Mémoire À Imprimer Modélisation
Mémoire À Imprimer Modélisation
Mémoire À Imprimer Modélisation
MEMOIRE
Présenté pour
L’obtention du diplôme de
MASTER
Filière : Génie Mécanique
Spécialité : Fabrication Mécanique et Productique
Par :
MADI Syphax
&
MATEM Nabil
Thème
Conception et modélisation d’une presse
Hydraulique de 20 tonnes.
REMERCIEMENTS
Dédicace
Je dédie ce modeste travail aux êtres qui me sont les
Syphax
Dédicace
Dédicace
Je dédie ce travail
Nabil
Dédicace
Sommaire
Sommaire
Sommaire
Remercîment………………………………………………………………………………….. i
Dédicace…………………………………………………………………………………….....ii
Sommaire ..…………………..……………………………………………………………….iii
Introduction générale…………………………………………………………………………1
B. Avantages .................................................................................................................... 4
C. Inconvénients ............................................................................................................... 4
B. Avantages ................................................................................................................. 5
C. Inconvénients ........................................................................................................... 6
iii
Sommaire
iv
Sommaire
v
Sommaire
vi
Sommaire
III.11.2.4. Comparaison des trois types de contact géométrique entre la plaque et les goupilles
.............................................................................................................................................. 50
Conclusion générale…………………………………………………………………………..57
Annexe………………………………………………………………………………………..58
Bibliographie…………………………………………………………………………………64
vii
Liste des figures
Liste des figures
Figure II. 3 : opérations de laminage à chaud pour profilés en double Té et larges plats
.................................................................................................................................................. 21
viii
Liste des figures
Figure II. 5: poutrelle en U .................................................................................................... 23
Figure II. 10: contrainte normal de la place de travaille sur le logiciel RDM6. ............... 29
ix
Liste des figures
Figure III. 13: Distribution du coefficient de sécurité. ....................................................... 48
Figure III. 18: Répartition des déformations sur SolidWorks dans le 1er cas . ................ 52
Figure III. 19: Illustration des Déformation dans le 2em cas. ............................................ 53
Figure III. 20: Répartition des déformations sur SolidWorks dans le 2em cas. .............. 54
Figure III. 21: Déplacement total de la troisième plaque dans le (3eme cas). .................. 55
Figure III. 22: Déformation de la troisième plaque sur SolidWorks dans le 3eme cas.... 55
x
Liste des tableaux
Liste des tableaux
xi
Table des symboles
Table des symboles
L0 la longueur de flambement mm
I Le rayon de giration
λ de l’élancement colonne
xii
Introduction générale
Introduction générale
Introduction générale
Les presses sont des machines industrielles qui trouvent leurs applications dans
plusieurs domaines technologiques de fabrication mécanique tel que le secteur de fabrication et
de réparation d’automobile, l’avionique, recherche scientifique… Une presse c’est toute
machine qui permet d’exercer une force ou une contrainte sur une surface donnée. Elle peut
être mécanique, hydraulique ou pneumatique, qui fonctionne en mode automatique, semi-
automatique ou encore manuel.
1
Chapitre I
I.1. Introduction
Dans ce chapitre, nous allons découvrir les différents types de presses à imprimer qui
existent et leur fonctionnement.
I.2. Définition
Les presses sont des machines permet de changer la forme d’une pièce à partir d’une tôle,
en appliquant une pression. Elles sont essentiellement composées de deux plateaux qui peuvent
se rapprocher par commande mécanique ou hydraulique, pour comprimer ce qui est placé entre
eux, elles ont deux parties, un mobile quand appelle (coulisseau), et qui porte le poinçon, et
l’autre c’est la partie fixe qui porte la matrice appelée (bâti). Ainsi un ensemble d’organes
mécaniques modelés pour réaliser de différents travaux par déformation plastique de la tôle,
elles sont actuellement commandées numériquement.
2
Chapitre I Généralités sur les presses
Mécaniques.
Hydrauliques.
Pneumatique.
Une presse mécanique est une machine qui utilise un mécanisme (commandés
mécaniquement) pour faire fonctionner les outils à la vitesse appropriée, et leur donner l’énergie
suffisante pour découper, percer, …etc. Cette dernière est ensuite transmise au coulisseau en
mouvement de translation par un volant et un mécanisme nécessaire.
3
Chapitre I Généralités sur les presses
La presse mécanique est alimentée par un moteur électrique qui tourne un grand volant
d’inertie, ce dernier stocke l’énergie cinétique qui est ensuite transmise au coulisseau par un
système précis en un mouvement de translation.
B. Avantages
- Permet des opérations avec petit tonnage pour les matrices fragiles et la vitesse
d’emboutissage reste constante pendant toute la course.
C. Inconvénients
- La presse mécanique ne peut pas être surchargée car le système est protégé par deux soupapes
de décharge séparément ajusté.
Une presse hydraulique est une machine avec un circuit hydraulique qui fournit une grande
force de compression. Elle permet de transmettre un effort démultiplié et un déplacement,
servant à écraser, déformer un objet ou soulever une pièce lourde. Il est préférable d’utiliser
une presse hydraulique plutôt qu’une presse mécanique, lorsqu’il est indispensable de réguler
la pression et de la maintenir constante pendant un certain laps de temps. [3]
4
Chapitre I Généralités sur les presses
A. Principe de fonctionnement
La presse hydraulique est alimentée par une pompe hydraulique à un vérin qui entraine la
glissière. Suivant sa conception et ses applications. Actuellement, elle est commandée
automatiquement grâce aux nouvelles technologies et aux développements de l’électronique.
Elle est particulièrement adaptée pour l’emboutissage profond.
B. Avantages
_ Les presse hydraulique est très robuste et fiable. Elle peut créer une grande quantité de
tonnage pression. Elle est idéale pour l’hydroformage qui est une technique de formation des
métaux nécessitant la présence d’un agent liquide. Elle est lente ce qui donne suffisamment de
temps au métal pour se former.
_ Le tonnage de la presse est facilement ajusté ce qui permet des opérations avec petit tonnage
pour les matrices fragiles, et la vitesse d’emboutissage reste constante pendant toute la course.
5
Chapitre I Généralités sur les presses
_ La presse hydraulique est moins chère que les autres types, et son moteur est plus puissant.
C. Inconvénients
_ La presse hydraulique demande beaucoup de maintenance. L’huile doit toujours être présente
à l’intérieur de la presse, de plus, elle comporte plusieurs appareils pour le contrôle de la
pression à fin d’assurer son bon fonctionnement.
_ Un moteur plus puissant que celui de la presse mécanique parce qu’il n’y a pas un volant
d’inertie pour stocker l’énergie.
Une autre différence c’est que la presse hydraulique demande plus de temps et d’énergie
pour la maintenance que la presse mécanique.
Une presse mécanique est mue par la force musculaire ou avec un moteur électrique et la
transmission de l'effort se fait avec une cinématique ex : crémaillère, engrenages, poulies,
excentriques.
Une presse hydraulique est mue par un fluide, eau, huile, avec une pompe soit manuelle soit
électrique ou thermique et l'effort est produit par un vérin, ce type de presse permet d'obtenir
des efforts plus importants que les systèmes mécaniques. [5]
La presse pneumatique est une machine qui fonctionne avec l’air comprimé, on le
manipulant selon le principe bien connu
𝐹
𝑃= 𝑜𝑢 𝐹 = 𝑃 ∗ 𝑆
𝑆
Avec
6
Chapitre I Généralités sur les presses
L’air est forcé dans un tube jusqu’à ce qu’il est plein ensuite il applique une pression
permettant de déplacer la presse, alors Pour avoir une force importante il faut donc une grande
pression et une grande surface.
Une fois la course est terminée l’air est évacué à travers les valves et les ressorts entrainent
la pompe de se déplacer vers le haut.
La presse pneumatique est caractérisée par sa grande vitesse, Elle peut fonctionner dix fois
plus que la presse hydraulique.
Elle peut aussi stopper à n’importe quel moment, il suffit juste d’ouvrir la valve pour dégager
l’air.
7
Chapitre I Généralités sur les presses
Les bâtis à col de cygne est pour les presses de petites et moyennes puissance jusqu’à, 100
tonnes environ elles sont souvent employées pour découpage, pliage et souvent pour des petites
pièces de grandes séries. La forme de bâti dégage complètement les côtés de la presse et permet
de passer les bandes latéralement ; le bâti est ouvert également à l’arrière.
La plupart des bâtis à col de cygne sont inclinables, c’est-à-dire que la machine peut
travailler dans sa position droite ou dans une position inclinée, dans ce dernier cas, la pièce
découpée s’évacue, à l’arrière de la presse par son propre poids ou par gravité Les bâtis à col
de cygne se déforment élastiquement sous l’effet de charge, ce qui provoquera le déplacement
angulaire des deux parties de l’outil et préjudice leur bon fonctionnement, c’est pour cela ils
sont réservé aux presses développent au maximum 2000 KN d’effort.
8
Chapitre I Généralités sur les presses
Les bâtis a arcades est pour les presses de moyennes et grosses puissance ce qui leurs permet
de supporter des efforts importants tout en assurant une grande précision dans le guidage des
outils
Dans cette forme de bâti, on trouve les presses à une bielle et les presses a deux bielles ; et
leurs avantage c’est que leur système de construction évite le phénomène de déflexion et limite
largement les déformations de structure en plus la maintenance des outils utilisés est réduite
tout en donnant au produit un haut degré de finition.
Ces presses sont équipées de quatre colonnes cylindriques qui lient les deux parties
supérieures et inferieure et qui entraine le coulisseau, elles sont généralement employées pour
le forgeage et le matriçage.
9
Chapitre I Généralités sur les presses
Ces presses sont de grande puissance et peuvent atteindre des dimensions importantes, le
bâti à montant droit se compose de trois éléments qui sont la table le chapiteau et le montant et
selon le travail à exécuter on choisit la distance entre le chapiteau et la table, et entre les
montants.
Grace à sa table mobile et réglable en hauteur, il est facile de monter l’outil d’une hauteur
importante dans ce type de presses. Par simple rotation de la table on monte la bigorne qui
permet d’effectuer des poinçonnages latéraux, de gros emboutis.
10
Chapitre I Généralités sur les presses
De type de presse contient un seul coulisseau qui reçoit son mouvement d’une ou plusieurs
bielles, elles sont équipées d’un coussin inferieur, destiné à assurer l’effet du serre-flan.
11
Chapitre I Généralités sur les presses
Généralement ce type de presse est utilisé pour les contres-emboutis peu profonds et leurs
principes est le même avec le double effet mais avec un troisième coulisseau inferieur qui as sa
propre cinématique, et leurs utilisations évite l’opération de reprise sur une autre presse.
12
Chapitre I Généralités sur les presses
Pour choisir une presse sur laquelle on travaille, nous devons prendre en considération les
principaux facteurs suivants :
Le choix de la presse à utiliser dans les travaux des métaux en feuille dépend
essentiellement de plusieurs paramètres tel que :
13
Chapitre I Généralités sur les presses
La hauteur libre entre la table et le coulisseau doit être supérieur à la hauteur de l’outil
fermé.
La nature des opérations à réaliser. Pour notre cas, il s’agit de découpage et
poinçonnage.
Une presse mécanique est mieux indiquée.
La sécurité au sein de l’atelier est un paramètre très important qui permet de travailler en
toute sécurité. Les constructeurs des machines ont mis divers dispositifs qui assurent la
protection des utilisateurs :
15
Chapitre I Généralités sur les presses
Le fonctionnement des presses hydrauliques repose sur le principe de balaise pascal (1623-
1662), qui s’annonce de la façon suivante : un liquide en équilibre transmet intégralement et en
tous ses points toute variation de pression produit en un point quelconque de ce liquide.
La veut dire que on peut utiliser un liquide pour démultiplier les forces comme on le ferait
avec un bras de levier, c’est jouer avec la conservation de l’énergie, pour une presse hydraulique
on utiliser deux piston qui vont avoir une surface de pression différente.
Tout force exercée sur le petit piston sera transmis au grande, mais les rapports étant
différent la force transmis et la distance parcourue seront différents pour calculer la pression
finale sur le grand piston on utilise la formule :
𝐹2 𝑆2
P2 = 𝐴2 avec : F2 = F1 × 𝑆1
Dont
F : la force en newtons (N).
S : la surface en mètre carré (m²).
P : la pression en pascal.
16
Chapitre I Généralités sur les presses
Ils utilisant l’huile sous pression jusqu’à 350 bars en usage courant, par rapport au vérin
pneumatique, ils sont plus couteux développent des efforts beaucoup plus important, des
vitesses de tige plus précises et permettent des applications plus sophistiquées régulation
- Lors de la sortie de la tige le travail s’effectue en poussée et agit sur la surface totale de
piston.
𝜋×𝐷² 𝜋×𝐷²
Sp = F =P×
4 4
- Lors de la rentrée de la tige le travail s’effectue en traction agit sur une surface
réduite du piston, car il faut réduire la section de la tige.
𝜋
F=P × 4 × (𝐷 2 − 𝑑 2 )
Vérin à simple effet : c’est un récepteur linéaire dont le piston ne reçoit le débit en
provenance de la pompe que sur un seul de ses surfaces, la course retour est réalisée par un
ressort de rappel ou par une charge extérieure quelconque.
Ils utilisant de l’air comprimé, généralement de 2 à 10 bars ils sont abondant dans les
systèmes d’automatisation industrielle en raison de la simplicité de mise en œuvre.
17
Chapitre I Généralités sur les presses
C’est un récepteur linier dont le piston est en mesure de recevoir le débit en provenance
de la pompe sur chacune de ses surfaces.
I.9. Conclusion
Ce chapitre donne un aperçu général et global des presses utilisées dans l'industrie, de
leurs principes de fonctionnement et de leur classification en différents types selon plusieurs
paramètres tels que la méthode de conversion d'énergie, la construction ou le nombre de
coulisseaux.
18
Chapitre II
dimensionnement de la structure de la presse hydraulique
Chapitre II
II.1. Introduction
La particularité des éléments de structures métalliques réside dans le fait qu'ils soient
composés uniquement de parois. Le terme paroi désigne ici l'élément dont l'épaisseur est
relativement faible devant ses autres dimensions (sa largeur et sa longueur). A titre d'exemple,
une poutre métallique horizontale (connue sous le nom d'IPE ou de HEA) est généralement
constituée de (figure …) : [9]
- Deux parois horizontales, l'une appelée semelle supérieure et l'autre semelle inférieure.
- D’une paroi verticale appelée âme.
L’autre exemple que nous pourrons citer, est celui d'un poteau vertical constitué de (voir
figure II.2) :
19
Chapitre II
Cette forme de section métallique "en parois" est due aux deux principales caractéristiques
de l'acier, à savoir : sa grande densité (matériau lourd dont la masse volumique ρ ≈ 7850
Kgf/m3) et sa haute résistance (généralement comprise entre 230 et 500 MPa). Ainsi, il serait
inadmissible (voir aberrant) de concevoir un élément de structure métallique dont la section
transversale soit de forme rectangulaire pleine ou circulaire pleine. [9]
La réalisation (ou l'obtention) de ce type d'élément à parois (appelé également profilé) peut
être effectuée par une série de laminages successifs (figure II.3) qui peuvent se faire soit à chaud
(pour les éléments à parois épaisses appelés profilés laminés à chaud ou PAC), soit à froid (pour
les éléments à parois minces appelés profilés laminés à froid ou PAF). Il est à noter que
l'épaisseur de ce dernier type de profilé laminé à froid ne doit pas dépasser une épaisseur
d'environ 3 mm [9]
20
Chapitre II
Figure II. 3 : opérations de laminage à chaud pour profilés en double Té et larges plats.
[9]
Les poutres sont des éléments la plupart du temps horizontaux qui doivent reprendre
essentiellement des efforts de flexion. Leur section doit par conséquent présenter une inertie
adaptée dans le sens de la flexion et donc une certaine hauteur. La flexion comporte une
composante de traction et une composante de compression que l’on retrouve aux extrémités de
chaque section. Ces efforts transmis dans les membrures hautes et basses sont d’autant plus
faibles que la hauteur de la poutre est plus importante. Schématiquement, doubler la hauteur de
la poutre divise par quatre les efforts auxquels elle est soumise. La section des membrures est
par conséquent capitale pour calculer le poids de l’acier à utiliser. Cette caractéristique très
importante pour les poutres en treillis usuelles se retrouve dans les structures spatiales. [10]
Qu’il s’agisse de réaliser une charpente, une ossature, un pilotis ou un linteau, la poutre en
acier associe de nombreuses qualités dont la rigidité, la résistance, la longévité et la facilité de
mise en œuvre. Que vous soudiez, boulonniez ou rivetiez, l’acier reste un matériau facile à
travailler qui, s’il est correctement traité à la mise en place, peut durer de nombreuses décennies
21
Chapitre II
Le profil de la poutre en acier est classé en fonction de son apparence et généralement selon
la lettre de l’alphabet que dessine(nt) la/les semelle(s) – branches de part et d’autres de l’âme –
par rapport à l’âme. On distingue les profils en U, les profils en I, en H, en T, etc., avec
également des profils carrés ou rectangulaires dits profils caissonnés.
Il existe des profils symétriques où les semelles sont de même largeur et des profils
dissymétriques où les semelles sont de largeur différente, mais aussi des poutres à semelle
variable (largeur de la semelle progressive). Quasiment toutes les déclinaisons sont possibles
puisqu’il s’agit de confection à façon par laminage de l’acier. [11]
a. Les poutrelles en I
_ IPN : poutrelles en I normales. Les ailes sont d’épaisseur variable, ce qui entraîne des
petites difficultés pour les attaches.
_ IPE : poutrelles en I européennes. Les ailes présentent des bords parallèles, les extrémités
sont à angles vifs (seuls les angles rentrants sont arrondis). Les IPE sont un peu plus onéreux,
mais plus commodes et sont d’usage courant. [10]
b. Les poutrelles en U
Il existe aussi deux sortes de profilés, les UPN, les UAP et les UPE. De la même façon, les
UPE présentent des ailes à bords parallèles et tendent à supplanter les UPN, moins commodes
à mettre en œuvre. Les hauteurs vont de 80 à 400 mm [10]
Elles se décomposent en trois séries : HEA, HEB et HEM, suivant l’épaisseur relative de
leur âme et de leurs ailes. Leur section s’inscrit approximativement dans un carré (la semelle a
une largeur sensiblement égale à la hauteur du profil jusqu’à 300 mm de hauteur). Les ailes
présentent toujours des bords parallèles. Les hauteurs varient de 100 à 1100 mm Les profils
HEA, les plus légers, présentent le meilleur rapport performance/poids en général et sont donc
les plus utilisés. [10]
Les filets de boulon tendent à être arrachés par cisaillement appliqué par le vérin qui a une
force de 196133 N
Dans notre cas on a utilisés le boulon M20 (vis de construction à tête hexagonale, grade C
ISO7411) de clase 3.8
On a la loi suivante de la contraint tangentielle qui est égale au rapport de l’effort tranchant T
par la section S.
𝝉 = T / S*n
N : nombre de section
196133
T= N ; T= 98066,5
2
𝟗𝟖𝟎𝟔𝟔,𝟓 𝟏
𝝉= (𝟑.𝟏𝟒×(20)2 × 𝟏𝟔 = 4,87
Pour une pièce sollicitée au cisaillement, la valeur de la contrainte 𝜏 ne doit pas dépasser la
valeur de la contrainte maximale admissible appelée encore résistance pratique au glissement
Rpg
24
Chapitre II
Dont :
S : le coefficient de sécurité.
𝑅𝑒𝑔 90
Alors : Rpg = = 1,9
𝑆
Alors La condition de résistance d’une pièce au cisaillement est bien confirmée ( 𝝉 ≤ Rpg)
25
Chapitre II
Équations statiques :
∑→ =→
Fext 0
&
∑→ =→
𝑀(𝐹𝑒𝑥𝑡 ) 0
Ra – F + Rb = 0
𝐿
F × 2 - Rb × L = 0
Trouver Ra et Rb
𝐿 𝐹
F × 2 - Rb × L = 0 ⟹ Rb = 2
𝐹 𝐹
Ra = F - Rb = 2 Alors : Ra = Rb = 2
𝐿
Tronçon 1 : 0 ≤ X ≤ 2 :
N1= ∑ 𝐹𝑥 = 0
𝐹
T1= ∑ 𝐹𝑌 = Ra =
2
M𝐹𝑍 = ∑ 𝑀 = - Ra × x
𝐹
= -2×x
À X=0 ⟹ M𝐹𝑍 = 0
𝐿 𝐹𝐿
X= ⟹ M𝐹𝑍 = -
2 4
26
Chapitre II
𝐿
Tronçon 2 : 2 ≤ X ≤ L :
N2= ∑ 𝐹𝑥 = 0
𝐹 𝐹
T2= ∑ 𝐹𝑌 = Ra – F = 2
–F=- 2
𝐿
M𝐹𝑍 = ∑ 𝑀 = - Ra × x + F (x - )
2
𝐹 𝐹𝐿2
= -2×x- 2
𝐿 𝐹𝐿
À X= ⟹ M𝐹𝑍 = -
2 4
X = 𝐿 ⟹ M𝐹𝑍 = 0
27
Chapitre II
𝐹
Nous avons : M𝐹𝑍 = - ×x
2
𝐹
EIGZY’’(x) = - ×x
2
Première intégration
𝐹
EIGZY’(x) = EIGZ𝜃(x) = - × x 2 + C1
4
Deuxième intégration
𝐹
EIGZY(x) = - 12 × x3 + C1 × x +C2
Recherche de C1 et C2
Condition d’appuis :
X=0 ⟹ Y(0) = 0
𝐿 𝐿
X=2 ⟹ Y’ ( 2 ) = 0
Donc
𝐿 𝐹𝐿2
EIGZY’ ( ) = - + C1 = 0
2 16
𝐹𝐿2
C1 =
16
EIGZY’ ( 0 ) = C2 = 0
Alors
𝐹 𝐹𝐿2
EIGZY’ ( 𝑋 ) = - × x3 + ×x
12 16
𝐿
On remplace X par 2 pour trouver la flèche maximale
𝐿 𝐹 𝐿3 𝐹𝐿 𝐿
EIGZY ( 2 ) = × - 16 × 2
12 8
𝐿 2𝐹𝐿3
EIGZY ( 2 ) = 96
28
Chapitre II
𝐿 𝑭𝑳𝟑
Y ( ) ⟹ fmax =
2 𝟒𝟖𝑬𝑰𝑮𝒁
Mfz
(max) = 𝐼/𝑒
Avec :
Mfz : Moment de flexion maximal qui est (F), Mfz= 19613300 N.mm
𝐼 : Moment d’inertie, 𝐼 =4
𝐹𝐿/4
(max)= 16 917 918,8⁄ = 238,85 MPa
100,5
Agrandissement
sur résultats
trouveés
Figure II. 10: contrainte normal de la place de travaille sur le logiciel RDM6.
29
Chapitre II
On trouve que la contrainte maximale égale à 238,85 MPa alors on a le même résultat trouvé
en haut, c’est à dire notre plaque de travaille résiste à la force appliquée.
1. Dans notre cas la poutre est encastré sur les deux coté alors, la longueur de flambement
L0= 1 /2 L
L : la longueur de la poutre
30
Chapitre II
i = √(I / Ω)
Le risque de flambement est d’autant plus important que l’élancement est grand. En première
approximation on peut considérer que si l’élancement (λ) est inférieur ou égal à 86,77 il n’y a
pas de risque de flambement. Alors le calcul de la section colonne est identique à celui de la
suspente.
31
Chapitre II
𝜆 = L0 / i
Le calcule de 86.77 :
210000
On à la loi suivant : 𝝀k = 𝜋 √E/√σk =𝜋√ =86.77
275
Tout d’abord on doit calculer la contraint tangentielle qui est égale au rapport de l’effort
tranchant T par la section S.
𝝉 = T / S*n [17]
N : nombre de section
Pour des raisons de sécurité, la contrainte tangentielle 𝝉 doit rester inférieure à une valeur limite
appelée résistance pratique au glissement Rpg.
32
Chapitre II
Rpg = Reg / S
Pius on met entre nos mains un tableau qui démontre la relation entre la résistance élastique à
l’extension Re et la résistance élastique au glissement R eg :
Alors :
𝑅𝑒𝑔 192.5
Rpg = =
𝑆 1,9
33
Chapitre II
98066,5 1
𝜏 = 3,14 ×(30)2 × 4
= 8,67 MPa
D’après les calculs on a trouvé que 𝜏 ≤ Rpg ce qui signifie que les goupilles peuvent résister
au cisaillement.
II.10. Conclusion
Dans ce chapitre on a arrivé à faire tous les dimensionnements de notre presse à l’aide d’un
calcule RDM, ainsi on a fait un grand rappelle sur nos compétences en RDM.
Une Fois on a terminé la partie de calcule on a fait la confirmation avec le logiciel RDM6 qui
est un point de plus pour nos compétences des logiciels, à la fin on a vérifié la possibilité de
cisaillement.
34
Chapitre III
Conception de la presse
Chapitre II Conception de la presse
III.1. Introduction
Afin de s’assurer qu’un produit peut répondre aux besoins des clients, le service qu’il fournit
doit être priorisé. Le secteur industriel présente une grande variété de types de presses. Chaque
type est adapté à une activité spécifique. Entre autre, pour obtenir une conception appropriée,
nous devons choisir le type qui convient le mieux à la suite du projet.
Rédiger un cahier des charges pour superviser tout type de projet est essentiel. Un cahier
des charges est un document qui vise à définir de manière exhaustive les spécifications de base
du produit ou service à réaliser.
Le graphe des interactions ou le diagramme pieuvre est un schéma qui représente la relation
entre un produit/service et son environnement. C’est un outil d’analyse utilisé dans le cadre de
méthode APTE (Application aux Techniques d’Entreprise).
La figure ci-après montre le graphe des interactions pour la réalisation d’une presse
hydraulique.
Correspond à une relation entre deux ou plusieurs éléments extérieurs avec le produit ou
par son intermédiaire.
FP1 la presse doit permettre au technicien de presser, plier une pièce avec une
Force de 20 tonnes.
- 20 Tonnes
FP1 - Force de pression
- Acier
- Résistance du bâti
36
Chapitre II Conception de la presse
FC3 Revêtement
III.4. Contraintes
Contraintes techniques :
- Hauteurs de travail se situant dans les champs visuels.
- Le contact entre le châssis et le sol s’effectue à travers de deux poutres
parallèles.
Contraintes économiques :
- Réaliser le produit à moindre coût possible.
- Simplifier les procédures de fabrication dont le but d’agir sur le coût.
- La majorité de la matière première à utiliser doit être disponible dans le
marché local algérien.
Contraintes industrielles :
- Simplifier les procédures de fabrication.
- Les machines à utiliser doivent exister dans l’industrie locale.
- Respect de l’environnement : les matériaux utilisés ne sont pas interdits et
offrent la possibilité de recyclages.
Autres contraintes :
- Simple à utiliser.
37
Chapitre II Conception de la presse
- Être esthétique.
Pour résumer, il est nécessaire de concevoir une presse hydraulique capable d’exercer une
force équivalente à 20 tonnes, démontable, durable, et d’une hauteur de travail à portée de vue.
La conception effectuée nous a semblé vraiment réaliste de ce qui se fait dans le commerce.
Par conséquent, nous choisissons de conserver ce type de presse mais nous vérifierons ces
dimensions avec une simulation numérique et des calculs RDM.
Pour commencer la conception de la presse, nous allons au début choisir les types des profils
convenables sur lesquels on va entamer notre travail. Ces profils doivent :
Donc pour une presse de haute qualité adapté sur mesure à ces conditions, nous somme
arriver à réaliser la conception de la presse en se basant principalement sur des poutrelles de
construction (mécano-soudé).
Pour la conception de la presse, nous avons choisi le logiciel SolidWorks comme un logiciel
de conception assisté par ordinateur (CAO) puisqu’il est connu par une interface très
développée pour la conception et l’étude de différentes structures.
38
Chapitre II Conception de la presse
III.7.1. Solidworks
Avantages :
Inconvénients :
III.8. Matériau
Pour l’étude et la réalisation du de structure de la presse nous utilisons l'acier S275JR comme
matériau de fabrication. Nous l'avons choisi car cet acier est couramment utilisé dans les
structures mécaniques et métalliques générales assemblées ou soudées [13].
39
Chapitre II Conception de la presse
La composition chimique de l’acier S275JR est montrée par le tableau suivant [14] :
%C %Mn %P %S %N %Cu
Nous allons faire la conception de la structure de la presse en se basant sur des différentes
poutrelles En respectant les dimensions mesurées de la presse, pour la conception de chassais
de la presse on a utilisé deux poutrelles de UPN 100×50×500 (100mm de hauteur, 50mm de
largeur, 500mm de longueur).
40
Chapitre II Conception de la presse
Pour la conception des poutres horizontales nous avons utilisé des poutrelles de IPN
160×74×1000 (160mm de hauteur, 74mm de largeur, 1000mm de longueur).
Dans cette partie nous allons dimensionner les poutres verticales et les goupilles :
Notre système sera composé de deux goupilles en acier de forme cylindrique qui servant à
immobiliser la pièce, dimensionnées en 275mm de longueur et 30mm de diamètre.
41
Chapitre II Conception de la presse
Les poutres se seront des HP section (175mm de hauteur, 160mm de largeur, 1430mm de
longueur).
Nous avons pris en compte que le plateau de maintien horizontal est ajustable tous le 201mm
en hauteur.
Dans cette partie de la presse on utilise une plaque en acier de dimensions (201mm de
hauteur, 1000mm de longueur, 25 mm d’épaisseur), prenant en compte la répartition des
alésages qui permettent de fixer les poutres verticales aux deux plaques horizontales au moyen
des boulons.
C’est l’élément qui subit à la majorité des charges crées lors de la mise en fonctionnement
de système, ce qui fait d’elle l’organe le plus important dans notre étude de simulation.
Pour sa conception on a pris une plaque de (201mm de hauteur, 820mm de longueur, 25mm
d’épaisseur). L’assemblage entre les deux plaques s’effectuera par des boulons.
III.9.5. Outillage
Pour que la presse arrive à exécuter ses taches sur des pièces à divers formes, il est
nécessaire de concevoir un élément de fixation, dont ce dernier doit avoir une forme qui permet
la fixation de différents formes (tubes, pièces prismatique …) aussi qui répond aux exigences
en terme de résistance aux sollicitations crées, pour cela on à réaliser l’outil présenter dans le
figure ci-après dont les dimensions sont de (100mm de hauteur, 150mm de largeur, 225mm de
longueur, 20mm d’épaisseur).
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Chapitre II Conception de la presse
Le dernier composant qui on a réalisé c’était le vérin, pour cet article nous avons deux
critères à respecter :
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Chapitre II Conception de la presse
Lorsque toutes les différentes pièces de la presse ont été réalisées, nous avons fait un
assemblage démontable qui offre la possibilité de supprimer la liaison sans détériorer les pièces
ou les éléments liés.
5. les goupilles.
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Chapitre III Conception de la presse
Avec :
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Chapitre III Conception de la presse
Le logiciel Soli Works nous permet de calculer et visualiser les contraintes de Von Mises
et leur répartition le long de la presse.
Nous obtenons une contrainte maximale de 143MPa (donc inférieure à la limite élastique
de l’acier qui est de 275MPa). Notre presse est ainsi parfaitement dimensionnée, en effet les
poutres résisterait bien au chargement maximal.
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Chapitre III Conception de la presse
Lors de cette étape, nous devons vérifier la tenue et le comportement mécanique de la presse
envers les chargements appliqués. Alors, nous devons comparer la contrainte maximale de Von
Mises obtenue lors de la simulation numérique et la contrainte admissible.
𝑅𝑒 275
ad = = = 144.73 MPa
𝑆 1,9
Avec:
Re : limite d’élasticité du matériau (S275JR).
S : coefficient de sécurité (1.9).
𝑅𝑒 275
max =143.25 < 𝑠 = = 144.73 MPa
1,9
48
Chapitre III Conception de la presse
Alors, on peut constater que la contrainte de Von Mises est suffisamment inférieure à la
contrainte admissible que l’acier S275JR peut la supporter. Donc, y’aura pas de danger sur la
structure de la presse.
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Chapitre III Conception de la presse
Déformation =3.743×10-4 . On voit que la déformation est presque nulle donc notre montage
est bien dimensionné par rapport au poids de la presse avec notre coefficient de sécurité.
Afin de choisir la plaque de fixation là mieux adaptée à notre presse en terme de résistance
aux efforts joindre par le vérin, nous avons fait une comparaison sur trois plaques dont :
1er cas : la plaque est en contact linéaire avec les deux goupilles.
2eme cas : le contact c’est fait entre les goupilles et plaque creuse (rayon de la zone de
contact égale à 10mm).
3eme cas : le contact c’est fait entre les goupilles et plaque creuse (rayon de la zone de
contact égale à 15mm).
Avec F = 98066,5 N = 10T (Car la force est repartie sue deux plaques).
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Chapitre III Conception de la presse
Le maillage est généré automatiquement par le logiciel le type d’éléments standard et les
paramètres sont choisis par défaut mais qui peuvent être modifiés en cas de besoin.
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Chapitre III Conception de la presse
Figure III. 18: Répartition des déformations sur SolidWorks dans le 1er cas .
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Chapitre III Conception de la presse
Déformation = 6.759×10-3 . On peut voir sur l’image que la déformation est presque nulle.
Alors, n’y aura pas de danger.
Agrandissement sur
L’emplacement
la zone de contact
égale à zone 10mm Du déplacement
maximal
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Chapitre III Conception de la presse
Figure III. 20: Répartition des déformations sur SolidWorks dans le 2em cas.
Déformation =7.407×10–3mm. On peut voir sur l’image que la déformation est presque nulle.
Alors, n’y aura pas de danger.
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Chapitre III Conception de la presse
Figure III. 21: Déplacement total de la troisième plaque dans le (3eme cas).
Nous remarquons que le déplacement maximal est de 0.202mm, Donc, nous constatons que
le déplacement est très faible.
Figure III. 22: Déformation de la troisième plaque sur SolidWorks dans le 3eme cas.
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Chapitre III Conception de la presse
Déformation =7.347×10–3mm. Nous pouvons voir une déformation presque nulle sur
l’image, il n’y a donc aucun danger.
D’après ces trois simulations faites par le logiciel, et après l’analyse des résultats trouvés,
on atteint l’objectif d’avoir le modèle de plaque le mieux adapté à notre presse.
Les trois cas d’analyse statique montrent que la plaque dont la zone de contact égale à 15mm
(3eme cas) est la plus résistante aux efforts crée par le vérin est donc la mieux adapté à notre
projet.
III.14. Conclusion
Après toutes ces études complètes et bien détaillées de la structure de la presse, on peut
conclure que la presse a une bonne résistance aux forces extérieures et une bonne rigidité. Donc,
cette presse est très solide, légère et capable d’assurer toutes ces fonctions principales. Nous
avons fini par comparer les trois types de contactes imposés entre la plaque de travail et les
goupilles, Cette étape nous a permis de découvrir et maitriser mieux le logiciel de conception.
56
Conclusion générale
Conclusion générale
Conclusion générale
Nous allons maintenant conclure notre travail, d’abord durant tout ce mémoire on a parlé
principalement sur la conception et la modélisation d’une presse hydraulique à 20 tonnes.
Ensuite, on a exposé des généralités et les différents types des presses, avec leurs
avantages, inconvénients et leur fonctionnement.
Après, à l’aide d’un calcule RDM, on a arrivé à déterminer tous les dimensionnements
de notre presse et on les a confirmés par le logiciel RDM6, puis la vérification de flambement
et de cisaillement.
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ANNEXE
Annexe
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Annexe
59
Annexe
60
Annexe
61
Annexe
62
Annexe
63
Bibliographie
Bibliographie
[1]: Mr T.SAADI, Etude et conception d’un outil à suivre à bande, Mémoire de fin
d’études, Université Mouloud Mammeri-Tizi-Ouzou, 2014.
[2] : https://www.commerce-machines-occasion.fr/qu-est-ce-qu-une-presse-mecanique-
ouhydraulique-et-comment-fonctionne-elle/
[3] : Dridi Mohamed Salah, Guendouzi Abdelghani, Conception d’une presse mécanique
pour emboutissage de 40 tonnes, mémoire de fin d’étude, Université Mohammed Seddik
Ben Yahia – Jijel, 2019.
[4] : Haug, E.J., Aurora, J.S.: Applied optimal design: Mechanical and structural systems,
1st ed., Wiley, New York, 1979.
[5] : Erdman, A.G., Sandor, G.N.: Mechanism Design: Analysis and synthesis, 1st ed.,
Prentice-Hall, New Jersey, 1984.
[6] : Mr BEHTANI Amar, Mme DJOUAHIR Fetta, Étude et conception d’un outil de
poinçonnage - emboutissage pour la fabrication d’une pièce de cuisinière eniem, mémoire
de fin d’étude, Université Mouloud Mammeri-Tizi-Ouzou, 2017/2018.
[7] : Mr O. TEBANI, Mr L. MEGHENEM et Mr S. LOUNAS. Etude et conception d’un
outil à bande pour la réalisation de la patte de fixation de la nouvelle poignée cuisinière.
[8] : https://www.techno-science.net/definition/1855.html.
[9] : SAHALI.A, support de cour (Critères généraux de conception d'une charpente
métallique), Bejaia, consulté juillet 2022.
[10] : Marc Landowski Bertrand Lemoine « Concevoir et construire en acier » Arcelor,
Luxembourg, 2005.
[11] : https://construction-maison.ooreka.fr/astuce/voir/658939/poutre-en-acier.
[12] : : mémoire fin de cycle Dimensionnement de la presse hydraulique FMP univarsité
de bejaia 2020-2021.
[13] : « SolidWorks : Logiciel de modélisation 3D par conception paramétrique »,
Sculpteo. https://www.sculpteo.com/fr/glossaire/solidworks-definition-fr/. (Consulté juin
2022).
[14] : « Soudage à l’arc : Dossier complet | Techniques de l’Ingénieur ».
https://www.techniques-ingenieur.fr/base-documentaire/mecanique-th7/assemblage-des-
materiaux-par-soudage-42512210/soudage-a-l-arc-b7730/. (Consulté juin 2022).
[15] : http://www.trafileriamauri.com/wp-content/uploads/PDF/S275JR-fr.pdf (consulté
juin 2022).
[16]: http.//www.cdacier.fr/page-1092.html.
[17] : mémoire de fin de cycle (étude conception d’un outil de poinçonnage –
emboutissage pour la fabrication d’une pièce de cuisinière ENIEM) université de mouloud
Mammeri Tizi-Ouzou.
[18] : https://mechanicale.com/calculators/column-bukling
Résumé
Résumer
Après une visite effectuée à un atelier de fabrication mécanique nous avons eu un doute
sur la rigidité d'une presse hydraulique qui se trouve au niveau de cet atelier.
Dans ce travail nous avons tout d'abord effectué le dimensionnement en gardant les
mêmes mesures et la même architecture de la presse par la suite nous avons appliqué des calculs
RDM pour vérifier la résistance de cette dernière au changement appliqué qui peut atteindre les
20T. Finalement on a clôturé notre travail par une simulation numérique et une comparaison
entre les trois types de contact imposé entre la plaque de fixation et les goupilles.
Abstract
After a visit to a mechanical manufacturing workshop, we had doubts about the rigidity
of a hydraulic press located at this workshop.
In this work we first carried out the dimensioning by keeping the same measurements
and the same architecture of the press then we applied MR calculations to check the resistance
of the latter to the applied change which can reach 20T. Finally, we closed our work with a
numerical simulation and a comparison between the three types of contact between the fixing
plate and the pins.