Tolérances Dimensionnelles Dans La Construction: Schweizer Norm Norme Suisse Norma Svizzera Construction 501 414

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Schweizer Norm

Norme suisse
Norma svizzera

Construction 501 414

EINGETRAGENE NORM DER SCHWEIZERISCHEN NORMEN-VEREINIGUNG SNV NORME ENREGISTRÉE DE L’ASSOCIATION SUISSE DE NORMALISATION

Tolérances dimensionnelles
dans la construction
Termes techniques,
principes,
règles d'application

6/ 1980 Editeur :
Société suisse des ingénieurs et des architectes
Case postale. 8039 Zurich Tél. 01/ 201 15 70
Copyright © 1980 Zurich by S.I.A.
TABLE DES MATIÈRES

Page
0 Domaine d'application ......................... 3
0 1 Généralités............................................. 3
0 2 Objet et domaine d'application............... 3
1 Termes techniques............................... 4
2 Ecarts .................................................... 7
2 1 Origine des écarts .................................. 7
2 2 Nature des écarts................................... 7
2 3 Mesure des écarts.................................. 8
3 Tolérances ............................................ 11
3 1 Fixation des tolérances .......................... 11
3 2 Indication des tolérances dans les
documents de mise en soumission,
contrats et plans..................................... 11
4 Dispositions contractuelles
concernant les contrôles et la
réception ............................................... 12
4 1 Réception ............................................... 12
4 2 Contrôles................................................ 12
4 3 Tolérances et précision des mesures .... 12
4 4 Tolérances et conditions d'environne-
ment et de charge .................................. 12
Adoption et entrée en vigueur ........... 16

2
0 Domaine d'application

0 1 Généralités
Il est inévitable que les cotes effectives des ouvrages diffèrent légèrement de leurs cotes théoriques.
Si ces écarts, dus à l'imprécision de la fabrication, du montage et des procédés de mesure, dépassaient
certaines limites, ils pourraient avoir pour conséquences:
- une construction remplissant maI sa fonction, ou préjudiciable aux ouvrages contigus,
- une sécurité insuffisante,
- des difficultés d'assemblage,
- des défauts d'ordre esthétique.
C'est pourquoi il est nécessaire de définir des marges de tolérance, c'est-à-dire de délimiter les écarts
considérés comme techniquement et économiquement acceptables.
Ces marges de tolérance seront prises en compte dès l'étude du projet et observées lors de l'exécution.
0 2 Objet et domaine d'application
La présente norme a pour objet de définir les termes techniques et les critères relatifs à la précision géo-
métrique donnée aux constructions et à leurs éléments. Elle fournit aux architectes et aux ingénieurs
la terminologie, les principes et les règles d'application dont ils ont besoin dans l'exercice de leur
profession.
Elle ne contient pas de tolérances chiffrées, mais donne les règles générales servant à la détermination
des tolérances relevant des différents domaines techniques.
Elle ne traite que de la précision géométrique, à l'exclusion:
- des tolérances relatives à des propriétés techniques autres que les dimensions,
- des tolérances dans la technique des mesures,
- des tolérances dans les équipements et appareils relevant des règles de la construction mécanique.

3
1 Termes techniques (voir à ce propos la figure 1 )

1 1 Dimension
Mesure d'un corps matériel (ouvrage, éléments d'ouvrage) ou d'un vide, prise suivant une certaine
direction (p.ex. longueur, largeur, diamètre), ou développée (p.ex. circonférence d'un cercle).

1 2 Cote
Nombre exprimant la dimension dans une unité convenue.

1 3 Cote théorique
Cote inscrite dans les plans, et déterminant la dimension, la forme ou la position que doit avoir un corps
matériel ou un vide*.
* On emploie parfois, pour désigner de façon simplifiée un élément, l'expression de «cote nominale».
Cette dernière peut coïncider avec la cote théorique. mais est sans rapport avec les tolérances.

1 4 Cote de fabrication
Cote donnée en vue de la réalisation d'un élément, d'un ouvrage, d'une ouverture ou d'un espace; la
cote de fabrication comporte l'indication des deux écarts-limites.

1 5 Cote effective
Cote mesurée Sur l'ouvrage exécuté (élément, évidement, intervalle), incluant les erreurs dues aux
procédés de mesure.

1 6 Cotes-limites
Cotes correspondant au maximum admissible et au minimum admissible d'une cote effective:
- Cote maximale
La plus grande des deux cotes-limites,
- Cote minimale
La plus petite des deux cotes-limites.

1 7 Ecart
Différence entre une cote effective et la cote théorique qui lui correspond.

1 8 Ecart-limite
Ecart toléré au maximum entre une cote effective et la cote théorique qui lui correspond:
- Ecart-limite supérieur
Ecart entre une cote maximale et la cote théorique qui lui correspond.
- Ecart-limite inférieur
Ecart entre une cote minimale et la cote théorique qui lui correspond.

1 9 Tolérance
Différence entre la cote maximale et la cote minimale.

4
1 10 Zone de tolérance
Etendue à l'intérieur de laquelle un point, une ligne ou une surface doit se trouver pour demeurer dans
les écarts-limites. Cette étendue peut être à une, à deux ou à trois dimensions (voir figure 2).
Remarque: La zone de tolérance est déterminée par la cote théorique et les deux écarts-limites (p.ex.
120 ± 3).

1 11 Degré de précision
Niveau de qualité résultant de la petitesse de l'écart effectif:
- Précision normale
Précision atteinte grâce à des procédés courants (procédé de mesure) appliqués avec les soins et
précautions usuels,
- Précision accrue
Précision atteinte grâce à des procédés spéciaux (procédé de mesure) ou à des procédés courants
appliqués avec un surcroît de soins et de précautions.
Les définitions de termes techniques données ci-dessus concordent avec celles de la norme CRB 501 500
«Coordination modulaire dans la construction - Tolérances dimensionnelles: Vocabulaire».

Figure 1 Représentation graphique des termes techniques (exemple avec des écarts-limites asymé-
triques)

5
Figure 2 Zones de tolérance
(Représentation graphique avec des écarts-limites symétriques)

a) La zone de tolérance relative à un corps matériel quelconque peut être décrite comme étant l'espace
compris entre deux volumes concentriques situés l'un à l'extérieur, l'autre à l'intérieur du corps théo-
rique, les faces des deux volumes étant parallèles à celle de ce corps et séparées de lui par une
distance égaIe au quart de la tolérance.

b) De même la zone de tolérance relative à une figure plane peut être décrite comme étant l'étendue
comprise entre deux figures concentriques situées l'une à l'extérieur, l'autre à l'intérieur de la figure
théorique, leurs côtés étant parallèles à ceux de la figure théorique et séparés de celle-ci par une
distance égaIe au quart de la tolérance.

c) Enfin la zone de tolérance relative à une ligne peut être décrite comme étant la surface comprise
entre deux lignes parallèles à la ligne théorique, situées de part et d'autre de celle-ci à une distance
égaIe à la moitié de la tolérance.

6
2 Ecarts

2 1 Origine des écarts


Des écarts peuvent se produire dans les ouvrages lors du tracé, lors de la fabrication et lors de la mise
en œuvre. Ils peuvent être dus à des défaillances humaines, à l'imprécision de l'outillage ou à l’inexacti-
tude des instruments de mesure (ce sont les écarts extrinsèques). Ils peuvent également avoir leur
origine dans la nature des matériaux et dans des phénomènes tels que température, humidité du milieu,
sollicitations mécaniques, etc. (ce sont les écarts intrinsèques).
2 2 Nature des écarts
S'agit-il d'un élément d'ouvrage, les écarts suivants peuvent se produire (figure 3):
- Ecart qu'une dimension effective, de longueur ou angulaire, présente par rapport à sa cote théorique.
- Ecart que la forme effective d'une ligne ou d'une surface présente par rapport à sa forme théorique.
S'agit-il de l'ensemble d'une construction, la position effective d'un de ses éléments peut s'écarter de
sa position théorique, aussi bien par l'effet d'un déplacement parallèle que par celui d'une rotation
(figure 4).

Figure 3 Ecarts dans les dimensions et dans la forme

dimension
théorique

forme
théorique

a) Dimension théorique et forme théorique d'un corps matériel

cotes
effectives

cotes
théoriques

b) Ecarts linéaires ∆l et écarts angulaires ∆α

forme
effective
forme
théorique

c) Ecarts dans la forme d'une ligne (p.ex. d'une arête) ∆f ou d'une surface ∆f

7
Figure 4 Ecarts de position

position effective de
l'élément par rapport
au système d'axes

position théorique de
l'élément par rapport
au système d'axes

Ecarts dans la position d'un ouvrage ou dans celle d'éléments. Il peut s'agir de déplacements parallèles
∆l, de rotations ∆α ou de défauts de verticalité ∆α des éléments ou du système d'axes.

2 3 Mesure des écarts


Pour mesurer les écarts que peuvent présenter les constructions et leurs éléments, on utilisera les pro-
cédés et instruments de mesure usuels. Dans le bâtiment, on procédera comme suit:

2 3 1 ÉCARTS DANS LA LONGUEUR DES ARÊTES ET DES DIAGONALES, ÉCARTS ANGULAIRES


Les longueurs seront mesurées en principe au moyen du double-mètre, de la latte ou du ruban d'acier,
et au besoin à l'aide du niveau à bulle d'air ou à lunette. Les mesures d'angle seront en principe trans-
formées en mesures de longueur; il en est de même des écarts par rapport à la verticale ou à l'horizontale
(figure 5).

2 3 2 ÉCARTS DE FORME AFFECTANT UNE LIGNE OU UNE SURFACE


Ces écarts sont également détermines par l'intermédiaire de mesures de longueur. On mesure la distance
comprise entre la ligne effective, ou la surface effective, et une ligne de référence, ou une surface de
référence (figure 7a).
Ces lignes de référence peuvent être matérialisées par des lattes ou des profilés métalliques, ainsi que
par des fils tendus, des fils à plomb, etc. Comme surface de référence on peut choisir par exemple le
plan déterminé par trois points de la surface réelle (en général trois sommets d'angle); on mesure la
distance à ce plan d'un point quelconque (en général le quatrième sommet) de la surface réelle (figure 7b).
On se limitera en général à relever les distances en un petit nombre de points, là où les écarts apparaissent
les plus grands.

2 3 3 ÉCARTS DE POSITION
On détermine les écarts de position par rapport à un système général de coordonnées ou à des éléments
voisins; ce sont par exemple les écarts qu'un axe d'implantation présente par rapport à des points
topographiques, ou qu'un élément présente par rapport aux axes d'implantation ou à un élément voisin.
Pour juger de la précision des éléments et des ouvertures dans lesquelles ils doivent s'insérer, il ne suffit
généralement pas de considérer les écarts directement mesurables affectant les arêtes, les diagonales
et les angles; on doit aussi considérer les écarts extrêmes résultant de la superposition des écarts sur les
arêtes et sur les angles (figure 6).

8 ,
Dans le cas d'éléments plans, on peut calculer ces écarts en déterminant, à partir des longueurs d'arête
et des diagonales, la distance comprise entre le sommet d'angle effectif et le sommet d'angle théorique.
Pour simplifier, on fait alors coïncider un sommet d'angle et une arête adjacente de la figure théorique
avec leurs homologues de la figure effective. Il est licite de choisir ce sommet et cette arête de manière
à obtenir les écarts les plus faibles.
Pour les éléments à trois dimensions, chacune des faces peut être considérée pour elle-même et les
écarts respectifs calculés en conséquence.

Figure 5 Mesure des écarts

cote théorique

cote effective

a) Ecart de longueur ∆l affectant une arête rectiligne

b) Ecart angulaire ∆α = (b1 - b2)/r. On peut mesurer les diagonales pour contrôler l'orthogonalité.

c) Défaut de verticalité ou d'horizontalité, exprimé par ∆ pour une valeur l ou h donnée

9
Figure 6 Insertion d'un élément dans une ouverture

On est fréquemment amené à considérer les écarts extrêmes résultant de la superposition des écarts
affectant les arêtes et les angles. Ces écarts peuvent être calculés à partir des longueurs des arêtes et
des diagonales. La figure s'applique aussi bien à l'élément à insérer qu'à l'ouverture dans laquelle il doit
s'insérer.

Figure 7 Ecarts de forme affectant une ligne ou une surface

a) On mesure les distances ∆f comprises entre la ligne effective et une ligne de référence. Ces distances
doivent être appréciées en relation avec la longueur de la ligne de référence.

b) Comme surface de référence, on peut utiliser par exemple un plan déterminé par trois points de la
surface effective (en général trois sommets de la figure).

10
3 Tolérances

3 1 Fixation des tolérances


3 1 1 Les tolérances seront fixées de telle manière:
- que la construction et ses éléments puissent remplir correctement leur fonction,
- que la sécurité à la rupture sous les charges données soit assurée,
- que par leur assemblage et leur insertion les éléments les plus différents puissent s'intégrer sans
retouches en un tout,
- que le caractère esthétique recherché soit atteint.
Ces conditions étant observées, on dispose encore en général d'une marge de liberté dans laquelle on
fixera les tolérances en tenant compte de considérations économiques.

3 1 2 Les prescriptions relatives aux tolérances seront rédigées de manière à permettre un contrôle aisé par
les procédés usuels.

3 1 3 Il est souvent nécessaire de compléter la notion de zone de tolérance en lui adjoignant d'autres prescrip-
tions. Il peut être utile notamment de limiter les écarts en fonction de la longueur considérée, afin d'éviter
des creux, des saillies, des décrochements, etc. (figure 8).

Figure 8 Délimitation des écarts en fonction de la longueur considérée (ti = fonction de li)

3 2 Indication des tolérances dans les documents de mise en soumission, contrats et plans
Le degré de précision exigé doit être clairement défini dans les documents de mise en soumission,
dans les contrats et dans les plans.

3 2 1 PRÉCISION NORMALE
Toutes les cotes impliquent un degré de précision normal, tel qu'il est fixé par les normes du domaine
technique considéré. Si les normes en question n'indiquent pas les écarts-limites, ceux-ci devront si
nécessaire figurer explicitement dans les documents de mise en soumission, dans les contrats et dans
les plans.

3 2 2 PRÉCISION ACCRUE
Lorsqu'une précision accrue est exigée, on la mentionnera dans les documents de mise en soumission,
dans les contrats et dans les plans. Les cotes concernées seront munies de l'indication des écarts-limites,
et encadrées dans les plans, par exemple sous la forme suivante:

11
4 Dispositions contractuelles concernant les contrôles et
la réception

4 1 Réception
Les normes techniques étant acceptées par les parties, les prescriptions qu'elles contiennent au sujet
des tolérances font implicitement partie du contrat de mandat (entre maître de l'ouvrage et auteur du
projet) aussi bien que du contrat d'entreprise (entre maître de l'ouvrage et entrepreneur). On entend
par tolérances, sauf convention contraire, la somme de toutes les tolérances au sens du chiffre 2 (c.-à-d.
la somme des écarts dans les dimensions, dans la forme et dans la position). Les prescriptions contenues
dans les normes permettront de déterminer si le contrat a été respecté ou non pour ce qui est des dimen-
sions et de la forme de l'ouvrage.
Si les écarts restent inférieurs aux écarts-limites, le contrat a été rempli par l'exécutant. L'ouvrage ou
l'élément sera accepté, pour autant que d'autres défauts ne se manifestent pas.
Si les écarts excèdent les écarts-limites fixés, l'ouvrage est défectueux quant à ses dimensions et à ses
formes. Sa réception, de même que les questions de responsabilité pour les défauts, sont régIées par la
norme S.I.A. 118 Conditions générales pour l´exécution des travaux de construction.
Dans certains cas, il peut être convenu de modifier, après examen, les tolérances prévues dans les normes
du domaine technique considéré. Si ces modifications sont de nature à entraîner des frais supplémen-
taires lors de l'exécution, elles seront signalées dans les documents de mise en soumission. Dans tous
les cas, elles seront précisées ultérieurement dans le contrat et dans les plans d'exécution (voir chiffre
3 2 2).

4 2 Contrôles
L'exécutant surveillera en permanence la manière dont les tolérances sont observées, afin de pouvoir
intervenir à temps si des corrections sont nécessaires.
Lorsqu'un ouvrage passe d'un entrepreneur à un autre, il incombe à ce dernier d’effectuer tous les contrôles
propres à assurer l'exactitude de son travail. S'il n'émet aucune réserve, il est réputé avoir accepté l'ou-
vrage tel qu'il l'a reçu; il devient dès lors seul responsable de l'observation des tolérances dans son travail.
S'il émet des réserves, il incombe à la direction des travaux de procéder à des mensurations de contrôle.
La direction des travaux effectuera également des contrôles pendant la construction et lors de la réception
des travaux, s'il y a doute quant à l'observation des tolérances. Les contrôles s'imposent lorsque le
fonctionnement de l'ouvrage, sa sécurité et son caractère esthétique paraissent compromis.
Les contrôles effectués par la direction des travaux ne délient pas l'entrepreneur de ses responsabilités
quant à l'observation des tolérances.
L'auteur des écarts et la personne chargée du contrôle se mettront d'accord sur le choix des instruments
et des procédés de mensuration à mettre en œuvre. On utilisera les instruments et procédés usuels, pour
autant que rien d'autre ne soit spécifié dans les normes particulières.
Si le travail occasionné par les opérations de vérification dépasse ce qui est usuel au sens des diverses
normes particulières, il tombe à la charge de l'auteur des écarts, pour autant que les limites de tolérance
soient dépassées. Si par contre elles sont observées, les frais seront à la charge de celui qui a requis le
contrôle.

4 3 Tolérances et précision des mesures


Lorsqu'une tolérance est fixée, il faut tenir compte du fait que les erreurs de mesure sont comprises dans
la tolérance, ce qui implique qu'elles ne doivent pas dépasser une certaine part de celle-ci. Les erreurs
de mesure ne devraient pas, en règle générale, dépasser 20% de la tolérance afférente à la cote à vérifier.

4 4 ToIérances et conditions d'environnement et de charge


Les diverses normes particulières peuvent définir les tolérances pour des conditions d'environnement
et de charge déterminées. Si les contrôles s'effectuent dans des conditions différentes, on en tiendra
compte en calculant les corrections nécessaires.

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Membres de la commission S.I.A. 414 «Tolérances dimensionnelles dans la construction»

Président: E. Witta, ingénieur S.I.A. , Zurich

Membres: H. P. Goeggel, architecte, Zurich


H. Joss, architecte S.I.A. , Zurich
H. Litz, architecte S.I.A. , Binz
W. Pfenninger, ingénieur S.I.A. , Zurich
E. Rütti, architecte S.I.A. , Zurich

Adoption et entrée en vigueur


La présente norme S.I.A. 414 «Tolérances dimensionnelles dans la construction» a été adoptée
par l'assemblée des délégués de la S.I.A. le 15 juin 1979 à Sion.
er
Elle entre en vigueur le 1 janvier 1980.
Le président: A. Realini
Le secrétaire général: U. Zürcher

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