On a 𝒏
𝒕−𝟏 𝟏
𝑫𝒙 = | | = −𝟑(𝒕 − 𝟏) − (𝒕 − 𝟑) = −𝟐𝒕 + 𝟔 𝟏 𝟏
On a ⃗⃗⃗𝒖 (−𝟏; ; − ) est un vecteur directeur de la droite (D)
𝒕 − 𝟑 −𝟑 𝟐 𝟒
𝟐 𝒕−𝟏
𝑫𝒚 = | | = 𝟐 (𝒕 − 𝟑 ) − (𝒕 − 𝟏 ) = 𝒕 − 𝟓 −𝟐
𝟏
𝟒 −𝟏 𝟒 −𝟏
𝟏 𝒕−𝟑 𝟐
𝑫𝒙 −𝟐𝒕 + 𝟔 𝟔 𝟐 𝑫𝒚 𝒕 − 𝟓 𝟓 𝟏 ∆𝒙 = | 𝟏 | = 𝟎 ; ∆𝒚 = |
𝟏 −
𝟏| = 𝟎 et ∆𝒛 = |
−𝟐
𝟏 |=𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒙 = = = − + 𝒕 𝒆𝒕 𝒚 = = = − 𝒕 𝟏 − 𝟒 𝟐
𝟒
𝑫 −𝟕 𝟕 𝟕 𝑫 −𝟕 𝟕 𝟕
Donc une représentation paramétrique de la droite (D) Donc les vecteurs 𝒏 ⃗ et 𝐮⃗ sont colinéaire
𝟔 𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝑷)𝐞𝐭 (𝑸) sont orthogonaux
𝒙=− + 𝒕
𝟕 𝟕 2) (D) et (P) sont sécantes en H(x ;y ;z) alors les coordonnés
( )
l’intersection des plan (𝑷)𝐞𝐭 (𝑹) est (𝑫) : { 𝒚 = 𝟓 − 𝟏 𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹
𝟕 𝟕
𝒙 =𝟏−𝒕
𝟏
𝒛=𝒕 𝒚 = −𝟏 + 𝒕
𝟐
Position relative d’un plan et une droite (x ;y ;z) vérifie le systèmes : 𝟏
𝒛=− 𝒕
𝑺𝒐𝒊𝒆𝒏𝒕 (𝑫) une droite de vecteur directeur 𝑼 ⃗⃗ 𝟒
{𝟒𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
𝒆𝒕 (𝑷) Un plan de vecteur normale 𝒏 ⃗ 𝟏 𝟏
 (𝑷) ⊥ (𝑫) ssi ⃗⃗⃗𝐧 et ⃗⃗⃗𝐔 sont colinéaires Donc on remplace 𝒙 = 𝟏 − 𝒕 ; 𝒚 = −𝟏 + 𝒕 et 𝒛 = − 𝒕 dans
𝟐 𝟒
𝐧 et⃗⃗⃗𝐔 sont orthogonaux
 (𝑷)// (𝐃)𝒔𝒔𝒊 ⃗⃗⃗⃗ 𝟒𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
𝟏 𝟏
On trouve : 𝟒(𝟏 − 𝒕 ) − 𝟐 (−𝟏 + 𝒕) + (− 𝒕 ) + 𝟏 = 𝟎
𝟐 𝟒
𝟏
Donc 𝟒 − 𝟒𝒕 + 𝟐 − 𝒕 − 𝒕 + 𝟕 = 𝟎
𝟒
𝟒
Donc − 𝐭 = −𝟕
𝟐𝟏
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Donc 𝒕 = 𝟕 × ( )
𝟒 | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 − (𝒂𝒙𝑯 + 𝒃𝒚𝑯 + 𝒄𝒛𝑯 )|
𝟐𝟏 =
𝟒 √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
Donc 𝒕 = | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝟑
𝒙=𝟏−𝒕 =
𝟏 √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
On remplace 𝒕 = dans {𝒚 = −𝟏 + 𝟐 𝒕
𝟒
on trouve Propriété :
𝟑 𝟏
𝒛=− 𝒕 La distance de point A au plan(𝑷) est la distance AH noté par
𝟒
𝟒 𝒅(𝑨; (𝑷)) donc :
𝒙=𝟏−
𝟑 | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝒚 = −𝟏 + × ( )
𝟏 𝟒 𝒅(𝑨; (𝑷)) = 𝑨𝑯 =
𝟐 𝟑 √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
𝟏 𝟒
Exemple :
{ 𝒛 = − 𝟒 × (𝟑 )
𝟏 Soit (𝑷) : 𝟑𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝟏 = 𝟎 un plan et 𝐀(𝟐; 𝟓; 𝟏) un point
𝒙=−
𝟒
𝟑
𝟐 𝟏
dans l’espace
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒚 = −𝟏 + = − = − | (𝟑 × 𝟐) − (𝟒 × 𝟓) + (𝟐 × 𝟏) − 𝟏| |−𝟏𝟑| 𝟏𝟑
𝟔 𝟔 𝟑
𝟒 𝟏 𝐝(𝐀; (𝐏)) = = =
{ 𝒛=− =− √𝟑𝟐 + (−𝟒)𝟐 + (𝟏)𝟐 √𝟐𝟔 √𝟐𝟔
𝟏𝟐 𝟑
𝟏 𝟏 𝟏
Donc (D) et (P) sont séantes en 𝑯(− ; − ; − ) Exercice 10
𝟑 𝟑 𝟑
Soit (𝑷) le plan défini par l’équation (𝑷) ∶ 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎
3) DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN 1) Calculer la distance de point 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) au plan (𝑷)
Activité : et en déduire que le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷)
Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 un plan et 2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite
A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point de l’espace et H la (𝑫) passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷).
projection orthogonale de A sur le plan (P) 3) En déduire les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal
On a le point H (𝒙𝑯 ; 𝒚𝑯 ; 𝒛𝑯 ) appartient au du point 𝑨 sur le plan (𝑷).
plan (P) donc 𝒂𝒙𝑯 + 𝒃𝒚𝑯 + 𝒄𝒛𝑯 + 𝒅 = 𝟎 Correction
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒅 = −(𝒂𝒙𝑯 + 𝒃𝒚𝑯 + 𝒄𝒛𝑯 ) Soit (𝑷) le plan défini par l’équation (𝑷) ∶ 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎
1) Calculer la distance de point 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) au plan (𝑷)
Et on a : |𝒏. ⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑯| = ‖𝒏 ⃗ ‖ × 𝑨𝑯 , car
et en déduire que le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷)
⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝒄𝒐𝒔(𝒏; 𝑨𝑯) = 𝟏 | (𝟐 × 𝟏) − (𝟑 × 𝟎) − (𝟏) + 𝟒| |𝟓| 𝟓
𝒂 𝒙𝑯 − 𝒙𝑨 𝐝(𝐀; (𝐏)) = = = ≠𝟎
|(𝒃) . (𝒚𝑯 − 𝒚𝑨 )| √𝟐𝟐 + (𝟑)𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟏𝟐 √𝟏𝟐
|𝒏. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗ 𝑨𝑯| 𝒄 𝒛𝑯 − 𝒛𝑨 Donc le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷)
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝑨𝑯 = =
‖𝒏⃗‖ ‖𝒏
⃗‖
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2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑫) IV) Sphère dans l’espace
passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷). 1) Définition
La droite (𝑫) passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷). Une sphère de centre de centre 𝛀(𝒂; 𝒃; 𝒄)
𝟐 et de rayon r est l ’ensemble des points
⃗⃗⃗ ( 𝟑 ) le vecteur normal au (P) est un vecteur directeur de
Donc 𝒏. 𝑴(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) de l’espace tel que 𝛀𝑴 = 𝒓
−𝟏 Propriété :
la droite (D)
Donc une représentation paramétrique de la droite (D) est Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝒂; 𝒃; 𝒄) et de
𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕 rayon r l’équation cartésienne de (S) est :
( )
(𝑫) : { 𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹 (𝒙 − 𝒂)𝟐 + (𝒚 − 𝒃)𝟐 + (𝐳 − 𝐜)𝟐 = 𝒓𝟐
𝒛=𝟏−𝒕 Démonstration :
3) En déduire les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal du Tout point 𝑴(𝒙 ; 𝒚) appartient au cercle de centre 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ) et
point 𝑨 sur le plan (𝑷). de rayon r si et seulement 𝛀𝑴 = 𝒓 donc 𝛀𝑴𝟐 = 𝒓𝟐 . 𝒅𝒐𝒏𝒄 (𝒙 −
Les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal du point 𝑨 sur le
𝒂)𝟐 + (𝒚 − 𝒃)𝟐 + (𝒛 − 𝒄)𝟐 = 𝒓𝟐
plan (𝑷) est l’intersection de (D) et (P)
Alors les coordonnés (x ;y ;z) de H vérifie le systèmes : Exercice 11
𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕 Dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊, 𝒋; ⃗𝒌) , soit la sphère (S) de
;
𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒕 centre 𝑨(𝟒 ; −𝟏; 𝟎) et passant par le point 𝑩(𝟑 ; 𝟓; 𝟏)
{
𝒛=𝟏−𝒕 Déterminer une équation de sphère (S)
𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎
Donc on remplace 𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕 ; 𝒚 = 𝟑𝒕 et 𝒛 = 𝟏 − 𝒕 dans Solution de l’exercice 08
𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎 Commençons par déterminer le carré du rayon du sphère (S)
𝟐
On trouve : 𝟐(𝟏 − 𝟐𝒕 ) + 𝟑(𝟑𝒕) − (𝟏 − 𝒕 ) + 𝟒 = 𝟎 𝒓𝟐 = 𝑨𝑩𝟐 = (𝟑 − 𝟒)𝟐 + (𝟓 − (−𝟏)) + (𝟏 − 𝟎)𝟐 = 𝟑𝟖
Donc 𝟐 − 𝟒𝒕 + 𝟗𝒕 − 𝟏 − 𝒕 + 𝟒 = 𝟎 Une équation cartésienne de la sphère (S) est
Donc 𝟒𝐭 = 𝟔 (𝒙 − 𝟒)𝟐 + (𝒚 + 𝟏)𝟐 + (𝒛 − 𝟎)𝟐 = 𝟑𝟖.
𝟔 𝟑
Donc 𝐭 = = Exercice 12
𝟒 𝟐
𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕 Dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊, 𝒋; ⃗𝒌) , on considère l'ensemble
On remplace 𝒕 = dans { 𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒕 ; on trouve
𝟐
𝟑  d'équation : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 − 𝟏𝟎𝒚 + 𝟏𝟕 = 𝟎.
𝒛=𝟏−𝒕 Montrer que l'ensemble  est une sphère dont on déterminera
𝟑
𝒙=𝟏−𝟐× 𝒙 = −𝟐
𝟐 𝟗 les caractéristiques (centre, rayon).
𝒚=𝟑×
𝟑 𝒚 = 𝟗 𝟏
𝟐
𝟐 donc 𝟏 donc 𝑯(−𝟐 ; ; − )
𝟐 𝟐
𝒛=𝟏−
𝟑 𝒛=−
𝟐
𝟐
{ {
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Solution Solution
𝟐 𝟐 𝟐 1ème méthode
𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟐𝒙 − 𝟏𝟎𝒚 + 𝟏𝟕 = 𝟎
(𝒙𝟐 − 𝟐𝒙) + (𝒚𝟐 − 𝟏𝟎𝒚) + 𝒛𝟐 + 𝟏𝟕 = 𝟎 Le milieu de segment [𝑨𝑩] est le centre de sphère donc
(𝒙 − 𝟏)𝟐 − 𝟏 + (𝒚 − 𝟓)𝟐 + +𝒛𝟐 − 𝟐𝟓 + 𝟏𝟕 = 𝟎 𝛀(
𝟏−𝟏
;
𝟐+𝟐 𝟏+𝟏
; ) c-t-dire 𝛀(𝟎 ; 𝟐; 𝟏)
𝟐 𝟐 𝟐
(𝒙 − 𝟏 )𝟐 + (𝒚 − 𝟓 )𝟐 + 𝒛𝟐 = 𝟗
Le rayon r de sphère est
(𝒙 − 𝟏 )𝟐 + (𝒚 − 𝟓 )𝟐 + 𝒛𝟐 = 𝟑 𝟐
𝑨𝑩 √(−𝟏 − 𝟏)𝟐 + (𝟐 − 𝟐)𝟐 + (𝟏 − 𝟏)𝟐
L'ensemble  est la sphère de centre le point de coordonnées (1 ; 𝒓= = =𝟏
𝟐 𝟐
5 ;0) et de rayon 3.
𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺) ⇔ 𝒙𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟏
2) Equation cartésien d’une sphère définit par son diamètre
2ère méthode :
Propriété 1:
Un point M, distinct de A et B, 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑪) ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴.𝑩𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎
appartient au sphère de diamètre 𝒙−𝟏 𝒙+𝟏
[AB] si et seulement si le triangle ⇔ (𝒚 − 𝟐 ) . (𝒚 − 𝟐 ) = 𝟎
𝒛−𝟏 𝒛−𝟏
ABM est rectangle en M.
⇔ (𝒙 − 𝟏)(𝒙 + 𝟏) + (𝒚 − 𝟐)(𝒚 − 𝟐) + (𝒛 − 𝟏)(𝒛 − 𝟏) = 𝟎
Propriété 2: L’ensemble des points M
⇔ 𝒙𝟐 − 𝟏 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟎
vérifiant l’égalité ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑴𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑴𝑩 = 𝟎 est la sphère de diamètre [AB].
Equation cartésien de (C) définit par son diamètre [𝑨𝑩] ⇔ 𝒙𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟏
Soient 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) 𝒆𝒕 𝑩(𝒙𝑩 ; 𝒚𝑩 ; 𝒛𝑩 ) deux points 1) L’ensemble (𝑪) des points 𝐌(𝒙; 𝒚) tel que :
L’équation cartésien de (S) définit par le diamètre [𝑨𝑩] : (𝑪) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 ; 𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄; 𝒅 ∈ ℝ
𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝐒) ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴.𝑩𝑴⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎 Activité :
𝒙 − 𝒙𝑨 𝒙 − 𝒙𝑩 Déterminer l’ensemble des points 𝐌(𝒙; 𝒚) tel que :
⇔( 𝒚 − 𝒚 𝑨 ) . ( − 𝒚𝑩 ) = 𝟎
𝒚 (𝑪) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 ; 𝒂 ; 𝒃 ; 𝒄; 𝒅 ∈ ℝ
𝒛 − 𝒛𝑨 𝒛 − 𝒛𝑩 Propriétés :
⇔ (𝒙 − 𝒙𝑨 )(𝒚 − 𝒙𝑩 ) + (𝒚 − 𝒚𝑨 )(𝒚 − 𝒚𝑩 ) + (𝒛 − 𝒛𝑨 )(𝒛 − 𝒛𝑩 ) = 𝟎  L’ensemble des points 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) de l’espace tel que :
Exercice 13 (𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝐜𝐳 + 𝒅 = 𝟎 est un sphère
Déterminer un équation de sphère (S) de si 𝑫 = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝐝 > 𝟎
Diamètre [𝑨𝑩] avec deux méthodes A(𝟏; −𝟐; 𝟏) et B(𝟏; −𝟐; 𝟏) 𝒂 𝒃 𝒄 √𝑫
Son centre est le point 𝛀 (− ; − ; − ) et son rayon est 𝒓 =
𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝒂 𝒃 𝒄
 Si 𝑫 = 𝟎 alors (𝑺) est le point 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐
 Si 𝑫 < 𝟎 alors l’ensemble (𝑺) est vide
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Exercice 14 𝒙 = 𝟑 𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨𝐬(𝜽)
Montrer que(𝑺) est une sphère puis déterminer le centre et le 𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝑺) : {𝒚 = 𝟑𝒔𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨 𝐬(𝜽) ; 𝝋; 𝜽 ∈ 𝑰𝑹
rayon de (𝑺) ; a) (𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟏𝟏 = 𝟎 𝒛 = 𝟑𝒔𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨 𝐬(𝜽)
b) (𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝟔𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟒 = 𝟎 3) Position relative d’une sphère et un plan
Solution de l’exercice Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et de rayon R
𝟐 𝟐 𝟐
a) (𝑪) : 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 − 𝟐𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟏𝟏 = 𝟎 Et (P) un plan d’équations (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
On pose 𝒂 = −𝟐 ; 𝒃 = 𝟒 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = −𝟏𝟏 Et d la distance entre le centre 𝛀 est le plan (P) : 𝒅 = 𝒅(𝜴; (𝑷))
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (−𝟐)𝟐 + 𝟒𝟐 + 𝟒 × 𝟏𝟏 = 𝟔𝟒 > 𝟎 Cas 01 : Cas 02 Cas 03
𝒂 𝒃 𝒄
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐
√ 𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝒅 √ 𝟔𝟒 𝟖
Donc 𝛀(𝟏; −𝟐; 𝟎) et de rayon 𝒓 = = = =𝟒
𝟐 𝟐 𝟐
𝟐 𝟐 𝟐
b) (𝑪) : 𝒙 + 𝒚 + 𝒛 + 𝟔𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟒 = 𝟎
On pose 𝒂 = 𝟔 ; 𝒃 = −𝟒 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = 𝟒
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (𝟔)𝟐 + (−𝟒)𝟐 − 𝟒 × 𝟒 = 𝟑𝟔 > 𝟎
𝒂 𝒃 𝒄
Alors l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐 Le plan (P) coupe
√ 𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝒅 √ 𝟑𝟔 𝟔 Le plan (P) ne Le plan (P) est (S) Suivant un
Donc 𝛀(−𝟑; 𝟐; 𝟎) et de rayon 𝒓 = = = =𝟑
𝟐 𝟐 𝟐
coupe pas la sphère tangente à la cercle (C) de centre
4) Représentation paramétrique d’une sphère
(S) sphère (S) en un H et de rayon r tel
Propriété :
point H que : 𝐫 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐
Une représentation paramétrique de sphère de centre 𝛀(𝒂; 𝒃) et de
rayon r est le système suivant : Remarque :
𝒙 = 𝒂 + 𝒓 𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨𝐬(𝜽) Pour déterminer les cordonnées de H on résoudre le système
𝐌(𝒙; 𝒚) ∈ (𝑪 ) ⇔ {𝒚 = 𝒃 + 𝒓𝒔𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨 𝐬(𝜽) ; 𝝋; 𝜽 ∈ 𝑰𝑹 suivant
𝒙 = 𝒙𝛀 + 𝒂𝒕
𝒛 = 𝒄 + 𝒓𝒔𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨 𝐬(𝜽) ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(𝛀𝐇): {𝒚 = 𝒚𝛀 + 𝒃𝒕
Exemple : { 𝒛 = 𝒛𝛀 + 𝒄𝒕
Déterminer une représentation paramétrique dE sphère de centre (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
𝐎(𝟎; 𝟎; 𝟎) et de rayon 𝒓 = 𝟑 𝒙 = 𝒙𝛀 + 𝒂𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝒙 = 𝟎 + 𝟑 𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨𝐬(𝜽) Ou (𝛀𝐇): {𝒚 = 𝒚𝛀 + 𝒃𝒕 est une représentation
𝐌(𝒙; 𝒚) ∈ (𝑺) ⇔ {𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒔𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨 𝐬(𝜽) ; 𝝋; 𝜽 ∈ 𝑰𝑹 𝒛 = 𝒛𝛀 + 𝒄𝒕
𝒛 = 𝟎 + 𝟑𝒔𝒔𝒊𝒏(𝝋)𝐜𝐨 𝐬(𝜽) paramétrique de la droite (𝛀𝐇)
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Exercice 15 Exercice 16
Soit (S) la sphère d’équation (𝑺): 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 − 𝟓 = 𝟎 Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝟏; 𝟏; −𝟏) est de rayon 𝑹 = 𝟑 et (P)
Et le plan(P) d’équation cartésienne : (𝑷): 𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟓 = 𝟎 le plan (𝑷): 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎
1) Déterminer 𝛀 le centre 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐡è𝐫𝐞 (S) et son rayon 𝑹. 1) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) coupe la
2) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) est tangente à sphère (S) suivant un cercle (C)
la sphère (S) en un point H 2) Déterminer les coordonnées du point H le centre du cercle
3) Déterminer les coordonnées du point de contact H (C) et son rayon r
Solution de l’exercice 3) a) Vérifier que le point 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒)
1) Déterminer 𝛀 le centre 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐡è𝐫𝐞 (S) et son rayon 𝑹. b) Déterminer l’équation du plan (Q) tangente au sphère (S) en A
On pose 𝒂 = −𝟒 ; 𝒃 = 𝟎 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = −𝟓 Solution de l’exercice
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (−𝟒)𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟒 × 𝟓 = 𝟑𝟔 > 𝟎 Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝟏; 𝟏; −𝟏) est de rayon 𝑹 = 𝟑 et (P)
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝒂 𝒃 𝒄 le plan (𝑷): 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎
𝟐 𝟐 𝟐
√ 𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝒅
1) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) coupe la
√ 𝟑𝟔 𝟔
Donc 𝛀(𝟐; 𝟎; 𝟎) et de rayon 𝒓 = = = =𝟑 sphère (S) suivant un cercle (C)
𝟐 𝟐 𝟐
2) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) est tangente à | (𝟏) + (𝟏) + (𝟏)| |𝟑|
𝐝(Ω; (𝐏)) = = = √𝟑
la sphère (S) en un point H √𝟏𝟐 + (𝟏)𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟑
| (𝟐 × 𝟐 ) − (𝟎 ) − (𝟎 ) + 𝟓 | |𝟗| Donc 𝐝(Ω; (𝐏)) < 𝒓
𝐝(Ω; (𝐏)) = = =𝟑
√𝟐 + (−𝟏) + (−𝟐)
𝟐 𝟐 𝟐 √𝟗 Donc le plan (P) coupe la sphère (S) suivant un cercle (C)
Donc 𝐝(Ω; (𝐏)) = 𝒓 2) Déterminer les coordonnées du point H le centre du cercle
Donc le plan (P) est tangente à la sphère (S) en un point H (C) et son rayon r
3) Déterminer les coordonnées du point de contact H 𝟐
𝒙 = 𝟐 + 𝟐𝒕 le rayon r de cercle (C ) est 𝐫 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐 = √𝟑𝟐 − √𝟑 = √𝟔
( )
(𝛀𝐇): { 𝒚 = 𝟎 − 𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹 𝒙=𝟏+𝒕
(𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 { ( ) ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝒛 = 𝟎 − 𝟐𝒕 𝛀𝐇 : { 𝒚 =𝟏+𝒕
(𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 {
(𝑷) : 𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟓 = 𝟎 𝒛 = −𝟏 − 𝒕
Donc 𝟐(𝟐 + 𝟐𝒕) + 𝒕 + 𝟒𝒕 + 𝟓 = 𝟎 (𝑷) : 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎
Donc 𝟗𝒕 + 𝟗 = 𝟎 Donc (𝟏 + 𝒕) + (𝟏 + 𝒕) + (𝟏 + 𝒕) = 𝟎 donc 𝟑𝒕 + 𝟑 = 𝟎
𝒙 = 𝟐 + 𝟐𝒕 𝒙=𝟎 𝒙=𝟏+𝒕 𝒙=𝟎
Donc 𝒕 = −𝟏 on remplace dans { 𝒚 = −𝒕 donc { 𝒚 = 𝟏 Donc 𝒕 = −𝟏 on remplace dans { 𝒚 = 𝟏 + 𝒕 donc { 𝒚 = 𝟎
𝒛 = −𝟐𝒕 𝒛=𝟐 𝒛 = −𝟏 − 𝒕 𝒛=𝟎
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3) a) Vérifier que le point 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒) Remarque :
𝛀𝐀 = √(𝟑 − 𝟏)𝟐 + (𝟑 − 𝟏)𝟐 + (𝟎 + 𝟏)𝟐 = √𝟗 = 𝟑 Pour déterminer les cordonnées des points d’intersections de
Donc 𝛀𝐀 = 𝐑 donc 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒) sphère (S) et la droite (∆)
b) Déterminer l’équation du plan (Q) tangente au sphère (S) en A On résoudre le système suivant :
Soit M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (Q) 𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝒙−𝟑 (∆): {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕
𝟐 {
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝟐) sont orthogonaux. (𝛀𝑨
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝒚 − 𝟑) et 𝛀𝑨
Donc 𝑨𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ est vecteur 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕
𝒛−𝟎 𝟏 (𝑺) : (𝒙 − 𝒙𝛀 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚𝛀 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛𝛀 )𝟐 = 𝑹𝟐
normal au plan (P) ) Exercice 17
𝒙=𝟏+𝒕
𝑨𝑴. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛀𝑨 = 𝟎 Soit la droite (D) définit par la droite (𝑫) : { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
Donc 𝟐(𝒙 − 𝟑) + 𝟐(𝒚 − 𝟑) + 𝒛 = 𝟎 𝒛 = −𝒕
Donc 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟏𝟐 = 𝟎 Déterminer l’intersection de la droite (𝑫) avec la sphère (S)
Une équation cartésienne de (Q) est : 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟏𝟐 = 𝟎 dans chaque cas : 𝒂) (𝐒) ∶ 𝐱 𝟐 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 + 𝟐𝐱 − 𝟏 = 𝟎
𝒃) (𝐒) ∶ 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟏 = 𝟎
4) Position relative d’une sphère et une droite
Solution de l’exercice
Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et d rayon R a) On résoudre le système suivant :
𝒆𝒕 (∆) la droite passant par le point A et de vecteur 𝒙=𝟏+𝒕
(𝑫): { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
directeur⃗⃗⃗𝑼(𝜶; 𝜷; 𝜸) {
𝒛 = −𝒕
(𝑺) : 𝐱 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 + 𝟐𝐱 − 𝟑 = 𝟎
𝟐

Donc (𝟏 + 𝐭)𝟐 + (−𝟏 − 𝐭)𝟐 + (−𝐭)𝟐 + 𝟐(𝟏 + 𝐭) − 𝟑 = 𝟎


𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝐭 𝟐 + 𝟐 + 𝟐𝐭 − 𝟏 = 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟑 𝐭 𝟐 + 𝟔𝒕 + 𝟑 = 𝟎 donc 𝟑( 𝐭 𝟐 + 𝟐𝒕 + 𝟏) = 𝟎
Donc (𝐭 + 𝟏)𝟐 = 𝟎 donc 𝒕 = −𝟏
Donc la droite (D) est tangente à la sphère (S) en un point H
𝒙=𝟏+𝒕
{
On remplace 𝒕 = −𝟏 dans 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 pour trouver les
𝒛 = −𝒕
coordonnées de H
𝒙 =𝟏−𝟏=𝟎
Donc { 𝒚 = −𝟏 + 𝟏 = 𝟎 donc H(0 ;0 ;1)
𝒛=𝟏
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L’espace est rapporté à un repère orthonormé directe (𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌) Exercice 06
Exercice 01 Soient les plans ; (P) : 𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 et
𝟏 𝟏
1) Dans chaque cas, vérifier si les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗
⃗ sont colinéaires. (Q) : 𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟐 = 𝟎 𝐞𝐭 (R) : 𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐳 + 𝟑 = 𝟎
−𝟔 𝟗 𝟒 𝟏𝟏 𝟐 𝟐
⃗ ( 𝟏𝟎 ) et 𝒗
a) 𝒖 ⃗ (−𝟏𝟓) ⃗ (𝟗) et 𝒗
b) 𝒖 ⃗ (𝟐𝟑) 1) Montrer que (𝑷)//(𝑸) et que (𝑷) ⊥ (𝑹)
𝟏 −𝟑 𝟏 𝟏 2) En déduire la position relative des plans (𝑸) 𝒆𝒕 (𝑹)
−𝟏 𝟑 −𝟐 𝟔
𝟓 3) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (D)
2) On considère les points 𝑨 ( 𝟏 ), 𝑩 (𝟐), 𝑪 (−𝟑), 𝑫 (−𝟏) et 𝑬 ( )
𝟑 𝟏 𝟔 𝟐 𝟎 l’intersection des plan (𝑷)𝐞𝐭 (𝑹)
a) Démontrer que les droites (𝑨𝑩) et (𝑪𝑫) sont parallèles. Exercice 07
b) Démontrer que les points 𝑬, 𝑩 et 𝑫 ne sont pas alignés 𝒙=𝟏−𝒕
Exercice 02 𝒚 = −𝟏 +
𝟏
𝒕
Soit le plan(P) : 4𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 et la droite (𝑫) { 𝟐
Soient les vecteurs 𝒖 ⃗ (𝟐𝒎 + 𝟏; 𝟑; −𝒎) et 𝒗 ⃗ (−𝟏; 𝟐; 𝟑) et 𝒘 ⃗⃗⃗ (−𝟑; 𝟏; 𝟐) 𝟏
𝒛=− 𝒕
3) Calculer 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗 ⃗⃗⃗ ) en fonction de réel m
⃗ ;𝒘 𝟒
4) Déterminer le réel m pour que les vecteurs 𝒖 ⃗ ;𝒗
⃗ et 𝒘
⃗⃗⃗ soient 3) Montrer que (𝑷) 𝐞𝐭 (𝑫) sont orthogonaux
4) Déterminer les cordonnées de H l’intersection de (𝑷) 𝐞𝐭 (𝑫)
coplanaires
Exercice 08
Exercice 03
Soit (𝑷) le plan défini par l’équation (𝑷) ∶ 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎
Soient 𝑨(−𝟏; −𝟑; −𝟐) ;𝑩(𝟎; 𝟒; 𝟐);𝑪(𝟐; 𝟐; −𝟏) et 𝑫(𝟏; 𝟏; 𝟏) des points
2) Calculer la distance de point 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) au plan (𝑷)
1) Montrer que (𝑨𝑩) ⊥ (𝑪𝑫)
et en déduire que le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷)
2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑨𝑪)
2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite
3) Vérifier que le point 𝑩(𝟐 ; −𝟐 ; −𝟏) appartient (𝐀𝐂)
(𝑫) passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷).
4) Vérifier que le point 𝑬(𝟏 ; 𝟐 ; −𝟑) n’appartient pas (𝐀𝐂)
3) En déduire les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal
Exercice 04
du point 𝑨 sur le plan (𝑷).
Soient 𝑨(𝟏; −𝟐; −𝟏) ;𝑩(𝟑; 𝟑; 𝟎) et 𝑪(𝟔; 𝟎; 𝟎) 𝒅𝒆𝒔 points dans l’espace
Exercice 09
4) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas alignés 1) Déterminer l’équation cartésienne du sphère (S) de
5) Montrer que le triangle OBC est rectangle est isocèle en B centre 𝛀(𝟐; −𝟏; 𝟏) et de rayon R=5
6) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires 2) Déterminer une équation de sphère (S)de centre 𝑨(𝟒 ; −𝟏 ; 𝟎)
Exercice 05 et passant par le point 𝑩(𝟑 ; 𝟓 ; 𝟏)
Déterminer une équation cartésienne des plans suivants 3) Soit l'ensemble(S) d'équation 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟏𝟏 = 𝟎
𝟏) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑷) passant par le point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎)est de vecteur Montrer que l'ensemble  est une sphère dont on déterminera
les caractéristiques (centre, rayon). avec deux méthodes
normale ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏)
4) Déterminer une équation de sphère (S) de diamètre [𝑨𝑩]
𝟐) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑸) passant par le point 𝑶 est de vecteur normale⃗⃗⃗𝒌 avec deux méthodes tel que A(𝟏; −𝟐; 𝟏) et B(𝟏; −𝟐; 𝟏)
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Exercice 10 Exercice 13
Soit (S) la sphère d’équation (𝑺): 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 − 𝟓 = 𝟎 𝒙=𝟏+𝒕
Et le plan(P) d’équation cartésienne : (𝑷): 𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟓 = 𝟎 Soit la droite (D) définit par la droite (𝑫) : { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
𝒛 = −𝒕
5) Déterminer 𝛀 le centre 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐡è𝐫𝐞 (S) et son rayon 𝑹.
Déterminer l’intersection de la droite (𝑫) avec la sphère (S) dans
6) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) est tangente
chaque cas : 𝒂) (𝐒) ∶ 𝐱 𝟐 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 + 𝟐𝐱 − 𝟏 = 𝟎
à la sphère (S) en un point H 𝒃) (𝐒) ∶ 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟏 = 𝟎
7) Déterminer les coordonnées du point de contact H Exercice 14
Exercice 11 On considère dans l’espace les points 𝐀(𝟏; 𝟐; 𝟏), 𝐁(𝟏; 𝟑; 𝟏) et
Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝟏; 𝟏; −𝟏) est de rayon 𝑹 = 𝟑 et (P) le 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et (𝐒) une sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐.
plan (𝑷): 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 1)a) Montrer que 𝐔 ⃗ = −𝐢 + 𝐤 est vecteur normal au plan (𝐎𝐀𝐁).
4) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) coupe la b) Vérifier que : 𝐱 − 𝐳 = 𝟎 est une équation cartésienne à (𝐎𝐀𝐁).
sphère (S) suivant un cercle (C) c) Déterminer l’équation cartésienne de (𝐒)
5) Déterminer les coordonnées du point H le centre du cercle (C) 4) 2)a) Montrer que 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧 (𝐎𝐀𝐁) est tangente à la sphère (S) en
et son rayon r un point H
6) a) Vérifier que le point 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒) b) Déterminer une représentation de (𝐃) la droite passant par
b) Déterminer l’équation du plan (Q) tangente au sphère (S) en A le point 𝛀 et et orthogonale au plan (𝐎𝐀𝐁).
Exercice 12 c) Déterminer les coordonnées du point de contact H
On considère la sphère (𝑺) d’équation cartésienne : 3)Montrer que la droite (D’) passant par le point 𝐂 et de vecteur
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 − 𝟔𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝟓 = 𝟎 directeur 𝐮 ⃗ (𝟐; 𝟎; −𝟐) est tangente à la sphère (𝐒) puis déterminer
Et soit (𝑷) le plan d’équation : 𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎 les coordonnées de point de contact
1) Montrer que le centre de la sphère (𝑺) est le point Exercice 15
𝑰(𝟐; 𝟑; −𝟏) et que son rayon 𝑹 est 3. Soit (𝐒) la sphère définie par l’équation cartésienne suivante :
2)a) Montrer que 𝒅(𝑰; (𝑷)) = √𝟔. (𝐒) ∶ 𝐱 𝟐 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 − 𝟐𝐱 − 𝟐𝐲 − 𝟐𝐳 − 𝟏 = 𝟎 et (𝐏) le plan défini par
b) En déduire que le plan (𝑷) coupe la sphère (𝑺) selon un cercle l’équation cartésienne suivante : (𝐏) ∶ 𝐲 − 𝐳 = 𝟎
(𝚪) de rayon √𝟑. 1)a) Déterminer le centre 𝛀 et le rayon 𝐑 de la sphère (𝐒).
3)a) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑫) b) Montrer que (𝐏) coupe la sphère (𝐒) suivant un cercle (𝐂).
passant par 𝑰 et orthogonale au plan (𝑷) . c) Déterminer le centre et le rayon du cercle (𝐂).
b) Montrer que le centre de (𝚪) est 𝑯(𝟏; 𝟏; −𝟐). 2) Soit (𝐃) la droite passant par 𝐀(𝟏; −𝟐; 𝟐) et orthogonale à (𝐏).
4) Déterminer une équation cartésienne de chacun des deux a) Déterminer une représentation paramétrique de(𝐃)
plants tangents à (𝑺) et paralléle à (𝑷). b) Déterminer le triplet de coordonnées de chacun des points
d’intersection de la droite (𝐃) et la sphère (𝐒).
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Exercice 01 𝟑−𝟓 −𝟐 𝟔−𝟓 𝟏
1) Dans chaque cas, vérifier si les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗
⃗ sont colinéaires. b) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑬𝑩 (𝟐 − 𝟎) = ( 𝟐 ) et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑬𝑫 (−𝟏 − 𝟎) = (−𝟏).
𝟏−𝟎 𝟏 𝟐−𝟎 𝟐
−𝟔 𝟗 𝟒 𝟏𝟏 −𝟐 −𝟏
⃗ ( 𝟏𝟎 ) et 𝒗
a) 𝒖 ⃗ (−𝟏𝟓) b) 𝒖⃗ (𝟗) et 𝒗
⃗ (𝟐𝟑) ∆𝒙 = | | = −𝟐 × (𝟐) − (−𝟏) × 𝟏 = −𝟑
𝟏 𝟐
𝟏 −𝟑 𝟏 𝟏
−𝟏 𝟑 −𝟐 𝟔 Les vecteurs 𝑬𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ et 𝑬𝑫 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas colinéaires.
𝟓
2) On considère les points 𝑨 ( 𝟏 ), 𝑩 (𝟐), 𝑪 (−𝟑), 𝑫 (−𝟏) et 𝑬 ( ) Donc les points 𝑬, 𝑩 et 𝑫 ne sont pas alignés.
𝟑 𝟏 𝟔 𝟐 𝟎
Exercice 02
a) Démontrer que les droites (𝑨𝑩) et (𝑪𝑫) sont parallèles.
Soient les vecteurs 𝒖 ⃗ (𝟐𝒎 + 𝟏; 𝟑; −𝒎) et 𝒗 ⃗ (−𝟏; 𝟐; 𝟑) et
b) Démontrer que les points 𝑬, 𝑩 et 𝑫 ne sont pas alignés
⃗⃗⃗ (−𝟑; 𝟏; 𝟐)
𝒘
Correction
5) Calculer 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗⃗ ;𝒘 ⃗⃗⃗ ) en fonction de réel m
1) Dans chaque cas, vérifier si les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗
⃗ sont colinéaires.
Déterminer le réel m pour que les vecteurs 𝒖 ⃗ ;𝒗
⃗ et 𝒘
⃗⃗⃗ soient
𝟏𝟎 −𝟏𝟓
∆𝒙 = | | = (𝟏𝟎) × (−𝟑) − (−𝟏𝟓) × 𝟏 = −𝟏𝟓 + 𝟏𝟓 = 𝟎 coplanaires
𝟏 −𝟑
−𝟔 𝟗 Correction
∆𝒚 = | | = (−𝟔) × (−𝟑) − 𝟏 × 𝟗 = 𝟗 − 𝟗 = 𝟎 𝟐𝒎 + 𝟏 −𝟏 − 𝟑
𝟏 −𝟑
−𝟔 𝟗 𝟏) 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗⃗ ;𝒘⃗⃗⃗ ) = | 𝟑 𝟐 𝟏|
∆𝒛 = | | = (−𝟔) × (−𝟏𝟓) − 𝟏𝟎 × 𝟗 = 𝟗𝟎 − 𝟗𝟎 = 𝟎 −𝒎 𝟑 𝟐
𝟏𝟎 −𝟏𝟓
Les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗 ⃗ sont donc colinéaires. 𝟐 𝟏 −𝟏 −𝟑 −𝟏 −𝟑
= (𝟐𝒎 + 𝟏) | | − 𝟑| |−𝒎| |
𝟗 𝟐𝟑 𝟑 𝟐 𝟑 𝟐 𝟐 𝟏
b) ∆𝒙 = | | = 𝟗 × 𝟏 − 𝟐𝟑 × 𝟏 = 𝟗 − 𝟐𝟑 = −𝟏𝟔 ≠ 𝟎 = 𝟏 × (𝟐𝒎 + 𝟏) − 𝟑(−𝟐 + 𝟗) − 𝒎(−𝟏 + 𝟔)
𝟏 𝟏
Les vecteurs 𝒖 ⃗ et 𝒗⃗ ne sont donc pas colinéaires. = (𝟐𝒎 + 𝟏) − 𝟐𝟏 − 𝟓𝒎
𝟑 − (−𝟏) 𝟒 𝟔 − (−𝟐) 𝟖 = −𝟑𝒎 − 𝟐𝟎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
2)a) 𝑨𝑩 ( 𝟐 − 𝟏 ) = (𝟏) et 𝑪𝑫 (−𝟏 − (−𝟑)) = (𝟐). 2) Les vecteurs 𝒖 ⃗ ;𝒗 ⃗ et 𝒘 ⃗⃗⃗ sont coplanaires
𝟑−𝟏 𝟐 𝟔−𝟐 𝟒 Donc 𝒅𝒆𝒕(𝒖 ⃗ ;𝒗 ⃗ ;𝒘 ⃗⃗⃗ ) = 𝟎
𝟏 𝟐 Donc −𝟑𝒎 − 𝟐𝟎 = 𝟎
∆𝒙 = | |=𝟒×𝟏−𝟐×𝟐=𝟒−𝟒=𝟎
𝟐 𝟒 𝟐𝟎
𝟒 𝟖 Donc 𝒎 = −
∆𝒚 = | | = 𝟒 × 𝟒 − 𝟖 × 𝟐 = 𝟏𝟔 − 𝟏𝟔 = 𝟎 𝟑
𝟐 𝟒
𝟒 𝟖
∆𝒛 = | |= 𝟒×𝟐−𝟖×𝟏=𝟖−𝟖=𝟎
𝟏 𝟐
𝑨𝑩 et ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑪𝑫 sont colinéaires.
Donc les droites (𝑨𝑩) et (𝑪𝑫) sont parallèles.
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Exercice 03 3) Vérifier que le point 𝑩(𝟐 ; −𝟐 ; −𝟏) appartient (𝐀𝐂)
Soient 𝑨(−𝟏; −𝟑; −𝟐) ;𝑩(𝟎; 𝟒; 𝟐);𝑪(𝟐; 𝟐; −𝟏) et 𝑫(𝟏; 𝟏; 𝟏) quatre 𝑩(𝟐 ; −𝟐 ; −𝟏) appartient (𝐀𝐂) alors il existe (𝒕 ∈ 𝑰𝑹 )tel que
points dans l’espace 𝟐 = −𝟏 + 𝟑𝒕
1) Montrer que (𝑨𝑩) ⊥ (𝑪𝑫) {−𝟐 = −𝟑 + 𝟓𝒕
−𝟏 = −𝟐 + 𝒕
2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑨𝑪) 𝟑 = 𝟑𝒕
3) Vérifier que le point 𝑩(𝟐 ; −𝟐 ; −𝟏) appartient (𝐀𝐂) Donc {𝟓 = 𝟓𝒕
4) Vérifier que le point 𝑬(𝟏 ; 𝟐 ; −𝟑) n’appartient pas (𝐀𝐂) 𝟏=𝒕
Exercice 05 𝒕=𝟏
Donc {𝒕 = 𝟏
1) Montrer que (𝑨𝑩) ⊥ (𝑪𝑫) 𝒕=𝟏
𝟎 − (−𝟏) 𝟏 Donc le point 𝑩 appartient à la droite (𝐀𝐂)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
La droite (AB) de vecteur directeur 𝑨𝑩 ( 𝟒 − (−𝟑) ) = (𝟕) 4°Vérifier que le point 𝑬(𝟏 ; 𝟐 ; −𝟑) n’appartient pas (𝐀𝐂)
(𝟐) − (−𝟐) 𝟒 Si 𝑬(𝟏 ; 𝟐 ; −𝟑) appartient (𝐀𝐂) alors il existe (𝒕 ∈ 𝑰𝑹 )tel que
𝟏 − (𝟐 ) −𝟏 𝟏 = −𝟏 + 𝟑𝒕
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
La droite (CD) de vecteur directeur 𝑪𝑫 ( 𝟏 − (𝟐) ) = (−𝟏) {𝟐 = −𝟑 + 𝟓𝒕
𝟐 −𝟑 = −𝟐 + 𝒕
(𝟏) − (−𝟏)
𝟐 = 𝟑𝒕
𝟏 −𝟏 Donc {𝟓 = 𝟓𝒕
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩. 𝑪𝑫 = (𝟕) . (−𝟏) = −𝟏 − 𝟕 + 𝟖 = 𝟎 −𝟏 = 𝒕
𝟒 𝟐 𝟐
𝒕=
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ (𝑨𝑩) ⊥ (𝑪𝑫) Donc { 𝒕 = 𝟏
𝟑
2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑨𝑪)
𝒕 = −𝟏
La droite (AC) passe par 𝑨(−𝟏; −𝟑; −𝟐) et de vecteur directeur
𝟐 − (−𝟏) 𝟑
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ( 𝟐 − (−𝟑) ) = ( 𝟓)
(−𝟏) − (−𝟐) 𝟏
Donc une représentation paramétrique de la droite (𝑨𝑪)
𝒙 = −𝟏 + 𝟑𝒕
( )
(𝑨𝑪) : {𝒚 = −𝟑 + 𝟓𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹
𝒛 = −𝟐 + 𝒕
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Exercice 04 Exercice 05
Soient 𝑨(𝟏; −𝟐; −𝟏) ;𝑩(𝟑; 𝟑; 𝟎) et 𝑪(𝟔; 𝟎; 𝟎) 𝒅𝒆𝒔 points dans l’espace Déterminer une équation cartésienne des plans suivants
7) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas alignés 𝟏) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑷) passant par le point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎)est de vecteur
normale ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏)
8) Montrer que le triangle OBC est rectangle est isocèle en B
𝟐) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑸) passant par le point 𝑶 est de vecteur normale⃗⃗⃗𝒌
9) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires
Solution Solution
Soient 𝑨(𝟏; −𝟐; −𝟏) ;𝑩(𝟑; 𝟑; 𝟎) et 𝑪(𝟔; 𝟎; 𝟎) 𝒅𝒆𝒔 points 𝟏) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑷) passant par la point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎)est de vecteur
normale ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏)
4) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas alignés
1ère méthode :
Cordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑶 𝒆𝒔𝒕 (𝟎 − 𝟑 ; 𝟎 − 𝟑; 𝟎 − 𝟎) donc (−𝟑 ; −𝟑; 𝟎) Comme ⃗⃗⃗𝒏(𝟑; 𝟐; −𝟏) est un vecteur normal au (P), une équation
Cordonnées de 𝑩𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝒆𝒔𝒕 (𝟑 ; −𝟑; 𝟎) cartésienne de (P) est de la forme 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
−𝟑 𝟑 Le point 𝑨(𝟏; −𝟏; 𝟎) appartient au plan, donc :
∆𝒛 = | | = 𝟗 + 𝟗 = 𝟏𝟖 ≠ 𝟎
−𝟑 −𝟑 𝟑 × (𝟏) + 𝟐 × (−𝟏) − (𝟎) + 𝒅 = 𝟎 et donc : 𝒅 = −𝟏.
Donc les vecteurs 𝐁𝐎 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐞𝐭 𝐁𝐂
⃗⃗⃗⃗⃗ ne sont pas colinéaires
Une équation cartésienne de (P) est : 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎.
D’où les points 𝐎; 𝐁; 𝐂 𝐧𝐞 𝐬𝐨𝐧𝐭 𝐩𝐚𝐬 𝐚𝐥𝐢𝐠𝐧é𝐬 2 ème méthode :
5) Montrer que le triangle OBC est rectangle est isocèle en B 𝒙−𝟏
𝑩𝑶 = √(−𝟑)𝟐 + (−𝟑)𝟐 + 𝟎𝟐 = √𝟏𝟖 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝒚 + 𝟏) et
M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (P) si et seulement si 𝑨𝑴
𝒛−𝟎
𝑩𝑪 = √(𝟑)𝟐 + (−𝟑)𝟐 + 𝟎𝟐 = √𝟏𝟖 𝟑
Donc le triangle OBC est isocèle en B ⃗ ( 𝟐 ) sont orthogonaux.
𝒏
−𝟑 𝟑 −𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑶. 𝑩𝑪 = (−𝟑) . (−𝟑) = 𝟑 × (−𝟑) + (−𝟐) × (−𝟑) + 𝟎 = 𝟎 Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴. 𝒏 ⃗ =𝟎
𝟎 𝟎 Donc 𝟑(𝒙 − 𝟏) + 𝟐(𝒚 + 𝟏) − 𝒛 = 𝟎
𝐁𝐁 𝐞𝐭 ⃗⃗⃗⃗⃗
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐀𝐂 sont orthogonaux Donc 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
Donc le triangle ABC est rectangle en B Une équation cartésienne de (P) est : 𝟑𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
D’où le triangle ABC est isocèle est rectangle en B 𝟐) 𝑳𝒆 𝒑𝒍𝒂𝒏 (𝑸) passant par le point 𝑶(𝟎; 𝟎; 𝟎) est de vecteur
6) Vérifier que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires normale⃗⃗⃗𝒌(𝟎; 𝟎; 𝟏)
𝟏 𝟑 𝟔 𝟑 𝟎 𝟑 𝟔 𝟑 𝟔 𝒙−𝟎
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑶𝑩
𝒅𝒆𝒕(𝑶𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑶𝑪
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = |−𝟐 𝟑 𝟎 | = 𝟏 × |𝟎 𝟎| − (−𝟐) |𝟎 𝟎| + (−𝟏) |𝟑 𝟎| ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝒚 − 𝟎) et
M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (Q) si et seulement si 𝑨𝑴
−𝟏 𝟎 𝟎
𝒛−𝟎
= 𝟏 × (𝟎 − 𝟎) + 𝟐(𝟎 + 𝟎) − (−𝟏𝟖) = 𝟏𝟖 ≠ 𝟎 𝟎
Donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑨 ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑪 ne sont pas coplanaires ⃗𝒌 (𝟎) sont orthogonaux. donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑴. ⃗𝒌 = 𝟎 donc 𝒛 = 𝟎
D’où que les points 𝑶 ; 𝑨; 𝑩 𝒆𝒕 𝑪 ne sont pas coplanaires 𝟏
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Exercice 06 (𝑷) 𝐞𝐭 (𝑹) sont sécantes suivant une droite (D) définit par les
Soient les plans ; (P) : 𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 et deux équation des plans (P) et (R) donc :
𝟏 𝟏
(Q) : 𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟐 = 𝟎 𝐞𝐭 (R) : 𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐳 + 𝟑 = 𝟎 (𝑷): 𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
𝟐 𝟐 (𝑫) : {
(𝑹): 𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐳 + 𝟑 = 𝟎
1) Montrer que (𝑷)//(𝑸)
𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝐭 + 𝟏 = 𝟎
2) Montrer que (𝑷) ⊥ (𝑹) 𝑶𝒏 𝒑𝒐𝒔𝒆 𝒑𝒂𝒓 𝒆𝒙𝒆𝒎𝒑𝒍𝒆 𝒛 = 𝒕 𝒅𝒐𝒏𝒄 {
𝒙 − 𝟑𝒚 − 𝐭 + 𝟑 = 𝟎
3) En déduire la position relative des plans (𝑸) 𝒆𝒕 (𝑹) 𝟐𝒙 + 𝒚 = 𝐭 − 𝟏
4) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (D) 𝑫𝒐𝒏𝒄 {
𝒙 − 𝟑𝒚 = 𝐭 − 𝟑
l’intersection des plan (𝑷)𝐞𝐭 (𝑹) On cherche à exprimer x et y en fonction de t
Correction J’ai choisit la méthode de déterminant de GRAMER
1) Montrer que (𝑷)//(𝑸) 𝟐 𝟏
𝑫=| | = −𝟔 − 𝟏 = −𝟕 ≠ 𝟎
On a 𝒏⃗ (𝟐; 𝟏; −𝟏) 𝒆 est un vecteur normal au plan (P) 𝟏 −𝟑
𝟏 𝟏 𝒕−𝟏 𝟏
On a ⃗⃗⃗⃗
𝒏′ (𝟏; ; − ) est un vecteur normal au plan (Q) 𝑫𝒙 = | | = −𝟑(𝒕 − 𝟏) − (𝒕 − 𝟑) = −𝟐𝒕 + 𝟔
𝟐 𝟐 𝒕 − 𝟑 −𝟑
𝟏 𝟐 𝒕−𝟏
𝟏 𝟏 𝟏 𝟐 𝟏 𝑫𝒚 = | | = 𝟐 (𝒕 − 𝟑 ) − (𝒕 − 𝟏 ) = 𝒕 − 𝟓
∆𝒙 = | 𝟐
| = 𝟎 ; ∆ = | 𝟏| = 𝟎 et ∆𝒛 = | 𝟏| =𝟎 𝟏 𝒕−𝟑
−𝟏 −
𝟏 𝒚 −𝟏 − 𝟏 𝑫𝒙 −𝟐𝒕 + 𝟔 𝟔 𝟐 𝑫𝒚 𝒕 − 𝟓 𝟓 𝟏
𝟐 𝟐
𝟐 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒙 = = = − + 𝒕 𝒆𝒕 𝒚 = = = − 𝒕
𝑫 −𝟕 𝟕 𝟕 𝑫 −𝟕 𝟕 𝟕
Donc les vecteurs 𝒏 ⃗ et ⃗⃗⃗
𝒏′ sont colinéaire Donc une représentation paramétrique de la droite (D)
𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝑷)//(𝑸) l’intersection des plan (𝑷)𝐞𝐭 (𝑹) est
3) Montrer que (𝑷) ⊥ (𝑹) 𝟔 𝟐
𝒙=− + 𝒕
On a 𝒏 ⃗ (𝟐; 𝟏; −𝟏) 𝒆 est un vecteur normal au plan (P) 𝟕 𝟕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹 )
(𝑫) : { 𝟓 𝟏
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝒏′′ (𝟏; −𝟑; −𝟏) est un vecteur normal au plan (R) 𝒚= − 𝒕
𝟕 𝟕
𝟐 𝟏 𝒛=𝒕
⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ . 𝒏′′ = ( 𝟏 ) . (−𝟑) = 𝟐 − 𝟑 + 𝟏 = 𝟎
𝒏
−𝟏 −𝟏
Donc 𝒏 ⃗ 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗
𝒏′ sont orthogonaux
Donc (𝑷) ⊥ (𝑹)
3) En déduire la position relative des plans (𝑸) 𝒆𝒕 (𝑹)
On a (𝑷)//(𝑸) et (𝑷) ⊥ (𝑹)
Donc (𝑸) ⊥ (𝑹)
4) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (D)
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Exercice 07 𝟏 𝟏
On trouve : 𝟒(𝟏 − 𝒕 ) − 𝟐 (−𝟏 + 𝒕) + (− 𝒕 ) + 𝟏 = 𝟎
𝟐 𝟒
Soit le plan (P) : 4𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎 𝟏
Donc 𝟒 − 𝟒𝒕 + 𝟐 − 𝒕 − 𝒕 + 𝟕 = 𝟎
𝒙=𝟏−𝒕 𝟒
𝟏 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝟒
Et la droite (𝑫) : {𝒚 = −𝟏 + 𝟐 𝒕 Donc −
𝟐𝟏
𝐭 = −𝟕
𝟏
𝒛=− 𝒕
𝟒

5) Montrer que (𝑷) 𝐞𝐭 (𝑫) sont orthogonaux Donc 𝒕 = 𝟕 × ( )


𝟒
𝟐𝟏
6) Déterminer les cordonnées de points H l’intersection de 𝟒
Donc 𝒕 =
𝟑
(𝑷) 𝐞𝐭 (𝑫)
𝒙=𝟏−𝒕
Correction 𝟏
𝟒
On remplace 𝒕 = dans { 𝒚 = −𝟏 + 𝒕 on trouve
𝟐
⃗ (𝟒; −𝟐; 𝟏) 𝒆 est un vecteur normal au plan (P)
4) On a 𝒏 𝟑 𝟏
𝒛=− 𝒕
𝟏 𝟏 𝟒
On a ⃗⃗⃗𝒖 (−𝟏; ; − ) est un vecteur directeur de la droite (D) 𝟒
𝟐 𝟒
𝒙=𝟏−
𝟑
𝟏
−𝟐 𝟒 −𝟏 𝟒 −𝟏 𝒚 = −𝟏 + × ( )
𝟏 𝟒
𝟐
∆𝒙 = | 𝟏 | = 𝟎 ; ∆𝒚 = |𝟏 −
𝟏| = 𝟎 et ∆𝒛 = |
−𝟐
𝟏 |=𝟎 𝟐 𝟑
𝟏 − 𝟒 𝟐 𝟏 𝟒
𝟒
{ 𝒛 = − 𝟒 × (𝟑 )
⃗ et 𝐮
Donc les vecteurs 𝒏 ⃗ sont colinéaire 𝟏
𝒙=−
𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 (𝑷)𝐞𝐭 (𝑸) sont orthogonaux 𝟒 𝟐 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒚 = −𝟏 + = − = −
𝟔 𝟔 𝟑
5) (D) et (P) sont sécantes en H(x ;y ;z) alors les coordonnés 𝟒 𝟏
{ 𝒛=− =−
𝒙 =𝟏−𝒕 𝟏𝟐 𝟑
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝒚 = −𝟏 + 𝒕 Donc (D) et (P) sont séantes en 𝑯(− ; − ; − )
𝟐 𝟑 𝟑 𝟑
(x ;y ;z) vérifie le systèmes : 𝟏
𝒛=− 𝒕
𝟒
{𝟒𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
𝟏 𝟏
Donc on remplace 𝒙 = 𝟏 − 𝒕 ; 𝒚 = −𝟏 + 𝒕 et 𝒛 = − 𝒕 dans
𝟐 𝟒

𝟒𝒙 − 𝟐𝒚 + 𝐳 + 𝟏 = 𝟎
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Exercice 08 Alors les coordonnés (x ;y ;z) de H vérifie le systèmes :
Soit (𝑷) le plan défini par l’équation (𝑷) ∶ 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎 𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕
3) Calculer la distance de point 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) au plan (𝑷) ;
𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒕
{
et en déduire que le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷) 𝒛=𝟏−𝒕
2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑫) 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎
passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷). Donc on remplace 𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕 ; 𝒚 = 𝟑𝒕 et 𝒛 = 𝟏 − 𝒕 dans
3) En déduire les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal du 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎
point 𝑨 sur le plan (𝑷).
Correction On trouve : 𝟐(𝟏 − 𝟐𝒕 ) + 𝟑(𝟑𝒕) − (𝟏 − 𝒕 ) + 𝟒 = 𝟎
Soit (𝑷) le plan défini par l’équation (𝑷) ∶ 𝟐𝒙 + 𝟑𝒚 − 𝒛 + 𝟒 = 𝟎 Donc 𝟐 − 𝟒𝒕 + 𝟗𝒕 − 𝟏 − 𝒕 + 𝟒 = 𝟎
2) Calculer la distance de point 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) au plan (𝑷) Donc 𝟒𝐭 = 𝟔
et en déduire que le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷) 𝟔 𝟑
| (𝟐 × 𝟏) − (𝟑 × 𝟎) − (𝟏) + 𝟒| |𝟓| 𝟓 Donc 𝐭 = =
𝟒 𝟐
𝐝(𝐀; (𝐏)) = = = ≠𝟎
√𝟐𝟐 + (𝟑)𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟏𝟐 √𝟏𝟐 𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕
𝟐 ;
On remplace 𝒕 = dans { 𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒕
Donc le point 𝑨 n’appartient pas au plan (𝑷) 𝟑
𝒛=𝟏−𝒕
2) Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑫)
𝟑
passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷). 𝒙=𝟏−𝟐×
𝟐
La droite (𝑫) passant par le point 𝑨, et orthogonale au plan (𝑷). 𝒚=𝟑×
𝟑

𝟐 On trouve 𝟐
𝟑
⃗⃗⃗ ( 𝟑 ) le vecteur normal au (P) est un vecteur directeur de
Donc 𝒏. 𝒛=𝟏−
𝟐
−𝟏 {
la droite (D) 𝒙 = −𝟐
Donc une représentation paramétrique de la droite (D) est 𝒚=
𝟗

𝒙 = 𝟏 − 𝟐𝒕 Donc 𝟐
(𝑫) : { 𝒚 = 𝟎 + 𝟑𝒕 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝟏
𝒛=−
𝟐
𝒛=𝟏−𝒕 {
3) En déduire les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal du 𝟗 𝟏
Donc 𝑯(−𝟐 ; ; − )
point 𝑨 sur le plan (𝑷). 𝟐 𝟐
Les coordonnées du point 𝑯 le projeté orthogonal du point 𝑨 sur le
plan (𝑷) est l’intersection de (D) et (P)
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Exercice 09 2ère méthode :
5) Déterminer l’équation cartésienne du sphère (S) de (𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟏𝟏 = 𝟎
centre 𝛀(𝟐; −𝟏; 𝟏) et de rayon R=5 On pose 𝒂 = −𝟐 ; 𝒃 = 𝟒 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = −𝟏𝟏
6) Déterminer une équation de sphère (S)de centre 𝑨(𝟒 ; −𝟏 ; 𝟎) et 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (−𝟐)𝟐 + 𝟒𝟐 + 𝟒 × 𝟏𝟏 = 𝟔𝟒 > 𝟎
passant par le point 𝑩(𝟑 ; 𝟓 ; 𝟏) 𝒂 𝒃 𝒄
7) Soit l'ensemble(S) d'équation 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟏𝟏 = 𝟎 Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐
Montrer que l'ensemble  est une sphère dont on déterminera les √ 𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝒅 √ 𝟔𝟒 𝟖
Donc 𝛀(𝟏; −𝟐; 𝟎) et de rayon 𝒓 = = = =𝟒
caractéristiques (centre, rayon). avec deux méthodes 𝟐 𝟐 𝟐

8) Déterminer une équation de sphère (S) de diamètre [𝑨𝑩] avec 4)Déterminer une équation de sphère (S) de diamètre [𝑨𝑩] avec
deux méthodes tel que A(𝟏; −𝟐; 𝟏) et B(𝟏; −𝟐; 𝟏) deux méthodes tel que A(𝟏; −𝟐; 𝟏) et B(𝟏; −𝟐; 𝟏)
Solution de l’exercice 1ème méthode
1)Déterminer l’équation cartésienne du sphère (S) de Le milieu de segment [𝑨𝑩] est le centre de sphère donc
𝟏−𝟏 𝟐+𝟐 𝟏+𝟏
centre 𝛀(𝟐; −𝟏; 𝟏) et de rayon R=5 𝛀( ; ; ) c-t-dire 𝛀(𝟎 ; 𝟐; 𝟏)
𝟐 𝟐 𝟐
Une équation cartésienne de la sphère (S) est
Le rayon r de sphère est
(𝒙 − 𝟐)𝟐 + (𝒚 + 𝟏)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟐𝟓.
𝑨𝑩 √(−𝟏 − 𝟏)𝟐 + (𝟐 − 𝟐)𝟐 + (𝟏 − 𝟏)𝟐
2)Commençons par déterminer le carré du rayon du sphère (S) 𝒓= = =𝟏
𝟐 𝟐 𝟐
𝒓𝟐 = 𝑨𝑩𝟐 = (𝟑 − 𝟒)𝟐 + (𝟓 − (−𝟏)) + (𝟏 − 𝟎)𝟐 = 𝟑𝟖 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺) ⇔ 𝒙𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟏
Une équation cartésienne de la sphère (S) est
2ère méthode :
(𝒙 − 𝟒)𝟐 + (𝒚 + 𝟏)𝟐 + (𝒛 − 𝟎)𝟐 = 𝟑𝟖.
𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑪) ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑴.𝑩𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎
2)Soit l'ensemble  d'équation : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 − 𝟏𝟎𝒚 + 𝟏𝟕 = 𝟎.
Montrer que l'ensemble  est une sphère dont on déterminera les 𝒙−𝟏 𝒙+𝟏
⇔ (𝒚 − 𝟐 ) . (𝒚 − 𝟐 ) = 𝟎
caractéristiques (centre, rayon). avec deux méthodes
𝒛−𝟏 𝒛−𝟏
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟏𝟏 = 𝟎 ⇔ 𝒙 − 𝟏 𝒙 + 𝟏 + 𝒚 − 𝟐 𝒚 − 𝟐) + (𝒛 − 𝟏)(𝒛 − 𝟏) = 𝟎
( )( ) ( )(
(𝒙𝟐 − 𝟐𝒙) + (𝒚𝟐 + 𝟒𝒚) + 𝒛𝟐 + 𝟏𝟕 = 𝟎
⇔ 𝒙𝟐 − 𝟏 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟎
(𝒙 − 𝟏)𝟐 − 𝟏 + (𝒚 + 𝟐)𝟐 − 𝟒 + 𝒛𝟐 − 𝟏𝟏 = 𝟎
(𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 + 𝟐)𝟐 + 𝒛𝟐 = 𝟏𝟏 + 𝟒 + 𝟏 ⇔ 𝒙𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟏
(𝒙 − 𝟏 )𝟐 + (𝒚 + 𝟐 )𝟐 + 𝒛𝟐 = 𝟒 𝟐
L'ensemble (S) est la sphère de centre le point de coordonnées
(1 ; -2 ;0) et de rayon 4.
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Exercice 10 Exercice 11
Soit (S) la sphère d’équation (𝑺): 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 − 𝟓 = 𝟎 Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝟏; 𝟏; −𝟏) est de rayon 𝑹 = 𝟑 et (P)
Et le plan(P) d’équation cartésienne : (𝑷): 𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟓 = 𝟎 le plan (𝑷): 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎
8) Déterminer 𝛀 le centre 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐡è𝐫𝐞 (S) et son rayon 𝑹. 7) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) coupe la
9) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) est tangente à sphère (S) suivant un cercle (C)
la sphère (S) en un point H 8) Déterminer les coordonnées du point H le centre du cercle
10) Déterminer les coordonnées du point de contact H (C) et son rayon r
Solution de l’exercice 9) a) Vérifier que le point 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒)
4) Déterminer 𝛀 le centre 𝐝𝐞 𝐥𝐚 𝐬𝐩𝐡è𝐫𝐞 (S) et son rayon 𝑹. b) Déterminer l’équation du plan (Q) tangente au sphère (S) en A
On pose 𝒂 = −𝟒 ; 𝒃 = 𝟎 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = −𝟓 Solution de l’exercice
𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (−𝟒)𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟒 × 𝟓 = 𝟑𝟔 > 𝟎 Soit (S) la sphère de centre 𝛀(𝟏; 𝟏; −𝟏) est de rayon 𝑹 = 𝟑 et (P)
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝒂 𝒃 𝒄 le plan (𝑷): 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎
𝟐 𝟐 𝟐
√ 𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝒅
4) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) coupe la
√ 𝟑𝟔 𝟔
Donc 𝛀(𝟐; 𝟎; 𝟎) et de rayon 𝒓 = = = =𝟑 sphère (S) suivant un cercle (C)
𝟐 𝟐 𝟐
5) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) puis en déduire que le plan (P) est tangente à | (𝟏) + (𝟏) + (𝟏)| |𝟑|
𝐝(Ω; (𝐏)) = = = √𝟑
la sphère (S) en un point H √𝟏𝟐 + (𝟏)𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟑
| (𝟐 × 𝟐 ) − (𝟎 ) − (𝟎 ) + 𝟓 | |𝟗| Donc 𝐝(Ω; (𝐏)) < 𝒓
𝐝(Ω; (𝐏)) = = =𝟑
√𝟐 + (−𝟏) + (−𝟐)
𝟐 𝟐 𝟐 √𝟗 Donc le plan (P) coupe la sphère (S) suivant un cercle (C)
Donc 𝐝(Ω; (𝐏)) = 𝒓 5) Déterminer les coordonnées du point H le centre du cercle
Donc le plan (P) est tangente à la sphère (S) en un point H (C) et son rayon r
6) Déterminer les coordonnées du point de contact H 𝟐
𝒙 = 𝟐 + 𝟐𝒕 le rayon r de cercle (C ) est 𝐫 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐 = √𝟑𝟐 − √𝟑 = √𝟔
( )
(𝛀𝐇): { 𝒚 = 𝟎 − 𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹 𝒙=𝟏+𝒕
(𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 { ( ) ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝒛 = 𝟎 − 𝟐𝒕 𝛀𝐇 : { 𝒚 =𝟏+𝒕
(𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 {
(𝑷) : 𝟐𝒙 − 𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟓 = 𝟎 𝒛 = −𝟏 − 𝒕
Donc 𝟐(𝟐 + 𝟐𝒕) + 𝒕 + 𝟒𝒕 + 𝟓 = 𝟎 (𝑷) : 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎
Donc 𝟗𝒕 + 𝟗 = 𝟎 Donc (𝟏 + 𝒕) + (𝟏 + 𝒕) + (𝟏 + 𝒕) = 𝟎 donc 𝟑𝒕 + 𝟑 = 𝟎
𝒙 = 𝟐 + 𝟐𝒕 𝒙=𝟎 𝒙=𝟏+𝒕 𝒙=𝟎
Donc 𝒕 = −𝟏 on remplace dans { 𝒚 = −𝒕 donc { 𝒚 = 𝟏 Donc 𝒕 = −𝟏 on remplace dans { 𝒚 = 𝟏 + 𝒕 donc { 𝒚 = 𝟎
𝒛 = −𝟐𝒕 𝒛=𝟐 𝒛 = −𝟏 − 𝒕 𝒛=𝟎
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6) a) Vérifier que le point 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒) b) On résoudre le système suivant :
𝛀𝐀 = √(𝟑 − 𝟏)𝟐 + (𝟑 − 𝟏)𝟐 + (𝟎 + 𝟏)𝟐 = √𝟗 = 𝟑 𝒙=𝟏+𝒕
(𝑫): { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
Donc 𝛀𝐀 = 𝐑 donc 𝐀( 𝟑, 𝟑; 𝟎 ) ∈ (𝐒) {
𝒛 = −𝒕
b) Déterminer l’équation du plan (Q) tangente au sphère (S) en A (𝑺) : 𝐱 𝟐 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 + 𝟐𝐱 − 𝟑 = 𝟎
Soit M(𝒙 ; 𝒚; 𝒛) est un point de (Q) Donc (𝟏 + 𝐭)𝟐 + (−𝟏 − 𝐭)𝟐 + (−𝐭)𝟐 + 𝟐(𝟏 + 𝐭) − 𝟑 = 𝟎
𝒙−𝟑 𝟐
Donc 𝑨𝑴⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝒚 − 𝟑) et 𝛀𝑨⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝟐) sont orthogonaux. (𝛀𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ est vecteur 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝐭 𝟐 + 𝟐 + 𝟐𝐭 − 𝟏 = 𝟎
𝒛−𝟎 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟑 𝐭 𝟐 + 𝟔𝒕 + 𝟑 = 𝟎 donc 𝟑( 𝐭 𝟐 + 𝟐𝒕 + 𝟏) = 𝟎
normal au plan (P) ) Donc (𝐭 + 𝟏)𝟐 = 𝟎 donc 𝒕 = −𝟏
𝑨𝑴. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛀𝑨 = 𝟎 Donc la droite (D) est tangente à la sphère (S) en un point H
Donc 𝟐(𝒙 − 𝟑) + 𝟐(𝒚 − 𝟑) + 𝒛 = 𝟎 𝒙=𝟏+𝒕
On remplace 𝒕 = −𝟏 dans { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 pour trouver H
Donc 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟏𝟐 = 𝟎
𝒛 = −𝒕
Une équation cartésienne de (Q) est : 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟏𝟐 = 𝟎 𝒙 =𝟏−𝟏=𝟎
Rappels Donc { 𝒚 = −𝟏 + 𝟏 = 𝟎 donc H(0 ;0 ;1)
Pour déterminer les cordonnées des points d’intersections de 𝒛=𝟏
sphère (S) et la droite (∆) c) On résoudre le système suivant :
𝒙=𝟏+𝒕
On résoudre le système suivant : (𝑫): { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕 {
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝒛 = −𝒕
(∆): {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕 (𝑺) : 𝒙 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟏 = 𝟎
𝟐
{ 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕
(𝑺) : (𝒙 − 𝒙𝛀 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚𝛀 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛𝛀 )𝟐 = 𝑹𝟐
Donc (𝟏 + 𝐭)𝟐 + (−𝟏 − 𝐭)𝟐 + (−𝐭)𝟐 − 𝟐(𝟏 + 𝐭) + 𝟐(−𝟏 − 𝐭) − 𝟏 = 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝐭 𝟐 − 𝟐 − 𝟐𝐭 − 𝟐 − 𝟐𝐭 − 𝟏 = 𝟎
Exercice 13
𝒙=𝟏+𝒕 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟑 𝐭 𝟐 − 𝟑 = 𝟎 donc 𝟑( 𝐭 𝟐 − 𝟏) = 𝟎
Soit la droite (D) définit par la droite (𝑫) : { 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ) Donc (𝒕 − 𝟏)(𝒕 + 𝟏) = 𝟎 donc 𝒕 = 𝟏 𝒐𝒖 𝒕 = −𝟏
𝒛 = −𝒕 Donc la droite (D) coupe la sphère (S) en deux point A et B
Déterminer l’intersection de la droite (𝑫) avec la sphère (S) dans 𝒙=𝟏−𝟏=𝟎
chaque cas : 𝒂) (𝐒) ∶ 𝐱 𝟐 + 𝐲 𝟐 + 𝐳 𝟐 + 𝟐𝐱 − 𝟏 = 𝟎 Donc pour 𝒕 = −𝟏 on a { 𝒚 = −𝟏 + 𝟏 = 𝟎 donc A(0 ;0 ;1)
𝒃) (𝐒) ∶ 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟏 = 𝟎 𝒛=𝟏
𝒙=𝟏+𝟏=𝟐
Solution de l’exercice
pour 𝒕 = 𝟏 on a {𝒚 = −𝟏 − 𝟏 = −𝟐 donc B(2 ;-2 ;-1)
𝒛 = −𝟏
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Exercice 01 Exercice 03 ( Rattrapage 2013)
On considère les points : 𝑨(𝟎; −𝟐; −𝟐) ; 𝑩(𝟏; −𝟐; −𝟒) ; 𝑪(−𝟑; −𝟏; 𝟐) Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct
𝑨𝑪 = 𝟐𝒊 + 𝟐𝒋 + ⃗𝒌.
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
1) a) Montrer que : ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ (𝑶; 𝒊; 𝒋; ⃗𝒌) ,on considère les points :
b) En déduire 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 + 𝟔 = 𝟎 est une équation cartésienne 𝑨(𝟎; 𝟎; 𝟏) ; 𝑩(𝟏; 𝟏; 𝟏) ; 𝑪(𝟐; 𝟏; 𝟐). Et la sphère (𝑺) de centre
du plan (𝑨𝑩𝑪). Ω(𝟏; −𝟏; 𝟎) et de rayon égale à √𝟑.
2) Soit (𝑺) la sphère d’équation : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 − 𝟐𝒛 − 𝟐𝟑 = 𝟎 1) Montrer que: 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟏 = 𝟎 est une équation
Montrer que le centre de la sphère (𝑺) est le point cartésienne de la sphère (𝑺) et vérifier que 𝑨 ∈ (𝑺).
Ω(𝟏; 𝟎; 𝟏) et que son rayon est 𝑹 = 𝟓. 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
2)a) Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = 𝒊 − 𝒋 − 𝒌 ⃗ . Et en déduire
3) a) Déterminer une représentation paramétrique de la droite 𝒙 − 𝒚 − 𝒛 + 𝟏 = 𝟎 est une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪).
(∆)passant par Ω et orthogonale à (𝑨𝑩𝑪)
b) Calculer la distance 𝒅(𝛀; (𝑨𝑩𝑪)) et en déduire que
b) Déterminer les coordonnées du point 𝑯 intersection
le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangente à la sphère (𝑺) en 𝑨.
de la droite (∆) et du plan (𝑨𝑩𝑪).
3) Soit (∆) la droite passant par le point Ω et perpendiculaire au
4) Vérifier que 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪)) = 𝟑 puis montrer que (𝑨𝑩𝑪) coupe la
plan (𝑨𝑩𝑪).
sphère (𝑺) selon un cercle et on déterminera le centre et le rayon 𝒙=𝟏+𝒕
Exercice 02 a) Montrer que :{ 𝒚 = −𝟏 − 𝒕 (𝒕 ∈ ℝ)
On considère dans l’espace les points : 𝒛 = −𝒕
𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ; 𝑩(𝟎; −𝟒; 𝟒) ; 𝑪(𝟑; −𝟒; 𝟓) Est une représentation paramétrique de (∆).
Et la sphère (𝑺) dont une équation cartésienne: b)En déduire les coordonnées du point d’intersection de (∆) et (𝑺)
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟖 = 𝟎 Exercice 04 (Normale 2009 )
1)a) Montrer que le centre de (𝑺) est Ω(𝟐; −𝟐; 𝟑) et que son rayon 𝟑 Soient les points 𝑨(−𝟐; 𝟐; 𝟖) ; 𝑩(𝟔; 𝟔; 𝟎) ; 𝑪(𝟐; −𝟏; 𝟎) ; 𝑫(𝟎; 𝟏; −𝟏)
b) Vérifier que 𝑨 ∈ (𝑺) puis écrire une équation cartésienne du Et l’ensemble (𝑺) des points 𝑴 de l’espace vérifiant:
plan (𝑷) tangente à (𝑺) en 𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑴𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑴𝑩 = 𝟎 .
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
2) a) Montrer que: ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = −𝟒𝒊 + 𝟏𝟎𝒋 + 𝟏𝟐𝒌⃗. 1) Déterminer les coordonnées du vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑪 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑫 et en déduire
b) En déduire 𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟒 = 𝟎 est une équation cartésienne que 𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝟐𝒛 = 𝟎 est une equation cartésienne du plan (𝑶𝑪𝑫).
du plan (𝑨𝑩𝑪). 2) Vérifier que (𝑺) est la sphère de centre Ω(𝟐; 𝟒; 𝟒) et de rayon
c) Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) coupe la sphère (𝑺) suivant un égale à 6.
cercle (𝚪) dont on déterminera le centre et le rayon. 3)a) Calculer la distance du point 𝛀 au plan (𝑶𝑪𝑫).
𝑨𝑩. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
3)a) Calculer ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑩𝑪 puis en déduire la nature du triangle 𝑨𝑩𝑪. b) En déduire que le plan (𝑶𝑪𝑫) est tangente à (𝑺).
b) Montrer que (𝚪) est le cercle circonscrit à 𝑨𝑩𝑪. c) Vérifier que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑩 = 𝟎 puis en déduire que le point 𝑶 est le
point d’intersection de (𝑶𝑪𝑫) et (𝑺).
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Exercice 06 ( Rattrapage 2017 ) Exercice 07 (Rattrapage 2019 )
On considère la sphère (𝑺) d’équation cartésienne: Soient les points𝑨(𝟎; 𝟎; 𝟏) ; 𝑩(𝟏; 𝟏; 𝟏) ; 𝑪(𝟐; 𝟏; 𝟐).
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 − 𝟐𝒚 − 𝟐𝒛 − 𝟏 = 𝟎 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
1) a) Vérifier que: ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = 𝒊 − 𝟐𝒋 − 𝟐𝒌 ⃗.
Et le plan (𝑷) d’équation cartésienne : 𝒚 − 𝒛 = 𝟎. b) En déduire 𝒙 − 𝟐𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟕 = 𝟎 est une équation
1)a) Montrer que le centre de (𝑺) est Ω(𝟏; 𝟏; 𝟏) et que son rayon cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪).
𝑹 = 𝟐. 2) Soient les points 𝑬(𝟓; 𝟏; 𝟒) et 𝑭(−𝟏; 𝟏; 𝟏𝟐) et (𝑺) l’ensemble des
b) Calculer 𝒅(Ω; (𝑷)) et en déduire le plan (𝑷) coupe ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑴𝑭
points 𝑴 vérifiant: 𝑴𝑬 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎.
la sphère (𝑺) selon un cercle (𝑪). Montrer que (𝑺) est la sphère de centre 𝛀(𝟐; 𝟏; 𝟖) et de rayon 𝟓.
c) Déterminer le centre et le rayon du cercle (𝑪). 3)a) Calculer 𝒅(𝛀; (𝑨𝑩𝑪)) distance du point 𝛀 aun plan
2) Soit (∆) la droite passant par 𝑨(𝟏; −𝟐; 𝟐) et orthogonal au (𝑷) (𝑨𝑩𝑪).
a) Montrer que 𝒖 ⃗ (𝟎; 𝟏; −𝟏) est un vecteur directeur de la droite (∆) b) En déduire que le plan (𝑨𝑩𝑪) coupe la sphère (𝑺) suivant un
b) Montrer que: ‖𝛀𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝒖
⃗ ‖ = √𝟐‖𝒖
⃗ ‖ et en déduire que cercle (𝚪) de rayon 𝒓 = 𝟒.
la droite (∆) coupe la sphère (𝑺) en deux points. Exercice 08
b) Déterminer le triple des coordonnées de chacun des points On considère les points : 𝑨(𝟏; 𝟏; 𝟎) ; 𝑩(𝟎; 𝟐; 𝟎) ; 𝑪(𝟎; 𝟎; 𝟑).
d’intersection de la droite (∆) et la sphère (𝑺)
1) a) Déterminer les coordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪.
Exercice 18
b) Calculer l’aire du triangle 𝑨𝑩𝑪.
Soit (𝑺) l’ensemble des points 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) de l’espace tels que:
𝟏 c) Calculer la distance du point 𝑩 à la droite (𝑨𝑪).
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒙 − = 𝟎 et (𝑷) le plan d’équation : 𝒚 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎.
𝟒 d) Déterminer une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
1) Montrer que (𝑺) est une sphère dont on déterminera le centre 𝛀 2) Soit (𝑫) la droite passant par 𝑪 de vecteur directeur 𝒖⃗ (𝟏; 𝟏; −𝟑)
et le rayon 𝑹 Montrer que : (𝑫) ⊥ (𝑩𝑪)
2) Montrer que le plan (𝑷) est tangente à la sphère (𝑺) et
3) Soit (𝑷) d’équation cartésienne : 𝟐𝒙 + 𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟏 = 𝟎
déterminer leur point d’intersection.
Et (𝑺𝜶 ) la sphère d’équation cartésienne :
3) Soit (𝑸) le plan d’équation: 𝟐𝒙 − 𝒚 + 𝒛 + 𝟏 = 𝟎. 𝟓
Montrer que : (𝑷) ⊥ (𝑸) 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝒙 − 𝟐𝒚 + − 𝜶 = 𝟎
𝟒
4) Soit la droite (𝑫) 𝒍′ 𝒊𝒏𝒕𝒆𝒓𝒔𝒆𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒆𝒔 𝒑𝒍𝒂𝒏𝒔 (𝑷) 𝒆𝒕 (𝑸) Avec 𝜶 est unreel strictement positif.
Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑫) a) Déterminer en fonction de 𝜶,le centre 𝛀 et le rayon 𝑹
5) a) Montrer que la droite (𝑫) est tangente à la sphère de la sphère (𝑺𝜶 ).
(𝑺) en un point à déterminer. b) Déterminer la valeur de 𝜶 pour la quelle le plan (𝑷)
b) Montrer que le plan (𝑸) coupe la sphère (𝑺) selon un cercle est tangente à la sphère (𝑺𝜶 ) puis déterminer les
dont on précisera le centre et le rayon
coordonnées du point de contact.
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I) Dénombrement. Définition.
1) Cardinal d’un ensemble fini Soit 𝐄 une expérience dont les résultats nécessitent 𝐤 choix,
Définition : Si le premier choix se fait de 𝐧𝟏 façons différentes
Le deuxième choix se fait de 𝐧𝟐 façons différentes, …,
Soit E un ensemble fini de n éléments distincts 𝐄 = {𝐱 𝟏 ; 𝐱 𝟐 ; … ; 𝐱 𝐧 }
…….
On appelle cardinal de E son nombre d’éléments n et on Le 𝐤 𝐢è𝐦𝐞 choix se fait de 𝐧𝐤 façons différentes,
écrit 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐄) = 𝐧 Alors le nombre de résultats possibles est donné par le produit :
Exemples : 𝐧𝟏 × 𝐧𝟐 × … × 𝐧𝐤 .
Considérons les deux ensembles A = {𝟏; 𝟐; 𝟐} et 𝐁 = {𝐚; 𝐛; 𝐜; 𝐝} Exemple 1
On a 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐀) = 𝟑 et 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐁) = 𝟒 Un code comporte deux lettres distincts suivies d’un chiffre non
L’ensemble vide ne contient aucun élément, donc 𝐂𝐚𝐫𝐝(⊘) = 𝟎 nul
2) Principe fondamental de l’analyse combinatoire. Combien peut-on former de codes distincts ?
Activité : Les trois étapes : choix de la première lettre : 26 possibilité, de la
On se propose de déterminer le deuxième 25 possibilités, puis du chiffre de 9 possibilités
nombre de nombres à deux chiffres, Le nombre cherché est donc : 𝟐𝟔 × 𝟐𝟓 × 𝟗 = 𝟓𝟖𝟓𝟎
que l’on peut écrire avec les chiffres Exemple 2
𝟑, 𝟓 et 𝟕. Un restaurant propose à ses clients un menu qui se compose :
Sans répétition d’un même élément
Une entrée à choisir parmi 𝟑 entrées possibles notée 𝐄𝟏 , 𝐄𝟐 ;𝐄𝟑
Le nombre des issues pour choisir le
chiffre des dizaines est 𝟑. Un plat à choisir parmi 𝟒 plats possibles notés 𝐏𝟏 , 𝐏𝟐 , 𝐏𝟑 et 𝐏𝟒 .
Le nombre des issues pour choisir le Un dessert à choisir parmi 𝟓 desserts possibles notés 𝐃𝟏 , 𝐃𝟐 ,
chiffre des unités est 𝟐. 𝐃𝟑 , 𝐃𝟒 et 𝐃𝟓 .
Donc le nombre de nombres à 𝟐 chiffres que l’on peux écrire avec Combien un client peut-il compose de menus différents ? Sachant
les chiffres 𝟑, 𝟓 et 𝟕 est 𝟔 = 𝟑 × 𝟐. qu’un menu contient une entrée, un plat et un dessert.
Le nombre de possibilités pour choisir l’entrée est 𝟑.
Avec répétition d’un même élément. Le nombre de possibilités pour choisir le plat est 𝟒.
Le nombre des issues pour choisir le Le nombre de possibilités pour choisir le dessert est 𝟓.
chiffre des dizaines est 𝟑. Donc d’après le principe fondamental de l’analyse combinatoire
Le nombre des issues pour choisir le le nombre des résultats possibles est 𝟑 × 𝟒 × 𝟓 = 𝟔𝟎.
chiffre des unités est 𝟑. D’où un client peut composer de 𝟔𝟎 menus différents.
Donc le nombre de nombres à 𝟐 Exercice 01.
chiffres que l’on peut écrire avec les 1) Combien peut-on former de codes de téléphone à 𝟒 chiffres ?
chiffres 𝟑, 𝟓 et 𝟕 est 2) Combien peut-on former de codes de téléphone à 𝟒 chiffres ne
𝟗 = 𝟑 × 𝟑 = 𝟑𝟐 . comportant pas le chiffre 𝟎.
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3) Arrangements. b) Arrangements avec répétition.
a) Arrangements sans répétition. Activité.
Activité. On lance 𝟑 fois de suite une pièce de monnaie. Le coté face est
Dans une course de semi-marathon, formée de 𝟏𝟎 participants. noté 𝐅, et le coté pile est noté 𝐏.
On suppose que la course est sans ex-æquo. Déterminer le nombre d’issues
On s’intéresse aux 𝟒 premiers rangs. possibles.
Déterminer le nombre de résultats possibles. Le 𝟏𝐢è𝐫 lancer : 𝟐 issues.
La 𝟏𝐢è𝐫𝐞 place : 𝟏𝟎 possibilités. Le 𝟐𝐢è𝐦𝐞 lancer : 𝟐 issues.
La 𝟐𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟗 possibilités. Le 𝟑𝐢è𝐦𝐞 lancer: 𝟐 issues.
La 𝟑𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟖 possibilités. Donc d’après le principe
La 𝟒𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟕 possibilités. fondamental de l’analyse
Donc d’après le principe fondamental de l’analyse combinatoire le combinatoire le nombre des
nombre des résultats possibles est 𝟏𝟎 × 𝟗 × 𝟖 × 𝟕 = 𝟓𝟎𝟒𝟎. résultats possibles est
Chaque résultat est appelé un arrangement sans répétition de 𝟒 𝟐 × 𝟐 × 𝟐 = 𝟐𝟑 .
éléments pris par 𝟏𝟎. Chaque résultat est appelé un
Le nombre de résultats est noté 𝐀𝟒𝟏𝟎 , et on a : arrangement avec répétition de 𝟑 éléments pris par 𝟐.
𝐀𝟒𝟏𝟎 = 𝟏𝟎 × 𝟗 × 𝟖 × 𝟕 = 𝟓𝟎𝟒𝟎. Définition.
Définition. Soient 𝐧 et 𝐩 deux entiers naturels non nuls.
Soient 𝐧 et 𝐩 deux entiers naturels non nuls.  Tout rangement de 𝐩 éléments choisis parmi par 𝐧 éléments
 Tout rangement de 𝐩 éléments choisis parmi 𝐧 éléments (sans (avec possibilité de répétition d’un même élément) est appelé
possibilité de répétition d’un même élément) est appelé arrangement avec répétition de 𝐩 éléments parmi 𝐧.
arrangement sans répétition de 𝐩 éléments parmi n (𝟏 ≤ 𝐩 ≤ 𝐧)  Le nombre d’arrangements avec répétition de 𝐩 éléments pris
 Le nombre d’arrangements sans répétition de 𝐩 éléments pris parmi par 𝐧 est noté 𝐧𝐩 .
parmi par 𝐧 est noté 𝐀𝐧𝐩 , et on a : Exemple.
𝐀𝐧𝐩 = 𝐧 × (𝐧 − 𝟏) × (𝐧 − 𝟐) × … × (𝐧 − 𝐩 + 𝟏). On lance 𝟐 fois de suite un dé cubique dont les faces sont
Exemples. numérotées de 𝟏 à 𝟔 ,on s’intéresse au numéro porté par la face
Calculons 𝐀𝟐𝟔 , 𝐀𝟐𝟓 et 𝐀𝟑𝟓 . supérieure du dé (à la position d’équilibre).
Déterminons le nombre d’issues possibles.
𝐀𝟐𝟔 = 𝟔 × 𝟓 = 𝟑𝟎,
Le dé contient 𝟔 faces numérotées de 𝟏 à 𝟔. Chaque résultat est un
𝐀𝟐𝟓 = 𝟓 × 𝟒 = 𝟐𝟎,
arrangement avec répétition de 𝟐 éléments pris parmi 𝟔, donc le
𝐀𝟑𝟓 = 𝟓 × 𝟒 × 𝟑 = 𝐀𝟐𝟓 × 𝟑 = 𝟐𝟎 × 𝟑 = 𝟔𝟎.
nombre de résultats possibles est 𝟔𝟐 = 𝟑𝟔.
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c) Permutations. 𝟕! 𝟕! 𝟕×𝟔×𝟓×𝟒×𝟑×𝟐!
(𝟕−𝟓)!
= = = 𝟕 × 𝟔 × 𝟓 × 𝟒 × 𝟑 = 𝟐𝟓𝟐𝟎.
𝟐! 𝟐!
Activité. 𝟕!
De combien de façons 𝟓 enfants peuvent-ils s’asseoir sur un siège On remarque que : 𝐀𝟓𝟕 = (𝟕−𝟓)!
à 𝟓 places. Remarques.
La 𝟏𝐢è𝐫𝐞 place : 𝟓 possibilités.  On pose par convention 𝟎! = 𝟏.
La 𝟐𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟒 possibilités.  Soient 𝐧 et 𝐩 deux entiers naturels non nuls tels que : 𝐩 ≤ 𝐧,
𝐩 𝐧!
La 𝟑𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟑 possibilités. 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐀𝐧 =
(𝐧 − 𝐩)!
La 𝟒𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟐 possibilités. 𝐧
𝐀𝐧 = 𝐧!.
La 𝟓𝐢è𝐦𝐞 place : 𝟏 possibilité.
𝐀𝟏𝐧 = 𝐧 .
Donc d’après le principe fondamental de l’analyse combinatoire le
Exercice 02
nombre des résultats possibles est 𝟓 × 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 × 𝟐 = 𝟏𝟐𝟎.
I) Une urne contient 𝟔 jetons : 𝟑 rouges, 𝟐 blancs
Chaque résultat est un arrangement sans répétition de 𝟓 éléments R R B
et 𝟏 noir.
pris parmi 𝟓.
On tire au hasard successivement et sans remise 𝟐
Dans ce cas chaque résultat et appelé une permutation de 𝟓 jetons de l’urne (c’est-à-dire on tire un jeton, on R N B
éléments. note sa couleur, sans le remettre dans l’urne. On n
Le nombre des permutations de 𝟓 éléments est noté 𝟓!, et on a : répète 𝟐 fois de suite cette opération).
𝟓! = 𝟓 × 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 × 𝟐 = 𝟏𝟐𝟎. 1 Déterminer le nombre de tirages possibles.
Définition. 2 Déterminer le nombre de tirages permettant d’avoir :
Soit 𝐧 un entier naturel non nul. a. 𝟐 jetons rouges.
 Tout arrangement sans répétition de 𝐧 éléments est appelé b. 𝟐 jetons blancs.
permutation 𝐧 éléments. c. 𝟐 jetons de même couleur.
 Le nombre permutations de 𝐧 éléments est noté 𝐧!, se lit d. 𝟐 jetons de couleurs différentes
factorielle 𝐧, et on a : 𝐧! = 𝐧 × (𝐧 − 𝟏) × … × 𝟐 × 𝟏. e. 𝟏 jeton rouge et 𝟏 jeton noir.
Exemples. f. Au moins 𝟏 jeton blanc.
𝟕! g. Le premier jeton blanc.
Calculons ce qui suit : 𝟒!, 𝟓!, 𝟔!, 𝐀𝟓𝟕 et (𝟕−𝟓)!.
II) On tire au hasard successivement et avec remise 𝟐 jetons de
On a : 𝟒! = 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 × 𝟏 = 𝟐𝟒,
l’urne (c’est-à-dire on tire un jeton, on note sa couleur, puis on le
𝟓! = 𝟓 × 𝟒 × 𝟑 × 𝟐 × 𝟏 = 𝟓 × 𝟒! = 𝟓 × 𝟐𝟒 = 𝟏𝟐𝟎,
remet dans l’urne. On répète 𝟐 fois de suite cette opération).
𝟔! = 𝟔 × 𝟓! = 𝟔 × 𝟏𝟐𝟎 = 𝟕𝟐𝟎,
Répondre aux questions précédentes.
𝐀𝟓𝟕 = 𝟕 × 𝟔 × 𝟓 × 𝟒 × 𝟑 = 𝟐𝟓𝟐𝟎, et
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4) Combinaisons. 2) Déterminons le nombre de sous-ensembles à 𝟑 éléments de
Activité. l’ensemble 𝐄 = {𝐚; 𝐛; 𝐜; 𝐝; 𝐞; 𝐟; 𝐠}.
On veut choisir deux délégués d’une classe de 𝟐𝐢è𝐦𝐞 année du Chaque sous-ensemble de 𝟑 éléments de 𝐄 est une combinaison
baccalauréat, parmi les quatre élèves Ahmed (𝐀), Laila (𝐋), Hanan de 𝟑 éléments pris parmi 𝟕.
(𝐇), et Soufiane (𝐒). Exemple : si on choisit Ahmed, Laila, on Alors le nombre de combinaisons de 𝟑 éléments de 𝐄 est :
représente ce choix par {𝐀; 𝐋}. 𝟕! 𝟕 × 𝟔 × 𝟓 × 𝟒! 𝟕 × 𝟔 × 𝟓
𝐂𝟕𝟑 = = = = 𝟕 × 𝟓 = 𝟑𝟓
L’ensemble {𝐀; 𝐋} est appelé combinaison de 𝟐 éléments choisis 𝟑! (𝟕 − 𝟑)! 𝟑 × 𝟐 × 𝟏 × 𝟒! 𝟑 × 𝟐 × 𝟏
parmi 𝟒. Exercice 03
Donner, dans ce cas toutes les combinaisons de de 𝟐 éléments Un sac contient 𝟗 boules : 𝟒 blanches, 𝟑 rouges, et 𝟐 noirs.
parmi 𝟒. Quel est leur nombre ? On tire simultanément et au hasard 𝟑 boules du sac
Le nombre de combinaisons de 𝟐 éléments choisis parmi 𝟒 est 1) Déterminer le nombre de résultats possibles.
noté 𝐂𝟒𝟐 2) Déterminer le nombre de tirages permettant d’avoir :
Définition. a) Les Boules sont de même couleur.
R R R
Soit 𝐧 un entier naturel, et soit 𝐄 un ensemble contenant 𝐧 b) 𝐔𝐧𝐞 boule de chaque couleur.
éléments. c) Au moins 𝟏 boule rouge.
B B B
 Toute partie de 𝐄 formée de 𝐩 éléments de 𝐄 (𝟎 ≤ 𝐩 ≤ 𝐧) est d) Au plus 2 boules rouges
appelée combinaison de 𝐩 éléments de 𝐄. 5) Importance de l’ordre.
B N N
 Le nombre de combinaison de 𝐩 éléments de 𝐄 pris parmi 𝐧 Type de Nombre de Importance
𝐩
éléments est noté 𝐂𝐧 , et on a : tirage tirages de l’ordre
𝐩 possibles
𝐩 𝐀𝐧 𝐧!
𝐂𝐧 = = Avec 𝐧𝐩 Important
𝐩! 𝐩! × (𝐧 − 𝐩)! remise
Exemples. Sans 𝐩
𝐀𝐧 Important
1) Calculons : 𝐂𝟓𝟑 , 𝐂𝟔𝟒 , et 𝐂𝟗𝟓 . remise
𝐩
𝟓! 𝟓 × 𝟒 × 𝟑! Simultané 𝐂𝐧 Sans
𝐂𝟓𝟑 = = = 𝟏𝟎 importance
𝟑! (𝟓 − 𝟑)! 𝟑! × 𝟐!
𝟔! 𝟔 × 𝟓 × 𝟒! Propriété.
𝐂𝟔𝟒 = = = 𝟏𝟓 Si 𝐩 est le nombre de boules tirées tel que : 𝐩𝟏 est le nombre de
𝟒! (𝟔 − 𝟒)! 𝟒! × 𝟐!
𝟗! 𝟗 × 𝟖 × 𝟕 × 𝟔 × 𝟓! 𝟗 × 𝟖 × 𝟕 × 𝟔 boules de 𝟏𝐢è𝐫 type, 𝐩𝟐 est le nombre de boules de 𝟐𝐢è𝐦𝐞 type et 𝐩𝟑
𝐂𝟗𝟓 = = = est le nombre de boules de 𝟑𝐢è𝐦𝐞 type, alors le coefficient d’ordre
𝟓! (𝟗 − 𝟓)! 𝟓! × 𝟒! 𝟒×𝟑×𝟐×𝟏
= 𝟗 × 𝟕 × 𝟐 = 𝟏𝟐𝟔 𝐩!
𝒆𝒔𝒕:
𝐩𝟏 ! × 𝐩𝟐 ! × 𝐩𝟑 !
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II. Expériences aléatoires-Probabilité d’un évènement. Exercice 04
1) Expériences aléatoires. On lance un dé cubique dont les faces sont numérotées de 𝟏 à 𝟔
Activité. (chaque face porte un seul chiffre).
 Si on lance une pièce de monnaie, 1) Déterminer l’univers des éventualités 𝛀.
On ne peut pas prévoir le résultat. On 2) Déterminer les événements 𝐀 et 𝐁 tels que 𝐀 «obtenir un
dit que le lancer d’une pièce de nombre paire», et 𝐁 « obtenir un nombre supérieur
monnaie est une expérience aléatoire. strictement à 𝟑».
3) Déterminer les événements 𝐀 ∪ 𝐁, 𝐀 ∩ 𝐁, 𝐀̅, 𝐁
̅, 𝐀
̅̅̅̅̅̅̅̅
∪ 𝐁 et ̅̅̅̅̅̅̅̅
𝐀 ∩ 𝐁.
 Chaque résultat d’une expérience aléatoire est dit éventualité.
2) Stabilité de la fréquence d’un événement-Probabilité d’un
 L’ensemble de toutes les éventualités d’une expérience événement.
aléatoire est dit l’univers des éventualités (ou simplement
Activité.
l’univers), et noté généralement 𝛀 (le lancer d’une pièce de
monnaie, on a : 𝛀 = {𝐏; 𝐅}). On lance 𝟏𝟎𝟎𝟎 fois de suite un dé cubique dont les faces sont
 Chaque sous-ensemble de l’univers 𝛀 (formé d’une ou numérotées de 𝟏 à 𝟔.
plusieurs éventualités) est appelé un événement (obtenir le Les fréquences obtenues sont données par le tableau suivant :
coté 𝐏 est un événement, on écrit 𝐀 = {𝐏}). Numéro de 𝟏 𝟐 𝟑 𝟒 𝟓 𝟔
 Un événement élémentaire est un événement formé d’une la face
seule éventualité. Fréquence 𝟎. 𝟏𝟔 𝟎. 𝟏𝟔𝟐 𝟎. 𝟏𝟕𝟏𝟎. 𝟏𝟔𝟔 𝟎. 𝟏𝟔𝟕 𝟎. 𝟏𝟕𝟒
 L’intersection 𝐀 ∩ 𝐁 de deux événements 𝐀 et 𝐁 est
𝟏𝟔𝟔
l’événement ‘’ 𝐀 et 𝐁’’ formé des éventualités communes à 𝐀 et La fréquence du numéro 𝟒 est 𝟎. 𝟏𝟔𝟔 = , cela veut dire que l’on
𝟏𝟎𝟎𝟎
à 𝐁. a obtenir 𝟏𝟔𝟔 fois la face numérotée 𝟒 au cours des 𝟏𝟎𝟎𝟎 lancers.
 L’union 𝐀 ∪ 𝐁 de deux événements 𝐀 et 𝐁 est l’événement ‘’ 𝐀 ou 𝟏
On a : 𝟎. 𝟏𝟔𝟔 … ≈ , et on répétant plusieurs fois cette expérience
𝐁’’ formé des éventualités de l’un au moins des événements 𝐀 𝟔

et 𝐁. de 𝟏𝟎𝟎𝟎 lancers, on remarque que la fréquence du numéro 𝟒 se


𝟏
 L’événement contraire d’un événement 𝐀 noté 𝐀 ̅ est stabilise autour de la valeur , on dit que la probabilité du
𝟔
l’événement constitué des résultats de l’univers 𝛀 qui ne sont 𝟏
numéro 𝟒 est , et on écrit 𝐏({𝟒}) = .
𝟏

̅ se réalise si et seulement si 𝐀 ne réalise pas). 𝟔 𝟔


pas dans 𝐀 (𝐀
 L’événement impossible ∅ est l’événement qui ne contient On remarque que les fréquences des autres numéros sont aussi
𝟏
aucune éventualité (il est impossible à réaliser). proches de .
𝟔
 L’événement certain 𝛀 (se réalise toujours).
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Soit 𝐀 l’événement « obtenir un nombre impair», c’est-à-dire que : On a l’univers des éventualités 𝛀 = {𝟏; 𝟐; 𝟑; 𝟒; 𝟓; 𝟔}.
𝐀 = {𝟏; 𝟑; 𝟓}. On considère les événements suivants :
La fréquence de l’événement 𝐀 est la somme des fréquences des 𝐀 «obtenir un chiffre pair divisible par 𝟑».
numéros 𝟏, 𝟑 et 𝟓, c’est-à-dire que : 𝐁 «obtenir un chiffre premier».
𝟏 𝟏 𝟏
𝟎. 𝟏𝟔 + 𝟎. 𝟏𝟕𝟏 + 𝟎. 𝟏𝟔𝟕 = 𝟎. 𝟒𝟗𝟖 ≈ 𝟎. 𝟓, et on a : + + = 𝟎. 𝟓, On a : 𝐀 = {𝟔} et 𝐁 = {𝟐; 𝟑; 𝟓},
𝟔 𝟔 𝟔
𝟏
Donc 𝐏(𝐀) = 𝟎. 𝟓, ce qui justifie la stabilité de la fréquence de Donc 𝐏(𝐀) = 𝐏({𝟔}) = ,
𝟔
l’événement 𝐀. Et 𝐏(𝐁) = 𝐏({𝟐; 𝟑; 𝟓}) = 𝐏({𝟐}) + 𝐏({𝟑}) +
𝟏
Définition. 𝐏({𝟓}) =
𝟐
Soit 𝛀 l’univers des éventualités d’une expérience aléatoire. Car 𝐏({𝟐}) = 𝐏({𝟑}) = 𝐏({𝟓}) = .
𝟏
𝟔
 Lorsque la fréquence d’une événement élémentaire {𝐰𝐢 } se
3) Hypothèse d’équiprobabilité.
stabilise à une valeur 𝐩𝐢 , on dit que la probabilité de événement
{𝐰𝐢 } est 𝐩𝐢 , et on écrit 𝐏({𝐰𝐢 }) = 𝐩𝐢 . Activité.
 Pour tout événement 𝐀 = {𝐰𝟏 ; 𝐰𝟐 ; … ; 𝐰𝐧 } de 𝛀, la probabilité 𝐀  Si on lance une pièce de monnaie non truquée, alors
est la somme des probabilités des éventualités qui le 𝐏(𝐅) = 𝐏(𝐏), on dit que l’hypothèse d’équiprobabilité est réalisée.
composent
 Si on lance un dé cubique non truqué dont les faces sont
𝐏(𝐀) = 𝐏({𝐰𝟏 }) + 𝐏({𝐰𝟐 }) + ⋯ + 𝐏({𝐰𝐧 }).
numérotées de 𝟏 à 𝟔, l’hypothèse d’équiprobabilité est
Propriété. réalisée.
Soit 𝛀 l’univers des éventualités d’une expérience aléatoire, on a :  Si on tire des boules d’une urne (les boules sont indiscernables
au toucher), l’hypothèse d’équiprobabilité est réalisée.
 𝐏(𝛀) = 𝟏 et 𝐏(∅) = 𝟎.
 Pour tout événement 𝐀 de 𝛀, on a : 𝟎 ≤ 𝐏(𝐀) ≤ 𝟏. Définition.
 Pour tout événement 𝐀 de 𝛀, on a : 𝐏(𝐀̅ ) = 𝟏 − 𝐏(𝐀) Si tous les événements élémentaires ont la même probabilité, on
 Si 𝐀 et 𝐁 deux événements de 𝛀, on a : dit que l’hypothèse d’équiprobabilité est réalisée.
𝐏(𝐀 ∪ 𝐁) = 𝐏(𝐀) + 𝐏(𝐁) − 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
Propriété.
 Si 𝐀 et 𝐁 deux événements incompatibles de 𝛀 (𝐀 ∩ 𝐁 = ∅),
alors 𝐏(𝐀 ∪ 𝐁) = 𝐏(𝐀) + 𝐏(𝐁). Soit 𝛀 l’univers des éventualités d’une expérience aléatoire, la
probabilité de l’événement 𝐀 de 𝛀 est :
Exemple.
𝐍𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝′ é𝐥é𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝐀 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐀)
On lance un dé cubique dont les faces sont numérotées de 𝟏 à 𝟔. 𝐏(𝐀) = =
𝐍𝐨𝐦𝐛𝐫𝐞 𝐝′ é𝐥é𝐦𝐞𝐧𝐭𝐬 𝐝𝐞 𝛀 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀)
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Exercice 05 𝐁 : « Obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro ».
Un sac contient 𝟗 boules : L’événement B est réalisé lorsqu’on tire trois boules qui portent
Quatre boules jaunes numérotées 1,1,1,2 le numéro 1 ou trois boules qui portent le numéro 2
Trois boules rouges numérotées 1,1, et 𝟐 (𝟏 ; 𝟏 ; 𝟏) 𝒐𝒖 (𝟐 ; 𝟐 ; 𝟐), 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑪𝟑𝟔 + 𝑪𝟑𝟑 = 𝟐𝟏
Deux boules vertes numérotées 1,2. 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟐𝟏 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐁) = = =
Toutes les boules sont indiscernables au 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟒
toucher. 𝐂 : « Obtenir une boule exactement verte ».
On tire au hasard simultanément trois L’événement C est réalisé lorsqu’on tire une boule verte et deux
boules du sac. ̅; 𝑽
boules non vertes (𝑽 ; 𝑽 ̅)
1) Déterminer le nombre de résultats possibles. 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) = 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟐𝟕 = 𝟑𝟓
2) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝟑𝟓 𝟓
𝐀 : « Obtenir 𝟑 boules de même couleur ». 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐂) = = =
𝐁 : « Obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro ». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟏𝟐
𝐂 : « Obtenir une boule exactement verte ». 𝐃 : « Obtenir un moins une boule verte ».
𝐃 : « Obtenir un moins une boule verte ». L’événement complémentaire de D est :
3) Calculer 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝒆𝒕 𝒑(𝑨 ∪ 𝑩) 𝑫̅ « Aucune boule tirée n’est verte »
Solution 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑫 ̅ ) = 𝑪𝟑𝟕 = 𝟑𝟓
1) Déterminer le nombre de résultats possibles. 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑫 ̅ ) 𝟑𝟓 𝟓
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑫 ̅) = = =
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble des 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟏𝟐
combinaisons de trois boules parmi neuf boules contenues dans le 𝟓 𝟕
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐃) = 𝟏 − 𝒑(𝑫 ̅) = 𝟏 − =
sac 𝟏𝟐 𝟏𝟐
( ) 𝟑
Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅 𝛀 = 𝑪𝟗 = 𝟖𝟒 3) Calculer 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝒆𝒕 𝒑(𝑨 ∪ 𝑩)
2) Déterminer la probabilité de chacun des événements : L’événement 𝑨 ∩ 𝑩 est réalisé lorsqu’on tire trois boules jaunes
𝐀 : « Obtenir 𝟑 boules de même couleur ». qui portent le numéro 1, 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨 ∩ 𝑩 ) = 𝑪𝟑𝟑 = 𝟏
L’événement A est réalisé lorsqu’on tire trois boules jaunes ou 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨 ∩ 𝑩 ) 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩 ) = =
trois boules rouges (𝑱 ; 𝑱 ; 𝑱) 𝒐𝒖 (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑪𝟑𝟒 + 𝑪𝟑𝟑 = 𝟓 Calculer 𝒑(𝑨 ∪ 𝑩), On sait que 𝒑(𝑨 ∪ 𝑩) = 𝒑(𝑨) + 𝒑(𝑩) − 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩 )
𝟓 𝟐𝟏 𝟏 𝟐𝟓
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟓 Donc 𝒑(𝑨 ∪ 𝑩) = + − =
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
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Exercice 06 𝐁 : « Obtenir 𝟐 boules de même couleur ».(𝑱 ; 𝑱) ou (𝑹 ; 𝑹)
Un sac contient 𝟏𝟏 boules : R 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑨𝟐𝟕 + 𝑨𝟐𝟒 = 𝟓𝟒
Sept boules jaunes J J R R R 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟓𝟒 𝟐𝟕
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐁) = = =
Quatre boules rouges 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟏𝟎 𝟓𝟓
Toutes les boules sont indiscernables au J J J J J 𝐂 : « Obtenir 𝟐 boules de couleurs différents ».
n
toucher. L’événement complémentaire de C est :
On tire au hasard successivement et sans remise deux boules du ̅ = 𝑩 « Obtenir 𝟐 boules de même couleur ».(𝑱 ; 𝑱) ou (𝑹 ; 𝑹)
𝑪
sac.
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟐𝟕
1) Déterminer le nombre de résultats possibles. ̅) = 𝒑(𝐁) =
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂: 𝒑(𝑪 =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟓𝟓
2) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
𝟐𝟕 𝟐𝟖
𝐀 : « Obtenir 2 boules jaunes ». 𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐂) = 𝟏 − 𝒑(𝑩) = 𝟏 − =
𝟓𝟓 𝟓𝟓
𝐁 : « Obtenir 𝟐 boules de même couleur ».
𝐂 : « Obtenir 𝟐 boules de couleurs différents ». 𝐃 : « La première boule tirée de couleur jaune ». (𝑹 ; 𝑿)
𝐃 : « La première boule tirée de couleur jaune ». 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) = 𝑨𝟏𝟕 × 𝑨𝟏𝟏𝟎 = 𝟕𝟎
𝐄 : « Obtenir un moins une boule jaune ». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) 𝟕𝟎 𝟕
3) Calculer 𝒑(𝑩 ∩ 𝑬) 𝒆𝒕 𝒑(𝑨 ∪ 𝑬) 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐃) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟏𝟎 𝟏𝟏
Solution 𝐄 : « Obtenir un moins une boule jaune ».
1) Déterminer le nombre de résultats possibles. L’événement complémentaire de E est :
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble des 𝑬
̅ « Aucune boule tirée n’est jaune » , d𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑬
̅ ) = 𝑨𝟐𝟒 = 𝟏𝟐
arrangements sans répétitions de deux boules parmi onze boules
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑬 ̅) 𝟏𝟐
contenues dans le sac 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑬 ̅) = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟏𝟎
Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟏 = 𝟏𝟏𝟎
𝟏𝟐 𝟒𝟗
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑( 𝐄 ) = 𝟏 − 𝒑( ̅) = 𝟏 −
𝑬 =
2) Déterminer la probabilité de chacun des événements : 𝟏𝟏𝟎 𝟓𝟓
𝐀 : « Obtenir 2 boules jaunes ». (𝑱 ; 𝑱) 𝟐𝟏
3) Calculer 𝒑(𝑩 ∩ 𝑬) 𝒆𝒕 𝒑(𝑩 ∪ 𝑬), 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝑷(𝑩 ∩ 𝑬 ) = 𝒑(𝑨) =
𝟓𝟓
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟐𝟕 = 𝟒𝟐
Calculer 𝒑(𝑩 ∪ 𝑬), On sait que 𝒑(𝑩 ∪ 𝑬) = 𝒑(𝑩) + 𝒑(𝑬) − 𝒑(𝑩 ∩ 𝑬 )
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟒𝟐 𝟐𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = = 𝟐𝟕
Donc 𝒑(𝑩 ∪ 𝑬) = + − = 𝟏
𝟒𝟗 𝟐𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟏𝟎 𝟓𝟓 𝟓𝟓 𝟓𝟓 𝟓𝟓
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Exercice 07 𝐂 «obtenir 𝟑 boules de même couleur» (𝑱 ; 𝑱; 𝑱) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹)
Une urne contient 𝟏𝟎 boules : 𝟑 jaunes, 𝟐 vertes et 𝟓 rouges. 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝑨𝟑𝟑 + 𝑨𝟑𝟓 𝟔𝟔 𝟏𝟏
Les boules sont indiscernables au toucher 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐂) = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟕𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
On tire au hasard successivement et sans R R
R R R 𝐃 «obtenir 𝟐 boules jaunes et 𝟏 boule verte». (𝑱 ; 𝑱 ; 𝑽)
remise 𝟑 boules de l’urne. 𝟑!
1) Déterminer le nombre de tirages Le coefficient d’ordre est =𝟑
𝟐!×𝟏!
J J J V V
possibles. n 𝟑!
2) Déterminer la probabilité de chacun 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) = (𝑨𝟐 × 𝑨𝟏𝟐 ) = 𝟑𝟔
𝟐! × 𝟏! 𝟑
des événements : 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) 𝟑𝟔 𝟏
𝐀 «obtenir 𝟑 boules rouges». 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐃) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟐𝟎
𝐁 «obtenir 𝟑 boules jaunes». 𝐄 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».(𝑱 ; 𝑹 ; 𝑽)
𝐂 «obtenir 𝟑 boules de même couleur» 𝟑!
Le coefficient d’ordre est =𝟔
𝐃 «obtenir 𝟐 boules jaunes et 𝟏 boule verte». 𝟏!×𝟏!×𝟏!

𝐄 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur». 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐄) = 𝟔(𝑨𝟏𝟑 × 𝑨𝟏𝟐 × 𝑨𝟏𝟓 ) = 𝟏𝟖𝟎
𝐅 «obtenir au moins 𝟏 boule jaune». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐄) 𝟏𝟖𝟎 𝟏
𝐆 «obtenir exactement 𝟐 couleurs». 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐄) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟒
Solution 𝐅 «obtenir au moins 𝟏 boule jaune».
1) Déterminer le nombre de tirages possibles.
L’événement complémentaire de E est :
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble des ̅ ̅ ) = 𝑨𝟑𝟕 = 𝟐𝟏𝟎
𝑭 « Aucune boule tirée n’est jaune » , d𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭
arrangements sans répétitions de trois boules parmi dix boules
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭 ̅ ) 𝟐𝟏𝟎 𝟕
contenues dans le sac 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑭̅) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟐𝟒
Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟎 = 𝟕𝟐𝟎
Donc 𝒑(𝐅) = 𝟏 − 𝒑(𝑭 ̅ ) = 𝟏 − 𝟕 = 𝟏𝟕
2) Déterminer la probabilité de chacun des événements : 𝟐𝟒 𝟐𝟒
𝐀 « Obtenir 𝟑 boules rouges». 𝐆 «obtenir exactement 𝟐 couleurs». ».
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟑𝟓 = 𝟔𝟎 L’événement complémentaire de G est :
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟔𝟎 𝟏 ̅ « Obtenir un couleurs ou obtenir 3 couleurs » ,
𝑮
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟏𝟐 ̅ ) = 𝑷(𝑪 ∪ 𝑬) = 𝟏𝟏 𝟏 𝟒𝟏
𝐁 «obtenir 𝟑 boules jaunes» ; 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑨𝟑𝟑 = 𝟔 D𝒐𝒏𝒄 𝑷(𝑮 + =
𝟏𝟐𝟎 𝟒 𝟏𝟐𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟔 𝟏 𝟒𝟏 𝟓𝟗
Par suite 𝒑(𝐁) = = = ̅) = 𝟏 −
Donc 𝒑(𝐆) = 𝟏 − 𝒑(𝑮 =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
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III) Probabilité conditionnelle. Définition.
1) Probabilité conditionnelle. Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience
Activité. aléatoire tes que : 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎.

Dans un lycée, il y a 𝟑𝟖 élèves du baccalauréat Biof répartis La probabilité de l’événement 𝐁 sachant que de l’événement 𝐀 est
comme suit : réalisé est le nombre noté 𝐏𝐀 (𝐁) ou 𝐏(𝐁/𝐀) défini par :
𝐏(𝐀 ∩ 𝐁)
𝟐 BAC 𝟐 BAC Total 𝐏𝐀 (𝐁) =
PCF SVTF 𝐏(𝐀)

Garçons 𝟖 𝟓 𝟏𝟑 Exercice 08
On lance un dé à 6 faces puis une pièce de monnaie
Filles 𝟏𝟖 𝟕 𝟐𝟓
Considérons les deux événements suivants
Total 𝟐𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟖 A ‘’ La pièce a donné face ‘’ et B ‘’ Le dé a donné 3 ou 5 ‘’
On choisit un élève au hasard, calculer la probabilité de chacun 1) Calculer 𝒑(𝑨) ; 𝒑(𝑩) 𝒆𝒕 𝑷(𝑨 ∩ 𝑩)
des événements suivants : 2) Calculer 𝐏𝐀 (𝐁) et 𝐏𝐁 (𝐀)
𝟏𝟑
Solution
𝐆 «L’élève choisi est un garçon». Donc 𝐏(𝐆) = 1) Calculer 𝒑(𝑨) ; 𝒑(𝑩)𝒆𝒕 𝑷(𝑨 ∩ 𝑩)
𝟑𝟖
𝟐𝟓 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝟔 × 𝟐 = 𝟏𝟐
𝐅 «L’élève choisi est une fille». Donc 𝐏(𝐅) =
𝟑𝟖 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟔 𝟏
𝟐𝟔 𝑷(𝑨) = = =
𝐏𝐂 «L’élève choisi est un élève de 𝟐 BAC PCF» donc 𝐏(𝐏𝐂) = 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐 𝟐
𝟑𝟖
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟐 + 𝟐 𝟏
𝐒𝐕𝐓 « L’élève choisi est un élève de 𝟐 BAC SVTF» ;donc 𝐏(𝐒𝐕𝐓) =
𝟏𝟐 𝑷(𝑩) = = =
𝟑𝟖 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐 𝟑
𝐆 ∩ 𝐏𝐂 « L’élève choisi est un garçon de 𝟐 BAC PCF ». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟐 𝟏
𝑷(𝑨 ∩ 𝑩) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐 𝟔
𝟖
𝐏(𝐏𝐂) = 2) Calculer 𝐏𝐀 (𝐁) et 𝐏𝐁 (𝐀)
𝟑𝟖 𝟏
Si l’élève choisi est une fille, calculer la probabilité qu’il soit un 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟔 𝟏
𝐏𝐀 (𝐁) = = 𝟏 =
élève de 𝟐 BAC PCF. 𝒑(𝑨) 𝟑
𝟐
𝟏
La probabilité que l’élève soit un élève de 𝟐 BAC PCF, sachant 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟏
𝟔
𝟏𝟖 𝐏𝐁 (𝐀) = = =
qu’ille est une fille se note 𝐏𝐅 (𝐏𝐂) et est égale à 𝐏𝐅 (𝐏𝐂) = , On 𝒑(𝑩) 𝟏 𝟐
𝟐𝟓
𝟑
regarde uniquement la ligne des filles.
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Conséquences. Exercice 09

Soit 𝛀 l’univers associé à une expérience aléatoire. Un sac contient 𝟏𝟏 boules : 𝟓 blanches numérotées 1,1,1,0,0 ;
𝟒 rouges numérotées 1,1,0,0 et 𝟐 vertes numérotées 1,0.
 Si 𝐀 et 𝐁 deux événements de 𝛀 tels que : 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎 et 𝐏(𝐁) ≠ 𝟎,
alors 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) et 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐁) × 𝐏𝐁 (𝐀). Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
 Si 𝛀 est l’univers de deux événements 𝐀𝟏 et 𝐀𝟐 non vides et On tire au hasard successivement et sans remise 𝟑 boules du sac.
incompatible, (c’est-à-dire que : 𝐀𝟏 ∪ 𝐀𝟐 = 𝛀 et 𝐀𝟏 ∩ 𝐀𝟐 = ∅ 1) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
avec 𝐀𝟏 = ∅ et 𝐀𝟐 = ∅), 𝐀 «obtenir 𝟑 boules de même couleur».
Alors pour tout événement 𝐁 de 𝛀, on a : 𝐁 = (𝐁 ∩ 𝐀𝟏 ) ∪ (𝐁 ∩ 𝐀𝟐 ), 𝐁 «obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro».
et comme les événements (𝐁 ∩ 𝐀𝟏 ) et (𝐁 ∩ 𝐀𝟐 ) sont incompatibles 𝐂 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».
car (𝐁 ∩ 𝐀𝟏 ) ⊂ 𝐀𝟏 et (𝐁 ∩ 𝐀𝟐 ) ⊂ 𝐀𝟐 , 2) Calculer la probabilité d’obtenir 𝟑 boules qui portent le même
numéro sachant qu’elles sont de même couleur.
Alors 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀𝟏 ) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀𝟐 ),
Solution
Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀𝟏 ) × 𝐏𝐀𝟏 (𝐁) + 𝐏(𝐀𝟐 ) × 𝐏𝐀𝟐 (𝐁).
1) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
Remarques.
𝐀 «obtenir 𝟑 boules de même couleur». (𝑩 ; 𝑩; 𝑩) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹)
̅ ),
On a : 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀) + 𝐏(𝐁 ∩ 𝐀
Le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟏 = 𝟗𝟗𝟎
̅ ) × 𝐏𝐀̅ (𝐁).
Donc 𝐏(𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏𝐀 (𝐁) + 𝐏(𝐀
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝑨𝟑𝟒 + 𝑨𝟑𝟓 𝟐𝟒 + 𝟔𝟎 𝟖𝟒
Cette relation est appelée loi des probabilités totales. 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐀) = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎
𝐁 «𝟑 boules qui portent le même numéro». (𝟏 ; 𝟏; 𝟏) ou (𝟎 ; 𝟎 ; 𝟎)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝑨𝟑𝟔 + 𝑨𝟑𝟓 𝟏𝟐𝟎 + 𝟔𝟎 𝟏𝟖𝟎 𝟐
𝒑 ( 𝐁) = = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟏𝟏
𝐂 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».(𝑱 ; 𝑹 ; 𝑽)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝟔(𝑨𝟏𝟒 × 𝑨𝟏𝟓 × 𝑨𝟏𝟐 ) 𝟐𝟒𝟎 𝟐𝟒
𝒑(𝐂) = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗
2) Calculer la probabilité d’obtenir 𝟑 boules qui portent le même
numéro sachant qu’elles sont de même couleur.
𝑨𝟑
𝟑
𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟗𝟗𝟎 𝟑 𝟏
𝐏𝐀 (𝐁) = = = =
𝒑(𝑨) 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟐𝟖
𝟗𝟗𝟎
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IV. Indépendance de deux épreuves.- Epreuves répétées 1) Indépendance de deux événements.
Activité-Exemple. Définition.
On considère deux urnes 𝐔𝟏 et 𝐔𝟐 . L’urne 𝐔𝟏 contient 𝟕 boules : 𝟑 Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience
blanches et 𝟒 rouges. aléatoire. On dit que les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si
L’urne 𝐔𝟐 contient 𝟏𝟎 boules : 𝟔 blanches et 𝟒 rouges. 𝐏(𝐀 ∩ 𝐁) = 𝐏(𝐀) × 𝐏(𝐁).
Touts les boules sont indiscernables au toucher. Propriété.
L’urne 𝐔𝟏 L’urne 𝐔𝟐 Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience
R R aléatoire tels que : 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎. Les événements 𝐀 et 𝐁 sont
B R R R R
R
B indépendants si et seulement 𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁).
n
R B B Remarques.
B B B B B n Soient 𝐀 et 𝐁 deux événements associés à une même expérience
n
aléatoire tels que : 𝐏(𝐀) ≠ 𝟎 et 𝐏(𝐁) ≠ 𝟎, on a :
On tire une boule de l’urne 𝐔𝟏 , et une boule de l’urne 𝐔𝟐 .
𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁) ⟺ 𝐏𝐁 (𝐀) = 𝐏(𝐀).
On considère l’événement 𝐄 «obtenir 𝟏 boule blanche de l’urne
Dire que les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants signifie que la
𝐔𝟏 , et 𝟏 boule rouge de l’urne 𝐔𝟐 ».
réalisation de l’un s’influe par sur celle de l’autre.
Cette expérience est formée de deux épreuves, l’une consiste à
Exercice 10
tirer une boule de l’urne 𝐔𝟏 et l’autre à tirer une boule de l’urne 𝐔𝟐
Un sac contient 𝟕 jetons : 𝟑 blancs et 𝟒 rouges.
Le résultat d’une épreuve est indépendant du résultat de l’autre.
Touts les jetons sont indiscernables au toucher. R
On dit dans ce cas que cette expérience est formée de deux
épreuves indépendantes. On tire au hasard successivement et avec remise
On considère les événements suivants : 𝟐 boules du sac.
R R R
𝐄𝟏 «obtenir 𝟏 boule blanche de l’urne 𝐔𝟏 ». 1) Déterminer le nombre de tirages n
𝐄𝟐 «obtenir 𝟏 boule rouge de l’urne 𝐔𝟐 ».
B B B
La probabilité de l’événement 𝐄 est le produit des probabilités des n
événements 𝐄𝟏 et 𝐄𝟐 . 2) Calculer la probabilité de chacun des événements suivants :
Or 𝐏(𝐄𝟏 ) = 𝟑⁄𝟕 et 𝐏(𝐄𝟏 ) = 𝟐⁄𝟓, 𝐀 «le premier jeton tiré est rouge», et 𝐁 «le deuxième jeton tiré
est blanc».
Alors 𝐏(𝐄) = 𝟔⁄𝟑𝟓
3) a. Calculer la probabilité de l’événement 𝐀 ∩ 𝐁.
b. les événements 𝐀 et 𝐁 sont-ils independants ?
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2) Epreuves répétées. Exercice 12
Propriété. Une urne contient 10 boules portant les numéros :
Soit 𝐀 un événement associé à une expérience aléatoire de 1 ;2 ;2 ;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4. Ces boules
probabilité 𝐩. sont indiscernables au toucher.
La probabilité de réaliser exactement 𝐤 fois l’événement 𝐀 est : On tire au hasard, successivement et
𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤 sans remise deux boules de l’urne.
Pour tout 𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧} où 𝐧 est le nombre de répétition de 1) Soit l’événement :
l’épreuve dans les mêmes conditions. 𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs »
𝟏
Exemple. Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟑
Si on lance une pièce de monnaie 𝟓 fois de suite, alors la 2) On répète l’expérience précédente trois fois de suite en
probabilité de l’événement 𝐀 «obtenir le coté 𝐅 𝟐 fois exactement remettant chaque fois les deux boules tirées dans l’urne.
𝟏 𝟐 𝟏 𝟓−𝟐
𝐏(𝐀) = 𝐂𝟓𝟐 ( ) (𝟏 − ) . Quelle est la probabilité pour que l’événement A soit réalisé un
𝟐 𝟐
Exercice 11 fois exactement ?
On lance un dé à 6 faces Solution
Considérons l’événements suivant : 1) Soit l’événement :
A ‘’ Le dé a donné 3 ou 5 ‘’ 𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs »
𝟏
1) Calculer 𝒑(𝑨) Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟑
2) On répète cette expérience 5 fois de suite
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble
Quelle est la probabilité pour que l’événement A soit réalisé
des arrangements sans répétitions de deux boules parmi dix
trois fois exactement ?
boules contenues dans le sac
Solution
3) Calculer 𝒑(𝑨) Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟐 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟐𝟔
𝑷(𝑨) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟔 𝟑
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝑨𝟐𝟔 𝟏
4) On répète cette expérience 5 fois de suite 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = 𝟐 =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑨𝟏𝟎 𝟑
Quelle est la probabilité pour que l’événement sois réalisé trois
2) Quelle est la probabilité pour que l’événement A soit réalisé
fois exactement ?
𝟐 𝟓−𝟐 𝟐 𝟑
un fois exactement ?
𝟏 𝟏 𝟓! 𝟏 𝟐
𝐩(𝐀) = 𝐂𝟓𝟐 ( ) (𝟏 − ) = ( ) ( ) 𝟏 𝟏 𝟏 𝟑−𝟏 𝟑! 𝟏 𝟐 𝟐 𝟒
𝟑 𝟑 𝟐! 𝟑! 𝟑 𝟑 𝟏
𝑷(𝑨) = 𝐂𝟑 ( ) (𝟏 − ) = ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟏! 𝟐! 𝟑 𝟑 𝟗
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V) Variables aléatoires.  On résume souvent la loi de probabilité de la variable
1) Variable aléatoire-Loi de probabilité d’une variable aléatoire 𝐗 par le tableau suivant :
aléatoire.
Activité. 𝐱𝐢 𝐱𝟏 𝐱𝟐 … 𝐱𝐧
Un sac contient 𝟕 jetons portant les numéros 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝐩𝟏 𝐩𝟐 … 𝐩𝐧
suivants 𝟎, 𝟎, 𝟏, 𝟏, 𝟐, 𝟐 et 𝟐 (chaque jeton porte un
0
seul numéro). Exercice 13
Touts les jetons sont indiscernables au toucher. 1 0 1 On lance 𝟑 fois de suite une pièce de monnaie.
On tire simultanément et au hasard 𝟐 jetons du n
Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois dont le coté 𝐅
sac. 2 2 2
n apparait.
On pose 𝐗 la somme des numéros portés par les
deux jetons tirés. 1) Déterminons les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 :
1) Déterminer toutes les issues possibles, puis toutes les valeurs 2) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
prises par 𝐗. Solution
2) Que représente chacun des événements suivants (𝐗 = 𝟏) et 1) Déterminons les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 :
(𝐗 = 𝟐 ). (𝐗 = 𝟎) : Obtenir le coté 𝐏 𝟑 fois.
3) Vérifier que : 𝐏(𝐗 = 𝟏) =
𝟒
. (𝐗 = 𝟏) : Obtenir le coté 𝐅 𝟏 seule fois.
𝟐𝟏
(𝐗 = 𝟐) : Obtenir le coté 𝐅 𝟐 fois.
4) Remplir le tableau suivant :
(𝐗 = 𝟑) : Obtenir le coté 𝐅 𝟑 fois.
𝐱𝐢 0 1 2 3 4
D’où 𝐗(𝛀) = {𝟎; 𝟏; 𝟐; 𝟑}.
𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟒
3) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
𝟐𝟏 On a : 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) = 𝟐𝟑 = 𝟖.
Définition. 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟎) 𝟏𝟑 𝟏
𝐏(𝐗 = 𝟎 ) = = = .
Soit 𝛀 l’univers associé à une expérience aléatoire. 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟐𝟑 𝟖
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟏) 𝟑! 𝟏𝟏 ×𝟏𝟐 𝟑
 Toute fonction définie sur l’univers 𝛀 à valeur dans ℝ ast 𝐏(𝐗 = 𝟏 ) = = × = .
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟏!×𝟐! 𝟐𝟑 𝟖
appelée variable aléatoire, notée 𝐗 ou 𝐘 ou 𝐙…. 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟐) 𝟑! 𝟏𝟐 ×𝟏𝟏 𝟑
𝐏(𝐗 = 𝟐 ) = = × = .
 Les valeurs prises par la variable aléatoire 𝐗 notées 𝛀(𝐗). 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟐!×𝟏! 𝟐𝟑 𝟖
 Soit 𝐗 une variable aléatoire définie sur un univers 𝛀 associé à 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟑) 𝟏𝟑 𝟑
𝐏(𝐗 = 𝟑 ) = = = .
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟐𝟑 𝟖
une expérience aléatoire telle que : 𝐗(𝛀) = {𝐱 𝟏 , 𝐱 𝟐 , … , 𝐱 𝐧 }.
4) D’où le tableau de la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
Déterminer la loi de probabilité de la variable aléatoire 𝐗,
C’est calculer la probabilité de chacun des événements {𝐗 = 𝐱 𝐢 } où 𝐱𝐢 0 1 2 3
𝐢 ∈ {𝟏, 𝟐, … , 𝐧}. 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟏 𝟑 𝟑 𝟏
𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
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Exercice 14 La plus grande des deux valeurs est 6, si on obtient les
On lance simultanément deux dés à 6 faces et on note les valeurs combinaisons : (1 ; 6), (6 ; 1) (2 ; 6),
obtenues. (6 ; 2), (3 ; 6), (6 ; 3), (4 ; 6), (6 ; 4), (5 ; 6), (6 ; 5) ou (6 ; 6).
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale à la plus grande des deux valeurs. 𝟏𝟏
𝑷(𝑿 = 𝟔) =
Établir la loi de probabilité de 𝑿. 𝟑𝟔
Solution On peut résumer les résultats dans le tableau de la loi de
La variable aléatoire 𝑿 peut prendre les valeurs 1, 2, 3, 4, 5 et 6. probabilité de 𝑿 :
Par exemple, si on obtient la combinaison (2 ; 5), la plus grande 𝒙𝒊 1 2 3 4 5 6
valeur est 5 et on a : 𝑿 = 𝟓. 𝟏 𝟏 𝟓 𝟕 𝟏 𝟏𝟏
𝑷(𝑿 = 𝒙𝒊 )
● La plus grande des deux valeurs est 1, si on obtient la 𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟒 𝟑𝟔
combinaison : (1 ; 1). Remarque :
𝟏 On vérifie que la somme des probabilités est égale à 1 :
𝑷 (𝑿 = 𝟏 ) = 𝟏 𝟏 𝟓 𝟕 𝟏 𝟏𝟏
𝟑𝟔
+ + + + + =𝟏
● La plus grande des deux valeurs est 2, si on obtient les 𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟒 𝟑𝟔
combinaisons : (1 ; 2), (2 ; 1) ou (2 ; 2).
𝟑 𝟏 Exercice 15
𝑷(𝑿 = 𝟐) = =
𝟑𝟔 𝟏𝟐 Une urne contient 𝟔 boules :
● La plus grande des deux valeurs est 3, si on obtient les 𝟒 blanches et 𝟐 noires.
combinaisons : (1 ; 3), (3 ; 1), (2 ; 3), (3 ; 2) ou (3 ; 3). Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
R N B
𝟓 Un joueur tire au hasard simultanément 𝟐 boules
𝑷 (𝑿 = 𝟑 ) =
𝟑𝟔 de l’urne, il gagne 𝟏 Dh s’il tire une boule blanche,
● La plus grande des deux valeurs est 4, si on obtient les B N B
dans le cas contraire il perd 𝟏 Dh. n
combinaisons : (1 ; 4), (4 ; 1) (2 ; 4),
(4 ; 2), (3 ; 4), (4 ; 3) ou (4 ; 4). Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de dirham obtenu par
𝟕
𝑷 (𝑿 = 𝟒 ) = le joueur.
𝟑𝟔
● La plus grande des deux valeurs est 5, si on obtient les
1) Déterminer les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗.
combinaisons : (1 ; 5), (5 ; 1) (2 ; 5),
2) Déterminer la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
(5 ; 2), (3 ; 5), (5 ; 3), (4 ; 5), (5 ; 4) ou (5 ; 5).
𝟗 𝟏
𝑷(𝑿 = 𝟓) = =
𝟑𝟔 𝟒
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2) Espérance mathématique-Variance et écart-type. 1) Déterminer les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗.
Définitions. 2) Déterminer la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
Soit 𝐗 une variable aléatoire définie sur un univers 𝛀 associé à une Calculer l’espérance mathématique 𝐄(𝐗), la variance 𝐕(𝐗) et
expérience aléatoire. l’écart-type 𝛔(𝐗).
On note 𝐗(𝛀) = {𝐱 𝟏 , 𝐱 𝟐 , … , 𝐱 𝐧 } et 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) = 𝐩𝐢
3) Loi binomiale.
Pour tout 𝐢 ∈ {𝟏, 𝟐, … , 𝐧}. Définition.
 L’espérance mathématique de la variable aléatoire 𝐗 est le On considère une expérience aléatoire formée d’une répétition 𝐧
nombre réel noté 𝐄(𝐗) définie par : fois de manière indépendante d’une même épreuve à deux
𝐢=𝐧
issues : 𝐀 succès de probabilité 𝐩, et 𝐀 ̅ échec de probabilité
𝐄(𝐗) = ∑ 𝐱 𝐢 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧 𝐩𝐧
𝐪 = 𝟏 − 𝐩.
𝐢=𝟏
 La variance de la variable aléatoire 𝐗 est le nombre réel noté Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois que le
𝐕(𝐗) définie par : succès se réalise au cours de cette expérience.
𝐢=𝐧  On dit que la variable aléatoire 𝐗 suit la loi binomiale de
𝟐
𝐕(𝐗) = ∑(𝐱 𝐢 − 𝐄(𝐗)) 𝐩𝐢 paramètres 𝐧 et 𝐩, notée 𝐗 → 𝐁(𝐧; 𝐩).
𝐢=𝟏  La loi de probabilité de la variable aléatoire 𝐗 est appelée loi
𝟐 𝟐 𝟐
= (𝐱 𝟏 − 𝐄(𝐗)) 𝐩𝟏 + (𝐱 𝟐 − 𝐄(𝐗)) 𝐩𝟐 + ⋯ + (𝐱 𝐧 − 𝐄(𝐗)) 𝐩𝐧 binomiale de paramètres 𝐧 et 𝐩.
 L’écart-type de la variable aléatoire 𝐗 est le nombre réel positif Propriété.
noté 𝛔(𝐗) définie par : 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗) Soit 𝐗 une variable aléatoire suit une loi binomiale de
Propriété. paramètres 𝐧 et 𝐩, on a :
𝟐  Les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 sont :
𝐕(𝐗) = 𝐄(𝐗 𝟐 ) − (𝐄(𝐗))
𝐢=𝐧 {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧} ; 𝐗(𝛀) = {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧}.
𝐀𝐯𝐞𝐜 𝐄(𝐗 𝟐 ) = ∑ 𝐱 𝐢𝟐 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏𝟐 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧𝟐 𝐩𝐧  (∀𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, … , 𝐧} ) ∶ 𝐏(𝐗 = 𝐤) = 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤 .
𝐢=𝟏  L’espérance mathématique de la variable aléatoire 𝐗 est :
Exercice 16 𝐄(𝐗) = 𝐧𝐩.
Une urne contient 𝟗 boules : 𝟓 blanches et 𝟒 noires.  La variance de la variable aléatoire 𝐗 est :
B N N
Toutes les boules sont indiscernables au toucher. 𝐕(𝐗) = 𝐧𝐩𝐪 = 𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = 𝐄(𝐗). (𝟏 − 𝐩)
On tire simultanément et au hasard 𝟑 boules de  L’écart-type de la variable aléatoire 𝐗 est :
B B B
l’urne 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗) = √𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩)
Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de
boules blanches tirées. B N N
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Exercice 17 3) La variable aléatoire 𝐗 suit la loi binomiale de paramètres
𝟏 𝟏
Une urne contient 10 boules portant les numéros : 𝒏 = 𝟑 et 𝒑 = , notée 𝐗 → 𝐁 (𝟑; )
𝟑 𝟑
1 ;2 ;2 ;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4. Ces boules (∀𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, 𝟑} ) ∶ 𝐏(𝐗 = 𝐤) = 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤
sont indiscernables au toucher. 𝟒
a) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟏) =
On tire au hasard, successivement et 𝟗
𝟏 𝟑−𝟏
sans remise deux boules de l’urne. 𝟏
𝟏 𝟏 𝟑! 𝟏 𝟐 𝟐 𝟒
( )
𝑷 𝑿 = 𝟏 = 𝐂𝟑 ( ) (𝟏 − ) = ( ) ( ) =
2) Soit l’événement : 𝟑 𝟑 𝟏! 𝟐! 𝟑 𝟑 𝟗
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs » b) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿.
Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟏
𝟎
𝟏 𝟎 𝟐 𝟑 𝟖
𝟑 𝑷(𝑿 = 𝟎) = 𝐂𝟑 ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕
2) On répète l’expérience précédente trois fois de suite en 𝟏 𝟐
𝟐 𝟏
𝟔 𝟐
remettant chaque fois les deux boules tirées dans l’urne. 𝑷(𝑿 = 𝟐) = 𝐂𝟑𝟐 ( ) ( ) = =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕 𝟗
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale au nombre de réalisation de 𝟏 𝟑
𝟐 𝟎
𝟏
l’événement 𝑨. 𝑷(𝑿 = 𝟑) = 𝐂𝟑𝟑 ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕
𝟒
a) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟏) =
𝟗
b) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿. 𝐱𝐢 0 1 2 3
c) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟖 𝟏𝟐 𝟔 𝟏
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿). 𝟐𝟕 𝟐𝟕 𝟐𝟕 𝟐𝟕
Solution c) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
3) Soit l’événement : 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs »  L’espérance mathématique de la variable aléatoire 𝐗 est :
𝟏 𝟏
Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝐄(𝐗) = 𝐧𝐩 = 𝟑 × = 𝟏.
𝟑 𝟑
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble des  La variance de la variable aléatoire 𝐗 est :
arrangements sans répétitions de deux boules parmi dix boules 𝟏 𝟐
𝐕(𝐗) = 𝐧𝐩𝐪 = 𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = 𝐄(𝐗). (𝟏 − 𝐩) = 𝟏 × (𝟏 − ) =
contenues dans le sac 𝟑 𝟑

Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟎  L’écart-type de la variable aléatoire 𝐗 est :
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟐𝟔
𝟐
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝑨𝟐𝟔 𝟏 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗) = √𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = √
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = = 𝟑
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑨𝟐𝟏𝟎 𝟑
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Exercice 01 Exercice 03
Un sac contient 𝟗 boules : 4 boules jaunes numérotées 1,1,1,2 On lance un dé à 6 faces puis une pièce de monnaie
Trois boules rouges numérotées 1,1, et 𝟐 Considérons les deux événements suivants
2 2 1 1
Deux boules vertes numérotées 1,2. A ‘’ La pièce a donné face ‘’ et B ‘’ Le dé a donné 3 ou 5 ‘’
Les boules sont indiscernables au toucher. 1) Calculer 𝒑(𝑨) ; 𝒑(𝑩) 𝒆𝒕 𝑷(𝑨 ∩ 𝑩) 𝒆𝒕 𝐏𝐀 (𝐁) et 𝐏𝐁 (𝐀)
1 1 1 1 2
On tire au hasard simultanément trois J J 2) Les événements 𝐀 et 𝐁 sont-ils independants ?
boules du sac. n Exercice 04
1) Déterminer le nombre de résultats possibles. Un sac contient 𝟏𝟏 boules : 𝟓 blanches numérotées 1,1,1,0,0 ;
2) Déterminer la probabilité de chacun des événements : 𝐐𝐮𝐚𝐭𝐫𝐞𝐬 rouges numérotées 1,1,0,0 et 𝟐 vertes numérotées 1,0.
𝐀 « Obtenir 𝟑 boules jaunes ». Toutes les boules sont indiscernables au toucher.
𝐁 « Obtenir 𝟏 boule de chaque couleur ». On tire au hasard successivement et sans remise 𝟑 boules du sac.
𝐂 : « Obtenir 𝟑 boules de même couleur ». 3) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
𝐃 : « Obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro ». 𝐀 « Obtenir 𝟑 boules de même couleur».
𝑬 : « Obtenir une boule exactement verte ». 𝐁 « Obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro».
𝑭 : « Obtenir un moins une boule verte ». 𝐂 « Obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».
3) Calculer 𝒑(𝑪 ∩ 𝑫) 𝒆𝒕 𝒑(𝑪 ∪ 𝑫) 4) Calculer la probabilité d’obtenir 𝟑 boules qui portent le même
Exercice 02 numéro sachant qu’elles sont de mêmes couleurs
Une urne contient 𝟏𝟎 boules : 𝟑 jaunes, 𝟐 vertes et 𝟓 rouges. Exercice 05
Les boules sont indiscernables au toucher On lance un dé à 6 faces , et considérons l’événements suivant :
R R R R R
On tire au hasard successivement et sans A ‘’ Le dé a donné 3 ou 5 ‘’
remise 𝟑 boules de l’urne. 1) Calculer 𝒑(𝑨)
J J J V V
3) Déterminer le nombre de tirages 2) On répète cette expérience 5 fois de suite
n
4) Déterminer la probabilité de chacun 3) Quelle est la probabilité pour que l’événement A soit réalisé
des événements suivants : trois fois exactement ?
𝐀 « Obtenir 𝟑 boules rouges » 𝐁 « Obtenir 𝟑 boules jaunes ». Exercice 06
𝐂 « Obtenir 𝟑 boules de même couleur » On lance 𝟑 fois de suite une pièce de monnaie.
𝐃 « Obtenir 𝟐 boules jaunes et 𝟏 boule verte ». Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois dont le coté 𝐅
𝐄 « Obtenir 𝟏 boule de chaque couleur ». apparait.
𝐅 « Obtenir au moins 𝟏 boule jaune ». 5) Déterminons les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 :
𝐆 « Obtenir exactement 𝟐 couleurs ». 6) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
7) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
5) On tire au hasard successivement et avec remise 𝟑 boules de
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
l’urne, déterminer la probabilité des événements précédentes
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Exercice 07 Exercice 10
On lance simultanément deux dés à 6 faces Une urne contient : 4 boules blanches et 3 boules noires
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale à la plus grande des deux valeurs. 1) On tire au hasard et simultanément 3 boules de l’urne.
1) Établir la loi de probabilité de 𝑿. a) Calculer les probabilités des deux évènements :
2) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance 𝑨 : « Les trois boules tirées ont le même couleur»
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿). 𝑩 : « Obtenir au moins une boule blanche»
Exercice 08 𝟐
b) Montrer que: 𝑷𝑩 (𝑨) =
Un sac contient 6 jetons indiscernables au toucher et 𝟏𝟕

numérotés :1 ;1 ;1 ;1 ;0 ;2. c) Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils indépendants ?


On tire au hasard, successivement et sans remise 3 jetons du sac. 2) Soit 𝑿 la variable aléatoire qui, à chaque tirage, associe le
On considère les évènements suivants : nombre de boules noires restantes dans l’urne.
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est égale à 3» a) Déterminer les valeurs prises par la variable 𝑿.
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2» b) Calculer 𝑷(𝑿 = 𝟎) et 𝑷(𝑿 = 𝟏)
𝟏 𝟏 c) Déterminer la loi de probabilité de 𝑿.
1) a)Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) =
𝟓 𝟔 d)Calculer 𝑬(𝑿) et la variance 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
( )
b) Calculer 𝑷𝑩 𝑨 . Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils indépendants ? Exercice 11
2) Soit 𝑿 la variable aléatoire associe à la somme des numéros Un sac contient : 5 boules rouges numérotées :0;1;1;1;2 ; et 4
portés par les trois jetons tirés. boules vertes numérotées :0;1;1;2,
a)Déterminer la loi de de probabilité de la variable 𝑿.
On tire simultanément 3 boules de ce sac.
b)Calculer 𝑬(𝑿) et la variance 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
Exercice 09 1) On considère les événements suivants:
Une urne contient 10 boules portant les numéros : 𝑨: " Obtenir 3 boules portant des numéros pairs”
1 ;2 ;2 ;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4. Ces boules sont indiscernables au toucher. 𝑩 “Obtenir 3 boules don’t la somme des numéros est égale à 3”
On tire successivement et sans remise 2 boules de l’urne 𝑪 “Obtenir 3 boules vertes”
3) Soit l’événement : 𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux a) Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟏
𝒆𝒕 𝑷(𝑩) =
𝟓
𝟏 𝟐𝟏 𝟏𝟒
numéros pairs », montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝟏 𝟏
𝟑 b) Montrer que : 𝑷(𝑩 ∩ 𝑪) = 𝒆𝒕 𝒆𝒏 𝒅é𝒅𝒖𝒊𝒓𝒆 𝒒𝒖𝒆 𝑷𝑩 (𝑪) =
2) On répète l’expérience précédente trois fois de suite en 𝟒𝟐 𝟏𝟓
remettant chaque fois les deux boules tirées dans l’urne. 2) Soit 𝑿 la variable aléatoire qui, à chaque tirage, associe le
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale au nombre de réalisation de produit des numéros obtenus.
l’événement 𝑨. a) Justifier que 𝑿(𝛀) = {𝟎; 𝟏; 𝟐; 𝟒}.
𝟒
d) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟏) = b) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟎) =
𝟕
𝟗 𝟏𝟐
e) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿. c) Calculer 𝑷(𝑿 = 𝟏), puis déterminer la loi de probabilité 𝑿.
f) Calculer 𝑬(𝑿) et la variance 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
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Exercice 01 𝐁 « Obtenir 𝟏 boule de chaque couleur ».
Un sac contient 𝟗 boules : 4 boules jaunes numérotées 1,1,1,2 L’événement B est réalisé lorsqu’on tire 1 boule jaune et 1 boule
Trois boules rouges numérotées 1,1, et 𝟐 rouge et une boule verte (𝑱 𝑹 ; 𝑽)
2 2 1 1
Deux boules vertes numérotées 1,2. 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑪𝟏𝟒 × 𝑪𝟏𝟑 × 𝑪𝟏𝟐 = 𝟐𝟒
Les boules sont indiscernables au toucher.
1 1 1 1 2 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟐𝟒
On tire au hasard simultanément trois J J 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
boules du sac. n
𝐀 : « Obtenir 𝟑 boules de même couleur ».
4) Déterminer le nombre de résultats possibles.
5) Déterminer la probabilité de chacun des événements : L’événement C est réalisé lorsqu’on tire trois boules jaunes ou
𝐀 « Obtenir 𝟑 boules jaunes ». trois boules rouges (𝑱 ; 𝑱 ; 𝑱) 𝒐𝒖 (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹)
𝐁 « Obtenir 𝟏 boule de chaque couleur ». 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) = 𝑪𝟑𝟒 + 𝑪𝟑𝟑 = 𝟓
𝐂 : « Obtenir 𝟑 boules de même couleur ». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟓
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = =
𝐃 : « Obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro ». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
𝑬 : « Obtenir une boule exactement verte ». 𝐃 : « Obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro ».
𝑭 : « Obtenir un moins une boule verte ». L’événement D est réalisé lorsqu’on tire trois boules qui portent
6) Calculer 𝒑(𝑪 ∩ 𝑫) 𝒆𝒕 𝒑(𝑪 ∪ 𝑫) le numéro 1 ou trois boules qui portent le numéro 2
Solution (𝟏 ; 𝟏 ; 𝟏) 𝒐𝒖 (𝟐 ; 𝟐 ; 𝟐),
3) Déterminer le nombre de résultats possibles. 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) = 𝑪𝟑𝟔 + 𝑪𝟑𝟑 = 𝟐𝟏
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble des 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟐𝟏 𝟏
combinaisons de trois boules parmi neuf boules contenues dans le 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐃) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟒
sac
𝐄 : « Obtenir une boule exactement verte ».
Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟗 = 𝟖𝟒
L’événement E est réalisé lorsqu’on tire une boule verte et deux
4) Déterminer la probabilité de chacun des événements : ̅; 𝑽̅)
boules non vertes (𝑽 ; 𝑽
𝐀 « Obtenir 𝟑 boules jaunes ».
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐄) = 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟐𝟕 = 𝟑𝟓
L’événement A est réalisé lorsqu’on tire trois boules jaunes
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝟑𝟓 𝟓
(𝑱 ; 𝑱 ; 𝑱) 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐄) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟏𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑪𝟑𝟒 = 𝟒
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟒
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
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𝑭 : « Obtenir un moins une boule verte ». 𝐀 «obtenir 𝟑 boules rouges».
𝐁 «obtenir 𝟑 boules jaunes».
L’événement contraire de F est :
𝐂 «obtenir 𝟑 boules de même couleur»
̅ « Aucune boule tirée n’est verte »
𝑭 𝐃 «obtenir 𝟐 boules jaunes et 𝟏 boule verte».
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭 ̅ ) = 𝑪𝟑𝟕 = 𝟑𝟓 𝐄 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭 ̅ ) 𝟑𝟓 𝟓 𝐅 «obtenir au moins 𝟏 boule jaune».
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑭 ̅) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟏𝟐 𝐆 «obtenir exactement 𝟐 couleurs».
𝟓 𝟕 3)On tire au hasard successivement et avec remise 𝟑 boules de
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐅) = 𝟏 − 𝒑(𝑭 ̅) = 𝟏 − = l’urne.
𝟏𝟐 𝟏𝟐
Déterminer la probabilité des événements précédentes
3) Calculer 𝒑(𝑪 ∩ 𝑫) 𝒆𝒕 𝒑(𝑫 ∪ 𝑫)
Solution
L’événement 𝑪 ∩ 𝑫 est réalisé lorsqu’on tire trois boules jaunes 3) Déterminer le nombre de tirages possibles.
qui portent le numéro 1,
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 ∩ 𝑫 ) = 𝑪𝟑𝟑 = 𝟏
des arrangements sans répétitions de trois boules parmi dix
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 ∩ 𝑫 ) 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑪 ∩ 𝑫 ) = = boules contenues dans le sac
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟎 = 𝟕𝟐𝟎
Calculer 𝒑(𝑪 ∪ 𝑫),
On sait que 𝒑(𝑪 ∪ 𝑫) = 𝒑(𝑪) + 𝒑(𝑫) − 𝒑(𝑪 ∩ 𝑫 ) 4) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
𝟓 𝟐𝟏 𝟏 𝟐𝟓 𝐀 « Obtenir 𝟑 boules rouges».
Donc 𝒑(𝑪 ∪ 𝑫) = + − =
𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟑𝟓 = 𝟔𝟎
Exercice 02
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟔𝟎 𝟏
Une urne contient 𝟏𝟎 boules : 𝟑 jaunes, 𝟐 vertes et 𝟓 rouges. 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟏𝟐
Les boules sont indiscernables au toucher 𝐁 « Obtenir 𝟑 boules jaunes » ;
On tire au hasard successivement et sans R R 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑨𝟑𝟑 = 𝟔
R R R
remise 𝟑 boules de l’urne. 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟔 𝟏
Par suite 𝒑(𝐁) = = =
6) Déterminer le nombre de tirages 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
J J J V V
possibles. 𝐂 «obtenir 𝟑 boules de même couleur» (𝑱 ; 𝑱; 𝑱) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹)
n
7) Déterminer la probabilité de chacun 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝑨𝟑𝟑 + 𝑨𝟑𝟓 𝟔𝟔 𝟏𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐂) = = = =
des événements : 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟕𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
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𝐃 «obtenir 𝟐 boules jaunes et 𝟏 boule verte». (𝑱 ; 𝑱 ; 𝑽) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
Le coefficient d’ordre est
𝟑!
=𝟑 𝐀 « Obtenir 𝟑 boules rouges ».
𝟐!×𝟏!
Le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝟏𝟎𝟑
𝟑!
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) = (𝑨𝟐𝟑 × 𝑨𝟏𝟐 ) = 𝟑𝟔 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟓𝟑
𝟐! × 𝟏!
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = 𝟑
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) 𝟑𝟔 𝟏 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟎
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐃) = = = 𝐁 « Obtenir 𝟑 boules jaunes » ;
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟐𝟎
𝐄 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».(𝑱 ; 𝑹 ; 𝑽) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟑𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐁) = =
Le coefficient d’ordre est
𝟑!
=𝟔 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟎𝟑
𝟏!×𝟏!×𝟏! 𝐂 « Obtenir 𝟑 boules de même couleur» (𝑱 ; 𝑱; 𝑱) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹)
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐄) = 𝟔(𝑨𝟏𝟑 × 𝑨𝟏𝟐 × 𝑨𝟏𝟓 ) = 𝟏𝟖𝟎 ou (𝑽 ; 𝑽 ; 𝑽)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐄) 𝟏𝟖𝟎 𝟏 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝟑𝟑 + 𝟒𝟑 + 𝟐𝟑
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐄) = = = 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐂) = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟒 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟎𝟑
𝐅 «obtenir au moins 𝟏 boule jaune».
𝐃 « Obtenir 𝟐 boules jaunes et 𝟏 boule verte ». (𝑱 ; 𝑱 ; 𝑽)
L’événement complémentaire de E est : 𝟑!
Le coefficient d’ordre est =𝟑
𝟐!×𝟏!
̅ « Aucune boule tirée n’est jaune » , d𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭
𝑭 ̅ ) = 𝑨𝟑𝟕 = 𝟐𝟏𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐃) 𝟑(𝟑𝟐 × 𝟐𝟏 )
̅ ) 𝟐𝟏𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭 𝟕 𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐃) = =
̅) =
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑭 = = 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟎𝟑
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟕𝟐𝟎 𝟐𝟒
𝐄 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».(𝑱 ; 𝑹 ; 𝑽)
𝟕 𝟏𝟕
̅) = 𝟏 −
Donc 𝒑(𝐅) = 𝟏 − 𝒑(𝑭 = 𝟑!
𝟐𝟒 𝟐𝟒 Le coefficient d’ordre est =𝟔
𝟏!×𝟏!×𝟏!
𝐆 «obtenir exactement 𝟐 couleurs». ». 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐄) 𝟔(𝟑𝟏 × 𝟒𝟏 × 𝟐𝟏 )
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐄) = =
L’événement contraire de G est : 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟎𝟑
𝐅 «obtenir au moins 𝟏 boule jaune».
̅ « Obtenir un couleurs ou obtenir 3 couleurs » ,
𝑮
L’événement contraire de E est :
𝟏𝟏 𝟏 𝟐𝟏
̅ ) = 𝑷(𝑪 ∪ 𝑫) =
D𝒐𝒏𝒄 𝑷(𝑮 + =
𝟏𝟐𝟎 𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 ̅ « Aucune boule tirée n’est jaune »
𝑭
Donc 𝒑(𝐆) = 𝟏 − 𝒑(𝑮 ̅ ) = 𝟏 − 𝟐𝟏 = 𝟗𝟗 ̅)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑭 𝟕𝟑
𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 ̅) =
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝑭 =
3)On tire au hasard successivement et avec remise 𝟑 boules de 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟎𝟑
l’urne. 𝟕𝟑
Déterminer la probabilité des événements précédentes ̅) = 𝟏 −
Donc 𝒑(𝐅) = 𝟏 − 𝒑(𝑭
𝟏𝟎𝟑
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Exercice 03 Solution
On lance un dé à 6 faces puis une pièce de monnaie 3) Déterminer la probabilité de chacun des événements :
Considérons les deux événements suivants
𝐀 «obtenir 𝟑 boules de même couleur». (𝑩 ; 𝑩; 𝑩) ou (𝑹 ; 𝑹 ; 𝑹)
A ‘’ La pièce a donné face ‘’ et B ‘’ Le dé a donné 3 ou 5 ‘’
3) Calculer 𝒑(𝑨) ; 𝒑(𝑩) 𝒆𝒕 𝑷(𝑨 ∩ 𝑩) 𝒆𝒕 𝐏𝐀 (𝐁) et 𝐏𝐁 (𝐀) Le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟏 = 𝟗𝟗𝟎
4) Les événements 𝐀 et 𝐁 sont-ils independants ? 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝑨𝟑𝟒 + 𝑨𝟑𝟓 𝟐𝟒 + 𝟔𝟎 𝟖𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑(𝐀) = = = =
Solution 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟔 𝟏
𝟏) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝟔 × 𝟐 = 𝟏𝟐 donc 𝑷(𝑨) = = = 𝐁 «𝟑 boules qui portent le même numéro». (𝟏 ; 𝟏; 𝟏) ou (𝟎 ; 𝟎 ; 𝟎)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐 𝟐
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟐 + 𝟐 𝟏 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝑨𝟑𝟔 + 𝑨𝟑𝟓 𝟏𝟐𝟎 + 𝟔𝟎 𝟏𝟖𝟎 𝟐
𝑷(𝑩) = = = 𝒑 ( 𝐁) = = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐 𝟑 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟏𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟐 𝟏
𝑷(𝑨 ∩ 𝑩) = = = 𝐂 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur».(𝑱 ; 𝑹 ; 𝑽)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐 𝟔
𝒑(𝑨∩𝑩)
𝟏
𝟏 𝒑(𝑨∩𝑩)
𝟏
𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐂) 𝟔(𝑨𝟏𝟒 × 𝑨𝟏𝟓 × 𝑨𝟏𝟐 ) 𝟐𝟒𝟎 𝟐𝟒
𝐏𝐀 (𝐁) = = 𝟔
= et 𝐏𝐁 (𝐀) = = 𝟔
= 𝒑(𝐂) = = = =
𝒑(𝑨) 𝟏
𝟐
𝟑 𝒑(𝑩) 𝟏
𝟑
𝟐 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗𝟎 𝟗𝟗
23)Les événements 𝐀 et 𝐁 sont-ils independants ? 4) Calculer la probabilité d’obtenir 𝟑 boules qui portent le même
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐏𝐀 (𝐁) =
𝟏 𝟏
𝐞𝐭 𝐏(𝐁) = Donc 𝐏𝐀 (𝐁) = 𝐏(𝐁). numéro sachant qu’elles sont de même couleur.
𝟑 𝟑
𝑨𝟑
𝟑
Donc Les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟗𝟗𝟎 𝟑 𝟏
𝐏𝐀 (𝐁) = = = =
Exercice 04 𝒑(𝑨) 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟐𝟖
𝟗𝟗𝟎
Un sac contient 𝟏𝟏 boules : 𝟓 blanches numérotées 1,1,1,0,0 ; Exercice 05
𝟒 rouges numérotées 1,1,0,0 et 𝟐 vertes numérotées 1,0. On lance un dé à 6 faces
Considérons l’événements suivant : A ‘’ Le dé a donné 3 ou 5 ‘’
Toutes les boules sont indiscernables au toucher. 1) Calculer 𝒑(𝑨)
On tire au hasard successivement et sans remise 𝟑 boules du sac. 2) On répète cette expérience 5 fois de suite
5) Déterminer la probabilité de chacun des événements : Quelle est la probabilité pour que l’événement A soit réalisé
𝐀 «obtenir 𝟑 boules de même couleur». trois fois exactement ?
Solution
𝐁 «obtenir 𝟑 boules qui portent le même numéro».
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟐 𝟏
𝐂 «obtenir 𝟏 boule de chaque couleur». 5) Calculer 𝒑(𝑨) ; 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝑷(𝑨) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟔 𝟑
6) Calculer la probabilité d’obtenir 𝟑 boules qui portent le même 𝟏𝟐
𝟏 𝟓−𝟐
𝟓! 𝟏 𝟐
𝟐 𝟑

numéro sachant qu’elles sont de même couleurs 𝟐) 𝐩(𝐀) = 𝐂𝟓𝟐 ( ) (𝟏 − ) = ( ) ( )


𝟑 𝟑 𝟐! 𝟑! 𝟑 𝟑
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Exercice 06 3) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
On lance 𝟑 fois de suite une pièce de monnaie. 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
𝐢=𝟒
Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois dont le coté 𝐅
apparait. 𝐄(𝐗) = ∑ 𝐱 𝐢 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧 𝐩𝐧
𝐢=𝟏
8) Déterminons les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 : 𝟏 𝟑 𝟑 𝟏
9) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗. =𝟎× +𝟏× +𝟐× +𝟑×
𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
10) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance 𝟏𝟐 𝟑
= =
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿). 𝟖 𝟐
𝐢=𝟔
Solution
On lance 𝟑 fois de suite une pièce de monnaie. 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐄(𝐗 𝟐)
= ∑ 𝐱 𝐢𝟐 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏𝟐 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧𝟐 𝐩𝐧
Soit 𝐗 la variable aléatoire égale au nombre de fois dont le coté 𝐅 𝐢=𝟏
𝟏 𝟑 𝟑 𝟏 𝟏𝟗
apparait. 𝐄( 𝐗 𝟐 ) = 𝟎 𝟐 × + 𝟏 𝟐 × + 𝟐 𝟐 × + 𝟑 𝟐 × =
𝟖 𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
1) Déterminons les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 :
(𝐗 = 𝟎) : Obtenir le coté 𝐏 𝟑 fois. 𝟐
(𝐗 = 𝟏) : Obtenir le coté 𝐅 𝟏 seule fois. 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐕(𝐗) = 𝐄(𝐗 𝟐 ) − (𝐄(𝐗))
(𝐗 = 𝟐) : Obtenir le coté 𝐅 𝟐 fois. 𝟏𝟗 𝟑 𝟐
= −( )
(𝐗 = 𝟑) : Obtenir le coté 𝐅 𝟑 fois. 𝟖 𝟐
D’où 𝐗(𝛀) = {𝟎; 𝟏; 𝟐; 𝟑}. 𝟏𝟗 𝟗
= −
2) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗. 𝟖 𝟒
𝟏
On a : 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) = 𝟐𝟑 = 𝟖. =
𝟖
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟎) 𝟏𝟑 𝟏
𝐏(𝐗 = 𝟎 ) = = = .
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟐𝟑 𝟖
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟏) 𝟑! 𝟏𝟏 ×𝟏𝟐 𝟑  L’écart-type de la variable aléatoire 𝐗
𝐏(𝐗 = 𝟏 ) = = × = .
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟏!×𝟐! 𝟐𝟑 𝟖 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗)
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟐) 𝟑! 𝟏𝟐 ×𝟏𝟏 𝟑
𝐏(𝐗 = 𝟐 ) = = × = .
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟐!×𝟏! 𝟐𝟑 𝟖 𝟏
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗=𝟑) 𝟏𝟑 𝟏 =√
𝐏(𝐗 = 𝟑 ) = = = . 𝟖
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟐𝟑 𝟖
D’où le tableau de la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
𝐱𝐢 0 1 2 3
𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟏 𝟑 𝟑 𝟏
𝟖 𝟖 𝟖 𝟖
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Exercice 07 ● La plus grande des deux valeurs est 6, si on obtient les
On lance simultanément deux dés à 6 faces et on note les valeurs combinaisons : (1 ; 6), (6 ; 1) (2 ; 6),
obtenues. (6 ; 2), (3 ; 6), (6 ; 3), (4 ; 6), (6 ; 4), (5 ; 6), (6 ; 5) ou (6 ; 6).
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale à la plus grande des deux valeurs. 𝟏𝟏
𝑷(𝑿 = 𝟔) =
3) Établir la loi de probabilité de 𝑿. 𝟑𝟔
4) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿). On peut résumer les résultats dans le tableau de la loi de
Solution probabilité de 𝑿 :
1) Établir la loi de probabilité de 𝑿. 𝒙𝒊 1 2 3 4 5 6
La variable aléatoire 𝑿 peut prendre les valeurs 1, 2, 3, 4, 5 et 6. 𝟏 𝟏 𝟓 𝟕 𝟏 𝟏𝟏
Par exemple, si on obtient la combinaison (2 ; 5), la plus grande 𝑷(𝑿 = 𝒙𝒊 )
𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟒 𝟑𝟔
valeur est 5 et on a : 𝑿 = 𝟓. Remarque :
● La plus grande des deux valeurs est 1, si on obtient la On vérifie que la somme des probabilités est égale à 1 :
𝟏
combinaison : (1 ; 1) ; donc 𝑷(𝑿 = 𝟏) = 𝟏 𝟏 𝟓 𝟕 𝟏 𝟏𝟏
𝟑𝟔 + + + + + =𝟏
● La plus grande des deux valeurs est 2, si on obtient les 𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟒 𝟑𝟔
2) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
combinaisons : (1 ; 2), (2 ; 1) ou (2 ; 2).
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
𝟑 𝟏 𝐢=𝟔
𝑷(𝑿 = 𝟐) = =
𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝐄(𝐗) = ∑ 𝐱 𝐢 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧 𝐩𝐧
● La plus grande des deux valeurs est 3, si on obtient les
𝐢=𝟏
combinaisons : (1 ; 3), (3 ; 1), (2 ; 3), (3 ; 2) ou (3 ; 3). 𝟏 𝟏 𝟓 𝟕 𝟏 𝟏𝟏
𝟓 =𝟏× +𝟐× +𝟑× +𝟒× +𝟓× +𝟔×
𝑷 (𝑿 = 𝟑 ) = 𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟒 𝟑𝟔
𝐢=𝟔
𝟑𝟔
● La plus grande des deux valeurs est 4, si on obtient les 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐄(𝐗 𝟐 ) = ∑ 𝐱 𝐢𝟐 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏𝟐 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧𝟐 𝐩𝐧
combinaisons : (1 ; 4), (4 ; 1) (2 ; 4),(4 ; 2), (3 ; 4), (4 ; 3) ou (4 ; 4). 𝐢=𝟏
𝟕 𝟏 𝟏 𝟓 𝟕 𝟏 𝟏𝟏
𝑷 (𝑿 = 𝟒 ) = 𝐄( 𝐗 𝟐 ) = 𝟏 𝟐 × + 𝟐𝟐 × + 𝟑𝟐 × + 𝟒𝟐 × + 𝟓𝟐 × + 𝟔𝟐 ×
𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟏𝟐 𝟑𝟔 𝟑𝟔 𝟒 𝟑𝟔
𝟐
● La plus grande des deux valeurs est 5, si on obtient les 𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐕(𝐗) = 𝐄(𝐗 𝟐 ) − (𝐄(𝐗))
combinaisons : (1 ; 5), (5 ; 1) (2 ; 5),  L’écart-type de la variable aléatoire 𝐗
(5 ; 2), (3 ; 5), (5 ; 3), (4 ; 5), (5 ; 4) ou (5 ; 5). 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗)
𝟗 𝟏
𝑷 (𝑿 = 𝟓 ) = =
𝟑𝟔 𝟒
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Exercice 08 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟐𝟎 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐁) = = =
Un sac contient 6 jetons indiscernables au toucher et 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟔
numérotés :1 ;1 ;1 ;1 ;0 ;2. b) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨). Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils indépendants ?
On tire au hasard, successivement et sans remise 3 jetons du sac. 𝑨 ∩ 𝑩 𝒆𝒕 (𝟐 ; 𝟎; 𝟏) 𝒐𝒖 (𝟐 ; 𝟏; 𝟎)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟐(𝑨𝟏𝟏 × 𝑨𝟏𝟏 × 𝑨𝟏𝟒 ) 𝟖 𝟏
On considère les évènements suivants : 𝑷(𝑨 ∩ 𝑩) = = = =
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est égale à 3» 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟓
𝟏
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2» 𝒑(𝑨 ∩ 𝑩) 𝟏𝟓 𝟔 𝟑
𝟏 𝟏 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐏𝐁 (𝐀) = = 𝟏 = =
1) a)Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) = 𝒑(𝑩) 𝟏𝟓 𝟓
𝟓 𝟔 𝟔
b) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨). Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils indépendants ? Les événements 𝐀 et 𝐁 sont indépendants si 𝐏𝐁 (𝐀) = 𝐏(𝐀).
2) Soit 𝑿 la variable aléatoire associe à la somme des numéros 𝟑 𝟏
portés par les trois jetons tirés. 𝑶𝒏 𝒂 𝐏𝐁 (𝐀) = 𝒆𝒕 𝒑(𝐀) =
𝟓 𝟓
a)Déterminer la loi de de probabilité de la variable 𝑿. Donc les événements 𝐀 et 𝐁 ne sont pas indépendants
b)Calculer 𝑬(𝑿) et la variance 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿). 2) Soit 𝑿 la variable aléatoire associe à la somme des numéros
Solution portés par les trois jetons tirés.
Un sac contient 6 jetons indiscernables au toucher et a)Déterminer la loi de de probabilité de la variable 𝑿.
numérotés :1 ;1 ;1 ;1 ;0 ;2. Les valeurs prise par la variable aléatoire 𝐗 :
On tire au hasard, successivement et sans remise 3 jetons du sac. (𝐗 = 𝟐) : Obtenir (𝟏 ; 𝟏; 𝟎)
On considère les évènements suivants : 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟐) 𝟑(𝑨𝟐𝟒 × 𝑨𝟏𝟏 ) 𝟑𝟔
𝐏(𝐗 = 𝟐 ) = = =
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est égale à 3» 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2» (𝐗 = 𝟑) : Obtenir (𝟏 ; 𝟏; 𝟏) ou obtenir (𝟐 ; 𝟏; 𝟎)
𝟏 𝟏
1) a)Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) = 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟑) 𝑨𝟑𝟒 + 𝟔(𝑨𝟏𝟒 × 𝑨𝟏𝟏 × 𝑨𝟏𝟏 ) 𝟒𝟖
𝟓 𝟑 (
𝐏 𝐗=𝟐 = ) = =
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
Le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟔 = 𝟏𝟐𝟎 (𝐗 = 𝟒) : Obtenir (𝟏 ; 𝟏; 𝟐)
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est égale à 3» » (𝟏 ; 𝟏; 𝟏) 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟐) 𝟑(𝑨𝟐𝟒 × 𝑨𝟏𝟏 ) 𝟑𝟔
𝐏(𝐗 = 𝟐 ) = = =
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟑𝟒 = 𝟐𝟒 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
D’où le tableau de la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟐𝟒 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = = 𝐱𝐢 2 3 4
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟓
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2» (𝟐 ; 𝑿; 𝑿) 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟑𝟔 𝟒𝟖 𝟑𝟔
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑨𝟏𝟏 × 𝑨𝟐𝟓 = 𝟏 × 𝟓 × 𝟒 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
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Exercice 09 4) La variable aléatoire 𝐗 suit la loi binomiale de paramètres
𝟏 𝟏
Une urne contient 10 boules portant les numéros : 𝒏 = 𝟑 et 𝒑 = , notée 𝐗 → 𝐁 (𝟑; )
𝟑 𝟑
1 ;2 ;2 ;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4. Ces boules (∀𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, 𝟑} ) ∶ 𝐏(𝐗 = 𝐤) = 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤
sont indiscernables au toucher. 𝟒
d) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟏) =
On tire au hasard, successivement et 𝟗
𝟏 𝟑−𝟏
sans remise deux boules de l’urne. 𝟏
𝟏 𝟏 𝟑! 𝟏 𝟐 𝟐 𝟒
( )
𝑷 𝑿 = 𝟏 = 𝐂𝟑 ( ) (𝟏 − ) = ( ) ( ) =
4) Soit l’événement : 𝟑 𝟑 𝟏! 𝟐! 𝟑 𝟑 𝟗
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs » e) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿.
Montrer que : 𝑷(𝑨) =
𝟏
𝟎
𝟏 𝟎 𝟐 𝟑 𝟖
𝟑 𝑷(𝑿 = 𝟎) = 𝐂𝟑 ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕
2) On répète l’expérience précédente trois fois de suite en 𝟏 𝟐
𝟐 𝟏
𝟔 𝟐
remettant chaque fois les deux boules tirées dans l’urne. 𝑷(𝑿 = 𝟐) = 𝐂𝟑𝟐 ( ) ( ) = =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕 𝟗
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale au nombre de réalisation de 𝟏 𝟑
𝟐 𝟎
𝟏
l’événement 𝑨. 𝑷(𝑿 = 𝟑) = 𝐂𝟑𝟑 ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕
𝟒
g) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟏) =
𝟗
h) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿. 𝐱𝐢 0 1 2 3
i) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟖 𝟏𝟐 𝟔 𝟏
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿). 𝟐𝟕 𝟐𝟕 𝟐𝟕 𝟐𝟕
Solution f) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
4) Soit l’événement : 𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs »  L’espérance mathématique de la variable aléatoire 𝐗 est :
𝟏 𝟏
Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝐄(𝐗) = 𝐧𝐩 = 𝟑 × = 𝟏.
𝟑 𝟑
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble des  La variance de la variable aléatoire 𝐗 est :
arrangements sans répétitions de deux boules parmi dix boules 𝟏 𝟐
𝐕(𝐗) = 𝐧𝐩𝐪 = 𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = 𝐄(𝐗). (𝟏 − 𝐩) = 𝟏 × (𝟏 − ) =
contenues dans le sac 𝟑 𝟑

Donc le nombre des possibilités est 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟑𝟏𝟎  L’écart-type de la variable aléatoire 𝐗 est :
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟐𝟔
𝟐
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝑨𝟐𝟔 𝟏 𝛔(𝐗) = √𝐕(𝐗) = √𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = √
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = = 𝟑
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑨𝟐𝟏𝟎 𝟑
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Mathématique Durée : 3 heures Session normale 2022 Prof : Fayssal Page 01
3p Exercice 01 Montrer que l’affixe du point C image du point B par la
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé 0. 5 rotation R est 𝒄 = −𝟒
𝒃−𝒄
direct(𝑶, 𝒊, 𝒋, ⃗𝒌), on considère les points 𝑨(𝟎, 𝟏, 𝟏), 𝑩(𝟏, 𝟐, 𝟎) 0.5 3. a. Ecrire le nombre sous forme trigonométrique.
𝒂−𝒄
et 𝑪(−𝟏, 𝟏, 𝟐) 𝒃−𝒄 𝟐 𝒄−𝒅
0.5 b. En déduire que ( ) =
0.5 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
1. a. Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = 𝒊 + 𝒌 ⃗ 𝒂−𝒄 𝒃−𝒅

b. En déduire que 𝒙 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎 est une équation 4. Soient (ℾ) le cercle de centre D et de rayon 2, (ℾ′) le cercle
0.5
cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪) de centre O et de rayon 4 et M un point d’affixe z appartenant
aux deux cercles (ℾ) et (ℾ′)
2. Soit (S) la sphère de centre Ω(𝟏, 𝟏, 𝟐) et de rayon 𝑹 = √𝟐
0.5 a. Vérifier que : |𝒛 + 𝟐| = 𝟐
Déterminer une équation de la sphère (S)
0.25 b. Prouver que 𝒛 + 𝒛 = −𝟖 (remarquer que |𝒛| = 𝟒)
0.5 3. Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangent à la sphère (S) au
0.5 c. En déduire que les cercles (ℾ) et (ℾ′) se coupent en un
point A
0.5 point unique qu’on déterminera.
4. On considère la droite (∆) passant par le point C et
3p Exercice 03
perpendiculaire au plan (𝑨𝑩𝑪)
Une urne contient dix boules : trois boules blanches, trois
a. Déterminer une représentation paramétrique de la
boules vertes et quatre boules rouges indiscernables au
0.5 droite (∆)
toucher. On tire au hasard simultanément trois boules de
b. Montrer que la droite (∆) est tangente à la sphère (S)
l’urne.
en un point D dont on déterminera les cordonnées. 𝟏
0.5 ⃗ ), puis déduire la 1. Montrer que 𝒑(𝑨) = ; où A est l’évènement « N’obtenir
c. Calculer le produit scalaire⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪. (𝒊 + 𝒌 𝟔
0.5 0.75 aucune boule rouge ».
distance 𝒅(𝑨, (∆))
2. Calculer 𝒑(𝑩) ; où B est l’évènement « Obtenir trois boules
3p Exercice 02
0.75 blanches ou trois boules vertes ».
Dans le plan complexe rapporté à un repère 𝟏
orthonormé (𝑶, 𝒖 ⃗ ), on considère le point A d’affixe
⃗ ,𝒗 3. Montrer que 𝒑(𝑪) = ; où C est l’évènement « Obtenir
𝟐
0.75
𝒂 = −𝟏 − 𝒊√𝟑, le point B d’affixe 𝒃 = −𝟏 + 𝒊√𝟑 et la exactement une boule rouge».
translation t de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑨 4. Calculer 𝒑(𝑫) ; où D est l’évènement « Obtenir au moins
0.75
0.25 1. Prouver que l’affixe du point D image du point B par la deux boules rouges ».
translation t est 𝒅 = −𝟐
𝟐𝝅
2. On considère la rotation R de centre D et d’angle ( ).
𝟑
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Exercice 04 0.5 c. Dresser le tableau des variations de la fonction f sur ℝ
2.5 𝒙
On considère la fonction h définie sur ℝ par : 𝟏
5. a) Montrer que 𝒇′′ (𝒙) = 𝒆𝟐 𝒈(𝒙) ; où
𝟐
𝒉(𝒙) = (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 0.5 𝒙

1.a. Vérifier que 𝒙 ↦ 𝒙𝒆𝒙 est une primitive de la fonction h 𝒈(𝒙) = (𝟐𝒙 + 𝟒)𝒆 − 𝟒 pour
𝟐

0.75 𝟎 0.5 tout 𝒙 de ℝ


sur ℝ ; puis calculer 𝑰 = ∫−𝟏 𝒉(𝒙)𝒅𝒙
b) A partir de la courbe ci-
b. A l’aide d’une intégration par parties calculer
𝟎
contre de la fonction g,
( ) 𝟐 𝒙
0.75 𝑱 = ∫−𝟏 𝒙 + 𝟏 𝒆 𝒅𝒙 déterminer le signe de 𝒈(𝒙)
( ) ′′ ′
0.5 2. a. Résoudre l’équation différentielle 𝑬 : 𝒚 − 𝟐𝒚 + 𝒚 = 𝟎 sur ℝ (remarque : 𝒈(𝜶) =
b. Montrer que la fonction h est la solution de (𝑬) qui 𝟎)
0.5 0.5 c) Etudier la concavité de la
vérifie les conditions 𝒉(𝟎) = 𝟏 et 𝒉′(𝟎) = 𝟐
8.5 Problème courbe (C) et déterminer
On considère la fonction numérique f définie sur ℝ par : les abscisses des deux
𝟐
𝒙 0.75 points d’inflexions.
𝒇(𝒙) = 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏)
6) Construire la courbe (C) dans le repère (𝑶, 𝒊, 𝒋)
Soit (C) sa courbe représentative dans un repère
(On prend : 𝐥𝐧(𝟒) ≅ 𝟏, 𝟒 ; 𝜶 ≅ −𝟒, 𝟓 et 𝒇(𝜶) = −𝟑, 𝟓)
orthonormé (𝑶, 𝒊, 𝒋) (unité : 1cm)
0.5 1. Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) 0.5 7) a) Montrer que la fonction f admet une fonction
𝒙→+∞ 𝒙→−∞ 0.5 réciproque
𝒇(𝒙)
2. Calculer 𝐥𝐢𝐦 et interpréter géométriquement le 𝒇−𝟏 définie sur ℝ
0.5 𝒙→+∞ 𝒙
b) Calculer (𝒇−𝟏 )′(𝐥𝐧 𝟒)
résultat
3. a. Montrer que la droite (∆) d’équation 𝒚 = 𝒙 est 0.5
0.25 8) Soit (𝒖𝒏 ) la suite numérique définie par :
asymptote à la courbe (C) au voisinage de −∞
0.5 𝒖𝟎 = 𝟏 et 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒇(𝒖𝒏 ) pour tout n de ℕ
b. Etudier le signe de (𝒇(𝒙) − 𝒙) pour tout x de ℝ et en 0.25
0.5 déduire la position relative de la courbe (C) et la droite (∆) 0.5 a) Montrer par récurrence que 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝐥𝐧 𝟒 pour tout n de
𝒙 𝟐 𝒙 𝒙 ℕ

4. a. Montrer que 𝒇 (𝒙) = (𝒆 − 𝟏) + 𝒙𝒆 (𝒆 − 𝟏) pour tout
𝟐 𝟐 𝟐
b) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est décroissante
x de ℝ c) En déduire que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente
0.5 𝒙
b. Vérifier que 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎 pour tout x de ℝ puis en d) Calculer la limite de la suite (𝒖𝒏 )
0.5
déduire le signe de la fonction dérivée 𝒇′ sur ℝ
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Correction d’exercice 01 ( 3 points ) 3. Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangent à (S) au point A
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct(𝑶, 𝒊, 𝒋, ⃗𝒌), Rappel :: DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
on considère les points 𝑨(𝟎, 𝟏, 𝟏), 𝑩(𝟏, 𝟐, 𝟎) et 𝑪(−𝟏, 𝟏, 𝟐) Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
un plan et A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point de
1. a. Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = 𝒊 + ⃗𝒌
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗ La distance de point A au plan(𝑷) est :
Rappel : Expression analytique du produit vectoriel | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝒙 𝒙′ 𝒅(𝑨; (𝑷)) =
⃗𝐔 ∧ 𝐕
⃗ = (𝒚) ∧ (𝒚′) √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
| 𝟏 + 𝟐 − 𝟏| 𝟐
𝒛 𝒛′ 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = = = √𝟐 = 𝑹
𝒚 𝒚′ 𝒙 𝒙′ 𝒙 𝒙′ ⃗ √𝟏𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟏𝟐 √𝟐
=| |𝒊 − | |𝒋 + | |𝒌 De plus 𝑨 ∈ (𝑨𝑩𝑪) et 𝑨 ∈ (𝑺)
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛′ 𝒚 𝒚′
𝟏 −𝟏 Donc le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangent à (S) au point A
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑨𝑩 ( 𝟏 ) et 𝑨𝑪 ( 𝟎 ), donc 4. On considère la droite (∆) passant par le point C et
−𝟏 𝟏
𝟏 𝟎 𝟏 −𝟏 𝟏 −𝟏 ⃗ perpendiculaire au plan (𝑨𝑩𝑪)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 ∧ 𝑨𝑪 = | |𝒊 − | |𝒋 + | ⃗
|𝒌 = 𝒊 + 𝒌
−𝟏 𝟏 −𝟏 𝟏 𝟏 𝟎 a. Déterminer une représentation paramétrique de la droite (∆)
b. En déduire que 𝒙 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎 est une équation cartésienne du Rappel : DROITE DANS L’ESPACE
plan (𝑨𝑩𝑪) Soit (𝑫) la droite qui passant par le point 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) et de
Rappel :Le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐀𝐁 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐂 est un vecteur normal au plan (ABC) vecteur directeur ⃗⃗⃗𝑼(𝒂; 𝒃; 𝒄)
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪) Une représentation paramétrique de(𝑫)
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝒂𝒕
𝟏 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
( 𝑫 ) : { 𝒚 = 𝒚 + 𝒃𝒕
On a le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗𝑨𝑪 (𝟎) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪) 𝑨
𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝒄𝒕
𝟏
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟏 × 𝒙 + 𝟎 × 𝒚 + 𝟏 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 La droite (∆) et perpendiculaire au plan (𝑨𝑩𝑪) donc le vecteur
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 + 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪(𝟏; 𝟎; 𝟏) est directeur à la droite (∆)
Et on a 𝑨(𝟎, 𝟏, 𝟏) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace les coordonnées de A Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (∆)
dans 𝒙 + 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝟎 + 𝟏 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = −𝟏 𝒙 = −𝟏 + 𝟏 × 𝒕
( )
(∆) : { 𝒚 = 𝟏 + 𝟎 × 𝒕 , 𝒕 ∈ 𝑰𝑹
D’où (𝑨𝑩𝑪): 𝒙 + 𝒛 − 𝟏 = 𝟎
𝒛=𝟐+𝟏×𝒕
2. Soit (S) la sphère de centre Ω(𝟏, 𝟏, 𝟐) et de rayon 𝑹 = √𝟐 𝒙 = −𝟏 + 𝒕
(𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
Déterminer une équation de la sphère (S) Donc (∆): { 𝒚 = 𝟏 est une représentation
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺) 𝒛=𝟐+𝒕
𝟐
paramétrique de la droite (∆)
( ) ( ) 𝟐 ( ) 𝟐 ( ) 𝟐
Donc 𝑺 : 𝒙 − 𝟏 + 𝒚 − 𝟏 + 𝒛 − 𝟐 = √𝟐
D’où (𝑺): (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟏)𝟐 + (𝒛 − 𝟐)𝟐 = 𝟐
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b. Montrer que la droite (∆) est tangente à la sphère (S) en un Solution de l’exercice 02 (3 Points )
point D dont on déterminera les cordonnées. On considère le point A d’affixe 𝒂 = −𝟏 − 𝒊√𝟑, le point B d’affixe
Rappel : Position relative d’une sphère et une droite
𝒃 = −𝟏 + 𝒊√𝟑 et la translation t de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑨
Soit (S) une sphère de centre 𝛀 et d rayon R
1. Prouver que l’affixe du point D image du point B par la
𝒆𝒕 (∆) la droite passant par le point A et de vecteur
directeur⃗⃗⃗𝑼(𝜶; 𝜷; 𝜸). Pour déterminer les cordonnées des points translation t est 𝒅 = −𝟐
d’intersections de sphère (S) et la droite (∆) Rappel :de vecteur 𝒖 ⃗ (𝒛𝒖⃗ )
on résoudre le système suivant : Soit M’(z’) l’image de point M(z) par translation 𝑻𝒖⃗ de vecteur
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝜶𝒕 ⃗ d’affixe 𝒛𝒖⃗
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝒖
(∆): {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝜷𝒕
{ 𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝜸𝒕 l’écriture complexe du translation 𝑻𝒖⃗
(𝑺) : (𝒙 − 𝒙𝛀 )𝟐 + (𝒚 − 𝒚𝛀 )𝟐 + (𝐳 − 𝒛𝛀 )𝟐 = 𝑹𝟐 𝑻𝒖⃗ (𝑴) = 𝑴′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐌𝐌′ = 𝑼 ⃗⃗
Soit 𝑫(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (∆) ∩ (𝑺) ⇔ 𝒛′ = 𝒛 + 𝒛𝒖⃗
𝒙 = −𝟏 + 𝒕 𝒕⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ( ) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝑶𝑨 𝑩 = 𝐃 ⇔ 𝐁𝐃 = 𝑶𝑨
(∆): { 𝒚 = 𝟏 ⇔ 𝐝−𝐛=𝒂
Donc {
𝒛=𝟐+𝒕
⇔ 𝐝=𝒂+𝒂
(𝑺) : (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟏)𝟐 + (𝐳 − 𝟐)𝟐 = 𝟐
⇔ 𝐝 = −𝟐
Donc (−𝟏 + 𝒕 − 𝟏)𝟐 + (𝟏 − 𝟏)𝟐 + (𝟐 + 𝐭 − 𝟐)𝟐 = 𝟐 𝟐𝝅
Donc (𝒕 − 𝟐)𝟐 + 𝒕𝟐 − 𝟐 = 𝟎 2. On considère la rotation R de centre D et d’angle ( ).
𝟑
Donc 𝒕𝟐 − 𝟒𝐭 + 𝟒 + 𝒕𝟐 − 𝟐 = 𝟎 donc 𝟐𝒕𝟐 − 𝟒𝐭 + 𝟐 = 𝟎 Montrer que l’affixe du point C image du point B par la rotation R
Donc 𝟐(𝒕 − 𝟏)𝟐 = 𝟎 donc 𝒕 − 𝟏 = 𝟎 donc 𝒕 = 𝟏 est 𝒄 = −𝟒
𝒙 = −𝟏 + 𝒕 𝒙=𝟎 Rappel :Soit M’(z’) l’image du point M(z) par la Rotation R de
On remplace 𝒕 = 𝟏 donc { 𝒚 = 𝟏 , on trouve :{𝒚 = 𝟏 centre 𝜴(𝝎) 𝒆𝒕 𝒅′ 𝒂𝒏𝒈𝒍𝒆 𝜽
𝒛=𝟐+𝒕 𝒛=𝟑 l’écriture complexe de la Rotation R est
Donc la droite (∆) est tangente à la sphère (S) en un point D(0 ;1 ;3)
𝛀𝐌 = 𝛀𝐌′
c. Calculer le produit scalaire⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ ), puis déduire la
𝑨𝑪. (𝒊 + 𝒌 𝑹(𝑴) = 𝑴′ ⇔ {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝛀𝐌 𝛀𝐌′ ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅]
𝑨𝑪. (𝒊 + ⃗𝒌) = 𝟎 𝐜𝐚𝐫⃗⃗⃗⃗⃗⃗
distance 𝒅(𝑨, (∆)) ; On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 ⊥ (𝒊 + ⃗𝒌) ou bien
−𝟏 𝟏 −𝟏 𝟎 ⇔ 𝒛′ − 𝝎 = 𝒆𝒊𝜽 (𝒛 − 𝝎)
𝑨𝑪. (𝒊 + ⃗𝒌) = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪. ⃗𝒌 = ( 𝟎 ) . (𝟎) + ( 𝟎 ) . (𝟎) = −𝟏 + 𝟏 = 𝟎
𝑨𝑪. 𝒊 + ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝟐𝝅
𝑹(𝑩) = 𝐂 ⇔ 𝒄 − 𝒅 = 𝒆𝒊 𝟑 (𝒃 − 𝒅)
𝟏 𝟎 𝟏 𝟏 𝟐𝝅
Donc (𝑨𝑪) ⊥ (∆) de plus les droites sont sécante en C ⇔ 𝒄 = 𝒆𝒊 𝟑 (𝒃 − 𝒅) + 𝒅
Donc la projection orthogonale de A sur (∆) est 𝑪 𝟏
⇔ 𝒄 = (−𝟏 + 𝒊√𝟑)(−𝟏 + 𝒊√𝟑 + 𝟐) − 𝟐
𝒅(𝑨, (∆)) = 𝑨𝑪 = √(−𝟏)𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟏𝟐 = √𝟐 𝟐
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𝟏 Solution de l’exercice 03 (3 Points )
⇔ 𝒄 = (−𝟏 + 𝒊√𝟑)(𝟏 + 𝒊√𝟑) − 𝟐
𝟐 L’univers 𝛀 associé à cette expérience
𝟏
⇔ 𝒄 = (−𝟑 − 𝟏) − 𝟐 aléatoire est l’ensemble des combinaisons B R R R R
𝟐 de trois boules parmi dix boules
⇔ 𝒄 = −𝟒
𝒃−𝒄
Donc le nombre des possibilités est B B V V V
3. a. Ecrire le nombre sous forme trigonométrique. 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟏𝟎 =
𝟏𝟎×𝟗×𝟖
= 𝟏𝟐𝟎 n
𝒂−𝒄
𝟑×𝟐
√𝟑 𝟏 𝝅
𝒃 − 𝒄 𝟑 + 𝒊√𝟑 𝟑√𝟑 ( 𝟐
+ 𝟐 𝒊) 𝒆 𝒊
𝝅 𝝅 𝟏
1. Montrer que 𝒑(𝑨) = ; où A est l’évènement « N’obtenir aucune
𝝅 𝝅 𝝅 𝟔
𝒊( + ) 𝒊
= = = 𝝅 = 𝒆 𝟔 𝟔 = 𝒆 𝟑 = (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊𝒔𝒊𝒏 ) 𝟔
𝒂 − 𝒄 𝟑 − 𝒊√𝟑 𝟑√𝟑(√𝟑 − 𝟏 𝒊) 𝒆−𝒊𝟔 𝟑 𝟑 𝟔×𝟓×𝟒
𝟐 𝟐 boule rouge ». D𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) = 𝑪𝟑𝟔 = = 𝟐𝟎
𝟑×𝟐
𝒃−𝒄 𝟐 𝒄−𝒅
b. En déduire que ( ) = 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝟐𝟎 𝟏
𝒂−𝒄 𝒃−𝒅
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨) = = =
𝒊
𝟐𝝅 𝒄−𝒅 𝒊
𝟐𝝅
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟔
On a 𝑹(𝑩) = 𝐂 ⇔ 𝒄 − 𝒅 = 𝒆 𝟑 (𝒃 − 𝒅) , donc =𝒆 𝟑
𝒃−𝒅
𝟐 2. Calculer 𝒑(𝑩) ; où B est l’évènement « Obtenir trois boules
𝒃−𝒄 𝝅
𝒃−𝒄 𝟐 𝝅
𝒃−𝒄 𝟐 𝟐𝝅
Et on a 𝒂−𝒄 = 𝒆𝒊𝟑 donc (𝒂−𝒄) = (𝒆𝒊𝟑 ) donc (𝒂−𝒄) = 𝒆𝒊 𝟑 blanches ou trois boules vertes ».
𝒃−𝒄 𝟐
D’où ( ) =
𝒄−𝒅
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) = 𝑪𝟑𝟑 + 𝑪𝟑𝟑 = 𝟏 + 𝟏 = 𝟐
𝒂−𝒄 𝒃−𝒅
4. Soient (ℾ) le cercle de centre D et de rayon 2, (ℾ′) le cercle de 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝟐 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩) = = =
centre O et de rayon 4 et M un point d’affixe z appartenant aux 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟔𝟎
𝟏
deux cercles (ℾ) et (ℾ′) 3. Montrer que 𝒑(𝑪) = ; où C est l’évènement « Obtenir
𝟐
a. Vérifier que : |𝒛 + 𝟐| = 𝟐 exactement une boule rouge». (𝑹 ; 𝑹̅ ;̅̅̅̅
𝑹)
𝑴(𝒛) ∈ (ℾ) ⇔ 𝐌𝐃 = 𝟐 ⇔ |𝒛 − (−𝟐)| = 𝟐 ⇔ |𝒛 + 𝟐| = 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪) = 𝑪𝟏𝟒 × 𝑪𝟐𝟔 = 𝟒 × 𝟏𝟓 = 𝟔𝟎
b. Prouver que 𝒛 + 𝒛 = −𝟖 (remarquer que |𝒛| = 𝟒)
|𝒛 + 𝟐| = 𝟐 ⇔ |𝒛 + 𝟐|𝟐 = 𝟒 ⇔ (𝒛 + 𝟐)(𝒛 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
+ 𝟐) = 𝟐 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪) 𝟔𝟎 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑪) = = =
⇔ (𝒛 + 𝟐)(𝒛̅ + 𝟐) = 𝟒 ⇔ 𝐳𝒛̅ + 𝟐(𝒛 + 𝒛̅) + 𝟒 = 𝟒 ⇔ 𝐳𝒛̅ + 𝟐(𝒛 + 𝒛̅) = 𝟎 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟐
Et on a 𝑴 ∈ (ℾ′) 𝒅𝒐𝒏𝒄 |𝒛| = 𝑶𝑴 = 𝟒 𝒅𝒐𝒏𝒄|𝒛|𝟐 = 𝟏𝟔 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐳𝒛̅ = 𝟏𝟔 4. Calculer 𝒑(𝑫) ; où D est l’évènement « Obtenir au moins deux
D’où 𝐳𝒛̅ + 𝟐(𝒛 + 𝒛̅) = 𝟒 ⇔ 𝟏𝟔 + 𝟐(𝒛 + 𝒛̅) = 𝟒 ⇔ 𝒛 + 𝒛 = −𝟖 boules rouges ».
c. En déduire que les cercles (ℾ) et (ℾ′) se coupent en un point L’événement contraire de D est A « N’obtenir aucune boule rouge »
unique qu’on déterminera. ou C « Obtenir trois boules blanches ou trois boules vertes ».
𝟏 𝟏 𝟐
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝒛 + 𝒛 = −𝟖 ⇔ 𝟐𝐑𝐞(𝐳) = −𝟖 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐑𝐞(𝐳) = −𝟒 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒑(𝑫 ̅ ) = 𝒑(𝑨) + 𝒑(𝑪) = + =
𝟔 𝟐 𝟑
Et on a |𝒛| = 𝟒 donc la partie imaginaire de z et 0 donc 𝒛 = −𝟒 = 𝒄
𝟐 𝟏
D’où les cercles (ℾ) et (ℾ′) se coupent en un point unique 𝑪(−𝟒) 𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐃) = 𝟏 − 𝒑(𝑫 ̅) = 𝟏 − =
𝟑 𝟑
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Solution de l’exercice 04 (2.5 Points ) Solution de problème (6.5 Points )
𝒙 𝟐
On considère la fonction h définie sur ℝ par : 𝒉(𝒙) = (𝒙 + 𝟏)𝒆 𝒙
La fonction f définie sur ℝ par : 𝒇 ( 𝒙) = 𝒙 (𝒆 𝟐 − 𝟏)
1.a. Vérifier que 𝒙 ↦ 𝒙𝒆𝒙 est une primitive de la fonction h sur ℝ ;
𝟎 1. Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙)
puis calculer 𝑰 = ∫−𝟏 𝒉(𝒙)𝒅𝒙. Soit 𝒙 ∈ ℝ, on pose 𝑯(𝒙) = 𝒙𝒆𝒙 𝒙→+∞ 𝒙→−∞
𝒙 𝟐
La fonction H est dérivable sur ℝ est on a : 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝑯′ (𝒙) = 𝟏 × 𝒆𝒙 + 𝒙𝒆𝒙 = (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 = 𝒉(𝒙) 𝒙
𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 𝒙 = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒆𝟐 − 𝟏 = +∞
Donc 𝒙 ↦ 𝒙𝒆𝒙 est une primitive de la fonction h sur ℝ 𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝟎 𝒙 𝟐
𝑰 = ∫ 𝒉(𝒙)𝒅𝒙 = [𝐇(𝐱)]𝟎−𝟏 = 𝑯(𝟎) − 𝑯(−𝟏) = 𝟎 − (−𝒆 −𝟏 ) −𝟏
=𝒆 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 (𝒆 − 𝟏) = −∞𝟐
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
−𝟏 𝒙 𝟐
b. A l’aide I.P.P calculer 𝑱 =
𝟎
∫−𝟏(𝒙 )𝟐 𝒙
+ 𝟏 𝒆 𝒅𝒙 ; Posons 𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 𝒙 = −∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 (𝒆𝟐 − 𝟏) = (𝟎 − 𝟏)𝟐 = 𝟏
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
′ (𝐱) ′ (𝐱 𝒇(𝒙)
𝐮(𝐱) = (𝒙 + 𝟏 )𝟐 𝐮 = 𝟐(𝐱 + 𝟏) + 𝟏) = 𝟐(𝐱 + 𝟏) 2. Calculer 𝐥𝐢𝐦 et interpréter géométriquement le résultat
{ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 { 𝒙→+∞ 𝒙
𝐯 ′ (𝐱) = 𝐞𝐱 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱 𝒙 𝟐
Il s’ensuit donc : 𝒇(𝒙) 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) 𝒙 𝟐
𝟎 𝟎 𝐱 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 (𝒆𝟐 − 𝟏) = +∞
𝑱 = ∫−𝟏(𝒙 + 𝟏)𝟐 𝒆𝒙 𝒅𝒙 = [(𝒙 + 𝟏)𝟐 𝐞𝐱 ]𝟎−𝟏 − ∫−𝟏 𝟐(𝐱 + 𝟏)𝐞 𝐝𝐱 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞

= 𝟏 − 𝟐𝐈 = 𝟏 − 𝒆−𝟏 Donc (𝑪𝒇 )admet branche parabolique de direction (𝑶𝒚 ) Au


2. a. Résoudre l’équation différentielle (𝑬): 𝒚′′ − 𝟐𝒚′ + 𝒚 = 𝟎 voisinage de +∞
3. a. Montrer que la droite (∆) d’équation 𝒚 = 𝒙 est asymptote à la
L’équation caractéristique associée à(𝐄𝟐 ) est 𝒓𝟐 − 𝟐𝒓 + 𝟏 = 𝟎
courbe (C) au voisinage de −∞
On a ∆= 𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟏 = 𝟎 𝒙 𝟐
Donc l’équation caractéristique 𝒓𝟐 − 𝟒𝒓 + 𝟐 = 𝟎 , admet une 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) − 𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) − 𝒙
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
𝟐 𝒙 𝟐
solution réel unique 𝒓𝟎 = =𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 ((𝒆𝟐 ) − 𝟐𝒆𝟐 + 𝟏) − 𝒙
𝒙
𝟐×𝟏
𝒙→−∞
Et par suite les solutions de l’équation (𝑬) sont les fonctions y 𝒙 𝟐 𝒙
définie sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = (𝜶𝒙 + 𝜷)𝒆 𝒙 ; 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ = 𝐥𝐢𝐦 𝒙 [(𝒆𝟐 ) − 𝟐𝒆𝟐 + 𝟏 − 𝟏]
𝒙→−∞
b. Montrer que la fonction h est la solution de (𝑬) qui vérifie les 𝒙 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒆𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟐) = 𝟎
conditions 𝒉(𝟎) = 𝟏 et 𝒉′(𝟎) = 𝟐 𝒙
𝒙→−∞
𝒙
On remarque que pour 𝜶 = 𝟏 𝒆𝒕 𝜷 = 𝟏 la fonction h est une 𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦 𝒙𝒆 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒆𝟐 = 𝟎
𝟐
𝒙→−∞ 𝒙→−∞
solution de l’équation (𝑬) de plus on a 𝒉(𝟎) = 𝟏 Donc la droite (∆) d’équation 𝒚 = 𝒙 est asymptote à la courbe (C)
Et on a : 𝒉′ (𝒙) = 𝟏 × 𝒆𝒙 + (𝒙 + 𝟏)𝒆𝒙 = (𝒙 + 𝟐)𝒆𝒙 donc 𝒉’(𝟎) = 𝟐 au voisinage de −∞
D’où la fonction h est la solution de (𝑬) qui vérifie les conditions b. Etudier le signe de (𝒇(𝒙) − 𝒙) pour tout x de ℝ et en déduire la
𝒉(𝟎) = 𝟏 et 𝒉′(𝟎) = 𝟐 position relative de la courbe (C) et la droite (∆)
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𝒙
Soit 𝒙 ∈ ℝ b. Vérifier que 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎 pour tout x de ℝ puis en déduire le
𝒙 𝒙
𝒇(𝒙) − 𝒙 = 𝒙𝒆𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟐) , d’après la question précédente signe de la fonction dérivée 𝒇′ sur ℝ
𝒙 𝒙
𝒇(𝒙) − 𝒙 = 𝟎 ⇔ 𝒙𝒆 (𝒆 − 𝟐) = 𝟎
𝟐 𝟐 Soit 𝒙 ∈ [𝟎; +∞[
𝒙 𝒙 𝒙 𝒙
𝒙 𝒙
𝒙 ≥ 𝟎 ⇔ ≥ 𝟎 ⇔ 𝒆𝟐 ≥ 𝟏 ⇔ 𝒆𝟐 − 𝟏 ≥ 𝟎 ⇔ 𝒙(𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎
⇔ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 (𝒆𝟐 − 𝟐) = 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝒆𝟐 > 𝟎 𝟐
𝒙 Soit 𝒙 ∈ −∞; 𝟎]
]
⇔ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝒆𝟐 = 𝟐
𝒙
⇔ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝒍𝒏( 𝒆𝟐 ) = 𝒍𝒏(𝟐 ) 𝒙 𝒙 𝒙 𝒙

𝒙 𝒙≤𝟎 ⇔ ≤ 𝟎 ⇔ 𝒆𝟐 ≤ 𝟏 ⇔ 𝒆𝟐 − 𝟏 ≤ 𝟎 ⇔ 𝒙(𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎
⇔ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 = 𝒍𝒏(𝟐 ) 𝟐
𝒙
𝟐 D’où ∀𝒙 ∈ ℝ: 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎
⇔ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝒙 = 𝟐𝒍𝒏(𝟐 )
𝒙 𝒙 𝒙 𝟐
𝒙 −∞ 𝟎 𝟐𝒍𝒏𝟐 On a 𝒙 (𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎 et 𝒆𝟐 > 𝟎 et (𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎
+∞ 𝒙 𝟐 𝒙 𝒙
𝒙 − 𝟎 + + D’où ∀𝒙 ∈ ℝ: 𝒇′ (𝒙) = (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝒙𝒆𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟏) ≥ 𝟎
𝒙
(𝒆𝟐 − 𝟐) − − − 𝟎
+
c. Dresser le tableau des variations de la fonction f sur ℝ
𝒇(𝒙) − 𝒙 − 𝟎 − 𝟎 +
Position (C) est (C) est ( C) est la fonction f est strictement croissante sur ℝ
Relative En dessus O en dessous A au- x −∞ +∞
dessus
de (∆) dessous de (∆) de (∆) 𝒇′ (𝒙) +
Les points 𝑶(𝟎 ; 𝟎) et 𝑨(𝟐𝒍𝒏𝟐 ; 𝟐𝒍𝒏𝟐) sont des point d’intersections +∞
𝒙 𝟐 𝒙 𝒙 𝒇(𝒙)
4. a. Montrer que 𝒇′ (𝒙) = (𝒆 − 𝟏) + 𝒙𝒆 (𝒆 − 𝟏) pour tout x de ℝ
𝟐 𝟐 𝟐 −∞
Soit 𝒙 ∈ ℝ
La fonction f est dérivable sur ℝ comme composée de deux fonctions 𝟏 𝒙 𝒙
5. a) Montrer que 𝒇′′ (𝒙) = 𝒆𝟐 𝒈(𝒙) ; où 𝒈(𝒙) = (𝟐𝒙 + 𝟒)𝒆𝟐 − 𝟒
dérivable sur ℝ 𝟐
𝒙 𝟐 𝒙 𝒙 𝟏 Soit 𝒙 ∈ ℝ
𝒇′ (𝒙) = 𝟏 × (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝟐𝒙(𝒆𝟐 − 𝟏)′ (𝒆𝟐 − 𝟏) 𝒙 𝟐 𝒙 𝒙 𝒙 𝟐 𝒙
On a 𝒇′ (𝒙) = (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝒙𝒆𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟏) = (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝒙 (𝒆𝒙 − 𝒆𝟐 )
𝒙 𝟐 𝟏 𝒙 𝒙
= (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝟐 × 𝒙𝒆𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟏) 𝒙 𝒙 𝟏 𝒙 𝟏 𝒙
𝟐 ′ ( )
𝒇 ′ 𝒙 = 𝟐(𝒆 − 𝟏)′
𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝟏 × (𝒆𝒙 − 𝒆𝟐 ) + 𝒙(𝒆𝒙 − 𝒆𝟐 )
𝒙 𝟐 𝒙 𝒙 𝟐
= (𝒆𝟐 − 𝟏) + 𝒙𝒆𝟐 (𝒆𝟐 − 𝟏)
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𝟏 𝒙 𝒙 𝟏 𝒙 𝒙 𝟏 𝒙 𝒙 6) Construire la courbe (C) dans le repère (𝑶, 𝒊, 𝒋)
= 𝒆𝟐 (𝟐𝒆𝟐 − 𝟐) + 𝒆𝟐 (𝟐𝒆𝟐 − 𝟐) + 𝒆𝟐 𝒙(𝟐𝒆𝟐 − 𝟏)
𝟐 𝟐 𝟐 (On prend : 𝐥𝐧(𝟒) ≅ 𝟏, 𝟒 ; 𝜶 ≅ −𝟒, 𝟓 et 𝒇(𝜶) = −𝟑, 𝟓)
𝟏 𝒙 𝒙 𝒙 𝒙
= 𝒆𝟐 (𝟐𝒆𝟐 − 𝟐 + 𝟐𝒆𝟐 − 𝟐 + 𝟐𝒙𝒆𝟐 − 𝒙)
𝟐
𝟏 𝒙 𝒙
= 𝒆𝟐 ((𝟐𝒙 + 𝟒)𝒆𝟐 − 𝟒 )
𝟐
𝟏
= 𝒈(𝒙) (C)
𝟐

b) A partir de la courbe ci-


contre de la fonction g,
déterminer le signe de
𝒈(𝒙) sur ℝ
(remarque : 𝒈(𝜶) = 𝟎) y=x
D’après la courbe on a :
∀𝒙 ∈ ℝ: ]−∞; 𝜶]: 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎 Ln 4
∀𝒙 ∈ ℝ: [𝜶; 𝟎]: 𝒈(𝒙) ≤ 𝟎
∀𝒙 ∈ ℝ: [𝜶; +∞[: 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎

c) Etudier la concavité de la courbe (C) et déterminer les


Ln 4
abscisses des deux points d’inflexions.
𝟏 𝒙
Soit 𝒙 ∈ ℝ on a 𝒇′′ (𝒙) = 𝒆𝟐 𝒈(𝒙) donc le signe de f’’ est celui de g
𝟐
On a ∀𝒙 ∈ ℝ: ]−∞; 𝜶] ∪ [𝜶; +∞[: 𝒇′′(𝒙) ≥ 𝟎 donc la fonction f est
convexe ∪ sur l’intervalle ]−∞; 𝜶] et l’intervalle [𝜶; +∞[

Et on a ∀𝒙 ∈ ℝ: [𝜶; 𝟎]: 𝒇′′(𝒙) ≤ 𝟎 donc la fonction f est concave ∩ sur


l’intervalle[𝜶; 𝟎] ;

La fonction 𝒇′′ s’annule en 𝜶 et 0 en changeant de signe


D’où les points d’abscisses 𝜶 ; 0 sont des points d’inflexions de(C)
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7) a) Montrer que la fonction f admet une fonction réciproque b) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est décroissante
𝒇−𝟏 définie sur ℝ Soit n un entier naturel,
On a la fonction la fonction f est continue sur ℝ car elle est 𝑶𝒏 𝒂: (∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[): 𝒇(𝒙) − 𝒙 ≤ 𝟎 , d’après 3)b)
dérivable sur ℝ et 𝒖𝒏 ∈ ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[ d’après 8)a)
Et on a la fonction f est strictement croissante sur ℝ Donc on pose 𝒙 = 𝒖𝒏 , on trouve 𝒇(𝒖𝒏 ) − 𝒖𝒏 ≤ 𝟎 donc 𝒇(𝒖𝒏 ) ≤ 𝒖𝒏

Donc la fonction f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie sur 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏 ; d’où la suite (un) est décroissante

𝑱 = 𝒇(ℝ) = ℝ c) En déduire que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente

b) Calculer (𝒇−𝟏 )′(𝐥𝐧 𝟒) La suite (un) est décroissante et minorée par 0 donc elle est

On a 𝒇(𝐥𝐧 𝟒) = 𝒍𝒏(𝟒) et a 𝒇′(𝐥𝐧 𝟒) = 𝟏 + 𝟐 𝒍𝒏 𝟒 ≠ 𝟎 convergente.


𝟏 𝟏 d) Calculer la limite de la suite (𝒖𝒏 )
Donc (𝒇−𝟏 )′(𝐥𝐧 𝟒) = =
𝒇′ (𝐥𝐧 𝟒) 𝟏+𝟐 𝒍𝒏 𝟒
 La fonction f est continue sur l’intervalle ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[ ; car elle est
8) Soit (𝒖𝒏 ) la suite numérique définie par :
dérivable sur ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[
𝒖𝟎 = 𝟏 et 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒇(𝒖𝒏 ) pour tout n de ℕ
 𝒇(]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[) = ]𝒇(𝟎); 𝒇(𝒍𝒏 𝟒)[ = ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[ ⊂ ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[
a) Montrer par récurrence que 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝐥𝐧 𝟒 pour tout n de ℕ
 𝐮𝟎 = 𝟏 ∈ [𝟎; 𝟏]
 Pour n=0 on a 𝟎 < 𝒖𝟎 = 𝟏 < 𝒍𝒏 𝟒
 La suite (un) est convergente
La propriété est donc vraie pour n = 0
Alors la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est L la solution de
 Soit n un entier naturel,
l’équation 𝒇(𝒙) = 𝒙
Supposons que 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝒍𝒏 𝟒 et montrons que 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝒍𝒏 𝟒.
𝒇(𝒙) = 𝒙 ⟺ 𝒇(𝒙) − 𝒙 = 𝟎
On sait que la fonction 𝒇 est strictement croissante sur
⟺ 𝒙 = 𝟎 𝒐𝒖 𝒙 = 𝒍𝒏 𝟒 , 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏𝟑𝒃)
l’intervalle ]𝟎; 𝒍𝒏 𝟒[ et 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝒍𝒏 𝟒 , donc ;
Et comme la suite (𝐮𝐧 ) est décroissante alors la limite de la suite
𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏 ⟹ 𝒇(𝟎) < 𝒇(𝒖𝒏 ) < 𝒇(𝒍𝒏 𝟒)
(𝐮𝐧 ) est 0
⟹ 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝒍𝒏 𝟒
D'après le principe de récurrence, on a : (∀𝒏 ∈ ℕ) 𝟎 ≤ 𝒖𝒏 ≤ 𝒍𝒏𝟒
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Maths Durée 3 heurs Modèle 01 2 BAC BIOF Maths Durée 3 heurs Modèle 01 2 BAC BIOF 1
INSTRUCTIONS GENERALE 03p Exercice 02
 L’utilisation de la calculatrice non programmable est Une urne contient 𝟗 boules
autorisée 5 boules rouges numérotées 0;1;1;1;2 et 4 boules vertes
 Le candidat peut traiter les exercices suivant l’ordre qui numérotées :0;1;1;2, sont indiscernables au toucher.
lui convient On tire simultanément 3 boules de ce sac
 L’utilisation du couleur rouge lors de la rédaction des 1) On considère les événements suivants:
solutions est à éviter 𝑨: " Obtenir 3 boules portant des numéros pairs”
Exercice 1 Suites numériques 3 points 𝑩 “Obtenir 3 boules dont la somme des numéros est égale à 3
3 points
Exercice 2 Probabilités 3 points 𝑪 “Obtenir 3 boules vertes”
5 points
𝟏 𝟓
Exercice 3 Géométrie dans l’espace 3 points 3 points
0.5 b) Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) =
𝟐𝟏 𝟏𝟒
Exercice 4 Nombre complexe 3 points 9 points 𝟏 𝟏
b) Montrer que : 𝑷(𝑩 ∩ 𝑪) = et en déduire que 𝑷𝑩 (𝑪) =
Problème Etude d’une fonction exponentielle 8 points 0.5 𝟒𝟐 𝟏𝟓
2) Soit 𝑿 la variable aléatoire qui, à chaque tirage, associe le
03P produit des numéros obtenus.
Exercice 01
𝟓𝑼𝒏 −𝟒 0.5 a) Justifier que 𝑿(𝛀) = {𝟎; 𝟏; 𝟐; 𝟒}.
Soit (𝑼𝒏 ) une suite tel que 𝑼𝟎 = 𝟒 et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 = 0.5 𝟕
𝑼𝒏 +𝟏 b) Montrer que 𝑷(𝑿 = 𝟎) =
𝟏𝟐
0.5 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 > 𝟐
c) Calculer 𝑷(𝑿 = 𝟏), puis déterminer la loi de probabilité 𝑿.
−(𝑼𝒏−𝟐)𝟐 1
0,25 2) Montrer que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = Exercice 03
𝑼𝒏+𝟏 03p
0.5
3) Montrer que (𝑼𝒏 ) est convergente L’espace est rapporté à un repère orthonormé (𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌)
𝟏
4) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝑽𝒏 = On considère les points : 𝑨(𝟏; 𝟏; 𝟎) ; 𝑩(𝟎; 𝟐; 𝟎) ; 𝑪(𝟎; 𝟎; 𝟑).
𝑼𝒏 −𝟐
𝟏 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
1) a) Déterminer les coordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪.
a) Monter que (𝑽𝒏 ) est une suite arithmétique de raison 0.25
𝟑 b) Déterminer une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪)
0.5 b) Calculer (𝑽𝒏 ) en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ 0.5
2) Soit (𝑫) la droite passant par le point 𝑨 de vecteur
𝟒𝒏+𝟏𝟐
0.25 c) déduire que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 = et déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏 ⃗ (𝟏; 𝟏; −𝟑)
directeur 𝒖
𝟐𝐧+𝟑 𝐱→+∞
0.5 5) Pour tout n dans ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝑽𝟎 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑽𝒏 𝑼𝒏 a) Montrer que (𝑫) 𝒆𝒕 (𝑨𝑩𝑪) sont orthogonaux
0. 5
𝒏𝟐 +𝟕𝒏+𝟔 0. 25 b) Déterminer une représentation paramétrique de (𝑫)
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑺𝒏 =
𝟑 c) Déterminer les cordonnées de point H l’intersection de
0.5 0. 5 (𝑨𝑩𝑪) 𝐞𝐭 (𝑫)
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MathS Durée 3 heurs Modèle 01 2 BAC BIOF 3 Maths Durée 3 heurs Modèle 01 2 BAC BIOF 2
08P Problème
3) Soit (𝑺𝜶 ) la sphère d’équation cartésienne : A) Soit g une fonction définit sur ℝ par 𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
𝟓 0.5 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝒙 − 𝟐𝒚 + − 𝜶 = 𝟎 𝐱→−∞ 𝐱→+∞
𝟒 0.5 2)Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈 𝐱) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
′(
Avec 𝜶 est un réel strictement positif. 0.5 3) Dresser le tableau de variations de g puis montrer que :
0.5 a) Déterminer en fonction de 𝜶, le centre 𝛀 et le rayon 𝑹
(∀𝐱 ∈ ℝ) ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
de la sphère (𝑺𝜶 ).
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙
0.5 b) Déterminer la valeur de 𝜶 pour la quelle le plan (𝑨𝑩𝑪)
(𝐂𝐟 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝐎 ; 𝐢 ; 𝐣) (Unité:1cm)
est tangente à la sphère (𝑺𝜶 )
0.5 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
03P Exercice 04 0.5 2) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ); : 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱)
b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ
On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮
⃗ ; 𝐯⃗) , les points 0.5 3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝐀(𝐚); 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) et 𝐃(𝐝) tels que : b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) en précisant
𝐚 = −𝟒 ; 𝐛 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 ; 𝐜 = −𝐢𝐛 et 𝐝 = (𝟏 − 𝐢)𝐛 0.5 leur point d’intersection
𝐟(𝐱)
1) a) Déterminer la forme trigonométrique de b 4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis déterminer la branche
0.25 0.5 𝐱→−∞ 𝐱
0.25 b) En déduire la forme trigonométrique de c infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
𝛑
2) Soit la rotation R de centre O et d’angle − 0.5 5) a) Montrer que la courbe (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion
0.5 𝟐
a) Déterminer l’image de points B par la rotation R unique de coordonnées (𝟐; 𝟐)
0.25 b) En déduire la nature du triangle OBC b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point
0.25
3) Vérifier que 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 0.5 d’abscisse 2
0.5 4) Montrer que le quadrilatère OCDB est un carré 0.5 6) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique
5) a) Montrer que : 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄 solution 𝛂 tel que : 0 < 𝛂 < 𝟏
0.5 1 7) Construire (T) ; (∆) et (𝐂𝐟 ) dans le repère (𝑶; 𝒊; 𝒋)
0.5 b) En déduire que les points A ; B et D sont alignés
𝟐
8) a) Par une intégration par partie calculer ∫𝟎 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒅𝒙
0.75
b) Calculer l’aire du domaine plan limité par la courbe
0.75 (𝑪𝒇 ) , la droite (∆) et les droites x=0 et x=𝟐
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𝟏
Solution d’exercice 01 (3 points) 2) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝑽𝒏 =
𝟓𝑼𝒏 −𝟒 𝑼𝒏 −𝟐
Soit (𝑼𝒏 ) une suite tel que 𝑼𝟎 = 𝟒 et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 = 𝟏
𝑼𝒏 +𝟏 a) Monter que (𝑽𝒏 ) est une suite arithmétique de raison
𝟑
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 > 𝟐
Rappel :
 Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟒 > 𝟐 , qui est vraie (𝑼𝒏 ) géométrique (𝑼𝒏 ) arithmétique
 Soit n un entier naturel,
Définition : Définition :
Supposons que 𝒖𝒏 > 𝟐 et montrons que 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐.
𝑼𝒏+𝟏 = 𝒒 𝑼𝒏 𝑼𝒏+𝟏 − 𝑼𝒏 = 𝒓
𝟓𝑼𝒏 − 𝟒
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 = −𝟐 𝑼𝒏 en fonction de n 𝐔𝐧 en fonction de n
𝑼𝒏 + 𝟏
𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 × 𝒒𝒏−𝒑 𝑼𝒏 = 𝑼𝒑 + (𝒏 − 𝒑)𝒓
𝟓𝑼𝒏 − 𝟒 − 𝟐(𝒖𝒏 + 𝟏) 𝟑𝒖𝒏 − 𝟔
= = Cas particulier : Cas particulier :
𝑼𝒏 + 𝟏 𝑼𝒏 + 𝟏
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 × 𝒒𝒏 𝑼𝒏 = 𝑼𝟎 + 𝒏𝒓
= Soit n un entier naturel,
𝑼𝒏 + 𝟏
𝟏 𝟏
On a 𝒖𝒏 > 𝟐 donc 𝒖𝒏 + 𝟏 > 𝟑 donc 𝒖𝒏 + 𝟏 > 𝟎 𝒗𝒏+𝟏 − 𝒗𝒏 = −
𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 𝒖𝒏 − 𝟐
Et on a 𝒖𝒏 > 𝟐 donc 𝒖𝒏 − 𝟐 > 𝟎 donc 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) > 𝟎
𝟑(𝒖𝒏 −𝟐) 𝟏 𝟏
Donc > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐 = 𝟑(𝒖𝒏−𝟐) −
𝑼𝒏+𝟏 𝒖𝒏 − 𝟐
𝒖𝒏 +𝟏
D'après le principe de récurrence, on a : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 > 𝟐
𝒖𝒏 + 𝟏 𝟑
2) Soit n un entier naturel, = −
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐)
𝟓𝑼𝒏 − 𝟒
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏 𝒖𝒏 + 𝟏 − 𝟑 𝒖𝒏 − 𝟐 𝟏
𝑼𝒏 + 𝟏 = = =
𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) 𝟑(𝒖𝒏 − 𝟐) 𝟑
𝟓𝒖𝒏 − 𝟒 − 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟏)
= 𝟏
Donc (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 = et 𝒗𝟎 =
𝟏
=
𝟏
𝒖𝒏 + 𝟏 𝟑 𝒖𝟎 −𝟐 𝟐
𝟓𝒖𝒏 − 𝟒 − 𝒖𝟐𝒏 − 𝒖𝒏 Soit (𝑼𝒏 ) une suite tel que 𝑼𝟎 = 𝟒 et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝑼𝒏+𝟏 =
𝟓𝑼𝒏 −𝟒
= 𝑼 +𝟏
𝒏
𝒖𝒏 + 𝟏
b) Calculer (𝑽𝒏 ) en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ
−(𝒖𝟐𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 + 𝟒) −(𝒖𝒏 − 𝟐)𝟐 Soit n un entier naturel,
= = <𝟎
𝒖𝒏 + 𝟏 𝒖𝒏 + 𝟏 𝟏 𝟏
la suite (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 = et 𝒗𝟎 =
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎 𝟑 𝟐

Donc la suite (un) est décroissante Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 + 𝒓(𝒏 − 𝟎)


𝟏 𝟏
la suite (un) est décroissante et minorée par 2 donc elle est = + 𝒏
convergente 𝟐 𝟑
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𝟒𝒏+𝟏𝟐 (𝑼𝒏 ) géométrique (𝑼𝒏 ) arithmétique
c) déduire que (∀𝒏 ∈ ℕ) : 𝑼𝒏 = et déterminer 𝐥𝐢𝐦 𝑼𝒏
𝟐𝐧+𝟑 𝐱→+∞
Somme des termes Somme des termes
Soit n un entier naturel, 𝒏 𝒏
𝟏
Et on a : 𝒗𝒏 = donc : 𝑺𝒏 = ∑ 𝑼𝒌 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏 𝑺𝒏 = ∑ 𝑼𝒌 = 𝑼𝒑 + ⋯ + 𝑼𝒏
𝒖𝒏 +𝟐
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 + 𝟐𝒗𝒏 𝒌=𝒑 𝒌=𝒑
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒖𝒏 − 𝟐 = ⇒ 𝒖𝒏 = + 𝟐 ⇒ 𝒖𝒏 = 𝟏−𝒒 𝒏−𝒑+𝟏 (𝒏 − 𝒑 + 𝟏)(𝑼𝒑 + 𝑼𝒏 )
𝒖𝒏 − 𝟐 𝒗𝒏 𝒗𝒏 𝒗𝒏 = 𝑼𝒑 × =
𝟏 𝟏 𝟏−𝒒 𝟐
𝟏 + 𝟐( + 𝒏) Cas particulier : Cas particulier :
𝟐 𝟑
⇒ 𝒖𝒏 = 𝟏 𝟏 𝒏 𝒏
+ 𝒏 𝑺𝒏 = ∑ 𝑼𝒌 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏
𝟐 𝟑 𝑺𝒏 = ∑ 𝑼𝒌 = 𝑼𝟎 + ⋯ + 𝑼𝒏
𝟏𝟐 𝟒
+ 𝒏 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
⇒ 𝒖𝒏 = 𝟔 𝟔
𝟏 − 𝒒𝒏+𝟏 (𝒏 + 𝟏)(𝑼𝟎 + 𝑼𝒏 )
+ 𝒏
𝟑 𝟐
= 𝑼𝟎 × =
𝟔 𝟔 𝟏−𝒒 𝟐
𝟒𝒏 + 𝟏𝟐 Soit n un entier naturel,
⇒ 𝒖𝒏 =
𝟐𝐧 + 𝟑 𝟏
Déterminer la limite de la suite (𝒖𝒏 ) 𝒗𝒏 = ⇒ 𝒗𝒏 (𝒖𝒏 − 𝟐) = 𝟏 ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 − 𝟐𝒗𝒏 = 𝟏
𝒖𝒏 − 𝟐
𝟏𝟐
𝟒𝒏 + 𝟏𝟐 𝒏 (𝟒 + ) ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = 𝟏 + 𝟐𝒗𝒏
𝒏 𝒏 𝒏
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝟐𝐧 + 𝟑 𝒏→+∞ 𝟑
𝐧 (𝟐 + ) ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑(𝟏 + 𝟐𝒗𝒌 )
𝒏
𝟏𝟐 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
(𝟒 + 𝟒 ) 𝒏 𝒏 𝒏
𝒏
= 𝐥𝐢𝐦 = =𝟐 𝟑 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑ 𝟏 + 𝟐 ∑ 𝒗 𝒌
𝒏→+∞ (𝟐 + ) 𝟐
𝒏 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝟑 𝟏𝟐 𝒏
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 (𝒏 − 𝟎 + 𝟏)(𝒗𝟎 + 𝒗𝒏 )
𝒏→+∞ 𝒏 𝒏→+∞ 𝒏 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏 ) + 𝟐
4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏 𝟐
𝒌=𝟎
𝒏𝟐 +𝟕𝒏+𝟔 𝒏
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝑺𝒏 = 𝟏 𝟏 𝟏
𝟑 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏) + (𝒏 + 𝟏)( + + 𝒏)
Notation et rappel : 𝟐 𝟐 𝟑
𝒌=𝟎
𝒏 𝒏
𝟏 𝒏𝟐 + 𝟕𝒏 + 𝟔
𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏)(𝟏 + 𝟏 + 𝒏) =
𝟑 𝟑
𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝒏 𝒏
𝟏 𝒏𝟐 + 𝟕𝒏 + 𝟔
∑𝟏 = 𝟏 + 𝟏 + 𝟏 + ⋯+ 𝟏 = 𝒏 + 𝟏 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏)(𝟔 + 𝒏) =
𝟑 𝟑
𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
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Solution d’exercice 02 (3 points) 2) Soit 𝑿 la variable aléatoire qui, à chaque tirage, associe le
𝟏 𝟓 produit des numéros obtenus.
a) Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) =
𝟐𝟏 𝟏𝟒
a) Justifier que 𝑿(𝛀) = {𝟎; 𝟏; 𝟐; 𝟒}.
L’univers 𝛀 associé à cette expérience 1 1 1 2
(𝑿 = 𝟎)′′ Le produit des trois numéros obtenus est 0’’ (𝟎; 𝟎 ̅; 𝟎
̅)
aléatoire est l’ensemble des combinaisons 0 ′′
(𝑿 = 𝟏) Le produit des trois numéros est 1’’ (𝟏; 𝟏; 𝟏) ′′
de trois boules parmi dix boules 0 1 1 2 (𝑿 = 𝟐)′′ Le produit des trois numéros est 1’’ (𝟐; 𝟏; 𝟏) ‘’
n
Donc le nombre des possibilités est (𝑿 = 𝟒)′′ Le produit des trois numéros est 1’’ (𝟐; 𝟐; 𝟏) ‘’
𝟕
𝟗×𝟖×𝟕 b) Montrer que 𝑷(𝑿 = 𝟎) =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟗 = = 𝟖𝟒 𝟏𝟐
𝟑×𝟐 ̅; 𝟎
(𝑿 = 𝟎)′′ Le produit des trois numéros est 0’’ (𝟎; 𝟎 ̅) ou (𝟎; 𝟎; 𝟎
̅)
𝑨: " Obtenir 3 boules portant des numéros pairs” 𝟕×𝟔
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑿 = 𝟎) = (𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟐𝟕 ) + (𝑪𝟐𝟐 × 𝑪𝟏𝟕 ) = 𝟐 × + 𝟏 × 𝟕 = 𝟒𝟗
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝟒 𝑪𝟑𝟒
𝟏 𝑪𝟏𝟒 𝟐
𝒑(𝑨) = = = = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟐𝟏 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑿 = 𝟎) 𝟒𝟗 𝟕
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑿 = 𝟎) = = =
𝑩 “Obtenir 3 boules dont la somme des numéros est égale à 3 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟏𝟐
(1 ;1 ;1) ou (0 ;1 ;2) c) Calculer 𝑷(𝑿 = 𝟏), puis déterminer la loi de probabilité 𝑿
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) = 𝑪𝟑𝟓 + (𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟓 ) (𝑿 = 𝟏)′′ Le produit des trois numéros est 1’’ (𝟏; 𝟏; 𝟏)′′

𝟓×𝟒×𝟑 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑿 = 𝟏) 𝑪𝟑𝟓 𝟏𝟎 𝟓


= + 𝟐 × 𝟐 × 𝟓 = 𝟏𝟎 + 𝟐𝟎 = 𝟑𝟎 𝒑(𝑿 = 𝟏) = = = =
𝟑×𝟐 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟒𝟐
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝟑𝟎 𝟓 (𝑿 = 𝟐)′′ Le produit des trois numéros est 1’’ (𝟐; 𝟏; 𝟏) ‘’
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟏𝟒 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑿 = 𝟏) 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟐𝟓 𝟐𝟎 𝟓
𝟏 𝟏 𝒑(𝑿 = 𝟏) = = = =
b) Montrer que : 𝑷(𝑩 ∩ 𝑪) = et en déduire que 𝑷𝑩 (𝑪) = 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟐𝟏
𝟒𝟐 𝟏𝟓
𝑩 ∩ 𝑪′′Obtenir 3 boules vertes dont la somme des numéros est (𝑿 = 𝟒)′′ Le produit des trois numéros est 1’’ (𝟐; 𝟐; 𝟏) ‘’
égale à 3’’ (0 ;1 ;2) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑿 = 𝟏) 𝑪𝟐𝟐 × 𝑪𝟏𝟓 𝟓
𝒑(𝑿 = 𝟏) = = =
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩 ∩ 𝑪) = 𝑪𝟏𝟏 × 𝑪𝟏𝟏 × 𝑪𝟏𝟐 = 𝟐 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩 ∩ 𝑪) 𝟐 𝟏 D’où le tableau de la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩 ∩ 𝑪) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟒𝟐 𝐱𝐢 0 1 2 4
𝟏
𝒑(𝑩 ∩ 𝑪) 𝟒𝟐 𝟏 𝟏𝟒 𝟏 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟕 𝟓 𝟓 𝟓
𝑷𝑩 (𝑪) = = = × =
𝒑(𝐁) 𝟓 𝟒𝟐 𝟓 𝟏𝟓 𝟏𝟐 𝟒𝟐 𝟐𝟏 𝟖𝟒
𝟏𝟒
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Solution d’exercice 03 (3 points) b) Déterminer une représentation paramétrique de (𝑫)
L’espace est rapporté à un repère orthonormé directe (𝑶, 𝒊, 𝒋 , ⃗𝒌) On a (𝑫)la droite passant par le point 𝐀(𝟏; 𝟏; 𝟎) et de vecteur
On considère les points : 𝑨(𝟏; 𝟏; 𝟎) ; 𝑩(𝟎; 𝟐; 𝟎) ; 𝑪(𝟎; 𝟎; 𝟑). directeur 𝐮
⃗ (𝟔; 𝟔; 𝟒) donc
𝒙 = 𝟏 + 𝟔𝒕
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
1) a) Déterminer les coordonnées de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪. ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
(𝑫): {𝒚 = 𝟏 + 𝟔𝒕
Rappel : Expression analytique du produit vectoriel
𝒛 = 𝟒𝒕
𝒙 𝒙′
⃗ = (𝒚) ∧ (𝒚′) = |𝒚 𝒚′| 𝒊 − | 𝒙 𝒙 ′ | 𝒋 + | 𝒙 𝒙′ | ⃗𝒌

⃗𝐔 ∧ 𝐕 c) Déterminer les cordonnées de point H l’intersection de
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛 𝒚 𝒚′
𝒛 𝒛′ (𝑨𝑩𝑪) 𝐞𝐭 (𝑫)
−𝟏 −𝟏
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = ( 𝟏 ) ∧ (−𝟏) On a (D) et (ABC) sont sécantes en H(x ;y ;z) alors les
𝟎 𝟑 𝒙 = 𝟏 + 𝟔𝒕
𝟏 −𝟏 −𝟏 − 𝟏 −𝟏 − 𝟏 ⃗ 𝒚 = 𝟏 + 𝟔𝒕
=| |𝒊 − | |𝒋 + | | 𝒌 = 𝟑𝒊 + 𝟑. 𝒋 + 𝟐⃗𝒌 coordonnés (x ;y ;z) vérifie le systèmes : {
𝟎 𝟑 𝟎 𝟑 𝟏 −𝟏 𝒛 = 𝟒𝒕
b) Déterminer une équation cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪) 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝐳 − 𝟔 = 𝟎
Rappel :Le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐀𝐁 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐀𝐂 est un vecteur normal au plan (ABC) Donc on remplace 𝒙 = 𝟏 + 𝟔𝒕 ; 𝒚 = 𝟏 + 𝟔𝒕 et 𝒛 = 𝟒𝒕 dans
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪)
𝟑 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝐳 − 𝟔 = 𝟎
On a le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 (𝟑) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪) On trouve : 𝟑(𝟏 + 𝟔𝒕 ) + 𝟑(𝟏 + 𝟔𝒕) + 𝟐(𝟒𝒕 ) − 𝟔 = 𝟎
𝟐 Donc 𝟑 + 𝟏𝟖𝒕 + 𝟑 + 𝟏𝟖𝒕 + 𝟖𝒕 − 𝟔 = 𝟎
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎
𝟑
Et on a 𝑨(𝟏, 𝟏, 𝟎) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace les coordonnées de A 𝒙=𝟏+𝟔×
𝟒𝟒
dans : 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎 donc : 𝟑 + 𝟑 + 𝟎 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = −𝟔 𝟑
Donc 𝟒𝟒𝐭 = 𝟑 donc 𝒕 = donc 𝒚 = 𝟏 + 𝟔 × 𝟒𝟒
𝟑
𝟒𝟒
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟑𝒙 + 𝟑𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝟔 = 𝟎 𝟑
2) Soit (𝑫) la droite passant par le point { 𝒛 = 𝟒 × 𝟒𝟒
𝑨 de vecteur directeur 𝒖 ⃗ (𝟔; 𝟔; 𝟒) 𝟗 𝟑𝟏
a) Montrer que : (𝑫) ⊥ (𝑨𝑩𝑪) 𝒙=𝟏+ =
𝟐𝟐 𝟐𝟐
𝟗 𝟑𝟏
𝟔 𝟑 𝒐𝒏𝒄 𝒚=𝟏+ =
⃗ ∧ (𝑨𝑩
𝒖 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪) = (𝟔) ∧ (𝟑) = ⃗𝟎 𝟐𝟐 𝟐𝟐
𝟑
𝟒 𝟐 { 𝒛=
𝟏𝟏
On peut remarquer que 𝒖 ⃗ = 𝟐(𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪) 𝟑𝟏 𝟑𝟏 𝟑𝟏
Donc (D) et (ABC) sont séantes en 𝑯( ; ; )
Donc les vecteurs 𝒖 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗ 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 sont colinéaires 𝟐𝟐 𝟐𝟐 𝟐𝟐

D’où (𝑫) ⊥ (𝑨𝑩𝑪)


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3)a)Déterminer en fonction de 𝜶, le centre 𝛀 et le rayon 𝑹 Solution d’exercice 04 (3 points)
de la sphère (𝑺𝜶 ). On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮⃗ ; 𝐯⃗) , les points
Rappel : L’ensemble des points 𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) de l’espace tel que : 𝐀(𝐚); 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) et 𝐃(𝐝) tels que :
(𝑺) : 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝐜𝐳 + 𝒅 = 𝟎 𝐚 = −𝟒 ; 𝐛 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 ; 𝐜 = −𝐢𝐛 et 𝐝 = (𝟏 − 𝐢)𝐛
est un sphère si 𝑫 = 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝐝 > 𝟎 1) a) Déterminer la forme trigonométrique de b
𝒂 𝒃 𝒄
 Son centre est le point 𝛀 (− ; − ; − ) 𝟐
𝟐 𝟐 𝟐 |𝒃| = √(−𝟏)𝟐 + √𝟑 = √𝟒 = 𝟐
√𝑫
 Son rayon est 𝒓 = −𝟏 √𝟑
𝟐
𝟓 𝒃 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 = 𝟐 ( +𝒊 )
(𝑺𝜶 ): 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝒙 − 𝟐𝒚 +
−𝜶=𝟎 𝟐 𝟐
𝟒 𝝅 𝝅
𝟓 = 𝟐 (𝒄𝒐𝒔(𝝅 − ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 (𝝅 − ))
On pose 𝒂 = −𝟏 ; 𝒃 = −𝟐 ; 𝒄 = 𝟎 𝒆𝒕 𝒅 = − 𝜶 𝟒 𝟒
𝟒
𝟓 𝟑𝛑 𝟑𝛑 𝟑𝛑

𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (−𝟏)𝟐 + (−𝟐)𝟐 − 𝟒 × ( − 𝜶) = 𝟐 (𝒄𝒐𝒔( ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ( )) = 𝟐𝐞𝐢 𝟒


𝟒 𝟒 𝟒
= 𝟓 − 𝟓 + 𝟒𝜶 = 𝟒𝜶 > 𝟎 car 𝜶 > 𝟎
𝒂 𝒃 𝒄 b) En déduire la forme trigonométrique de c
Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − ) 𝛑 𝟑𝛑 𝟑𝛑 𝛑 𝛑
𝟐 𝟐 𝟐
𝟏 √𝟒𝜶 𝟐√𝜶
𝐜 = −𝐢𝐛 = 𝐞−𝐢𝟐 × 𝟐𝐞𝐢 𝟒 = 𝟐𝐞𝐢 𝟒 − 𝟐 = 𝟐𝐞𝐢𝟐
Donc 𝛀( ; 𝟏; 𝟎) et de rayon 𝑹 = = = √𝜶 𝛑 𝛑
𝟐 𝟐 𝟐 = 𝟐 (𝒄𝒐𝒔( ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ( ))
b) Déterminer la valeur de 𝜶 pour la quelle le plan (𝑨𝑩𝑪) 𝟐 𝟐
𝛑
est tangente à la sphère (𝑺𝜶 ) 2) Soit la rotation R de centre O et d’angle −
𝟐
Rappel : DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN b) Déterminer l’image de points B par la rotation R
Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 O a : 𝐜 = −𝐢𝐛
𝛑
| 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅| 𝐜 = −𝐢𝐛 ⇔ 𝐜 = 𝐞−𝐢𝟐 𝐛
𝒅(𝑨; (𝑷)) =
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 𝛑

𝟑 𝟑 𝟑
⇔ 𝐜 − 𝐨 = 𝐞−𝐢𝟐 (𝐛 − 𝐨)
| + 𝟑 − 𝟔| |− | 𝟑 ⇔ 𝐑 ( 𝐁) = 𝐂
𝒅( 𝛀; (𝑨𝑩𝑪)) = 𝟐 = 𝟐
= 𝟐 =
√𝟑𝟐 + 𝟑𝟐 + 𝟐𝟐 √𝟑𝟐 + 𝟑𝟐 + 𝟐𝟐 √𝟐𝟐 𝟐√𝟐𝟐
Le plan (𝑨𝑩𝑪) est tangente à la sphère (𝑺𝜶 ) b) En déduire la nature du triangle OBC
𝟑 𝐎𝐁 = 𝐎𝐂
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒅( 𝛀; (𝑨𝑩𝑪)) = 𝑹 𝒅𝒐𝒏𝒄 = √𝜶 𝐑(𝐁) = 𝐂 ⇔ {(𝐎𝐁
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑
𝟐√𝟐𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐂) ≡ − [𝟐𝝅]
𝟗 𝟗 𝟐
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝜶 = = Donc triangle OBC est rectangle et isocèle en O
𝟒 × 𝟐𝟐 𝟖𝟖
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3) Vérifier que 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 Solution du problème (8 points)
𝒅 − 𝒃 = (𝟏 − 𝐢 )𝒃 − 𝒃 A) Soit g la fonction définit sur ℝ par 𝐠(𝐱) = (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
= 𝒃 (𝟏 − 𝒊 − 𝟏 ) 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝟏
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
= −𝒊𝒃 𝟐−𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞 +𝟏
=𝒄 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
4) Montrer que le quadrilatère OCDB est un carré 𝑶𝒏 𝒂: 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − 𝐱
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
On a 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 = +∞
Donc 𝒄 − 𝒐 = 𝒅 − 𝒃 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏 = +∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
⃗⃗⃗⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Donc 𝐎𝐂 𝑩𝑫
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝟏 − 𝐱)𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 − 𝐱𝐞𝟐−𝐱 + 𝟏
Donc le quadrilatère OCDB est un paralléloramme 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝟐
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝐞 𝒙
De plus on a (𝐎𝐁 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ − 𝛑 [𝟐𝛑]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , 𝐎𝐂 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱
− (𝐞𝟐 × 𝐱 ) + 𝟏
𝟐 𝐱→+∞ 𝐞 𝐞
Donc le quadrilatère OCDB est un rectanle
𝐞𝟐 𝟏
De plus on a 𝐎𝐁 = 𝐎𝐂 = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − (𝐞𝟐 × 𝐞𝐱 ) + 𝟏
𝐱→+∞ 𝐞
D’où Donc le quadrilatère OCDB est un carré 𝒙
5) a) Montrer que : 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄 =𝟏
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒃 − 𝒂 = −𝟏 + 𝐢√𝟑 − (−𝟒) 𝐱
𝐞𝟐
(𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = 𝟎 )
= 𝟑 + 𝐢√𝟑 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐞

𝑬𝒕 √𝟑 𝒄 = √𝟑 (−𝒊𝒃) = −𝒊√𝟑(−𝟏 + 𝐢√𝟑) 𝐞𝐱 𝟏


= 𝟑 + 𝒊√𝟑 (𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎)
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
Donc 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄 𝒙
′ (𝐱)
b) En déduire que les points A ; B et D sont alignés 2)Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ ; 𝒈 = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
On a 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 𝒄 et 𝒄 = 𝒅 − 𝒃 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
Donc 𝒃 − 𝒂 = √𝟑 (𝒅 − 𝒃)
𝒈′ (𝐱) = −𝟏 × 𝐞𝟐−𝐱 + (𝟏 − 𝒙) × (−𝐞𝟐−𝐱 ) + 𝟎
𝒃−𝒂 = −𝐞𝟐−𝐱 − (𝟏 − 𝒙)𝐞𝟐−𝐱
Donc = √𝟑
𝒅−𝒃 = −𝐞𝟐−𝐱 − 𝐞𝟐−𝐱 + 𝐱𝐞𝟐−𝐱
Donc les points A ; B et D sont alignés
= −𝟐𝐞𝟐−𝐱 + 𝐱𝐞𝟐−𝐱
= (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
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3) Dresser le tableau de variations de g La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 − 𝟐 est dérivable sur ℝ
On a ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟐]; 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟐; +∞[; 𝒙 − 𝟐 ≥ 𝟎 ,donc : D’où la fonction f est dérivable sur ℝ
x −∞ 2 +∞ 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ

𝒈 (𝒙) − 0 + 𝐟 ′ (𝐱) = 𝟏 − 𝟎 + (𝟏 × 𝐞𝟐−𝒙 + 𝒙 × (−𝐞𝟐−𝒙 ))
1 +∞ = 𝟏 + 𝐞𝟐−𝒙 − 𝒙𝐞𝟐−𝒙 = 𝐞𝟐−𝐱 (𝟏 − 𝐱) + 𝟏
𝒈(𝒙) = 𝒈(𝒙)
𝒈(𝟐) = 𝟎 b) Dresser le tableau de variation de f
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 Soit 𝐱 ∈ ℝ ; 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝒈(𝒙)
Le nombre 0 est une valeur minimale de la fonction g sur ℝ
𝑫′𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎 donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 D’où la fonction f est strictement croissante sur ℝ
1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ x −∞ +∞
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒇′ (𝒙) +
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
= −∞ +∞
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = −∞ 𝒇(𝒙)
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ −∞
𝟐−𝒙
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞 3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝒙 oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + (𝐞𝟐 × 𝐱 )
𝐱→+∞ 𝐞 ∗ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 − (𝐱 − 𝟐)
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝟏 𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 + (𝐞𝟐 × 𝐞𝐱
) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐 × 𝐱
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐞
𝒙 𝟏
= +∞ = 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐 × 𝐞𝐱 = 𝟎
𝐱→+∞
𝒙
𝐞𝐱 𝟏
(𝐂𝐚𝐫 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱 − 𝟐 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎) 𝐞𝐱 𝟏
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
(𝐂𝐚𝐫 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = 𝟎)
𝒙 𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞
′ (𝐱)
2) a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝐟 = 𝐠(𝐱) 𝒙

La fonction 𝒙 ⟼ 𝐱 est dérivable sur ℝ 𝐎𝐧 𝐚 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝟎 ;


𝐱→+∞ 𝐱→+∞
La fonction 𝒙 ⟼ 𝐞𝟐−𝒙 est dérivable sur ℝ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au
Donc la fonction 𝒙 ⟼ 𝒙𝐞𝟐−𝒙 est dérivable sur ℝ voisinage de +∞
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b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) par rapport à (∆) 5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique de
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 coordonnées (𝟐; 𝟐)
Et comme 𝐞𝟐−𝒙 > 𝟎 donc le signe de 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) est le signe de 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝒈′ (𝒙) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝟐−𝐱
x qui s’annule en 0 On a ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟐]; 𝒙 − 𝟐 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟐; +∞[; 𝒙 − 𝟐 ≥ 𝟎 ,donc :
x −∞ 𝟎 +∞ x −∞ 2 +∞

𝒇(𝒙) − (𝒙 − 𝟐) − 𝟎 + 𝒇′ (𝒙) − 0 +
′′
La position 𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐛𝐞 (𝑪𝒇) 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 (∆) 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 s’annule et change de signe en 2 donc le point
relative de (𝑪𝒇) 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧 𝐝𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐁(𝟎; −𝟐) 𝐝𝐞𝐬𝐬𝐮𝐬 𝐀(𝟐; 𝒇(𝟐)) c-à-dire 𝐀(𝟐; 𝟐) est une point d’inflexion de (𝑪𝒇)

et la droite (∆) 𝐝𝐞 (∆) 𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐝 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐬𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞
𝐝𝐞 (𝑪𝒇) 𝐞𝐭 (∆) (∆) b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point 2
𝐟(𝐱) (𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟐)(𝒙 − 𝟐) + 𝒇(𝟐)
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ puis en déduire la branche infinie
𝐱→−∞ 𝐱
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟐) = 𝒈(𝟐) = 𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟐) = 𝟐
de (𝐂𝐟 ) au voisinage de−∞
𝐟(𝐱) 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (𝑻): 𝒚 = 𝟐
𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝐱→−∞ 𝐱 𝐱→−∞ 𝐱
𝟐 6) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique
= 𝐥𝐢𝐦 𝟏 − + 𝐞𝟐−𝒙 solution 𝛂 dan IR et que : 0 < 𝛂 < 𝟏
𝐱→−∞ 𝐱
 La fonction f est continue sur l’intervalle ℝ
= +∞
 La fonction f est strictement croissante sur ℝ
𝟐  𝑬𝒕 𝒐𝒏𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞ 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒇(ℝ) = ℝ
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝟐 − 𝐱 = +∞ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝟐−𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 𝐱→+∞ 𝐱→−∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝟎 ∈ 𝒇(ℝ)
𝐟(𝐱)
On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞ D’où l’équation 𝒇(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 dans ℝ
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝒙

Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche parabolique de direction  La fonction f est continue sur l’intervalle [𝟎; 𝟏]
 La fonction f est strictement croissante sur [𝟎; 𝟏]
l’axe des ordonnées au voisinage de −∞
 𝑬𝒕 𝒐𝒏𝒂 ∶ 𝒇(𝟎) = −𝟐 𝒆𝒕 𝒇(𝟏) = 𝒆 − 𝟐 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒇(𝟎) × 𝒇(𝟏) < 𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝜶 ∈ ]𝟎, 𝟏[
Interprétation géométrique
La courbe (𝑪𝒇) coupe l’axe des abscisse en un point unique
d’abscisse 𝜶 tel que 𝜶 ∈ ]𝟎, 𝟏[
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7) Tracer (𝐂𝐟 ) dans un repère (𝑶; 𝒊; 𝒋) ; (On admet que 𝛂 ≈ 𝟎. 𝟑 𝟐
8) a) Par une intégration par partie calculer ∫𝟎 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒅𝒙
𝐮(𝐱) = 𝐱 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐞𝟐−𝐱 𝐯(𝐱) = −𝐞𝟐−𝐱
(𝑪𝒇) Il s’ensuit donc :
𝟐 𝟐
(𝑻) 𝑨
∫ 𝒙𝐞 𝟐−𝐱
𝒅𝒙 = [−𝐱𝐞𝟐−𝐱 ]𝟐𝟎 + ∫ 𝐞𝟐−𝐱 𝐝𝐱
𝟎 𝟎
= −𝟐𝐞 + 𝟎 𝟎
− [𝐞𝟐−𝐱 ]𝟐𝟎
= −𝟐 − 𝐞𝟎 + 𝐞 𝟐

= −𝟑 + 𝐞𝟐

b) Calculer l’aire du domaine plan limité par la courbe (𝑪𝒇 ) ,


la droite (∆) et les droites x=0 et x=𝟐
On a (𝑪𝒇) est en dessus de (∆); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟎, 𝟐]
D’après la question B)3)b)
𝑩
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟎, 𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐟(𝐱) − 𝒚

𝟐
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎
𝟐
= ∫ 𝐟(𝐱) − 𝐲 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎
𝟐
= ∫ 𝐱 − 𝟐 + 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 − (𝐱 − 𝟐)𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
𝟐
= ∫ 𝐱 𝐞𝟐−𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
= −𝟑 + 𝐞𝟐 . 𝐜𝐦𝟐
= (𝐞𝟐 − 𝟑)𝐜𝐦𝟐
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Maths Durée 3 heurs Modèle 02 2 BAC BIOF 1 Maths Durée 3 heurs Modèle 02 2 BAC SC 2
INSTRUCTIONS GENERALE 03p Exercice 02
 L’utilisation de la calculatrice non programmable est On considère dans l’espace les points : 𝑨(𝟏; 𝟎; 𝟏) ;𝑩(𝟎; −𝟒; 𝟒)
autorisée ; 𝑪(𝟑; −𝟒; 𝟓), et la sphère (𝑺) dont une équation cartésienne:
 Le candidat peut traiter les exercices suivant l’ordre qui 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟖 = 𝟎
0.5 1)a) Montrer que le centre de (𝑺) est Ω(𝟐; −𝟐; 𝟑) et que son
lui convient
rayon 𝟑
 L’utilisation du couleur rouge lors de la rédaction des b) Vérifier que 𝑨 ∈ (𝑺) puis écrire une équation cartésienne
0.5
solutions est à éviter du plan (𝑷) tangente à (𝑺) en 𝑨.
Exercice 1 Probabilités 3 points 5 points
0.25 2) a) Montrer que: ⃗⃗⃗⃗⃗⃗𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 = −𝟒𝒊 + 𝟏𝟎𝒋 + 𝟏𝟐𝒌 ⃗.
Exercice 2 Géométrie dans l’espace 3 points 3 points
0.5 b) En déduire 𝟐𝒙 − 𝟓𝒚 − 𝟔𝒛 + 𝟒 = 𝟎 est une équation
Exercice 3 Nombre complexe 3 points cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪).
9 points
Problème Etude d’une fonction exponentielle 8 points 0.75 c) Montrer que le plan (𝑨𝑩𝑪) coupe la sphère (𝑺) suivant
un cercle (𝚪) dont on déterminera son centre H
( )
03P Exercice 01 0.5 3) Montrer que 𝚪 est le cercle circonscrit au triangle 𝑨𝑩𝑪
03P Exercice 03
Un sac contient 6 jetons indiscernables au toucher et
On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗)
numérotés :1 ;1 ;1 ;1 ;2 ;2. 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐀(𝐚) ; 𝐁(𝐛) ; 𝐂(𝐜) 𝐞𝐭 𝐃(𝐝) 𝐭𝐞𝐥 𝐪𝐮𝐞 ∶ 𝐚 = 𝐢 ;
On tire au hasard, successivement et sans remise 3 jetons 𝐛 = √𝟑 ; 𝐜 = √𝟑 + 𝟐𝐢 et d= √𝟑 − 𝟐𝐢
du sac. 𝛑
1) Soit la rotation R de centre A et d’angle − et M(z’) l’image
𝟐
On considère les évènements suivants : de M(z) par R
𝑨 : « La somme des numéros obtenus est égale à 3» 0.5 a) Montrer que l’écriture complexe R est : 𝐳 ′ = −𝐢𝐳 − 𝟏 + 𝐢
𝑩 : « Le premier jetons porte le numéro 2»
0.25 b) Vérifier que 𝐜’ = 𝟏 + (𝟏 − √𝟑)𝐢 est l’affixe du point C’
𝟏 𝟏
1) a)Montrer que : 𝑷(𝑨) = 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) = l’image de point C par la rotation R
1 𝟓 𝟑
0.5 b) Calculer 𝑷𝑩 (𝑨). 2) Soit h l’homothétie de centre A et de rapport 𝐤 = √𝟑
0.5 a) Montrer que D est l’image du point C’ par l’homothétie h
c) Les évènements 𝑨 et 𝑩 sont-ils indépendants ? Justifier 𝐝−𝐚
0.25 b) Vérifier que = − √𝟑 𝐢
la réponse. 0.5 𝐜−𝐚

2) Soit 𝑿 la variable aléatoire associe à la somme des c) On déduire la nature du triangle ACD
0.25 3) Soit t la translation de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗𝐀𝐂
numéros portés par les trois jetons tirés.
a) Déterminer e l’affixe du point E l’image du point D par
a) Déterminer les valeurs prises par la variable 𝑿. 0.5
0.5 la translation t
b) Déterminer la loi de de probabilité de la variable 𝑿. 0.5
0.75 b) Montrer que le quadrilatère ACED est un rectangle
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Maths Durée 3 heurs Modèle 02 2 BAC BIOF 3 Maths Durée 3 heurs Modèle 02 2 BAC sc 4
11 Problème 4) Montrer que l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 admet une unique
𝟏
A) Soit g une fonction définit sur ℝ par : 0.5 solution 𝛂 dan IR et que 0 < 𝛂 <
𝟏 𝟐
𝟐 𝐱
𝐠(𝐱) = 𝒙 − 𝟔𝒙 + 𝟓 + 𝟐𝐞 𝟐 𝟏
(𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆 ∶ 𝒇 ( ) ≈ 𝟎, 𝟑𝟏 )
𝟐
Le tableau aux dessous est le tableau de variations de g 𝟏
𝟏
x −∞
𝟗
+∞
0.5 5) a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ 𝐈𝐑 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = (−𝐱 𝟐 + 𝟏𝟎𝐱 − 𝟏𝟕)𝐞− 𝟐𝐱
𝟒
𝟓 0.5 b) Déduire que (𝐂𝐟 ) admet deux points d’inflexions (leur
+∞ +∞
cordonnées ne son pas demandés)
𝒈(𝐱)
𝟏𝟐 6) Tracer (∆) 𝐞𝐭 (𝑪𝒇) dans (𝑶; 𝒊; 𝒋) ( On admet que (𝐂𝐟 ) admet
𝟓 1 deux points d’inflexions sont𝑰(𝟐, 𝟐 ; 𝟏, 𝟕) 𝒆𝒕 𝑱(𝟕, 𝟖 ; 𝟕) )
0.5 Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ ): 𝒈(𝐱) > 𝟎
B) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 7) Soit h la fonction définit sur ]−∞; 𝟏] par : 𝒉(𝒙) = 𝐟(𝐱)
𝟏
− 𝐱 0.5 a) Montrer que h admet une fonction réciproque 𝒉−𝟏 sur J à
𝐟 (𝐱 ) = 𝐱 − (𝒙 − 𝟏 )𝟐 𝐞 𝟐

(𝐂𝐟 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝐎 ; 𝐢 ; 𝐣) (Unité:1cm) déterminer


𝟏 − 𝐱
𝟏 0.5 b) Tracer (𝑪𝒉−𝟏 ) le graphe de 𝒉−𝟏 dans le même repère
− 𝐱 𝐞 𝟐
1)a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝟐 = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = −∞
0.5 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝒙
𝐟(𝐱) 𝟏
0.5 b) Montrer que : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = −∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞ 8)a) Montrer que : 𝐇: 𝐱 → (−𝟐𝒙𝟐 + 𝟖𝒙 − 𝟏𝟔)𝐞− 𝟐𝐱 est une
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱 0.5 𝟏
0.25
c) Déterminer la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞ primitive de 𝐡: 𝐱 → 𝒙𝟐 𝐞− 𝟐𝐱 sur IR
𝒙𝟐 𝟐𝐱 𝟏 𝟏
0.25 2) a) Vérifier (∀𝐱 ∈ ℝ ) ∶ 𝐟(𝐱) = 𝐱 − 𝟏 + 𝟏 − 𝟏
0.5 𝟎
b) Déduire la valeur de l’intégrale : ∫−𝟐 𝒙𝟐 𝐞− 𝟐𝐱 𝒅𝒙
𝐱 𝐱 𝐱
𝐞𝟐 𝐞𝟐 𝐞𝟐
𝟏 𝟎 𝟏
b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ ( Tu peux poser 𝒕 = 𝐱)
𝟐 0.5 c)Par une intégration par parties calculer ∫−𝟐 𝟐𝐱𝐞− 𝟐𝐱 𝒅𝒙
0.25 𝐱→+∞
c) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞 (∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 est asymptote d) Déduire l’aire du domaine délimité par(𝑪𝒇), la droite (∆)
0.25 oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞ 0.5 et les droites d’équation : 𝒙 = −𝟐 𝒆𝒕 𝒙 = 𝟎
0.25
d) Montrer que (𝐂𝐟 ) est en dessous de la droite (∆) sur ℝ
et que la droite (∆) coupe (𝐂𝐟 ) en un point unique 𝑨(𝟏; 𝟏) C) Soit (𝐔𝐧 ) une suite tel que : 𝐔𝟎 = 𝟐 et 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒇(𝐔𝐧 )
𝟏 𝟏
0.5 1) Montrer que : ∀𝒏 ∈ 𝐈𝐍 ∶ 𝟏 ≤ 𝐔𝐧 ≤ 𝟐
3)a) Montrer que (∀𝐱 ∈ ℝ ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱)𝐞− 𝟐𝐱
0.5 𝟐 0.5 2) Montrer que (𝐔𝐧 ) est décroissante (Utiliser B)2) d))
0.5 b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ 0.75 3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et calculer sa limite
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Maths Durée 3 heurs Modèle 03 2 BAC BIOF Maths Durée 3 heurs Modèle 03 2 BAC SC P1
INSTRUCTIONS GENERALE 03p Exercice 02
 L’utilisation de la calculatrice non programmable est On considère les points 𝐀(𝟏; 𝟐; 𝟏), 𝐁(𝟏; 𝟑; 𝟏) et 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et (𝐒)
autorisée la sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐
 Le candidat peut traiter les exercices suivant l’ordre qui 1) Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐀 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐁 = −𝐢 + 𝐤 puis en déduire que
0.75
lui convient 𝐱 − 𝐳 = 𝟎 est une équation cartésienne au plan (𝐎𝐀𝐁).
 L’utilisation du couleur rouge est à éviter
0.5 5) a) Montrer que 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧 (𝐎𝐀𝐁) est tangente à la sphère (S)
Exercice 1 Probabilités 3 points 5 pointsen un point H
Exercice 2 Géométrie dans l’espace 3 points 3 pointsb) Déterminer les coordonnées du point de contact H
0.75
Exercice 3 Nombre complexe 3 points 9 points
3) Soit (∆)la droite passant par le point 𝐂 et de vecteur
Exercice 4 Suite numérique 3 points directeur 𝐮⃗ (𝟐; 𝟎; −𝟐)
Exercice 5 Intégrale et équation différentielle 2.25 points 0.25 a) Déterminer une représentation paramétrique de (∆)
Problème Etude d’une fonction exponentielle 6.75 points 0.25 b) Déterminer une équation cartésienne de (𝐒)
Exercice 01 c) Montrer que la droite (∆)est tangente à la sphère (𝐒) puis
03P Une urne contient 10 boules portant les numéros : 1 ;2 ;2 0. 5
déterminer les coordonnées de point de contact
;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4 , ces boules sont indiscernables au toucher. Exercice 03
03P
On tire au hasard, successivement et sans remise deux On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) les points
boules de l’urne. 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄)tel que 𝒂 = 𝟏 + 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝒆𝒕 𝒄 = 𝟒 + 𝟓𝒊
Soient les événements suivants : 𝟖
𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs » 0.5 1) Ecrire b sous forme exponentielle puis vérifier que 𝒃 ∈ ℝ
0.5 2) Soit T la translation de vecteur 𝑩𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ et d l’affixe du point D
𝑩 : « Le produit de deux numéros égale à 4 »
𝟏 l’image de A par T
1 1) Montrer que : 𝑷(𝑨) = , puis calculer 𝑷(𝑩)
𝟑 Vérifier que 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊
0.5 2) Est-ce que les événements A et B sont indépendantes ? 0.5 3) Montrer que 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) puis en déduire que les
3) On répète l’expérience précédente trois fois de suite en 0.5
droites (AC) et (BD) sont perpendiculaire
remettant chaque fois les deux boules tirées dans l’urne. 4) Montrer que le quadrilatère ABCD est un losange
Soit 𝑿 la variable aléatoire égale au nombre de réalisation 5) Soit h l’homothétie de centre B et de rapport 2 et e l’affixe
de l’événement 𝑨. de point E l’image de A par h
𝟒
j) Montrer que 𝑷(𝑿 = 𝟏) = , puis calculer 𝑷(𝑿 = 𝟎) 0.5 Vérifier que 𝒆 = −𝟏 + 𝒊
0.5 𝟗
0.5 k) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿. 6) Soit (C) le cercle circonscrit au triangle EBD
0.5
0.5 l) Calculer 𝑬(𝑿) et la variance 𝑽(𝑿) Déterminer le centre et le rayon du cercle (C)
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Maths Durée 3 heurs Modèle 03 2 BAC BIOF Maths Durée 3 heurs Modèle 03 2 BAC sc Page 2
3p Exercice 04 B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par :
𝟗
Soit(𝒖𝒏 )une suite tel que (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝟏 − 𝒆𝒕 𝒖𝟎 = 𝟏 𝐟(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 (𝒙) − 𝐞𝒙−𝟏
𝒖𝒏 +𝟓
(𝐂𝐟 ) son graphe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋)
0.5 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏 > −𝟐
0.5 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ et interpréter le résultat
0.5 2) Montrer que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente 𝐱→𝟎

3) Pour tout n dans ℕ on pose ∶ 𝒗𝒏 =


𝟏 géométriquement
𝒖𝒏 +𝟐 0.25
2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝟏
0.5 a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite arithmétique de raison 3 )a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒈(𝒙)
𝐞𝒙−𝟏
𝟑 0.5 𝒙
0.75
b) Calculer 𝒗𝒏 puis 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout n dans ℕ b) Dresser le tableau de variation de f en justifiant votre
0.25
c) Déterminer la limite de la suite (𝒖𝒏 ) 0.25 réponse
4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏 c) Déterminer l’équation de la tangente (T) de (𝐂𝐟 ) en 1
0.5 𝟏
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝑺𝒏 = (𝟏 − 𝒏𝟐 ) 0.25
𝟑 4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par :
2.25 Exercice 05 𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏
Soit l’équation différentielle : (𝐄): 𝐲 ′′ − 𝟒𝐲 ′ + 𝟏𝟑𝐲 = 𝟎 Et dont le tableau de variations suivant :
0.5 5) Résoudre dans ℝ l’équation (𝐄) x 𝟎 +∞
0.5
6) Déterminer la solution g de (𝐄)tel que : +∞
𝒈(𝟎) = 𝟎 et 𝒈′(𝟎) = 𝟑 𝒉 (𝐱 )
7) Vérifier que 𝒈 𝛑 = −𝟑𝒆𝟐𝛑 puis en déduire que :
′( ) −𝟏
𝝅 𝟑 0.5 a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[
0.75 ∫𝟎 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱 = 𝟏𝟑 (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 ) 0.5 b) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[: 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝐡(𝐱) 𝐞𝒙−𝟏
𝝅
0. 5
8) Par une intégration par parties calculer ∫𝟎 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝐱) 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱 𝒙𝟐
c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier que la courbe
6.75 Problème 0.5
(𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique au point d’abscisse 1
A) Soit g une fonction définit sur ]𝟎; +∞[par :
5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le
𝐠(𝐱) = 𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 0.5
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) résultat géométriquement
0.5 𝐱→𝟎 𝐱→+∞
0.5 2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙) 6) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 sur un
0.25 3) Dresser le tableau de variations de g sur ]𝟎; +∞[ 0.5
intervalle J à déterminer
0.25
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
1 7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans le repère (𝑶; 𝒊; 𝒋)
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Solution d’exercice 01 (3 points) 3) On répète l’expérience précédente trois fois de suite en
Une urne contient 10 boules portant les numéros : remettant chaque fois les deux boules tirées dans l’urne.
1 ;2 ;2 ;3 ;3 ;3 ;4 ;4 ;4 ;4. Soit 𝑿 la variable aléatoire égale au nombre de réalisation de
Ces boules sont indiscernables au toucher. l’événement 𝑨.
On tire au hasard, successivement et sans remise deux boules de La variable aléatoire 𝐗 suit la loi binomiale de paramètres
𝟏 𝟏
l’urne. 𝒏 = 𝟑 et 𝒑 = , notée 𝐗 → 𝐁 (𝟑; )
𝟑 𝟑
𝟏
1) Montrer que : 𝑷(𝑨) = , puis calculer 𝑷(𝑩) (∀𝐤 ∈ {𝟎, 𝟏, 𝟐, 𝟑} ) ∶ 𝐏(𝐗 = 𝐤) = 𝐂𝐧𝐤 𝐩𝐤 (𝟏 − 𝐩)𝐧−𝐤
𝟑
𝟒
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble g) Montrer que : 𝑷(𝑿 = 𝟏) =
𝟗
des arrangements sans répétitions de deux boules parmi dix 𝟏 𝟏
𝟏 𝟑−𝟏
𝟑! 𝟏 𝟐 𝟐 𝟒
boules contenues dans le sac 𝑷(𝑿 = 𝟏) = 𝐂𝟑𝟏 ( ) (𝟏 − ) = ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟏! 𝟐! 𝟑 𝟑 𝟗
𝟎 𝟑
Donc le nombre des possibilités est 𝟏 𝟐 𝟖
𝑷(𝑿 = 𝟎) = 𝐂𝟑𝟎 ( ) ( ) =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑨𝟐𝟏𝟎 = 𝟏𝟎 × 𝟗 = 𝟗𝟎 𝟑 𝟑 𝟐𝟕

𝑨 : « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs » h) Déterminer la loi de probabilité de la variable 𝑿.
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) = 𝑨𝟐𝟔 = 𝟔 × 𝟓 = 𝟑𝟎 𝟐
𝟏 𝟐 𝟐 𝟏 𝟔 𝟐
𝑷(𝑿 = 𝟐) = 𝐂𝟑 ( ) ( ) = =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕 𝟗
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀) 𝟑𝟎 𝟏 𝟑 𝟎
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐀) = = = 𝟏 𝟐 𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟎 𝟑 𝑷(𝑿 = 𝟑) = 𝐂𝟑𝟑 ( ) ( ) =
𝟑 𝟑 𝟐𝟕
𝑩 : « Le produit de deux numéros égale à 4 » donc (2 ;2) ou (1 ;4)
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) = 𝑨𝟐𝟐 + 𝟐 × (𝑨𝟏𝟏 × 𝑨𝟏𝟒 ) = 𝟐 + 𝟖 = 𝟏𝟎 𝐱𝐢 0 1 2 3
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐁) 𝟏𝟎 𝟏 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟖 𝟏𝟐 𝟔 𝟏
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝐁) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟎 𝟗 𝟐𝟕 𝟐𝟕 𝟐𝟕 𝟐𝟕
2) Est-ce que les événements A et B sont indépendantes ? i) Calculer l’espérance mathématique 𝑬(𝑿) et la variance
𝐀 ∩ 𝐁 « Obtenir deux boules portant deux numéros pairs et le
𝑽(𝑿) puis l’écart type 𝝈(𝑿).
produits égale à 4 » donc (2 ;2)
 L’espérance mathématique de la variable aléatoire 𝐗 est :
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝐀 ∩ 𝐁) 𝑨𝟐𝟐 𝟐 𝟏
(
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒑 𝐀 ∩ 𝐁 = ) = = = 𝐄(𝐗) = 𝐧𝐩 = 𝟑 × = 𝟏.
𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟗𝟎 𝟗𝟎 𝟒𝟓 𝟑
𝟏 𝟏 𝟏  La variance de la variable aléatoire 𝐗 est :
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒑(𝐀) × 𝒑(𝐁) = × = ≠ 𝒑(𝐀 ∩ 𝐁)
𝟑 𝟗 𝟐𝟕 𝟏 𝟐
D’où les événements A et B ne sont pas indépendantes 𝐕(𝐗) = 𝐧𝐩𝐪 = 𝐧𝐩(𝟏 − 𝐩) = 𝐄(𝐗). (𝟏 − 𝐩) = 𝟏 × (𝟏 − ) =
𝟑 𝟑
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Solution d’exercice 02 (3 Points ) On a (𝐒) la sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐
On considère les points 𝐀(𝟏; 𝟐; 𝟏), 𝐁(𝟏; 𝟑; 𝟏) et 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et (𝐒) la Et (𝑶𝑨𝑩): 𝒙 − 𝒛 = 𝟎 donc :
sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐 |−𝟑 − 𝟏| 𝟒
𝒅(Ω; (𝑶𝑨𝑩) = = = 𝟐√𝟐
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐎𝐁
1) Montrer que 𝐎𝐀 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = −𝐢 + 𝐤 puis en déduire que √𝟏𝟐 + 𝟎𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟐
𝐱 − 𝐳 = 𝟎 est une équation cartésienne au plan (𝐎𝐀𝐁). 𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒅(Ω; (𝑶𝑨𝑩) = 𝑹
Rappel : Expression analytique du produit vectoriel Donc le plan (OAB) est tangente à la sphère (S) en un point H
𝒙 𝒙′
⃗ = (𝒚) ∧ (𝒚′) = |𝒚 𝒚′| 𝒊 − | 𝒙 𝒙 ′ | 𝒋 + | 𝒙 𝒙′ | ⃗𝒌

⃗𝐔 ∧ 𝐕 a) Déterminer les coordonnées du point de contact H
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛 𝒚 𝒚′
𝒛 𝒛′ 𝒙 = −𝟑 + 𝒕
𝟏 𝟏 (𝛀𝐇): { 𝒚 = 𝟎 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑨 𝑶𝑩 = (𝟐) ∧ (𝟑) (𝒙; 𝒚; 𝒛)𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑯 𝒗é𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 {
𝒛=𝟏−𝒕
𝟏 𝟏 (𝑶𝑨𝑩) : 𝒙 − 𝒛 = 𝟎
𝟐 𝟑 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 ⃗ Donc (−𝟑 + 𝒕) − (𝟏 − 𝒕) = 𝟎
=| |𝒊 − | |𝒋 + | | 𝒌 = −𝒊 + 𝟎. 𝒋 + ⃗𝒌
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟐 𝟑
Donc 𝟐𝒕 − 𝟒 = 𝟎
Rappel :Le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐎𝐀 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐎𝐁 est un vecteur normal au plan (OAB) 𝒙 = −𝟑 + 𝒕 𝒙 = −𝟏
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑶𝑨𝑩) Donc 𝒕 = 𝟐 on remplace dans { 𝒚 = 𝟎 donc { 𝒚 = 𝟎
−𝟏 𝒛=𝟏−𝒕 𝒛 = −𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a le vecteur 𝑶𝑨 ∧ 𝑶𝑩 ( 𝟎 ) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪)
𝟏 3) Soit (∆)la droite passant par le point 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et de vecteur
Donc (𝑶𝑨𝑩): −𝒙 + 𝟎 × 𝒚 + 𝟏 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 directeur 𝐮⃗ (𝟐; 𝟎; −𝟐)
Donc (𝑶𝑨𝑩): −𝒙 + 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 a) Déterminer une représentation paramétrique de (∆)
Et on a 𝑶(𝟎, 𝟎, 𝟎) ∈ (𝑶𝑨𝑩) donc on remplace les coordonnées de O On a (∆)la droite passant par le point 𝐂(𝟏; 𝟎; 𝟏) et de vecteur
dans 𝟎 + 𝟎 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟎 directeur 𝐮⃗ (𝟐; 𝟎; −𝟐) donc
D’où (𝑶𝑨𝑩): −𝒙 + 𝒛 = 𝟎 𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
Donc (𝑶𝑨𝑩): 𝒙 − 𝒛 = 𝟎 (∆): { 𝒚 = 𝟎
2)a) Montrer que 𝐥𝐞 𝐩𝐥𝐚𝐧 (𝐎𝐀𝐁) est tangente à la sphère (S) en un 𝒛 = 𝟏 − 𝟐𝒕
point H
Rappel : DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN b) Déterminer une équation cartésienne de (𝐒)
Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎 On a (𝐒) la sphère de centre 𝛀(−𝟑; 𝟎; 𝟏) et de rayon 𝟐√𝟐 donc :
| 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅| Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺)
𝒅(𝑨; (𝑷)) =
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 Donc (𝑺): (𝒙 − (−𝟑))𝟐 + (𝒚 − 𝟎)𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = (𝟐√𝟐)𝟐
Donc (𝑺): (𝒙 + 𝟑)𝟐 + 𝒚𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟖
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c) Montrer que la droite (∆)est tangente à la sphère (𝐒) puis Solution d’exercice 03 (3 Points )
déterminer les coordonnées de point de contact On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) les points
Soit (𝒙; 𝒚; 𝒛) 𝒍𝒆𝒔 𝒄𝒐𝒓𝒅𝒐𝒏𝒏é𝒆𝒔 𝒅𝒆 𝑲 l’intersection de (S) et (∆) 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄)tel que 𝒂 = 𝟏 + 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝒆𝒕 𝒄 = 𝟒 + 𝟓𝒊
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 1) Ecrire b sous forme exponentielle puis vérifier que 𝒃𝟖 ∈ ℝ
(∆): { 𝒚 = 𝟎 ; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
( )
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝒙; 𝒚; 𝒛 𝒗𝒆𝒓𝒊𝒇𝒊𝒆 ∶ {
𝒛 = 𝟏 − 𝟐𝒕 |𝒃| = √𝟑𝟐 + 𝟑𝟐 = √𝟏𝟖 = 𝟑√𝟐
(𝑺): (𝒙 + 𝟑)𝟐 + 𝒚𝟐 + (𝒛 − 𝟏)𝟐 = 𝟖 𝟑 𝟑 𝟏 𝟏
𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 = 𝟑√𝟐 ( +𝒊 ) = 𝟑√𝟐 ( + 𝒊 )
Donc (𝟏 + 𝟐𝒕 + 𝟑)𝟐 + 𝟎𝟐 + (𝟏 − 𝟐𝒕 − 𝟏)𝟐 = 𝟖 𝟑√𝟐 𝟑√𝟐 √𝟐 √𝟐
𝝅 𝝅 𝛑
Donc (𝟒 + 𝟐𝒕)𝟐 + 𝟎𝟐 + (−𝟐𝒕)𝟐 = 𝟖 = 𝟑√𝟐 (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ) = 𝟑√𝟐𝐞𝐢𝟒
𝟒 𝟒
Donc (𝟒 + 𝟐𝒕)𝟐 + 𝟒𝒕𝟐 − 𝟖 = 𝟎 𝛑 𝟖 𝟖 𝛑 𝟖
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏𝟔 + 𝟏𝟔𝒕 + 𝟒 𝐭 𝟐 + 𝟒 𝐭 𝟐 − 𝟖 = 𝟎 𝒃𝟖 = (𝟑√𝟐𝐞𝐢𝟒 ) = (𝟑√𝟐) 𝐞𝐢𝟒×𝟖 = (𝟑√𝟐) 𝐞𝐢𝟐𝛑
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟖 𝐭 𝟐 + 𝟏𝟔𝒕 + 𝟖 = 𝟎 donc 𝟖( 𝐭 𝟐 + 𝟐𝒕 + 𝟏) = 𝟎 𝟖 𝟖
= (𝟑√𝟐) (𝒄𝒐𝒔(𝟐𝛑) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏( 𝟐𝛑)) = (𝟑√𝟐) (𝟏 + 𝟎) = (𝟑√𝟐) ∈ ℝ
𝟖

Donc (𝐭 + 𝟏)𝟐 = 𝟎 donc 𝒕 = −𝟏


Donc la droite (∆) est tangente à la sphère (S) en un point K 2) Vérifier que 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊 est l’affixe du point D l’image de A par
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 la translation T de vecteur 𝑩𝑪 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On remplace 𝒕 = −𝟏 dans { 𝒚=𝟎 pour trouver K 𝑨𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐓(𝐀) = 𝐃 ⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑩𝑪
𝒛 = 𝟏 − 𝟐𝒕 ⇒ 𝒛𝑨𝑫 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝒛 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑪
𝒙 = 𝟏 − 𝟐 = −𝟏
Donc { 𝒚=𝟎 donc 𝑲(−𝟏 ; 𝟎 ; 𝟑) ⇒𝒅−𝒂 =𝒄−𝒃
𝒛=𝟏+𝟐=𝟑 ⇒𝒅=𝒄−𝒃+𝒂
Exercice 03 ⇒ 𝒅 = 𝟒 + 𝟓𝒊 − 𝟑 − 𝟑𝒊 + 𝟏 + 𝟐𝒊
On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) les points ⇒ 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊
𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄)tel que 𝒂 = 𝟏 + 𝟐𝒊 ; 𝒃 = 𝟑 + 𝟑𝒊 𝒆𝒕 𝒄 = 𝟒 + 𝟓𝒊 3) Vérifier que 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅)
1) Ecrire b sous forme trigonométrique 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒄 − 𝒂 = 𝟒 + 𝟓𝒊 − 𝟏 − 𝟐𝒊 = 𝟑 + 𝟑𝒊
2) Vérifier que 𝒅 = 𝟐 + 𝟒𝒊 est l’affixe du point D l’image de A par 𝑬𝒕 𝒐𝒏𝒂 ∶ 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) = 𝟑𝒊(𝟑 + 𝟑𝒊 − 𝟐 − 𝟒𝒊) = 𝟑𝒊(𝟏 − 𝒊) = 𝟑 + 𝟑𝒊
la translation T de vecteur 𝑩𝑪⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅)
3) Vérifier que 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅) puis en déduire que les droites
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒄 − 𝒂 = 𝟑𝒊(𝒃 − 𝒅)
(AC) et (BD) sont perpendiculaire
𝐜−𝐚 𝐜−𝐚
4) Montrer que le quadrilatère ABCD est losange 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ = 𝟑𝒊 𝒅𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝐚𝐫𝐠 ( ) ≡ 𝐚𝐫𝐠( 𝟑𝐢)[𝟐𝛑]
5) Soit el’affixe de de point E l’image de A par l’homothétie h de 𝐛−𝐝 𝐛−𝐝
𝛑
centre B et de rapport 2 𝐃𝐨𝐧𝐜 : ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ [𝟐𝛑]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , 𝐀𝐂
(𝐃𝐁
𝟐
Vérifier que 𝒆 = −𝟏 + 𝒊
Donc les droites (AC) et (BD) sont perpondiculaire
6) En déduire le centre et le rayon de (C) le cercle circonscrit au
triangle EBD
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4) Montrer que le quadrilatère ABCD est losange Solution d’exercice 03 (3 Points )
𝟗
𝑨𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝐓(𝐀) = 𝐃 ⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑩𝑪 Soit (𝒖𝒏 ) une suite tel que : (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝟏 − 𝒆𝒕 𝒖𝟎 = 𝟏
𝒖𝒏 +𝟓
Donc le quadrilatère ABCD est un parallélogramme 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝒖𝒏 > −𝟐
Et on a les diagonales du quadrilatère ABCD les droites (AC) et
 Pour n=0 on a 𝒖𝟎 = 𝟏 > −𝟐
(BD) sont perpondiculaire La propriété est donc vraie pour n = 0
Donc le quadrilatère ABCD est losange
 Soit n un entier naturel,
5) Soit el’affixe de de point E l’image de A par l’homothétie h de
Supposons que 𝒖𝒏 > −𝟐 et montrons que 𝒖𝒏+𝟏 > −𝟐.
centre B et de rapport 2 𝟗 𝟗
Vérifier que 𝒆 = −𝟏 + 𝒊 𝒖𝒏+𝟏 + 𝟐 = 𝟏 − +𝟐 =𝟑−
𝒖𝒏 + 𝟓 𝒖𝒏 + 𝟓
𝐡(𝐀) = 𝐄 ⇒ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑬 = 𝟐𝑩𝑨 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟓) − 𝟗 𝟑𝒖𝒏 + 𝟔
⇒ 𝒆 − 𝒃 = 𝟐(𝒂 − 𝒃) = =
𝒖𝒏 + 𝟓 𝒖𝒏 + 𝟓
⇒ 𝒆 = 𝟐 (𝒂 − 𝒃 ) + 𝒃 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐)
⇒ 𝒆 = 𝟐(𝟏 + 𝟐𝒊 − 𝟑 − 𝟑𝒊 ) + 𝟑 + 𝟑𝒊 =
𝒖𝒏 + 𝟓
⇒ 𝒆 = 𝟐(−𝟐 − 𝒊 ) + 𝟑 + 𝟑𝒊 On a 𝒖𝒏 > −𝟐 donc 𝒖𝒏 + 𝟓 > 𝟑 donc 𝒖𝒏 + 𝟓 > 𝟎
⇒ 𝒆 = −𝟏 + 𝒊 Et on a 𝒖𝒏 > −𝟐 donc 𝒖𝒏 + 𝟐 > 𝟎 donc 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) > 𝟎
6) En déduire le centre et le rayon de (C) , le cercle circenscrit au 𝟑(𝒖𝒏 +𝟐)
Donc > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 + 𝟐 > 𝟎 donc 𝒖𝒏+𝟏 > −𝟐
triangle EBD 𝒖𝒏 +𝟓

𝐎𝐧𝐚 ∶ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑬 = 𝟐𝑩𝑨⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐀 𝐞𝐬𝐭 𝐥𝐞 𝐦𝐢𝐥𝐢𝐞𝐮 𝐝𝐮 𝐬𝐞𝐠𝐦𝐞𝐧𝐭 [𝑬𝑩] D'après le principe de récurrence, on a : (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 > −𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 𝐀𝐄 = 𝐀𝐁 2) Soit n un entier naturel,
Et on a ABCD un losange donc 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃 𝟗
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = 𝟏 − − 𝒖𝒏
D’où 𝐀𝐄 = 𝐀𝐁 = 𝐀𝐃 𝒖𝒏 + 𝟓
Donc les points B ; E et D appartient au même cercle (C) de centre 𝒖𝒏 + 𝟓 − 𝟗 − 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟓)
=
A et de rayon 𝒖𝒏 + 𝟓
𝟐
𝐫 = 𝐀𝐁 = |𝒃 − 𝒂| −𝟒 − 𝒖𝒏 − 𝟒𝒖𝒏
=
= |𝟑 + 𝟑𝒊 − 𝟏 − 𝟐𝒊 | 𝒖𝒏 + 𝟓
= |𝟐 + 𝒊 | −(𝒖𝟐𝒏 + 𝟒𝒖𝒏 + 𝟒) −(𝒖𝒏 + 𝟐)𝟐
= = <𝟎
= √ 𝟐𝟐 + 𝟏 𝟐 𝒖𝒏 + 𝟓 𝒖𝒏 + 𝟓
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎
= √𝟓
Donc la suite (un) est décroissante
D’où le cercle (C) circenscrit au triangle EBD est de centre A et de
la suite (un) est décroissante et minorée par -2 donc elle est
rayon √𝟓 convergente
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2)a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite arithmétique 4) Pour tout 𝒏 ∈ ℕ on pose : 𝑺𝒏 = 𝒖𝟎 𝒗𝟎 + 𝒖𝟏 𝒗𝟏 + ⋯ + 𝒖𝒏 𝒗𝒏
𝟏 𝟏 𝟏
Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝑺𝒏 = (𝟏 − 𝒏𝟐 )
𝒗𝒏+𝟏 − 𝒗𝒏 = − 𝟑
𝒖𝒏+𝟏 + 𝟐 𝒖𝒏 + 𝟐 𝟏
𝟏 𝟏 𝒗𝒏 = ⇒ 𝒗𝒏 (𝒖𝒏 + 𝟐) = 𝟏 ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 + 𝟐𝒗𝒏 = 𝟏
= 𝟑(𝒖 +𝟐) − 𝒖𝒏 + 𝟐
𝒏 𝒖𝒏 + 𝟐 ⇒ 𝒖𝒏 𝒗𝒏 = 𝟏 − 𝟐𝒗𝒏
𝒖𝒏 +𝟓
𝒏 𝒏
𝒖𝒏 + 𝟓 𝟑
= − ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑ 𝟏 − 𝟐𝒗𝒌
𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐)
𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝒖𝒏 + 𝟓 − 𝟑 𝒖𝒏 + 𝟐 𝟏 𝒏 𝒏 𝒏
= = =
𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) 𝟑(𝒖𝒏 + 𝟐) 𝟑 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = ∑ 𝟏 − 𝟐 ∑ 𝒗 𝒌
𝟏 𝟏 𝟏
Donc (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 = et 𝒗𝟎 = = 𝒌=𝟎
𝒏
𝒌=𝟎 𝒌=𝟎
𝟑 𝒖𝟎 +𝟐 𝟑
(𝒏 − 𝟎 + 𝟏)(𝒗𝟎 + 𝒗𝒏 )
b) Calculer 𝒗𝒏 puis 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout n dans ℕ ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = 𝒏 + 𝟏 − 𝟐
𝟐
Soit n un entier naturel, 𝒌=𝟎
𝒏
𝟏
la suite (𝒗𝒏 ) est arithmétique de raison 𝒓 = et 𝒗𝟎 =
𝟏 𝟏 𝟏
𝟑 𝟑 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏) − (𝒏 + 𝟏)( + (𝟏 + 𝒏))
𝟑 𝟑
Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 + 𝒓(𝒏 − 𝟎) 𝒌=𝟎
𝒏
𝟏 𝟏 𝟐 𝟏
= + 𝒏 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏) − (𝒏 + 𝟏)( + 𝒏)
𝟑 𝟑 𝟑 𝟑
𝒌=𝟎
𝟏 𝒏
= (𝟏 + 𝒏) 𝟐 𝟏
𝟑 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝒏 + 𝟏)(𝟏 − − 𝒏)
𝟏 𝟑 𝟑
Et on a : 𝒗𝒏 = donc : 𝒌=𝟎
𝒖𝒏 +𝟐 𝒏
𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒖𝒏 + 𝟐 = ⇒ 𝒖𝒏 = −𝟐 ⇒ ∑ 𝒖𝒌 𝒗𝒌 = (𝟏 + 𝒏)(𝟏 − 𝒏) = (𝟏 − 𝒏𝟐 )
𝒖𝒏 + 𝟐 𝒗𝒏 𝒗𝒏 𝟑 𝟑
𝒌=𝟎
𝟏 Exercice 05
⇒ 𝒖𝒏 = 𝟏 −𝟐 Soit l’équation différentielle : (𝐄): 𝐲 ′′ − 𝟒𝐲 ′ + 𝟏𝟑𝐲 = 𝟎
(𝟏 + 𝒏)
𝟑 1) Résoudre dans ℝ l’équation (𝐄)
𝟑 2) Déterminer la solution g de (𝐄)tel que :
⇒ 𝒖𝒏 = −𝟐
𝟏+𝒏 𝒈(𝟎) = 𝟎 et 𝒈′(𝟎) = 𝟑
c) Déterminer la limite de la suite (𝒖𝒏 ) 𝝅 𝟑
3) En déduire que∫𝟎 𝐬𝐢𝐧(𝟑𝐱) 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱 = (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 )
𝟑 𝟑 𝟏𝟑
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 − 𝟐 = −𝟐 ; car : 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 𝝅
4) Par une intégration par parties calculer ∫𝟎 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝐱) 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝟏+𝒏 𝒏→+∞ 𝟏+𝒏
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𝝅 𝝅
Solution d’exercice 05 (2,25 points ) 𝟏
𝐈 = ∫ 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱 = ∫ (𝟒𝐠′ (𝐱) − 𝐠′′ (𝐱)) 𝐝𝐱
Soit l’équation différentielle : (𝐄): 𝐲 ′′ − 𝟒𝐲 ′ + 𝟏𝟑𝐲 = 𝟎 𝟎 𝟎 𝟏𝟑
1) Résoudre dans ℝ l’équation (𝐄) 𝟒 𝝅
𝟏 𝝅
= ∫ 𝐠′(𝐱) 𝐝𝐱 − ∫ 𝐠′′(𝐱) 𝐝𝐱
L’équation caractéristique associée à (𝑬)est 𝒓𝟐 − 𝟒𝒓 + 𝟏𝟑 = 𝟎 𝟏𝟑 𝟎 𝟏𝟑 𝟎
On a ∆= (−𝟒)𝟐 − 𝟒 × 𝟏 × 𝟏𝟑 = −𝟑𝟔 < 𝟎 𝟒 𝟏 ′
= [𝐠(𝐱)]𝛑𝟎 − [𝐠 (𝐱)]𝛑𝟎
Donc l’équation caractéristique 𝒓𝟐 − 𝟒𝒓 + 𝟏𝟑 = 𝟎 , admet deux 𝟏𝟑 𝟏𝟑
𝟒+𝒊√𝟑𝟔 𝟒 𝟏
solutions complexes sont 𝒛𝟏 = = 𝟐 + 𝟑𝒊 et 𝒛𝟐 = ̅̅̅
𝒛𝟏 = (𝐠(𝛑) − 𝐠(𝟎)) − (𝐠 ′ (𝛑) − 𝐠′(𝟎))
𝟐×𝟏 𝟏𝟑 𝟏𝟑
Donc les solutions de l’équation (𝑬)sont les fonctions y définie 𝟒 𝟏
= (𝐬𝐢𝐧(𝟑𝛑)𝐞𝟐𝛑 − 𝟎) − (−𝟑𝒆𝟐𝛑 − 𝟑)
sur ℝ par : 𝒚(𝒙) = (𝜶𝒄𝒐𝒔(𝟑𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙))𝒆𝟐 𝒙 𝒐𝒖 𝜶; 𝜷 ∈ ℝ 𝟏𝟑 𝟏𝟑
𝟒 𝟏
= (𝟎 − 𝟎) + (𝟑𝒆𝟐𝛑 + 𝟑)
2) Déterminer la solution g de (𝐄)tel que : 𝟏𝟑 𝟏𝟑
𝟑
𝒈(𝟎) = 𝟎 et 𝒈′(𝟎) = 𝟑 = (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 )
𝟏𝟑
On a 𝒈(𝒙) = (𝜶 𝒄𝒐𝒔(𝟑𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙))𝒆 𝟐𝒙 ; 𝜶 ; 𝜷 ∈ ℝ
Déterminons 𝜶 𝒆𝒕 𝜷 tels que 𝐠(𝟎) = 𝟎 𝐞𝐭 𝐠′ (𝟎) = 𝟑 𝝅
4) Par une intégration par parties calculer 𝑱 = ∫𝟎 𝐜𝐨𝐬(𝟑𝐱) 𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱
𝒈′ = (−𝟑𝜶𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙) + 𝟑𝜷𝒄𝒐𝒔(𝟑𝒙))𝒆𝟐𝒙 + 𝟐𝒆 𝟐𝒙 (𝜶 𝒄𝒐𝒔(𝟑𝒙) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙))
𝐮(𝐱) = 𝐞𝟐𝐱 𝐮′ (𝐱) = 𝟐𝐞𝟐𝐱
𝒈(𝟎) = 𝟎 𝜶𝒄𝒐𝒔(𝟎) + 𝜷𝒔𝒊𝒏(𝟎) = 𝟎 𝜶=𝟎 Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
{ ′ ⟺{ ⟺{ 𝐯 (𝐱) = 𝐜𝐨𝐬 (𝟑𝐱)
𝟏
𝐯(𝐱) = − 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙)
𝐠 (𝟎) = 𝟑 𝟑𝜷𝒄𝒐𝒔(𝟎) + 𝟐𝜶𝒄𝒐𝒔(𝟎) = 𝟑 𝟑𝜷 + 𝟐𝜶 = 𝟑 𝟑
𝜶=𝟎 𝜶=𝟎 Il s’ensuit donc :
⟺{ ⟺{
𝟑𝜷 = 𝟑 𝜷=𝟏 𝟏 𝟐𝐱 𝛑
𝟐 𝛑
D’où 𝒈(𝒙) = 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙)𝒆𝟐 𝒙 𝐉 = [− 𝐞 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙)] + ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙)𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱
𝟑 𝟎 𝟑 𝟎
𝟏 𝟎 𝟏 𝟎 𝟐 𝛑
3) Vérifier que 𝒈′ (𝛑) = −𝟑𝒆𝟐𝛑 puis en déduire que : = − 𝐞 𝒔𝒊𝒏(𝟎) + 𝐞 𝒔𝒊𝒏(𝟎) + ∫ 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙)𝐞𝟐𝐱 𝐝𝐱
𝝅
𝟑 𝟑 𝟑 𝟎
𝟑 𝛑
∫ 𝐠(𝐱) 𝐝𝐱 = (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 ) 𝟐
𝟏𝟑 = 𝟎 + ∫ 𝒈(𝒙) 𝐝𝐱
𝟎 𝟑 𝟎
𝟐𝒙
On a : 𝒈(𝒙) = 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙)𝒆 𝟐 𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒈′ (𝒙) = 𝟑𝒄𝒐𝒔(𝟑𝒙)𝒆𝟐𝒙 + 𝟐𝒆 𝟐𝒙 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝒙) = × (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 )
𝟑 𝟏𝟑
Donc 𝒈′ (𝛑) = 𝟑𝒄𝒐𝒔(𝟑𝛑)𝒆𝟐𝛑 + 𝟐𝒆 𝟐𝛑 𝒔𝒊𝒏(𝟑𝛑) = −𝟑𝒆𝟐𝛑 𝟐
On a g est une solution de (E) donc 𝐠 ′′ (𝐱) − 𝟒𝐠 ′ (𝐱) + 𝟏𝟑𝐠(𝐱) = 𝟎 = (𝟏 + 𝐞𝟐𝝅 )
𝟏𝟑
𝟏
Donc 𝒈(𝐱) = (𝟒𝐠 ′ (𝐱) − 𝐠 ′′ (𝐱))
𝟏𝟑
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Solution du problème (6,75 points ) B) f une fonction définit sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[ par : 𝐟(𝐱) = (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
A) Soit g une fonction définit sur ]𝟎; +∞[par : 𝐠(𝐱) = 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏 1) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞
𝐱→𝟎
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+(𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
𝐱→𝟎 𝐱→+∞
𝐱→𝟎+ 𝐱→𝟎
𝐥𝐢𝐦+𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱𝐥 𝐧 𝒙 − 𝒙 + 𝟏 = 𝟏 = −∞
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦+ 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦+ − 𝒙 + 𝟏 = 𝟏 𝑪𝒂𝒓: 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏 𝒙 = −∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝒙−𝟏 = 𝐞−𝟏 > 𝟎
𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎+
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏 Interpréter le résultat géométriquement
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) + 𝟏 On a : 𝐥𝐢𝐦+𝐟(𝐱) = −∞ donc la droite d’équation 𝒙 = 𝟎 ; c-à-dire l’axe
𝐱→+∞ 𝐱→𝟎

= +∞ des ordonnées est une asymptote verticale à la courbe (𝐂𝐟 )


𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝐱 = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 = +∞ 2) Etudier la branche infinie de (𝐂𝐟 ) au voisinage de +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
2) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙) 𝐱→+∞ 𝐱→+∞

f est dérivable sur ]𝟎; +∞[ car c’est une somme de deux fonctions = 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙 𝐞−𝟏
𝐱→+∞
dérivable sur ]𝟎; +∞[ = +∞
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝒙 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
𝟏
𝒈′ (𝐱) = 𝟏 × 𝒍𝒏(𝒙) + 𝒙 × − 𝟏 + 𝟎 𝐟(𝐱) (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
𝒙 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝐱→+∞ 𝒙 𝐱→+∞ 𝒙
( )
= 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟏 − 𝟏
𝐞𝒙 −𝟏
= 𝒍𝒏(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞
𝐱→+∞ 𝒙
Donc : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ ; 𝒈′ (𝐱) = 𝒍𝒏(𝒙) = +∞
3) Dresser le tableau de variations de g sur ]𝟎; +∞[ 𝐞𝒙
Car 𝐥𝐢𝐦 (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 = +∞
On sait que ∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏]; 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟏; +∞[; 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
𝐟(𝐱)
,donc : On a : 𝐥𝐢𝐦 𝐟(𝐱) = +∞ et 𝐥𝐢𝐦 = +∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝒙
x 𝟎 1 +∞ Donc la courbe (𝐂𝐟 ) admet une branche parabolique de direction

𝒈 (𝒙) − 0 + l’axe des ordonnées au voisinage de +∞
1 𝒈(𝒙)
3 )a) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏
𝒈(𝒙) +∞ 𝒙

𝒈(𝟏) = 𝟎 La fonction 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏𝒙 − 𝟏 est dérivable sur ]𝟎; +∞[


4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 La fonction 𝒙 ⟼ 𝐞𝒙−𝟏 est dérivable sur ]𝟎; +∞[
Le nombre 0 est une valeur minimale de la fonction g sur ]𝟎; +∞[ Donc la fonction f est dérivable sur l’intervalle ]𝟎; +∞[ car c’est une
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 somme de deux fonctions dérivables sur ]𝟎; +∞[
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Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ 4) Soit h une fonction définit sur 𝑰 par : 𝐡(𝐱) = 𝟐𝒙 + 𝒙𝟐 𝒍𝒏𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏
𝟏 a) Calculer h(1) puis déterminer le signe de h sur 𝑰 = ]𝟎; +∞[
𝒇′ (𝐱) = × 𝐞𝒙−𝟏 + (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏
𝒙 𝐡(𝐱) = 𝟐 + 𝒍𝒏𝟏 − 𝟏𝟐 − 𝟏 = 𝟎
𝐞𝒙−𝟏 On distingue deux cas ; 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] 𝒆𝒕 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[
= + 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏
𝒙 𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏]
𝐞𝒙−𝟏 + 𝒙 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐱 𝐞𝒙−𝟏 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ 𝒙 ≤ 𝟏 𝒆𝒕 𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓𝒊𝒄𝒕𝒆𝒎𝒆𝒏𝒕 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓]𝟎; 𝟏]
=
𝒙 ⟹ 𝒉(𝒙) ≤ 𝒉(𝟏)
𝒙−𝟏
𝐞 (𝟏 + 𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝐱)
= ⟹ 𝒉(𝒙) ≤ 𝟎
𝒙 𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[
𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏
= 𝐞 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ 𝟏 ≤ 𝒙 𝒆𝒕 𝒉 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓𝒊𝒄 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓[𝟏; +∞[
𝒙
b) Dresser le tableau de variation de f en justifiant votre réponse ⟹ 𝒉(𝟏) ≤ 𝒉(𝒙)
⟹ 𝟎 ≤ 𝒉(𝒙)
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[ On dresse le tableau de signe de h sur ]𝟎; +∞[
𝒈(𝒙) 𝒙−𝟏 x 𝟎 𝟏 −∞
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐞
𝒙 𝒉(𝒙) - 𝟎 +
𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ 𝒙 > 𝟎 𝒆𝒕 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎 b) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ]𝟎; +∞[; : 𝐟 ′′ (𝐱) =
𝐡(𝐱)
𝐞𝒙−𝟏
𝒙𝟐
Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎 𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙)
′(
𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 𝐱) =
D’où la fonction f est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[ 𝒙

x 𝟎 +∞ [𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙) + 𝐞𝒙−𝟏 𝒈′ (𝒙)]𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏 𝒈(𝒙)


′′ (
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝐟 𝐱) =
𝒙
𝒇′ (𝒙) +
′′ (
[𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏) + 𝐞𝒙−𝟏 𝒍𝒏(𝒙)]𝒙 − 𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙 + 𝟏)
+∞ 𝐟 𝐱) =
𝒇(𝒙) 𝒙𝟐
−∞ 𝐞𝒙−𝟏 (𝐱 𝟐 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙𝟐 + 𝐱 + 𝐱𝒍𝒏(𝒙) − 𝒙𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 − 𝟏)
𝐟 ′′ (𝐱) =
c) Déterminer l’équation de la tangente (𝑻) de (𝐂𝐟 ) au point 1 𝒙𝟐
(𝑻): 𝒚 = 𝒇′ (𝟏)(𝒙 − 𝟏) + 𝒇(𝟏) ′′ (
𝐞𝒙−𝟏 (𝟐𝐱 + 𝐱 𝟐 𝒍𝒏 𝒙 − 𝒙𝟐 − 𝟏)
𝐟 𝐱) =
𝒙𝟐
𝒈(𝟏) 𝟏−𝟏
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝟏) = 𝐞 =𝟎 𝒆𝒕 𝒇(𝟏) = −𝟏 𝐞𝒙−𝟏 𝒉(𝒙)
𝟏 ′′ (
𝐟 𝐱) =
(𝑻): 𝒚 = −𝟏 𝒙𝟐
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶
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c) Etudier la convexité de (𝐂𝐟 ) puis justifier que la courbe (𝐂𝐟 ) 7) Tracer et (𝐂𝐟 ) et (𝑪𝒇−𝟏 ) dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋)
admet un point d’inflexion unique au point d’abscisse 1
𝐞𝒙−𝟏 𝒉(𝒙)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ (𝐱) = 𝒅𝒆 𝒑𝒍𝒖𝒔 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎 𝒆𝒕 𝒙𝟐 > 𝟎
𝒙𝟐 (𝐂𝐟 )
Donc le signe de 𝐟 ′′ est le signe de h sur ]𝟎; +∞[
d’où le tableau de concavité suivant :
x 𝟎 𝟏 +∞
𝒇’’(𝒙) − 𝟎 +
La convexité de 𝐜𝐨𝐧𝐜𝐚𝐯𝐞 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐜𝐨𝐧𝐯𝐞𝐱𝐞
la courbe (𝑪𝒇) ∩ 𝐀(𝟏; 𝟎) ∪ (𝑪𝒇−𝟏 )

𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐝 𝐢𝐧𝐟𝐥𝐞𝐱𝐢𝐨𝐧
𝐝𝐞 (𝑪𝒇)
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐟 ′′ s’annule et change de signe en 1 donc le point 𝐀(𝟏; 𝟎)
est une point d’inflexion de (𝑪𝒇)
5) Résoudre dans 𝑰 l’équation 𝐟(𝐱) = 𝟎 puis interpréter le
résultat géométriquement
1
𝐟(𝐱) = 𝟎 ⇔ (𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏) 𝐞𝒙−𝟏 = 𝟎
⇔ 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒄𝒂𝒓 𝐞𝒙−𝟏 > 𝟎 𝐞
⇔ 𝒍𝒏 𝒙 = 𝟏
⇔ 𝒙=𝒆 𝐲=𝐱
Interprétation géométrique
La courbe (𝑪𝒇) coupe l’axe des abscisses au point 𝐀(𝒆; 𝟎)
6) Montrer que f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 sur un
intervalle J à déterminer
La fonction f est dérivable sur l’intervalle ]𝟎; +∞[ donc elle est
continue sur ]𝟎; +∞[
La fonction f est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
Donc la fonction f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie sur
un intervalle J tel que 𝑱 = 𝒇(]𝟎; +∞[) = ]−∞; +∞[
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Maths Durée 3 heurs Modèle 04 2 BAC BIOF 1 Maths Durée 3 heurs Modèle 04 2 BAC SC 2
INSTRUCTIONS GENERALE 03p Exercice 02
m) L’utilisation de la calculatrice non programmable est On considère les points 𝐀(𝟑; −𝟐; 𝟐), 𝐁(−𝟏; 𝟔; 𝟒) et 𝐂(𝟓; 𝟒; 𝟒) et
autorisée (𝐒) la sphère de diamètre [𝑨𝑩]
n) Le candidat peut traiter les exercices suivant l’ordre qui 1) Vérifier que le triangle ABC est rectangle en C puis en
0.5 déduire que C appartient à (S)
lui convient
o) L’utilisation du couleur rouge est à éviter 2) Montrer que l’équation de sphère (S) est :
0.5 (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
Exercice 1 Probabilités 3 points 5 points
3) Déterminer une équation cartésienne du plan (P)
Exercice 2 Géométrie dans l’espace 3 points 3 points
0.5 tangente à (S) au point C
Exercice 3 Nombre complexe 3 points 9 points
4) Soit (∆) la droite passante par le point D(4 ;3 ;2) et de
Exercice 4 Suite numérique 3 points vecteur directeur 𝐮 ⃗ (𝟏; 𝟎; 𝟑)
Problème Etude d’une fonction ln 8 points 0.5 a) Montrer que 𝒅(𝛀; (∆)) = √𝟏𝟏 où 𝛀 est le centre de (S)
03P Exercice 01 b) Déterminer les coordonnées des points d’intersections de
Une urne contient 10 boules : cinq 0.5 la droite (∆) et la sphère (S) s’il existe
boules rouges, trois jaunes et deux 5) Soit le plan (𝑸): 𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝒅 = 𝟎
0. 5 Trouver les valeurs de d pour que (Q) soit tangente à (S)
boules vertes, sont indiscernables
03P Exercice 03
au toucher.
On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮 ⃗ ; 𝐯⃗) les points
On tire simultanément 3 boules de
𝑨(𝒂) 𝒆𝒕 𝑩(𝒃)tel que 𝒂 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 ; 𝒃 = 𝒂 ̅
ce sac 0.5 1) Ecrire a sous forme trigonométrique
1) On considère les événements suivants: 0.5 2) Montrer que 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 est un nombre réel
𝑨: " Les trois boules sont de la même couleurs” 3) Soit R la rotaion qui transforme M(z) en M(z’) tel que :
𝑩 “Les trois boules sont chacune de couleur différente’’
𝒛′ = 𝒊𝒛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
𝑪 “Parmi les boules tirées, il y a au moins une boules verte ” 0.5
𝟖
a) Détérminer le centre et l’angle de rotation R
1.5 Calculer 𝑷(𝑨) 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) puis montrer que : 𝑷(𝑪) = 𝟏𝟓 0.25 b) Montrer que B est l’image de point A par la rotation 𝑹
2) Soit 𝑿 la variable aléatoire qui, à chaque tirage, associe le c) Soit c l’affixe du le point C l’image de B par la rotation R
nombre de couleurs obtenue . 0.25 Vérifier que 𝒄 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔
𝒂−𝒃
a) Déterminer les valeurs de X. 0.5 d) Calculer puis en déduire la nature du triangle ABC
𝒄−𝒃
0.5 𝟕𝟗
b) Montrer que 𝑷(𝑿 = 𝟐) = 4) Soit Dl’image de C par la translation T de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
0.5 𝟏𝟐𝟎
0.5 c) Déterminer la loi de probabilité de 𝑿 0.5 Montrer que le quadrilatère ABCD estun carré
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Maths Durée 3 heurs Modèle 04 2 BAC BIOF 3 Maths Durée 3 heurs Modèle 04 2 BAC sc 4
3p Exercice 04 B) Soit 𝒇 la fonction définie sur [𝟎; +∞[ par :
Soit (𝒖𝒏 ) la suite définit par : 𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝟑 + 𝑼𝒏 𝒇(𝒙) = ;𝒙 > 𝟎
{ 𝟏+𝒙
(∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒆𝒕 𝑼𝟎 = 𝟐
𝟓 − 𝑼𝒏 𝒇(𝟎 ) = 𝟎
1P 1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟏 < 𝑼𝒏 < 𝟑 Et (𝑪𝒇 ) sa courbe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋).
(𝒖𝒏 −𝟏)(𝒖𝒏 −𝟑)
2) Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = , puis en (Unité 2cm)
𝟓−𝒖𝒏
0.75
déduire que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente 0.25 1)a) Montrer que 𝒇 est continue à droite en 0.
𝒇(𝒙)
3) Soit (𝒗𝒏 ) la suite définit par : b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ et que 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 , puis
0.75 𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
𝑼𝒏 − 𝟏 interpréter graphiquement le résultat.
(∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝒗𝒏 =
𝟑 − 𝑼𝒏 𝒇(𝒙)
𝟏 0.5
2)a)Montrer que 𝐥𝐢𝐦+ = −∞ , puis interpréter le résultat
𝒙→𝟎 𝒙
a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite géométrique et de raison
0.5 𝟐 géométriquement
c) Calculer 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ 𝟒𝒈(𝒙)
0.5 0.5 b) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐
0.25
d) Calculer la limite de (𝒖𝒏 )
c) Déduire que 𝒇 est strictement croissante sur l’intervalle
Problème 0.5 [𝜶; +∞[ et strictement décroissante sur l’intervalle [𝟎; 𝜶]
8P
A) Soit 𝒈 la fonction définie sur ]𝟎; +∞[ par d)Montrer que 𝒇(𝜶) = −𝟒𝜶 et dresser le tableau de
0.5
𝒈(𝒙) = 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙 variations de 𝒇
𝟒(𝟏−𝒙𝟐 −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙)
0.5 1)a)Montrer que 𝒈 est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[ 3)a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′′ (𝒙) =
0.5 𝒙(𝒙+𝟏)𝟑
0.5 b)Montrer que l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎 admet une unique
𝟏 𝟏 0.75
b) Etudier le signe de 𝟏 − 𝒙𝟐 et −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 sur ]𝟎; +∞[ et en
solution 𝜶 dans ]𝟎; +∞[ et que < 𝜶 < . déduire que le point d’abscisse 1 est l’unique point
𝟓 𝟐
𝟏
(𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒈 ( ) ≅ −𝟎, 𝟒 ) d’inflexion de (𝑪𝒇 ).
𝟓
0.5 6) Déduire que (∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶]): 𝒈(𝒙) ≤ 𝟎 et 0.25 c)Donner l’équation de la tangente (𝑻) à (𝑪𝒇 ) au point
(∀𝒙 ∈ [𝜶; +∞[): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎 d’abscisse1
0.5 7) Calculer l’intégrale suivante : ∫𝐞 𝒈(𝒙)𝐝𝐱 0.75 4) Tracer (𝑪𝒇 ) dans le repère (𝑶; 𝒊; 𝒋).( On donne 𝜶 ≈ 𝟎. 𝟐𝟓)
𝟏
C) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur l’intervalle [𝜶; +∞[.
−𝟏
0.25 1) Montrer que 𝒉 admet une fonction réciproque 𝒉 définie 𝑱
0.5 2) Montrer que 𝒉−𝟏 est dérivable en 𝟎 puis calculer (𝒉−𝟏 )′ (𝟎)
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Solution d’exercice 01 (3 points) 2) Soit 𝑋 la variable aléatoire qui relie chaque tirage, le nombre de
On tire simultanément 3 boules de ce couleurs obtenue
sac parmi 10 boules a) Déterminer les valeurs de 𝑋
On considère les événements suivants: (𝐗 = 𝟏) : Un couleurs donc les trois boules sont de la même
1) Calculer 𝑷(𝑨) 𝒆𝒕 𝑷(𝑩) puis montrer couleur donc c’est l’événement A
𝟖 (𝐗 = 𝟐) : Deux couleurs obtenues dans les trois boules
que : 𝑷(𝑪) =
𝟏𝟓 (𝐗 = 𝟑) : Trois couleurs donc Les trois boules sont chacune de
L’univers 𝛀 associé à cette expérience aléatoire est l’ensemble couleur différente’’ donc c’est l’événement B
des combinaisons de trois boules parmi dix boules b) Montrer que 𝑷(𝑿 = 𝟐) =
𝟕𝟗
𝟏𝟐𝟎
Donc le nombre des possibilités est On a (𝐗 = 𝟐) : Deux couleurs obtenues dans les trois boules
𝟏𝟎 × 𝟗 × 𝟖 Donc l’événement contraire de (𝐗 = 𝟐) est (𝐗 = 𝟏) 𝒐𝒖 (𝐗 = 𝟑)
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟏𝟎 = = 𝟏𝟐𝟎 Donc 𝑷(𝑿 = 𝟐) = 𝟏 − (𝑷(𝑿 = 𝟏) + 𝑷(𝑿 = 𝟑))
𝟑×𝟐
𝑨: " Les trois boules sont de la même couleurs” = 𝟏 − (𝑷(𝑨) + 𝑷(𝑩))
𝟏𝟏 𝟑𝟎
𝟓×𝟒×𝟑 =𝟏−( + )
𝟑 𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) = 𝑪𝟑 + 𝑪𝟓 = 𝟏 + = 𝟏𝟏 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎
𝟑×𝟐 𝟒𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝟏𝟏 = 𝟏 − ( )
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨) = = 𝟏𝟐𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟕𝟗
=
𝑩 “Les trois boules sont chacune de couleur différente’’ 𝟏𝟐𝟎
c) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) = 𝑪𝟏𝟐 × 𝑪𝟏𝟑 × 𝑪𝟏𝟓 = 𝟐 × 𝟑 × 𝟓 = 𝟑𝟎
𝟏𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩) 𝟑𝟎 𝟏 𝐏(𝐗 = 𝟏) = 𝑷(𝑨) =
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩) = = = 𝟏𝟐𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟒 𝟕𝟗
𝐏(𝐗 = 𝟐 ) =
𝑪 “Parmi les boules tirées, il y a au moins une boules verte ” 𝟏𝟐𝟎
̅ « Aucune boule tirée n’est verte 𝟏
L’événement contraire de B est 𝑪 𝐏(𝐗 = 𝟑) = 𝐩(𝐁) =
𝟖×𝟕×𝟔 𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 ̅ ) = 𝑪𝟖 =
𝟑
= 𝟓𝟔 D’où le tableau de la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
𝟑×𝟐
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑪 ̅) 𝟓𝟔 𝟕 𝐱𝐢 1 2 3
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑪 ̅) = = = 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 ) 𝟏𝟏 𝟕𝟗 𝟏
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟓
𝟕 𝟖 𝟏𝟐𝟎 𝟏𝟐𝟎 𝟒
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐂) = 𝟏 − 𝒑(𝑪 ̅) = 𝟏 − =
𝟏𝟓 𝟏𝟓
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Solution d’exercice 02 (3 points) Donc (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; 𝟐 ; 𝟑) et de rayon 𝑹 = √𝟐𝟏
On considère les points 𝐀(𝟑; −𝟐; 𝟐), 𝐁(−𝟏; 𝟔; 𝟒) et 𝐂(𝟓; 𝟒; 𝟒) et (𝐒) 𝟓−𝟏 𝟒
la sphère de diamètre [𝑨𝑩] ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Le vecteur 𝜴𝑪 (𝟒 − 𝟐) = (𝟐) est normal au plan (P)
𝟒−𝟑 𝟏
1) Vérifier que le triangle ABC est rectangle en C puis en déduire 𝟓−𝟏 𝟒
que C appartient à (S) Comme ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝜴𝑪 (𝟒 − 𝟐) = (𝟐) est un vecteur normal au (P), une
−𝟐 −𝟔 𝟒−𝟑 𝟏
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑪𝑨 (−𝟔) et 𝑪𝑩 ( 𝟐 ), donc équation cartésienne de (P) est de la forme 𝟒𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 + 𝒅 = 𝟎
−𝟐 𝟎 Le point 𝑪(𝟓; 𝟒; 𝟒) appartient au plan, donc :
−𝟐 −𝟔
⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑩 = (−𝟔) . (−𝟐) = −𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟎 = 𝟎 𝟒 × (𝟓) + 𝟐 × (𝟒) + (𝟒) + 𝒅 = 𝟎 donc 𝟑𝟐 + 𝒅 = 𝟎 et donc : 𝒅 = −𝟑𝟐.
−𝟐 𝟎 D’où (𝑷): 𝟒𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝒛 − 𝟑𝟐 = 𝟎
Donc ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑪𝑨 𝒆𝒕 𝑪𝑩⃗⃗⃗⃗⃗⃗ sont orthogonaux 4) Soit (∆) la droite passante par le point D(4 ;3 ;2) et de vecteur
Donc le triangle ABC est rectangle en C directeur 𝐮 ⃗ (𝟏; 𝟎; 𝟑)
a) Montrer que 𝒅(𝛀; (∆)) = √𝟏𝟏 où 𝛀 est le centre de (S)
On a ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑨. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑪𝑩 = 𝟎 et on sait que l’ensemble des point M tel que
Rappel :
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝑴𝑩
𝑴𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎 et la sphère de diamètre [𝑨𝑩] Distance d’un point 𝛀 à une droite (𝑫)
D’où C appartient à (S) (∆) la droite qui passe par 𝑫 et de vecteur directeur ⃗⃗⃗𝒖 et 𝛀 un
2) Montrer que l’équation de sphère (S) est : ‖⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐃∧⃗⃗⃗𝒖‖
point de l’espace Alors 𝒅(𝛀; (∆)) = ‖⃗⃗⃗ ‖
(𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏 𝒖
𝟑 𝟏
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺) ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝟏 𝟎 𝟏 𝟎 𝟑 𝟏 ⃗
𝛀𝐃 ∧ ⃗⃗⃗𝒖 = ( 𝟏 ) ∧ (𝟎) = | |𝒊 − | |𝒋 + | |𝒌
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .𝑩𝑴
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟎 −𝟏 𝟑 −𝟏 𝟑 𝟏 𝟎
𝐌(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑪) ⇔ 𝑨𝑴 −𝟏 𝟑
𝒙−𝟑 𝒙+𝟏 = 𝟑𝒊 − 𝟏𝟎𝒋 − ⃗𝒌
⇔ (𝒚 + 𝟐 ) . (𝒚 − 𝟔 ) = 𝟎 Donc ‖⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐃 ∧ ⃗⃗⃗𝒖‖ = √𝟑𝟐 + (−𝟏𝟎)𝟐 + (−𝟏)𝟐 = √𝟏𝟏𝟎
𝒛−𝟐 𝒛−𝟒 𝑬𝒕 𝒐𝒏 𝒂 ∶ ‖⃗⃗⃗𝒖‖ = √𝟏𝟐 + 𝟎𝟐 + 𝟑𝟐 = √𝟏𝟎
⇔ (𝒙 − 𝟑)(𝒙 + 𝟏) + (𝒚 ∓ 𝟐)(𝒚 − 𝟔) + (𝒛 − 𝟐)(𝒛 − 𝟒) = 𝟎 ‖⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐃 ∧ ⃗⃗⃗𝒖‖ √𝟏𝟏𝟎
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒅(𝛀; (∆)) = = = √𝟏𝟏
⇔ 𝒙𝟐 + 𝒙 − 𝟑𝒙 − 𝟑 + 𝒚𝟐 − 𝟔𝒚 + 𝟐𝒚 − 𝟏𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟒𝒛 − 𝟐𝒛 + 𝟖 = 𝟎 ‖⃗⃗⃗𝒖‖ √𝟏𝟎
⇔ 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝒚𝟐 − 𝟒𝒚 + 𝒛𝟐 − 𝟔𝒛 = −𝟕 b) Déterminer les coordonnées des points d’intersections de la
droite (∆) et la sphère (S) s’il existe
⇔ (𝒙 − 𝟏)𝟐 − 𝟏 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 − 𝟒 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 − 𝟗 = −𝟕 ‖⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝛀𝐃 ∧ ⃗⃗⃗𝒖‖
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒅(𝛀; (∆)) = = √𝟏𝟏 < √𝟐𝟏
⇔ (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏 ‖⃗⃗⃗𝒖‖
3) Déterminer une équation cartésienne du plan (P) tangente à Donc (∆) coupe (S) en deux points E et F
(S) au point C On résoudre le système suivant pour déterminer leurs
coordonnées :
On a (𝑺): (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
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𝒙=𝟒+𝒕 Solution d’exercice 03 (3 points)
(∆) ∶ { 𝒚 = 𝟑 (𝒕 ∈ ℝ) On considère dans le repère complexe ( 𝐎 ; 𝐮⃗ ; 𝐯⃗) les points
{
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕
𝑨(𝒂) 𝒆𝒕 𝑩(𝒃)tel que 𝒂 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 ; 𝒃 = 𝒂
̅
(𝑺) : (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 − 𝟐)𝟐 + (𝒛 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
1) Ecrire a sous forme trigonométrique
Donc (𝟒 + 𝒕 − 𝟏)𝟐 + (𝟑 − 𝟐)𝟐 + (𝟐 + 𝟑𝒕 − 𝟑)𝟐 = 𝟐𝟏
𝟐 𝟐
Donc (𝟑 + 𝒕)𝟐 + (𝟏)𝟐 + (𝟑𝒕 − 𝟏)𝟐 = 𝟐𝟏 |𝒂| = √√𝟔 + √𝟔 = √𝟏𝟐 = 𝟐√𝟑
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟏 + 𝟔𝒕 + 𝐭 𝟐 + 𝟏 + 𝟗𝐭 𝟐 − 𝟔𝐭 + 𝟏 − 𝟐𝟏 = 𝟎
√𝟔 √𝟔
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝟐 𝐭 𝟐 − 𝟏𝟖 = 𝟎 donc 𝐭 𝟐 = 𝟗 donc 𝒕 = √𝟗 𝒐𝒖 𝒕 = −√𝟗 𝒂 = √𝟔 + 𝒊√𝟔 = 𝟐√𝟑 ( +𝒊 )
𝟐√𝟑 𝟐√𝟑
Donc 𝒕 = 𝟑 𝒐𝒖 𝒕 = −𝟑
𝒙=𝟒+𝒕 √𝟐 √𝟐 𝝅 𝝅 𝛑
= 𝟐√𝟑 ( + 𝒊 ) = 𝟐√𝟑 (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ) = 𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒
On remplace 𝒕 = −𝟑 dans { 𝒚 = 𝟑 pour trouver E 𝟐 𝟐 𝟒 𝟒
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕 2) Montrer que 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 est un nombre réel
𝒙=𝟒−𝟑 𝛑 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅𝛑 𝛑
Donc{ 𝒚 = 𝟑 donc 𝑬(𝟏 ; 𝟑 ; −𝟕) On a 𝒂 = 𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒 et 𝒃 = 𝒂
̅ = 𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒 = 𝟐√𝟑𝐞−𝐢𝟒 donc :
𝛑 𝛑
𝒛=𝟐−𝟗 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 = (𝟐√𝟑𝐞𝐢𝟒 )𝟖 + (𝟐√𝟑𝐞−𝐢𝟒 )𝟖
𝒙=𝟒+𝒕 𝛑 𝛑
On remplace 𝒕 = 𝟑 dans { 𝒚 = 𝟑 pour trouver F = (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞𝐢𝟒×𝟖 + (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞−𝐢𝟒×𝟖
𝒛 = 𝟐 + 𝟑𝒕 = (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞𝟐𝛑𝐢 + (𝟐√𝟑)𝟖 𝐞−𝟐𝛑𝐢
𝒙=𝟒+𝟑 𝟖 𝟖
Donc{ 𝒚 = 𝟑 donc 𝑬(𝟕 ; 𝟑 ; 𝟏𝟏) = (𝟐√𝟑) (𝒄𝒐𝒔(𝟐𝛑) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝟐𝛑)) + (𝟐√𝟑) (𝐜𝐨𝐬(−𝟐𝛑) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 (−𝟐𝛑))
𝒛=𝟐+𝟗 𝟖
= (𝟐√𝟑) (𝟏 + 𝟎) + (𝟐√𝟑) (𝟏 + 𝟎)
𝟖

5) Soit le plan (𝑸): 𝒙 − 𝟒𝒚 + 𝟐𝒛 − 𝒅 = 𝟎 𝟖


Trouver les valeurs de d pour que (Q) soit tangente à (S) = 𝟐(𝟐√𝟑)
Rappel : DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN Donc que 𝒂𝟖 + 𝒃𝟖 est un nombre réel
| 𝒂𝒙𝛀 + 𝒃𝒚𝛀 + 𝒄𝒛𝛀 + 𝒅| 3) Soit R la rotaion qui transforme M(z) en M(z’) tel que :
𝒅(𝛀; (𝑷)) =
√𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 𝒛′ = 𝒊𝒛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
On a (Q) soit tangente à (S) donc 𝒅(𝛀; (𝑷)) = 𝐑 = √𝟐𝟏 a) Détérminer le centre et l’angle de rotation R
| 𝟏 − 𝟖 + 𝟔 + 𝒅| Soit 𝛀(𝛚) le centre de R donc 𝑹(𝛀) = 𝛀
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ = √𝟐𝟏
√𝟏𝟐 + (−𝟒)𝟐 + 𝟐𝟐 𝑹(𝛀) = 𝛀 ⇔ 𝛚 = 𝒊𝛚 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
|−𝟏+𝒅|
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ = √𝟐𝟏 donc ∶ |𝒅 − 𝟏| = 𝟐𝟏 ⇔ 𝛚 − 𝒊𝛚 = 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
√𝟐𝟏
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝒅 − 𝟏 = 𝟐𝟏 𝒐𝒖 𝒅 − 𝟏 = −𝟐𝟏 ⇔ 𝛚(𝟏 − 𝒊) = 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ 𝒅 = 𝟐𝟐 𝒐𝒖 𝒅 − 𝟏 = −𝟐𝟎 ⇔ 𝛚 = 𝟐 √𝟔
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𝒛′ = 𝒊𝒛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) ⇔ 𝒛′ − 𝟐√𝟔 = 𝒊𝒛 − 𝒊𝟐√𝟔 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝛑


⇒ 𝐁𝐀 = 𝐁𝐂 ⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐞𝐭 (𝐁𝐂 𝐁𝐀) ≡ [𝟐𝛑]
𝟐
⇔ 𝒛′ − 𝟐√𝟔 = 𝒊(𝒛 − 𝟐√𝟔) ⇒ 𝐋𝐞 𝐭𝐫𝐢𝐚𝐠𝐧𝐞 𝐀𝐁𝐂 𝐞𝐬𝐭 𝐢𝐬𝐨𝐜è𝐥𝐞 𝐞𝐭 𝐫é𝐜𝐭𝐚𝐧𝐠𝐥𝐞 𝐞𝐧 𝐁
𝛑
𝐢

⇔ 𝒛 − 𝟐√𝟔 = 𝐞 (𝒛 − 𝟐√𝟔)
𝟐 4) Soit D l’image de C par la translation T de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
𝛑
Donc R est la rotation de centre 𝛀(𝟐√𝟔) et d’angle Montrer que le quadrilatère ABCD est un carré
𝟐
b) Montrer que B est l’image de point A par la rotation 𝑹 On a D l’image de C par la translation T de vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨 donc
𝑹(𝐀) = 𝐌′ ⇔ 𝐳′ = 𝒊𝐚 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊) 𝑻𝑩𝑨 ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ (𝑪) = 𝐃 ⇔ 𝐂𝐃 = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑨
⇔ 𝐳′ = 𝒊(√𝟔 + 𝒊√𝟔) + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔 Donc le quadrilatère ABCD est un paralléloramme
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑
⇔ 𝐳′ = 𝒊√𝟔 − √𝟔 + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔 De plus on a (𝐁𝐂 𝐁𝐀) ≡ [𝟐𝛑]
𝟐
⇔ 𝐳′ = √𝟔 − 𝒊√𝟔 Donc le quadrilatère ABCD est un rectanle
⇔ 𝐳′ = 𝒂
̅ De plus on a 𝐁𝐀 = 𝐁𝐂
⇔ 𝐳′ = 𝒃 D’où Donc le quadrilatère ABCD est un carré
D’où B est l’image de point A par la rotation 𝑹 Exercice 04
c) Soit c l’affixe du le point C l’image de B par la rotation R Soit (𝒖𝒏 ) la suite définit par :
Vérifier que 𝒄 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔 𝟑 + 𝑼𝒏
(∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒆𝒕 𝑼𝟎 = 𝟐
𝟓 − 𝑼𝒏
𝑹(𝐁) = 𝐂 ⇔ 𝐜 = 𝒊𝐛 + 𝟐√𝟔(𝟏 − 𝒊)
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟏 < 𝑼𝒏 < 𝟑
⇔ 𝒄 = 𝒊(√𝟔 − 𝒊√𝟔) + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔
2) Soit (𝒗𝒏 ) la suite définit par :
⇔ 𝐜 = 𝒊√𝟔 + √𝟔 + 𝟐√𝟔 − 𝟐𝒊√𝟔 𝑼 −𝟏
(∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝒗𝒏 = 𝒏
⇔ 𝐜 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔 𝟑 − 𝑼𝒏
𝟏
⇔ 𝐜 = 𝟑√𝟔 − 𝒊√𝟔 a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite géométrique et de raison
𝟐
𝒂−𝒃
d) Calculer puis en déduire la nature du triangle ABC b) Calculer 𝒗𝒏 en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ
𝒄−𝒃
c) En déduire 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ
𝒂−𝒃 √𝟔 + 𝒊 √𝟔 − √𝟔 + 𝒊 √𝟔 𝟐𝒊√𝟔 𝛑
= = = 𝒊 = 𝐞𝐢 𝟐 d) Calculer la limite de (𝒖𝒏 )
𝒄 − 𝒃 𝟑 √𝟔 − 𝒊 √𝟔 − √𝟔 + 𝒊 √𝟔 𝟐 √𝟔
𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 𝒂−𝒃 2) Soit (𝑾𝒏 ) la suite définit par :
=𝐢⇒| | = |𝐢| 𝐞𝐭 𝐚𝐫𝐠( ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐢)[𝟐𝛑] (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝑾𝒏 = 𝒍𝒏(𝒖𝒏 )
𝒄−𝒃 𝒄−𝒃 𝒄−𝒃
|𝐚 − 𝐛| 𝒂−𝒃 𝛑 Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝑾𝒏
⇒ = 𝟏 𝐞𝐭 𝐚𝐫𝐠 ≡ [𝟐𝛑] 𝐱→+∞
|𝐜 − 𝐛| 𝒄−𝒃 𝟐 Solution d’exercice 04 (3 points)
𝐁𝐀 𝛑
⇒ =𝟏 𝐞𝐭 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐁𝐂 𝐁𝐀) ≡ [𝟐𝛑]
𝐂𝐁 𝟐
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Soit (𝒖𝒏 ) la suite définit par : 𝟑 + 𝒖𝒏 − 𝒖𝒏 (𝟓 − 𝒖𝒏 )
=
𝟑 + 𝑼𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏
(∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 = 𝒆𝒕 𝑼𝟎 = 𝟐
𝟓 − 𝑼𝒏 𝟑 + 𝒖𝒏 + 𝒖𝟐𝒏 − 𝟓𝒖𝒏
=
1) Montrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝟏 < 𝑼𝒏 < 𝟑 𝟓 − 𝒖𝒏
 Pour n=0 on a 𝟏 < 𝒖𝟎 = 𝟐 < 𝟑 qui est vrai. 𝒖𝟐𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 + 𝟑 (𝒖𝒏 − 𝟏)(𝒖𝒏 − 𝟑)
= =
 Soit 𝒏 ∈ ℕ 𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏
Car (𝒖𝒏 − 𝟏)(𝒖𝒏 − 𝟑) = 𝒖𝟐𝒏 − 𝟒𝒖𝒏 + 𝟑
Supposons que 𝟏 < 𝒖𝒏 < 𝟑 et montrons que 𝟐 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟒.
𝟏 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟑 ⇒ (𝒖𝒏 − 𝟑) < 𝟎 𝒆𝒕 (𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎 𝒆𝒕 𝟓 − 𝒖𝒏 > 𝟎
𝟑 + 𝒖𝒏 𝟑 + 𝒖𝒏 (𝒖𝒏 − 𝟑)(𝒖𝒏 − 𝟏)
∗ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟐 = −𝟏 ∗ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟑 = −𝟑 ⇒ <𝟎
𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏
𝟑 + 𝑼𝒏 − (𝟓 − 𝒖𝒏 ) 𝟑 + 𝑼𝒏 − 𝟑 (𝟓 − 𝒖𝒏 ) 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 < 𝟎
= =
𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝑼𝒏 Donc la suite (un) est décroissante
𝟐𝒖𝒏 − 𝟐 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟒𝒖𝒏 − 𝟏𝟐 𝟒(𝒖𝒏 − 𝟑) La suite (un) est décroissante et minorée par 1 donc elle est
= = = =
𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓 − 𝑼𝒏 𝟓 − 𝑼𝒏 convergente
Et on a 𝒖𝒏 < 𝟑 3) Soit (𝒗𝒏 ) la suite définit par :
On a 𝒖𝒏 > 𝟏 donc −𝒖𝒏 < −𝟏 𝒖𝒏 − 𝟏
Donc 𝒖𝒏 − 𝟑 < 𝟎 (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝒗𝒏 =
Donc 𝟓 − 𝒖𝒏 > 𝟒 donc 𝟓 − 𝒖𝒏 > 𝟎 𝟑 − 𝒖𝒏
donc 𝟒(𝒖𝒏 − 𝟑) < 𝟎 𝟏
Et 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 donc 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) > 𝟎 a) Monter que (𝒗𝒏 ) est une suite géométrique et de raison
Et 𝟓 − 𝑼𝒏 > 𝟎 ; 𝟐
𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟒(𝒖𝒏 −𝟑) 𝟐(𝒖𝒏 −𝟏)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ >𝟎 Donc >𝟎 𝑼𝒏+𝟏 − 𝟏 𝟓−𝒖𝒏
𝟓 − 𝒖𝒏 𝟓−𝑼𝒏 𝒗𝒏+𝟏 = = , 𝒅′ 𝒂𝒑𝒓è𝒔 𝒍𝒂 𝒒𝒖𝒆𝒔𝒕𝒊𝒐𝒏 𝟏)
𝟑 − 𝑼𝒏+𝟏 𝟒(𝟑−𝒖𝒏 )
Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 > 𝟎 Donc 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟑 < 𝟎 𝟓−𝑼𝒏
Donc 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟑 (**) 𝟐(𝒖𝒏 − 𝟏)
Donc 𝒖𝒏+𝟏 > 𝟐 . (*) =
𝟒(𝟑 − 𝒖𝒏 )
De (*) et (**) on déduit que 𝟐 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟒 𝟏 (𝒖𝒏 − 𝟏) 𝟏
 D'après le principe de récurrence, on a ∀𝒏 ∈ ℕ : 𝟐 < 𝒖𝒏 < 𝟒 = = 𝒗𝒏
𝟐 𝟑 − 𝒖𝒏 ) 𝟐
(𝒖 −𝟏)(𝒖𝒏 −𝟑)
2) Montrer que : (∀𝒏 ∈ ℕ), 𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = 𝒏 , puis en 𝟏
Donc (𝒗𝒏 ) est géométrique de raison 𝒒 = et 𝒗𝟎 =
𝒖𝟎 −𝟏 𝟏
= =𝟏
𝟓−𝒖𝒏
𝟐 𝟑−𝒖𝟎 𝟏
déduire que la suite (𝒖𝒏 ) est convergente
Soit n un entier naturel,
𝟑 + 𝑼𝒏
𝒖𝒏+𝟏 − 𝒖𝒏 = − 𝒖𝒏
𝟓 − 𝑼𝒏
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c) Calculer 𝒖𝒏 en fonction de n pour tout 𝒏 ∈ ℕ Solution du problème (8 points)
Soit n un entier naturel, A) Soit 𝒈 la fonction définie sur ]𝟎; +∞[ par 𝒈(𝒙) = 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙
𝟏
On a La suite (𝒗𝒏 ) est géométrique de raison 𝒒 = et 𝒗𝟎 = 𝟏 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+ 𝒈(𝒙) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙).
𝟐 𝒙→𝟎 𝒙→+∞
𝐥𝐢𝐦+ 𝒈(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙 = −∞
Donc 𝒗𝒏 = 𝒗𝟎 × (𝒒)𝒏−𝟎 𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
𝟏 𝒏 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏 + 𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+ 𝒍𝒏𝒙 = −∞
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
= ( )
𝟐 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 + 𝒙 + 𝒍𝒏𝒙 = +∞
𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝒖𝒏 − 𝟏 𝑪𝒂𝒓 𝐥𝐢𝐦 𝟏 + 𝒙 = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏𝒙 = +∞
𝒗𝒏 = ⇒ 𝒗𝒏 (𝟑 − 𝒖𝒏 ) = 𝒖𝒏 − 𝟏 𝒙→+∞ 𝒙→+∞
𝟑 − 𝒖𝒏
2)a)Montrer que 𝒈 est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
⇒ 𝟑𝒗𝒏 − 𝒖𝒏 𝒗𝒏 − 𝒖𝒏 = −𝟏 g est dérivable sur ]𝟎; +∞[ comme somme de deux fonctions
⇒ 𝒖𝒏 (−𝒗𝒏 − 𝟏) = −𝟑𝒗𝒏 − 𝟏 dérivables sur ]𝟎; +∞[ et on a ;
−𝟑𝒗𝒏 − 𝟏 𝟏
⇒ 𝒖𝒏 = 𝒈′ (𝒙) = 𝟏 + > 𝟎
−𝒗𝒏 − 𝟏 𝒙
𝟑𝒗𝒏 + 𝟏 𝒈 est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
⇒ 𝒖𝒏 = b)Montrer que l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶
𝒗𝒏 + 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
𝟏 𝒏 dans ]𝟎; +∞[ et que < 𝜶 < . ( 𝑶𝒏 𝒅𝒐𝒏𝒏𝒆 𝒈 ( ) ≅ −𝟎, 𝟒 )
𝟑( ) + 𝟏 𝟏 𝒏 𝟓 𝟐 𝟓
⇒ 𝒖𝒏 = 𝟐
, 𝒄𝒂𝒓 𝒗𝒏 = ( ) On a g est dérivable sur ]𝟎; +∞[ donc elle est continue sur ]𝟎; +∞[
𝟏 𝒏 𝟐
( ) +𝟏 Et on a 𝒈 est strictement croissante sur ]𝟎; +∞[
𝟐
De plus 𝒈(]𝟎; +∞[) = ] 𝐥𝐢𝐦+ 𝒈(𝒙) ; 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝒙)[ = ]−∞; +∞[
𝒙→𝟎 𝒙→+∞
d) Calculer la limite de (𝒖𝒏 ) Donc 𝟎 ∈ 𝒈(]𝟎; +∞[)
𝟏 𝟏 𝒏 D’où l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎 admet une unique solution 𝜶 ∈ ]𝟎; +∞[
𝑶𝒏 𝒂: − 𝟏 < < 𝟏 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦 ( ) = 𝟎 𝟏
Vérifions que < 𝜶 <
𝟏
𝟐 𝒏→+∞ 𝟐 𝟓 𝟐
Donc : 𝟏 𝟏
On a g est continue sur [ ; ]
𝟓 𝟐
𝟏 𝒏
𝟑( ) + 𝟏 Et g est strictement croissante sur [ ; ]
𝟏 𝟏
𝟐
𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 = 𝐥𝐢𝐦 𝟓 𝟐
𝒏→+∞ 𝒏→+∞ 𝟏 𝒏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏 𝟏
( ) +𝟏 𝑬𝑻: 𝒈 ( ) = −𝟎, 𝟒 𝒆𝒕 𝒈 ( ) = 𝟏 + + 𝒍𝒏 = 𝒍𝒏(𝒆) − 𝒍𝒏 𝟐 + > 𝟎
𝟐
𝟓 𝟐 𝟐 𝟐 𝟐
𝟎+𝟏 𝟏 𝟏
= 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒈 ( ) × 𝒈 ( ) < 𝟎
𝟎+𝟏 𝟓 𝟐
=𝟏 𝟏 𝟏
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ <𝜶<
𝟓 𝟐
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3) Déduire le signe de 𝒈(𝒙) pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ 𝒇(𝒙)
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝟏+𝒙
On distingue deux cas ; 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶] 𝒆𝒕 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[ 𝐥𝐢𝐦 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶] 𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝒙 ∈ ]𝟎; 𝜶] ⟹ 𝒙 ≤ 𝜶 𝒆𝒕 𝒈 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓]𝟎; 𝜶] = 𝐥𝐢𝐦
𝒙→+∞ 𝒙(𝟏 + 𝒙)
⟹ 𝒈(𝒙) ≤ 𝒈(𝜶) 𝟒 𝒍𝒏𝒙
⟹ 𝒈(𝒙) ≤ 𝟎 = 𝐥𝐢𝐦
𝒙→+∞ 𝟏 + 𝒙
𝑺𝒐𝒊𝒕 ∶ 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[ 𝟒 𝒍𝒏𝒙
= 𝐥𝐢𝐦 𝟏
𝒙 ∈ [𝜶; +∞[ ⟹ 𝜶 ≤ 𝒙 𝒆𝒕 𝒈 𝒆𝒔𝒕 𝒔𝒕𝒓 𝒄𝒓𝒐𝒊𝒔𝒔𝒂𝒏𝒕𝒆 𝒔𝒖𝒓[𝜶; +∞[ 𝒙→+∞ 𝒙( + 𝟏)
𝒙
⟹ 𝒈(𝜶) ≤ 𝒈(𝒙)
𝟒 𝒍𝒏𝒙 𝟏
⟹ 𝟎 ≤ 𝒈(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 ×𝟏 =𝟎
On dresse le tableau de signe de g sur ]𝟎; +∞[ 𝒙→+∞ 𝒙 +𝟏
𝒙
x 𝟎 𝜶 −∞ 𝒍𝒏𝒙 𝟏
𝒈(𝒙) - 𝟎 + 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎
𝒙→+∞ 𝒙 𝒙→+∞ 𝒙
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝒇(𝒙) = ;𝒙 > 𝟎 Interprétation géométrique :
B) Soit 𝒇 la fonction définie sur [𝟎; +∞[ par : { 𝟏+𝒙
𝒇(𝒙)
𝒇(𝟎 ) = 𝟎 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦 =𝟎
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
Et (𝑪𝒇 ) sa courbe dans un repère orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋).(unité 2cm) Donc la courbe (𝐂𝐟) admet une branche parabolique suivant l’axe
1)a) Montrer que 𝒇 est continue à droite en 0. des abscisses au voisinage de +∞
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦+ =𝟎 2)a) Montrer que 𝐥𝐢𝐦+
𝒇(𝒙)
= +∞ , puis interpréter le résultat géom
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝟏+𝒙 𝒙→𝟎 𝒙
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦+𝒙 𝒍𝒏𝒙 = 𝟎 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+𝟏 + 𝒙 = 𝟏 𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝒇(𝒙) 𝟏+𝒙
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝒙) = 𝒇(𝟎) 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙
Donc 𝒇 est continue à droite de 0. 𝟒 𝒍𝒏𝒙
= 𝐥𝐢𝐦+
𝒇(𝒙) 𝒙→𝟎 𝟏 + 𝒙
b) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = +∞ et que 𝐥𝐢𝐦 = 𝟎 , puis
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙 = −∞
interpréter graphiquement le résultat. 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦+𝒍𝒏𝒙 = −∞ 𝒆𝒕 𝐥𝐢𝐦+ 𝟏 + 𝒙 = 𝟏
𝒙→𝟎 𝒙→𝟎
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) = 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝒙) 𝒇(𝒙) − 𝒇(𝟎)
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝟏 + 𝒙 𝑫𝒐𝒏𝒄 𝐥𝐢𝐦+ = 𝐥𝐢𝐦+ = −∞
𝟒 𝒙 𝒍𝒏𝒙 𝟒 𝒍𝒏𝒙
𝒙→𝟎 𝒙 𝒙→𝟎 𝒙−𝟎
= 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝟏 = +∞ Donc f n’est pas dérivable à droite de 0
𝒙→+∞ 𝒙( + 𝟏) 𝒙→+∞ + 𝟏
𝒙 𝒙 Interprétation géométrique :
𝟏 la courbe (𝐂𝐟) admet une demis tangente verticale au point A(0 ;0)
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒍𝒏𝒙 = +∞ = 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 dirigée vers le bas
𝒙→+∞ 𝒙→+∞ 𝒙
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b) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐


𝟒𝒈(𝒙) d) Montrons que 𝒇(𝜶) = −𝟒𝜶
𝟒 𝜶 𝒍𝒏𝜶
On la fonction f est dérivable sur ]𝟎; +∞[ comme quotient de deux 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝜶) =
𝟏+𝜶
fonctions dérivable sur ]𝟎; +∞[ Et d’après la partie A) le 𝜶 est solution de l’équation 𝒈(𝒙) = 𝟎
𝐮 ′ 𝐮′ 𝐯 − 𝐮𝐯′ 𝟏 Donc 𝒈(𝜶) = 𝟎 donc 𝟏 + 𝜶 + 𝒍𝒏(𝜶) = 𝟎 donc 𝟏 + 𝜶 = −𝒍𝒏(𝜶)
𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍 ∶ ( ) = ; (𝐮𝐯)′ = 𝒖′ 𝒗 + 𝒖𝒗′ ; (𝐥𝐧 𝐱)′ =
𝐯 𝐯𝟐 𝐱 𝟒 𝜶 𝒍𝒏𝜶 𝟒 𝜶 𝒍𝒏𝜶
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇(𝜶) = = = −𝟒𝜶
𝟏 + 𝜶 −𝒍𝒏 (𝜶 )
𝟏
(𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒙 × ) (𝒙 + 𝟏) − (𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙 × 𝟏) On dresse le tableau de variations de 𝒇
𝒙
𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 ) 𝟐 x 0 𝜶 +∞
(𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒)(𝒙 + 𝟏) − 𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙 𝒇′ (𝒙) – 0 +
𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 ) 𝟐
𝟎 +∞
𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒙 + 𝟒 − 𝟒𝒙𝒍𝒏 𝒙 𝒇(𝒙)
𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 )𝟐 −𝟒𝜶
𝟒𝒍𝒏 𝒙 + 𝟒𝒙 + 𝟒 𝟒(𝟏−𝒙𝟐 −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙)
𝒇′ (𝒙) = 3)a) Montrer que pour tout 𝒙 ∈ ] 𝟎; +∞ [ : 𝒇 ′′ ( )
𝒙 =
( 𝒙 + 𝟏 )𝟐 𝒙(𝒙+𝟏)𝟑

𝟒(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏) 𝐮 ′ 𝐮 𝐯 − 𝐮𝐯′ 𝟏
′( )
𝒇 𝒙 = 𝑹𝒂𝒑𝒑𝒆𝒍 ∶ ( ) = 𝟐
; (𝐮𝒏 )′ = 𝒏𝒖′ 𝐮𝒏−𝟏 ; (𝐥𝐧 𝐱)′ =
(𝒙 + 𝟏 )𝟐 𝐯 𝐯 𝐱
𝟒𝒈(𝒙) 𝟒(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏)
𝒇′ (𝒙) = 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏 )𝟐 (𝒙 + 𝟏 )𝟐
𝟏
D’où pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐
𝟒𝒈(𝒙) 𝟒 ( + 𝟏) (𝒙 + 𝟏)𝟐 − 𝟒(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏) × 𝟐 × 𝟏 × (𝒙 + 𝟏)𝟏
𝒙
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇′′ (𝒙) =
(𝒙 + 𝟏)𝟒
c) Déduire que 𝒇 est strictement croissante sur l’intervalle 𝟏
[𝜶; +∞[ et strictement décroissante sur l’intervalle [𝟎; 𝜶] 𝟒 ( + 𝟏) (𝒙 + 𝟏)𝟐 − 𝟖(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏)(𝒙 + 𝟏)
𝒙
𝟒𝒈(𝒙) 𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇′′ (𝒙) =
On a : pour tout 𝒙 ∈ ]𝟎; +∞[ : 𝒇′ (𝒙) = (𝒙+𝟏)𝟐 et (𝒙 + 𝟏)𝟐 > 𝟎 (𝒙 + 𝟏 )𝟒
𝟏
Donc le signe de 𝒇′ est le signe de g sur ]𝟎; +∞[ 𝟒 ( + 𝟏) (𝒙 + 𝟏) − 𝟖(𝒍𝒏 𝒙 + 𝒙 + 𝟏)
𝒙
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇′′ (𝒙) =
Et on a d’après la partie A) le signe de g sur ]𝟎; +∞[ (𝒙 + 𝟏 )𝟑
x 𝟎 𝜶 −∞ 𝟒(𝟏+𝒙)𝟐 𝟐 𝒙 𝒍𝒏 𝒙+𝟐 𝒙𝟐 +𝟐𝒙
− 𝟒( )
𝒈(𝒙) - 𝟎 + 𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇′′ (𝒙) = 𝒙 𝒙
(𝒙 + 𝟏)𝟑
Donc 𝒇 est strictement croissante sur l’intervalle [𝜶; +∞[ et
𝟒[ 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟏 − (𝟐 𝒙 𝒍𝒏 𝒙 + 𝟐 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙)]
strictement décroissante sur l’intervalle [𝟎; 𝜶] ′′
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇 (𝒙) =
𝒙 (𝒙 + 𝟏 ) 𝟑
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′′ (
𝟒[ 𝒙𝟐 + 𝟐𝒙 + 𝟏 − 𝟐 𝒙 𝒍𝒏 𝒙 − 𝟐 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙)] c)Donner l’équation de la tangente (𝑻)
𝑫𝒐𝒏𝒄: 𝒇 𝒙) =
𝒙 (𝒙 + 𝟏 )𝟑 à (𝑪𝒇 )au point d’abscisse1
′′ ( )
𝟒(𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒇 𝒙 = (𝐓): 𝒚 = 𝒇′ (𝟏)(𝒙 − 𝟏) + 𝒇(𝟏)
𝒙 (𝒙 + 𝟏 )𝟑
b) Etudier le signe de 𝟏 − 𝒙𝟐 et −𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 sur ]𝟎; +∞[ et en déduire 𝒚 = 𝟐 × (𝒙 − 𝟏 ) + 𝟎 ,
que le point d’abscisse 1 est l’unique point d’inflexion de (𝑪𝒇 ). Donc (𝐓): 𝒚 = 𝟐𝒙 − 𝟐
′′ 𝟐
Il est clair que le signe de 𝒇 dépond de signe de 𝟏 − 𝒙 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙
4) Tracer (𝑻) et (𝑪𝒇 ) dans le repère (𝑶; 𝒊; 𝒋).( on donne 𝜶 ≈ 𝟎. 𝟐𝟓)
1ère méthode
On a : 𝟏 − 𝒙𝟐 = 𝟎 ⟹ 𝒙𝟐 = 𝟏 ⟹ 𝒙 = 𝟏
Et on a : −𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 = 𝟎 ⟹ 𝒍𝒏𝒙 = 𝟎 ⟹ 𝒙 = 𝟏 On a 𝜶 ≈ 𝟎. 𝟐𝟓 donc 𝒇(𝜶) = −𝟒𝜶 ≈ −𝟏
on dresse le tableau de signe de 𝟏 − 𝒙𝟐 et −𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 sur ]𝟎; +∞[
x 0 𝟏 +∞
𝟏−𝒙 𝟐
+ 0 −
−𝟐𝒙 𝒍𝒏𝒙 + 𝟎 − (𝑪𝒇 )
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏]
Donc 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≥ 𝟎
Donc 𝒇′′ (𝒙) ≥ 𝟎
𝑺𝒐𝒊𝒕 𝒙 ∈ [𝟏; +∞[
Donc 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≤ 𝟎
Donc 𝒇′′ (𝒙) ≤ 𝟎
D’où la fonction 𝒇′′ s’annule et change de signe en 1
Donc le point d’abscisse 1 est l’unique point d’inflexion de (𝑪𝒇 ). (𝐓 )
2ème méthode
𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ 𝒙𝟐 ≤ 𝟏 ⟹ 𝟏 − 𝒙𝟐 ≥ 𝟎
𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ⟹ −𝟐𝒙 ≤ 𝟎 𝒆𝒕 𝒍𝒏(𝒙) ≤ 𝟎 ⟹ −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≥ 𝟎
Donc ∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏] ∶ 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≥ 𝟎
𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ 𝒙𝟐 ≥ 𝟏 ⟹ 𝟏 − 𝒙𝟐 ≤ 𝟎
𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ⟹ −𝟐𝒙 ≤ 𝟎 𝒆𝒕 𝒍𝒏(𝒙) ≥ 𝟎 ⟹ −𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≤ 𝟎
Donc ∀𝒙 ∈ [𝟏; +∞[ ∶ 𝟏 − 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙𝒍𝒏𝒙 ≤ 𝟎
D’où la fonction 𝒇′′ s’annule et change de signe en 1
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C) Soit 𝒉 la restriction de 𝒇 sur l’intervalle [𝜶; +∞[.
Donc ∀ 𝒙 ∈ [𝜶; +∞[ ∶ 𝒉(𝒙) = 𝒇(𝒙)

1) Montrer que 𝒉 admet une fonction réciproque 𝒉−𝟏 définie 𝑱 à


déterminer
 f est dérivable sur ]𝟎, +∞[ donc elle est continue sur ]𝟎, +∞[
On particulier sur [𝜶; +∞[ donc h est continue sur [𝜶; +∞[.

 La fonction f est strictement croissante sur ]𝜶, +∞[


Donc la fonction h est str croissante sur ]𝜶, +∞[

Donc f admet une fct réciproque 𝐟 −𝟏 ,définie sur 𝐉 = 𝐡([𝜶; +∞[)

𝐉 = 𝐡([𝜶; +∞[) = [𝒉(𝜶 ); 𝐥𝐢𝐦 𝒉(𝒙)[


𝒙→+∞

= ]−𝟒𝜶, +∞[
2) Montrer que 𝒉−𝟏 est dérivable en 𝟎 puis Calculer (𝒉−𝟏 )′ (𝟎).
On a : 𝒉(𝟏) = 𝟎 𝒅𝒐𝒏𝒄 𝒉−𝟏 (𝟎) = 𝟏

La fonction h est dérivable en 1 et on a : 𝒉′(𝟏) = 𝟐 ≠ 𝟎

Donc la fonction 𝒉−𝟏 est dérivable en 0 et on a :


𝟏 𝟏
(𝒉−𝟏 )′ (𝟎) = =
𝒉′(𝟏) 𝟐
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Mathématique Durée : 3 heures Modèle 05 Prof : Fayssal Page 01
3p Exercice 01 0. 5 b) calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan (ABC)
Une urne contient 3 boules rouges 4 vertes et 2 boules coupe la sphère (S) suivant un cercle de rayon r=√𝟕
noires indiscernables au toucher 3) a) Déterminer la représentation paramétrique de (D)
On tire simultanément trois boules de l’urne 0.5 passant par le point Ω est orthogonale au plan (ABC)
On considère les deux événements : b) Déterminer le triplet de coordonnées du point H centre
A ‘’obtenir trois boules de même couleurs’’ 0.5 du cercle (C )
B’’ obtenir au moins une boule verte’’ 3p Exercice 03
0.5 1) Calculer P(A) et vérifier que P(B)=
𝟑𝟕
On cosnidère les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄) ; 𝑫(𝒅)tel que :
𝟒𝟐
2) Soit 𝑋 la variable aléatoire qui relie chaque 𝒂 = 𝟏 + 𝒊 ; 𝒃 = 𝟏 − 𝒊 ; 𝒄 = −𝟏 + 𝒊 et 𝒅 = −𝟏 − 𝒊
éventualité par le nombre de boules noirs restantes 0. 5 1) a) Déterminer la forme trigonométrique de a et c et
dans l’urne déduire que OA=OC
a) Déterminer les valeurs de 𝑋 b) Déduire que les points A ; B ; C et D appartenant
0.5
𝟑𝟓 0. 5 au même cercle (C) en déterminant le centre et le rayon
0.5 b) Montrer que 𝐏(𝐗 = 𝟐) =
1
𝟖𝟒 du cercle (C)
c)Déterminer la loi de probabilité de 𝑋 2)a) Montrer que 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) et déduire la nature
0.5
d) Calculer 𝐸(𝑋) l’espérance mathématique de X 0. 5 du triangle ABC
3p
Exercice 02 b) Déduire que le point B est l’image du point C par la
L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊 , 𝒋,𝒌 ⃗ ) 0. 25 𝝅
rotation R de centre A et d’angle
𝟐
On considère les points A (0 ;-1 ; 1) et B (-1 ; 1 ; 3) et
0.25 c) Déterminer l’image du point B par la tarnslation T
C (0 ; 1 ; 5) et (S) l’ensemble des points M(x ;y ;z) tels que
⃗⃗⃗⃗⃗
de vecteur 𝑨𝑪
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟐𝟐 = 𝟎
0.5 d) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré
1) a) Montrer que :⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩˄𝑨𝑪 ⃗ et déduire que
⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟒𝒊 + 𝟒𝒋 − 𝟐𝒌
3)On considére le point E d’affixe 𝒆 = 𝟏 + 𝟐𝒊
0. 5 les points A et B et C ne sont pas alignes 𝒃−𝒂
a) Montrer que = −𝟐 que le point B est l’image du
b) Montrer que : 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 est l’équation 𝒆−𝒂
0.5
0.5 cartésienne du plan (ABC) point E par l‘homothétie h de centre 𝑨 et de rapport -2
2) a) Montrer que (S) est une sphère de centre
0.5 𝜴(𝟏 ; −𝟏 ; −𝟔) et de rayon R=4
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11p
Problème : 0.5 5) a) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion unique
A) Soit g définit sur ℝ par : 𝐠(𝐱) = 𝐱𝐞 𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏 au point d’abscisse 0
0. 5 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) puis montrer b) 𝐃é𝐭𝐞𝐫𝐦𝐢𝐧𝐞𝐫 l’équation de la tangente (T) au point
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
que : (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈 ′ (𝐱)
= 𝐱𝐞 𝐱 0.25 d’abscisse 0
2) Dresser le tableau de variations de g puis montrer 6) Montrer que (𝐂𝐟 ) coupe l’axe des abscisses en un point
0.5
0.75 que : ∀𝐱 ∈ ℝ ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 unique d’abscisse 2
0.5 7)a) Montrer que f admet une fonction réciproque
3) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[) ∶ 𝒈(𝐱) < 𝒙
1 𝒇−𝟏 définie sur 𝑱 (à déterminer)
B) Soit une suite (𝐔𝐧 ) tel que : b) Montrer que 𝒇−𝟏 est dérivable en 0 puis
𝟏 0.5 𝟏
𝐔𝟎 = et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒈(𝐔𝐧 ) montrer (𝒇−𝟏 )′(𝟎) =
𝟐 𝐞𝟐 +𝟏
0.5 1) Montrer par récurrence que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝟎 < 𝐔𝐧 < 𝟏
8) Tracer (T) ; (∆) et (𝐂𝐟 ) dans le repère orthonormé
2) Montrer que la suite (𝐔𝐧 ) est décroissante 0.5
0.25 (𝐎 ; 𝐢 ; 𝐣)
0.75 3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et déterminer sa
limite
9)a) Par une intégration par partie montrer que :
C) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 0.75 𝟐
𝐟(𝐱) = (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) ∫ (𝒙 − 𝟐 )𝐞𝐱 𝒅𝒙 = 𝟑 − 𝐞𝟐
0.75 𝟎
(𝑪𝒇 ) Est la courbe représentative de f dans un repère
orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋) d’unité 1cm b) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine limité par la
0.5 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱)
𝐱→−∞ 𝐱→+∞ courbe(𝑪𝒇 ), la droite (∆) et les droites d’équations
2) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱) 𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟐 .
0.5 b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ en
0.5 justifiant votre réponse
3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote
0.5 oblique de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) sur ℝ
0.5 𝐟(𝐱)
4) Montrer que 𝐥𝐢𝐦 = +∞ et interpréter le résultat
𝐱→+∞ 𝐱
0.5 géométriquement
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Solution de l’exercice 01 (3 Points ) 𝟑𝟓
b- Montrer que 𝐏(𝐗 = 𝟐) =
𝟖𝟒
L’univers 𝛀 associé à cette expérience (𝐗 = 𝟐) : Deux boule noire restantes dans l’urne
aléatoire est l’ensemble des N R R R Donc aucune boule noir tirée parmi les trois boules
combinaisons de trois boules parmi dix 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟐)
boules N V V V V 𝐏(𝐗 = 𝟐) =
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀)
Donc le nombre des possibilités est 𝟑
𝑪𝟕 𝟑𝟓
𝟗×𝟖×𝟕 = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) = 𝑪𝟑𝟗 = = 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒
𝟑×𝟐
d) Déterminons la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
A ‘’obtenir trois boules de même couleurs’’ 𝟗×𝟖×𝟕
On a : 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) = 𝑪𝟑𝟗 = = 𝟖𝟒
B’’ obtenir au moins une boule verte’’ 𝟑×𝟐
𝟑𝟕 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟎) 𝑪𝟐𝟐 × 𝑪𝟏𝟕 𝟕
1) Calculer P(A) et vérifier que P(B)= 𝐏(𝐗 = 𝟎 ) = = =
𝟒𝟐 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) = 𝑪𝟑𝟑 + 𝑪𝟑𝟒 = 𝟏 + 𝟒 = 𝟓 𝟏
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟏) 𝑪𝟐 × 𝑪𝟕 𝟒𝟐 𝟐
𝐏(𝐗 = 𝟏 ) = = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑨) 𝟓 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑨) = = 𝐂𝐚𝐫𝐝(𝐗 = 𝟐) 𝑪𝟕 𝟑𝟓 𝟑
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝐏(𝐗 = 𝟐 ) = = =
𝐂𝐚𝐫𝐝(𝛀) 𝟖𝟒 𝟖𝟒
L’événement contraire de B est :
D’où le tableau de la loi de probabilité de variable aléatoire 𝐗.
̅ « Aucune boule tirée n’est verte »
𝑩
𝐱𝐢 0 1 2
𝟓×𝟒×𝟑 𝟕 𝟒𝟐 𝟑𝟓
𝑫𝒐𝒏𝒄 𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩̅) = 𝑪𝟑𝟓
= = 𝟏𝟎 𝐏(𝐗 = 𝐱 𝐢 )
𝟑×𝟐 𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒
̅ ) 𝟏𝟎
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝑩 𝟓
̅) =
𝑷𝒂𝒓 𝒔𝒖𝒊𝒕𝒆 𝒑(𝑩 = =
𝑪𝒂𝒓𝒅(𝛀) 𝟖𝟒 𝟒𝟐 d) Calculer 𝐸(𝑋) l’espérance mathématique de X
𝐢=𝟒
𝟓 𝟑𝟕
̅) = 𝟏 −
𝑬𝒏𝒇𝒊𝒏 ∶ 𝒑(𝐁) = 𝟏 − 𝒑(𝑩 = 𝐄(𝐗) = ∑ 𝐱 𝐢 𝐩𝐢 = 𝐱 𝟏 𝐩𝟏 + 𝐱 𝟐 𝐩𝟐 + ⋯ + 𝐱 𝐧 𝐩𝐧
𝟒𝟐 𝟒𝟐
𝐢=𝟏
2) Soit 𝑋 la variable aléatoire qui relie chaque éventualité par 𝟕 𝟒𝟐 𝟑𝟓
le nombre de boules noirs restantes dans l’urne =𝟎× +𝟏× +𝟐×
𝟖𝟒 𝟖𝟒 𝟖𝟒
a) Déterminer les valeurs de 𝑋 𝟏𝟏𝟐
=
(𝐗 = 𝟎) : Aucune boule noire restantes dans l’urne 𝟖𝟒
(𝐗 = 𝟏) : Une boule noire restantes dans l’urne 𝟒
=
(𝐗 = 𝟐) : Deux boule noire restantes dans l’urne 𝟑
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Solution de l’exercice 02 (3 Points ) 2) a- Montrer que (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; −𝟏 ; −𝟔) et
On considère les points A (0 ;-1 ; 1) et B (-1 ; 1 ; 3) et C (0 ; 1 ; 5) de rayon R=4
et (S) un repère d’équation cartésienne : Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑺)
𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟐𝟐 = 𝟎 𝒙𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝒛𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟐𝟐 = 𝟎
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
1. a. Montrer que ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗ et déduire que les
𝑨𝑪 = 𝟒𝒊 + 𝟒𝒋 − 𝟐𝒌 𝒙𝟐 − 𝟐𝒙 + 𝟏𝟐 + 𝒚𝟐 + 𝟐𝒚 + 𝟏𝟐 + 𝒛𝟐 + 𝟏𝟐𝒛 + 𝟔𝟐 = 𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 + 𝟔𝟐 − 𝟐𝟐
points A et B et C ne sont pas alignes Donc (𝑺): (𝒙 − 𝟏)𝟐 + (𝒚 + 𝟏)𝟐 + (𝒛 + 𝟔)𝟐 = 𝟒𝟐
Rappel : Expression analytique du produit vectoriel Donc (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; −𝟏 ; −𝟔) et de rayon R=4
𝒙 𝒙′ 2ème méthode
⃗ = (𝒚) ∧ (𝒚′) = |𝒚 𝒚′| 𝒊 − | 𝒙 𝒙 ′ | 𝒋 + | 𝒙 𝒙′ | ⃗𝒌

⃗𝐔 ∧ 𝐕 On pose 𝒂 = −𝟐 ; 𝒃 = 𝟐 ; 𝒄 = 𝟏𝟐 𝒆𝒕 𝒅 = 𝟐𝟐
𝒛 𝒛′ 𝒛 𝒛 𝒚 𝒚′
𝒛 𝒛′ 𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐 − 𝟒𝒅 = (−𝟐)𝟐 + 𝟐𝟐 + 𝟏𝟐𝟐 − 𝟒 × 𝟐𝟐 = 𝟔𝟒 > 𝟎
−𝟏 𝟎 𝒂 𝒃 𝒄
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑨𝑩 ( 𝟐 ) et 𝑨𝑪 (𝟐), donc Donc l’ensemble (𝑺) est une sphère de centre 𝛀(− ; − ; − )
𝟐 𝟐 𝟐
𝟐 𝟒 √ 𝒂𝟐 +𝒃𝟐 +𝒄𝟐 −𝟒𝒅 √ 𝟔𝟒 𝟖
𝟐 𝟐 −𝟏 𝟎 −𝟏 𝟎 ⃗ Donc 𝛀(𝟏; −𝟏; −𝟔) et de rayon 𝒓 = = = =𝟒
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 = | |𝒊 − | |𝒋 + | | 𝒌 = 𝟒𝒊 + 𝟒𝒋 − 𝟐⃗𝒌 𝟐 𝟐 𝟐
𝟐 𝟒 𝟐 𝟒 𝟐 𝟐 b-calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan (ABC) coupe la
On a ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 ≠ 𝟎 ⃗ donc les vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 𝒆𝒕 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪ne sont pas sphère (S) suivant un cercle de rayon r=√𝟕
colinéaires Rappel :: DISTANCE D’UN POINT à UN PLAN
D’où les points A et B et C ne sont pas alignes Soient (𝑷) : 𝒂𝒙 + 𝒃𝒚 + 𝒄𝒛 + 𝒅 = 𝟎
b. En déduire que 𝟐 𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟑 = 𝟎 est une équation un plan et A(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) un point de
cartésienne du plan (𝑨𝑩𝑪) La distance de point A au plan(𝑷) est :
Rappel :Le vecteur 𝐀𝐁 ⃗⃗⃗⃗⃗ est un vecteur normal au plan (ABC)
⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝐀𝐂 | 𝒂𝒙𝑨 + 𝒃𝒚𝑨 + 𝒄𝒛𝑨 + 𝒅|
𝒅(𝑨; (𝑷)) =
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (𝑨𝑩𝑪) √𝒂𝟐 + 𝒃𝟐 + 𝒄𝟐
𝟒 | 𝟐 − 𝟐 + 𝟔 + 𝟑| 𝟗
On a le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗𝑨𝑪 ( 𝟒 ) est normale au plan (𝑨𝑩𝑪) 𝒅(Ω; (𝑨𝑩𝑪) = = = √𝟗 < 𝑹 = 𝟒
−𝟐 √𝟐𝟐 + 𝟐𝟐 + (−𝟏)𝟐 √𝟗
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟒 × 𝒙 + 𝟒 × 𝒚 − 𝟐 × 𝒛 + 𝒅 = 𝟎 Donc le plan (ABC) coupe la sphère (S) suivant un cercle de
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝒅 = 𝟎 rayon
Et on a 𝑨(𝟎, −𝟏, 𝟏) ∈ (𝑨𝑩𝑪) donc on remplace les coordonnées de 𝒓 = √𝑹𝟐 − 𝒅𝟐
A dans 𝟎 − 𝟒 − 𝟐 + 𝒅 = 𝟎 donc −𝟔 + 𝒅 = 𝟎 donc 𝒅 = 𝟔
𝟐
D’où (𝑨𝑩𝑪): 𝟒𝒙 + 𝟒𝒚 − 𝟐𝒛 + 𝟔 = 𝟎 = √𝟒𝟐 − √𝟗
Donc (𝑨𝑩𝑪): 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎 = √𝟕
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a. Déterminer une représentation paramétrique de la droite (𝑫) Solution de l’exercice 03 (3 Points )
passant par le point Ω et perpendiculaire au plan (𝑨𝑩𝑪) On cosnidère les points 𝑨(𝒂) ; 𝑩(𝒃) ; 𝑪(𝒄) ; 𝑫(𝒅)tel que :
Rappel : DROITE DANS L’ESPACE 𝒂 = 𝟏 + 𝒊 ; 𝒃 = 𝟏 − 𝒊 ; 𝒄 = −𝟏 + 𝒊 et 𝒅 = −𝟏 − 𝒊
Soit (𝑫) la droite qui passant par le point 𝑨(𝒙𝑨 ; 𝒚𝑨 ; 𝒛𝑨 ) et de 1) a) Déterminer la forme trigonométrique de a et c et déduire
vecteur directeur ⃗⃗⃗𝑼(𝒂; 𝒃; 𝒄) que OA=OC
Une représentation paramétrique de(𝑫) |𝒂| = |𝒃| = |𝒄| = |𝒅| = √𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 = √𝟐
𝒙 = 𝒙𝑨 + 𝒂𝒕 𝟏 𝟏 𝝅 𝝅
; (𝒕 ∈ 𝑰𝑹) 𝛑
(𝑫) : {𝒚 = 𝒚𝑨 + 𝒃𝒕 𝒂 = 𝟏 + 𝒊 = √𝟐 ( + 𝒊 ) = √𝟐 (𝒄𝒐𝒔 + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 ) = √𝟐𝐞𝐢𝟒
𝒛 = 𝒛𝑨 + 𝒄𝒕 √𝟐 √𝟐 𝟒 𝟒
La droite (𝑫) et perpendiculaire au plan (𝑨𝑩𝑪) donc le vecteur 𝟏 𝟏 𝝅 𝝅
𝒄 = −𝟏 + 𝒊 = √𝟐 (− + 𝒊 ) = √𝟐 (𝒄𝒐𝒔(𝝅 − ) + 𝒊 𝒔𝒊𝒏 (𝝅 − ))
√𝟐 √𝟐 𝟒 𝟒
𝑨𝑩 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪(𝟐; 𝟐; −𝟏) est directeur à la droite (𝑫) 𝟑𝛑
Soit 𝑴(𝒙; 𝒚; 𝒛) ∈ (∆) = √𝟐𝐞𝐢 𝟒
𝒙 = 𝟏+𝟐×𝒕 𝑶𝑨 = |𝒂| = √𝟐 et 𝑶𝑩 = |𝒃| = √𝟐 donc 𝑶𝑨 = 𝑶𝑪
(𝑫) : { 𝒚 = −𝟏 + 𝟐 × 𝒕 , (𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
𝒛 = −𝟔 − 𝟏 × 𝒕
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 b) Déduire que les points A ; B ; C et D appartenant au même
(𝒕 ∈ 𝑰𝑹)
Donc (𝑫): {𝒚 = −𝟏 + 𝟐𝒕 est une représentation cercle (C) en déterminant le centre et le rayon du cercle (C)
𝒛 = −𝟔 − 𝒕
On a |𝒂| = |𝒃| = |𝒄| = |𝒅| = √𝟏𝟐 + 𝟏𝟐 = √𝟐
paramétrique de la droite (𝑫)
Donc 𝑶𝑨 = 𝑶𝑪 = 𝑶𝑩 = 𝑶𝑫
b- Déterminer les coordonnées du point H centre du cercle (C)
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 Donc les points A ; B ; C et D appartenant au même cercle (C) de
( )
(𝛀𝐇): {𝒚 = −𝟏 + 𝟐𝒕 ; 𝒕 ∈ 𝑰𝑹 centre O et le rayon√𝟐
(x;y;z) les cordonnées de H vérifie{
𝒛 = −𝟔 − 𝒕 2)a) Montrer que 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) 𝒆𝒕 𝒅éduire la nature du
(𝑷) : 𝟐𝒙 + 𝟐𝒚 − 𝒛 + 𝟑 = 𝟎
triangle ABC
Donc 𝟐(𝟏 + 𝟐𝒕) + 𝟐(−𝟏 + 𝟐𝒕) − (−𝟔 − 𝒕) + 𝟑 = 𝟎
Donc 𝟗𝒕 + 𝟔 = 𝟎 donc 𝒕 = − = −
𝟔 𝟐 𝒃 − 𝒂 = 𝟏 − 𝒊 − (𝟏 + 𝒊) = −𝟐𝒊 𝒆𝒕 𝒊(𝒄 − 𝒂) = 𝒊(−𝟏 + 𝒊 − (𝟏 + 𝒊))
𝟗 𝟑
𝒙 = 𝟏 + 𝟐𝒕 = 𝒊(−𝟐) = −𝟐𝒊
on remplace t dans { ; Donc 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂)
𝒚 = −𝟏 + 𝟐𝒕
𝒛 = −𝟔 − 𝒕 On a 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) donc |𝒃 − 𝒂| = |𝒊(𝒄 − 𝒂)|
𝟒 𝟏
𝒙=𝟏− =− Donc |𝒃 − 𝒂| = |𝒊||𝒊(𝒄 − 𝒂)|
𝟑 𝟑
𝟒 𝟕
On trouve 𝒚 = −𝟏 − =− Donc |𝒃 − 𝒂| = |𝒄 − 𝒂| car |𝒊| = 𝟏
𝟑 𝟑
𝟐 𝟏𝟔 Donc 𝑨𝑩 = 𝑨𝑪
{𝒛 = −𝟔 + 𝟑 = 𝟑
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𝒃−𝒂 3)On considére le point E d’affixe 𝒆 = 𝟏 + 𝟐𝒊
Et on a 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) donc =𝒊
𝒄−𝒂 𝒃−𝒂
𝒃−𝒂 ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝛑 a) Montrer que = −𝟐 puis déduire que les points A ; B et E
Donc 𝒂𝒓𝒈 ( ) ≡ 𝐚𝐫𝐠(𝐢)[𝟐𝛑] donc (𝐀𝐂 𝐀𝐁) ≡ [𝟐𝛑] 𝒆−𝒂
𝒄−𝒂 𝟐
sont alignés
donc le triangle ABC est isocèle est rectangle en A
𝒃−𝒂 𝟏−𝒊−𝟏−𝒊 −𝟐𝒊
b) Déduire que le point B est l’image du point C par la = = = −𝟐
𝝅 𝒆 − 𝒂 𝟏 + 𝟐𝒊 − 𝟏 − 𝒊 𝒊
rotation R de centre A et d’angle Déduire que le point B est l’image du point E par l‘homothétie h
𝟐
On a : 𝒃 − 𝒂 = 𝒊(𝒄 − 𝒂) de centre 𝑨 et de rapport -2
𝛑 𝛑
𝒃−𝒂
Donc 𝒃 − 𝒂 = 𝐞𝐢𝟐 (𝒄 − 𝒂) car 𝐞𝐢𝟐 = 𝒊 On a = −𝟐
𝒆−𝒂
Donc le point B est l’image du point C par la rotation R de Donc 𝒃 − 𝒂 = −𝟐(𝒆 − 𝒂)
𝝅
centre A et d’angle Donc ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩 = −𝟐 ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑬
𝟐
c) Déterminer l’image du point B par la tarnslation T de Donc le point B est l’image du point E par l‘homothétie h de
vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 centre 𝑨 et de rapport -2
Soit B’(b’) l’image de B par T Solution du problème (11 Points )
𝑻(𝑩) = 𝑩′ ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑩𝑩′ = ⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑪 A) Soit g définit sur ℝ par : 𝐠(𝐱) = 𝐱𝐞 𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏
⇔ 𝒃′ − 𝒃 = 𝒄 − 𝒂 1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) puis montrer que : (∀𝐱 ∈
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
⇔ 𝒃′ = 𝒄 − 𝒂 + 𝒃 ℝ) ; 𝒈 ′ (𝐱)
= 𝐱𝐞 𝐱

⇔ 𝒃′ = −𝟏 + 𝒊 − 𝟏 − 𝒊 + 𝟏 − 𝒊 𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏 = 𝟏


𝐱→−∞ 𝐱→−∞
⇔ 𝒃′ = −𝟏 − 𝒊 𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = 𝟎
𝐱
⇔ 𝒃′ = 𝒅 𝐱→−∞ 𝐱→−∞

Donc 𝑻(𝑩) = 𝑫
𝐥𝐢𝐦 𝒈(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏 = 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 (𝒙 − 𝟏) + 𝟏
d) Déduire que le quadrilatère ABCD est un carré 𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱→+∞

𝑩𝑫 = ⃗⃗⃗⃗⃗
On a 𝑻(𝑩) = 𝑫 ⇔ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ 𝑨𝑪 donc ABCD est un = +∞
parrallélogramme (𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞𝐱 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 − 𝟏) = +∞ )
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
Et on a (𝐀𝐂
𝛑
𝐀𝐁) ≡ [𝟐𝛑] donc ABCD est un réctangle
𝟐
Et on a 𝑨𝑩 = 𝑨𝑪 donc ABCD est un losange 𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
D’où ABCD est un carré 𝒈′ (𝐱) = 𝟏 × 𝐞 𝐱 + 𝒙 × 𝐞 𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟎
= 𝐞 𝐱 + 𝒙𝐞𝐱 − 𝐞𝐱
= 𝐱𝐞 𝐱
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2) Dresser le tableau de variations de g puis montrer que : ∀𝐱 ∈ B) Soit une suite (𝐔𝐧 ) tel que :
ℝ ∶ 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎 𝟏
𝐔𝟎 = et (∀𝒏 ∈ ℕ): 𝐔𝐧+𝟏 = 𝒈(𝐔𝐧 )
𝟐
𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
1) Montrer par récurrence que : (∀𝒏 ∈ ℕ) ∶ 𝟎 < 𝐔𝐧 < 𝟏
On a (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈′ (𝐱) = 𝐱𝐞 𝐱
Démontrer par récurrence que (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏
Et on a 𝐞𝐱 > 𝟎 𝒆𝒕 ∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟎]; 𝒙 ≤ 𝟎 𝐞𝐭 ∀𝐱 ∈ [𝟎; +∞[; 𝒙 ≥ 𝟎
 Pour n=0 on a 𝟎 < 𝒖𝟎 = 𝟏⁄𝟐 < 𝟏
,donc :
x −∞ 0 +∞ La propriété est donc vraie pour n = 0

𝒈 (𝒙) − 0 +  Soit n un entier naturel,
Supposons que 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏 et montrons que 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟏.
𝟏 +∞
On sait que la fonction 𝒈 est strictement croissante sur
𝒈(𝒙)
l’intervalle ]𝟎; 𝟏[ et 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏 Donc ;
𝒈(𝟎) = 𝟎
𝟏 < 𝒖𝒏 < 𝟏 ⟹ 𝒈(𝟎) < 𝒈(𝒖𝒏 ) < 𝒈(𝟏)
4) Montrer que : ∀𝐱 ∈ ℝ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
⟹ 𝟎 < 𝒖𝒏+𝟏 < 𝟏
Le nombre 0 est une valeur minimale de la fonction g sur ℝ
D'après le principe de récurrence, on a : (∀𝒏 ∈ ℕ) 𝟎 < 𝒖𝒏 < 𝟏
𝐃𝐨𝐧𝐜 ∶ (∀𝐱 ∈ ℝ) ; 𝒈(𝐱) ≥ 𝟎
2) Montrer que la suite (𝐔𝐧 ) est décroissante
Soit n un entier naturel,
3) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[) ∶ 𝒈(𝐱) < 𝒙
𝑶𝒏 𝒂: (∀𝒙 ∈ ]𝟎; 𝟏[): 𝒈(𝒙) < 𝒙 , d’après A)3)
Soit 𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[
et 𝒖𝒏 ∈ ]𝟎; 𝟏[ d’après B)1)
𝒈(𝐱) − 𝒙 = 𝐱𝐞 𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏 − 𝒙
Donc on pose 𝒙 = 𝒖𝒏 , on trouve 𝒈(𝒖𝒏 ) ≤ 𝒖𝒏
= 𝐞𝐱 (𝒙 − 𝟏) − (𝒙 − 𝟏)
𝑫𝒐𝒏𝒄 ∶ 𝒖𝒏+𝟏 ≤ 𝒖𝒏 ; d’où la suite (un) est décroissante
= (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏)
Et on a :
3) Déduire que (𝐔𝐧 ) est convergente et déterminer sa limite
𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[ ⟹ 𝟎 < 𝒙 𝒆𝒕 𝒙 < 𝟏
la suite (un) est décroissante et minorée par 0 donc elle est
⟹ 𝐞𝟎 < 𝐞 𝐱 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 < 𝟎
convergente.
⟹ 𝟏 < 𝐞 𝐱 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 < 𝟎
 La fonction f est continue sur l’intervalle ]𝟎; 𝟏[ ; car elle est
⟹ 𝟎 < 𝐞 𝐱 − 𝟏 𝒆𝒕 𝒙 − 𝟏 < 𝟎
dérivable sur]𝟎; 𝟏[
⟹ (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏) < 𝟎
⟹ 𝒈(𝐱) − 𝒙 < 𝟎  𝒈(]𝟎; 𝟏[) = ]𝐠(𝟎); 𝐠(𝟏)[ = ]𝟎; 𝟏[ ⊂ ]𝟎; 𝟏[
⟹ 𝒈(𝐱) < 𝒙  𝐮𝟎 = 𝟏⁄𝟐 ∈ ]𝟎; 𝟏[
Donc (∀𝐱 ∈ ]𝟎; 𝟏[) ∶ 𝒈(𝐱) < 𝒙  La suite (un) est convergente
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Alors la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est L la solution de b) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ en justifiant votre
l’équation 𝒇(𝒙) = 𝒙 réponse
𝒈(𝒙) = 𝒙 ⟺ 𝒈(𝒙) − 𝒙 = 𝟎 Soit 𝐱 ∈ ℝ
⟺ (𝒙 − 𝟏)(𝐞𝐱 − 𝟏) = 𝟎 ; 𝒄𝒂𝒓 𝒈(𝒙) − 𝒙 𝒅é𝒋𝒂 𝒄𝒂𝒍𝒄𝒖𝒍é 𝐎𝐧 𝐚 ∶ 𝐟 ′ (𝐱) = 𝒈(𝒙)
⟺ 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒐𝒖 𝐞𝐱 − 𝟏 = 𝟎 𝑫′𝒂𝒑𝒓é𝒔 𝒍𝒂 𝒑𝒂𝒓𝒕𝒊𝒆 𝑨): 𝒈(𝒙) ≥ 𝟎
⟺ 𝒙 − 𝟏 = 𝟎 𝒐𝒖 𝐞𝐱 = 𝟏 Donc 𝐟 ′ (𝐱) ≥ 𝟎
⟺ 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝒙 = 𝒍𝒏(𝟏) D’où la fonction f est strictement croissante sur ℝ
⟺ 𝒙 = 𝟏 𝒐𝒖 𝒙 = 𝟎
Donc la limite de la suite (𝐮𝐧 ) est 0 car la suite (un) est x −∞ +∞
décroissante ′
𝒇 (𝒙) +
+∞
𝐱 𝒇(𝒙)
D) Soit f une fonction définit sur ℝ par : 𝐟(𝐱) = (𝐱 − 𝟐)(𝐞 + 𝟏) −∞
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱)
𝐱→−∞ 𝐱→+∞
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) 3) a) Montrer que 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
de (𝐂𝐟 ) au voisinage de −∞
= 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱 + (𝐱 − 𝟐)
𝐱→−∞ 𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = −∞
𝐱→−∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 𝐱 − 𝟐𝐞𝐱 + (𝐱 − 𝟐) = −∞
𝐱→−∞ ∗ 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) − (𝐱 − 𝟐)
𝐱→−∞ 𝐱→−∞
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐) = −∞
𝐱→−∞ 𝐱→−∞ 𝐱→−∞ = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱 + (𝐱 − 𝟐) − (𝐱 − 𝟐)
𝐱→−∞
= 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱
𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = 𝐥𝐢𝐦 (𝐱 − 𝟐)(𝐞𝐱 + 𝟏) = +∞ 𝐱→−∞
𝐱→+∞ 𝐱→+∞
= 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 𝐱 − 𝟐𝐞𝐱
𝐱 𝐱→−∞
(𝐂𝐚𝐫: 𝐥𝐢𝐦 𝐞 + 𝟏 = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 (𝒙 − 𝟐) = +∞ )
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ =𝟎
𝑪𝒂𝒓 ∶ 𝐥𝐢𝐦 𝐱𝐞 = 𝟎 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝐞 𝐱 = 𝟎
𝐱
2) a) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ℝ): 𝐟 ′ (𝐱) = 𝐠(𝐱) 𝐱→−∞ 𝐱→−∞

𝐒𝐨𝐢𝐭 𝐱 ∈ ℝ
𝐎𝐧 𝐚 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) = +∞ 𝐞𝐭 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = 𝟎 ;
𝐟 ′ (𝐱) = 𝟏 × (𝐞𝐱 + 𝟏) + (𝐱 − 𝟐) × 𝐞 𝐱 𝐱→−∞ 𝐱→−∞
= 𝐞 𝐱 + 𝟏 + 𝐱𝐞 𝐱 − 𝟐𝐞𝐱 𝐝𝐨𝐧𝐜 𝐥𝐚 𝐝𝐫𝐨𝐢𝐭𝐞(∆) ∶ 𝐲 = 𝐱 − 𝟐 est asymptote oblique de (𝐂𝐟 ) au
= 𝐱𝐞 𝐱 − 𝐞 𝐱 + 𝟏 = 𝒈(𝒙) voisinage de −∞
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b) Etudier la position relative de (𝐂𝐟 ) et (∆) sur ℝ 8) Tracer (T) ; (∆) et (𝐂𝐟 ) dans un repère orthonormé (𝐎 ; 𝐢 ; 𝐣)
Soit 𝐱 ∈ ℝ
𝑶𝒏 𝒂 ∶ 𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐) = (𝐱 − 𝟐)𝐞𝐱
Et comme 𝐞𝒙 > 𝟎
Donc le signe de𝒇(𝐱) − (𝐱 − 𝟐)est le signe de x qui s’annule en 2 (𝐂𝐟 )
x −∞ 𝟐 +∞
𝒇(𝒙) − (𝒙 − 𝟐) − 𝟎 +
La position 𝐋𝐚 𝐜𝐨𝐮𝐫𝐛𝐞 (𝑪𝒇) 𝐥𝐞 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 (∆) 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧
relative de 𝐞𝐬𝐭 𝐞𝐧 𝐝𝐞𝐬𝐬𝐨𝐮𝐬 𝐁(𝟐; 𝟎) 𝐝𝐞𝐬𝐬𝐮𝐬
(𝑪𝒇) 𝐝𝐞 (∆) ′
𝐞𝐬𝐭 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭 𝐝 𝐢𝐧𝐭𝐞𝐫𝐬𝐞𝐜𝐭𝐢𝐨𝐧 𝐝𝐞
et la droite 𝐝𝐞 (𝑪𝒇) 𝐞𝐭 (∆) (∆)
(∆)
7)a) Montrer que f admet une fct réciproque 𝒇−𝟏 définie sur 𝑱
(à déterminer)
La fonction f est dérivable sur l’intervalle ℝ donc elle est
continue sur ℝ
La fonction f est strictement croissante sur ℝ
Donc la fonction f admet une fonction réciproque 𝒇−𝟏 définie
sur un intervalle J tel que 𝑱 = 𝒇(]−∞; +∞[) = ]−∞; +∞[ = ℝ (∆)

b) Montrer que 𝒇−𝟏 est dérivable en 0 puis


calculer (𝒇−𝟏 )′(𝟎)
On a : 𝒇(𝟐) = 𝟎 donc 𝒇−𝟏 (𝟐) = 𝟎 (𝑻)
Et on a la fonction f est dérivable sur ℝ donc elle est dérivable
en 2
Et 𝒇′(𝟐) = 𝒈(𝟐) = 𝟐𝐞𝟐 − 𝐞𝟐 + 𝟏 = 𝐞𝟐 + 𝟏
Donc 𝒇′(𝟐) ≠ 𝟎
D’où 𝒇−𝟏 est dérivable en 0 et
𝟏 𝟏
(𝒇−𝟏 )′(𝟎) = =
𝒇′ (𝟐) 𝐞𝟐 +𝟏
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9)a) Par une intégration par partie montrer que :
𝟐
∫ (𝒙 − 𝟐 )𝐞𝐱 𝒅𝒙 = 𝟑 − 𝐞𝟐
𝟎
𝐮(𝐱) = 𝐱 − 𝟐 𝐮′ (𝐱) = 𝟏
Posons { ′ 𝐚𝐥𝐨𝐫𝐬 {
𝐯 (𝐱) = 𝐞 𝐱 𝐯(𝐱) = 𝐞 𝐱
Il s’ensuit donc :
𝟐 𝟐
∫ (𝐱 − 𝟐)𝐞 𝐝𝐱 = [(𝐱 − 𝐱
𝟐)𝐞𝐱 ]𝟐𝟎 − ∫ 𝐞 𝐱 𝐝𝐱
𝟎 𝟎
=𝟐− [𝐞𝐱 ]𝟐𝟎
= 𝟐 − 𝐞𝟐 + 𝟏
= 𝟑 − 𝐞𝟐
b) Calculer, en 𝒄𝒎𝟐 , l’aire du domaine limité par la
courbe(𝑪𝒇 ), la droite (∆) et les droites d’équations
𝒙 = 𝟎 et 𝒙 = 𝟐 .

On a (𝑪𝒇) est en dessous de (𝑫); 𝒚 = 𝒙 sur l’intervalle [𝟎, 𝟐]


Donc ∀𝒙 ∈ [𝟎, 𝟐]: |𝐟(𝐱) − 𝐲| = 𝐲 − 𝐟(𝐱) d’après la question C)3)b)
𝟐
𝐀 = ∫ |𝐟(𝐱) − 𝐲|𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎
𝟐
= ∫ 𝐲 − 𝐟(𝐱) 𝐝𝐱 × 𝐮. 𝐚
𝟎
𝟐
= ∫ (𝐱 − 𝟐) − [(𝐱 − 𝟐)(𝒆𝒙 + 𝟏)]𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
𝟐
= ∫ (𝐱 − 𝟐) − [(𝐱 − 𝟐)𝒆𝒙 + (𝐱 − 𝟐)]𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
𝟐
= ∫ −(𝐱 − 𝟐)𝒆𝒙 𝒅𝒙 . 𝐜𝐦𝟐
𝟎
= −(𝟑 − 𝐞𝟐 )𝐜𝐦𝟐
= (𝐞𝟐 − 𝟑)𝐜𝐦𝟐
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Mathématique Durée : 3 heures Modèle 06 Prof : Fayssal Page 01
3p Exercice 01 Exercice 03
3p
On considère la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈ℕ définie par : L’espace est menu d’un repère orthonormé (O,𝒊 , 𝒋,𝒌 ⃗ )
𝟓𝑼𝒏
𝒖𝟎 = 𝟐 et 𝒖𝒏+𝟏 = pour tout 𝒏 ∈ ℕ. Soient les points 𝑨 (𝟏 𝟐 ; 𝟑) ; 𝑩 (𝟐 ; 𝟏 ; 𝟑) ; 𝑪 (𝟐 ; −𝟐 ; 𝟎) ;
𝟐𝑼𝒏 +𝟑
1) Calculer 𝒖𝟏 𝑫 (𝟐 ; 𝟎 ; 𝟐) 𝒆𝒕 𝑬(−𝟒 ; 𝟔 ; 𝟐) et (S) l’ensemble des points
0.5
2) Montrer par récurrence que: (∀𝒏 ∈ ℕ) ; 𝒖𝒏 − 𝟏 > 𝟎 . M(x ;y ;z) tels que : 𝒙(𝒙 − 𝟐) − 𝒚(𝟐 − 𝒚) + 𝒛(𝒛 − 𝟖) + 𝟏𝟒 = 𝟎
0.5 ⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝟑𝒊 + 𝟑𝒋 − 𝟑𝒌
𝟑 0. 25 1) a) Montrer que :⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑨𝑩˄𝑨𝑪
0.5 3) Montrer que : ∀𝒏 ∈ ℕ; 𝒖𝒏+𝟏 − 𝟏 ≤ (𝒖𝒏 − 𝟏)
𝟓 b) Montrer que : 𝒙 + 𝒚 − 𝒛 = 𝟎 est l’équation cartésienne
4) En déduire que la suite (𝒖𝒏 )𝒏∈𝑰𝑵 est décroissante puis
0.5 du plan (ABC)
0.5 qu’elle est convergente.
2) a) Montrer que (S) est une sphère de centre 𝜴(𝟏 ; 𝟏 ; 𝟒) et
0.5 𝟑 𝒏
5) Montrer que: (∀𝒏 ∈ ℕ); 𝒖𝒏 − 𝟏 ≤ ( ) . 0.5 de rayon R=2
𝟓
6) En déduire 𝐥𝐢𝐦 𝒖𝒏 . b) Calculer d (Ω ; (ABC)) et déduire que le plan (ABC)
0.5 𝒏→+∞
0.5 coupe (S) suivant un cercle de rayon r à déterminer
3p Exercice 02
Un sac 𝑺𝟏 contient 5 boules rouges et 3 boules noires. c) Déterminer le triplet de coordonnées du point H centre
Un sac 𝑺𝟐 contient 2 boules rouges et une boule noire. 0.5 du cercle (C)
Toutes les boules sont indiscernables au toucher. 3) a) Déterminer une représentation paramétrique de la
On choisit au hasard l’un des sacs, puis on en tire une boule 0.25 droite (DE)
On considère les événements : b) Montrer que la droite (DE) est tangente à la sphère (S)
𝑺𝟏 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » 0.5 en un point K en déterminant leurs coordonnées
𝑺𝟐 : « choisir le sac 𝑺𝟏 » Exercice 04
3p
𝑹 : « Obtenir une boule rouge » A) 1) On pose : 𝐮 = 𝟏 − √𝟐 − 𝐢 ; calculer |𝐮|
0. 25
𝑵 : « Obtenir une boule noire ». 0.25 2) Montrer que (𝟏 + 𝐢)𝐮 = −√𝟐 × 𝐮 ̅
𝟑𝛑
0.75 1) Calculer la probabilité de choisir le sac 𝑺𝟐 et obtenir une 0. 5 3) Déduire que 𝐚𝐫𝐠(𝐮) ≡ [𝟐𝛑]
𝟖
une boule rouge. B) On considère 𝐥𝐞𝐬 𝐩𝐨𝐢𝐧𝐭𝐬 𝐄 ; F et G d’affixes respectifs :
0.75 2) Calculer la probabilité d’obtenir une boule rouge.
𝐳𝐄 = 𝟏 + 𝐢 𝐞𝐭 𝐳𝐅 = 𝟏 − 𝐢 et 𝐳𝐆 = −𝐢√𝟑
0.75 3) En déduire la probabilité d’obtenir une boule noire.
4) Sachant que la boule tirée est noire, quelle est la 1) Soit N l’image de F par l’homothétie h de centre G et de
0.75
probabilité qu’elle soit tirée du sac 𝑺𝟏 ? rapport 2 , montrer que : 𝐳𝐍 = 𝟐 + 𝐢 (√𝟑 − 𝟐)
0.25
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𝛑
2) R la rotation de centre O et d’angle et A l’image du c) Dresser le tableau de variation de f sur ℝ∗ en
𝟐 0.5
point G et C est l’image de N par R justifiant votre réponse
0. 5 4) a) Justifier que le point A(1 ;1) est un point d’inflexion
Montrer que : 𝐳𝐀 = √𝟑 et 𝐳𝐂 = 𝟐 − √𝟑 + 𝟐𝐢
0.25 de la courbe (𝐂𝐟 )
3) T la translation de vecteur 𝐮
⃗ d’affixe 𝟐𝐢 et B l’image du
point N et D est l’image de G par T b) Montrer que et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏 ; +∞[) :
0.5
Montrer que : 𝐳𝐁 = 𝟐 + 𝐢√𝟑 et 𝐳𝐃 = (𝟐 − √𝟑)𝐢
𝟐 (𝒍𝒏(𝒙) − 𝟏)
0.5 𝐟 ′′ (𝐱) =
4)a) Montrer que E est le milieu de [𝐀𝐂] et [𝐁𝐃] 𝒙𝟐
0.25 𝐳 −𝐳 0.5 c) Montrer que (𝐂𝐟 ) admet un point d’inflexion au point
b) Vérifier que 𝐂 𝐄 = 𝐢 ; puis en déduire que quadrilatère
𝐳𝐁 −𝐳𝐄 𝑩(𝒆; 𝟎)
0.5 ABCD est un losange 5) Soit g la restriction de la fonction f sur 𝑰 = ]𝟏; +∞[
Problème : 0.25 a) Montrer que g admet une fonction réciproque
8p
Soit f une fonction définit sur ℝ∗ par : 𝒈−𝟏 définie sur 𝑱 (à déterminer)
𝟏 0.5
𝒇(𝐱) = 𝐞𝒙−𝟏 ∶𝒙<𝟏 1 b) Déterminer 𝒈−𝟏 (𝒙) pour tout 𝒙 ∈ ]𝟏; +∞[
{ 𝒙
6) Tracer (𝐂𝐟 ) et (𝐂𝒈−𝟏 ) dans le repère orthonormé
𝒇(𝒙) = 𝟏 − (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 ; 𝒙 ≥ 𝟏
(𝑪𝒇 ) Est la courbe représentative de f dans un repère (𝐎 ; 𝐢 ; 𝐣)
orthonormé (𝑶; 𝒊; 𝒋) d’unité 1cm
1) Calculer 𝐥𝐢𝐦+𝒇(𝐱) et 𝐥𝐢𝐦−𝒇(𝐱) puis interpréter le 0.75 7)a) Montrer 𝒙 ⟼ 𝒙𝒍𝒏 (𝒙) − 𝒙 est une primitive de la
0. 5 𝐱→𝟎 𝐱→𝟎
fonction 𝒙 ⟼ 𝒍𝒏 (𝒙) puis en déduire que:
résultat géométriquement 𝒆
2) a) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) puis interpréter le résultat ∫ 𝒍𝒏 (𝒙) 𝒅𝒙 = 𝟏
𝐱→−∞ 𝟏
0.5 géométriquement a) Par une intégration par partie montrer que:
𝐟(𝐱) 𝒆
b) Calculer 𝐥𝐢𝐦 𝒇(𝐱) et montrer que 𝐥𝐢𝐦 =𝟎 0.5
𝐱→+∞ 𝐱→+∞ 𝐱 ∫ (𝒍𝒏 𝒙)𝟐 𝒅𝒙 = 𝐞 − 𝟐
0.5 𝟏
(𝑻𝒖 𝒑𝒆𝒖𝒙 𝒑𝒐𝒔𝒆𝒓 𝒕 = √𝒙) 𝟐
b) Calculer, en 𝒄𝒎 , l’aire du domaine limité par la
c) Déduire la branche infinie de (𝑪𝒇 ) au voisinage de +∞ courbe(𝑪𝒇 ), la droite (𝐎𝐱) et les droites d’équations
0.25
3) a) Montrer que f est dérivable au point d’abscisse 1 et 0. 5 𝒙 = 𝟏 et 𝒙 = 𝒆 .
0.5 que 𝒇’(𝟏) = 𝟎
(𝐱−𝟏)𝐞𝒙−𝟏
b) Montrer que : (∀𝐱 ∈ ]−∞; 𝟏[ − {𝟎}): 𝐟 ′ (𝐱) = Fin du sujet
𝒙𝟐
0.5 −𝟐𝒍𝒏 𝒙
et que (∀𝐱 ∈ ]𝟏; +∞[): 𝐟 ′ (𝐱) =
𝒙

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