L'esprit de Dieu

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L’Esprit du Seigneur est sur moi

Par Jean Ruland • Il y a 7 ans

QUELLE EST LA VOLONTÉ DE DIEU CONCERNANT L’ONCTION ?

Luc 4 : 18-19

18 L’Esprit du Seigneur est sur moi, Parce qu’il m’a oint pour annoncer une bonne nouvelle aux
pauvres ; Il m’a envoyé pour guérir ceux qui ont le cœur brisé, Pour proclamer aux captifs la
délivrance, Et aux aveugles le recouvrement de la vue, Pour renvoyer libres les opprimés, 19 Pour
publier une année de grâce du Seigneur.

Dans ce passage, nous voyons quelque chose de très puissant.

Nous voyons que Jésus savait exactement ce qu’il devait faire.

Ma première question est donc : Savons-nous exactement ce que nous devons faire ?

Nous voyons que Jésus savait qu’il était équipé pour faire le travail.

Ma deuxième question suit la première : Savons-nous que nous sommes équipés pour faire le
travail ?

En d’autres termes, Jésus était conscient du revêtement de puissance, de son équipement, de son
onction.

C’est dans la volonté de Dieu aujourd’hui que, chacun de ses enfants soit conscient de cette onction
qui se trouve sur chacun de nous pouvant dire : « L’Esprit du Seigneur est sur moi. »

Ce n'est pas simplement une idée ou une expression ou une image de la parole ; nous parlons de
quelque chose de tangible ; la réalité se manifeste par la puissance de Dieu qui repose sur votre vie.
Quand l’onction venait sur Samson, il le savait. Il avait une prise de conscience qu’un pouvoir
surnaturel était sur lui. Samson savait quand ce pouvoir était sur lui et il savait lorsqu’il n’y était pas.

Lorsque cette onction était sur lui, il était invincible. Rien ni personne ne pouvait lui résister.
POUR QUI EST CETTE ONCTION ?

C’était une ombre, un type de l’onction qui allait venir sur Jésus-Christ et ses enfants de la nouvelle
alliance par la puissance du Saint-Esprit. Mon souhait est de vous aider à réaliser que cette onction
n’était pas seulement pour Jésus, ni juste pour les pasteurs, les prophètes, les apôtres, les
évangélistes et les enseignants. L’onction est pour tous les enfants de Dieu appelés, lavés par le sang
de Jésus.

C’est la volonté de Dieu que chacun soit lavé dans le sang de Jésus et que chaque croyant soit rempli
du Saint-Esprit, pouvant dire avec la même certitude et la même autorité que Jésus : « L’Esprit du
Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint. »

L’onction est l’activation divine et surnaturelle, l’équipement pour exercer le ministère de Jésus.

NOUS AVONS LA PUISSANCE DU SAINT-ESPRIT

Actes 10 : 38

38 vous savez comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de force Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en
lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient sous l’empire du diable, car Dieu était avec lui.

Il était le Fils modèle. Aujourd’hui, nous pouvons dire : « Nous sommes oints du Saint-Esprit et de
force. »

Nous allons faire le bien, guérissant tous ceux qui sont opprimés par le diable, car Dieu est avec nous.

Jésus n’est plus là dans son corps physique, mais l’onction est toujours là. Le même Saint-Esprit et sa
puissance sont toujours là, et maintenant :

Nous sommes son corps.

Nous sommes ses mains et ses pieds.

Nous sommes sa voix sur la terre.

Nous sommes oints pour faire son œuvre.

Nous sommes oints pour prêcher l’Évangile, chasser les démons, guérir les malades, délivrer les
opprimés et libérer les captifs.

Cette onction est la puissance des cieux. C’est comme l’électricité naturelle que vous ne pouvez pas
voir avec vos yeux naturels mais quand elle vous touche, vous le savez ! L’onction est donnée pour
détruire les œuvres du diable.
Esaïe 10 : 27

27 En ce jour, son fardeau sera ôté de dessus ton épaule, Et son joug de dessus ton cou ; Et la graisse
fera éclater le joug.

1 Jean 2 : 20

20 Pour vous, vous avez reçu l’onction de la part de celui qui est saint, et vous avez tous de la
connaissance.

1 Jean 2 : 27

27 Pour vous, l’onction que vous avez reçue de lui demeure en vous, et vous n’avez pas besoin qu’on
vous enseigne ; mais comme son onction vous enseigne toutes choses, et qu’elle est véritable et
qu’elle n’est point un mensonge, demeurez en lui selon les enseignements qu’elle vous a donnés.

VOUS AVEZ UNE ONCTION, LA MÊME ONCTION QUE JÉSUS AVAIT

La triste vérité est qu’une grande majorité du corps de Christ n’a jamais vraiment puisé dans cette
puissance. La majorité des enfants de Dieu du corps de Christ vivent dans la faiblesse, une vie
anémique inférieure et sont toujours à la recherche de quelqu’un pour les bénir, les encourager, les
relever, prophétiser sur eux.

En d’autres termes, beaucoup parmi le peuple de Dieu vivent leur vie comme un patient ou un
malade professionnel. Ce qui signifie qu’ils vivent leur vie toujours dans le besoin, toujours affaibli,
toujours mal, toujours en souffrance.

Ce que Dieu veut par la puissance et l’onction du Saint-Esprit, est de faire de chaque patient un
médecin et vous amener à un endroit où vous ne fonctionnez que par l’onction et œuvrez que par
l’onction, pour être en mesure d’en influencer d’autres avec la puissance de Dieu pour les sauver, les
guérir et les délivrer.

À L’EXEMPLE DE PIERRE ET JEAN

Actes 3 : 1-8

1 Pierre et Jean montaient ensemble au temple, à l’heure de la prière : c’était la neuvième heure. 2 Il
y avait un homme boiteux de naissance, qu’on portait et qu’on plaçait tous les jours à la porte du
temple appelée la Belle, pour qu’il demandât l’aumône à ceux qui entraient dans le temple. Lire la
suite

Pierre et Jean ont regardé ce mendiant estropié, pauvre, assis à la porte du temple demandant
l’aumône à tous ceux qui passaient. Il y avait là une âme pauvre et malheureuse qui vivait
dépendante de la générosité des autres. Il était un mendiant, toujours dehors, toujours dans le
besoin. Tous les jours quelqu’un venait le chercher et l’emmener à sa place, devant la belle porte du
temple où il s’asseyait avec sa petite tasse et demandait l’aumône.
Ce que j'aime à propos de Pierre et Jean c’est qu’ils ont vu un avenir pour cet homme au-delà de ce
qu’il pouvait voir.

L’ACTE DE COMPASSION CHANGE LA SITUATION

Cet homme ne pouvait pas voir quelque chose de différent dans son avenir que de s’asseoir et de
prier tous les jours. Lorsque Pierre et Jean l’ont vu, ils ont eu la compassion de Jésus.

La compassion et la pitié sont deux choses différentes. L’on peut regarder et se sentir désolé, peut-
être même pleurer.

Mais l’acte de compassion change la situation. Exemple : le bon Samaritain (Luc 10 : 25-37).

Pierre et Jean ont vu ce pauvre homme. Ils ont vu un avenir pour lui et ont été émus de compassion.
Ils ont dit : « Regarde nous ! », parce qu’ils savaient qu’ils avaient non seulement de la compassion,
mais aussi la capacité de changer la situation de cet homme.

Je souhaite que nous comprenions la quantité de puissance que nous avons en nous et dans l’Église.

Nous marchons avec le même Esprit vivant à l’intérieur de nous. C’est la même puissance qui a
ressuscité Jésus d’entre les morts. La puissance surnaturelle de Dieu pour des miracles est en nous.

Une des plus grandes peurs du diable, c’est que nous reconnaissions qui nous sommes, ce que nous
avons et ce que nous pouvons faire.

Pierre et Jean savaient que ce pouvoir surnaturel était en eux. Et ils savaient aussi qu’ils avaient la
possibilité de transférer (infuser) cette puissance à d’autres, pour les libérer.

« Je n’ai ni argent ni or mais ce que j’ai…». Il s’agit de la touche du Saint-Esprit : ce que j’ai, en d’autres
termes : je sais ce que j’ai. Pierre et Jean étaient conscients qu’ils avaient en leur possession une
puissance supérieure à eux-mêmes. Ce que j’ai, je vous le donne, je vous l’offre, je vous le présente, je
vous le transfère.

Et Pierre, le prenant par la main droite, le fit lever. Pierre et Jean vont changer son destin le sortant de
son passé, le tirant hors de toute sa culpabilité et sa honte, le sortant de son impuissance. Le sortant
de son brisement. Pierre le fit lever : le tirant vers le haut, vers le haut de la plénitude, vers le haut de
la joie. Aussitôt ses pieds et ses chevilles devinrent fermes.
Était-ce la volonté de Dieu de guérir cet homme ?

Pourquoi cela n’est-il pas arrivé plus tôt ? Parce que personne n’était passé sur son chemin avec la
connaissance qu’il possédait le pouvoir de changer son dilemme.

NOUS SOMMES LES CANAUX DE LA PUISSANCE DE DIEU

Je vous dis qu’aujourd’hui c’est la volonté de Dieu de guérir les malades, de délivrer les opprimés et
libérer les captifs.

Mais je veux aussi vous dire que même si c’est la volonté de Dieu et même si nous savons que Jésus a
payé le prix et que la puissance de Dieu est disponible, rien ne se passera jusqu’à ce que nous nous
rendions compte que nous sommes les porteurs et les canaux de la puissance de Dieu.

Il y a des gens comme ce mendiant estropié tout autour de nous aujourd’hui, et même si Dieu veut
leur bien, ils vont mourir perdus, malades et affligés si nous ne reconnaissons pas que nous sommes
les canaux de la puissance de Dieu.

L’Esprit du Seigneur est sur moi, parce qu’il m’a oint – non pour me faire du bien ou me donner la
chair de poule -, l’onction est sur moi pour prophétiser, poser mes mains sur les malades, pour
réprimer la maladie.

Je suis oint pour vous libérer de vos lourds fardeaux.

Je suis oint pour vous annoncer que votre dette a été payée, la dette de votre péché a été annulée,
Jésus lui-même a pris votre maladie dans son propre corps.

VOTRE GARANTIE POUR LA GUÉRISON PARFAITE

1 Pierre 2 : 24

24 lui qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous
vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris.

Quand Jésus est mort sur la croix, il a tout payé.

L’onction est là pour vous guérir maintenant.


L’onction est là pour vous délivrer et vous libérer.

L’onction est là pour détruire toute espèce de joug pour que vous soyez libre, au nom de Jésus !

2 Corinthiens 3 : 17

17 Or, le Seigneur c’est l’Esprit ; et là où est l’Esprit du Seigneur, là est la liberté.

L’Esprit du Seigneur est ici : je sais qu’il est ici parce que son onction est sur moi et sur vous.

Matthieu 5 : 13

13 Vous êtes le sel de la terre. Mais si le sel perd sa saveur, avec quoi la lui rendra-t-on ? Il ne sert plus
qu’à être jeté dehors, et foulé aux pieds par les hommes.

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