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SOMMAIRE ANALYTIQUE
Présidence de la République
1 Décret no 2024-540 du 14 juin 2024 modifiant le décret no 2024-527 du 9 juin 2024 portant
convocation des électeurs pour l’élection des députés à l’Assemblée nationale
textes généraux
Premier ministre
2 Arrêté du 13 juin 2024 déterminant la part respective de femmes et d’hommes représentés au
sein du comité social d’administration de la direction de l’information légale et
administrative
3 Arrêté du 13 juin 2024 déterminant la part respective de femmes et d’hommes représentés au
sein de la commission consultative paritaire de la direction de l’information légale
et administrative
4 Arrêté du 13 juin 2024 fixant la date des prochaines élections professionnelles en cours de
cycle électoral du comité social d’administration et de la commission consultative paritaire
de la direction de l’information légale et administrative
5 Décision du 13 juin 2024 modifiant la décision du 3 avril 2024 portant délégation de signature
(direction des services administratifs et financiers du Premier ministre)
ministère de la culture
16 Décision du 12 juin 2024 modifiant la décision du 8 mars 2021 portant délégation de signature
(direction générale des patrimoines et de l’architecture, service à compétence nationale
« Archives nationales »)
ministère de la justice
22 Décret no 2024-543 du 13 juin 2024 relatif à la formation initiale préalable des assesseurs
exploitants agricoles siégeant au sein des tribunaux des activités économiques
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
mesures nominatives
Premier ministre
31 Décret du 13 juin 2024 portant délégation dans les fonctions d’avocate générale à la Cour des
comptes - Mme BIGAS-REBOUL (Stéphanie)
32 Arrêté du 14 juin 2024 relatif à la composition du cabinet du Premier ministre
ministère de la culture
37 Arrêté du 12 juin 2024 portant nomination (directions régionales des affaires culturelles)
ministère de la justice
40 Arrêté du 10 juin 2024 portant inscription de la mention « Victime du terrorisme » sur un acte
de décès
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
41 Arrêté du 13 juin 2024 autorisant le transfert d’un office de notaire (officiers publics ou
ministériels)
42 Arrêté du 14 juin 2024 portant réintégration et placement dans la position de disponibilité
(Conseil d’Etat)
43 Arrêté du 13 juin 2024 portant cessation de fonctions au cabinet du ministre de l’Europe et des
affaires étrangères
44 Arrêté du 14 juin 2024 portant publication de la liste des membres du bureau du vote
électronique pour l’élection de députés par les Français établis hors de France
45 Arrêté du 10 juin 2024 modifiant l’arrêté du 4 juillet 2022 portant nomination au conseil du
Comité national des pêches maritimes et des élevages marins
46 Arrêté du 11 juin 2024 portant nomination d’une directrice régionale adjointe de
l’environnement, de l’aménagement et du logement (région Occitanie)
47 Arrêté du 11 juin 2024 portant nomination au conseil d’administration de Météo-France
conventions collectives
48 Arrêté du 30 mai 2024 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
entreprises d’expertises en matière d’évaluations industrielles et commerciales (no 915)
49 Arrêté du 30 mai 2024 portant extension d’un accord territorial (département de la Vienne)
conclu dans le cadre de la convention collective nationale de la métallurgie (no 3248)
50 Arrêté du 4 juin 2024 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
entreprises d’expédition et d’exportation de fruits et légumes (no 1405)
51 Arrêté du 5 juin 2024 portant extension d’avenants à la convention collective nationale des
métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs et de l’animation agissant pour l’utilité
sociale et environnementale, au service des territoires (ÉCLAT) (no 1518)
52 Arrêté du 5 juin 2024 portant extension d’accords régionaux (Pays de la Loire, Grand Est,
Nouvelle-Aquitaine) conclus dans le cadre des conventions collectives nationales des
ouvriers et des employés, techniciens et agents de maîtrise des industries de carrières et de
matériaux (no 87 et no 135)
53 Arrêté du 5 juin 2024 portant extension d’un accord régional (Normandie) conclu dans le cadre
des conventions collectives nationales des ouvriers et des employés, techniciens et agents de
maîtrise des industries de carrières et de matériaux (no 87 et no 135)
54 Arrêté du 7 juin 2024 portant extension d’un avenant régional (Ile-de-France) à la convention
collective nationale de la boulangerie-pâtisserie (entreprises artisanales) (no 843)
55 Arrêté du 11 juin 2024 portant extension d’accords régionaux (Occitanie, Ile-de-France)
conclus dans le cadre des conventions collectives nationales des ouvriers et des employés,
techniciens et agents de maîtrise des industries de carrières et de matériaux (no 87 et no 135)
56 Arrêté du 11 juin 2024 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale des
exploitations frigorifiques (no 200)
57 Arrêté du 11 juin 2024 portant extension d’un accord territorial (Isère, Hautes-Alpes) conclu
dans le cadre de la convention collective nationale de la métallurgie (no 3248)
58 Arrêté du 11 juin 2024 portant extension d’accords territoriaux (Auvergne-Rhône-Alpes :
départements Allier, Cantal, Haute-Loire et Puy-de-Dôme) conclus dans le cadre des
conventions collectives nationales des ouvriers employés par les entreprises du bâtiment
visées et non visées par le décret du 1er mars 1962 modifié (entreprises occupant jusqu’à
10 salariés et de plus de 10 salariés) (nos 1596 et 1597)
59 Avis relatif à l’extension d’accords régionaux (Grand Est) conclus dans le cadre des
conventions collectives départementales des ouvriers des entreprises du bâtiment occupant
jusqu’à dix et plus de dix salariés et des employés, techniciens et agents de maîtrise
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
Naturalisations et réintégrations
89 Décret du 13 juin 2024 rapportant un décret de naturalisation
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
90 Décret du 13 juin 2024 rapportant un décret de naturalisation
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Sommaire
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
91 Décret du 14 juin 2023 rapportant un décret de naturalisation
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
92 Décret du 14 juin 2024 rapportant un décret de naturalisation
En application de l’article L. 221-14, et des articles R. 221-15 et R. 221-16 pris après
avis de la CNIL, du code des relations entre le public et l’administration, les actes
individuels relatifs à l’état et à la nationalité des personnes ne peuvent être publiés au
Journal officiel de la République française, que dans des conditions garantissant qu’ils ne
font pas l’objet d’une indexation par des moteurs de recherche. Les actes concernés sont
accessibles sur le site Légifrance en "Accès protégé"
Informations parlementaires
Sénat
93 DOCUMENTS DÉPOSÉS
94 DOCUMENTS PUBLIÉS
Avis et communications
Premier ministre
95 Avis de vacance d’un emploi de directeur de projet (administration centrale)
96 Avis de vacance d’un emploi de directeur de projet
97 Avis de vacance d’un emploi de chef de service
avis divers
Annonces
106 Demandes de changement de nom (textes 106 à 120)
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 1 sur 120
Présidence de la République
Décret no 2024-540 du 14 juin 2024 modifiant le décret no 2024-527 du 9 juin 2024
portant convocation des électeurs pour l’élection des députés à l’Assemblée nationale
NOR : IOMX2416326D
Le Président de la République,
Sur le rapport du Premier ministre et du ministre de l’intérieur et des outre-mer,
Vu la loi organique no 76-97 du 31 janvier 1976 modifiée relative aux listes électorales consulaires et au vote des
Français établis hors de France pour l’élection du Président de la République ;
Vu le code électoral ;
Vu le décret no 2024-527 du 9 juin 2024 portant convocation des électeurs pour l’élection des députés à
l’Assemblée nationale,
Décrète :
Art. 1 . – L’article 10 du décret du 9 juin 2024 susvisé est ainsi modifié :
er
1o Après les mots : « est ouvert » sont ajoutés les mots : « pour le premier tour » ;
2o Après les mots : « clos le jeudi précédant le scrutin, à 12 heures » sont ajoutés les mots : « et pour le second
tour, s’il est nécessaire d’y procéder, le mercredi précédant la date du scrutin, à 12 heures, et clos le jeudi précédant
le scrutin, à 18 heures ».
Art. 2. – Le Premier ministre, le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre de l’Europe et des affaires
étrangères, la ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée des outre-mer, et le
ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé de l’Europe, sont responsables,
chacun en ce qui le concerne, de l’application du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République
française.
Fait à Paris, le 14 juin 2024.
EMMANUEL MACRON
Par le Président de la République :
Le Premier ministre,
GABRIEL ATTAL
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre de l’Europe
et des affaires étrangères,
STÉPHANE SÉJOURNÉ
La ministre déléguée auprès du ministre
de l’intérieur et des outre-mer,
chargée des outre-mer,
MARIE GUÉVENOUX
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’Europe et des affaires étrangères,
chargé de l’Europe,
JEAN-NOËL BARROT
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 2 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu le code général de la fonction publique ;
Vu le décret no 2020-1427 du 20 novembre 2020 modifié relatif aux comités sociaux d’administration dans les
administrations et les établissements publics de l’Etat, notamment ses articles 18, 19 et 21 ;
Vu l’arrêté du 8 juin 2022 portant création des comités sociaux d’administration dans les administrations,
établissements publics et autres services relevant du Premier ministre,
Arrête :
Art. 1er. – Au 1er mars 2024, la part respective de femmes et d’hommes dans les effectifs du périmètre du
comité social d’administration de la direction de l’information légale et administrative est la suivante : 49 % de
femmes et 51 % d’hommes.
Art. 2. – Chaque liste de candidature présentée pour le scrutin du comité social d’administration de la direction
de l’information légale et administrative, dans le cadre de son renouvellement en cours de cycle électoral,
comprend un nombre de femmes et d’hommes correspondant à la part respective de femmes et d’hommes
représentés au sein de ce comité.
Lorsque le calcul n’aboutit pas à un nombre entier de candidats à désigner pour chacun des deux sexes,
l’organisation syndicale procède indifféremment à l’arrondi à l’entier inférieur ou supérieur, soit, dans l’hypothèse
d’une liste complète, 9 femmes et 11 hommes ou 10 femmes et 10 hommes.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
Pour le Premier ministre et par délégation :
La secrétaire générale du Gouvernement,
CLAIRE LANDAIS
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 3 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu le code général de la fonction publique ;
Vu décret no 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires, notamment ses
articles 7, 7 bis et 11 ;
Vu le décret no 86-83 du 17 janvier 1986 modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents
contractuels de l’Etat ;
Vu l’arrêté du 10 mai 2010 modifié portant création d’une commission consultative paritaire compétente à
l’égard des agents non titulaires de droit public de la direction de l’information légale et administrative,
Arrête :
Art. 1 . – Au 1er mars 2024, la part respective de femmes et d’hommes dans les effectifs du périmètre de la
er
commission consultative paritaire compétente à l’égard des agents contractuels de la direction de l’information
légale et administrative est la suivante : 44 % de femmes et 56 % d’hommes.
Art. 2. – Chaque liste de candidature présentée pour le scrutin de la commission consultative paritaire
compétente à l’égard des agents contractuels de la direction de l’information légale et administrative, dans le cadre
de son renouvellement en cours de cycle électoral, comprend un nombre de femmes et d’hommes correspondant à
la part respective de femmes et d’hommes représentés au sein de cette commission.
Lorsque le calcul n’aboutit pas à un nombre entier de candidats à désigner pour chacun des deux sexes,
l’organisation syndicale procède indifféremment à l’arrondi à l’entier inférieur ou supérieur, soit, dans l’hypothèse
d’une liste complète, 3 femmes et 5 hommes ou 4 femmes et 4 hommes.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
Pour le Premier ministre et par délégation :
La secrétaire générale du Gouvernement,
CLAIRE LANDAIS
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 4 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Arrêté du 13 juin 2024 fixant la date des prochaines élections professionnelles en cours de cycle
électoral du comité social d’administration et de la commission consultative paritaire de la
direction de l’information légale et administrative
NOR : PRMG2415389A
Le Premier ministre,
Vu le code général de la fonction publique ;
Vu décret no 82-451 du 28 mai 1982 modifié relatif aux commissions administratives paritaires, notamment ses
articles 7, 7 bis et 11 ;
Vu le décret no 86-83 du 17 janvier 1986 modifié relatif aux dispositions générales applicables aux agents
contractuels de l’Etat ;
Vu le décret no 2020-1427 du 20 novembre 2020 modifié relatif aux comités sociaux d’administration dans les
administrations et les établissements publics de l’Etat, notamment ses articles 18, 19 et 21 ;
Vu l’arrêté du 10 mai 2010 modifié portant création d’une commission consultative paritaire compétente à
l’égard des agents non titulaires de droit public de la direction de l’information légale et administrative ;
Vu l’arrêté du 8 juin 2022 portant création des comités sociaux d’administration dans les administrations,
établissements publics et autres services relevant du Premier ministre,
Arrête :
Art. 1er. – La date des élections pour le renouvellement en cours de cycle électoral du comité social
d’administration et de la commission consultative paritaire de la direction de l’information légale et administrative
est fixée au 17 décembre 2024.
Art. 2. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
Pour le Premier ministre et par délégation :
La directrice de l’information légale et administrative,
A. DUCLOS-GRISIER
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
PREMIER MINISTRE
Décision du 13 juin 2024 modifiant la décision du 3 avril 2024 portant délégation de signature
(direction des services administratifs et financiers du Premier ministre)
NOR : PRMG2415901S
« Art. 9. – Délégation est donnée à M. Marcio Santos Muller, attaché principal d’administration de l’Etat, chef
du bureau de la gestion des personnels contractuels, directement placé sous l’autorité du sous-directeur des
ressources humaines, à l’effet de signer, au nom du Premier ministre, les actes relevant de ses attributions à
compter du 1er juillet 2024. »
Art. 2. – Le quatrième alinéa de l’article 11 de la décision du 3 avril 2024 susvisée est supprimé.
Art. 3. – L’article 22 de la décision du 3 avril 2024 susvisée est complétée par les dispositions suivantes :
« Délégation est donnée à M. Thierry Renaud, agent contractuel, intendant de l’hôtel de Clermont, directement
placé sous l’autorité du sous-directeur des sites historiques et des transports, à l’effet de signer, au nom du Premier
ministre, tous les engagements juridiques d’un montant inférieur à 4 000 € hors taxes et les attestations de service
fait relevant de ses attributions.
Délégation est donnée à M. Guillaume Devisme, agent contractuel, intendant de l’hôtel Rothelin-Charolais,
directement placé sous l’autorité du sous-directeur des sites historiques et des transports, à l’effet de signer, au nom
du Premier ministre, tous les engagements juridiques d’un montant inférieur à 4 000 € hors taxes et les attestations
de service fait relevant de ses attributions.
Délégation est donnée à M. Thibaut Coche, agent contractuel, intendant de l’hôtel du Petit Monaco, directement
placé sous l’autorité du sous-directeur des sites historiques et des transports, à l’effet de signer, au nom du Premier
ministre, tous les engagements juridiques d’un montant inférieur à 4 000 € hors taxes et les attestations de service
fait relevant de ses attributions. »
Art. 4. – Le premier alinéa de l’article 27 de la décision du 3 avril 2024 susvisée est supprimé.
Le troisième alinéa de l’article 27 de la décision du 3 avril 2024 susvisée est remplacée par les dispositions
suivantes :
« Délégation est donnée à l’effet de valider, de façon électronique dans l’outil informatique “Chorus
formulaires”, dans la limite de leurs attributions, les demandes d’achat et les attestations de service fait aux agentes
directement placées sous l’autorité du chef du bureau d’appui au pilotage des ressources, ci-après désignées :
Mme Peggy Makela, secrétaire administrative de classe supérieure ;
Mme Elodie Kbidy, adjointe administrative principale de 2e classe. »
Art. 5. – Le premier et deuxième alinéa de l’article 31 de la décision du 3 avril 2024 susvisée sont remplacés
par les dispositions suivantes :
« Délégation est donnée à M. Sylvain Granger, chef de mission, chef du bureau de l’audiovisuel, de l’édition et
de la communication, directement placé sous l’autorité de la cheffe de la division du pilotage, des services
généraux et du site Ségur-Fontenoy, à l’effet de signer, au nom du Premier ministre, les actes relevant de ses
attributions.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 5 sur 120
Délégation est donnée à Mme Corinne Guilpain, agente contractuelle et à Mme Virginie Barbier, attachée
d’administration de l’Etat, adjointes au chef du bureau de l’audiovisuel, de l’édition et de la communication,
directement placées sous son autorité, à l’effet de signer, au nom du Premier ministre, les actes relevant de ses
attributions. »
Art. 6. – Le deuxième alinéa de l’article 34 de la décision du 3 avril 2024 est remplacé par les dispositions
suivantes :
« Délégation est donnée à M. Hervé Delezie, agent contractuel, adjoint au chef de bureau du support
informatique et des télécommunications et chef du bureau du support informatique et des télécommunications, à
l’effet de signer, au nom du Premier ministre, les actes relevant de ses attributions. »
Art. 7. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
S. DUVAL
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 6 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 13 juin 2024 est autorisée, au titre de l’année 2024, l’ouverture d’un recrutement sans concours d’agents
administratifs des finances publiques dans les services déconcentrés de la direction générale des finances publiques.
Le nombre total des places offertes à ce recrutement est fixé à 48. La date d’ouverture des inscriptions est fixée
au 24 juin 2024. La date limite de dépôt des dossiers de candidature est fixée au 24 juillet 2024.
En outre, 5 postes sont offerts aux bénéficiaires du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de
guerre.
A défaut de candidat qualifié inscrit sur la liste d’aptitude établie par le ministre chargé de la défense en
application des dispositions du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de la guerre pour exercer
les fonctions d’agent administratif des finances publiques, le ou les emplois vacants ne peuvent être pourvus qu’en
satisfaisant aux priorités définies à l’article L. 242-7 du même code et selon la procédure définie aux
articles R. 242-17 et suivants du même code.
A défaut de candidat qualifié pour exercer les fonctions d’agent administratif des finances publiques ou en cas de
refus du candidat, le ou les emplois non pourvus dans les conditions définies à l’article L. 242-7 s’ajoute(nt) aux
emplois à pourvoir au titre du recrutement suivant dans les conditions définies à l’article R. 242-21.
Conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à
l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de
recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, les candidats
demandant un aménagement d’épreuves doivent fournir un certificat médical, daté de moins de six mois avant le
déroulement des épreuves et établi par un médecin agréé. La date limite de transmission du certificat médical est
fixée au 2 août 2024.
Des avis de recrutement ultérieurs, pris pour chaque département d’accueil, indiqueront le nombre des postes à
pourvoir, le contenu précis du dossier de candidature à établir, les coordonnées du responsable auquel doit être
adressé le dossier de candidature et les conditions dans lesquelles les candidats préalablement sélectionnés sont
convoqués à un entretien. Ces avis de recrutement seront affichés 1 mois au moins avant la date limite de dépôt des
candidatures.
Pour tout renseignement, consulter le site : Le ministère recrute : rejoignez-nous ! | economie.gouv.fr.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 7 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
TEXTES GÉNÉRAUX
« 1o Par le service d’aide médicale urgente dans les conditions fixées aux articles R. 6311-1 à R. 6311-7 lorsque
la demande relève de soins de médecine d’urgence ;
« 2o Par la régulation de médecine ambulatoire lorsque la demande relève de soins non programmés. Les outils
numériques et téléphoniques mis à la disposition du service d’accès aux soins intègrent la possibilité de
réorientation secondaire instantanée entre le service d’aide médicale urgente et la régulation de médecine
ambulatoire.
« Les professionnels médicaux mentionnés à l’article L. 4111-1 participant à la régulation peuvent bénéficier du
concours d’autres professionnels de santé, notamment dans le cadre des réponses spécialisées prévues au troisième
alinéa de l’article L. 6311-3.
« Art. D. 6311-34. – Lorsqu’un professionnel médical assure la régulation des appels relevant de la médecine
ambulatoire depuis son cabinet, y compris lorsqu’il exerce au sein d’une structure d’exercice coordonnée
mentionnée aux articles L. 1411-11-1, L. 1434-12, L. 6323-1 ou L. 6323-3, son domicile ou une plateforme d’appel
dédiée, les logiciels de régulation médicale et les outils téléphoniques utilisés sont compatibles et conformes aux
référentiels mentionnés à l’article L. 1470-5 et permettent leur interopérabilité avec les outils du centre de réception
et de régulation des appels mentionné à l’article L. 6311-2. Les appels sont enregistrés dans les conditions
mentionnées à l’article D. 6311-39.
« Le professionnel conclut une convention avec l’établissement de santé autorisé en application du 1o de
l’article R. 6123-1 et l’association regroupant les professionnels de la médecine ambulatoire mentionnée au 1o de
l’article D. 6311-35 ou le groupement de coopération sanitaire mentionné au 2o de l’article D. 6311-35. Cette
convention décrit notamment les modalités de réorientation secondaire avec le service d’aide médicale urgente
ainsi que les modalités d’organisation de la régulation et les outils numériques et de téléphonie utilisés.
« Lorsque la régulation mentionnée au premier alinéa est assurée depuis une plateforme d’appel dédiée, la
convention est approuvée par le directeur général de l’agence régionale de santé territorialement compétente, après
avis du responsable du service d’aide médicale urgente et des signataires de la convention mentionnée à
l’article D. 6311-35.
« L’absence de réponse du directeur général de l’agence régionale de santé dans un délai de deux mois à compter
de la réception de la convention, par tout moyen permettant de donner date certaine à cette réception, vaut accord.
« Art. D. 6311-35. – L’organisation et le fonctionnement du service d’accès aux soins, notamment les
modalités d’orientation des appels entre le service d’aide médicale urgente et la régulation de médecine
ambulatoire, sont définis :
« 1o Soit par voie de convention entre l’établissement de santé autorisé en application du 1o de l’article R. 6123-1
et au moins une association regroupant des professionnels de la médecine ambulatoire participant au service
d’accès aux soins ;
« 2o Soit par voie de convention constituant un groupement de coopération sanitaire mentionné à
l’article L. 6133-1.
« Le cas échéant, un protocole d’organisation de la régulation, élaboré par les parties ou groupement mentionnés
au 1o et 2o et annexé à la convention, peut prévoir, pour certains cas définis par ce protocole, l’orientation directe de
l’appel par l’assistant de régulation médicale mentionné à l’article D. 6311-33 vers un des opérateurs de soins non
programmés mentionnés à l’article D. 6311-36.
« Art. D. 6311-36. – La régulation de médecine ambulatoire est assurée par :
« 1o Les professionnels médicaux adhérents aux conventions mentionnées à l’article L. 162-14-1 du code de la
sécurité sociale dans le cadre de leur activité libérale, les professionnels médicaux salariés dans les conditions
prévues par le a du 3o de l’article L. 4041-2 et les professionnels médicaux salariés d’un centre de santé mentionné
à l’article L. 162-32-1 du code de la sécurité sociale ;
« 2o Les docteurs juniors mentionnés à l’article R. 6153-1, et les internes mentionnés à l’article R. 6153-2 dans
les conditions prévues à l’article L. 4131-2 ;
« 3o Les médecins remplaçants mentionnés à l’article R. 4127-1 dans les conditions prévues à l’article R. 4127-65
et les médecins retraités, sur attestation du conseil départemental de l’ordre de leur capacité à participer à la
régulation de médecine ambulatoire.
« Dans l’exercice de leur mission de régulation, ils sont assistés par des opérateurs de soins non programmés qui
peuvent notamment communiquer les informations requises au patient et procéder, le cas échéant, à la prise de
rendez-vous.
« Art. D. 6311-37. – La régulation de médecine ambulatoire répond à la demande de soins du patient dans le
respect des dispositions de l’article L. 1110-8 et a pour objet de :
« 1o Donner des conseils médicaux, pouvant aboutir à une prescription adressée au patient ou à une pharmacie.
La prescription, d’une durée limitée et non renouvelable, est conforme aux recommandations de bonnes pratiques
professionnelles élaborées par la Haute Autorité de santé ;
« 2o Orienter vers une consultation, une prise en charge à domicile ou une téléconsultation avec un professionnel
médical, y compris lorsque ce dernier exerce au sein d’une structure d’exercice coordonnée mentionnée aux
articles L. 1411-11-1, L. 1434-12, L. 6323-1 ou L. 6323-3, après s’être assuré de l’indisponibilité du médecin
traitant du patient ;
« 3o Orienter vers un infirmier diplômé d’Etat mentionné aux articles L. 4311-1 à L. 4314-6 pour des actes de
soins ou de télésoins ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 8 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Par arrêté de la ministre du travail, de la santé et des solidarités en date du 13 juin 2024, sont nommés
commissaires du gouvernement des opérateurs de compétences agréés au titre de l’article L. 6332-1-1 du code du
travail :
1o Auprès de l’opérateur de compétences AFDAS : M. Laurent GAULLIER ;
2o Auprès de l’opérateur de compétences AKTO : M. Stéphane REMY ;
3o Auprès de l’opérateur de compétences ATLAS : Mme Alina SAVCHUK ;
4o Auprès de l’opérateur de compétences Constructys, OPCO de la construction : Mme Natacha DJANI ;
5o Auprès de l’opérateur de compétences Opcommerce : M. Benoit BEAUVILLARD ;
6o Auprès de l’opérateur de compétences 2I : M. Bruno MORIN ;
7o Auprès de l’opérateur de compétences OCAPIAT : M. Benoit BEAUVILLARD ;
8o Auprès de l’opérateur de compétences Entreprises de proximité : Mme Natacha DJANI ;
9o Auprès de l’opérateur de compétences Mobilités : M. Nicolas REMEUR ;
10o Auprès de l’opérateur de compétences Santé : Mme Alina SAVCHUK ;
11o Auprès de l’opérateur de compétences Uniformation, OPCO de la cohésion sociale : M. Bruno MORIN.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 10 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2024-542 du 13 juin 2024 relatif à la période de formation en milieu professionnel prise
en compte pour l’examen du baccalauréat professionnel et substituant un projet au chef-
d’œuvre réalisé par les candidats
NOR : MENE2411395D
»,
est remplacée par la ligne suivante :
«
»;
o
2 La ligne :
«
D. 337-66-1 Résultant du décret no 2020-1277 du 20 octobre 2020
»,
est remplacée par la ligne suivante :
«
D. 337-66-1 Résultant du décret no 2024-542 du 13 juin 2024
»;
o
3 La ligne :
«
D. 337-69 Résultant du décret no 2020-726 du 12 juin 2020
»,
est remplacée par la ligne suivante :
«
D. 337-69 Résultant du décret no 2024-542 du 13 juin 2024
»;
o
4 La ligne :
«
D. 337-82 Résultant du décret no 2015-846 du 9 juillet 2015
»,
est remplacée par la ligne suivante :
«
D. 337-82 Résultant du décret no 2024-542 du 13 juin 2024
».
Art. 3. – Les dispositions du présent décret sont applicables à compter de la rentrée scolaire 2024.
Art. 4. – Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, la ministre de l’éducation nationale et de la jeunesse et la
ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée des outre-mer, sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
La ministre de l’éducation nationale
et de la jeunesse,
NICOLE BELLOUBET
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
La ministre déléguée auprès du ministre
de l’intérieur et des outre-mer,
chargée des outre-mer,
MARIE GUÉVENOUX
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
sont reconnus comme satisfaisant aux conditions fixées aux articles R. 451-1 à R. 451-15 du code de l’éducation,
notamment son article R. 451-2 et sont déclarés homologués.
Art. 2. – La scolarité accomplie par les élèves dans ces établissements est assimilée à celle effectuée en France
dans un établissement d'enseignement public, en vue de la poursuite des études et de la délivrance des diplômes.
Art. 3. – Les décisions prises par ces établissements, relatives à la scolarité des élèves, notamment en matière
d'orientation, s'appliquent en France dans les établissements d'enseignement publics et dans les établissements
d'enseignement privés sous contrat. Elles s'appliquent également dans les établissements d’enseignement français à
l'étranger.
Art. 4. – La déléguée aux relations européennes et internationales et à la coopération et le directeur général de
la mondialisation, de la culture, de l’enseignement et du développement international sont chargés, chacun en ce
qui le concerne, de l'exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 6 juin 2024.
La ministre de l’éducation nationale
et de la jeunesse,
Pour la ministre et par délégation :
La déléguée aux relations européennes
et internationales et à la coopération,
N. NIKITENKO
Le ministre de l’Europe
et des affaires étrangères,
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général de la mondialisation,
de la culture, de l’enseignement
et du développement international,
A. LECHEVALLIER
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 120
ANNEXE
LISTE DES ÉCOLES ET ÉTABLISSEMENTS
D'ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L'ÉTRANGER HOMOLOGUÉS
Afrique du Sud Johannesburg Lycée français Jules Verne et * * * Lycée : voie générale
son annexe de Pretoria
Allemagne (Répu
blique fédérale d') Hambourg Lycée franco-allemand * * Lycée : voie générale
Allemagne (Répu
blique fédérale d') Munich Lycée français Jean Renoir * * * Lycée : voie générale
Allemagne (Répu
blique fédérale d') Sarrebruck Lycée franco-allemand * * Lycée : voie générale
Arabie Saoudite Al Khobar Lycée français Mlf d'Al-Khobar * * * Lycée : voie générale
Ecole : classes de GS au
Australie Melbourne Ecole française * * CM2 uniquement Col
lège : classe de 6e
uniquement
Bolivie Santa Cruz de la Sierra Lycée Français de Santa Cruz * * * Lycée : voie générale
Collège : classe de 6e
Cap-Vert Praia Ecole internationale Les Alizés * * uniquement
Ecole : classes de PS au
Chili La Serena Lycée Frédéric Mistral * CE2 uniquement
Chili Viña del Mar (Valparaiso) Lycée Jean d'Alembert * * * Lycée : voie générale
Congo (République Kinshasa Lycée français René Descartes * * * Lycée : voie générale
démocratique du) de Kinshasa
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 11 sur 120
Ecole : classes de MS au
CM2 uniquement Col
Corée du Sud Séoul Lycée international Xavier * * lège : classe de 6e
uniquement
Côte d'Ivoire Abidjan Lycée français Blaise Pascal * * * Lycée : voie générale
Emirats arabes unis Abou Dabi Lycée Louis Massignon * * * Lycée : voie générale
Emirats arabes unis Dubaï Lycée français Jean Mermoz * * * Lycée : classe de 2nde
uniquement
Emirats arabes unis Dubaï Lycée français international de * * * Lycée : voie générale
l'AFLEC
Lycée franco-équatorien La
Equateur Quito Condamine * * * Lycée : voie générale
Espagne Las Palmas Lycée français Mlf René Ver * * * Lycée : classe de 2nde
neau uniquement
Espagne Sant Pere de Ribes Lycée Français International * * * Lycée : voie générale
Bel Air
Villanueva de la Cañada
Espagne (Madrid) Lycée Molière Mlf * * * Lycée : voie générale
Etat d'Arizona :
Etats-Unis Ecole internationale d'Arizona *
Phoenix
Etats-Unis Etat de Californie : San Lycée français de San Fran * * * Lycée : voie générale
Francisco cisco
Ecole : classes de MS au
Etat de Californie : Santa Santa Rosa French American CM2 uniquement
Etats-Unis Rosa charter school * *
Collège : classe de 6e uni
quement
Etats-Unis Etat du Colorado : Denver Ecole française internationale * Filière sur programmes
français uniquement
Ecole franco-américaine
Etats-Unis Etat de Floride : Miami (EFAM) *
Etats-Unis Etat de Géorgie : Atlanta Ecole internationale (AIS) * Filière sur programmes
français uniquement
Etats-Unis Etat de Louisiane : La Nou Audubon Charter School * * Collège : classes de 6e, 5e
velle-Orléans et 4e uniquement
Ecole : classes de MS au
Etats-Unis Etat de Louisiane : La Nou Le Lycée Français de La Nou * * * CM2 uniquement
velle-Orléans velle-Orléans
Lycée : voie générale
Etats-Unis Etat du Minnesota : Min The French Académie * Ecole : classes maternel
neapolis les uniquement
Etat du New Jersey : Prin French American School of Collège : classes de 6e, 5e
Etats-Unis ceton Princeton * * et 4e uniquement
Etats-Unis Etat de New York : New The Ecole * * Collège : classes de 6e, 5e
York et 4e uniquement
Etats-Unis Etat de New York : New Lycée français * * * Lycée : voie générale
York
Etats-Unis Etat de New York : New Lyceum Kennedy * * Filière sur programmes
York français uniquement
Etats-Unis Etat du Texas : Austin Austin international School * * Collège : classes de 6e, 5e
Mlf et 4e uniquement
Etats-Unis Etat de Washington : Kir Les Lilas French Bilingual * Ecole : classes de PS à
kland Community School CE2 uniquement
Guinée équatoriale Malabo Lycée français " Le Concorde " * * * Lycée : voie générale
Collège : classe de 6e
Israël Tel-Aviv Collège français Marc Chagall * * uniquement
Liban Beyrouth (Moussait bé) et Lycée français international * * * Lycée : voie générale
Bchamoun Elite et son annexe
Collège Saint-Grégoire,
Liban Jamhour annexe du Collège Notre- * *
Dame de Jamhour
Ecole : classes de PS au
Liban Nabatieh Collège des Sœurs Antonines * CE2 uniquement
Malaisie Kuala Lumpur Lycée français de Kuala Lum * * * Lycée : voie générale
pur, Henri Fauconnier
Collège : classe de 6e
Mali Bamako Les Ecrivains * * uniquement
Ecole : classes de MS au
CM2 uniquement
Lycée : voie générale et
Casablanca - Bouskoura - voie technologique
Maroc Ecole Al Jabr * * * (série STMG)
Dar Bouazza
Annexe de Dar Bouazza :
classes de MS à la 3e
uniquement
Ecole : classes de MS au
Maroc Casablanca Ecole Théophile Gautier * CM2 uniquement
Maroc Casablanca Lycée français Léon l'Africain * * * Lycée : classe de 2nde uni
Annexe Domaine d’Anfa quement
Ecole : classes de MS au
Maroc Mohammedia Groupe scolaire Claude Monet * * CM2 uniquement
Etablissement fermé
Niger Niamey Lycée La Fontaine * * *
Lycée : voie générale
République domini Las Terrenas Lycée français international de * * * Lycée : classe de 2nde uni
caine las Terrenas quement
Ecole : classes de GS au
Royaume-Uni Aberdeen Ecole d'entreprise Total * * CM2 uniquement
Ecole : classes de PS et
Royaume-Uni Bristol Ecole française * MS uniquement
Ecole : classes de PS au
Singapour Singapour La Petite Ecole * CE2 uniquement
Collège : classe de 6e
Suisse Bâle Ecole française * * uniquement
Ecole : classes de GS au
Suisse Genève Ecole primaire française * CM2 uniquement
Institut Sainte-Marcelline -
Suisse Lausanne Lycée Français de Lausanne * * * Lycée : voie générale
Ecole : classes de MS au
Tunisie Bizerte Ecole Jean Giono * CM2 uniquement
Ecole : classes de MS au
Tunisie Nabeul Ecole George Sand * CM2 uniquement
Ecole : classes de MS au
Tunisie Sousse Lycée Français International * * * CM2 uniquement
M'Hamed Driss
Lycée : voie générale
Collège : classe de 6e
Zambie Lusaka Lycée Français de Lusaka * * uniquement
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 juin 2024 modifiant l’arrêté du 20 octobre 2020 définissant les modalités
de l’évaluation du chef-d’œuvre prévue à l’examen du baccalauréat professionnel par
l’article D. 337-66-1 du code de l’éducation et l’arrêté du 16 décembre 2020 relatif aux conditions
de délivrance de l’attestation de réussite intermédiaire au baccalauréat professionnel et à son
modèle
NOR : MENE2411396A
1o Dans l’intitulé de l’arrêté, le mot : « chef-d’œuvre » est remplacé par le mot : « projet » ;
2o A chaque occurrence, le mot : « chef-d’œuvre » est remplacé par le mot : « projet ».
Art. 2. – Au c de l’article 1er de l’arrêté du 16 décembre 2020 susvisé, le mot : « chef-d’œuvre » est remplacé
par le mot : « projet ».
Art. 3. – Les dispositions du présent arrêté entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2024.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général
de l’enseignement scolaire,
E. GEFFRAY
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
baccalauréat professionnel mentionnés en annexe du présent arrêté, le mot : « chef-d’œuvre » est remplacé, à
chaque occurrence, par le mot : « projet ».
Art. 2. – Les dispositions du présent arrêté entrent en vigueur à la rentrée scolaire 2024.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général
de l’enseignement scolaire,
E. GEFFRAY
ANNEXE
LISTE DES ARRÊTÉS DE SPÉCIALITÉ DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL DANS LESQUELS LE MOT
« CHEF-D’ŒUVRE » EST REMPLACÉ PAR CELUI DE « PROJET » DANS LE RÈGLEMENT D’EXAMEN
Arrêté du 9 décembre 2020 portant création de la spécialité « Maintenance des systèmes de production
connectés » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 9 décembre 2020 portant création de la spécialité « Technicien en réalisation de produits mécaniques,
option réalisation et suivi de productions, option réalisation et maintenance des outillages » de baccalauréat
professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 11 décembre 2020 portant création de la spécialité « Métiers de l’entretien des textiles, option A :
blanchisserie, option B : pressing » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 15 décembre 2020 portant création de la spécialité « artisanat et métiers d’art-facteur d’orgues » du
baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 10 mars 2021 portant création de la spécialité « Métiers du Froid et des Energies Renouvelables » de
baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 20 mai 2021 portant création de la spécialité « Maintenance et Efficacité Énergétique » de baccalauréat
professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 29 juin 2021 portant création de la spécialité « Installateur en chauffage, climatisation et énergies
renouvelables » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 29 décembre 2021 portant création de la spécialité « Esthétique Cosmétique Parfumerie » de
baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 18 janvier 2022 portant création de la spécialité « Modélisation et prototypage 3D » de baccalauréat
professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 13 sur 120
Arrêté du 2 février 2022 modifié portant création de la spécialité « Accompagnement, soins et services à la
personne » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 21 décembre 2022 portant création de la spécialité « Transports par câbles et remontées mécaniques »
de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 30 décembre 2022 portant création de la spécialité « carrossier peintre automobile » de baccalauréat
professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 17 janvier 2023 portant création de la spécialité « travaux publics » de baccalauréat professionnel et
fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 28 février 2023 portant création de la spécialité « Optique Photonique : Technologies de la Lumière »
de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 30 mars 2023 portant création de la spécialité « Maintenance nautique » de certificat d’aptitude
professionnelle et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 27 avril 2023 portant création de la spécialité « Production en Industries Pharmaceutiques,
Alimentaires et Cosmétiques » de baccalauréat professionnel et fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 18 juillet 2023 portant création de la spécialité « Transport fluvial » de baccalauréat professionnel et
fixant ses modalités de délivrance.
Arrêté du 8 janvier 2024 portant création de la spécialité « Métiers de l’électricité et de ses environnements
connectés ».
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 13 juin 2024 modifiant l’arrêté du 19 avril 2019 portant application des nouvelles
organisations d’enseignements dispensés dans les formations sous statut scolaire préparant
au baccalauréat professionnel et au certificat d’aptitude professionnelle
NOR : MENE2411415A
ANNEXES
ANNEXE I
ORGANISATION DES ENSEIGNEMENTS DISPENSÉS AU BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL
(en conformité avec l’arrêté du 21 novembre 2018 modifié relatif aux enseignements dispensés
dans les formations sous statut scolaire préparant au baccalauréat professionnel)
RATTACHEMENT
SPÉCIALITÉS DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SECTEURS DES ENSEIGNEMENTS
PRODUCTION Economie-gestion ou économie-droit
INTITULÉ DE LA SPÉCIALITÉ ARRÊTÉ DE CRÉATION OU ET
SERVICES Physique-chimie ou langue vivante B
ARTISANAT ET MÉTIERS D’ART - FACTEUR Arrêté du 15 décembre 2020 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
D’ORGUES - option tuyautier
ARTISANAT ET MÉTIERS D’ART - option : mar
chandisage visuel Arrêté du 20 mars 2007 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
ARTISANAT ET MÉTIERS D’ART -option : tapissier Arrêté du 29 juillet 1998 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
d’Ameublement
ARTISANAT ET MÉTIERS D’ART - Option A :
verrerie scientifique et technique Arrêté du 11 juillet 2005 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
ASSISTANCE A LA GESTION DES ORGANISA Arrêté du 18 février 2020 SERVICES Economie-droit / Langue vivante B
TIONS ET DE LEURS ACTIVITES
AVIATION GÉNÉRALE Arrêté du 12 avril 2013 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
BIO-INDUSTRIES DE TRANSFORMATION (der Arrêté du 1er septembre 2009
nière session 2025) modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
BOUCHER CHARCUTIER TRAITEUR Arrêté du 24 juin 2009 modifié PRODUCTION Environnement économique, juridique et manage
ment (1) / Sciences appliquées (2)
Environnement économique, juridique et manage
BOULANGER-PÂTISSIER Arrêté du 2 juillet 2009 modifié PRODUCTION ment (1) / Sciences appliquées (2)
CARROSSIER PEINTRE AUTOMOBILE (première
session 2026) Arrêté du 30 décembre 2022 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
COMMERCIALISATION ET SERVICES EN RESTAU Arrêté du 31 mai 2011 modifié PRODUCTION Mercatique et gestion appliquée (3) / Sciences
RATION appliquées (2)
CONDUCTEUR TRANSPORTEUR ROUTIER MAR
CHANDISES Arrêté du 3 juin 2010 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
CONSTRUCTION DES CARROSSERIES (dernière Arrêté du 8 avril 2010 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
session 2026 – session supplémentaire 2027)
CONSTRUCTION ET AMÉNAGEMENT DE VEHI Arrêté du 2 avril 2024 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
CULES (première session 2027)
CUISINE Arrêté du 31 mai 2011 modifié PRODUCTION Gestion appliquée (4) / Sciences appliquées (2)
CYBERSECURITÉ, INFORMATIQUE ET RÉSEAUX, Arrêté du 13 février 2023 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
ÉLECTRONIQUE (première session 2026)
ESTHÉTIQUE COSMÉTIQUE PARFUMERIE (der
nière session 2024) Arrêté du 7 avril 2017 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 120
RATTACHEMENT
SPÉCIALITÉS DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SECTEURS DES ENSEIGNEMENTS
PRODUCTION Economie-gestion ou économie-droit
INTITULÉ DE LA SPÉCIALITÉ ARRÊTÉ DE CRÉATION OU ET
SERVICES Physique-chimie ou langue vivante B
ÉTUDE ET RÉALISATION D’AGENCEMENT Arrêté du 7 avril 2011 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
FAÇONNAGE DE PRODUITS IMPRIMÉS, ROU Arrêté du 26 avril 2011 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TAGE
FONDERIE Arrêté du 30 avril 2009 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
GÉOMETRE (première session 2027) Arrêté du 7 mars 2024 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
GESTION DES POLLUTIONS ET PROTECTION DE
L’ENVIRONNEMENT Arrêté du 17 juillet 2012 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
HYGIÈNE, PROPRETÉ, STÉRILISATION Arrêté du 17 juillet 2012 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
INSTALLATEUR EN CHAUFFAGE, CLIMATISA Arrêté du 29 juin 2021 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TION ET ÉNERGIES RENOUVELABLES
INTERVENTIONS SUR LE PATRIMOINE BÂTI - Arrêté du 11 avril 2008 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
option A : maçonnerie
INTERVENTIONS SUR LE PATRIMOINE BÂTI - Arrêté du 11 avril 2008 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
option B : charpente
INTERVENTIONS SUR LE PATRIMOINE BÂTI -
option C : couverture Arrêté du 11 avril 2008 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
MAINTENANCE DES VÉHICULES - option B : Arrêté du 19 mars 2014 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
véhicules de transport routier
MAINTENANCE DES VÉHICULES - option C : Arrêté du 19 mars 2014 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
motocycles
MAINTENANCE ET EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE Arrêté du 20 mai 2021 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
MAINTENANCE NAUTIQUE (dernière session
2025) Arrêté du 17 avril 2008 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
RATTACHEMENT
SPÉCIALITÉS DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SECTEURS DES ENSEIGNEMENTS
PRODUCTION Economie-gestion ou économie-droit
INTITULÉ DE LA SPÉCIALITÉ ARRÊTÉ DE CRÉATION OU ET
SERVICES Physique-chimie ou langue vivante B
OUVRAGES DU BÂTIMENT : métallerie Arrêté du 9 mai 2006 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
PERRUQUIER POSTICHEUR Arrêté du 8 avril 2010 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
PHOTOGRAPHIE Arrêté du 9 février 2012 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
PILOTE DE LIGNE DE PRODUCTION Arrêté du 30 mars 2012 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
PLASTIQUES ET COMPOSITES Arrêté du 8 juillet 2009 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
Environnement économique, juridique et manage
POISSONNIER ÉCAILLER TRAITEUR Arrêté du 24 juin 2009 modifié PRODUCTION ment (1) / Sciences appliquées (2)
PROCÉDÉS DE LA CHIMIE, DE L’EAU ET DES Arrêté du 13 avril 2012 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
PAPIERS-CARTONS
PRODUCTION EN INDUSTRIES PHARMACEUTI
QUES, ALIMENTAIRES ET COSMETIQUES (pre Arrêté du 27 avril 2023 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
mière session 2026)
RÉALISATION DE PRODUITS IMPRIMÉS ET PLU
RIMEDIA -option A : productions graphiques Arrêté du 12 mars 2014 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
RATTACHEMENT
SPÉCIALITÉS DE BACCALAURÉAT PROFESSIONNEL SECTEURS DES ENSEIGNEMENTS
PRODUCTION Economie-gestion ou économie-droit
INTITULÉ DE LA SPÉCIALITÉ ARRÊTÉ DE CRÉATION OU ET
SERVICES Physique-chimie ou langue vivante B
TRAITEMENT DES MATÉRIAUX Arrêté du 28 juillet 1999 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TRANSPORT FLUVIAL (dernière session 2026) Arrêté du 11 avril 2013 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TRANSPORT FLUVIAL (première session 2027) Arrêté du 18 juillet 2023 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TRANSPORTS PAR CÂBLES ET REMONTÉES
MÉCANIQUES (première session 2026) Arrêté du 21 décembre 2022 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TRAVAUX PUBLICS (dernière session 2025) Arrêté du 11 juillet 2005 modifié PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
TRAVAUX PUBLICS (première session 2026) Arrêté du 17 janvier 2023 PRODUCTION Economie-gestion / Physique-chimie
ANNEXE II
DURÉE DE LA PÉRIODE DE FORMATION EN MILIEU PROFESSIONNEL (PFMP)
À 12 OU 14 SEMAINES AU CERTIFICAT D’APTITUDE PROFESSIONNELLE
(en conformité avec l’arrêté du 21 novembre 2018 modifié relatif à l’organisation et aux enseignements
dispensés dans les formations sous statut scolaire préparant au certificat d’aptitude professionnelle)
SPÉCIALITÉS DE CERTIFICAT D’APTITUDE PROFESSIONNELLE
Durée
PFMP
INTITULÉ DE LA SPÉCIALITÉ Date de l’arrêté de création
AGENT ACCOMPAGNANT AU GRAND AGE (première session 2025) Arrêté du 6 février 2023 14
AGENT D’ACCUEIL ET DE CONDUITE ROUTIERE, TRANSPORT DE VOYAGEURS (dernière session 2024) Arrêté du 8 novembre 2004 14
AGENT D’ASSAINISSEMENT ET DE COLLECTE DES DECHETS LIQUIDES SPECIAUX Arrêté du 11 mars 1994 12
AGENT DE MAINTENANCE DES INDUSTRIES DE MATERIAUX DE CONSTRUCTION ET CONNEXES (dernière Arrêté du 3 juin 1961 12
session 2023)
ARTS DE LA BRODERIE - (domaine machines automatisées/domaine machines guidées main/domaine main) Arrêté du 19 juillet 1991 12
ARTS ET TECHNIQUES DU VERRE - option décorateur sur verre Arrêté du 29 août 1994 modifié 12
ASSISTANT TECHNIQUE EN INSTRUMENTS DE MUSIQUE OPTION ACCORDEON Arrêté du 27 octobre 2004 modifié 12
ASSISTANT TECHNIQUE EN INSTRUMENTS DE MUSIQUE - option guitare Arrêté du 27 octobre 2004 modifié 12
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 120
ASSISTANT TECHNIQUE EN INSTRUMENTS DE MUSIQUE - option instruments à vent Arrêté du 27 octobre 2004 modifié 12
ASSISTANT TECHNIQUE EN INSTRUMENTS DE MUSIQUE - option piano Arrêté du 27 octobre 2004 modifié 12
ASSISTANT TECHNIQUE EN MILIEUX FAMILIAL ET COLLECTIF (dernière session 2024 - session Arrêté du 11 août 2004 modifié 14
supplémentaire 2025)
CONDUCTEUR AGENT D’ACCUEIL EN AUTOBUS ET AUTOCAR (première session 2025) Arrêté du 12 mars 2023 12
CONDUCTEUR D’ENGINS : TRAVAUX PUBLICS ET CARRIERES (dernière session 2024) Arrêté du 24 mars 2006 14
CONDUCTEUR D’ENGINS : TRAVAUX PUBLICS ET CARRIERES (première session 2025) Arrêté du 29 août 2022 14
ETANCHEUR DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS (dernière session 2024) Arrêté du 25 octobre 2002 14
ETANCHEUR DU BATIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS (première session 2025) Arrêté du 29 août 2022 14
FABRICATION INDUSTRIELLE DES CERAMIQUES (dernière session 2024 – session supplémentaire 2025) Arrêté du 6 août 1991 modifié 12
MAINTENANCE DES MATERIELS - option a - matériels agricoles Arrêté du 24 mars 2016 modifié 12
MAINTENANCE DES MATERIELS - option b -matériels de construction et de manutention Arrêté du 24 mars 2016 modifié 12
MAINTENANCE DES MATERIELS - option c : matériels d’espaces verts Arrêté du 24 mars 2016 modifié 12
MAINTENANCE DES VEHICULES - option b - véhicules de transport routier Arrêté du 22 avril 2014 12
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 14 sur 120
MECANICIEN CONDUCTEUR DES SCIERIES ET DES INDUSTRIES MECANIQUES DU BOIS - option - Arrêté du 7 octobre 1969 modifié 12
mécanicien affuteur de sciage, tranchage, déroulage
MENUISIER ALUMINIUM VERRE (dernière session 2024) Arrêté du 25 octobre 2002 modifié 14
METIERS DU FOOTBALL (dernière session 2025 – session supplémentaire 2026) Arrêté du 13 juillet 1977 12
MISE EN FORME DES MATERIAUX (dernière session 2025 – session supplémentaire 2026) Arrêté du 31 août 1988 modifié 12
MISE EN ŒUVRE DES CAOUTCHOUCS ET DES ELASTOMERES THERMOPLASTIQUES Arrêté du 5 juin 1991 12
MONTEUR EN CHAPITEAUX (dernière session 2023 - session supplémentaire 2024) Arrêté du 22 juillet 1977 modifié 12
MONTEUR EN ISOLATION THERMIQUE ET ACOUSTIQUE (dernière session 2024 - session supplémentaire Arrêté du 15 juin 1987 12
2025)
OPERATEUR EN APPAREILLAGE ORTHOPEDIQUE - SPECIALITE ORTHOPROTHESE (anciennement ortho- Arrêté du 25 août 1994 modifié 12
prothésiste)
OPERATEUR EN APPAREILLAGE ORTHOPEDIQUE SPECIALITE PODO-ORTHESE (anciennement podo- Arrêté du 25 août 1994 modifié 12
orthésiste)
PEINTURE EN CARROSSERIE (dernière session 2024 - session supplémentaire 2025) Arrêté du 20 mars 2007 12
REALISATIONS INDUSTRIELLES EN CHAUDRONNERIE OU SOUDAGE - option a - chaudronnerie Arrêté du 3 janvier 2017 modifié 12
REALISATIONS INDUSTRIELLES EN CHAUDRONNERIE OU SOUDAGE - option b - soudage Arrêté du 3 janvier 2017 modifié 12
REPARATION DES CARROSSERIES (dernière session 2024 - session supplémentaire 2025) Arrêté du 19 mars 2007 12
REPARATION ENTRETIEN DES EMBARCATIONS DE PLAISANCE (dernière session 2024) Arrêté du 20 mars 2007 12
TRANSPORT FLUVIAL (dernière session 2025 – session supplémentaire 2026) Arrêté du 26 avril 2011 modifié 12
TRANSPORT PAR CABLES ET REMONTEES MECANIQUES (dernière session 2024) Arrêté du 21 octobre 1999 14
TRANSPORTS PAR CABLES ET REMONTEES MECANIQUES (première session 2025) Arrêté du 21 décembre 2022 14
TEXTES GÉNÉRAUX
« Cette durée ne peut être fractionnée en plus de six périodes, la durée de chaque période ne pouvant être
inférieure à trois semaines. »
sont remplacés par les alinéas suivants :
« La durée de la formation en milieu professionnel est de 20 semaines.
« Les 20 semaines sont réparties sur les trois années de formation (arrêté du 21 novembre 2018 modifié relatif
aux enseignements dispensés dans les formations sous statut scolaire préparant au baccalauréat professionnel).
« Cette durée ne peut être fractionnée en plus de six périodes, la durée de chaque période ne pouvant être
inférieure à trois semaines. » ;
2o La phrase : « En classes de première et terminale les seize semaines sont réparties comme suit : » est
remplacée par la phrase suivante : « En classes de première et terminale les 14 semaines sont réparties comme
suit : » ;
3o A la deuxième ligne du tableau, les mots : « 12 semaines » sont remplacés par les mots : « 11 semaines » et les
mots : « 4 semaines » sont remplacés par les mots : « 3 semaines ».
Art. 3. – Dans la section « 1. Voie scolaire » de la partie « Organisation de la formation en milieu
professionnel » de l’annexe III de l’arrêté du 11 avril 2013 susvisé, les mots : « 11 semaines » sont remplacés par
les mots : « 9 semaines ».
Art. 4. – L’arrêté du 22 juillet 2019 susvisé est ainsi modifié :
1o Dans la section « 1. Contrôle en cours de formation : » de la partie relative à l’épreuve E2 « Contribution au
fonctionnement de la structure ou du service par la mise en œuvre d’un projet d’animation » de la subdivision
« II c – Définition des épreuves » de l’annexe II, les mots : « huit semaines » sont remplacés par les mots :
« six semaines » ;
2o Dans la section « Les lieux d’accueil » de la partie « 2.1.3. Organisation des PFMP » de l’annexe III, les
mots : « huit semaines » sont remplacés par les mots : « six semaines » et les mots : « l’épreuve E1 » sont
remplacés par les mots : « l’épreuve E2 » ;
3o Dans la section « Les modalités de planification » de la partie « 2.1.3. Organisation des PFMP » de
l’annexe III :
a) Les phrases : « Six semaines dans le secteur socioculturel ou socioéducatif, en classe de seconde » et
« Seize semaines réparties en classes de première et terminale » sont supprimées ;
b) Les mots : « incluant une période durant les vacances scolaires ainsi qu’une période de 4 semaines
consécutives » sont remplacés par les mots : « incluant dans la mesure du possible une période durant les vacances
scolaires » ;
c) Après les mots : « incluant dans la mesure du possible une période durant les vacances scolaires », il est inséré
un dernier alinéa ainsi rédigé :
« Les quatre semaines restant à réaliser peuvent être effectuées indistinctement dans l’un ou l’autre secteur. »
Art. 5. – L’arrêté du 2 février 2022 susvisé est ainsi modifié :
1o Dans la section « Modalités d’évaluation » de la partie relative à la sous-épreuve E31 « Accompagnement de
la personne dans une approche globale et individualisée » de la subdivision « IV c – Définition des épreuves » de
l’annexe IV, les mots : « quatre semaines » sont remplacés par les mots : « trois semaines » ;
2o Dans la section « Contrôle en cours de formation » de la partie relative à la sous-épreuve E32 « Soins
d’hygiène, de confort et de sécurité » de la subdivision « IV c – Définition des épreuves » de l’annexe IV, les mots :
« quatre semaines » sont remplacés par les mots : « trois semaines » ;
3o La partie « 2. Durée de la période de formation en milieu professionnel (PFMP) » de l’annexe V est modifiée
comme suit :
a) Les alinéas :
« La durée de la formation en milieu professionnel est de 22 semaines.
« Ces 22 semaines sont réparties sur les trois années de formation, cette durée ne peut être fractionnée en plus de
six périodes, la durée de chaque période ne pouvant être inférieure à trois semaines. »
sont remplacés par les alinéas suivants :
« La durée de la formation en milieu professionnel est de 20 semaines.
« Ces 20 semaines sont réparties sur les trois années de formation, cette durée ne peut être fractionnée en plus de
six périodes, la durée de chaque période ne pouvant être inférieure à trois semaines. » ;
b) Les mots : « 16 semaines » sont remplacés par les mots : « 14 semaines » ;
c) Les mots : « douze dernières semaines » sont remplacés par les mots : « dix dernières semaines » ;
4o Dans la section « 3.1. Voie scolaire » de la partie « 3. Organisation de la formation en milieu professionnel »
de l’annexe V :
a) Les mots : « seize semaines » sont remplacés, à chaque occurrence, par les mots : « 14 semaines » ;
b) Les mots : « dix semaines au moins » sont remplacés par les mots : « 8 semaines au moins » ;
c) Les mots : « (huit semaines par année) » sont supprimés ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 15 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Décision du 12 juin 2024 modifiant la décision du 8 mars 2021 portant délégation de signature
(direction générale des patrimoines et de l’architecture, service à compétence nationale
« Archives nationales »)
NOR : MICC2415894S
1o Le troisième alinéa de l’article 1er est remplacé par un alinéa ainsi rédigé :
« 2. En cas d’absence de M. Ghislain BRUNEL, délégation est donnée à M. Pierre FOURNIE, conservateur
général du patrimoine, et à Mme Anita HERBERT, assistante ingénieur. » ;
2o Le quatrième alinéa de l’article 9 est remplacé par un alinéa ainsi rédigé :
« 3. Mme Dilan ILHAN, adjointe administrative ; ».
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait le 12 juin 2024.
J.-F. HEBERT
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 17 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 11 juin 2024 modifiant l’arrêté du 5 octobre 2022 relatif aux normes médicales
d’aptitude applicables au personnel militaire du service de santé des armées
NOR : ARMK2415911A
PROFIL
APTITUDES OBSERVATIONS
Y
S I G (1) C O P (2)
Les militaires commissionnés sont recrutés au titre de l’article L. 4132-10 du code de la défense en vue d’exercer des fonctions
Militaires commissionnés (admission 3 (3) 3 4 5 3 3 (4) 0/1 déterminées à caractère scientifique, technique ou pédagogique correspondant aux diplômes qu’ils détiennent ou à leur
et maintien) expérience professionnelle.
Pour tout réserviste opérationnel, nécessité de pouvoir suivre une formation militaire initiale des réservistes (FMIR).
Admission et maintien dans la réserve opéra Absence de contre-indication à l’emploi.
tionnelle hors article L. 4221-3 du code de la 3 (3) 3 3 5 3 3 0/1
défense Absence de contre-indication à l’EPMS et au tir.
En cas de projection, il doit présenter les aptitudes à la projection définies ci-dessous.
Admission et maintien dans la réserve opéra Un réserviste opérationnel sans sujétion opérationnelle ne peut être projeté (ni OPEX ni OPINT), ni participer à des activités
tionnelle sans sujétion opérationnelle hors 4 (3) 4 4 5 4 4 0/1 opérationnelles (terrain, exercice.).
article L. 4221-3 du code de la défense Il ne participe qu’aux cours théoriques des FMIR Absence de contre-indication à l’emploi
APTITUDES À LA PROJECTION
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
OPEX 1. Le personnel doit répondre aux exigences suivantes pour être déclaré apte à la projection :
3 (3) 2 3 5 3 3 1 – absence de pathologie évolutive ou chronique susceptible de compromettre la santé du personnel ou la disponibilité
MCD (incluant les renforts temporaires) opérationnelle lors de la projection OPEX ou MCD (du fait de cette évaluation, le médecin des armées peut déclarer un
personnel inapte OPEX mais apte MCD) ;
Mission outre-mer (OM) ou Affectation en poste – absence de nécessité de soins dentaires ;
permanent à l’étranger (PPE) dans une zone à 3 (3) 2 3 5 3 3 1 – statut vaccinal en conformité avec le calendrier vaccinal défini par le service de santé des armées ;
risque équivalent à celui de la métropole(5) – absence de conduites addictives ;
– stabilité psychologique. Toute non-conformité dans ces domaines avec les textes réglementaires doit conduire à une décision
d’inaptitude temporaire ou définitive au service en OPEX, MCD, affectation OM ou en PPE.
Mission outre-mer (OM) ou Affectation en poste 2. Le personnel doit être en état de subir les vaccinations réglementaires, légales figurant au calendrier vaccinal des armées.
permanent à l’étranger (PPE) dans une zone à 3 (3) 2 3 5 3 3 1 3. Pour le personnel féminin, l’état de grossesse clinique ou biologique contre-indique le départ OM, PPE, OPEX ou MCD. Une
risque sanitaire plus élevé qu’en métropole(5) grossesse déclarée en cours d’OPEX ou de MCD entraîne, de fait, une inaptitude médicale à poursuivre la mission. Une
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PROFIL
APTITUDES OBSERVATIONS
Y
S I G (1) C O P (2)
15 juin 2024
grossesse déclarée au cours d’une affectation OM doit faire l’objet d’une évaluation individuelle basée sur la qualité du
déroulement de la grossesse et sur la nature du plateau technique médical disponible localement.
4. Le personnel projeté devra avoir fait l’objet, si nécessaire, d’une information sur les risques sanitaires ou d’une visite médicale
avant projection selon les modalités définies par le service de santé des armées.
Séjour dans les TAAF La norme médicale relative à l’aptitude médicale au séjour dans les territoires et terres australes et antarctiques françaises (TAAF) est fixée par instruction du SSA.
(1) Pour le personnel dont la vue est soumise à correction, le port de moyens de correction adaptés est obligatoire en service.
(2) P = 0 possible uniquement pendant la période probatoire.
(3) Pour le personnel médical et paramédical, S=3 toléré sous réserve de l’intégrité fonctionnelle de la main et du poignet.
(4) Pour les candidats à l’admission en tant que militaire commissionné ou dans la réserve au titre de l’article L. 4221-3 du code de la défense, l’évaluation du classement O applique les dispositions prévues en cours de carrière par l’arrêté du
29 mars 2021 susvisé avec exploration par audiométrie vocale si l’exploration par audiométrie tonale conduit à un classement O > 3. (5) La liste des pays dont le risque sanitaire est équivalent à celui de la métropole est définie par le service de
santé des armées.
JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
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TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 juin 2024 fixant le nombre d’emplois offerts au titre de l’année 2024 à la titularisation
des bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat
d’apprentissage pour l’accès au corps des attachés d’administration de l’Etat du ministère de la
défense
NOR : ARMH2415352A
Par arrêté du ministre des armées en date du 12 juin 2024, pour la titularisation des bénéficiaires de l’obligation
d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat d’apprentissage dans le corps des attachés
d’administration de l’Etat du ministère de la défense selon les modalités prévues par le décret no 2020-530
du 5 mai 2020 fixant pour une période limitée les modalités de titularisation dans un corps ou cadre d’emplois de la
fonction publique des bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat
d’apprentissage, le nombre d’emplois offerts est fixé à 1, au titre de l’année 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 19 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 juin 2024 fixant le nombre d’emplois offerts au titre de l’année 2024 à la titularisation
des bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat
d’apprentissage pour l’accès au corps des adjoints administratifs du ministère de la défense
NOR : ARMH2415355A
Par arrêté du ministre des armées en date du 12 juin 2024, pour la titularisation des bénéficiaires de l’obligation
d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat d’apprentissage dans le corps des adjoints administratifs
du ministère de la défense selon les modalités prévues par le décret no 2020-530 du 5 mai 2020 fixant pour une
période limitée les modalités de titularisation dans un corps ou cadre d’emplois de la fonction publique des
bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat d’apprentissage, le nombre
d’emplois offerts est fixé à 3, au titre de l’année 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 20 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 juin 2024 fixant le nombre d’emplois offerts au titre de l’année 2024 à la titularisation
des bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat
d’apprentissage pour l’accès au corps des techniciens supérieurs d’études et de fabrications
du ministère de la défense
NOR : ARMH2415358A
Par arrêté du ministre des armées en date du 12 juin 2024, pour la titularisation des bénéficiaires de l’obligation
d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat d’apprentissage dans le corps des techniciens supérieurs
d’études et de fabrications du ministère de la défense selon les modalités prévues par le décret no 2020-530
du 5 mai 2020 fixant pour une période limitée les modalités de titularisation dans un corps ou cadre d’emplois de la
fonction publique des bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat
d’apprentissage, le nombre d’emplois offerts est fixé à 2, au titre de l’année 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 21 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 juin 2024 fixant le nombre d’emplois offerts au titre de l’année 2024 à la titularisation
des bénéficiaires de l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat
d’apprentissage pour l’accès au corps des agents techniques du ministère de la défense
NOR : ARMH2415359A
Par arrêté du ministre des armées en date du 12 juin 2024, pour la titularisation des bénéficiaires de l’obligation
d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat d’apprentissage dans le corps des agents techniques du
ministère de la défense selon les modalités prévues par le décret no 2020-530 du 5 mai 2020 fixant pour une période
limitée les modalités de titularisation dans un corps ou cadre d’emplois de la fonction publique des bénéficiaires de
l’obligation d’emploi des travailleurs handicapés à l’issue d’un contrat d’apprentissage, le nombre d’emplois
offerts est fixé à 3, au titre de l’année 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 22 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Décrète :
Art. 1er. – En application de l’article 26 de la loi susvisée, les assesseurs exploitants agricoles nommés pour
exercer les fonctions d’assesseur des tribunaux des activités économiques sont soumis à l’obligation de suivre une
formation initiale préalablement à leur prise de fonctions dans les conditions fixées par le présent décret.
Art. 2. – La formation initiale préalable, d’une durée de quatre jours, est organisée par l’Ecole nationale de la
magistrature.
Elle porte notamment sur des enseignements relatifs à la déontologie et l’organisation judiciaire, aux principes
de la procédure, au fonctionnement d’une juridiction ainsi qu’au traitement des difficultés des entreprises.
Art. 3. – A l’issue de la formation, l’Ecole nationale de la magistrature remet à l’assesseur exploitant agricole
une attestation individuelle de formation, sous réserve d’assiduité.
L’assesseur exploitant agricole remet sans délai l’attestation individuelle de formation au président du tribunal
des activités économiques.
L’Ecole nationale de la magistrature transmet au garde des sceaux, ministre de la justice la liste des assesseurs
exploitants agricoles n’ayant pas effectué leur formation.
La déchéance des assesseurs exploitants agricoles n’ayant pas effectué leur formation, prévue au quatrième
alinéa de l’article 26 de la loi susvisée, est constatée par le garde des sceaux, ministre de la justice qui en informe le
premier président de la cour d’appel. Ce dernier en informe à son tour l’assesseur exploitant agricole intéressé, le
procureur général près la cour d’appel, ainsi que le président et le greffier du tribunal des activités économiques
concernés.
Art. 4. – Les frais de déplacement et de séjour exposés par les assesseurs exploitants agricoles pour le suivi de
la formation initiale préalable leur sont remboursés selon la réglementation en vigueur applicable aux agents de
l’Etat.
Art. 5. – Le garde des sceaux, ministre de la justice, est chargé de l’exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
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TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 14 juin 2024 fixant les dates limites de remise à la commission électorale et de livraison
du matériel électoral des candidats à l’élection des députés élus par les Français établis hors
de France
NOR : EAEF2416055A
Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre de l’Europe et des affaires étrangères et le ministre
délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé du commerce extérieur, de l’attractivité,
de la francophonie et des Français de l’étranger,
Vu l’article 12 de la Constitution, notamment son deuxième alinéa aux termes duquel « les élections générales
ont lieu vingt jours au moins et quarante jours au plus tard après la dissolution » ;
Vu la loi organique no 76-97 du 31 janvier 1976 modifiée relative aux listes électorales consulaires et au vote des
Français établis hors de France pour l’élection du Président de la République, notamment son article 14 ;
Vu le code électoral, notamment ses articles L. 330-6, R. 38, R. 38-1, R. 174-1 et R. 174-2 ;
Vu le décret du 9 juin 2024 portant dissolution de l’Assemblée nationale,
Arrêtent :
Art. 1 . – En application des articles R. 38 et R. 174-1 du code électoral, la date limite de remise à la
er
commission électorale prévue à l’article L. 330-6 du même code, des circulaires et bulletins de vote des candidats
est fixée au 18 juin 2024, à 18 heures (heure légale de Paris), pour le premier tour et au 2 juillet 2024, à 18 heures
(heure légale de Paris), pour le second tour.
Les versions électroniques des circulaires, prévues aux articles R. 38-1 et R. 174-2 du même code, sont remises à
la commission électorale susvisée, par courrier électronique à l’adresse circulaires-legislatives.fae@diplomatie.
gouv.fr, dans les mêmes délais. Les circulaires doivent être fournies au format « .pdf » et leur volume ne peut
excéder deux mégaoctets.
Conformément à l’article R. 38 du même code, la commission électorale n’est pas tenue d’assurer l’envoi aux
électeurs et aux ambassades et postes consulaires des documents déposés postérieurement aux dates indiquées au
premier alinéa.
Art. 2. – Les bulletins de vote destinés à être disposés dans les bureaux de vote, les circulaires et les bulletins
de vote destinés à être adressés à chaque électeur sont livrés en nombre au moins égal à celui des électeurs inscrits
dans la circonscription législative, auprès de la société : KOBA, site de Rantigny, route de Neuilly-sous-Clermont,
60290 Rantigny.
Les affiches doivent être livrées sur palettes (80 × 120 cm). Elles sont livrées en nombre au moins égal au
nombre d’emplacements prévus à l’article L. 330-6 du code électoral.
La livraison de l’ensemble du matériel électoral (circulaires, bulletins de vote et affiches) est effectuée à compter
du 16 juin 2024 et au plus tard le 18 juin 2024 entre 7 heures et 18 heures pour le premier tour, et à compter du
1er juillet 2024 et au plus tard le 2 juillet 2024 entre 7 heures et 18 heures pour le second tour.
Art. 3. – L’arrêté du 1er mars 2023 fixant les dates limites de remise à la commission électorale et de livraison
du matériel électoral des candidats à l’élection de trois députés à l’Assemblée nationale (2e, 8e et 9e circonscriptions
des Français établis hors de France) est abrogé.
Art. 4. – La directrice des Français à l’étranger et de l’administration consulaire au ministère de l’Europe et des
affaires étrangères et la directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur au
ministère de l’intérieur et des outre-mer sont chargées, chacune en ce qui la concerne, de l’exécution du présent
arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 14 juin 2024.
Le ministre de l’Europe
et des affaires étrangères,
STÉPHANE SÉJOURNÉ
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 23 sur 120
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre délégué auprès du ministre
de l’Europe et des affaires étrangères,
chargé du commerce extérieur, de l’attractivité,
de la francophonie et des Français de l’étranger,
FRANCK RIESTER
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 24 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Décret no 2024-544 du 13 juin 2024 relatif à la date et aux modalités de transfert définitif à certains
départements et métropoles des services ou parties de service de l’Etat exerçant les
compétences de l’Etat en matière routière qui leur sont transférées
NOR : TREK2410366D
Publics concernés : services et parties de service des directions interdépartementales des routes (DIR) et des
directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement (DREAL) participant à l’exercice des
compétences transférées à certains départements et métropoles en application de l’article 38 de la loi no 2022-217
du 21 février 2022.
Objet : date et modalités du transfert définitif de ces services ou parties de service.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret arrête la date et les modalités du transfert définitif de ces services ou parties de service dont la
mise à disposition est intervenue par conventions conclues entre les préfets compétents et les présidents des
collectivités territoriales ou établissement public concernés.
Références : le décret, pris en l’application de l’article 38 de la loi no 2022-217 du 21 février 2022 modifiée
relative à la différenciation, la décentralisation, la déconcentration et portant diverses mesures de simplification
de l’action publique locale, et du IV de l’article 81 de la loi no 2014-58 du 27 janvier 2014 de modernisation de
l’action publique territoriale et d’affirmation des métropoles, est consultable sur le site Légifrance (https://www.
legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires,
Vu la loi no 2014-58 du 27 janvier 2014 modifiée de modernisation de l’action publique territoriale et
d’affirmation des métropoles, notamment ses articles 80 et 81 ;
Vu la loi no 2022-217 du 21 février 2022 modifiée relative à la différenciation, la décentralisation, la
déconcentration et portant diverses mesures de simplification de l’action publique locale, notamment ses
articles 38, 150 et 151 ;
Vu l’avis du comité social d’administration ministériel du ministère de la transition écologique et de la cohésion
des territoires en date du 28 mars 2024 ;
Vu les avis du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale en date du 27 mars et du 24 avril 2024 ;
Vu l’avis du Conseil national d’évaluation des normes en date du 2 mai 2024 ;
Le Conseil d’Etat (section de l’administration) entendu,
Décrète :
Art. 1 . – Les services ou parties de service des directions interdépartementales des routes et des directions
er
2o Le nombre d’emplois ou de fractions d’emplois à transférer. Sont transférés les emplois pourvus
au 31 décembre 2023 ou, à défaut, ceux pourvus au 31 décembre 2022 si le nombre de ces emplois est supérieur ;
3o Un état des charges supportées par l’Etat pour les années 2021, 2022 et 2023 relatif aux indemnités de service
fait (indemnités de sujétion horaire, indemnités d’astreintes, indemnités horaires pour travaux supplémentaires)
liées à l’organisation du travail ;
4o Un état des charges de fonctionnement, autres que celles de personnel, supportées par l’Etat pour les
années 2021, 2022 et 2023 relatives aux services ou parties de services à transférer ;
5o Un état des charges supportées par l’Etat au titre des années 2021, 2022 et 2023 pour les vacations nécessaires
au fonctionnement des services ou parties de services à transférer.
Art. 3. – Le préfet dont relèvent les services concernés communique au président du conseil départemental ou
du conseil de la métropole :
1o La liste nominative des agents occupant un emploi à transférer ainsi que la liste des emplois devenus vacants
depuis le 31 décembre 2023 ;
2o Un état des jours acquis au titre du compte épargne-temps par chacun de ces agents ;
3o Un état des durées de service accomplies dans un emploi classé en catégorie active par chacun de ces agents.
Le préfet actualise ces données au 31 octobre 2024 et transmet, avant le 30 novembre 2024, ces compléments
d’information au président du conseil départemental ou du conseil de la métropole concerné.
Art. 4. – Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre de la transition écologique et de la cohésion des
territoires et le ministre délégué auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires,
chargé des transports, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié
au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
Le ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
CHRISTOPHE BÉCHU
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
Le ministre délégué auprès du ministre
de la transition écologique et de la cohésion
des territoires, chargé des transports,
PATRICE VERGRIETE
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Publics concernés : préfets, exploitants d’aérodromes et agents chargés de la prévention du risque animalier
sur les aérodromes.
Objet : modification des dispositions relatives à la prévention du risque animalier.
Entrée en vigueur : le texte entre en vigueur le lendemain de sa publication.
Notice : le décret adapte et met à jour les dispositions relatives à la prévention du risque animalier contenues
dans la section 3 du chapitre II du titre III du livre III de la sixième partie du code des transports. Il abroge
l’article D. 6332-44 du code des transports dont les dispositions sont contenues dans d’autres textes applicables
aux exploitants d’aéronefs, aux organismes chargés de l’entretien des aéronefs, aux exploitants d’aérodrome et
aux organismes rendant les services de la circulation aérienne.
Références : le code des transports modifié par le décret peut être consulté sur le site Légifrance (https://www.
legifrance.gouv.fr).
Le Premier ministre,
Sur le rapport du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires et du ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
Vu le code des transports, notamment ses articles L. 6332-1, L. 6332-3 et D. 6332-29 à D. 6332-46,
Décrète :
Art. 1 . – La section 3 du chapitre II du titre III du livre III de la sixième partie du code des transports (partie
er
D. 6332-30 à D. 6332-46
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 25 sur 120
»
est remplacée par les lignes suivantes :
«
D. 6332-30 et D. 6332-31 Décret 2024-545 du 13 juin 2024
D. 6332-32
D. 6332-35 à D. 6332-38
D. 6332-41
D. 6332-43 et D. 6332-45
».
Art. 3. – Le ministre de l’intérieur et des outre-mer, le ministre de la transition écologique et de la cohésion des
territoires, la ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée des outre-mer, et le
ministre délégué auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires, chargé des
transports, sont chargés, chacun en ce qui le concerne, de l’exécution du présent décret, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
GABRIEL ATTAL
Par le Premier ministre :
Le ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
CHRISTOPHE BÉCHU
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
La ministre déléguée auprès du ministre
de l’intérieur et des outre-mer,
chargée des outre-mer,
MARIE GUÉVENOUX
Le ministre délégué auprès du ministre
de la transition écologique et de la cohésion
des territoires, chargé des transports,
PATRICE VERGRIETE
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 26 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 7 mai 2024 relatif au transfert du siège social de la société anonyme coopérative
d’intérêt collectif d’habitations à loyer modéré (SCIC d’HLM) AIGUILLON Est (anciennement
SCIC VALDURANCE HABITAT)
NOR : TREL2410585A
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 7 mai 2024, la
société anonyme coopérative d’intérêt collectif d’HLM AIGUILLON Est (no Siret 005 650 148 00033) dont le
siège social est situé à Digne-les-Bains (04) est autorisée à transférer son siège social de la région Provence-Alpes-
Côte d’Azur vers la région Grand Est.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 11 juin 2024 modifiant l’arrêté du 11 janvier 2021 relatif à la réception des véhicules
à moteur, de leurs remorques et des systèmes et équipements destinés à ces véhicules en
application du règlement UE/2018/858
NOR : TRER2411817A
F1 Espace de la plaque Arrêté du B(**) B(**) B(**) B(**) B(**) B(**) B B B(**) B(**)
d’immatriculation 12 mai 2021
»;
2. Après le tableau des prescriptions, le renvoi suivant : « (16) Pour les systèmes de protection frontale » est
supprimé.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 27 sur 120
»;
2. Après le tableau des prescriptions :
– le renvoi suivant : « (16) Pour les systèmes de protection frontale » est supprimé ;
– aux lignes A, B et C, après les mots : « un service technique notifié », sont ajoutés les mots : « par un Etat
membre ».
Art. 5. – La directrice générale de l’énergie et du climat est chargée de l’exécution du présent arrêté, qui sera
publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juin 2024.
Pour le ministre et par délégation :
Le sous-directeur de la sécurité
et des émissions des véhicules,
N. OSOUF-SOURZAT
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 28 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 juin 2024 dérogeant aux articles A. 4241-38-1 et A. 4241-51-1 du code des transports
dans le cadre de la préparation des jeux Olympiques et Paralympiques de 2024
NOR : TRET2412061A
cadre des jeux Olympiques et Paralympiques de 2024, les interruptions de la navigation prévues à
l’article R. 4241-38 peuvent exceptionnellement atteindre dix heures par période de vingt-quatre heures aux
dates suivantes :
– le 17 juin 2024 ;
– le 24 juin 2024 ;
– le 1er juillet 2024 ;
– le 8 juillet 2024,
à Paris, Ivry-sur-Seine, Charenton-le-Pont, Issy-les-Moulineaux et Boulogne-Billancourt.
Art. 2. – Pour les deux tests de manœuvre et de navigation de la cérémonie d’ouverture des jeux Olympiques
prévus le 17 juin et le 24 juin 2024, les conducteurs ne sont pas tenus de respecter les signaux d’interdiction et
d’obligation de l’annexe 5 à l’article A. 4241-51-1 du code des transports entre le pont d’Austerlitz et le pont
d’Issy-les-Moulineaux, ce pendant la durée de l’interruption qui sera définie par le préfet en application de
l’article 1 du présent arrêté.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 12 juin 2024.
Pour le ministre et par délégation :
Le directeur général des infrastructures,
des transports et des mobilités,
R. GINTZ
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 120
TEXTES GÉNÉRAUX
Arrêté du 12 juin 2024 portant création d’une zone interdite temporaire dans la région de Nice
(Alpes-Maritimes) identifiée ZIT Nice, dans la région d’information de vol de Marseille
NOR : TREA2415884A
est créé le 18 juin 2024, dans la région d’information de vol de Marseille, une zone interdite temporaire dans la
région de Nice (Alpes-Maritimes) identifiée « ZIT Nice ».
Art. 2. – Les caractéristiques et les conditions d’utilisation de cette zone interdite temporaire sont définies dans
l’annexe au présent arrêté.
Art. 3. – Les dispositions du présent arrêté sont portées à la connaissance des usagers de l’espace aérien par la
voie de l’information aéronautique.
Art. 4. – Le directeur général de l’aviation civile est chargé de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au
Journal officiel de la République française.
Fait le 12 juin 2024.
Pour le ministre et par délégation :
Le chef de la mission du ciel unique européen
et de la réglementation de la navigation aérienne,
J.-C. BRAUN
ANNEXE
1. ZIT Nice
1.1. Limites latérales
Cercle de 3 148 mètres (1,7 Nm) de rayon centré sur 43°41ʹ40ʺ N – 007°16ʹ13ʺ E.
1.2. Limites verticales
De la surface à 1 067 mètres (3 500 pieds) au-dessus du niveau moyen de la mer.
1.3. Dates et heures d’activation (UTC)
Active le mardi 18 juin 2024 de 13 heures à 21 heures.
1.4. Nature et statut de la zone
Zone interdite temporaire qui coexiste avec les parties d’espaces aériens avec lesquelles elle interfère.
1.5. Conditions de pénétration
La pénétration est interdite à l’exception :
– des aéronefs en CAG IFR et CAM I : suivre les instructions de l’organisme de contrôle habituel ;
– des aéronefs français de la défense, des douanes, des services de police et de la gendarmerie, de la sécurité
civile ou de secours ayant à intervenir dans le cadre de l’exécution de leurs missions et lorsque celles-ci ne
permettent pas le contournement de la zone ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 29 sur 120
2. Services rendus
Les organismes de contrôle habituels rendent les services de la circulation aérienne conformément à la classe des
espaces aériens avec lesquels cette zone interdite temporaire coexiste.
TEXTES GÉNÉRAUX
code des transports, relatifs à l’exécution des actions de prévention du risque animalier sur les aérodromes.
Art. 2. – Seuls les articles 7, 8, 9, 10, 11, 12, 16, 17 et 22 du présent arrêté sont applicables aux aérodromes
disposant du certificat délivré au titre du règlement (UE) 2018/1139 susvisé.
Art. 3. – L’exploitant d’aérodrome élabore, met en œuvre et tient à jour un programme de prévention du risque
animalier. Ce programme inclut notamment une évaluation et un suivi du risque animalier sur l’aérodrome et sur
les terrains voisins.
Art. 4. – Les actions préventives comprennent :
– la pose de clôtures adaptées ;
– le traitement adapté des parties herbeuses et boisées ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 120
– une arme d’alarme et de signalisation de type révolver ainsi que les munitions, un embout lance-fusées et les
fusées correspondants ;
– une paire de jumelles à fort grossissement.
Lorsque la prévention est assurée de façon permanente, la dotation minimale est de deux armes d’alarme et de
signalisation de type revolver et de deux embouts lance-fusées, accompagnés des munitions et des fusées
correspondantes.
Lorsque la situation faunistique et les conditions d’exploitation de l’aérodrome le justifient, le préfet peut, après
consultation de l’exploitant d’aérodrome, imposer l’utilisation de moyens complémentaires et peut, sur demande de
l’exploitant d’aérodrome, autoriser des adaptations à l’ensemble des moyens en matériels cités ci-dessus.
3o Pour les aérodromes munis d’au moins deux pistes, distantes entre elles, en tout point, de plus de 1 000 mètres,
la dotation en personnels et en matériels indiquée aux 1o et 2o du présent article, est calculée par piste ou par doublet
rapproché de pistes, à l’exception des pistes en herbe.
Art. 14. – Lorsque les moyens nécessaires à la prévention du risque animalier sont momentanément
indisponibles, en tout ou partie, l’exploitant d’aérodrome prend toutes dispositions en vue de faire cesser cette
situation dans les plus brefs délais et prévient l’organisme de la circulation aérienne, le cas échéant.
Dans les cas où la suspension ou la réduction momentanée des moyens est prévisible, elle est précédée de la
publication d’un avis aux navigateurs aériens.
Lorsque l’indisponibilité de ces moyens paraît devoir durer plus de douze heures, l’exploitant d’aérodrome
informe l’organisme de la circulation aérienne, qui demande la publication d’un avis aux navigateurs aériens.
Art. 15. – Les consignes d’intervention sont définies par l’exploitant d’aérodrome. Elles prévoient les règles
d’organisation et de fonctionnement de la prévention du risque animalier, concernant les actions préventives
prévues au 1o de l’article D. 6332-31 du code des transports, ainsi que les actions d’effarouchement et de
prélèvement d’animaux.
Art. 16. – L’utilisation des armes à feu, des armes d’alarme et de signalisation et des dispositifs mobiles
d’effarouchement pyrotechnique par les agents chargés de la prévention du risque animalier ou par un prestataire
extérieur est consignée dans un registre mentionnant les jours et heures d’entrée et de sortie de chaque arme,
l’identité de l’utilisateur et le nombre de munitions tirées. Lorsqu’une arme est confiée à un armurier en vue de sa
révision, ses coordonnées sont mentionnées dans le registre.
Les armes et les munitions sont conservées dans une armoire fixe et sécurisée, accessible aux seuls agents
chargés de la prévention du risque animalier.
Art. 17. – Les comptes rendus d’impacts d’animaux, mentionnés à l’article D. 6332-41 du code des transports,
sont établis selon un format acceptable pour l’autorité.
Art. 18. – Lorsque les agents chargés de la prévention du risque animalier n’exercent pas exclusivement cette
mission, les autres activités qu’ils peuvent se voir confier sont, par leur nature et leurs modalités d’organisation,
compatibles avec les exigences du bon fonctionnement de celle-ci.
L’exploitant d’aérodrome détermine les modalités selon lesquelles cette compatibilité est assurée dans les
consignes d’intervention locales.
Art. 19. – Les formations destinées aux agents chargés de la prévention du risque animalier comprennent :
– une formation initiale, relative à la prévention du risque animalier ;
– une formation locale, portant sur la situation particulière de l’aérodrome sur lequel ils exercent leur action ;
– des actions d’entretien et de perfectionnement des connaissances.
Art. 20. – La formation initiale est dispensée aux agents avant leur entrée en fonction.
Le programme de la formation initiale figure à l’annexe II du présent arrêté.
Art. 21. – Les agents reçoivent une formation locale dispensée sur la plate-forme où ils sont employés, portant
sur les caractéristiques de cet aérodrome au regard de la prévention du risque animalier, ainsi que sur l’emploi de la
radiotéléphonie.
Ces dispositions s’appliquent également chaque fois qu’un agent est affecté sur un aérodrome différent.
Art. 22. – L’exploitant d’aérodrome adresse au préfet, pour chaque agent, une attestation certifiant que chaque
formation requise lui a été dispensée.
L’attestation mentionne les dates et lieux de chaque formation dispensée, ainsi que le nom et l’adresse de
l’organisme formateur.
Aucun agent ne peut prendre une part active aux opérations d’effarouchement ou de tir avant la date
d’expédition des attestations de formations initiale et locale.
Art. 23. – Les agents chargés de la prévention du risque animalier bénéficient, au moins tous les trois ans, des
actions d’entretien et de perfectionnement destinées à maintenir leurs acquis professionnels et à assurer leur
adaptation à l’évolution technique.
Ces actions comportent obligatoirement des exercices avec tous les moyens techniques utilisés par l’exploitant,
dans le cadre de la prévention du risque animalier.
Art. 24. – La formation initiale peut être dispensée par tout organisme de formation professionnelle disposant
de personnels qualifiés ou expérimentés dans le domaine.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 120
La formation locale et les actions d’entretien et de perfectionnement destinées aux agents peuvent être assurées,
en outre, par des personnes exerçant des fonctions d’encadrement d’un service de prévention du risque animalier
depuis au moins deux ans et ayant une bonne connaissance de l’aérodrome concerné.
Si aucun agent du service de prévention du risque animalier n’exerce des fonctions d’encadrement depuis au
moins deux ans, la formation locale et les actions d’entretien et de perfectionnement peuvent être assurées par un
agent du service de prévention du risque animalier justifiant d’une expérience de deux ans sur l’aérodrome et
disposant d’une autorisation de son employeur.
Art. 25. – Tout agent reprenant après plus de douze mois d’interruption son activité au sein du service de
prévention du risque animalier suit une nouvelle formation initiale.
Tout agent reprenant après plus de six mois d’interruption son activité au sein du service de prévention du risque
animalier sur le même aérodrome suit une nouvelle formation locale.
Art. 26. – L’arrêté du 10 avril 2007 relatif à la prévention du péril animalier sur les aérodromes est abrogé.
Art. 27. – 1o Les dispositions du présent arrêté sont applicables dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie
française et en Nouvelle-Calédonie sous réserve des compétences dévolues à cette collectivité en vertu de la loi
organique no 99-209 du 19 mars 1999 relative à la Nouvelle-Calédonie.
Les dispositions de l’article 2 du présent arrêté ne sont pas applicables à Saint-Barthélemy, à Saint-Pierre-et-
Miquelon, dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie.
2o Pour son application :
a) Les références au préfet sont remplacées par les références au représentant de l’Etat dans les îles Wallis et
Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie ;
b) A l’article 7, les références aux articles L. 414-1 à L. 414-6 du code de l’environnement sont remplacées par
les références ayant le même objet localement dans les îles Wallis et Futuna, en Polynésie française et en Nouvelle-
Calédonie ;
c) A l’article 9, les références au code rural et de la pêche maritime et au règlement sanitaire départemental sont
remplacées par les références ayant le même objet applicables localement dans les îles Wallis et Futuna, en
Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie ;
d) A l’article 11, les références au code rural et de la pêche maritime et au code de l’environnement sont
remplacées par les références ayant le même objet applicables localement dans les îles Wallis et Futuna, en
Polynésie française et en Nouvelle-Calédonie.
Art. 28. – Le directeur général des outre-mer et le directeur général de l’aviation civile sont chargés, chacun en
ce qui le concerne, de l’exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 13 juin 2024.
Le ministre de la transition écologique
et de la cohésion des territoires,
CHRISTOPHE BÉCHU
Le ministre de l’intérieur
et des outre-mer,
GÉRALD DARMANIN
La ministre déléguée auprès du ministre
de l’intérieur et des outre-mer,
chargée des outre-mer,
MARIE GUÉVENOUX
Le ministre délégué auprès du ministre
de la transition écologique et de la cohésion
des territoires, chargé des transports,
PATRICE VERGRIETE
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 120
ANNEXES
ANNEXE I
PRESCRIPTIONS TECHNIQUES RELATIVES AUX MATÉRIELS UTILISÉS
POUR LA LUTTE ANIMALIÈRE
Les matériels utilisés pour l’effarouchement et le prélèvement des animaux, respectent les prescriptions
suivantes.
1. Véhicules
Sur les aérodromes où la prévention du risque animalier est assurée de façon permanente, les véhicules sont
adaptés au terrain, équipés chacun d’un gyrophare, d’une radio VHF en liaison avec la tour de contrôle et de
l’ensemble des moyens mobiles de lutte contre la faune.
Sur les aérodromes où la prévention du risque animalier est assurée de façon occasionnelle, les véhicules ont les
mêmes caractéristiques mais la radio VHF émet sur la fréquence aérodrome et peut être portable.
3. Moyens fixes
3.1. Générateur de cris de détresse télécommandés
Mêmes caractéristiques qu’au 2.3 avec un boîtier de télécommande permettant de sélectionner à distance les cris
diffusés par les haut-parleurs.
4. Matériel divers
Equipements de protection individuelle conformément au code du travail.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 30 sur 120
ANNEXE II
PROGRAMME DE LA FORMATION INITIALE À LA PRÉVENTION
DU RISQUE ANIMALIER
Partie théorique
MODULES CONTENU
Connaissances aéronautiques générales Structure d’un aérodrome (pistes, axes de circulation, aires de stationnement…)
Balisage de piste, voies de circulation, rampe d’approche
Réglementation de la circulation aérienne (y compris circulation au sol)
Phraséologie aéronautique
Météorologie
Aides radioélectriques
Règles d’exploitation en zone de sûreté à accès réglementé
Ornithologie et mammalogie Morphologie des oiseaux et des autres animaux, organes des sens
Classement des espèces
Adaptation aux milieux, migrations, mouvements locaux, comportements
Espèces impliquées dans les collisions
Espèces protégées : réglementation
Facteurs attractifs et solutions dans les emprises aéroportuaires (eau, herbe, cultures,
Environnement déchets, zones boisées…)
Moyens et interventions de lutte animalière Moyens et techniques d’effarouchement (véhicule, moyens acoustiques fixes et mobiles,
pyrotechnie), armes et munitions, stratégie des interventions, capture des animaux
Consignes locales, coordination avec les organismes concernés
Partie pratique
Détection des oiseaux et des autres animaux : parcours d’inspection d’un aérodrome, utilisation de jumelles et de
télescopes.
Identification d’espèces animales : utilisation de guides, critères (taille, couleur, cris, chants), estimation du
nombre d’animaux.
Utilisation des différentes techniques d’effarouchement et de prélèvement : cris de détresse, pyrotechnie.
Utilisation des armes et munitions, consignes de sécurité (utilisation, rangement…).
Exercices d’intervention.
Phraséologie.
Collecte des restes d’animaux.
Etablissement de la fiche journalière d’intervention.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 31 sur 120
MESURES NOMINATIVES
PREMIER MINISTRE
Décret du 13 juin 2024 portant délégation dans les fonctions d’avocate générale
à la Cour des comptes - Mme BIGAS-REBOUL (Stéphanie)
NOR : CPTP2415155D
Par décret du Président de la République en date du 13 juin 2024, Mme Stéphanie BIGAS-REBOUL, conseillère
maître à la Cour des comptes, est déléguée dans les fonctions d’avocate générale à la Cour des comptes, à compter
du 15 juin 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 32 sur 120
MESURES NOMINATIVES
PREMIER MINISTRE
Le Premier ministre,
Vu le décret du 9 janvier 2024 portant nomination du Premier ministre,
Arrête :
Art. 1 . – Il est mis fin aux fonctions de conseillère parlementaire au cabinet du Premier ministre exercées par
er
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 29 mai 2024, il est mis fin aux fonctions de Mme Sousan YOUSEFPOUR, adjointe administrative principale
de 1re classe, en qualité de mandataire suppléante d’avances et de recettes auprès du secrétariat général des
ministères économiques et financiers, à compter du 31 mai 2024.
Mme Laurence SALON, secrétaire administrative de classe normale, est nommée en qualité de mandataire
suppléante d’avances et de recettes auprès du secrétariat général des ministères économiques et financiers, à
compter du 1er juin 2024.
Mme Samia BOUDRIOUA est maintenue dans ses fonctions de régisseuse titulaire et Mme Sandrine CHES
NEAU, sous-régisseuse titulaire, est également maintenue dans ses fonctions.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 34 sur 120
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique en date
du 10 juin 2024, les cadres dont les noms suivent sont renouvelés dans un emploi de direction de la direction
générale des finances publiques selon les modalités indiquées ci-après :
Date de fin
NOM Prénom Fonctions Date d’effet de détachement
WATRE Denis Directeur, chargé de la direction des services informatiques Nord 08/07/2024 06/05/2026
CHEVROT Sylvain Chef de pôle à la direction départementale des finances publiques 01/08/2024 31/07/2027
du Doubs
VANDAMME Cécile Cheffe de pôle à la direction départementale des finances 09/08/2024 08/08/2027
publiques de la Seine-Saint-Denis
TEYSSIER D’ORFEUIL Agnès Cheffe de pôle à la direction régionale des finances publiques des 18/08/2024 17/08/2027
Hauts-de-France
SALAUN Eric Chef de pôle à la direction régionale des finances publiques de 30/08/2024 29/08/2027
Centre Val de Loire
AUDUREAU Anne-Marie Chef de pôle à la direction départementale des finances publiques 01/09/2024 31/08/2027
de l’Hérault
Date de fin
NOM Prénom Fonctions Date d’effet de détachement
MESURES NOMINATIVES
La ministre déléguée auprès du ministre de l’intérieur et des outre-mer, chargée des outre-mer,
Vu le décret no 2017-1063 du 18 mai 2017 relatif aux cabinets ministériels ;
Vu le décret no 2017-1098 du 14 juin 2017 relatif aux collaborateurs du Président de la République et des
membres du Gouvernement ;
Vu le décret du 9 janvier 2024 portant nomination du Premier ministre ;
Vu le décret du 11 janvier 2024 relatif à la composition du Gouvernement ;
Vu le décret du 8 février 2024 relatif à la composition du Gouvernement ;
Vu l’arrêté du 1er mars 2024 portant nomination au cabinet de la ministre déléguée auprès du ministre de
l’intérieur et des outre-mer, chargée des outre-mer,
Arrête :
Art. 1 . – Il est mis fin à compter du 14 juin 2024, aux fonctions de conseiller chargé de la communication et
er
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du Premier ministre et du ministre de l’intérieur et des outre-mer en date du 14 juin 2024, les
fonctionnaires dont les noms suivent sont nommés directeurs départementaux interministériels, à compter
du 1er juillet 2024, pour une durée de quatre ans, avec une période probatoire de six mois :
M. Malik AÏT-AÏSSA, ingénieur des travaux publics de l’Etat hors classe, est nommé directeur départemental
des territoires des Hautes-Pyrénées ;
M. Laurent CLAUDET, inspecteur général de santé publique vétérinaire de classe normale, est nommé directeur
départemental de l’emploi, du travail, des solidarités et de la protection des populations du Territoire de Belfort ;
M. François DELEMOTTE, directeur du travail hors classe, est nommé directeur départemental de l’emploi, du
travail et des solidarités de l’Hérault.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 37 sur 120
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA CULTURE
Par arrêté de la ministre de la culture en date du 12 juin 2024, Mme Anne GÉRARD, agente contractuelle, est
nommée directrice régionale des affaires culturelles de la région Pays de la Loire (groupe II), pour une durée de
quatre ans, avec une période probatoire de six mois, à compter du 17 juin 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 38 sur 120
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté de la directrice du centre ministériel de gestion de Toulon en date du 13 juin 2024, M. Patrick
VANHAUDENARDE, ingénieur civil divisionnaire de la défense, est admis à faire valoir ses droits à la retraite,
sur sa demande, à compter du 1er janvier 2025.
A cette même date, l’intéressé est radié des cadres du ministère des armées.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 39 sur 120
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du Premier ministre et du ministre des armées en date du 14 juin 2024, Mme Gwladys FROMENTIN,
administratrice de l’Etat du deuxième grade, est nommée sous-directrice déterminants de la dépense et
performance à la direction des affaires financières, au ministère des armées, pour une durée de trois ans, avec une
période probatoire de six mois, à compter du 1er juillet 2024.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 40 sur 120
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 10 juin 2024, la mention « Victime du
terrorisme » est portée sur l’acte de décès de Guillaume, Félix, Paul VALETTE, né le 20 mai 1986 à Nogent-sur-
Marne (Val-de-Marne), décédé le 19 novembre 2017 à Saint-Mandé (Val-de-Marne).
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 41 sur 120
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 13 juin 2024, le transfert de l’office de notaire
dont est titulaire la société d’exercice libéral à responsabilité limitée à associé unique « Caroline DUMONT,
notaire », de la résidence de Dohem (Pas-de-Calais) à la résidence de Thérouanne (Pas-de-Calais), est autorisé.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 42 sur 120
MESURES NOMINATIVES
MINISTÈRE DE LA JUSTICE
Par arrêté du Premier ministre et du garde des sceaux, ministre de la justice, en date du 14 juin 2024, Mme Claire
LEGRAS, conseillère d’Etat, placée dans la position de détachement, est réintégrée dans ses fonctions et à son rang
au Conseil d’Etat, à compter du 1er juin 2024.
Mme Claire LEGRAS est placée dans la position de disponibilité pour convenances personnelles, en application
des dispositions du b de l’article 44 du décret no 85-986 du 16 septembre 1985 modifié relatif au régime particulier
de certaines positions des fonctionnaires de l’Etat, à la mise à disposition, à l’intégration et à la cessation définitive
de fonctions, à compter de la même date, pour une durée de trois ans.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 43 sur 120
MESURES NOMINATIVES
MESURES NOMINATIVES
Arrêté du 14 juin 2024 portant publication de la liste des membres du bureau du vote électronique
pour l’élection de députés par les Français établis hors de France
NOR : EAEF2416222A
Par arrêté du ministre de l’intérieur et des outre-mer, du ministre de l’Europe et des affaires étrangères et du
ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des affaires étrangères, chargé du commerce extérieur, de
l’attractivité, de la francophonie et des Français de l’étranger, en date du 14 juin 2024, le bureau du vote
électronique prévu à l’article R. 176-3-1 du code électoral est composé comme suit :
1o M. Marc Pichon de Vendeuil, maître des requêtes au Conseil d’Etat, président, ou sa suppléante Mme Mélanie
Villiers, maître des requêtes au Conseil d’Etat ;
2o Mme Pauline Carmona, directrice des Français à l’étranger et de l’administration consulaire au ministère de
l’Europe et des affaires étrangères, ou son suppléant M. François Penguilly, chef du service des Français à
l’étranger de la direction des Français à l’étranger et de l’administration consulaire ;
3o Mme Virginie Rozière, directrice du numérique au ministère de l’Europe et des affaires étrangères, ou sa
suppléante Mme Brigitte Botquelen, cheffe de la mission de l’administration générale du numérique ;
4o Mme Fabienne Balussou, directrice du management de l’administration territoriale et de l’encadrement
supérieur au ministère de l’intérieur, ou son suppléant M. Marc Tschiggfrey, directeur adjoint du management de
l’administration territoriale et de l’encadrement supérieur ;
5o M. Vincent Strubel, directeur général de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, ou son
suppléant M. Renaud Labelle, sous-directeur expertise ;
6o Mme Hélène Degryse, présidente de l’Assemblée des Français de l’étranger, ou son suppléant M. Frédéric
Schauli, conseiller des Français de l’étranger du Luxembourg et conseiller à l’Assemblée des Français de
l’étranger ; M. Alexandre Bézardin, vice-président de l’Assemblée des Français de l’étranger, ou son suppléant
M. Gérard Signoret, conseiller des Français de l’étranger du Mexique et conseiller à l’Assemblée des Français de
l’étranger ; M. Ramzi Sfeir, vice-président de l’Assemblée des Français de l’étranger, ou son suppléant M. Pierre
Lavéant, conseiller des Français de l’étranger de la circonscription des Pays-Bas et conseiller à l’Assemblée des
Français de l’étranger.
L’arrêté du 28 février 2023 portant publication de la liste des membres du bureau du vote électronique pour
l’élection de députés par les Français établis hors de France est abrogé.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 45 sur 120
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du secrétaire d’État auprès du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires,
chargé de la mer et de la biodiversité, en date du 10 juin 2024, l’arrêté du 4 juillet 2022 portant nomination au
conseil du Comité national des pêches maritimes et des élevages marins, est ainsi modifié :
– Le tableau a est remplacé par le tableau suivant :
«
Titulaires Suppléants Comités régionaux représentés
».
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 46 sur 120
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique et du ministre
de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 11 juin 2024, Mme Rachel PUECHBERTY,
ingénieure en chef des ponts, des eaux et des forêts, est nommée directrice régionale adjointe de l’environnement,
de l’aménagement et du logement (groupe II) de la région Occitanie, en résidence administrative à Toulouse, pour
une durée de quatre ans, à compter du 1er septembre 2024, avec une période probatoire de six mois.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 47 sur 120
MESURES NOMINATIVES
Par arrêté du ministre de la transition écologique et de la cohésion des territoires en date du 11 juin 2024, est
nommée membre du conseil d’administration de Météo-France en qualité de représentante de l’Etat :
CONVENTIONS COLLECTIVES
CONVENTIONS COLLECTIVES
d’application professionnel de la convention collective nationale de la métallurgie du 7 février 2022, et dans leur
propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (département de la Vienne)
du 25 mars 2024 relatif à la valeur de point servant au calcul de la prime d’ancienneté, conclu dans le cadre de la
convention collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 30 mai 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte de l’accord susvisé a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2024/17,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 50 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 4 juin 2024 portant extension d’un avenant à la convention collective nationale
des entreprises d’expédition et d’exportation de fruits et légumes (no 1405)
NOR : TSST2413883A
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 5 juin 2024 portant extension d’avenants à la convention collective nationale des
métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs et de l’animation agissant pour l’utilité sociale
et environnementale, au service des territoires (ÉCLAT) (no 1518)
NOR : TSST2410946A
d’application de la convention collective nationale des métiers de l’éducation, de la culture, des loisirs et de
l’animation agissant pour l’utilité sociale et environnementale, au service des territoires (ÉCLAT) du 28 juin 1988,
les stipulations de :
– l’avenant no 201 du 20 septembre 2023 relatif au temps partiel pour les salariés relevant de la grille dite
« générale », à la convention collective nationale susvisée :
Les 1er et 4e alinéas de l’article 5.9.1 sont étendus sous réserve du respect des dispositions combinées de
l’article L. 3123-1 3° et L. 2253-3 du code du travail aux termes desquels le salarié dont la durée du travail serait
supérieure aux durées prévues par la convention collective, mais inférieure à la durée fixée conventionnellement
dans l’entreprise ou applicable dans l’établissement devrait également être considérée comme salarié à temps
partiel.
Le 1er alinéa de l’article 5.9.5 est étendu sous réserve du respect de la jurisprudence de la Cour de cassation
relative à la définition d’une heure complémentaire, laquelle n’est pas nécessairement accomplie à la demande
expresse de l’employeur, mais peut-être implicitement demandée par ce dernier, ou induite par la nature ou la
quantité de travail exigée par ce dernier (Cass soc. no 98-41071 du 19 avril 2000, no 10-14493 du 6 avril 2011,
no 08-40628 du 2 juin 2010, Cass soc. no 20-17798 du 6 janvier 2022).
Le 2e alinéa de l’article 5.9.5 est étendu sous réserve d’une part, du respect des dispositions de l’article L. 3123-6
qui prévoient les limites dans lesquelles peuvent être accomplies des heures complémentaires au-delà de la durée
de travail fixée par le contrat et d’autre part, des dispositions de l’article L. 3123-10 du code du travail aux termes
desquelles le salarié peut refuser, dans tous les cas, l’accomplissement des heures complémentaires proposées par
l’employeur au-delà des limites fixées par le contrat de travail.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 51 sur 120
– l’avenant no 202 du 20 septembre 2023 relatif au temps partiel pour les salariés relevant de la grille dite
« spécifique », à la convention collective nationale susvisée.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des avenants susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits avenants.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juin 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Le texte des avenants susvisés a été publié au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives
no 2023/49, disponible, sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 5 juin 2024 portant extension d’accords régionaux (Pays de la Loire, Grand Est,
Nouvelle-Aquitaine) conclus dans le cadre des conventions collectives nationales des ouvriers
et des employés, techniciens et agents de maîtrise des industries de carrières et de matériaux
(no 87 et no 135)
NOR : TSST2411637A
d’application de la convention collective nationale des ouvriers des industries de carrières et matériaux
du 22 avril 1955 et dans celui de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise
des industries de carrières et de matériaux du 12 juillet 1955, tels que modifiés par l’accord du 11 juillet 2019
étendu, et dans leur propre champ d’application professionnel et territorial, les stipulations de :
– l’accord régional (Pays de la Loire) du 13 février 2024 relatif aux salaires minimaux, conclu dans le cadre des
conventions collectives nationales susvisées.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 52 sur 120
L’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-15 du code du travail, ainsi que
de l’arrêt de la Cour de cassation (Cass. soc., 13 déc. 1973, no 71-40.753), lequel prévoit que la convention ou
l’accord ne s’applique aux employeurs non adhérents à une des organisations d’employeurs signataires, qu’au
lendemain de la publication au Journal officiel de la République française de l’arrêté portant extension du présent
accord ;
– l’accord régional (Grand Est) du 13 février 2024 relatif aux salaires minimaux, conclu dans le cadre des
conventions collectives nationales susvisées.
L’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-15 du code du travail, ainsi que
de l’arrêt de la Cour de cassation (Cass. soc., 13 déc. 1973, no 71-40.753), lequel prévoit que la convention ou
l’accord ne s’applique aux employeurs non adhérents à une des organisations d’employeurs signataires, qu’au
lendemain de la publication au Journal officiel de la République française de l’arrêté portant extension du présent
accord ;
– l’accord régional (Nouvelle-Aquitaine) du 13 février 2024 relatif aux salaires minimaux, conclu dans le cadre
des conventions collectives nationales susvisées.
L’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-15 du code du travail, ainsi que
de l’arrêt de la Cour de cassation (Cass. soc., 13 déc. 1973, no 71-40.753), lequel prévoit que la convention ou
l’accord ne s’applique aux employeurs non adhérents à une des organisations d’employeurs signataires, qu’au
lendemain de la publication au Journal officiel de la République française de l’arrêté portant extension du présent
accord.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des accords susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits accords.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 5 juin 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Les accords susvisés ont été publiés au Bulletin officiel du ministère, fascicules conventions collectives nos 2024/11,
2014/12 et 2024/13, disponibles sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 5 juin 2024 portant extension d’un accord régional (Normandie) conclu dans le cadre
des conventions collectives nationales des ouvriers et des employés, techniciens et agents de
maîtrise des industries de carrières et de matériaux (no 87 et no 135)
NOR : TSST2412571A
Arrête :
Art. 1 . – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
er
d’application de la convention collective nationale des ouvriers des industries de carrières et matériaux
du 22 avril 1955 et dans celui de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise
des industries de carrières et de matériaux du 12 juillet 1955, tels que modifiés par l’accord du 11 juillet 2019
étendu, et dans leur propre champ d’application professionnel et territorial, les stipulations de l’accord régional
(Normandie) du 19 février 2024 relatif aux salaires minimaux, conclu dans le cadre des conventions collectives
nationales susvisées.
L’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-15 du code du travail ainsi que
de l’arrêt de la Cour de cassation (Cass. soc., 13 déc. 1973, no 71-40.753), lequel prévoit que la convention ou
l’accord ne s’applique aux employeurs non adhérents à une des organisations d’employeurs signataires, qu’au
lendemain de la publication au Journal officiel de l’arrêté portant extension de la convention ou de l’accord.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions de l’accord susvisé prend effet à compter de la date de publication
du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par ledit accord.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 53 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 11 juin 2024 portant extension d’accords régionaux (Occitanie, Ile-de-France) conclus
dans le cadre des conventions collectives nationales des ouvriers et des employés, techniciens
et agents de maîtrise des industries de carrières et de matériaux (no 87 et no 135)
NOR : TSST2413881A
d’application de la convention collective nationale des ouvriers des industries de carrières et matériaux
du 22 avril 1955 et dans celui de la convention collective nationale des employés, techniciens et agents de maîtrise
des industries de carrières et de matériaux du 12 juillet 1955, tels que modifiés par l’accord du 11 juillet 2019
étendu, et dans leur propre champ d’application professionnel et territorial, les stipulations de :
– l’accord régional (Occitanie) du 11 mars 2024 relatif aux salaires minimaux, conclu dans le cadre des
conventions collectives nationales susvisées.
Le 1er alinéa de l’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-15 du code du
travail, ainsi que de l’arrêt de la Cour de cassation (Cass. soc., 13 déc. 1973, no 71-40.753), lequel prévoit que la
convention ou l’accord ne s’applique aux employeurs non adhérents à une des organisations d’employeurs
signataires, qu’au lendemain de la publication au Journal officiel de la République française de l’arrêté portant
extension du présent accord ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 55 sur 120
– l’accord régional (Ile-de-France) du 29 février 2024 relatif aux salaires minimaux, conclu dans le cadre des
conventions collectives nationales susvisées.
L’article 5 est étendu sous réserve du respect des dispositions de l’article L. 2261-15 du code du travail, ainsi que
de l’arrêt de la Cour de cassation (Cass. soc., 13 déc. 1973, no 71-40.753), lequel prévoit que la convention ou
l’accord ne s’applique aux employeurs non adhérents à une des organisations d’employeurs signataires, qu’au
lendemain de la publication au Journal officiel de la République française de l’arrêté portant extension du présent
accord.
Art. 2. – L’extension des effets et sanctions des accords susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits accords.
Art. 3. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juin 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Les textes des accords susvisés ont été publiés au Bulletin officiel du ministère, fascicules conventions collectives
nos 2024/17, 2014/19, disponibles sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 56 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
CONVENTIONS COLLECTIVES
Arrêté du 11 juin 2024 portant extension d’un accord territorial (Isère, Hautes-Alpes)
conclu dans le cadre de la convention collective nationale de la métallurgie (no 3248)
NOR : TSST2413888A
CONVENTIONS COLLECTIVES
d’application professionnel de la convention collective nationale ouvriers employés par les entreprises du bâtiment
visées par le décret du 1er mars 1962 modifié (entreprises occupant jusqu’à 10 salariés) du 8 octobre 1990, et dans
leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Auvergne-Rhône-Alpes :
départements Allier, Cantal, Haute-Loire et Puy-de-Dôme) du 12 mars 2024 relatif aux indemnités de petits
déplacements, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
Dans le préambule, les termes « au plan national, » sont exclus de l’extension en tant qu’ils sont contraires à la
loi no 2008-789 du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail qui
définit les niveaux d’appréciation de la représentativité syndicale : le niveau de la branche professionnelle et le
niveau national et interprofessionnel. Ainsi, la référence aux organisations de salariés et d’employeurs
représentatives « au plan national » crée une ambiguïté pouvant exclure certaines organisations représentatives
dans la branche mais non au niveau national et interprofessionnel.
Art. 2. – Sont rendues obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés compris dans le champ
d’application professionnel de la convention collective nationale ouvriers employés par les entreprises du bâtiment
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 58 sur 120
non visées par le décret du 1er mars 1962 modifié (entreprises occupant plus de 10 salariés) du 8 octobre 1990, et
dans leur propre champ d’application territorial, les stipulations de l’accord territorial (Auvergne-Rhône-Alpes :
départements Allier, Cantal, Haute-Loire et Puy-de-Dôme) du 12 mars 2024 relatif aux indemnités de petits
déplacements, conclu dans le cadre de la convention collective nationale susvisée.
Dans le préambule, les termes « au plan national » sont exclus de l’extension en tant qu’ils sont contraires à la loi
no 2008-789 du 20 août 2008 portant rénovation de la démocratie sociale et réforme du temps de travail qui définit
les niveaux d’appréciation de la représentativité syndicale : le niveau de la branche professionnelle et le niveau
national et interprofessionnel. Ainsi, la référence aux organisations de salariés et d’employeurs représentatives « au
plan national » crée une ambiguïté pouvant exclure certaines organisations représentatives dans la branche mais
non au niveau national et interprofessionnel.
Art. 3. – L’extension des effets et sanctions des accords susvisés prend effet à compter de la date de
publication du présent arrêté pour la durée restant à courir et aux conditions prévues par lesdits accords.
Art. 4. – Le présent arrêté sera publié au Journal officiel de la République française.
Fait le 11 juin 2024.
Pour la ministre et par délégation :
Le directeur général du travail,
P. RAMAIN
Nota. – Les accords susvisés ont été publiés au Bulletin officiel du ministère, fascicule conventions collectives no 2024/19,
disponible sur le site www.legifrance.gouv.fr/liste/bocc.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 59 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’accords régionaux (Grand Est) conclus dans le cadre des conventions
collectives départementales des ouvriers des entreprises du bâtiment occupant jusqu’à dix et
plus de dix salariés et des employés, techniciens et agents de maîtrise
NOR : TSST2416170V
En application de l’article L. 2261-15 du code du travail, la ministre du travail, de la santé et des solidarités
envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs et tous les salariés entrant
dans leur champ d’application, les stipulations des accords ci-après indiqués.
Ces accords pourront être consultés en direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail et des
solidarités.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toute personne intéressée sont priées de faire connaître leurs
observations et avis au sujet de la généralisation envisagée.
Leurs communications devront être adressées au ministère du travail, de la santé et des solidarités (DGT,
bureau DS1), 39-43, quai André-Citroën, 75902 Paris Cedex 15.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
des accords peuvent s’opposer à leur extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Textes dont l’extension est envisagée :
5 accords départementaux (Ain) du 26 janvier 2024.
Dépôt :
Direction générale du travail au ministère du travail, de la santé et des solidarités.
Objet :
Salaires ;
Indemnités de petits déplacements.
Signataires :
Fédération française du bâtiment Grand Est.
Confédération de l’Artisanat et des Petites Entreprises du Bâtiment Grand Est.
La Fédération SCOP-BTP Est.
Concernant les accords relatifs aux salaires et indemnités de petits déplacements des ouvriers (moins de
10 salariés) :
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à CFDT et à l’UNSA.
Concernant les accords relatifs aux salaires et indemnités de petits déplacements des ouvriers (+ de 10 salariés)
et l’accord relatif aux salaires minimaux des ETAM :
Organisations syndicales de salariés intéressées rattachées à la CGT-FO, à la CFTC et à CFDT.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 60 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 1er décembre 2023.
Signataires :
Fédération Départementale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FDSEA).
VERDIR des producteurs de l’horticulture et des pépinières.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CFTC, à la CFE-CGC et à la CGT-FO.
Le texte de cet accord pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail
et des solidarités du Grand Est.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349, Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 61 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord collectif territorial concernant les entreprises de travaux et
services agricoles, les entreprises de travaux et services ruraux de la Côte-d’Or, du Doubs,
du Jura, de la Nièvre, de la Haute-Saône, de l’Yonne et du Territoire de Belfort et les entreprises
de travaux et services forestiers de Bourgogne-Franche-Comté
NOR : AGRS2415647V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 27 novembre 2023.
Signataires :
Fédération régionale des entrepreneurs des territoires de Bourgogne-Franche-Comté (FREDT).
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CGT, à la CFDT, à la CFTC, à la CFE-CGC et à la CGT-FO.
Le texte de cet accord pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail
et des solidarités de Bourgogne-Franche-Comté.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 62 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord collectif de prévoyance relatif à la mise en place
d’un régime de prévoyance obligatoire pour les salariés non cadres des exploitations et
entreprises agricoles de la région d’Alsace
NOR : AGRS2415653V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 7 du 21 novembre 2023.
Signataires :
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) du Bas-Rhin.
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles (FDSEA) du Haut-Rhin.
Syndicat des entrepreneurs des territoires du Bas-Rhin.
Syndicat des entrepreneurs des territoires du Haut-Rhin.
Section CUMA (Coopératives d’utilisation de matériel agricole) de Coop de France Alsace.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CFTC, à la CFE-CGC et à la CGT-FO.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités du Grand Est.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 63 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord collectif régional sur un régime d’assurance
complémentaire frais de santé en agriculture pour les salariés non cadres en région Centre-Val
de Loire
NOR : AGRS2415655V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 8 du 11 octobre 2023.
Signataires :
Fédération Nationale des Syndicats d’Exploitants Agricoles (FNSEA) Centre-Val de Loire.
Entrepreneurs des Territoires (EDT) Centre-Val de Loire.
Fédération Régionale des CUMA (Coopératives d’Utilisation de Matériel Agricole) Centre-Val de Loire.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CFTC et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités du Centre-Val de Loire.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 64 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à la convention collective réglementant les conditions de
travail et de rémunération des salariés et apprentis des entrepreneurs des territoires des Pays
de la Loire
NOR : AGRS2415658V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 26 du 23 novembre 2023.
Signataires :
Syndicat des entrepreneurs des territoires des Pays de la Loire.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CGT, à la CFDT, à la CFTC, à la CFE-CGC et à la CGT-FO.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités des Pays de la Loire.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 65 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à la convention collective concernant les exploitations
et entreprises agricoles des départements de la Côte-d’Or, de la Nièvre et de l’Yonne
NOR : AGRS2415663V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 65 du 27 novembre 2023.
Signataires :
Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles (FRSEA) de Bourgogne-Franche-Comté.
Fédération régionale des coopératives d’utilisation de matériel agricole (FRCUMA) de Bourgogne-
Franche-Comté.
Fédération régionale des entrepreneurs des territoires (FREDT) de Bourgogne- Franche-Comté.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités de Bourgogne-Franche-Comté.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 66 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un accord collectif territorial concernant les entreprises de travaux et
production agricole et les coopératives d’utilisation de matériels agricoles de la Côte-d’Or,
du Doubs, du Jura, de la Nièvre, de la Haute-Saône, de l’Yonne et du Territoire de Belfort
NOR : AGRS2415710V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’accord ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Accord du 27 novembre 2023.
Signataires :
Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles de Bourgogne-Franche-Comté, Fédération régionale
des coopératives d’utilisation de matériel agricole de Bourgogne-Franche-Comté ;
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CGT, à la CGT-FO, à la CFTC et à la CFE-CGC.
Le texte de cet accord pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du travail
et des solidarités de Bourgogne-Franche-Comté.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’accord peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 67 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord départemental du 23 novembre 2015 sur le
régime d’assurance complémentaire frais de santé des salariés agricoles non cadres des
exploitations et entreprises agricoles de la Haute-Loire et de la Lozère
NOR : AGRS2415716V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 2 du 13 février 2024.
Signataires :
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles de Haute-Loire, Fédération départementale des
syndicats d’exploitants agricoles de Lozère, Fédération départementale des coopératives d’utilisation de matériel
agricole de Haute-Loire, Fédération départementale des coopératives d’utilisation de matériel agricole de Lozère,
Union régionale des entrepreneurs des territoires d’Auvergne ;
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CFTC et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 68 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 2 du 19 janvier 2024.
Signataires :
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles du Cantal, fédération départementale des
coopératives d’utilisation de matériel agricole du Cantal, Entrepreneurs des territoires du Cantal.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités d’Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 69 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord départemental sur la mise en place d’un régime
d’assurance complémentaire frais de santé des salariés agricoles non cadres non affiliés à
l’AGIRC des exploitations agricoles, des entrepreneurs des territoires et des coopératives
d’utilisation de matériel agricole du Gers du 17 septembre 2009
NOR : AGRS2415718V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 9 du 22 février 2024.
Signataires :
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles du Gers, Fédération départementale des
coopératives d’utilisation de matériel agricole du Gers, Syndicat des entrepreneurs de travaux agricoles, ruraux du
Gers.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CGT FO et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités d’Occitanie.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 70 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 57 du 16 mai 2024.
Signataires :
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CFTC, à la CGT FO et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités d’Occitanie.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 71 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant portant révision de la convention collective du 18 jan
vier 1977 renommée accord collectif territorial de la production agricole et des coopératives
d’utilisation de matériel agricole de l’Aube
NOR : AGRS2415721V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 85 du 1er décembre 2023.
Signataires :
Fédération départementale des syndicats d’exploitants agricoles, Fédération nationale des producteurs de
l’horticulture et des pépinières.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT, à la CGT, à la CFTC, à la CGT FO et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités de Grand Est.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 72 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
Avis relatif à l’extension d’un avenant à l’accord collectif interdépartemental du 1er novembre 1998
des exploitations agricoles, entreprises de travaux agricoles et forestiers, et coopératives
d’utilisation de matériel agricole du Doubs, de la Haute-Saône, du Jura et du Territoire de
Belfort
NOR : AGRS2415723V
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 35 du 27 novembre 2023.
Signataires :
Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles de Bourgogne-Franche-Comté, Fédération régionale
des coopératives d’utilisation de matériel agricole de Bourgogne-Franche-Comté, Fédération des entrepreneurs des
territoires de Bourgogne-Franche-Comté ;
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités de de Bourgogne-Franche-Comté.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 73 sur 120
CONVENTIONS COLLECTIVES
En application des articles L. 2261-15 et suivants et R. 2231-1 du code du travail, le ministre de l’agriculture et
de la souveraineté alimentaire envisage de prendre un arrêté tendant à rendre obligatoires, pour tous les employeurs
et tous les salariés entrant dans son champ d’application, les dispositions de l’avenant ci-après mentionné.
Texte dont l’extension est envisagée :
Avenant no 45 du 27 novembre 2023.
Signataires :
Fédération régionale des syndicats d’exploitants agricoles de Bourgogne-Franche-Comté.
Organisations syndicales de salariés rattachées à la CFDT et à la CFE-CGC.
Le texte de cet avenant pourra être consulté auprès de la direction régionale de l’économie, de l’emploi, du
travail et des solidarités de de Bourgogne-Franche-Comté.
Dans un délai de quinze jours, les organisations et toutes personnes intéressées sont priées de faire connaître
leurs observations et avis au sujet de l’extension envisagée.
Dans un délai d’un mois, les organisations professionnelles d’employeurs reconnues représentatives au niveau
de l’avenant peuvent s’opposer à son extension. L’opposition écrite et motivée est notifiée et déposée dans les
conditions prévues par les articles L. 2231-5 et L. 2231-6 du code du travail.
Leurs communications devront être adressées au ministère de l’agriculture et de la souveraineté alimentaire
(secrétariat général, service des affaires financières, sociales et logistiques, bureau des relations et des conditions de
travail en agriculture), 78, rue de Varenne, 75349 Paris 07 SP.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 74 sur 120
NOR : RCAR2415671S
Décide :
Art. 1er. – LARG l’Association de la Radio du Golfe est autorisé à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
conformément à la convention conclue avec le comité territorial de Rennes et dans le respect des conditions fixées
à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio temporaire par voie hertzienne
terrestre dénommé Radio Castel en modulation de fréquence.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 6 juin et jusqu’au 30 septembre 2024. L’ARCOM pourra
prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté un mois après la date
d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 minutes).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe de la présente autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par le comité territorial de l’audiovisuel de
Rennes.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à LARG l’Association de la Radio du Golfe et publiée
au Journal officiel de la République française.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 75 sur 120
ANNEXE (*)
Site : 3, rue de la Loi, 56000 Vannes.
Puissance : 50 W.
Fréquence : 89,2 MHz.
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 120
L’ARCOM Lyon,
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment ses
articles 22 et 25 ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la délibération no 2011-31 du 12 juillet 2011, modifiée par la délibération no 2015-25 du 28 juillet 2015, du
Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant les conditions d’application de l’article 29-3 de la loi du 30 septembre 1986
relatif aux comités territoriaux de l’audiovisuel ;
Vu la décision no 2021-LY-70 du 13 avril 2021 du comité territorial de l’audiovisuel de Lyon portant
autorisation d’un service de radio de catégorie A par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence
dénommé RCF Saint-Etienne ;
Vu la demande de modification technique présentée par l’association Radio Chrétiens Médias (RCF Saint-
Etienne) ;
Vu l’avis de l’Agence nationale des fréquences ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1er. – L’annexe I (*) de la décision no 2021-LY-70 du 10 mai 2024 susvisée est remplacée par l’annexe
suivante :
« ANNEXE I (*)
Nom du service : RCF Saint-Etienne.
Zone géographique mise en appel : Montbrison.
Fréquence : 102,1 MHz.
Adresse du site : 41, rue du Faubourg-de-la-Croix, Montbrison (42).
Altitude du site (NGF) : 402 mètres.
Hauteur d’antenne : 12 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 100 W.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 0 90 0 180 5 270 5
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale. »
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 76 sur 120
Art. 2. – La présente décision sera notifiée à l’association Radio Chrétiens Médias (RCF Saint-Etienne), et
publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Lyon, le 17 mai 2024.
Pour l’ARCOM Lyon :
La présidente,
G. VERLEY-CHEYNEL
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 120
L’ARCOM Lyon,
Vu l’article R. 3323-1 du code de la santé publique ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment son
article 28-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067 du
30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la convention conclue entre l’association Le Petit Théâtre et l’ARCOM Lyon ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1 . – L’association Le Petit Théâtre est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe,
er
conformément à la convention conclue avec l’ARCOM Lyon et dans le respect des conditions fixées à l’annexe de
la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio temporaire par voie hertzienne terrestre
dénommé Pélu’Zic en modulation de fréquence.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 19 et jusqu’au 21 juillet 2024. L’ARCOM pourra
prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté un mois après la date
d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 minutes).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe de la présente autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM Lyon.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association Le Petit Théâtre et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Lyon, le 17 mai 2024.
Pour l’ARCOM Lyon :
La présidente,
G. VERLEY-CHEYNEL
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 77 sur 120
ANNEXE (*)
Site : le mas des Fontaines - 42410 Pelussin (42).
Puissance : 100 W.
Fréquence : 107,5 MHz.
Diffusion : FM.
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 120
L’ARCOM Lyon,
Vu l’article R. 3323-1 du code de la santé publique ;
Vu la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication, notamment son
article 28-3 ;
Vu le décret no 87-239 du 6 avril 1987 pris pour l’application du 1o de l’article 27 de la loi no 86-1067
du 30 septembre 1986 relative à la liberté de communication et fixant, pour les services privés de radiodiffusion
sonore diffusés par voie hertzienne terrestre ou par satellite, le régime applicable à la publicité et au parrainage ;
Vu le décret no 2024-425 du 10 mai 2024 relatif aux comités techniques prévus à l’article 29-3 de la loi
o
n 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée relative à la liberté de communication ;
Vu la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la Commission nationale de la communication et des libertés,
modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990 du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les
conditions techniques d’usage des fréquences pour la diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation
de fréquence ;
Vu la décision no 2015-315 du 28 juillet 2015 du Conseil supérieur de l’audiovisuel fixant le règlement intérieur
des comités territoriaux de l’audiovisuel et leurs règles générales d’organisation et de fonctionnement ;
Vu la convention conclue entre l’association Cultuelle les Témoins Jéhovah de France et l’ARCOM Lyon ;
Après en avoir délibéré,
Décide :
Art. 1 . – L’association Cultuelle les Témoins Jéhovah de France est autorisée à utiliser la fréquence
er
mentionnée en annexe, conformément à la convention conclue avec l’ARCOM Lyon et dans le respect des
conditions fixées à l’annexe de la présente décision, en vue de l’exploitation d’un service de radio temporaire par
voie hertzienne terrestre dénommé SCEnglish SCPortuguese SCRussian en modulation de fréquence.
Art. 2. – Cette autorisation est délivrée à compter du 16 et jusqu’au 18 août 2024. L’ARCOM pourra
prononcer la caducité de la présente autorisation si l’exploitation effective n’a pas débuté un mois après la date
d’entrée en vigueur de l’autorisation.
Art. 3. – I. – Le titulaire de la présente autorisation est tenu de communiquer à l’ARCOM les informations
suivantes, dont il atteste l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– dès qu’elle est disponible, la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du
dépassement de 75 kHz sur une durée minimale de 15 minutes).
Ces informations sont ensuite exigibles à tout moment sur demande expresse de l’ARCOM.
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe de la présente autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM Lyon.
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à l’association Cultuelle les Témoins Jéhovah de France et publiée
au Journal officiel de la République française.
Fait à Lyon, le 17 mai 2024.
Pour l’ARCOM Lyon :
La présidente,
G. VERLEY-CHEYNEL
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 78 sur 120
ANNEXE (*)
Site : boulevard de l’Europe - 69680 Chassieu (69).
Puissance : 1 W.
Fréquence : 97,7 MHz.
Diffusion : FM.
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 79 sur 120
no 2022-494 du 27 juillet 2022, le nombre de millièmes disponibles pour chacun des allotissements numéros 3 et 8
est fixé à 924.
Art. 2. – La présente décision sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 29 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 120
Décide :
Art. 1 . – La société nationale de programme Radio France est autorisée à utiliser la ressource radioélectrique
er
allotie mentionnée en annexe A en vue de l’exploitation d’un service de radio par voie hertzienne terrestre en mode
numérique dénommé France Bleu Mayenne.
Art. 2. – Le service est exploité sur la totalité de la ressource radioélectrique assignée à l’opérateur de
multiplex qui, en application des dispositions de l’article 30-2 de la loi no 86-1067 du 30 septembre 1986 modifiée
relative à la liberté de communication, sera désigné conjointement et autorisé à utiliser la ressource radioélectrique
allotie mentionnée en annexe A.
Art. 3. – L’utilisation de la ressource radioélectrique est subordonnée au respect des conditions techniques
définies par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
Les caractéristiques des signaux émis par le titulaire sont conformes à la réglementation en vigueur, aux
conditions fixées par l’annexe A, dont la norme de diffusion, ainsi qu’au document « Services et profil de
signalisation pour la diffusion de la radio numérique de terre », dont les modalités de consultation et de révision
figurent à l’annexe B.
Les travaux de planification et de coordination internationale peuvent conduire à modifier certaines conditions
techniques de diffusion. De ce fait, l’ARCOM peut substituer aux conditions techniques déjà autorisées d’autres
conditions permettant une qualité de réception équivalente.
Le titulaire communique à l’ARCOM, à titre confidentiel, les conventions conclues avec la société chargée de
faire assurer les opérations techniques nécessaires à la transmission et à la diffusion de son service auprès du
public.
Art. 4. – La ressource radioélectrique mentionnée en annexe A, sur laquelle s’exerce le droit d’usage accordé à
la société nationale de programme Radio France conformément à la présente décision, est partagée avec d’autres
services de communication audiovisuelle.
Art. 5. – La part de la ressource radioélectrique attribuée au service France Bleu Mayenne est fixée
conformément aux dispositions de la délibération no 2013-1 du 15 janvier 2013, modifiée par la délibération
no 2013-31 du 16 octobre 2013, susvisée.
Conformément à cette délibération modifiée, la société de programme peut échanger contractuellement, avec un
ou plusieurs éditeurs de services présents au sein du même multiplex, une partie de la ressource qui lui est
attribuée, sans que ce ou ces accords ne soient opposables à l’ARCOM, notamment en cas de recomposition du
multiplex. Ces accords sont conclus dans des conditions équitables, raisonnables et non discriminatoires,
conformément aux dispositions de l’article 30-2 de la loi du 30 septembre 1986 modifiée.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 80 sur 120
La part de la ressource radioélectrique utile attribuée est destinée à transmettre les composantes sonores de
chaque programme, les données associées, les informations de service (guide électronique des programmes), ainsi
que les flux de téléchargement ou de mise à jour des terminaux de réception.
Art. 6. – La société nationale de programme Radio France respecte les obligations de couverture de
l’allotissement fixées par l’annexe A.
Art. 7. – La présente décision sera notifiée à la société nationale de programme Radio France et publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 29 mai 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE A
La fréquence centrale, exprimée en MHz, d’un canal désigné par un nombre entier n compris entre 5 et 12 et une
lettre de l’alphabet de rang r (r compris entre 1 et 4) est donnée par la formule :
ANNEXE B
Les modifications apportées au document intitulé « Services et profil de signalisation pour la diffusion de la
radio numérique de terre » sont soumises à l’approbation de l’Autorité, après examen de la commission technique
des experts du numérique, puis sont publiées sur le site de l’Autorité. L’Autorité précise la date à laquelle les
modifications entrent en vigueur. Ces modifications s’imposent au titulaire de l’autorisation.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 81 sur 120
reconductibles pour une durée de cinq ans, hors appel aux candidatures.
Art. 2. – A défaut d’accord sur les termes de la convention entre l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique et le titulaire au plus tard le 30 décembre 2024, les autorisations correspondantes ne
pourront pas être reconduites hors appel aux candidatures. Six mois avant la date d’expiration de ces autorisations,
l’ARCOM se prononcera définitivement sur leur reconduction.
Art. 3. – La présente décision sera notifiée à l’ensemble des titulaires mentionnés en annexe et publiée au
Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 5 juin 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Catégorie Titulaire Service Zone Fréquence
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 120
service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé BFM Business est reconduite
pour une durée de cinq ans, à compter du 19 décembre 2024.
Art. 2. – La SAS Business FM est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe, conformément à la
convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – I. – Sur demande expresse de l’ARCOM, le titulaire de la présente autorisation est tenu de lui
communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes, dont il atteste
l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 82 sur 120
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Business FM et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 5 juin 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : BFM Business.
Zone géographique mise en appel : Caen.
Fréquence : 107,1 MHz.
Adresse du site : 6, rue de la Tour, Saint-Contest (14).
Altitude du site (NGF) : 77 mètres.
Hauteur d’antenne : 68 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 2 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 2 180 0 270 2
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 120
service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Radio Classique est reconduite
pour une durée de cinq ans, à compter du 19 décembre 2024.
Art. 2. – La SAS Radio Classique est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe, conformément à
la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – I. – Sur demande expresse de l’ARCOM, le titulaire de la présente autorisation est tenu de lui
communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes, dont il atteste
l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 83 sur 120
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Radio Classique et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 5 juin 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : Radio Classique.
Zone géographique mise en appel : Chartres.
Fréquence : 98,7 MHz.
Adresse du site : lieudit les Hauts Saumons, chemin des Grandes-Plantes, Chartres (28).
Altitude du site (NGF) : 151 mètres.
Hauteur d’antenne : 63 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 1 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 6 90 1 180 0 270 3
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 120
service de radio par voie hertzienne terrestre en modulation de fréquence dénommé Rire et Chansons est reconduite
pour une durée de cinq ans, à compter du 19 décembre 2024.
Art. 2. – La SAS Rire et Chansons est autorisée à utiliser la fréquence mentionnée en annexe, conformément à
la convention et à l’annexe de la présente décision.
Art. 3. – I. – Sur demande expresse de l’ARCOM, le titulaire de la présente autorisation est tenu de lui
communiquer dans un délai d’un mois après la réception de la demande les informations suivantes, dont il atteste
l’exactitude :
– le descriptif effectif technique de l’installation (type et puissance nominale de l’émetteur, système
d’antennes…) ;
– la mesure de l’excursion de fréquence effective (pourcentage statistique du dépassement de 75 kHz sur une
durée minimale de 15 min).
II. – Si l’ARCOM constate la méconnaissance des conditions techniques au vu desquelles la présente
autorisation est délivrée, le titulaire est tenu de faire procéder, par un organisme agréé, à une vérification de la
conformité de son installation aux prescriptions figurant dans l’annexe technique de l’autorisation. Il transmet à
l’ARCOM les résultats de cette vérification.
Art. 4. – Le titulaire de la présente autorisation s’engage à respecter la décision no 87-23 du 6 mars 1987 de la
Commission nationale de la communication et des libertés, modifiée par la décision no 90-829 du 7 décembre 1990
du Conseil supérieur de l’audiovisuel, définissant les conditions techniques d’usage des fréquences pour la
diffusion de signaux de radiodiffusion sonore en modulation de fréquence.
Art. 5. – Toute utilisation d’une sous-porteuse doit être autorisée par l’ARCOM.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 84 sur 120
Art. 6. – La présente décision sera notifiée à la SAS Rire et Chansons et publiée au Journal officiel de la
République française.
Fait à Paris, le 5 juin 2024.
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
ANNEXE (*)
Nom du service : Rire et Chansons.
Zone géographique mise en appel : Rouen.
Fréquence : 103,3 MHz.
Adresse du site : Place Boieldieu - Immeuble Comté de Foix, Canteleu (76).
Altitude du site (NGF) : 124 mètres.
Hauteur d’antenne : 59 mètres/sol.
Puissance apparente rayonnée (PAR max.) : 2 kW.
Limitation du rayonnement dans le plan horizontal :
AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION AZIMUT ATTÉNUATION
(degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1) (degrés) (dB) (1)
0 5 90 0 180 0 270 5
(*) Sous réserve d’un aboutissement favorable des procédures de coordination internationale.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 120
– tenir des propos à caractère publicitaire, au sens de la réglementation sur la publicité et le parrainage ;
– procéder à des appels de fonds.
Ils ne peuvent en outre :
– utiliser les émissions mises à disposition à des fins étrangères à celles en vue desquelles l’accès à la campagne
audiovisuelle a été prévu ;
– recourir à tout moyen d’expression ayant pour objet ou pour effet de tourner en dérision d’autres partis ou
groupements politiques, leurs représentants ou des candidats ;
– apparaître dans l’enceinte des bâtiments officiels de l’Etat, des collectivités territoriales ou de leurs
groupements ainsi que dans l’enceinte de bâtiments de toute autre institution publique ou de l’Union
européenne, identifiables comme tels ;
– faire apparaître des éléments, des lieux ou des bâtiments susceptibles de constituer une référence commerciale
ou publicitaire ;
– faire apparaître tout emblème national ou européen ;
– utiliser l’hymne national, l’hymne européen, un hymne officiel de pays d’outre-mer ou tout hymne officiel
national ou territorial étranger ;
– utiliser des documents visuels ou sonores faisant apparaître des personnalités de la vie publique française sans
l’accord écrit de ces personnalités ou de leurs ayants droit.
Art. 7. – Les émissions doivent également respecter les règles suivantes :
– aucun numéro d’appel téléphonique gratuit ne peut être porté à la connaissance du public, en application de
l’article L. 50-1 du code électoral ;
– lorsque des œuvres, musicales ou autres, sont utilisées, il appartient au parti ou groupement politique ou à ses
représentants de s’assurer du respect des droits y afférents ;
– lorsque des personnes apparaissent de façon reconnaissable, il appartient au parti ou groupement politique ou
à ses représentants de s’assurer du respect des droits y afférents.
Art. 8. – Un représentant de l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique vérifie la
conformité des émissions de la campagne électorale aux dispositions de la présente décision.
Art. 9. – Lorsque le parti ou groupement politique n’utilise pas au cours de son émission la totalité du temps
d’émission qui lui a été alloué, il ne peut ni obtenir le report du reliquat sur une autre de ses émissions, ni céder ce
reliquat à un autre parti ou groupement politique.
Art. 10. – Si un parti ou groupement politique renonce à utiliser tout ou partie du temps d’émission qui lui est
attribué, les émissions des autres partis ou groupements politiques, prévues le même jour, sont avancées de telle
sorte qu’elles succèdent immédiatement à l’émission précédente ou au générique du début des émissions de la
campagne électorale.
Art. 11. – Le parti ou groupement politique peut utiliser tout ou partie de l’enregistrement d’une précédente
émission dans une émission ultérieure.
CHAPITRE II
EMISSIONS TÉLÉVISÉES
Section 1
Enregistrement
Art. 12. – Les émissions télévisées sont composées au choix des partis ou groupements politiques en intégralité
ou en partie :
1o A partir d’éléments réalisés avec des moyens fournis par l’Autorité de régulation de la communication
audiovisuelle et numérique.
Ces éléments peuvent être de deux sortes :
– éléments réalisés dans un studio mis à la disposition des partis ou groupements politiques ;
– éléments fabriqués à l’aide d’une station infographique.
2o A partir des documents vidéographiques ou sonores mentionnés à l’article 18.
Chaque parti ou groupement politique indique au coordonnateur, au plus tard au moment du tirage au sort
mentionné à l’article 2, la proportion du temps d’émission qu’il souhaite réaliser avec ses propres moyens.
Sous-section 1
Eléments réalisés avec les moyens humains et techniques mis à disposition
Art. 13. – Les partis ou groupements politiques qui le souhaitent peuvent disposer d’un studio équipé des
moyens détaillés dans le dossier technique mentionné à l’article 4. Ces moyens sont exclusifs de l’utilisation de
tout autre moyen.
Art. 14. – La durée de mise à disposition du studio et de l’équipe technique qui lui est rattachée est de deux
heures pour le tournage d’une émission.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 120
Art. 15. – Le réalisateur est choisi par le parti ou groupement politique. Ce choix est porté à la connaissance de
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
Art. 16. – Les enregistrements doivent respecter les dispositions des articles 6 et 7.
Le tournage des émissions doit être effectué au plus tard soixante-douze heures avant la diffusion de l’émission.
Art. 17. – A la fin de chaque tournage, un représentant du parti ou groupement politique signe un document
d’acceptation technique de ce tournage. Le montage final des émissions est effectué dans les conditions et dans le
temps décrits à l’article 23.
Sous-section 2
Utilisation de documents vidéographiques
Art. 18. – Les partis ou groupements politiques peuvent réaliser par leurs propres moyens des documents
vidéographiques.
Les documents vidéographiques peuvent représenter 100 % de la durée attribuée à chaque parti et groupement
politique pour chaque tour du scrutin.
Doivent être également décomptés à ce titre :
– le traitement éventuel au cours de la post-production des séquences vidéographiques réalisées par les
candidats ;
– l’incrustation sur une partie de l’écran, dans une émission réalisée avec les moyens techniques mis à
disposition par l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique, de séquences
vidéographiques réalisées par le parti ou groupement politique avec ses moyens propres.
Ces séquences sont décomptées pour la totalité de leur durée, quelle que soit l’importance de la place qu’elles
occupent dans l’écran.
Art. 19. – Les documents vidéographiques ou sonores doivent être conformes aux spécifications techniques
détaillées dans le dossier mentionné à l’article 4.
Les documents vidéographiques ou sonores doivent être déposés au plus tard à 18 heures la veille du montage ou
quarante-huit heures avant leur diffusion.
Section 2
Mise à disposition de moyens infographiques
Art. 20. – Deux stations infographiques sont mises à la disposition des partis ou groupements politiques pour le
premier tour du scrutin et une station infographique pour le second tour du scrutin. Les moyens techniques et
modalités d’utilisation sont précisés dans le dossier technique mentionné à l’article 4.
Art. 21. – Une station infographique est mise à la disposition des partis ou groupements politiques à
concurrence d’une heure pour chaque émission.
Les partis ou groupements politiques qui envisagent de recourir à l’utilisation de la station infographique le font
savoir au coordonnateur vingt-quatre heures avant la date d’utilisation de la cellule.
Les partis ou groupements politiques ont en outre la possibilité de remettre au coordonnateur des documents
fixes qui peuvent être numérisés. Ces derniers doivent respecter les dispositions des articles 6 et 7.
Section 3
Post-production des émissions
Art. 22. – Huit cellules de post-production sont affectées au montage des émissions. Les moyens mis à
disposition sont précisés dans le dossier technique mentionné à l’article 4.
Art. 23. – La durée impartie pour le visionnage des séquences tournées et le montage de chaque émission est
de quatre heures.
Art. 24. – A l’issue de chacun des délais mentionnés à l’article 23, l’émission correspondante est réputée
achevée. Le représentant du parti ou groupement politique signe sur place le bon à diffuser. A défaut, le parti ou
groupement politique est réputé avoir renoncé à la diffusion de son émission. Un représentant de l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique valide le bon à diffuser.
Une copie sonore des émissions radiodiffusées et une copie vidéo des émissions télévisées enregistrées prêtes à
diffuser sont remises au signataire du bon à diffuser le lendemain de la diffusion.
Art. 25. – Les émissions diffusées par la société France Télévisions et par France 24 sont intégralement sous
titrées à l’intention des personnes sourdes ou malentendantes. Leur diffusion est également accompagnée d’une
traduction en langue des signes par incrustation à l’écran.
La société France Télévisions rend accessibles aux personnes aveugles et malvoyantes par un procédé
d’audiodescription les émissions diffusées sur France 2 et France 3.
Les modalités techniques du sous-titrage, de l’audiodescription et de la traduction en langue des signes sont
décrites dans le dossier mentionné à l’article 4.
Les opérations de sous-titrage, d’audiodescription et, le cas échéant, la traduction en langue des signes, doivent
être terminées au plus tard à 18 heures l’avant-veille de la diffusion de l’émission concernée.
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Section 4
Mise en ligne des émissions de la campagne électorale
Art. 26. – Dans les vingt-quatre heures qui suivent la diffusion des émissions, la société France Télévisions les
met en ligne sur son site internet après avoir procédé à l’incrustation de la traduction en langue des signes.
Dans les vingt-quatre heures qui suivent la diffusion des émissions sur France 24, la société France Médias
Monde met en ligne sur le site internet de la chaîne, les émissions de la campagne électorale traduites en langue des
signes.
CHAPITRE III
LES ÉMISSIONS RADIOPHONIQUES
Section 1
Production et post-production
Art. 27. – Les partis ou groupements politiques peuvent :
– soit enregistrer tout ou partie de leurs émissions radiophoniques dans un studio mis à disposition dans les
locaux de post-production. Ils disposent de quarante-cinq minutes pour l’enregistrement et trente minutes pour
le montage et le mixage de chaque émission.
– soit enregistrer tout ou partie de leurs émissions radiophoniques au cours et dans le temps d’un tournage
réalisé avec les moyens mis à disposition. Dans ce cas, ils doivent en informer le coordonnateur lors de la
planification de la date du tournage. Ils disposent alors de trente minutes pour le montage final de chaque
émission ;
– soit reprendre le son des émissions télévisées. Dans ce cas, un montage des bandes son est effectué afin
d’éviter les silences à l’antenne ;
– soit réaliser à leurs frais tout ou partie de leurs émissions radiophoniques sur des supports conformes aux
spécifications techniques détaillées dans le dossier mentionné à l’article 4.
Le montage final d’une émission radiophonique doit être terminé au plus tard à 18 heures l’avant-veille de sa
diffusion. Les supports mentionnés à l’alinéa précédent doivent être transmis à la société Radio France dans le
même délai.
Section 2
Mise en ligne des émissions de la campagne électorale
Art. 28. – Dans les vingt-quatre heures qui suivent la diffusion des émissions sur l’antenne de France Inter, la
société Radio France les met en ligne sur le site internet de la chaîne.
Dans les vingt-quatre heures qui suivent la diffusion des émissions sur l’antenne de Radio France Internationale,
la société France Médias Monde, met en ligne sur le site internet de la chaîne, les émissions de la campagne
électorale.
CHAPITRE IV
DISPOSITIONS DIVERSES
Art. 29. – Les partis ou groupements politiques ont la faculté d’être assistés de personnes qui ne peuvent ni se
substituer au personnel responsable de la réalisation de l’émission ou au personnel technique, ni modifier les
conditions techniques de l’enregistrement et du montage.
Trois de ces personnes au plus ont accès au studio d’enregistrement radio et à la cellule de montage. Leurs noms
ainsi que ceux des intervenants dans les émissions doivent être communiqués par le parti ou groupement politique
au coordonnateur vingt-quatre heures avant l’enregistrement.
Art. 30. – Chaque émission à la radio et à la télévision est précédée et suivie d’annonces indiquant le nom du
parti ou groupement politique. Le temps nécessaire à ces annonces n’est pas pris sur le temps d’émission alloué au
parti ou groupement politique.
A la radio, les annonces sont lues par un collaborateur de la société Radio France.
Art. 31. – En cas d’incident technique non imputable aux partis ou groupements politiques, les temps prévus
aux articles 14, 21, et 23 de la présente décision sont prolongés d’une durée égale à celle de cet incident.
Art. 32. – Les enregistrements des émissions de la campagne électorale radiotélévisée sont déposés, à l’issue
de celle-ci, à l’Institut national de l’audiovisuel par la société France Télévisions.
TITRE II
PROGRAMMATION
Art. 33. – Pour le premier tour du scrutin, les émissions sont programmées du vendredi 21 juin au vendredi
28 juin 2024. Pour le second tour, elles sont programmées du mardi 2 juillet au vendredi 5 juillet 2024.
Les émissions programmées les vendredis 28 juin et 5 juillet en métropole sont programmées après celles du
jeudi 27 juin et du jeudi 4 juillet, d’une part, sur les services de radio et de télévision de Guadeloupe La 1ère, Guyane
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La 1ère, Martinique La 1ère, Saint-Pierre-et-Miquelon La 1ère, et Polynésie La 1ère et, d’autre part, sur les antennes de
RFI et de France 24 lorsque le signal est reçu en Guyane, Guadeloupe, Martinique, Saint-Barthélemy, Saint-
Martin, Saint-Pierre-et-Miquelon et Polynésie française.
Art. 34. – Les émissions de la campagne électorale sont mentionnées dans les avant-programmes et font l’objet
de bandes-annonces diffusées à des heures d’écoute favorable.
CHAPITRE Ier
PROGRAMMATION SUR LES ANTENNES DE LA SOCIÉTÉ FRANCE TÉLÉVISIONS
Section 1
Télévision
Art. 35. – Les horaires de diffusion des émissions sont les suivants pour le premier et le second tours du
scrutin :
– Premiers créneaux de diffusion
– sur France 2, pour le premier tour du scrutin, vers 10 h 20 du vendredi 21 juin au vendredi 28 juin, sauf le
samedi 22 juin vers 9 h 25, après « Télématin » et dimanche 23 juin vers 8 h 10 après « Télématin ».
– Pour le second tour du scrutin, vers 10 h 20 après « Les maternelles » du mardi 2 juillet au vendredi 5 juillet.
– sur France 3, pour le premier tour du scrutin vers 12 h 55 du vendredi 21 juin au vendredi 28 juin, sauf le
samedi 22 juin vers 17 h 30.
– Pour le second tour, vers 15 heures du mardi 2 juillet au vendredi 5 juillet.
– sur franceinfo:, vers 13 h 40.
– sur les services de télévision du réseau Outre-mer La 1ère : vers 20 h 05 sur Guadeloupe La 1ère, vers 19 h 55
sur Martinique La 1ère, vers 20 h 05 sur Guyane La 1ère, vers 19 h 15 sur Saint-Pierre-et-Miquelon La 1ère,
vers 22 heures sur Réunion La 1ère, vers 19 h 50 sur Mayotte La 1ère, vers 19 h 45 sur Wallis et Futuna La 1ère,
vers 20 heures sur Nouvelle-Calédonie La 1ère, vers 18 heures sur Polynésie La 1ère.
– Deuxièmes créneaux de diffusion
– sur France 2, vers 13 h 40, après le bulletin météo du journal d’information du vendredi 21 juin au vendredi
28 juin, sauf le samedi 22 juin vers 13 h 55, après « Le 13h15 le samedi », et le dimanche 23 juin vers
14 h 45, après « Le 13h15 le dimanche ».
– Pour le second tour vers 13 h 40, après le bulletin météo du journal d’information, du mardi 2 juillet au
vendredi 5 juillet 2024.
– sur France 3, pour le premier tour du scrutin, vers 16 h 30 du vendredi 21 juin au vendredi 28 juin, sauf le
samedi 22 juin et le dimanche 23 juin vers 9 h 40.
– Pour le second tour du scrutin, vers 16 h 30 du mardi 2 juillet au vendredi 5 juillet.
– sur franceinfo:, vers 22 h 40.
– sur les services de télévision Outremer La 1ère : vers 7 h 20 sur Guadeloupe La 1ère, vers 7 h 35 sur
Martinique La 1ère, vers 8 h 25 sur Guyane La 1ère, vers 8 h 30 sur Saint Pierre et Miquelon La 1ère, vers
10 h 10 sur Réunion La 1ère, vers 8 heures sur Mayotte La 1ère, vers 9 h 20 sur Wallis et Futuna La 1ère, vers
9 h 15 sur Nouvelle-Calédonie La 1ère et vers 9 heures sur Polynésie La 1ère.
– Troisièmes créneaux de diffusion
– sur France 2, pour le premier tour de l’élection vers 20 h 35, après le bulletin météo du journal
d’information du vendredi 21 juin au vendredi 28 juin, sauf le samedi 22 juin et le dimanche 23 juin vers
20 h 45.
– Pour le second tour, vers 20 h 35, après le bulletin météo du journal d’information du mardi 2 juillet au
vendredi 5 juillet 2024.
– sur France 3, vers 22 h 40, sauf les vendredis 21 et 28 juin et le vendredi 5 juillet vers 23 heures.
– sur franceinfo:, vers 4 h 45.
– sur les services de télévision Outre-mer La 1ère : vers 13 h 25 sur Guadeloupe La 1ère, vers 13 heures sur
Martinique La 1ère, vers 13 h 15 sur Guyane La 1ère, vers 22 h 30 sur Saint-Pierre-et-Miquelon La 1ère, vers
16 h 05 sur Réunion La 1ère, vers 12 h 50 sur Mayotte La 1ère, vers 13 heures sur Wallis et Futuna La 1ère, vers
13 heures sur Nouvelle-Calédonie La 1ère, vers 13 heures sur Polynésie La 1ère.
Section 2
Radio
Art. 36. – Les horaires de diffusion des émissions sur les services radiophoniques des stations du réseau Outre-
mer La 1ère pour le premier et le second tours du scrutin sont les suivants :
– Premiers créneaux de diffusion
– les émissions sont programmées vers 8 h 20 sur Guadeloupe La 1ère, vers 8 h 15 sur Martinique La 1ère, vers
9 h 10 sur Guyane La 1ère, vers 7 h 20 sur Saint-Pierre-et-Miquelon La 1ère, vers 12 h 15 sur Réunion La 1ère,
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 120
vers 8 h 45 sur Mayotte La 1ère, vers 7 h 45 sur Wallis et Futuna La 1ère, vers 9 heures sur Nouvelle-
Calédonie La 1ère, vers 6 h 15 sur Polynésie La 1ère.
– Deuxièmes créneaux de diffusion
– les émissions sont programmées vers 14 h 10 sur Guadeloupe La 1ère, vers 14 h 10 sur Martinique La 1ère,
vers 14 h 10 sur Guyane La 1ère, vers 13 heures sur Saint-Pierre-et-Miquelon La 1ère, vers 15h45 sur Réunion
La 1ère, vers 14 h 10 sur Mayotte La 1ère, vers 12 h 45 sur Wallis et Futuna La 1ère, vers 13 heures sur
Nouvelle-Calédonie La 1ère, vers 12 h 15 sur Polynésie La 1ère.
– Troisièmes créneaux de diffusion
– les émissions sont programmées vers 19 h 03 sur Guadeloupe La 1ère, vers 18 h 20 sur Martinique 1ère, vers
18 h 10 sur Guyane La 1ère, vers 20 heures sur Saint-Pierre-et-Miquelon La 1ère, vers 19 h 45 sur Réunion La
1ère, vers 18 h 45 sur Mayotte La 1ère, vers 17 h 40 sur Wallis et Futuna La 1ère, vers 20 heures sur Nouvelle-
Calédonie La 1ère, vers 19 h 30 sur Polynésie La 1ère.
CHAPITRE II
PROGRAMMATION SUR LES ANTENNES DE LA SOCIÉTÉ RADIO FRANCE
Art. 37. – Les horaires de diffusion des émissions dans les programmes de France Inter, pour le premier et le
second tours du scrutin, sont les suivants :
– Premier créneau de diffusion
– les émissions sont programmées vers 14 h 50.
– Deuxième créneau de diffusion
– les émissions sont programmées vers 20 h 50, sauf le vendredi 21 juin vers 16 h 50.
– Troisième créneau de diffusion
– les émissions sont programmées vers 23 h 10, sauf le vendredi 21 juin vers 20 h 05.
CHAPITRE III
PROGRAMMATION SUR LES ANTENNES DE LA SOCIÉTÉ FRANCE MÉDIAS MONDE
Art. 38. – Les horaires de diffusion des émissions dans les programmes de Radio France Internationale, pour le
premier et le second tours du scrutin, sont les suivants :
– Premier créneau de diffusion
– les émissions sont programmées sur l’ensemble du réseau mondial en ondes courtes (le même jour qu’en
métropole) à 6 heures TU (8 heures, heure de Paris).
– Deuxième créneau de diffusion
– les émissions sont programmées sur l’ensemble du réseau mondial en ondes courtes (le même jour qu’en
métropole) à 12 heures TU (14 heures, heure de Paris).
– Troisième créneau de diffusion
– les émissions sont programmées sur l’ensemble du réseau mondial en ondes courtes (le même jour qu’en
métropole) à 17 h 30 TU (19 h 30, heure de Paris).
Art. 39. – Les horaires de diffusion des émissions dans les programmes de France 24 pour le premier et le
second tours du scrutin sont les suivants :
– Premier créneau de diffusion
– les émissions sont programmées à 4 h 45. Les émissions des vendredis 28 juin et 5 juillet sont programmées
les jeudis 27 juin et 4 juillet vers 5 h 15.
– Deuxième créneau de diffusion
– les émissions sont programmées vers 10 h 45. Les émissions des vendredis 28 juin et 5 juillet sont
programmées les jeudis 27 juin et 4 juillet vers 11 h 15.
– Troisième créneau de diffusion
– les émissions sont programmées vers 15 h 15 du vendredi 21 juin au dimanche 23 juin et vers 14 h 45 du
lundi 24 juin au jeudi 27 juin. Les émissions des vendredis 28 juin et 5 juillet sont programmées les jeudis
27 juin et 4 juillet vers 15 h 45.
TITRE III
DIFFUSION
Art. 40. – Les sociétés nationales de programme France Télévisions, Radio France et France Médias Monde
veillent à la bonne diffusion des émissions de la campagne électorale.
Art. 41. – En cas d’incident de diffusion, la société concernée en informe immédiatement le coordonnateur.
L’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique peut décider de la rediffusion nationale
ou régionale, partielle ou totale, des émissions de la campagne qui ont été affectées par l’incident de diffusion.
En cas d’incident ou d’erreur de programmation des émissions, la société concernée informe sans délai
l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 85 sur 120
En cas de programmation exceptionnelle d’une émission consacrée aux élections législatives ou de survenance
d’un événement exceptionnel et majeur lié à l’actualité, et sous réserve de l’accord préalable de l’Autorité de
régulation de la communication audiovisuelle et numérique, la diffusion des émissions de la campagne électorale
peut être différée dans les conditions qu’elle détermine.
En cas d’urgence absolue, l’Autorité de régulation de la communication audiovisuelle et numérique est
immédiatement informée de ce report et délibère dans les plus brefs délais des nouvelles conditions de diffusion
des émissions.
Art. 42. – Les présidentes des sociétés nationales de programme sont chargés, chacune en ce qui la concerne,
de l’exécution de la présente décision, qui sera publiée au Journal officiel de la République française.
Fait à Paris, le 14 juin 2024
Pour l’Autorité de régulation
de la communication audiovisuelle et numérique :
Le président,
R.-O. MAISTRE
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 120
Par arrêté du directeur général de la Caisse des dépôts et consignations en date du 13 juin 2024, est autorisée, au
titre de l’année 2025, l’ouverture de concours interne et externe pour l’accès au corps interministériel des attachés
d’administration de l’Etat relevant de la Caisse des dépôts et consignations, pour la spécialité banque et finance.
Le nombre de postes à pourvoir est fixé à 10, répartis ainsi qu’il suit :
– concours externe : 6 postes ;
– concours interne : 4 postes.
Les postes seront offerts sur Paris et sur l’ensemble du territoire national.
Un poste est en outre offert aux bénéficiaires du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de
guerre.
A défaut de candidates ou candidats qualifiés inscrits sur la liste d’aptitude établie par la ministre des armées en
application des dispositions du code des pensions militaires d’invalidité et des victimes de guerre pour exercer les
fonctions d’attachés d’administration de l’Etat de la Caisse des dépôts et consignations, les emplois vacants ne
peuvent être pourvus qu’en satisfaisant aux priorités définies à l’article L. 242-7 du même code et selon la
procédure définie aux articles R. 242-17 et suivants du même code.
A défaut de candidates ou candidats qualifiés pour exercer les fonctions d’attachés d’administration de l’Etat de
la Caisse des dépôts et consignations, ou en cas de refus des candidates ou candidats, les emplois non pourvus dans
les conditions définies à l’article L. 242-7 s’ajoutent aux emplois à pourvoir au titre du recrutement suivant dans les
conditions définies à l’article R. 242-21.
Un poste est offert par la voie contractuelle aux bénéficiaires de l’obligation d’emploi mentionnée à
l’article L. 351-1 du code général de la fonction publique.
Les modalités d’inscription sont les suivantes :
Les inscriptions s’effectuent par internet, exclusivement via le site de la Caisse des dépôts et consignations, à
l’adresse suivante : https://www.caissedesdepots.fr/recrutement/nous-rejoindre.
Les dates et heures des inscriptions par internet sont fixées comme suit :
En cas d’impossibilité de s’inscrire par internet, les candidates et les candidats pourront obtenir un dossier
imprimé d’inscription, sur demande écrite, à partir du 17 juin 2024, établie selon le modèle figurant en annexe 1 du
présent arrêté. Ce courrier, accompagné d’une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm affranchie au tarif en vigueur
correspondant à un poids jusqu’à 100 grammes et libellée au nom et à l’adresse du candidat, devra être adressé par
voie postale en recommandé avec accusé de réception au service concours de la Caisse des dépôts et consignations
chargé des inscriptions : Caisse des dépôts et consignations, service des concours, des examens professionnels et
des projets spécifiques, DHE222, 17, avenue Pierre-Mendès-France, 75914 Paris Cedex 13.
Un dossier de candidature pourra également être téléchargé sur le site internet de la Caisse des dépôts et
consignations à l’adresse suivante : https://www.caissedesdepots.fr/recrutement/nous-rejoindre.
Le dossier imprimé d’inscription dûment complété devra être renvoyé obligatoirement par voie postale et en
recommandé avec accusé de réception au service concours de la Caisse des dépôts et consignations chargé des
inscriptions (adresse mentionnée ci-dessus) au plus tard le 16 août 2024, le cachet de la poste faisant foi.
Tout courrier ou dossier de candidature, adressé par voie électronique ou par voie postale en recommandé avec
avis de réception, incomplet ou envoyé hors délai, sera rejeté.
Conformément aux dispositions du décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements
contribuant à l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures
de recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, les personnes
en situation de handicap, sollicitant un aménagement des épreuves écrites et orales devront impérativement
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 120
transmettre au service organisateur, pour le 3 septembre 2024, un certificat médical, mentionné à l’article 2 dudit
décret, établi par un médecin agréé, par tout moyen.
Le certificat médical, dont le modèle sera transmis par le service organisateur, qui doit avoir été établi moins de
six mois avant le déroulement des épreuves, précise la nature des aides humaines et techniques ainsi que des
aménagements nécessaires pour permettre aux candidates et candidats, compte tenu de la nature et de la durée des
épreuves, de composer dans des conditions compatibles avec leur situation.
La liste des médecins agréés établie dans chaque département est disponible auprès de la préfecture. Cette liste
peut également être consultée sur le site internet de chaque agence régionale de santé, accessible à partir du portail
des agences régionales de santé, à la rubrique « Votre agence régionale de santé » : https://www.ars.sante.fr.
Les personnes résidant dans l’une des collectivités mentionnées à l’article 72-3 de la Constitution ou à l’étranger,
ou en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, bénéficient, à leur demande, du
recours à la visioconférence pour passer l’épreuve orale dans les conditions prévues par l’arrêté
du 22 décembre 2017 fixant les conditions de recours à la visioconférence pour l’organisation des voies d’accès
à la fonction publique de l’Etat.
Par ailleurs, les personnes en situation de handicap, en état de grossesse ou dont l’état de santé le nécessite, ayant
demandé à bénéficier du recours à la visioconférence, devront produire à la même adresse un certificat médical
délivré par un médecin agréé par l’administration et comportant la mention de l’aménagement relatif à la
visioconférence (le modèle de ce certificat sera transmis par le service organisateur).
La demande écrite doit être adressée au service des concours et des examens professionnels pour
le 18 novembre 2024 par tout moyen (par voie postale, lettre recommandée avec accusé de réception ou par
courrier électronique au service des concours : [email protected]).
En vue de l’épreuve orale d’admission du concours externe, les candidats déclarés admissibles établissent et
adressent, au service concours de la Caisse des dépôts et consignations, une fiche individuelle de renseignements.
Cette fiche est disponible, dès l’ouverture des registres d’inscription dans l’espace candidat sur l’application
d’inscription fournie par la Caisse des dépôts et consignations.
La fiche individuelle de renseignements dûment complétée devra être téléversée dans l’espace candidat prévu à
cet effet sur l’application d’inscription, au plus tard dans le délai de huit jours ouvrés à compter du lendemain de la
date de publication des résultats d’admissibilité (la date de téléversement faisant foi).
Les candidats et candidates qui auront demandé un dossier imprimé d’inscription seront destinataires d’une fiche
imprimée de renseignements. Dans ce cas, la fiche individuelle de renseignements imprimée, dûment complétée,
devra être renvoyée obligatoirement par voie postale et en recommandé avec accusé de réception au service
concours de la Caisse des dépôts et consignations chargé des inscriptions (adresse mentionnée ci-dessus) au plus
tard dans le délai de huit jours ouvrés à compter du lendemain de la date de publication des résultats
d’admissibilité, le cachet de la poste faisant foi.
En vue de l’épreuve orale d’admission du concours interne, les candidats déclarés admissibles établissent et
adressent, au service concours de la Caisse des dépôts et consignations, un dossier de reconnaissance des acquis de
l’expérience professionnelle. Ce dossier est disponible, dès l’ouverture des registres d’inscription, dans l’espace
candidat sur l’application d’inscription fournie par la Caisse des dépôts et consignations.
Le dossier de reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle devra être téléversé dans l’espace
candidat prévu à cet effet sur l’application d’inscription, au plus tard dans le délai de huit jours ouvrés à compter du
lendemain de la date de publication des résultats d’admissibilité (la date de téléversement faisant foi).
Les candidats qui auront demandé un dossier imprimé d’inscription seront destinataires d’un dossier imprimé de
reconnaissance des acquis de l’expérience professionnelle. Dans ce cas, le dossier de reconnaissance des acquis de
l’expérience professionnelle imprimé, dûment complété, devra être renvoyé obligatoirement par voie postale et en
recommandé avec accusé de réception au service concours de la Caisse des dépôts et consignations chargé des
inscriptions (adresse mentionnée ci-dessus) au plus tard dans le délai de huit jours ouvrés à compter du lendemain
de la date de publication des résultats d’admissibilité, le cachet de la poste faisant foi.
L’épreuve écrite d’admissibilité se déroulera le jeudi 3 octobre 2024, à Paris ou tout autre lieu choisi en
Ile-de-France par le service organisateur.
L’épreuve orale d’admission se déroulera à partir du 2 décembre 2024, à Paris ou tout autre lieu choisi en
Ile-de-France par le service organisateur.
Ces dates sont prévisionnelles.
La composition du jury fera ultérieurement l’objet d’un arrêté du directeur général de la Caisse des dépôts et
consignations.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 86 sur 120
ANNEXE 1
DEMANDE DE DOSSIER IMPRIMÉ D’INSCRIPTION AUX CONCOURS INTERNE ET EXTERNE DANS
LA SPECIALITÉ BANQUE/FINANCE POUR L’ACCÈS AU CORPS INTERMINISTÉRIEL DES ATTACHÉS
D’ADMINISTRATION DE L’ÉTAT RELEVANT DE LA CAISSE DES DÉPÔTS ET CONSIGNATIONS
A envoyer en recommandé avec accusé de réception au service concours
de la caisse des dépôts et consignations
Session 2025
IDENTIFICATION Adresse à laquelle seront expédiées
toutes les correspondances (2)
Prénom(s) : Ville :
Pays :
La demande de dossier imprimé d’inscription, accompagnée d’une enveloppe au format 22,9 × 32,4 cm
affranchie au tarif en vigueur correspondant à un poids jusqu’à 100 grammes
et libellée au nom et à l’adresse du candidat, doit être adressée par voie postale en recommandé simple.
Le dossier imprimé d’inscription au concours dûment complété devra être renvoyé par voie postale
en recommandé avec accusé réception au plus tard le 16 août 2024, le cachet de la poste faisant foi.
ANNEXE
Vous pouvez consulter l’intégralité du texte avec ses images à l’adresse suivante :
– https://www.cnil.fr/fr/recommandations-diffuseurs-donnees-ouvertes ;
– https://www.cnil.fr/fr/recommandations-reutilisateurs-donnees-internet.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 88 sur 120
Par arrêté du président de l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement en
date du 4 juin 2024, est autorisée, au titre de l’année 2024, l’ouverture de concours pour le recrutement de
directeurs de recherche de 2e classe à l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et
l’environnement.
La date d’ouverture des inscriptions est fixée au mardi 18 juin 2024.
Les candidats peuvent :
– soit s’inscrire en ligne sur le site INRAE : http://www.inrae.fr, rubrique « jobs » ;
– soit retirer un dossier de candidature auprès du pôle recrutement et mobilité de l’Institut national de recherche
pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement, situé au 147, rue de l’Université, 75338 Paris Cedex 07 ;
– soit demander l’envoi d’un dossier de candidature au format papier.
Le dossier de candidature papier peut être obtenu sur demande écrite accompagnée d’une enveloppe au
format A4 affranchie au tarif en vigueur, libellée aux nom et adresse du candidat, exclusivement à l’adresse
suivante : INRAE, DRH Pôle recrutement et mobilité, 147, rue de l’Université, 75338 Paris Cedex 07. Aucune
demande de dossier ne sera prise au téléphone ou par courriel.
La date limite de l’inscription en ligne et de l’inscription sur dossier papier est fixée au mardi 20 août 2024,
à 17 heures, heure de Paris.
Les candidats doivent :
– soit avoir validé leur candidature en ligne au plus tard le mardi 20 août 2024 à 17 heures, heure de Paris ;
– soit avoir déposé leur dossier de candidature au centre-siège de l’INRAE, 147, rue de l’Université,
75338 Paris Cedex 07, au plus tard le mardi 20 août 2024, à 17 heures, heure de Paris ;
– soit avoir envoyé leur dossier de candidature par voie postale au pôle recrutement et mobilité de l’INRAE,
147, rue de l’Université, 75338 Paris Cedex 07, au plus tard le mardi 20 août 2024 (le cachet postal faisant
foi).
Tout dossier envoyé ou déposé hors délai sera automatiquement rejeté.
Pour tout renseignement, les candidats devront s’adresser à : [email protected].
Conformément au décret no 2020-523 du 4 mai 2020 relatif à la portabilité des équipements contribuant à
l’adaptation du poste de travail et aux dérogations aux règles normales des concours, des procédures de
recrutement et des examens en faveur des agents publics et des candidats en situation de handicap, des dérogations
aux règles normales de déroulement des concours seront prévues pour les candidats en situation de handicap. Les
candidats qui souhaiteront en bénéficier devront joindre à leur dossier de candidature un certificat médical établi
moins de six mois avant le déroulement des épreuves. Le certificat médical, établi par un médecin agréé, devra
préciser la nature des aides humaines et techniques ainsi que des aménagements nécessaires. La date limite de
remise du certificat est fixée au mardi 20 août 2024.
Lorsque l’urgence le justifiera, le pôle recrutement et mobilité de l’INRAE pourra mettre en œuvre les aides et
aménagements sollicités malgré la transmission du certificat médical après la date limite mentionnée à l’alinéa
précédent.
Les aides et aménagements sollicités sont mis en œuvre par le pôle recrutement et mobilité de l’INRAE sous
réserve que les charges afférentes ne soient pas disproportionnées au regard des moyens, notamment matériels et
humains, dont il dispose.
Le nombre de postes offerts au titre de l’année 2024 pour le recrutement de directeurs de recherche de 2e classe à
l’Institut national de recherche pour l’agriculture, l’alimentation et l’environnement est de 42.
La répartition de ces postes par groupe de disciplines est fixée comme suit :
Groupe de disciplines Nombre de postes
Total 42
La date et le lieu de déroulement des épreuves, la composition des jurys, ainsi que la liste des candidats admis à
concourir feront l’objet d’une décision du président de l’Institut national de recherche pour l’agriculture,
l’alimentation et l’environnement.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 89 sur 120
Naturalisations et réintégrations
Décret du 13 juin 2024
rapportant un décret de naturalisation
NOR : IOMN2411128D
Naturalisations et réintégrations
Décret du 13 juin 2024
rapportant un décret de naturalisation
NOR : IOMN2411206D
Naturalisations et réintégrations
Décret du 14 juin 2023
rapportant un décret de naturalisation
NOR : IOMN2411132D
Naturalisations et réintégrations
Décret du 14 juin 2024
rapportant un décret de naturalisation
NOR : IOMN2412025D
Informations parlementaires
SÉNAT
DOCUMENTS DÉPOSÉS
NOR : INPS2416356X
Informations parlementaires
SÉNAT
DOCUMENTS PUBLIÉS
NOR : INPS2416355X
Avis et communications
PREMIER MINISTRE
Sera vacant au 1er juillet 2024, à l’administration centrale du ministère de la transition écologique et des
collectivités territoriales, un emploi de directeur de projet classé en groupe III, au sein de la direction générale des
affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture (DGAMPA).
Le titulaire de cet emploi exercera les fonctions de directeur de projet en charge du pilotage transversal de la
politique européenne et internationale dans les domaines de compétence de la direction générale, placé auprès du
directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture.
L’emploi est localisé sur le site de La Défense (tour Séquoia).
Contexte
La direction générale des affaires maritimes, de la pêche maritime et de l’aquaculture (DGAMPA) est un service
d’administration centrale placé sous l’autorité ministre de la transition écologique et des collectivités territoriales.
La DGAMPA est en charge de l’élaboration et de la mise en œuvre de la stratégie nationale de la mer et du
littoral, ainsi que des politiques publiques relatives à la pêche, à l’aquaculture, à la réglementation et au contrôle
des activités maritimes, à la formation des marins, à l’emploi et au droit du travail maritimes, à la gestion de la
flotte de commerce et de l’activité de plaisance. Elle pilote l’action de l’Etat en matière de sécurité maritime, de
sauvetage en mer et de planification des espaces maritimes. Elle concourt également, dans tous les aspects du
domaine maritime, à l’action internationale de la France.
Description du poste
La titulaire ou le titulaire de l’emploi aura la charge de conseiller et piloter de manière transversale l’action de
la DGAMPA dans les domaines européens et internationaux.
Il ou elle est le point d’entrée unique de la DGAMPA pour tous les sujets européens et internationaux à caractère
transversal, notamment les accords bilatéraux ou multilatéraux.
Il ou elle peut être en charge de l’encadrement direct ou de la supervision d’équipes sur des évènements ou
projets ponctuels sur son champ de compétences.
Pour ce faire, elle ou il devra plus particulièrement :
– piloter, avec les services concernés de la DGAMPA, la mise en œuvre, le suivi et l’actualisation de la feuille
de route européenne et internationale de la DGAMPA ;
– assurer le suivi transversal de l’ensemble des négociations européennes et internationales en matière d’affaires
maritimes, de pêche et d’aquaculture, de protection des océans, en lien avec les services compétents de
la DGAMPA qui restent en charge de leurs négociations sectorielles respectives, et des autres directions du
pôle ministériel et des autres ministères compétents (notamment ministère de l’Europe et des affaires
étrangères) ;
– représenter en tant que de besoin la DGAMPA dans les enceintes européennes et internationales ;
– conseiller la direction et lui proposer toute mesure ou initiative de nature à promouvoir les politiques
publiques de la DGAMPA au niveau européen ou international ;
– apporter toute aide et tout appui utiles aux services de la DGAMPA dans l’élaboration et la conduite de leurs
négociations européennes et internationales ainsi que dans l’élaboration et la structuration d’événements de
dimension européenne et internationale ;
– animer le réseau des agents de la DGAMPA impliqués dans l’activité européenne et internationale ;
– piloter directement certains dossiers de nature transversale et contribuer directement à l’organisation
d’évènements à portée européenne ou internationale en lien avec les partenaires interministériels concernés
(notamment ministère de l’Europe et des affaires étrangères) ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 120
– assurer une coordination étroite de l’activité européenne et internationale de la DGAMPA avec notamment la
direction de l’action européenne et internationale du pôle ministériel, le ministère de l’agriculture et de la
souveraineté alimentaire, le secrétariat général des affaires européennes, les représentations permanentes de la
France auprès des organisations internationales pertinentes (FAO, OMI, OCDE, OMC) et de l’Union
européenne (RPUE).
Placé sous l’autorité du directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture et de son adjoint,
il ou elle assure le lien avec les cabinets ministériels et représente la direction générale auprès des autres services
d’administration centrale.
La ou le titulaire de l’emploi assure également un suivi et un soutien ponctuel aux travaux liés à l’année et de la
mer et à l’organisation de la conférence des Nations unies sur les Océans qui se tiendra à Nice en 2025.
Profil recherché
L’emploi s’adresse à un cadre de haut niveau, fonctionnaire ou agent contractuel, avec une expérience minimale
de six années d’activités professionnelles diversifiées en tant que cadre supérieur et devant posséder une expérience
administrative affirmée, en particulier en matière de relations internationales et de négociations européennes. Il ou
elle devra disposer d’expériences réussies en matière de pilotage de projets complexes. Une très bonne
connaissance des enjeux maritimes est fortement souhaitée.
Le candidat ou la candidate devra posséder les qualités suivantes :
– polyvalence, souplesse d’adaptation, aisance relationnelle, sens de la diplomatie et de la négociation sont
indispensables ;
– capacité à dialoguer et à négocier avec des partenaires nombreux et de haut niveau ;
– capacité d’analyse et de travail dans un contexte complexe et en pleine évolution ;
– capacité à travailler en équipe avec des agents de haut niveau ;
– aptitude à l’animation, à la coordination et au pilotage de projets nécessitant la mobilisation de plusieurs
acteurs ;
– maitrise de l’anglais.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné :
– l’autorité de recrutement est le secrétaire général, représenté par la délégation à l’encadrement supérieur ;
– l’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de
l’aquaculture, M. Éric BANEL.
Envoi des candidatures :
Le dossier de candidature devra impérativement comprendre :
– une lettre de motivation qui devra comporter les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le
parcours professionnel du candidat, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le poste ;
– un curriculum vitae détaillé.
Pour les agents publics, les candidatures seront accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé le cas échéant
(uniquement pour les agents relevant d’un autre ministère).
Pour les agents du secteur privé, les candidatures seront accompagnées des documents attestant de l’occupation
effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 95 sur 120
Ce dossier complet devra être adressé dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent
avis au Journal officiel de la République française, uniquement et impérativement, par voie électronique aux
adresses :
– [email protected] ;
– [email protected] ;
– [email protected].
Recevabilité des candidatures :
L’autorité de recrutement procède à l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe
les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
Le secrétaire général, autorité de recrutement, réunit l’instance collégiale prévue à l’article 6 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné, qui procède à l’examen des candidatures recevables pour présélectionner les
candidats.
Audition des candidats et choix du candidat retenu :
Le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture procède à l’audition des candidats
présélectionnés par l’instance collégiale. A l’issue de ces auditions, il transmet au secrétaire général un avis sur les
candidats, afin de lui permettre de proposer à l’autorité investie du pouvoir de nomination le nom du candidat ou de
la candidate susceptible d’être nommé.
A l’issue du choix effectué par l’autorité de nomination, les candidats ou candidates auditionnés non retenus
pour occuper l’emploi à pouvoir sont informés par le directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de
l’aquaculture.
Déontologie
L’accès à cet emploi n’est pas soumis à une déclaration de situation patrimoniale ni à une déclaration d’intérêts
préalable à la prise de fonctions.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précèdent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué
préalablement à la nomination par l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement
à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en
application de l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique (entrée en vigueur le 1er mars 2022).
Personnes à contacter
Tous les renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
Éric BANEL, directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture, tél. : 01-40-81-88-88 ;
Olivier CUNIN, adjoint au directeur général des affaires maritimes, de la pêche et de l’aquaculture,
tél. : 01-40-81-74-00 ;
Laurent TAPADINHAS, délégué ministériel à l’encadrement supérieur, tél. : 01-40-81-18-61.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 120
Avis et communications
PREMIER MINISTRE
Un emploi de directeur de projet « Nouveaux outils de production normative » (Groupe II) sera vacant au
secrétariat général du Gouvernement (SGG) au sein des services du Premier ministre. Le directeur de projet est
directement placé sous l’autorité du directeur, adjoint du secrétaire général du Gouvernement. Cet emploi est
affecté à la direction de l’information légale et administrative (DILA).
Le poste est localisé au 26, rue Desaix, Paris 15e, et un bureau de passage est disponible au 56, rue de Varenne,
Paris 7e.
Contexte
Depuis plus de quinze ans, le SGG s’est engagé dans une démarche de dématérialisation de ses échanges avec
ses partenaires ministériels et institutionnels (Parlement, Conseil d’Etat…). Cette démarche s’est notamment
traduite dans le domaine juridique par le déploiement d’une application de dématérialisation du processus
d’élaboration des textes normatifs publiés au Journal officiel de la République française dite SOLON
(pour « système d’organisation en ligne des opérations normatives »). Cette application, aujourd’hui utilisée par
l’ensemble des partenaires précités, a permis la dématérialisation du circuit de transmission et de validation de tout
projet de texte normatif. Pour autant, elle n’offre pas encore de service dédié à la rédaction et les documents sont
encore transmis et modifiés dans leur format bureautique. Ainsi, une fois validés, les projets de textes font l’objet
d’une conversion en un format structuré nécessaire à la publication au Journal officiel de la République française
électronique authentifié (JOEA) et à la diffusion au format web sur Légifrance. Après cette étape, sont réalisées la
consolidation des textes modificatifs et la codification via des outils dédiés pour en assurer également la diffusion
sur Légifrance.
Lancé en 2021 par le secrétariat général du Gouvernement et la direction de l’information légale et
administrative, le projet « Nouveaux outils de production normative » érigé en véritable programme a pour objet
d’opérer la transformation numérique de la production des normes en allant au-delà de la seule dématérialisation et
des bénéfices technologiques pour viser des gains fonctionnels, organisationnels et juridiques.
Les objectifs de ce programme sont ainsi de :
– renforcer l’efficience de la chaîne applicative de production des normes, sa qualité et sa célérité par la
construction d’un cercle vertueux d’enrichissement de données structurées tout au long du processus ;
– réduire les tâches chronophages, redondantes et formelles des agents publics au profit d’activités à forte plus-
value (contrôle et amélioration de la qualité du droit et de la donnée, pilotage de l’activité normative,
accompagnement des utilisateurs et usagers…) ;
– faciliter la rédaction, la modification, le suivi et la validation des textes publiés au Journal officiel de la
République française notamment par la généralisation à l’ensemble des acteurs du nouvel éditeur légistique
dénommé EDILE ;
– améliorer le service rendu au public, notamment en diffusant plus rapidement et pour davantage de textes la
version consolidée (version intelligible et la plus consultée) tout en apportant de nouvelles données utiles
facilitant le suivi des dispositions et leur historicité ;
– favoriser l’évolution des organisations des services du Premier ministre ainsi que la transformation des
métiers en lien avec l’évolution des outils ;
– favoriser, en lien avec le Conseil d’Etat, l’Assemblée nationale et le Sénat, l’harmonisation et la simplification
des pratiques légistiques, en lien notamment avec l’usage du nouvel éditeur légistique ;
– garantir la résilience et la sécurité informatique de la nouvelle chaîne applicative.
Description du poste
Le titulaire est chargé de poursuivre la conduite du programme « Nouveaux outils de production normative » qui
fait partie des grands projets numériques de l’Etat (suivi à ce titre par la direction interministérielle du numérique
au titre de l’article 3 du décret no 2019-1088), et dont le périmètre d’action couvre l’ensemble de la chaîne de
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 120
production, de consolidation et de diffusion du droit, du rédacteur ministériel du projet de texte normatif jusqu’à
l’agent qui assure la mise ligne du JOEA et la mise à disposition de la version consolidée du texte sur Légifrance.
Il assure l’interface entre le SGG, sponsor du projet et responsable fonctionnel de la chaîne régalienne, et
la DILA, qui finance le projet, en assure la maîtrise d’œuvre et est chargée de l’assistance aux usagers.
Le titulaire devra :
– identifier et mettre en œuvre les solutions techniques, fonctionnelles, organisationnelles et juridiques
nécessaires à la réussite du programme ;
– poursuivre les développements et le déploiement de l’outil EDILE et en assurer l’intégration au sein de
l’application SOLON ;
– mettre en place la remontée de données structurées, de la production des textes normatifs à leur publication
au JOEA puis à leur diffusion sur Légifrance ;
– accroître la qualité et la quantité des données diffusées ;
– piloter les moyens (ETP et budget) affectés au programme et proposer les arbitrages nécessaires aux instances
de gouvernance ;
– coordonner les travaux des acteurs internes (SGG et DILA) et externes ;
– conduire les échanges avec les partenaires ministériels et institutionnels ;
– piloter les marchés et prestaires impliqués, en lien avec la sous-direction des systèmes d’information de
la DILA ;
– piloter le chantier d’accompagnement des utilisateurs au changement ;
– préparer et animer les instances de gouvernance, dont le comité stratégique présidé par la secrétaire général du
Gouvernement, en établir les comptes-rendus pour validation par les participants et diffusion ;
– prendre les décisions de niveau opérationnel.
La durée prévisionnelle du projet est de trois ans.
Profil recherché
L’emploi offert s’adresse à un fonctionnaire A+ ayant une forte expérience de conduite de projet et disposant
d’une très bonne connaissance juridique et de la production normative.
Il devra par ailleurs maîtriser la réglementation des marchés publics, les méthodes de développement, de maîtrise
des risques et avoir un intérêt fort pour les systèmes d’information. Il devra disposer de compétences relationnelles
pour coordonner les différents acteurs internes/externes, savoir travailler en réseau et rendre compte.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 3 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat. La durée d’occupation de cet emploi est de trois ans, renouvelable dans la
limite de six ans. En application de l’article 13 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné, la période probatoire
est fixée à six mois.
Cet emploi est classé dans le 3e niveau des emplois d’encadrement supérieur de l’Etat, au sens du décret
no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération
applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat et de l’arrêté du 23 novembre 2022
relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux
conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction
publique de l’Etat.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute, comprise entre 40 915 € et 82 845 €, et une part indemnitaire brute, dépendante des fonctions, des
sujétions et de l’expertise de l’emploi et dont le maximum réglementaire est de 77 000 €.
Un complément indemnitaire annuel sera également versé sous réserve de la manière de servir au cours de
l’année N – 1 et des résultats de l’exercice ministériel d’harmonisation.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire sont classées à un échelon correspondant à l’un des
échelons d’un des grades du corps des administrateurs de l’Etat, en fonction de la durée et du niveau de leurs
expériences professionnelles antérieures. Les conditions d’avancement d’échelon leur sont applicables.
Procédure de recrutement
L’autorité de recrutement est le directeur des services administratifs et financiers du Premier ministre (DSAF).
L’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est la directrice de l’information légale et administrative (DILA).
Pour les agents publics, les lettres de candidatures sont accompagnées d’un curriculum vitae et d’un état des
services.
Pour les agents relevant du secteur privé, les lettres de candidatures sont accompagnées d’un curriculum vitae et
des documents attestant de l’occupation effective des fonctions mentionnées dans le curriculum vitae, d’un niveau
comparable à celles dévolues aux fonctionnaires des corps d’encadrement supérieur, et qualifiantes pour
l’occupation de l’emploi postulé.
Information
Les candidats présélectionnés par l’autorité dont relève l’emploi sont informés par l’autorité de recrutement de la
composition nominative de l’instance collégiale, préalablement à leur audition.
Les candidats non retenus en sont informés à l’issue de la procédure par l’autorité de recrutement
Déontologie
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années, un contrôle
de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par
l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent
déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de
l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.
Formation
(conditions de formation)
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module relatif aux obligations des agents en
matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des
ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de direction de l’Etat.
Décret no 2021-1550 du 1er décembre 2021 modifié portant statut particulier du corps des administrateurs de
l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 96 sur 120
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 28 janvier 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au sein des services du
Premier ministre.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 120
Avis et communications
PREMIER MINISTRE
Est vacant un emploi de chef de service à l’administration centrale du ministère de l’économie, des finances et de
la souveraineté industrielle et numérique.
Cet emploi est affecté à la direction générale des finances publiques.
Le titulaire ou la titulaire de l’emploi aura la charge du service des gestions publiques locales, des activités
bancaires et économiques.
Localisation géographique : 139, rue de Bercy,75012 Paris.
Date prévisible de vacance de l’emploi : 12 juin 2024.
Description du poste
Le service des gestions publiques locales, des activités bancaires et économiques (GPLABE) assure l’expertise
juridique et comptable ainsi que le conseil fiscal et financier et la maîtrise d’ouvrage informatique du secteur public
local auprès des collectivités territoriales, des établissements publics hospitaliers et autres organismes publics
locaux.
Il assure la gestion des activités bancaires et moyens de paiement de la direction générale, l’accompagnement
des entreprises en difficulté et le pilotage de la gestion interne de crise (continuité d’activité).
Il assure, au titre du secteur public local et en lien avec le service de la fonction financière et comptable de l’Etat,
les missions de contrôle interne et de maîtrise des risques comptables.
Il comprend deux sous-directions, et deux missions directement rattachées au Chef de service :
– la sous-direction « réglementation, comptabilités locales et hospitalières et activités bancaires » ;
– la sous-direction du conseil fiscal, financier et économique ;
– une mission « donnée et numérisation des échanges » directement rattachée au chef de service ;
– une mission « responsabilité, doctrine et contrôle interne comptables » conjointement rattachée au service de
la fonction financière et comptable de l’Etat ;
La sous-direction « réglementation, comptabilités locales et hospitalières et activités bancaires » élabore la
réglementation relative aux contrôles des comptables publics en matière de dépenses et de recettes, ainsi que la
réglementation budgétaire et comptable applicable aux organismes publics locaux et établissements publics de
santé. Elle assure le suivi du contentieux des affaires dont elle a la charge. Elle est chargée de l’élaboration et de la
mise en œuvre de la réglementation applicable à l’exécution de la commande publique par les comptables de
l’ensemble des organismes publics.
Elle établit la réglementation relative à l’obligation de dépôt des fonds au Trésor, aux placements et à la dette du
secteur public local et assure la gestion du dispositif de soutien aux collectivités territoriales. Elle est responsable
de la mise en œuvre de la convention partenariale de la tenue du compte unique du Trésor avec la Banque de
France.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 120
Elle assure la maîtrise d’ouvrage des applications du secteur bancaire et est prestataire de services auprès de la
Caisse des dépôts et consignations pour l’animation et le pilotage du réseau des préposés de la Caisse, qui sont en
charge de la tenue des comptes bancaires et de la gestion des consignations de la clientèle de la Caisse.
Elle est composée d’une mission et de deux bureaux :
– la mission activités bancaires et moyens de paiement (MAB) ;
– le bureau des affaires juridiques et institutions locales et hospitalières ;
– le bureau des comptabilités locales et hospitalières.
La sous-direction du conseil fiscal, financier et économique apporte un soutien et une expertise fiscale,
financière, et économique au secteur public local. Elle détermine les bases agrégées de la fiscalité directe locale et
calcule les compensations aux collectivités territoriales. Elle assure la gestion des avances mensuelles aux
collectivités territoriales et organismes publics locaux sur le produit de la fiscalité directe locale collecté par l’Etat.
Elle est chargée du pilotage et de l’animation des services déconcentrés en charge de l’expertise et de l’action
économique et financière, notamment en matière de détection préventive et de traitement des entreprises en
difficulté. Elle participe au pilotage et à l’animation du conseil aux décideurs publics et contribue à la mise en place
des conseils aux décideurs locaux. Enfin, elle participe à la définition de la stratégie d’évolution et à la mise en
œuvre du système d’information du secteur public local et de santé en coordonnant les besoins métier et en assurant
la maîtrise d’ouvrage des applications.
Elle est composée d’une mission et de deux bureaux :
– la mission conseil et continuité économique ;
– le bureau de la gestion et valorisation financière et fiscale locales et hospitalières ;
– le bureau maîtrise d’ouvrage de la gestion financière locale et hospitalière.
Profil recherché
Le ou la titulaire de l’emploi devra correspondre au profil suivant :
– expertise dans le secteur public local (connaissances comptables, budgétaires et fiscales relatives aux
collectivités locales et aux établissements hospitaliers) ;
– qualités relationnelles et qualités de négociation avec des partenaires très divers au sein de l’administration,
des institutions (Banque de France, Caisse des dépôts), du monde économique et des collectivités locales. Une
forte appétence pour la transversalité et les relations partenariales est attendue ;
– qualités managériales et d’animation, capacité à conduire le changement notamment en matière de projets
impliquant l’usage et la valorisation des données et les outils informatiques ;
– esprit de synthèse et de décision.
Une expérience minimale de six ans d’activités professionnelles diversifiées en tant que cadre supérieur est
requise.
Conditions d’emploi
Cet emploi est à pourvoir dans les conditions prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié
relatif aux emplois de direction de l’Etat.
La durée d’occupation est de trois ans, renouvelable une fois. La période probatoire est fixée à six mois.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part
indiciaire brute ainsi qu’une part indemnitaire brute dépendante des fonctions, des sujétions et de l’expertise de
l’emploi. Elle est complétée par un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la manière de
servir.
Si le titulaire ou la titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, la part indiciaire brute est établie au regard de son
classement dans la grille indiciaire applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat (décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat). Pour les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire, le
classement est fait au regard de la durée et du niveau des expériences professionnelles antérieures en rapport avec
l’emploi à pourvoir.
Procédure de recrutement
L’autorité de recrutement est le secrétariat général des ministères économiques et financiers.
L’emploi à pourvoir relève de l’autorité de la directrice générale des finances publiques.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’une lettre de motivation et d’un curriculum vitae, doivent être transmises
dans un délai de trente jours à compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République
française. Elles peuvent être complétées du nom et des coordonnées de personnes pouvant se porter référentes du
candidat ou de la candidate.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 97 sur 120
La lettre de motivation devra comporter les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le
parcours professionnel du candidat ou de la candidate, les compétences et le niveau d’expérience attendus pour le
poste.
Les candidatures sont transmises par courriel à l’adresse suivante : [email protected]
exclusivement.
Pour les agents publics, les candidatures sont accompagnées :
– d’un état des services établi par le service RH du corps d’origine ;
– du dernier arrêté de situation administrative dans le corps d’origine et dans l’emploi occupé, le cas échéant.
Les administrateurs de l’Etat gérés par les ministères économiques et financiers n’ont pas besoin de transmettre
ces documents.
Pour les agents relevant du secteur privé, les candidatures sont accompagnées d’une copie d’une pièce d’identité,
des trois derniers bulletins de salaire et de documents attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés
dans le curriculum vitae.
Toute candidature ne respectant pas ces exigences ne sera pas examinée.
Recevabilité et examen des candidatures :
Le secrétariat général des ministères économiques et financiers étudie la recevabilité des candidatures et les
examine, en lien avec les services de la direction générale des finances publiques. Il établit une liste des candidates
et candidats présélectionnés pour l’audition.
Audition des candidats :
En application de l’article 23 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de
l’Etat, les candidates et candidats présélectionnés sont auditionnés par un comité présidé par la secrétaire générale
des ministères économiques et financiers ou par son représentant.
Outre son président, le comité comprend :
– la directrice générale des finances publiques ;
– une personne occupant des fonctions la qualifiant particulièrement en raison de ses compétences dans le
domaine des ressources humaines, dont la liste est fixée par arrêté du Premier ministre et du ministre chargé de
la fonction publique ;
– une personne extérieure à l’administration de l’emploi.
Le ministre peut, en outre, désigner une autre personne travaillant au sein de l’administration dont relève
l’emploi.
Information des candidats non retenus :
Les candidats non retenus pour occuper l’emploi à pourvoir sont informés par le service des ressources
humaines.
Formation
Les personnes nommées pour la première fois dans un emploi de chef de service suivront, dans les six mois à
compter de leur prise de fonction, le séminaire des nouveaux chefs de service. Ce séminaire interministériel de
management combine notamment des apports théoriques, des témoignages de cadres dirigeants et des travaux de
groupes.
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module relatif aux obligations des agents en
matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des
ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
Le candidat ou la candidate retenu devra, préalablement à sa nomination, renseigner et renvoyer un formulaire
de déclaration d’intérêts conformément à l’article L. 122-2 du code général de la fonction publique et au décret
no 2016-1967 du 28 décembre 2016 modifié relatif à l’obligation de transmission d’une déclaration d’intérêts.
Il ou elle devra également, dans les deux mois suivant sa nomination, adresser une déclaration de situation
patrimoniale au président de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique conformément à
l’article L. 122-10 du code général de la fonction publique et au décret no 2016-1968 du 28 décembre 2016 modifié
relatif à l’obligation de transmission d’une déclaration de situation patrimoniale.
Toutefois, pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années
qui précédent, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué
préalablement à la nomination par l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement
à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en
application de l’article L. 124-7 du code général de la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 modifié relatif aux emplois de directions de l’Etat.
Décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de
rémunération applicables à certains emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Décret no 2022-1454 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions relatives à l’échelonnement indiciaire
applicable à l’encadrement supérieur de l’Etat.
Décret no 2022-1455 du 23 novembre 2022 portant diverses dispositions applicables à certains emplois
supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 2 janvier 2020 fixant les modalités de recrutement de certains emplois de direction de l’Etat relevant
des ministères économiques et financiers prévues par le décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 pris pour l’application à certains emplois supérieurs de la fonction publique de
l’Etat des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
Arrêté du 23 novembre 2022 relatif à la répartition par niveaux des emplois relevant du décret no 2022-1453
du 23 novembre 2022 relatif aux conditions de classement, d’avancement et de rémunération applicables à certains
emplois supérieurs de la fonction publique de l’Etat.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 120
Avis et communications
Avis de vacance d’un emploi de directeur régional adjoint de l’économie, de l’emploi, du travail et
des solidarités de Nouvelle-Aquitaine, chargé des fonctions de responsable du pôle
« concurrence, consommation, répression des fraudes et métrologie »
NOR : ECOH2415705V
services déconcentrés communs aux ministres chargés de l’économie et des finances, du travail et de l’emploi et de
la cohésion sociale.
La DREETS est placée sous l’autorité du préfet de région et, pour les missions relatives au système d’inspection
du travail, sous celle du directeur général du travail. Pour ces mêmes missions, le directeur régional dispose de
l’autorité hiérarchique sur les directions départementales de l’économie, du travail et des solidarités (DDETS) et
les directions départementales de l’économie, du travail, des solidarités et de la protection des populations
(DDETSPP) de la région, en application des articles R. 8122-1 et suivants du code du travail.
Elle assure le pilotage, l’animation et la coordination régionale des politiques publiques qui lui sont confiées.
La DREETS est chargée :
– de la politique du travail et des actions d’inspection de la législation du travail ;
– des actions de contrôle du bon fonctionnement des marchés et des relations commerciales entre entreprises, de
protection économique des consommateurs et de sécurité des consommateurs ainsi que des actions de contrôle
dans le domaine de la métrologie légale ;
– des actions de mise en œuvre de la politique économique et sociale, dans les domaines de l’emploi, du
développement des entreprises et notamment dans l’innovation et de la compétitivité de l’industrie, du marché
du travail, de la formation professionnelle continue, de l’apprentissage, des mutations économiques, ainsi que
celles conduites dans les domaines de l’intelligence économique et de la sécurité économique ;
– du pilotage et de la coordination des politiques sociales et de leur mise en œuvre, notamment les actions visant
à mobiliser et coordonner les acteurs de l’insertion sociale et professionnelle et du monde économique au
profit des personnes les plus éloignées du marché du travail, la prévention et la lutte contre les exclusions, la
protection des personnes les plus vulnérables et notamment des étrangers primo-arrivants, l’accès à
l’hébergement et au logement des personnes en situation d’exclusion, la promotion de l’accès à l’autonomie et
à l’intégration sociale des personnes handicapées, le volet économique et social de la politique de la ville, la
prévention et la lutte contre les discriminations, la promotion de l’égalité des chances, la formation et la
certification dans le domaine des professions sociales, et des professions de santé non médicales ;
– de l’expertise et de l’appui technique aux préfets de département, notamment en matière de contrôle et
d’inspection des établissements et services sociaux ;
– de l’observation, l’analyse, l’évaluation des politiques publiques dans ses champs de compétences, au moyen
de statistiques et d’études permettant d’éclairer la situation économique et sociale de la région.
Outre leurs liens avec les différents services déconcentrés de l’Etat et les opérateurs, elles sont appelées à
travailler avec de nombreux acteurs sur le terrain.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 120
Environnement professionnel
En Nouvelle-Aquitaine, ces missions sont réparties entre quatre pôles :
– pôle « politiques du travail » ;
– pôle « concurrence, consommation, répression des fraudes et métrologie » ;
– pôle « économie, entreprises, emploi, et compétences » ;
– pôle « cohésion sociale ».
En outre, une bonne connaissance des politiques publiques à mettre en œuvre est souhaitable.
Ce poste requiert une réelle disponibilité.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La durée d’occupation de cet emploi est de quatre ans, renouvelable une fois dans la limite de six ans. En
application de l’article 13 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné, la période probatoire est fixée à quatre
mois.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
comprise entre 89 750 € et 109 000 € brut par an. Un complément indemnitaire annuel sera également versé sous
réserve de la manière de servir au cours de l’année N – 1 et des résultats de l’exercice ministériel d’harmonisation,
sans préjudice des dispositions de l’article 14-I du décret susmentionné du 31 décembre 2019. Ces informations
sont données à titre indicatif, sous réserve des dispositions nouvelles liées à la réforme de la haute fonction
publique.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, des trois derniers bulletins de salaire, d’une lettre de
motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours professionnel, les
compétences et le niveau d’expérience du candidat, doivent être adressées, dans un délai de trente jours à compter
de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, sous couvert de la voie
hiérarchique au secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales, uniquement et impérativement, par
voie électronique à l’adresse suivante : [email protected].
Pour les fonctionnaires, les candidatures sont accompagnées d’un état des services ; pour les cadres n’ayant pas
la qualité de fonctionnaire, les candidatures sont accompagnées de documents attestant de l’occupation effective
des emplois mentionnés dans le curriculum vitae et permettant d’apprécier le niveau de responsabilité des emplois
précédemment occupés. Ils doivent être en capacité de justifier d’au moins six années d’activités professionnelles
diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions supérieures de direction, d’encadrement ou
d’expertise.
Recevabilité des candidatures :
Le pôle travail et solidarités du secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales procède à
l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’examen préalable et la présélection des candidatures sont confiés à une instance collégiale au sein de laquelle
siègent les directions d’administration centrale concernées des ministères chargés de l’économie et des finances, du
travail et de l’emploi et de la cohésion sociale. L’avis du préfet de région est recueilli avant toute nomination.
Formation :
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
Conformément aux articles L. 122-2 à L. 122-18 du code général de la fonction publique, l’accès à cet emploi est
soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination et à une déclaration de situation
patrimoniale à déposer auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (https://www.hatvp.
fr/consulter-les-declarations/).
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : https://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis
le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de
l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 98 sur 120
Personne à contacter
Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Jean-Guillaume BRETENOUX, directeur régional de la DREETS, courriel : jean-guillame.bretenoux@
dreets.gouv.fr.
La DREETS regroupant des services déconcentrés communs à plusieurs ministères, cet avis de vacance est
également publié dans le présent Journal officiel de la République française sous le timbre du ministère du travail,
de la santé et des solidarités.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 120
Avis et communications
L’emploi fonctionnel de directeur régional délégué de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités
(DREETS) de Bretagne est susceptible d’être prochainement vacant.
Il s’agit d’un emploi de direction de l’administration territoriale de l’Etat (DATE), relevant des dispositions du
décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat. Il est classé en groupe II.
La résidence administrative de l’emploi à pourvoir est fixé au siège de la DREETS situé à Cesson Sevigné (35).
services déconcentrés communs aux ministres chargés de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, du travail, du plein emploi et de l’insertion et des solidarités, de l’autonomie et des personnes
handicapées.
La DREETS est placée sous l’autorité du préfet de région et, pour les missions relatives au système d’inspection
du travail, sous celle du directeur général du travail.
La DREETS est chargée :
– de la politique du travail et des actions d’inspection de la législation du travail ;
– des actions de contrôle du bon fonctionnement des marchés et des relations commerciales entre entreprises, de
protection économique des consommateurs et de sécurité des consommateurs ainsi que des actions de contrôle
dans le domaine de la métrologie légale ;
– des actions de mise en œuvre de la politique économique et sociale, dans les domaines de l’emploi, du
développement des entreprises et notamment dans l’innovation et de la compétitivité de l’industrie, du marché
du travail, de la formation professionnelle continue, de l’apprentissage, des mutations économiques, ainsi que
celles conduites dans les domaines de l’intelligence économique et de la sécurité économique ;
– du pilotage et de la coordination des politiques sociales et de leur mise en œuvre, notamment les actions visant
à mobiliser et coordonner les acteurs de l’insertion sociale et professionnelle et du monde économique au
profit des personnes les plus éloignées du marché du travail, la prévention et la lutte contre les exclusions, la
protection des personnes les plus vulnérables et notamment des étrangers primo-arrivants, l’accès à
l’hébergement et au logement des personnes en situation d’exclusion, la promotion de l’accès à l’autonomie et
à l’intégration sociale des personnes handicapées, le volet économique et social de la politique de la ville, la
prévention et la lutte contre les discriminations, la promotion de l’égalité des chances, la formation et la
certification dans le domaine des professions sociales, et des professions de santé non médicales.
Grâce à l’observation, l’analyse et l’évaluation des politiques publiques susmentionnées qu’elle conduit,
la DREETS apporte des éléments tant au préfet de région qu’aux préfets de département pour éclairer la situation
économique et sociale de la région, outre un appui grâce à son expertise métier.
Au-delà de ses liens avec les différents services déconcentrés de l’Etat et les opérateurs, la direction régionale est
appelée à travailler avec de nombreux acteurs sur le terrain.
Environnement professionnel
La direction régionale des entreprises, de l’emploi, du travail et des solidarités assure le pilotage, l’animation et
la coordination régionale des politiques publiques qui lui sont confiées.
Ces missions sont réparties entre quatre pôles :
– pôle « politique du travail » ;
– pôle « concurrence, consommation, répression des fraudes et métrologie » ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 120
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné et par l’arrêté du 29 mars 2021 fixant les modalités de recrutement pour les
emplois de direction des directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités, de la
direction régionale et interdépartementale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités d'Ile-de-France et
des directions de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités, en outre-mer.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, des trois derniers bulletins de salaire, d’une lettre de
motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours professionnel, les
compétences et le niveau d’expérience du candidat, doivent être adressées, dans un délai de trente jours à compter
de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, sous couvert de la voie
hiérarchique, au secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales, uniquement et impérativement, par
voie électronique à l’adresse suivante : [email protected].
Pour les fonctionnaires, les candidatures sont accompagnées d’un état des services. Pour les cadres n’ayant pas
la qualité de fonctionnaire, les candidatures sont accompagnées de contrats de travail, ainsi que de documents
attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae et permettant d’apprécier le
niveau de responsabilité des emplois précédemment occupés. Ils doivent être en capacité de justifier d’au moins six
années d’activités professionnelles diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions
supérieures de direction, d’encadrement ou d’expertise.
Recevabilité des candidatures :
Le pôle travail et solidarités du secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales procède à
l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’examen préalable et la présélection des candidatures sont confiés à une instance collégiale au sein de laquelle
siègent les directions d’administration centrale concernées des ministères chargés de l’économie et des finances, du
travail et de l’emploi et de la cohésion sociale. L’avis du préfet de région est recueilli avant toute nomination.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
Conformément aux articles L. 122-2 à L. 122-18 du code général de la fonction publique, l’accès à cet emploi est
soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination et à une déclaration de situation
patrimoniale à déposer auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (https://www.hatvp.
fr/consulter-les-declarations/).
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : https://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf. Ce formulaire sera demandé par
l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 99 sur 120
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique.
Personne à contacter
Mme Véronique DESCACQ, directrice régionale de la DREETS ([email protected]).
La DREETS regroupant des services déconcentrés communs à plusieurs ministères, cet avis de vacance est
également publié dans le présent Journal officiel de la République française sous le timbre du ministère du travail,
de la santé et des solidarités.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 120
Avis et communications
Avis de vacance d’un emploi de directeur régional adjoint de l’économie, de l’emploi, du travail et
des solidarités de Nouvelle-Aquitaine, chargé des fonctions de responsable du pôle
« concurrence, consommation, répression des fraudes et métrologie »
NOR : TSSZ2415703V
Environnement professionnel
En Nouvelle Aquitaine, ces missions sont réparties entre quatre pôles :
– pôle « politiques du travail » ;
– pôle « concurrence, consommation, répression des fraudes et métrologie » ;
– pôle « économie, entreprises, emploi, et compétences » ;
– pôle « cohésion sociale ».
En outre, une bonne connaissance des politiques publiques à mettre en œuvre est souhaitable.
Ce poste requiert une réelle disponibilité.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné.
La durée d’occupation de cet emploi est de quatre ans, renouvelable une fois dans la limite de six ans. En
application de l’article 13 du décret du 31 décembre 2019 susmentionné, la période probatoire est fixée à quatre
mois.
La rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe
comprise entre 89 750 € et 109 000 € brut par an. Un complément indemnitaire annuel sera également versé sous
réserve de la manière de servir au cours de l’année N – 1 et des résultats de l’exercice ministériel d’harmonisation,
sans préjudice des dispositions de l’article 14, I du décret susmentionné du 31 décembre 2019. Ces informations
sont données à titre indicatif, sous réserve des dispositions nouvelles liées à la réforme de la haute fonction
publique.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, des trois derniers bulletins de salaire, d’une lettre de
motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours professionnel, les
compétences et le niveau d’expérience du candidat, doivent être adressées, dans un délai de trente jours à compter
de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, sous couvert de la voie
hiérarchique au secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales, uniquement et impérativement, par
voie électronique à l’adresse suivante : [email protected].
Pour les fonctionnaires, les candidatures sont accompagnées d’un état des services ; pour les cadres n’ayant pas
la qualité de fonctionnaire, les candidatures sont accompagnées de documents attestant de l’occupation effective
des emplois mentionnés dans le curriculum vitae et permettant d’apprécier le niveau de responsabilité des emplois
précédemment occupés. Ils doivent être en capacité de justifier d’au moins six années d’activités professionnelles
diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions supérieures de direction, d’encadrement ou
d’expertise.
Recevabilité des candidatures :
Le pôle travail et solidarités du secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales procède à
l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’examen préalable et la présélection des candidatures sont confiés à une instance collégiale au sein de laquelle
siègent les directions d’administration centrale concernées des ministères chargés de l’économie et des finances, du
travail et de l’emploi et de la cohésion sociale. L’avis du préfet de région est recueilli avant toute nomination.
Formation :
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
Conformément aux articles L. 122-2 à L. 122-18 du code général de la fonction publique, l’accès à cet emploi est
soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination et à une déclaration de situation
patrimoniale à déposer auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (https://www.hatvp.
fr/consulter-les-declarations/).
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : http://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf.
Ce formulaire sera demandé par l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis
le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application de
l’article L. 124-4 du code général de la fonction publique.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 100 sur 120
Personne à contacter
Tous renseignements complémentaires peuvent être obtenus auprès de :
M. Jean-Guillaume BRETENOUX, directeur régional de la DREETS, courriel : jean-guillame.bretenoux@
dreets.gouv.fr.
La DREETS regroupant des services déconcentrés communs à plusieurs ministères, cet avis de vacance est
également publié dans le présent Journal officiel de la République française sous le timbre du ministère de
l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 120
Avis et communications
L’emploi fonctionnel de directeur régional délégué de l’économie, de l’emploi, du travail et des solidarités
(DREETS) de Bretagne est susceptible d’être prochainement vacant.
Il s’agit d’un emploi de direction de l’administration territoriale de l’Etat (DATE), relevant des dispositions du
décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat. Il est classé en groupe II.
La résidence administrative de l’emploi à pourvoir est fixé au siège de la DREETS situé à Cesson Sevigné (35).
services déconcentrés communs aux ministres chargés de l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle
et numérique, du travail, du plein emploi et de l’insertion et des solidarités, de l’autonomie et des personnes
handicapées.
La DREETS est placée sous l’autorité du préfet de région et, pour les missions relatives au système d’inspection
du travail, sous celle du directeur général du travail.
La DREETS est chargée :
– de la politique du travail et des actions d’inspection de la législation du travail ;
– des actions de contrôle du bon fonctionnement des marchés et des relations commerciales entre entreprises, de
protection économique des consommateurs et de sécurité des consommateurs ainsi que des actions de contrôle
dans le domaine de la métrologie légale ;
– des actions de mise en œuvre de la politique économique et sociale, dans les domaines de l’emploi, du
développement des entreprises et notamment dans l’innovation et de la compétitivité de l’industrie, du marché
du travail, de la formation professionnelle continue, de l’apprentissage, des mutations économiques, ainsi que
celles conduites dans les domaines de l’intelligence économique et de la sécurité économique ;
– du pilotage et de la coordination des politiques sociales et de leur mise en œuvre, notamment les actions visant
à mobiliser et coordonner les acteurs de l’insertion sociale et professionnelle et du monde économique au
profit des personnes les plus éloignées du marché du travail, la prévention et la lutte contre les exclusions, la
protection des personnes les plus vulnérables et notamment des étrangers primo-arrivants, l’accès à
l’hébergement et au logement des personnes en situation d’exclusion, la promotion de l’accès à l’autonomie et
à l’intégration sociale des personnes handicapées, le volet économique et social de la politique de la ville, la
prévention et la lutte contre les discriminations, la promotion de l’égalité des chances, la formation et la
certification dans le domaine des professions sociales, et des professions de santé non médicales.
Grâce à l’observation, l’analyse et l’évaluation des politiques publiques susmentionnées qu’elle conduit,
la DREETS apporte des éléments tant au préfet de région qu’aux préfets de département pour éclairer la situation
économique et sociale de la région, outre un appui grâce à son expertise métier.
Au-delà de ses liens avec les différents services déconcentrés de l’Etat et les opérateurs, la direction régionale est
appelée à travailler avec de nombreux acteurs sur le terrain.
Environnement professionnel
La direction régionale des entreprises, de l’emploi, du travail et des solidarités assure le pilotage, l’animation et
la coordination régionale des politiques publiques qui lui sont confiées.
Ces missions sont réparties entre quatre pôles :
– pôle « politique du travail » ;
– pôle « concurrence, consommation, répression des fraudes et métrologie » ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 120
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret
du 31 décembre 2019 susmentionné et par l’arrêté du 29 mars 2021 fixant les modalités de recrutement pour les
emplois de direction des directions régionales de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités, de la
direction régionale et interdépartementale de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités d'Ile-de-France et
des directions de l'économie, de l'emploi, du travail et des solidarités, en outre-mer.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae, des trois derniers bulletins de salaire, d’une lettre de
motivation comportant les éléments permettant d’apprécier la bonne adéquation entre le parcours professionnel, les
compétences et le niveau d’expérience du candidat, doivent être adressées, dans un délai de trente jours à compter
de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française, sous couvert de la voie
hiérarchique, au secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales, uniquement et impérativement, par
voie électronique à l’adresse suivante : [email protected].
Pour les fonctionnaires, les candidatures sont accompagnées d’un état des services. Pour les cadres n’ayant pas
la qualité de fonctionnaire, les candidatures sont accompagnées de contrats de travail, ainsi que de documents
attestant de l’occupation effective des emplois mentionnés dans le curriculum vitae et permettant d’apprécier le
niveau de responsabilité des emplois précédemment occupés. Ils doivent être en capacité de justifier d’au moins six
années d’activités professionnelles diversifiées les qualifiant particulièrement pour l’exercice de fonctions
supérieures de direction, d’encadrement ou d’expertise.
Recevabilité des candidatures :
Le pôle travail et solidarités du secrétariat général des ministères chargés des affaires sociales procède à
l’examen de la recevabilité des candidatures, en accuse réception et informe les candidats non éligibles.
Examen des candidatures :
L’examen préalable et la présélection des candidatures sont confiés à une instance collégiale au sein de laquelle
siègent les directions d’administration centrale concernées des ministères chargés de l’économie et des finances, du
travail et de l’emploi et de la cohésion sociale. L’avis du préfet de région est recueilli avant toute nomination.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module spécifique relatif aux obligations des
agents en matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion
des ressources humaines dans la fonction publique.
Déontologie
Conformément aux articles L. 122-2 à L. 122-18 du code général de la fonction publique, l’accès à cet emploi est
soumis au dépôt d’une déclaration d’intérêts préalablement à la nomination et à une déclaration de situation
patrimoniale à déposer auprès de la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (https://www.hatvp.
fr/consulter-les-declarations/).
Le formulaire de la déclaration d’intérêts prévue par la circulaire du 4 décembre 2018 relative à l’obligation de
transmission d’une déclaration d’intérêts dans la fonction publique de l’Etat peut être téléchargé à l’adresse
suivante : https://circulaires.legifrance.gouv.fr/pdf/2018/12/cir_44142.pdf. Ce formulaire sera demandé par
l’autorité de recrutement au candidat retenu préalablement à sa nomination.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années qui
précèdent la nomination sur cet emploi, un contrôle de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 101 sur 120
sera effectué préalablement à la nomination par l’autorité de recrutement qui pourra, le cas échéant, saisir pour
avis, préalablement à sa décision, le référent déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de
la vie publique.
Personne à contacter
Mme Véronique DESCACQ, directrice régionale de la DREETS ([email protected]).
La DREETS regroupant des services déconcentrés communs à plusieurs ministères, cet avis de vacance est
également publié dans le présent Journal officiel de la République française sous le timbre du ministère de
l’économie, des finances et de la souveraineté industrielle et numérique.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 120
Avis et communications
Un emploi de chef de service est susceptible d’être vacant à l’administration centrale du ministère de l’Europe et
des affaires étrangères (site du Quai d’Orsay). Cet emploi, dont le titulaire de l’emploi fonctionnel exerce les
fonctions de chef de service, est affecté comme directeur ou directrice des affaires politiques et de sécurité, au sein
direction générale des affaires politiques et de sécurité.
Description de la structure
La direction générale des affaires politiques et de sécurité définit et met en œuvre, dans ses domaines de
compétence, l’action de la France à l’égard des organisations internationales et des organisations intergouverne
mentales à vocation mondiale. Elle détermine la politique générale à l’égard de ces organisations et les conditions
d’allocation de contributions à celles-ci. Elle est en outre compétente pour les questions relatives au maintien et au
rétablissement de la paix, à la défense et à la sécurité, au désarmement, à l’encadrement et au contrôle des
exportations sensibles, aux droits de l’homme, aux affaires humanitaires et à la francophonie. Elle est chargée de
l’assistance et de la coopération structurelle avec les Etats étrangers dans le domaine de la coopération de défense
et de sécurité.
Le directeur général, assisté d’un directeur général adjoint, a autorité pour les questions de politique étrangère et
de sécurité commune et, en tant que de besoin, pour celles concernant les relations extérieures de la communauté.
S’agissant des directions géographiques, le directeur général et son adjoint coordonnent le traitement des sujets
politiques relevant de leur compétence.
Profil recherché
– connaissance approfondie du ministère de l’Europe et des affaires étrangères, de son organisation, du réseau
diplomatique et consulaire ;
– connaissance de l’organisation des autres ministères intervenant à l’étranger ;
– connaissance des conditions de l’exercice de fonctions d’encadrement en ambassade ;
– connaissance des contextes socio-économiques nationaux et internationaux ;
– capacité à prendre des décisions rapides dans des situations de crise et en urgence ;
– maîtrise des langues étrangères et en particulier de l’anglais ;
– grande disponibilité exigée.
Une expérience minimale de six ans d’activités professionnelles diversifiées en tant que cadre supérieur est
exigée, ainsi qu’une expérience significative d’encadrement. Une expérience confirmée dans le domaine de la
diplomatie est fortement souhaitée.
Poste soumis à habilitation Secret Défense (informations sur le site du SGDSN http://www.sgdsn.gouv.
fr/missions/proteger-le-secret-de-la-defense-et-de-la-securite-nationale).
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi sont fixées aux articles 11 à 16 du décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux
emplois de direction de l’Etat.
La durée d’occupation est de trois ans, renouvelable une fois. En application de l’article 13 du décret
susmentionné, la période probatoire est fixée à six mois.
La rémunération brute annuelle dépend de l’ancienneté et de l’expérience du titulaire de l’emploi. Les candidats
devront tenir à la disposition de la direction des ressources humaines du ministère de l’Europe et des Affaires
étrangères une fiche financière qui pourra être demandée pendant l’instruction du dossier.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 120
La rémunération comprend :
– une part indiciaire constituée :
– pour un administrateur de l’Etat : du traitement brut afférent au grade et à l’échelon détenu par l’agent dans
son corps au moment de sa nomination ;
– pour un agent titulaire appartenant à un autre corps : du traitement brut correspondant à l’échelon du
deuxième grade du corps des administrateurs de l’Etat comportant un indice brut égal ou, à défaut,
immédiatement supérieur à celui dont l’agent bénéficie dans son corps d’origine, ou, lorsque cela lui est
plus favorable, dans le dernier emploi occupé ;
– pour un agent contractuel, du traitement brut correspondant à l’un des échelons d’un des grades du corps
des administrateurs de l’Etat dans lequel cet agent est classé en fonction de la durée et du niveau de ses
expériences professionnelles antérieures. Ce traitement pourrait être compris entre 40 915 € et 81 481 €
annuels ;
– une part indemnitaire fixe : l’indemnité de fonctions, de sujétions et d’expertise attachée au poste de travail,
est fixée à 54 000 € bruts annuels.
Cette rémunération fixe peut être complétée par un complément indemnitaire variable dont le maximum est fixé
à 7 000 € brut annuel versé en une seule fois.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 10 du décret no 2019-1594
du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de direction de l’Etat susmentionné.
L’autorité de recrutement est le directeur général de l’administration et de la modernisation du ministère de
l’Europe et des affaires étrangères.
L’autorité dont relève l’emploi à pourvoir est le directeur général des affaires politiques et de sécurité.
Envoi des candidatures :
Les candidatures, accompagnées d’un curriculum vitae doivent être transmises dans un délai de quinze jours à
compter de la date de publication du présent avis au Journal officiel de la République française par courriel à
[email protected].
Les candidatures transmises via le site Choisir le service public ne seront pas prises en compte.
Recevabilité et examen des candidatures :
Après la vérification de la recevabilité des candidatures en fonction des conditions générales d’accès à la
fonction publique prévues aux articles L. 321-1, L. 321-2 et L. 321-3 du code général de la fonction publique et des
critères définis par la présente offre d’emploi, le directeur général de l’administration et de la modernisation fait
procéder à la présélection des candidats à auditionner.
Les candidats présélectionnés seront auditionnés par une instance collégiale dont la composition est fixée par un
arrêté du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères consultable sur Légifrance.
Information :
Les candidats non retenus en sont informés à l’issue de la procédure.
Déontologie
L’accès à cet emploi pourrait être soumis à une déclaration d’intérêts préalable à la prise de fonctions.
Pour les personnes ayant exercé une activité dans le secteur privé au cours des trois dernières années, un contrôle
de la compatibilité de cette activité avec les fonctions exercées sera effectué préalablement à la nomination par
l’autorité hiérarchique qui pourra, le cas échéant, saisir pour avis, préalablement à sa décision, le référent
déontologue du ministère ou la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique, en application des
articles L. 124-4 à L. 124-26 du code général de la fonction publique.
Formation
Les personnes n’ayant pas la qualité de fonctionnaire suivront un module relatif aux obligations des agents en
matière de déontologie, à l’organisation et au fonctionnement des services publics ainsi qu’à la gestion des
ressources humaines dans la fonction publique.
Références
Code général de la fonction publique.
Décret no 2019-1594 du 31 décembre 2019 relatif aux emplois de directions de l’Etat.
Article 5 du décret no 2022-1453 du 23 novembre 2022.
Décret no 2008-836 du 22 août 2008 fixant l’échelonnement indiciaire des corps et des emplois communs aux
administrations de l’Etat et de ses établissements publics ou afférent à plusieurs corps de fonctionnaires de l’Etat et
de ses établissements publics.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 102 sur 120
Arrêté du 29 juin 2016 pris pour l’application à certains emplois de responsabilités supérieures des dispositions
du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant compte des fonctions, des
sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de l’Etat.
Arrêté du 28 février 2020 fixant les modalités de recrutement des emplois de direction au ministère de l’Europe
et des affaires étrangères.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 120
Avis et communications
Un emploi de directeur est susceptible d’être vacant au centre de ressources, d’expertise et de performance
sportive (CREPS) Ile-de-France à compter du 1er septembre 2024. Il s’agit d’un emploi fonctionnel du groupe II
prévu par le décret no 2015-633 du 5 juin 2015 relatif aux emplois de direction des centres de ressources,
d’expertise et de performance sportive, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole nationale de voile
et des sports nautiques. Le titulaire ou la titulaire du poste exercera les fonctions de directeur ou de directrice
du CREPS Ile-de-France.
L’emploi s’exerce au 1, rue du Docteur-le-Savoureux, 92290 Châtenay-Malabry.
Description de la structure
Le CREPS Ile-de-France est un établissement public local de formation dans les domaines du sport, de la
jeunesse et de l’éducation populaire, placé sous la double tutelle du ministre chargé des sports et de la région Ile-
de-France. Il est régi par les articles L. 114-1 à L. 114-17 et R. 114-1 à R. 114-75 du code du sport. En tant
qu’établissement public à caractère administratif (article R. 112-1 du code du sport), il dispose de l’autonomie
juridique et financière.
Dans le cadre du projet Grand CREPS, cet établissement a bénéficié en 2023 et 2024 d’un important programme
de restructuration et de modernisation porté par la région Ile-de-France.
Il exerce au nom de l’Etat les missions suivantes :
– la formation et la préparation des sportifs figurant sur les listes ministérielles, en liaison avec les fédérations
sportives avec un accompagnement des athlètes à 360° ;
– la déclinaison territoriale de la stratégie de l’Agence nationale du sport sur le sport de haut niveau ;
– la participation au réseau national du sport de haut niveau et au réseau du grand INSEP ;
– la mise en œuvre des formations initiales et continues dans les domaines des activités physiques ou sportives,
et dans les domaines de la jeunesse et de l’éducation populaire, dans un objectif de renforcement de
l’employabilité du champ de la jeunesse et des sports.
Le CREPS développe son projet en adéquation avec la politique sportive de la région Ile-de-France. Celle-ci se
décline notamment à travers l’accompagnement de l’excellence sportive régionale dans le sport de haut-niveau, le
développement de projets fédéraux des ligues et comités régionaux et l’accompagnement des projets des sections
sportives d’excellence dans les lycées de la région.
Le CREPS met également en œuvre des offres de formation aux métiers du sport et de l’animation,
conformément aux besoins identifiés nationalement et par le schéma régional des formations.
Pour exercer ses missions, le CREPS est doté d’un budget annuel de plus de 11 M€ et dispose de près d’une
centaine d’agents de l’Etat dont 21 agents de la région.
Le poste bénéficie d’une concession de logement par nécessité absolue de service.
Le siège du CREPS est implanté à Châtenay-Malabry ; il développe également une activité au sein du stade
nautique olympique d’Île-de-France à Vaires-sur-Marne qui accueille les Pôles Espoirs Aviron et de Canoë-kayak
et un site à Pontault-Combault pour des formations aux métiers du sport. Le CREPS Ile-de-France est labellisé
Grand INSEP. Ce label constitue une marque de qualité, attribuée à des centres qui répondent aux exigences de la
performance de haut niveau. C’est une promesse faite aux sportifs et aux fédérations ainsi qu’un engagement
d’amélioration continue.
Trois missions principales sont dévolues au CREPS IDF au nom de l’Etat :
Le sport de haut niveau ; second lieu de pratique du sport de haut-niveau d’Ile-de-France après l’INSEP,
le CREPS IDF, grâce à des partenariats avec les fédérations sportives et les établissements scolaires environnants,
est à la pointe de la mise en œuvre du double projet des 240 sportifs inscrits dans les 18 Pôles et structures de haut
niveau pour l’année 2023-2024. L’intégration d’une annexe au lycée Mounier dans l’enceinte du CREPS à compter
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 120
de septembre 2023 vient compléter cette relation partenariale forte, et permettra d’accueillir de nouveaux espoirs
de médailles pour les JOP de Los Angeles.
Dans le champ du sport de haut niveau, il travaille en étroite collaboration avec l’Agence nationale du sport en
déclinant sur le territoire, par l’intermédiaire de la maison régionale de la performance, la stratégie « Ambition
Bleue ».
Les formations aux métiers du sport et de l’animation sont en constante évolution pour répondre aux attentes des
réalités de l’emploi dans le domaine du sport. Plus de 1 700 stagiaires (200 000 heures/stagiaires hors alternance)
sont accueillis par le CREPS et les partenaires du service public de formation et de l’insertion dans l’emploi.
Quelques axes de projets à poursuivre et à développer au sein du CREPS Ile-de-France dans une perspective de
renforcer l’attractivité de l’établissement et afin de répondre aux enjeux des politiques publiques qu’il porte :
– réalisation d’un projet d’innovation impliquant le déploiement de nouveaux services tant en direction des
fédérations, que des sportifs et des stagiaires de la formation professionnelle ;
– poursuite de plusieurs axes d’amélioration de l’accueil des usagers au sein des installations de
l’établissement : adaptation des espaces de récupération à la haute performance, optimisation des
hébergements en niveau 3 étoiles, exploitation des chambres hypoxiques pour la performance sportive et
les protocoles de recherche ;
– mise en œuvre de la mission de coordination des activités sportives au sein du stade nautique olympique d’Ile-
de-France de Vaires-sur-Marne en lien avec le mouvement sportif présent sur le site ;
– développement d’une antenne du lycée Mounier à destination des sportifs de haut niveau au sein du site de
Châtenay-Malabry en lien avec le rectorat ;
– pilotage de la relation partenariale avec le CDFAS d’Eaubonne et le CNSD.
Par ailleurs, la formation professionnelle et l’apprentissage connaissent aujourd’hui un fort essor. Le CFA
du CREPS contribue au dynamisme de cette activité du CREPS, en lien avec les politiques du conseil régional en
terme de formation.
Missions
Le directeur ou la directrice a en charge :
– la définition de la stratégie de l’établissement au regard, notamment, du contexte réglementaire et territorial et
en cohérence avec les politiques publiques du ministère des sports et des jeux Olympiques et Paralympiques et
la politique sportive régionale ;
– le pilotage de la transformation du Grand CREPS ;
– le déploiement des relations partenariales, de leurs évaluations dans le cadre d’une stratégie coordonnée entre
l’Etat, l’Agence nationale du sport et la région Ile-de-France (art. L. 114-16 II. et III. et R. 114-2) ;
– le pilotage de l’établissement (article R. 114-12 du code du sport), associant les tutelles et en cohérence avec
les orientations préalablement définies ;
– la préparation et la mise en œuvre des délibérations du conseil d’administration ;
– l’élaboration et l’exécution du budget de l’établissement, l’ordonnancement des dépenses et des recettes ;
– la gestion de l’établissement et de ces ressources humaines ;
– la gestion de la sécurité des biens et des personnes qui fréquentent l’établissement ;
– la protection de l’intégrité physique et mentale des sportifs et stagiaires accueillis ;
– l’animation, la gestion et le développement des ressources humaines ;
– l’accompagnement des sportifs de haut niveau vers la performance sportive ;
– la nouvelle organisation de l’établissement répondant à la déclinaison territoriale de l’Agence en matière de
haut niveau et de haute performance ;
– l’offre et l’organisation des sessions de formation à destination de publics diversifiés ;
– la définition des stratégies de coopération et de synergie et des modalités d’articulation avec les partenaires
territoriaux : les fédérations sportives et leurs organes déconcentrés, les collectivités territoriales, le CROS et
les CDOS, l’éducation nationale (rectorat), l’université, les associations de jeunesse et d’éducation populaire,
les acteurs de la formation, le secteur économique régional, les professionnels de santé ;
– l’animation, selon les axes stratégiques définis par l’Agence nationale du sport, des acteurs territoriaux du
sport de haut niveau et de la haute performance, dans une démarche de guichet unique ;
– la représentation de l’établissement dans les différentes instances et réseaux notamment au sein du collège de
l’Etat de la conférence régionale du sport.
Relations internes/externes
– direction des sports, Agence nationale du sport, INSEP, fédérations sportives nationales, services du SGMEN,
France compétences ;
– région Ile-de-France : élus, cabinet de la présidente et services (direction des sports, des loisirs et de la
citoyenneté, direction de la formation et de l’orientation, direction des ressources humaines, direction de la
communication) ;
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 120
– autres établissements du MSJOP (CREPS, écoles nationales et MNS) et du territoire (CDFAS, CNSD
et INSEP), services déconcentrés de l’Etat et notamment la DRAJES, universités, rectorat, établissements
scolaires ;
– collectivités territoriales ;
– organismes intéressés par l’activité du centre ;
– responsables sportifs et associatifs ;
– acteurs économiques partenaires du sport, de la jeunesse et de la santé ; AFDAS ;
– réseau des écoles de service public, école des cadres du sport.
Compétences requises
Savoirs :
– organisation du sport et de la formation professionnelle en France ;
– environnement institutionnel et administratif ;
– droit administratif général ;
– management, gestion des ressources humaines ;
– finances publiques et gestion budgétaire ;
– environnement professionnel dans les domaines des sports et de la jeunesse ;
– médias et techniques de communication ;
– règles relatives aux établissements recevant du public ;
– maitrise de l’anglais (écrit et oral).
Savoir-faire :
– diriger et animer une structure, un service ;
– piloter une équipe et manager des cadres en toute responsabilité ;
– assurer la gestion de proximité des RH et savoir rendre compte ;
– conduire des processus et des projets dans un environnement en mouvement ;
– déployer les projets de transformations écologique et environnementaux ;
– déléguer, contrôler et évaluer ;
– communiquer/travailler en réseau ;
– faciliter/négocier ;
– proposer/innover/transformer ;
– gérer les conflits ;
– gérer les situations de crise, d’urgence ou dangereuses.
Savoir-être :
– loyauté et sens du service public ;
– sens de la diplomatie/médiation ;
– sens des relations humaines ;
– sens de l’initiative ;
– esprit de synthèse ;
– réactivité ;
– disponibilité ;
– autonomie et sens des responsabilités ;
– maîtrise de soi/gestion du stress.
Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi et les modalités de recrutement sont fixées à l’article 9 du décret du 5 juin 2015
susmentionné. La nomination à l’emploi est prononcée pour une durée de cinq ans. Cette durée peut être prolongée
sans que la durée totale d’occupation d’un même emploi ne puisse excéder huit ans. Les fonctionnaires nommés
dans cet emploi sont placés en position de détachement de leur corps ou de leur cadre d’emploi d’origine.
L’emploi de direction du CREPS Ile-de-France dépend du groupe II fixé par un arrêté du 17 juillet 2015. La
rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe brute
annuelle comprise entre 39 697 € (indice brut 813) et 63 326 € (hors échelle A, 3e chevron) et une part variable
brute, dépendant des fonctions, des sujétions et de l’expertise dont le montant maximal annuel est fixé
réglementairement à 24 120 €.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 103 sur 120
A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, sa rémunération est établie au
regard de son classement dans sa grille indiciaire.
A cette rémunération fixe pourra être ajouté un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la
manière de servir. Celui-ci ne peut réglementairement excéder 8 040 €. Il est versé en une seule fois.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 13 du décret du 5 juin 2015
susmentionné et l’instruction du 16 novembre 2022 relative à la procédure de recrutement aux emplois de direction
des centres de ressources, d’expertise et de performance sportive, de l’école nationale des sports de montagne et de
l’école nationale de voile et des sports nautiques, publiée au Bulletin officiel de l’éducation nationale, de la jeunesse
et les sports no 46 du 8 décembre 2022 (NOR : SPOD2231001J).
L’autorité de recrutement est la directrice des sports et l’emploi à pourvoir relève de l’autorité de la directrice
des sports.
Une fiche de poste détaillée est mise en ligne sur le site choisir le service public.
Les dossiers de candidature, comprenant une lettre de motivation, un curriculum vitae, le premier arrêté de
titularisation dans un corps de fonctionnaire de la catégorie A et le dernier arrêté de promotion d’échelon dans le
corps d’origine ou dans un emploi fonctionnel, doivent être adressés exclusivement par courrier électronique et par
la voie hiérarchique dans un délai de trente jours après la parution de l’avis de vacance au Journal officiel de la
République française à :
Direction des sports, bureau des établissements du sport (DS 2A) : [email protected].
Et :
Direction de l’encadrement, bureau des administrateurs de l’Etat et des emplois fonctionnels (DE 1-2) :
[email protected].
Avec copie au pôle des politiques sportives, de santé, de solidarité et de sécurité (pôle PS4) de la région Ile-de-
France : [email protected].
Références
Code général de la fonction publique.
Code du sport, notamment les articles L. 114-1 à L. 114-17, R. 114-1 à R. 114-75 et R. 112-1.
Décret no 2015-633 du 5 juin 2015 relatif aux emplois de direction des centres de ressources, d’expertise et de
performance sportive, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole nationale de voile et des sports
nautiques.
Décret no 2015-632 du 5 juin 2015 fixant l’échelonnement indiciaire applicable aux emplois de direction des
centres de ressources, d’expertise et de performance sportives, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de
l’Ecole nationale de voile et des sports nautiques.
Arrêté du 17 juillet 2015 fixant la liste et le classement par groupe des emplois de direction des centres de
ressources, d’expertise et de performance sportives, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole
nationale de voile et des sports nautiques.
Arrêté du 17 juillet 2015 pris pour l’application aux emplois de direction des centres de ressources, d’expertise et
de performance sportives, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole nationale de voile et des sports
nautiques des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 120
Avis et communications
Un emploi de directeur est susceptible d’être vacant au CREPS Montpellier, à compter du 15 septembre 2024. Il
s’agit d’un emploi fonctionnel du groupe II prévu par le décret no 2015-633 du 5 juin 2015 relatif aux emplois de
direction des centres de ressources, d’expertise et de performance sportive, de l’Ecole nationale des sports de
montagne et de l’Ecole nationale de voile et des sports nautiques. Le titulaire ou la titulaire du poste exercera les
fonctions de directeur ou de directrice du CREPS Montpellier.
L’emploi s’exerce au 2, avenue Charles-Flahault, à Montpellier.
Description de la structure
Le CREPS Montpellier est un établissement public local de formation dans les domaines du sport, de la jeunesse
et de l’éducation populaire. Il est régi par les articles L. 114-1 à L. 114-17 et R. 114-1 à R. 114-75 du code du sport.
En tant qu’établissement public à caractère administratif (article R. 112-1 du code du sport), il dispose de
l’autonomie juridique et financière. Il est placé sous la double tutelle du ministre des sports et des jeux olympiques
et paralympiques et de la région Occitanie.
Le CREPS est composé de deux sites. Le premier, où réside administrativement le directeur est situé
au 2, avenue Charles-Flahault, à Montpellier. Le second correspond au Centre national d’entrainement en altitude
(CNEA) situé à Font-Romeu. Chaque site est dirigé par un directeur adjoint – responsable de site.
Il exerce au nom de l’Etat les missions suivantes :
– la formation et la préparation des sportifs figurant sur les listes ministérielles, en liaison avec les fédérations
sportives ;
– la déclinaison territoriale de la stratégie « Ambition Bleue » de l’Agence nationale du sport (« Agence ») sur
le sport de haut niveau, par l’intermédiaire de la maison régionale de la performance (MRP) ;
– la participation au réseau national du sport de haut niveau ;
– la mise en œuvre des formations initiales et continues dans les domaines des activités physiques ou sportives,
et dans les domaines de la jeunesse et de l’éducation populaire, conformément aux objectifs nationaux et en
lien avec le schéma régional des formations de la région.
Le CREPS développe son projet en adéquation avec la politique sportive régionale de la région Occitanie. Celle-
ci se décline notamment à travers l’accompagnement de l’excellence sportive régionale dans le sport de haut
niveau, le développement de projets fédéraux des ligues et comités régionaux et l’accompagnement des projets des
sections sportives d’excellence dans les lycées de la région.
Le CREPS met également en œuvre des offres de formation aux métiers du sport et de l’animation,
conformément aux besoins identifiés par le schéma régional des formations.
Pour exercer ses missions, le CREPS est doté d’un budget annuel de près de 12 M€ et dispose de 80 agents de
l’Etat et 33 agents de la région.
Le site de Montpellier est un espace ressource combinant formation professionnelle et sport de haut niveau, qui
organise sa dynamique de développement autour des orientations suivantes :
– former des éducateurs sportifs immédiatement employables sur un bassin territorial ;
– offrir aux fédérations sportives partenaires un accompagnement individualisé du projet sportif et scolaire des
sportifs avec une orientation écocitoyenneté ;
– développer une culture interne des personnels favorisant la mutualisation des compétences ;
– ouvrir le CREPS aux sollicitations des administrations publiques territoriales comme espace de formation de
personnel, de séminaire de cadres et de ressourcement.
En 2022, le CREPS de Montpellier a accompagné 257 sportives de haut niveau et formé 952 stagiaires dans le
cadre de formations diplômantes, soit 304 675 heures de formation.
15 juin 2024 JOURNAL OFFICIEL DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Texte 104 sur 120
Depuis 2021, il accueille la Maison régionale de la performance, en collaboration avec l’Agence nationale du
sport, pour l’accompagnement des sportifs du cercle de la haute performance.
Le CNEA est un contributeur majeur de performances olympiques et internationales depuis sa création en 1967
et une référence mondiale dans le domaine de l’entraînement en altitude, qui intervient sur 3 champs prioritaires :
– les projets de performance des fédérations sportives françaises ;
– l’accueil d’équipes sportives nationales et internationales, avec une spécificité sur le stress environnemental et
l’hypoxie ;
– un espace de formation et de recherche sur les thèmes liés au sport, à la santé et à la performance sportive.
En 2022, le CNEA a accompagné 145 sportifs de haut niveau dans le cadre des pôles permanents de
l’établissement et accueillis 23 232 journées de stages d’équipes sportives pour leur entraînement, soit 2 222 spor
tifs, dont 20 % de nationalités étrangères.
L’établissement est le centre de préparation aux jeux Olympiques et Paralympiques de Paris 2024.
Le poste bénéficie d’une concession de logement par nécessité absolue de service.
Missions
Le directeur ou la directrice a en charge :
– la définition de la stratégie de l’établissement au regard, notamment, du contexte réglementaire et territorial et
en cohérence avec les politiques publiques du ministre chargé des sports et la politique sportive régionale ;
– le déploiement des relations partenariales, de leurs évaluations dans le cadre d’une stratégie coordonnée entre
l’Etat, l’Agence et la région Occitanie (art. L. 114-16 II. et III. et R. 114-2) ;
– le pilotage de l’établissement (article R. 114.12 du code du sport), associant les tutelles et en cohérence avec
les orientations préalablement définies :
– la préparation et la mise en œuvre des délibérations du conseil d’administration ;
– l’élaboration et l’exécution du budget de l’établissement, l’ordonnancement des dépenses et des recettes ;
– la gestion de l’établissement et de ses ressources humaines ;
– la gestion de la sécurité des biens et des personnes qui fréquentent l’établissement ;
– la protection de l’intégrité physique et mentale des sportifs et stagiaires accueillis ;
– l’animation, la gestion et le développement des ressources humaines ;
– l’accompagnement des sportifs de haut niveau vers la performance sportive ;
– la nouvelle organisation de l’établissement répondant à la déclinaison territoriale de l’Agence en matière de
haut niveau et de haute performance ;
– l’offre et l’organisation des sessions de formation à destination de publics diversifiés ;
– la définition des stratégies de coopération et de synergie et des modalités d’articulation avec les partenaires
territoriaux : les fédérations sportives et leurs organes déconcentrés, les collectivités territoriales, le CROS
et les CDOS, l’éducation nationale (rectorat), l’université, les associations de jeunesse et d’éducation
populaire, les acteurs de la formation, le secteur économique régional, les professionnels de santé ;
– la représentation de l’établissement dans les différentes instances et réseaux notamment au sein du collège
de l’Etat de la conférence régionale du sport ;
– l’animation, selon les axes stratégiques définis par l’Agence, des acteurs territoriaux du sport de haut niveau
et de la haute performance, dans une démarche de guichet unique.
Relations internes/externes
– direction des sports, Agence, INSEP, fédérations sportives nationales, services du SGMEN ;
– région Occitanie : élus, cabinet de la présidente et services ;
– autres établissements (CREPS, écoles nationales et Musée national du sport), services déconcentrés de l’Etat
et notamment la DRAJES, universités, rectorat, établissements scolaires ;
– autres collectivités territoriales ;
– autres collectivités et organismes intéressés par l’activité du centre ;
– responsables sportifs et associatifs ;
– acteurs économiques partenaires du sport, de la jeunesse et de la santé ;
– réseau des écoles de service public.
Compétences requises
Savoirs :
– organisation du sport et de la formation professionnelle en France ;
– environnement institutionnel et administratif ;
– droit administratif général ;
– management, gestion des ressources humaines ;
– finances publiques et gestion budgétaire ;
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Conditions d’emploi
Les conditions d’emploi et les modalités de recrutement sont fixées à l’article 9 du décret du 5 juin 2015
susmentionné. La nomination à l’emploi est prononcée pour une durée de cinq ans. Cette durée peut être prolongée
sans que la durée totale d’occupation d’un même emploi ne puisse excéder huit ans. Les fonctionnaires nommés
dans cet emploi sont placés en position de détachement de leur corps ou de leur cadre d’emploi d’origine.
L’emploi de direction du CREPS Montpellier dépend du groupe II fixé par un arrêté du 17 juillet 2015. La
rémunération brute annuelle dépend de l’expérience du titulaire de l’emploi. Elle comprend une part fixe brute
annuelle comprise entre 4 243 € (indice brut 912) et 62 100 € (hors échelle B, 3e chevron) et une part variable brute,
dépendant des fonctions, des sujétions et de l’expertise dont le montant maximal annuel est fixé réglementairement
à 24 120 €.
A l’intérieur de cette fourchette, si le titulaire de l’emploi est un fonctionnaire, sa rémunération est établie au
regard de son classement dans sa grille indiciaire.
A cette rémunération fixe pourra être ajouté un complément indemnitaire annuel dont le montant dépend de la
manière de servir. Celui-ci ne peut réglementairement excéder 8 040 €. Il est versé en une seule fois.
Procédure de recrutement
La procédure de recrutement se déroule selon les modalités fixées par les articles 3 à 13 du décret du 5 juin 2015
susmentionné et l’instruction du 16 novembre 2022 relative à la procédure de recrutement aux emplois de direction
des centres de ressources, d’expertise et de performance sportive, de l’école nationale des sports de montagne et de
l’école nationale de voile et des sports nautiques, publiée au au Bulletin officiel de l’éducation nationale, de la
jeunesse et les sports no 46 du 8 décembre 2022 (NOR : SPOD2231001J).
L’autorité de recrutement est la directrice des sports et l’emploi à pourvoir relève de l’autorité de la directrice
des sports.
Une fiche de poste détaillée est mise en ligne sur le site choisir le service public.
Les dossiers de candidature, comprenant une lettre de motivation, un curriculum vitae, le premier arrêté de
titularisation dans un corps de fonctionnaire de la catégorie A et le dernier arrêté de promotion d’échelon dans le
corps d’origine ou dans un emploi fonctionnel, doivent être adressés exclusivement par courrier électronique et par
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la voie hiérarchique dans un délai de trente jours après la parution de l’avis de vacance au Journal officiel de la
République française à :
Direction des sports, bureau des établissements du sport (DS 2A) : [email protected] ;
et :
Direction de l’encadrement, bureau des administrateurs de l’Etat et des emplois fonctionnels (DE 1-2) :
[email protected].
Références
Code général de la fonction publique.
Code du sport, notamment les articles L. 114-1 à L. 114-17, R. 114-1 à R. 114-75 et R. 112-1.
Décret no 2015-633 du 5 juin 2015 relatif aux emplois de direction des centres de ressources, d’expertise et de
performance sportive, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole nationale de voile et des sports
nautiques.
Décret no 2015-632 du 5 juin 2015 fixant l’échelonnement indiciaire applicable aux emplois de direction des
centres de ressources, d’expertise et de performance sportives, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de
l’Ecole nationale de voile et des sports nautiques.
Arrêté du 17 juillet 2015 fixant la liste et le classement par groupe des emplois de direction des centres de
ressources, d’expertise et de performance sportives, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole
nationale de voile et des sports nautiques.
Arrêté du 17 juillet 2015 pris pour l’application aux emplois de direction des centres de ressources, d’expertise et
de performance sportives, de l’Ecole nationale des sports de montagne et de l’Ecole nationale de voile et des sports
nautiques des dispositions du décret no 2014-513 du 20 mai 2014 portant création d’un régime indemnitaire tenant
compte des fonctions, des sujétions, de l’expertise et de l’engagement professionnel dans la fonction publique de
l’Etat.
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Avis et communications
AVIS DIVERS
ANNONCES
Les annonces sont reçues à la direction de l’information légale et administrative
Demandes de changement de nom : téléprocédure sécurisée
Fiche pratique disponible sur https://psl.service-public.fr/mademarche/pub-changement-nom/demarche