Extrait 365 Lois
Extrait 365 Lois
Extrait 365 Lois
Publié pour la première fois aux États-Unis par Viking, New York
Pour les reprises de traduction :
Power - les 48 lois du pouvoir © 2009, Myra et Lakshmi Bories, Alisio, pour la traduction en langue
française.
Atteindre l’excellence © 2014, Alain et Lakshmi Bories, Alisio, pour la traduction en langue française.
Stratégie - les 33 lois de la guerre © 2018, Alain et Lakshmi Bories, Alisio, pour la traduction en
langue française.
L’art de la séduction © 2019, Myra et Alain Bories, Alisio, pour la traduction en langue française.
Les lois de la nature humaine © 2019, Cécile Capilla, Danielle Lafarge et Sabine Rolland,
Alisio, pour la traduction en langue française.
Adaptation de traduction et suivi éditorial : Pauline Contant
Relecture-correction : Emma Pavan
Couverture : Caroline Gioux
Maquette : Sébastienne Ocampo
Préface
9
JANVIER
L’œuvre de votre vie
15
FÉVRIER
L’apprentissage idéal
49
MARS
Le maître au travail
81
AVRIL
Le courtisan modèle
115
MAI
Ceux qui se prétendent au-dessus de la mêlée
149
JUIN
L’art divin
185
JUILLET
Le profil du séducteur
219
AOÛT
Le maître de la persuasion
253
SEPTEMBRE
Le grand stratège
287
OCTOBRE
Le moi émotionnel
321
NOVEMBRE
L’ humain rationnel
359
DÉCEMBRE
Le Sublime Cosmique
393
7
PRÉFACE
D
epuis notre avènement en tant qu’espèce, notre survie et notre
succès, à nous êtres humains, dépendent du lien que nous
entretenons avec la réalité. Nos ancêtres ont dû acquérir une
sensibilité particulière vis-à-vis de leur environnement. Il était vital de
percevoir les variations météorologiques, d’anticiper la présence des
prédateurs et d’identifier les réserves de nourriture. Ils devaient être
sur le qui-vive, et penser constamment à ce que leur environnement
particulier leur révélait.
Dans un contexte aussi tendu, où une seconde d’inattention était
synonyme de mort, le cerveau humain s’est mué en un instrument
capable non seulement de détecter les dangers, mais aussi de dompter
un environnement dangereux.
Quand nos ancêtres commencèrent à se replier sur eux-mêmes et à
céder aux fantasmes, la réalité se retourna contre eux.
Aujourd’hui, notre cerveau n’a pas changé, il sert toujours le même
objectif qu’il y a des centaines de milliers d’années. Nous contrôlons
mieux notre environnement, et les dangers se sont faits beaucoup
plus subtils — ils émanent des gens (et non plus des léopards), de leur
psychologie complexe, et des jeux politiques et sociaux auxquels nous
devons nous prêter. De fait, nos esprits sont de moins en moins sensibles
à notre environnement ; nous nous replions sur nous-mêmes, nous
cédons à nos fantasmes. Nous devenons naïfs.
Notre culture, qui plus est, tend à nous gaver d’idées fausses ; elle
nous porte à fantasmer le monde et la nature humaine, nous ne les
voyons pas pour ce qu’ils sont. Nous prenons tout ceci pour argent
comptant et agissons à l’aune de ces perceptions erronées jusqu’à ce
que notre environnement et la réalité nous punissent, nous qui avons
adopté une conduite irrationnelle. Notre vie n’est pas en jeu, mais nos
carrières et nos relations en pâtissent. Nous blâmons les autres alors
qu’en réalité le problème est en nous, découlant de notre naïveté et des
fantasmes dont nous nous sommes nourris, qui nous orientent sans que
nous en soyons conscients.
9
Voici quelques idées fausses susceptibles de nous égarer. Par
exemple, lorsqu’il s’agit de nos carrières, nous pensons que l’école
que nous avons fréquentée, que les gens que nous connaissons, que
nos relations sont les clés de nos futurs succès. Nous pensons que les
erreurs, les échecs ou les conflits, quels qu’ils soient, doivent être évités
à tout prix, et que nous devons nous empresser de gagner de l’argent,
de susciter l’attention et de gravir les échelons jusqu’au sommet. Nous
nous imaginons que le travail est une partie de plaisir, que l’ennui est
à proscrire, et que nous devons emprunter des raccourcis pour bien
faire les choses. Nous nous imaginons que la créativité est un don inné.
Nous nous imaginons que nous sommes tous égaux, et que le concept
de hiérarchie appartient au passé.
Nous agissons en croyant que la plupart de nos amis et de nos
collègues nous apprécient et veulent ce qu’il y a de mieux pour nous.
Nous pensons que nous pouvons avoir confiance en ceux qui ont
tendance à mal se comporter dès lors qu’ils se sont amendés, que les
gens pétris de convictions et les indignés disent certainement la vérité,
et que ceux qui détiennent le pouvoir — dont nos supérieurs — sont
sûrs d’eux. Nous ne nous imaginons pas que les personnes gentilles
et obligeantes cachent une nature sombre et sournoise. Nous pensons
que celles qui défendent des idées progressistes sont vertueuses par
essence, et que notre entourage éprouvera de la reconnaissance si nous
leur rendons service.
En ce qui nous concerne, nous pensons que l’honnêteté est
primordiale, et qu’il est important de dire aux autres ce que nous
pensons réellement. Nous avons le sentiment qu’il est bon de mettre
en valeur nos qualités — notre intelligence, notre zèle, etc. Lorsque nous
subissons des revers, nous nous disons que nous sommes simplement
victimes des circonstances et en aucun cas responsables. Bien sûr, nous
sommes conscients que certaines personnes sont narcissiques, agressives,
envieuses, mégalomanes et manipulatrices, mais nous croyons que ce
sont des brebis galeuses, et que nous ne partageons en rien leurs travers.
Le plus souvent, nous sommes très jeunes, encore pleins d’illusions,
quand nous entrons dans le monde du travail, et la réalité nous explose
alors au visage. Nous découvrons que l’ego de certaines personnes est
fragile, qu’elles sont retorses, contrairement à l’image qu’elles renvoient.
Nous sommes surpris par leur indifférence et par leurs petites trahisons.
En étant nous-mêmes, en disant ce que nous pensons, nous pouvons
nous attirer toutes sortes d’ennuis. Nous finissons par réaliser que le
monde du travail est un monde éminemment politique, terrain semé
d’embûches auquel personne ne nous a préparés.
10
Certaines décisions professionnelles, motivées par le besoin d’argent
et d’attention, nous mènent à l’épuisement émotionnel, à des désillusions
et à des impasses. En échouant à être honnêtes vis-à-vis de nous-mêmes,
en faisant abstraction de nos défauts et de nos faiblesses, nous nous
retrouvons enfermés dans des schémas comportementaux incontrôlables.
Au fil des années, tandis que s’enchaînent malentendus, faux pas et
décisions arbitraires, notre amertume et notre confusion grandissent.
Nous sommes abîmés.
Les Daily Laws, ou « lois quotidiennes », visent à inverser ces
schémas toxiques et à vous reconnecter à la réalité. Ces lois ciblent les
illusions dont vous êtes imprégnés et cherchent à accorder votre esprit
aux caractéristiques typiques de la nature humaine, ainsi qu’à la façon
dont notre cerveau fonctionne réellement.
Leur but est de vous transformer en un réaliste radical. Ainsi,
quand vous aurez refermé ce livre, vous pourrez continuer, seul, à
observer le monde et à percevoir les dangers et les opportunités qui vous
environnent. Cet ouvrage se fonde sur vingt-cinq années de recherches
axées sur le pouvoir, la persuasion, la stratégie, la maîtrise et la nature
humaine ; il est la quintessence des leçons disséminées à travers mes
livres.
Entre janvier et mars, vous apprendrez à vous débarrasser des voix
extérieures qui vous soufflent quelle carrière suivre ; vous apprendrez
à vous connecter à votre voix propre, à votre unicité, au but de votre
existence, à votre vocation. Une fois cette connexion faite, suivra un
guide pour tous vos choix de carrière futurs. Au fil des pages, vous
découvrirez que ce ne sont ni l’éducation ni l’argent qui comptent, mais
votre persévérance et l’intensité de votre désir d’apprendre. Souvent,
les échecs que nous essuyons, les erreurs que nous commettons et les
conflits que nous vivons sont le meilleur enseignement qui soit ; de cet
enseignement découlent la vraie créativité et la maîtrise.
Entre avril et juin, vous apprendrez à voir la nature politique du
monde du travail, et combien il est dangereux de prendre les apparences
pour des réalités. Ces entrées vous aideront à reconnaître les individus
toxiques avant qu’ils ne vous entraînent dans leur maelström émotionnel
et vous apprendront à déjouer les plans des grands manipulateurs qui
vous entourent.
Entre juillet et septembre, vous découvrirez comment persuader et
influencer les autres véritablement — il ne s’agit pas d’être égocentrique,
ni de dire ce que vous pensez vraiment, mais de vous plonger dans
l’état d’esprit des autres et de faire appel à leur intérêt personnel.
11
Vous apprendrez à devenir un fin stratège, capable de défendre les causes
qui vous tiennent à cœur et de réaliser vos objectifs.
Entre octobre et décembre, vous vous immergerez dans les
motivations fondamentales qui régissent le comportement humain,
dont le vôtre. En vous forçant à réfléchir à qui vous êtes, en prenant
conscience de vos défauts, non seulement vous gagnerez en empathie et
accepterez mieux les autres, mais vous aurez la possibilité de modifier
vos propres schémas négatifs. Vous découvrirez qu’en vous confrontant
à la peur de la mort, vous serez à même de vous ouvrir à l’incroyable
nature de la vie, et vous apprécierez le temps qu’il vous reste à consacrer
à sa beauté.
Les différentes entrées constituant Les Daily Laws sont extraites de
cinq de mes livres, et d’un ouvrage sur lequel je travaille en ce moment,
La loi du Sublime, qui se compose d’interviews et de discussions/de
conférences auxquelles j’ai pu participer au fil des années, ainsi
que d’articles en ligne que j’ai eu l’occasion d’écrire. Chaque entrée
s’accompagne des références — titre et chapitre — du livre dont il est
extrait, afin que vous puissiez approfondir votre étude. Chaque mois
correspond à un titre spécifique et à un sous-thème, et est introduit par
un court texte. Ces textes relient les idées parcourant mes livres à mes
propres expériences vécues, aux épreuves que j’ai traversées, et aux
leçons que j’ai pu en tirer.
Il est possible de piocher çà et là tel ou tel point dans ce livre, de le
feuilleter au gré de vos envies, d’accorder les solutions qu’il dispense
aux problèmes que vous affrontez à un moment donné. Mais je vous
conseille de lire Les Daily Laws du début à la fin, et de l’ouvrir à la
date du jour où il vous sera tombé entre les mains. Ainsi, vous vous
immergerez dans chacun des sujets que ce livre explore. Ces sujets
infiltreront votre esprit et vous prendrez l’habitude de voir le monde
tel qu’il est. Pour ce faire, je vous recommande de prendre des notes,
aussi souvent que vous le pourrez, et de relier ces différentes entrées à
des expériences — passées et présentes — que vous avez vécues. Encore
mieux : mettez ces idées en pratique puis prenez l’habitude de réfléchir
aux expériences concrètes qui en découleront.
Enfin, voyez Les Daily Laws comme un bildungsroman. Le
bildungsroman, mot allemand signifiant « roman de formation », ou
« roman d’apprentissage », est un genre littéraire apparu au cours du
xviii e siècle. Dans ces histoires, les protagonistes, souvent très jeunes, se
lancent dans la vie, la tête farcie de concepts naïfs. L’auteur les embarque
dans un monde sillonné d’antagonistes, bandits, voyous et imbéciles.
Au contact de la réalité, les protagonistes apprennent progressivement
12
à se débarrasser de leurs illusions. Ils découvrent alors que la réalité
est bien plus intéressante, bien plus riche que tous les fantasmes qu’ils
nourrissaient auparavant. Ils en ressortent instruits et grandis, leur
sagesse dépassant celle des gens de leur âge.
Les Daily Laws vous entraîneront, vous qui êtes le personnage
principal de votre propre histoire, dans un monde fourmillant d’individus
toxiques. Ces lois vous aideront à vous délester de vos illusions et vous
endurciront en vue des batailles qui vous attendent. C’est en pleine
lumière que vous trouverez du réconfort et du plaisir auprès de votre
entourage, dans le vrai monde.
— MARCEL PROUST
13
Janvier
L’œuvre de votre vie
SE M E R L E S G R A I N E S D E L A M A Î T R I SE
15
m’a invité à déjeuner. Il en était à son troisième martini, qu’il a bu
cul sec avant de me donner la raison pour laquelle il m’avait proposé
ce déjeuner : « Vous devriez envisager de changer de métier, m’a-t-il
dit. Vous n’avez rien d’un journaliste. Votre travail est trop brouillon,
contestataire, votre style trop bizarre. Vos idées échappent au lecteur
lambda. Faites une école de droit, Robert. Ou une école de commerce.
Arrêtez les frais. »
J’ai eu l’impression qu’on venait de m’asséner un coup de poing
dans l’estomac. Puis, au cours des mois qui ont suivi, j’ai compris
quelque chose à mon sujet. Cette carrière ne me convenait pas, et mon
travail était le reflet de cette profonde incompatibilité. Il fallait que
j’arrête le journalisme. Cette prise de conscience a déclenché une période
d’errance. J’ai voyagé à travers l’Europe. J’ai enchaîné les petits boulots.
J’ai travaillé dans le bâtiment en Grèce, enseigné l’anglais à Barcelone,
travaillé en tant que réceptionniste à Paris, en tant que guide à Dublin,
j’ai été engagé comme stagiaire au sein d’une société de production
spécialisée dans les documentaires pour la télévision en Angleterre. Je
me suis essayé à l’écriture de romans et de pièces de théâtre. J’ai travaillé
dans une agence de détective privé, entre autres. Puis j’ai commencé à
travailler dans le cinéma en tant qu’assistant réalisateur et scénariste. Au
cours de ces années d’errance, j’ai dû exercer une soixantaine de métiers
différents. En 1995, mes parents (Dieu les bénisse) ont commencé à
nourrir de sérieuses inquiétudes à mon sujet. J’avais 36 ans, je donnais
l’impression d’être perdu, incapable de me poser. Je traversais moi aussi
de longues périodes de doute, et même de dépression. Pour autant,
je n’étais pas vraiment perdu. Quelque chose en moi me poussait à
continuer, quelque chose me guidait.
J’étais un chercheur, un explorateur, j’avais soif d’expériences, et
j’écrivais sans arrêt. Cette année-là, alors que je travaillais en Italie, j’ai
rencontré un certain Joost Elffers — un éditeur et illustrateur. Un jour,
alors que nous nous baladions à Venise le long des canaux, Joost me
demanda si j’avais une idée de livre en tête.
Soudain, et cela me sembla venir de nulle part, une idée me vint.
Je lui répondis que je lisais beaucoup de livres d’Histoire, et que ces
récits — sur Jules César, sur les Borgia ou encore sur Louis XIV — ne
différaient en rien de ce dont j’avais été témoin en enchaînant les
jobs, bien qu’infiniment moins sanglants. Les gens veulent détenir le
pouvoir, mais ils cachent cet appétit. Alors ils maquillent les apparences.
Ils manipulent et complotent dans l’ombre tout en portant le masque
de la vertu. Je comptais révéler leurs manigances.
16
Tandis que je lui exposais, sans préparation aucune, la trame de
ce qui deviendrait mon premier livre, Power, j’ai ressenti un déclic.
Un sentiment d’exaltation m’a traversé de part en part. Cela me semblait
normal, naturel. C’était le destin. Je vis alors qu’il était enthousiaste,
et mon exaltation s’accrut encore. Il me dit qu’il adorait mon idée, et
qu’il me financerait le temps que j’écrive la première moitié du livre, et
qu’ensuite il tenterait de le faire publier, tout en assurant lui-même le
suivi éditorial, le graphisme et la fabrication de l’ouvrage. De retour
à Los Angeles, je me suis attelé à l’écriture de Power. Je savais que
c’était la chance de ma vie, ma seule et unique opportunité d’échapper
à ces années d’errance. Alors je m’y suis plongé corps et âme. J’y ai
consacré toute mon énergie, car je n’avais pas le choix : ce serait un
succès, ou ma vie serait un échec. J’y ai consigné toutes les leçons que
j’avais apprises en tant qu’auteur et en tant que journaliste, toutes les
expériences, bonnes ou mauvaises, acquises au cours de ces années
passées à accumuler les emplois, sous la houlette de patrons odieux.
Les lecteurs ressentirent mon enthousiasme et, à ma grande surprise,
le livre fut un énorme succès, bien au-delà de ce que j’avais imaginé.
Je réalise aujourd’hui, vingt-cinq après, que ce quelque chose qui
me guidait (et que j’évoquais ci-dessus) était un but, une raison de vivre.
C’était comme une voix dans ma tête qui me soufflait : « N’abandonne
pas. Continue. Continue. » Cette voix, que j’entendais depuis
l’enfance, me menait à l’œuvre de ma vie. Elle m’a permis d’avancer
et, étrangement, de garder espoir, et ce à travers les années que j’ai
vécues, les expériences que j’ai accumulées, les erreurs que j’ai faites et
les obstacles que j’ai bravés.
J’ai écrit bien des livres depuis, et je me consacre toujours à cette
œuvre. Comme tout le monde, j’ai besoin d’une raison de vivre, jour
après jour. Chacun de mes livres fait partie de ce destin, comme si
c’était écrit. Cette raison de vivre, qui m’a habité durant toute ma vie
et qui m’est apparue il y a vingt-cinq ans m’a permis de traverser des
moments difficiles. Et je pense que tout le monde peut vivre la même
chose. Il suffit de le ressentir. Il suffit de le chercher.
Voici la véritable leçon : il m’aura fallu du temps pour y arriver,
après bien des rebondissements. Je pense que cette révélation peut
advenir à n’importe quel moment de la vie — à 30 ans ou 40 ans. Reste
que ma vie a changé du tout au tout dès lors que j’ai compris quelle
était l’œuvre de ma vie.
17
1 E R
JAN VIE R
Découvrir sa vocation
« Chacun tient sa fortune entre ses propres mains, comme le sculpteur la matière
brute qu’il cisèlera. Mais il en est de ce type d’activité artistique comme
de toutes les autres : nous possédons de façon innée la capacité à les exécuter.
La manière de modeler un matériau pour en faire ce que nous voulons
doit être apprise et attentivement entretenue. »
18
2 JANVIE R
Loi du jour : Il y a une raison pour laquelle cette question vous obsédait
lorsque vous étiez enfant. Renouez avec cette obsession.
19
3 JANVIE R
La voix
— AB RAHAM MA S LOW
Loi du jour : Aujourd’hui, faites quelque chose que vous aimiez faire
lorsque vous étiez enfant. Tentez de renouer avec ces voix instinctives.
20
4 JANVIE R
« On dirait que tôt ou tard, quelque chose nous appelle à suivre un chemin
particulier. On se remémore parfois ce quelque chose comme un signal entendu
dans l’enfance, comme un désir sorti de nulle part, une fascination, un concours
de circonstances qui joue le rôle d’une annonce : voilà ce que je dois faire,
ce que je dois avoir. Voilà qui je suis. »
— JA M E S H I L L M A N
21
5 JANVIE R
22
6 JANVIE R
Loi du jour : Soyez souple, sachez faire évoluer vos envies. Les objectifs
et les rêves ne sauraient être rigides. Le changement est la règle absolue.
23
7 JANVIE R
L’argent et la réussite
24
8 JANVIE R
25
9 JANVIE R
26
10 JANVIE R
— CO CO CHAN E L
Loi du jour : Restez fidèle à ce qui vous rend bizarre, étrange, singulier,
différent. Là est la source de votre pouvoir.
27
Nous espérons que
cet extrait vous a plu !
REJOIGNEZ-NOUS !
www.alisio.fr/newsletter