Livre Analyse Financière
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Livre Analyse Financière
PERFECTIONNEMENT
Diplôme de l’École Nationale de Commerce et de Gestion
Niveau : 4ème année – Semestre 8
Filière : gestion financière et comptable
Sur le thème :
Encadré par :
• Mr. LAKHOUIL Abdellah, encadrant pédagogique
• MR ISMAIL BOUZRI encadrant professionnel
I. Remerciements :
Il m’est agréable d'exprimer ma reconnaissance envers toutes les personnes, qui m’ont aidé au
cours du stage, et je tiens à les remercier pour leurs soutiens et leur suivi continue.
Au terme de mon stage au sein de INDECLAIR j'adresse mes vifs remerciements, pour tout le
personnel du département Finance & Contrôle de gestion pour leur intérêt qu'ils m'ont suscité
durant toute la période.
Et plus précisément :
MONSIEUR ISMAIL BOUZRI vice-président chez indeclair à qui je tiens d'exprimer ma
vive reconnaissance pour son accueil, ses conseils et les encouragements dont il a fait preuve
à mon égard, ainsi que toute l’équipe comptable qui a rendu la période de mon stage aussi
agréable que bénéfique.
De même, j'adresse mes remerciements à l'ensemble du corps professoral et administratif de
l'Ecole Nationale de Commerce et de Gestion de TANGER.
II. Sommaire :
• INTRODUCTION GÉNÉRALE :
1. Contexte
2. Problématique
3. Objectif du thème
4. Structure du rapport
o Conclusion générale
o Annexes
o Bibliographie
▪ INTRODUCTION GÉNÉRALE :
1. Contexte :
Les recherches sur les entreprises familiales ont connu ces dernières années un regain
d’intérêt significatif, tant dans la littérature anglo-saxonne que francophone.
L’attrait des chercheurs pour ce thème d’investigation s’explique par l’importance prise par
cette catégorie d’entreprises dans le développement économique des nations industrialisées.
Les études contemporaines indiquent que les entreprises familiales représentent plus des deux
tiers de l’ensemble des entreprises des pays occidentaux : 75 % des entreprises seraient
familiales au Royaume-Uni, 80 % en Allemagne et en Espagne, 85-90 % en Suisse et 99 % en
Italie
L’intérêt des chercheurs s’explique aussi par la relative méconnaissance des principes de
management et des niveaux de performance qui caractérisent ces entreprises.
Les entreprises familiales offrent un terrain d’étude privilégié pour les théories des sciences
de gestion, en particulier pour la théorie financière, la théorie des organisations et les théories
des ressources humaines. A la lumière de la finance organisationnelle, les firmes familiales
s’inscrivent dans le champ d’application des théories des droits de propriété (et de l’agence),
alors que « l’influence de la forme de propriété sur l’organisation et la gestion de l’entreprise
reste mal cernée ».
Ces différents courants théoriques servent d’appui à des questionnements forts, notamment
sur l’adoption par les entreprises familiales d’un comportement financier spécifique ou sur
leur niveau de performance financière relative, par rapport aux entreprises managériales. Les
enjeux ne sont pas moins importants au regard des théories des ressources humaines. Alors
que la dimension humaine des firmes familiales constitue incontestablement un atout (Catry
et Buff, 1996), les théories de l’implication organisationnelle (Mowday et alii, 1982),
notamment, permettent de s’interroger sur les facteurs particuliers de gestion des ressources
humaines et de fidélisation en leur sein, ainsi que sur l’existence d’outils propres de
mobilisation du personnel, incitant les salariés à produire des efforts conformément à leurs
intérêts, leurs objectifs et leurs valeurs. Ce double cadre de référence éclaire la problématique
originale des firmes familiales en suggérant la conduite d’études sur cette population
d’entreprises. Toutefois, les entreprises familiales forment, à la lecture des travaux
académiques et des recherches empiriques réalisées, un ensemble souvent ambigu, dont la
définition, en l’état actuel du développement de la littérature, ne fait l’objet d’aucun
consensus (Handler, 1989 ; Litz, 1995 ; Birley, 1997 ; Westhead et Cowling, 1998 ; Chua et
alii, 1999). Les ambivalences et les confusions entretiennent le manque de clarté
conceptuelle et entachent la portée pratique de nombre d’études, notamment
comparatives, qui présupposent une définition précise et opérationnelle de ces
entreprises. Westhead et Cowling (1998) montrent en effet, à partir d’un échantillon
d’entreprises non cotées, que la définition retenue affecte sensiblement les résultats
obtenus : en appliquant successivement sept définitions différentes, la proportion
d’entreprises familiales varie de 15 à 80 % dans l’échantillon total.
2. Problématique :
La performance financière de l'entreprise familiale est une question cruciale pour la pérennité
et le développement de l'entreprise. En effet, la gestion financière d'une entreprise familiale
peut être complexe en raison des relations familiales qui peuvent interférer avec les décisions
stratégiques et les pratiques de gestion. Ainsi, la problématique de la performance financière
de l'entreprise familiale peut être abordée sous différents perspectives, notamment :
La gouvernance et la structure de propriété : Les entreprises familiales sont souvent
confrontées à des défis liés à la gouvernance et à la structure de propriété. En effet, la relation
de parenté entre les membres de la famille peut conduire à des conflits d'intérêts et à des
décisions irrationnelles. Une gouvernance clairement définie et une structure de propriété bien
organisée sont donc essentielles pour assurer la performance financière de l'entreprise
familiale.
La planification financière à long terme : Les entreprises familiales doivent souvent envisager
leur avenir à long terme, en prévoyant les besoins futurs en financement, les risques
potentiels, les opportunités d'expansion, et les objectifs financiers à long terme. Une
planification financière adéquate est donc essentielle pour assurer la performance financière
de l'entreprise familiale.
Les relations avec les parties prenantes externes : Les entreprises familiales peuvent être
confrontées à des défis liés à la gestion des relations avec les parties prenantes externes,
notamment les clients, les fournisseurs, les partenaires commerciaux, les investisseurs et les
créanciers. Des relations solides avec ces parties prenantes sont essentielles pour assurer la
performance financière de l'entreprise familiale.
La gestion des ressources humaines : Les entreprises familiales ont souvent des employés qui
sont également des membres de la famille. La gestion des ressources humaines peut donc être
complexe et sensible, notamment en ce qui concerne les questions de rémunération, de
promotions et de développement des compétences. Une gestion des ressources humaines
efficace est donc cruciale pour assurer la performance financière de l'entreprise familiale.
En somme, la performance financière de l'entreprise familiale est influencée par une multitude
de facteurs, allant de la gouvernance et la planification financière à la gestion des relations
avec les parties prenantes externes et la gestion des ressources humaines. Il est donc important
de prendre en compte ces différents éléments pour assurer la pérennité et la croissance de
l'entreprise familiale.
3. Objectifs du thème :
Le thème de la performance financière de l'entreprise familiale vise à comprendre
comment les entreprises familiales peuvent améliorer leur rentabilité, leur croissance
et leur durabilité à long terme. Les entreprises familiales ont des caractéristiques
particulières qui les distinguent des autres types d'entreprises, telles que la propriété,
la gestion et la gouvernance familiales. Ces caractéristiques peuvent avoir des
implications importantes sur la performance financière de l'entreprise.
L'objectif de ce thème est donc d'explorer les différentes stratégies et pratiques que
les entreprises familiales peuvent mettre en œuvre pour améliorer leur performance
financière, tout en prenant en compte les particularités de leur structure et de leur
culture. Il peut s'agir, par exemple, de stratégies de croissance organique ou de
croissance externe, de pratiques de gestion financière efficaces, de politiques de
dividendes et de réinvestissement des bénéfices, de mesures de gestion des risques
financiers, et de politiques de succession appropriées.
4. Structure du rapport :
Afin d’apporter des éléments de réponse à notre question de recherche, nous avons choisi une
structure permettant d’entamer différents éléments en relation avec le sujet étudié, et ceci en
deux partie. Commençant par une partie théorique dans lequel nous allons aborder le sujet
étudié, on a traité les concepts fondamentaux de l’entreprise familiales ainsi la performance
financière de cette dernière, on a traité aussi les principales théories en relation avec notre
sujet, pour arriver finalement au indicateurs de mesure de performances financière. La
deuxième partie s’articule principalement autour la pratique et l’entreprise dans laquelle j’ai
effectué mon stage d’application et nous allons entamer les forces et les faiblesses de de
l’entreprise familiale.
▪ Chapitre 1 : La performance financière de
l’entreprise familiale
INTRODUCTION DU CHAPITRE
Les succès d’aujourd’hui créent les attentes de demain. Pour réaliser leur potentiel, les
entreprises doivent en permanence améliorer leurs performances et concrétiser leurs projets et
objectifs quels que soient les changements qui affectent leur environnement. Les entreprises
cherchent toujours à améliorer leur performance, car elle exprime le degré
d’accomplissements de leurs objectifs poursuivis. Cette dernière est un concept imprécis et
multidimensionnel, qui ne se comprend que dans le contexte où il est utilisé : performance
financière, économique, organisationnelle, sociale, sociétal..., ces notions sont utilisées afin
d’améliorer la performance pour garantir un meilleur positionnement sur le marché et aussi
pour mieux cerner et comprendre ce concept. Une entreprise est performante si cette dernière
crée de la valeur pour son propre profit ainsi que pour ses parties prenantes : actionnaires,
salariés, client.
La performance est un concept souvent évoqué aussi bien dans la vie quotidienne que dans la
vie professionnelle. Elle est devenue une obligation pour les différents acteurs quels que
soient leurs domaines d’actions. Ce concept omniprésent dans la société actuelle a incité de
nombreux chercheurs à se pencher sur la question de la performance, essayant de la définir,
cherchant les différentes conceptualisations de cette notion, se penchant sur les méthodes
d’évaluation de cette performance, et sur les facteurs qui l’induisent où qui l’inhibent.
La performance est une notion polysémique donc il y a lieu de la définir et de présenter les
éléments qui la déterminent.
Par conséquent, la performance liée à l'auteur peut être analysée selon deux critères :
Efficacité : définit la mesure dans laquelle l'objectif est atteint, quels que soient les moyens
utilisés ;
L’efficacité :
Dans le langage courant de la gestion, on parle de l’efficacité lorsqu’on veut mettre en
relation les résultats et les objectifs. Elle signifie que les actions menées ont permet de
répondre « Aux principaux constituants stratégiques »
L'efficacité est la meilleure relation entre le degré de réalisation d'un objectif et les moyens
utilisés pour atteindre l'objectif, cependant l'efficience est la capacité à obtenir des résultats.
L’efficience :
Alors que L’efficience, « maximise la quantité obtenue à partir d’une quantité donnée de
ressource ou minimise la quantité de ressources consommées pour une production donnée »
Par conséquent, nous parlons d'efficience, qui est une mesure qui n'est pas gaspillée lors de
l'utilisation efficace des ressources (humaines, techniques, financières et autres)
Le concept de performance englobe à la fois l'efficacité et l'efficience, bien que ces deux
concepts ne soient pas nécessairement implicites. En bref, si l'efficacité est atteinte,
l'efficience de la cible et la meilleure façon d'atteindre la cible.
ème
Source : BESCOS P.L ET AL, « contrôle de gestion et management », Mont chrétien, 4 édition, paris, 1997,
p42ème
La performance est alors celle du maintien d'une « distance » avec les concurrents au travers
d'une logique de développement à long terme entretenue par une forte motivation (base du
système de récompense) de tous les membres de l'organisation.
La performance à long terme est donc associée à la capacité à remettre en cause des avantages
acquis pour éviter l'échec d'un bon concept, à la définition d'un système de volonté visant le
long terme et, in fine, à la capacité de l'entreprise à trouver des sources de valeur créatrices de
marge.
Mettant l'accent sur la qualité de la stratégie, et donc du stratège, axée sur la compréhension
de l'environnement, cette approche a eu spontanément tendance à identifier la performance
globale à la compétitivité.
>La performance humaine :
Il est de plus en plus reconnu que l'entreprise n'est pas durablement performante
financièrement si elle n'est pas performante humainement et socialement. Les questions liées
aux compétences, à la capacité d'initiative, à l'autonomie, à l'adhésion des salariés, à la
réalisation des objectifs, voire au projet et donc à la culture de l'entreprise, constituent des
éléments déterminants.
L'Efficacité humaine, Eh, susceptible d'être libérée par un groupe humain s'exprimerait donc
par : Eh=M.C.C.
• M : motivation à volonté d'agir et de réussir, adhésion dynamique de chacun
• C : compétence professionnalisme, savoir et savoir-faire (c'est la condition de
l'efficacité individuelle)
À compétence égale, les performances peuvent être différentes. C'est que si la compétence est
un savoir-faire, la performance présuppose toujours l'existence d'un vouloir-faire ou
motivation. Cette motivation (c'est-à-dire ce qui va conduire l'acteur à s'engager effectivement
dans l'action qui lui est proposée par l'entreprise) détermine les stratégies d'actions choisies
par l'acteur, stratégies Soumises aux données de l'environnement de travail qui rendent plus
ou moins possible la réalisation de l'action (pouvoir-faire). Cet environnement peut lui-même
être caractérisé par des données d'organisation (rôles prescrits, injonctions, moyens,...) et des
données de culture (représentation dominante), ainsi d’autre forme de performance existe tel
que la performance sociale et celle sociétale et environnementale.
>La performance financière :
C’est la capacité d’une organisation à faire du profit, à être rentable en faisant de la valeur
ajoutée et en atteignant ses objectifs fixes à partir d’une stratégie.
Selon P.Paucher, la firme performante est celle qui investit de façon régulière, c’est –à-dire
des dépenses immédiates réaliser en vue de recettes futures, afin d’assurer sa survie et sa
croissance. Toutefois, l’auteur ajoute que le financement de ces dépenses immédiates ne sera
possible que si la firme a réalisé précédemment un surplus monétaires ou une épargne.
Pour SAHUT et AL, la performance financière peut être comme les revenus issus de la
détention des actions. Les actionnaires étant le dernier maillon de la chaine à profiter de
l’activité de l’entreprise.
Ce lien n'est pas créé par la prise de décision stratégique, mais parce qu'il est la cristallisation
de l'histoire de développement continu de l'entreprise. Nom, famille, époque, histoire entière,
tout le monde pense que l'entreprise est entrée dans une longue période de temps, dont il y a
au moins deux générations. De nombreuses définitions des entreprises familiales dépendent
de leur choix comme lignes directrices
En conséquence, les entreprises familiales ne peuvent pas être arrêtées par une forme ou une
échelle juridique spécifique. Du point de vue de l'intrication de la valeur famille / entreprise,
certains concepts méritent d'être clarifiés, et les principaux problèmes sont soulevés, en
particulier en ce qui concerne les limites de la famille, le nombre de ménages pouvant
contrôler l'entreprise et la définition de l'entreprise. En ce qui concerne la question de la
transmission et la notion de contrôle sur le nombre de générations, nous pouvons la considérer
comme une entreprise familiale. Comme son nom l'indique, une définition monocritères est
une définition qui ne retient qu'une seule norme pour que l'entreprise ait des qualifications
familiales. Bien que les normes suivies Par ces auteurs soient différentes, les principales
normes utilisées sont les suivantes : le pourcentage des parts familiales détenues dans le
capital de l'entreprise, le contrôle familial sur les affaires de l'entreprise et le contrôle ultime. ,
c’est-à-dire l'interaction entre le secteur familial et le secteur des entreprises. Ce dernier
critère peut être observé à travers la participation de la famille à l'administration de
l'entreprise. Cependant, cette définition de critère unique est rarement utilisée dans la
littérature.
✓ La théorie de l’enracinement
✓ L’agence et l’intendance : deux outils d’analyse de l’entreprise familiale
b. La performance des entreprises familiales :
Malgré sa particularité, les entreprises familiales sont soumises aux différentes définitions des
performances proposées ci-dessus, ce qui est plus correct, car elles sont souvent comparées
aux entreprises non familiales en termes de performances. De ce point de vue, cela montre
que les entreprises familiales sont plus efficaces que les entreprises non familiales. Selon les
normes comptables, nous pensons que la performance économique des entreprises contrôlées
et gérées par des familles est nettement améliorée. L'avantage de performance de l'entreprise
familiale s'apprécie à mesure que les ventes augmentent, mais les marges bénéficiaires nettes
et les marges bénéficiaires d'exploitation augmentent.
D'un autre côté, le contrôle passif de la famille n'affectera pas les performances de l'entreprise
familiale, même si la participation de la famille est bénéfique pour l'entreprise, elle
n'augmentera pas sa valeur. Cependant, les tensions et les différences au sein de la famille
détruiront le développement de l'entreprise et réduiront son efficacité. À partir de la
génération du cousin, les conflits psychologiques au sein de la famille de l'héritier éroderont
les avantages d’une surveillance réduite, la littérature nous permet d'identifier les différentes
sources de conflits, notamment la vision et les objectifs de l'entreprise (décentralisation des
postes, politique de répartition des bénéfices).
c. Les indicateurs de mesure de la performance au sein des entreprises :
• Tableau n°1 : Les mesures qui rendent compte d’une performance globale
Domaines de performances Indicateurs
Personnel Présentéisme ;
Taux de satisfaction.
-La politique financière : est l’un des plus importants déterminants de la performance
financière. « La politique financière est la conduite des affaires de l’entreprise pour
ce qui concerne ses aspects financiers structurels. Elle consiste à préparer et à
prendre les décisions utiles en vue d’atteindre l’objectif de maximisation de la
richesse énoncé ci-dessus. Cela suppose la définition et la mise en place
d’instruments de mesure et d’évaluation adaptés. Cela nécessite de choisir les
critères et les sous- objectifs pour les décisions intermédiaires. Cela implique, enfin,
d’organiser les circuits d’informations.» Ainsi, les principales composantes de la
politique financière sont :
En effet, la politique financière est l’ensemble des pratiques mises en œuvre par les
dirigeants d’une firme pour appréhender les flux financiers qui la traversent et influer
sur eux dans le sens voulu. Elle est une pratique orientée vers l’accomplissement
d’un but ou, plus exactement, vers l’atteinte d’un ensemble d’objectifs.
- La compétitivité d’une entreprise : représente ses performances à long terme, sa
croissance, une entreprise dite compétitive obtient des résultats supérieurs à la
moyenne.
De façon plus fine, la compétitivité peut s’exprimer au niveau de produit. On
distingue alors la compétitivité prix et la compétitivité hors prix. La première se
rapporte à des produits substituantes entre eux et qui rivalisent par les prix.
La seconde fait référence à des explications structurelles des performances en
termes de qualité de produit.
Selon SAUVIN, « être compétitif, c’est être capable d’affronter la concurrence tout en
se protégeant ».
La compétitivité participe à la détermination de la performance financière de
l’entreprise, car elle permet de générer des ressources financières.
-La création de valeur : consiste, d’une part, à accroitre la productivité de l’entreprise
et, d’autre part, à rechercher une croissance durable et rentable. La création de
valeur peut s’apprécier à travers la capacité de l’entreprise à effectuer des
investissements, plus au moins risqués, avec une rentabilité qui est supérieur au
cout moyen pondéré du capital.
Elle rapporte la richesse produite aux moyens capitalistiques engagés (immeubles, machines,
brevets, besoin de fond de roulement...). Elle permet de mesurer la capacité de l’entreprise à
offrir un rendement à l’ensemble de ses sources de financement, créanciers et actionnaires.
Elle détermine quel revenu l’entreprise parvient à générer en fonction de ce qu’elle a. C’est
donc un ratio utile pour comparer les entreprises d’un même secteur économique.
La rentabilité financière mesure la capacité des capitaux investis par les actionnaires et
associés (capitaux propres) à dégager un certain niveau de profit. Ce ratio correspond à ce que
la comptabilité anglo-saxonne appelle le « Return on equity » ou encore « ROE ».
La profitabilité :
Le taux de profitabilité est un ratio établi entre le résultat net comptable et le chiffre d’affaire
hors taxes (CAHT). Cet indicateur permet de mesurer la profitabilité d’une entreprise en
fonction de son volume d’activité.
Les analystes financiers utilisent ce taux de profitabilité pour évaluer les résultats futurs. En
économie, la profitabilité d’une entreprise est l’un des critères favoris des investisseurs. En
effet, elle exprime sa capacité à dégager un revenu à partir des ressources financières qu’elles
emploient. Les sociétés affichant un taux de profitabilité élevé sur le long terme sont
particulièrement recherchées, car elles procurent une sécurité financière à leurs actionnaires.
La profitabilité est toujours exprimée sous forme de ratio entre, d’un côté, un volume
d’activité, de l’autre, un volume de résultat.
Fond de roulement :
(BFR) : est la somme nécessaire que l'entreprise doit posséder pour payer ses charges
courantes en attendant de recevoir le paiement dû par ses clients. Le besoin en fonds de
roulement montre l'autonomie financière de l'entreprise à court terme puisque cet indicateur
représente la somme d'argent nécessaire pour financer ses charges sans qu'elle ait besoin
d'encaisser ses clients en même temps.
La trésorerie nette :
Les études qui traitent la relation entre l’entreprise familiale et la performance financière sont
majoritaires. La notion de performances financières de l’entreprise est entendue au sens large
et mesurée par des critères très différents suivant les études. D’une manière générale, la
performance est illustrée par l’inclination des entreprises familiales pour des stratégies à long
terme plutôt que par un besoin de résultats rapides, par une aversion à la dette (Allouche et
Amann, 1995) et par une tendance au réinvestissement des dividendes (Gallo, 1994).
Pour Monsen, Chiu et Cooley (1968), la séparation entre le contrôle et la propriété entraîne à
penser que les motivations des propriétaires sont différentes de celles des managers. L ́effet de
ces différences de motivation entraîne des différences de performance. L ́étude menée sur la
période 1953-1963 compare la performance de deux sous-échantillons classés par type de
contrôle. Dans le premier échantillon, on trouve des entreprises sous le contrôle des
propriétaires (individu, famille, holding familial). Dans le second échantillon, qualifié de
contrôle managérial, on trouve des entreprises au sein desquelles aucun groupe d ́actionnaires
ne détient plus de 5% des droits de vote avec une présence au conseil d’administration ou à la
direction, et où il n ́y a aucune preuve récente d ́un contrôle exercé par le propriétaire. Une
différence significative a été trouvée entre ces deux échantillons avec le ratio de retour sur
investissement. Ce ratio montre que les entreprises familiales ont une valeur supérieure de
75% à celui des entreprises à contrôle managérial.
En 1969, Monsen conforte ses résultats en montrant que les entreprises familiales fournissent
un meilleur retour sur investissement avec une structure de capital mieux contrôlée et une
allocation des ressources plus efficace.
Palmer (1973) réalise l ́étude sur un échantillon de 500 entreprises entre la période 1962-
1969. Il considère que le contrôle familial est fort lorsque la famille détient plus de 30% du
capital, par contre le contrôle est faible lorsque la famille détient entre 10 et 29 %. Il constate
que si le degré du pouvoir de monopole est élevé, les entreprises familiales ont des taux de
profit significativement plus élevés. Sorensen (1974) a effectué son étude sur 60 entreprises,
dont 30 familiales (20% des actions ou plus sont détenus par la famille) et 30 managériales
(pas de bloc plus de 5%) durant la période 1948-1966 pour constater que les entreprises
familiales se développent plus rapidement que les autres types d’entreprises. Jaffe (1990)
constate à partir d ́une étude réalisée en 1986 que sur les 47 plus grandes entreprises
familiales américaines, 31 ont une performance supérieure à l’indice de Dow-Jones. D’autres
études réalisées par Sraer et Thesmar (2006), Allouche et Amann (1995, 1998), Gallo et
Vilaseca (1996), Romieu et Sassenou (1996), Djelassi (1996) montrent une influence positive
de l ́actionnariat familial.
En France, Charreaux (1991), sur la base d’une littérature conservée à la théorie de la firme
propose à titre de synthèse trois conceptions :
(1) La thèse de la convergence des intérêts : plus le pourcentage du capital détenu par les
dirigeants est important, plus l’écart avec l’objectif de maximisation de la valeur est faible.
(2) La thèse de neutralité : toutes les structures de propriété sont équivalentes.
(3) Le thèse de l’enracinement : les dirigeants échappent au contrôle des actionnaires et gèrent
de manière contraire à l’objectif de maximisation de la valeur.
Dans ce cadre conceptuel, Charreaux a mené sur le cas français une tentative de validation
empirique qui conduit en définitive à rejeter l’hypothèse d’un lien entre performance et
structure de propriété et à accréditer la thèse de neutralité, sauf à s’en tenir non pas à la
performance financière (maximisation de la richesse des actionnaires fondée sur les fonds
propres) mais à la performance économique (maximisation de la valeur globale de
l’entreprisefondée sur le Q de Tobin) pour laquelle on observe une différence significative
entre les sociétés familiales et autres.
D ́une manière générale, la majorité des études font apparaître que la rentabilité moyenne des
entreprises familiales est largement supérieure à celle des entreprises non familiales pour l
́ensemble des années observées. Car, plus la part de firme est détenue par son dirigeant,
comme le cas de l ́entreprise familiale à contrôle majoritaire, moins le dirigeant est tenté de
consommer de revenus non pécuniaires dans la mesure où c ́est lui qui supportera les coûts.
Donc, le couplage des fonctions de manager, de contrôle et de propriété dans les entreprises
familiales supprime les conflits d ́intérêts, réduit les coûts d ́agence et augmente la
performance (Mignon S., 2000). La question posée est alors celle de savoir si la supériorité,du
contrôle familial, largement démontré par les études empiriques, reste stable dans un contexte
actuel, caractérisé par l’émergence forte d’un actionnariat dispersé.
Conclusion du chapitre :
La performance est la mesure des résultats obtenus par l’entreprise. C’est un concept
multidimensionnel qui intègre multiples dimensions pour la définir, elle se mesure sous
différents ongles et ne se limite pas uniquement à la dimension financière, elle est mesurée
par différents indicateurs, cette différenciation est due au fait que les auteurs n’ont pas tous la
même vision de ce concept. L’entreprise souhaite désormais une mesure de la performance
financière utile et dynamique pour évaluer les décisions stratégiques pertinente, elle doit donc
effectuer des mesures au niveau de toutes ses dimensions, on intégrant une dimension
opérationnelle et financière. Notre étude repose sur des indicateurs clé et précis pour
apprécier la rentabilité, la profitabilité et la pérennité de l’entreprise. En effet pour évaluer la
performance financière de l’entreprise en général et de l’entreprise familiale en particulier, les
dirigeants peuvent faire appel à des outils et des méthodologies multiples.
-Chapitre 2 : cas de l’entreprise
INDECLAIR
Introduction du chapitre :
Notre travail s’intéresse aux entreprises familiales plus précisément aux performances
financières des entreprises familiales. Le premier chapitre permet de définir le cadre général
de notre étude et donner des éléments de réponses théoriques à notre problématique. Il faut
noter que ces éléments de réponse restent des suppositions à infirmer ou confirmer en faisant
recours au terrain. C’est pour cela dans ce chapitre on va faire une présentation générale de
l’entreprise et on va discuter le comment la performance financière a fait évoluer cette
entreprise familiale et son rôle imminent dans cette dernière.
1. Présentation de l’entreprise INDECLAIR :
a-fiche signalétique de l’entreprise :
❖ EFFECTIF : Entre 20 et 50
❖ CHIFFRE D'AFFAIRES : De 10,000,000 à 50,000,000 DIRHAMS
❖ CAPITAL : S.a.r.l. 6,000,000.00 DH
❖ RC : 11127 Oujda
❖ CREATION : 1978
❖ ICE :001548822000058
-DIRIGEANTS :
-PRODUITS / SERVICES :
Créée en 1978 par les frères HOUAT à Oujda, capitale orientale du Maroc, s'étalant sur une
superficie de 10000 m2, Indeclair est une entreprise à vocation industrielle basée sur une
technologique avancée utilisant des moyens de fabrication ultra moderne. La gamme de
production de la société Indeclair comprend des produits électriques, électromagnétiques et
électroniques. C'est une référence sur son marché d'activité par ses produits notamment les
ballasts pour lampes tubulaires à fluorescence, les ballasts pour lampes à décharge, les
transformateurs, les luminaires et autres produits électroniques.
Depuis sa création Indeclair s'est efforcée de choisir un système de management basé sur les
standards internationaux. En effet, dès 1984 le laboratoire central des industries électriques
français lui a délivré un certificat de conformité pour les ballasts pour lampes tubulaires à
fluorescence conformément à la norme française NF C 71-212. Deux ans après, un trophée
international de technologie fut décroché à Frankfurt lui permettant ainsi une renommée
internationale en exportant dans des pays européens et dans la majorité des pays arabes et
africains.
En 2002 Indeclair a entamé une démarche qualité pour la certification IS0 9001 version 2000.
Cette consécration s’est réalisée par l'obtention de cette certification en Août 2004.
Dans le souci permanent de satisfaire les exigences de sa clientèle et de son marché, Indeclair
a été Couronnée par l'octroi pour les ballasts de la norme marocaine NM 067071, NM 067026
et NM067070 en 2004 offrant ainsi une sérieuse fiabilité et garantie d’utilisation de ses
produits.
Aussi et dans le cadre de l'intégration de sa production, Indeclair a investi dans la production
du fil émaillé, offrant ainsi le meilleur rapport qualité service sur le marché marocain.
Se dotant ainsi d'un grand parc de machine, d'une PAO et d'un personnel hautement qualifié
Indeclair peut satisfaire toutes les demandes du marché de la sous-traitance et produire tous
les types de ballasts et transformateurs.
Obtention de la certification ISO 9001 version 2000.
Obtention de droit d'usage pour les ballasts la marque de conformité aux normes marocaines
NM SNIMA.
c. Description des activités de l’usine :
L’usine est divisé en deux grandes parties la première partie c'est une partie sur le cuivre et la
deuxième partie c'est une partie de fabrication d'appareillage électrique la première partie sur
le cuivre elle se compose tout d'abord d'une partie couler avec un four où on transforme un
produit qui s'appelle la Catteau de cuivre qui passe dans un four qui est chauffée à 1200° ont
coulé continue 24 heures sur 24 avec quatre jours de coupure quotidien c'est coulé donne un
fil de cuivre qui s'appelle OT qui a un diamètre 28 mm, Et ensuite ce fils de 8 mm passe dans
une unité qu'on appelle l'unité de tri filage pour être pour subir une réduction de diamètre il
passe de 8 mm à un fil de diamètre qui va entre 5 mm et 0,12 mm en fonction de l'utilisation
une fois tréfiler il passe dans un four de recuit qui est entre 800 et 900° pour figer ses
capacités et ses propriétés physiques et ensuite va passer dans une des deux machines
démaillage . La première machine démaillage est une machine vertical l'autre une machine
horizontal et en fonction du diamètre du fil il va passer soit dans l'une soit dans l'autre cette
machine va venir affiner le diamètre du cuivre parce que en sortant du très filage il a une
tolérance de plus au moins 0,1 ou 0,01 mm en fonction du diamètre qu’on va tréfiler, donc
elle va venir retirer l'excédent quand il y en a et cet excédent fin naturellement se poser là oui
en manque ensuite il va passer dans plusieurs four en premier recuit un émaillage puis un
deuxième recuit puis un troisième recuit il va faire 12 passe il m'a donné un produit qu'on
appelle le fil de cuivre mail.
Le fil de cuivre émaillé est un fil de cuivre qui va être couvert d'un vernis en polyamide très
très faim qui va venir l'isoler du monde extérieur le fil de cuivre émaillée est majoritairement
utilisés dans la fabrication des transformateur et la fabrication des moteurs électriques le faite
qu'il soit émaillée avec un vernis fin permet de faire des spirales donc rouler entre autour de
lui-même qui vont devenir des bobines et c'est pas bien on crée un champ magnétique qui va
permettre de transformer et de modeler le circuit électrique qui passe qui passe dans le file ce
qui est dans un cas des moteurs donne la force de mouvement dans le cadeau transformateur
permet de changer l'attention ou l'intensité du transformateur qu'on utilise.
La deuxième partie de l'usine c'est la partie de fabrication d'appareillage électrique elle est
divisé en plusieurs division la première division c'est la division de la fabrication de la lampe
la deuxième c'est la partie d'injection de plastique la troisième c'est la partie refondue et
travaux ferreux et la quatrième partie c'est la partie électronique.
Donc dans la partie de fabrication de la lampe on fabrique des lampes à décharge et des
lampes à iodure métallique c'est un procès un peu compliqué.
La fabrication d'une lampe à décharge iodure métallique est sensiblement la même on prend
un cœur en verre dans lequel on va venir dans une chambre complètement hermétique à
atmosphère contrôler injecter certaines matières c'est soit du sodium soit du mercure soit de la
iodure métallique c'est pour ça qu'on fait en atmosphère contrôler dans une chambre isolée on
va venir injecter un peu de cette matière dans son cœur en glace en verre et on va le le
refermer ce que qu’on va venir souder une anode et cathode qui vont transporter le pour le
courant électrique au milieu du sodium ou du mercure ou la de la iodure Métallique.
On place au cœur sur une structure qui est censé le retenir contrôler le courant électrique
normé à un amorceur intégrer dans certaines lampes et dans d'autres les plus grosses on n'en
met pas on va ensuite mettre souder ce cœur à un culot en laiton ou en acier sont en fonction
de en inox acier inoxydable inox et ensuite on va venir souder ce culot avec du feu à plusieurs
processus de feu à la coque envers la lampe c'est le produit que tu vois à la fin ensuite on va
venir l'emballer et le stocker dans le magasin.
La partie de l'injection c’est une partie où on va revenir injecter des compound pour des
petites graines de plastique pour cela on a quatre machines injection plastique qui vont entre
150 tonnes et 250 tonnes de pression qui va venir chauffer le plastique le mettre dans une le
pousser grâce à une vis infini dans un moule le boule qui va venir refroidir le plastique le
plastique fondu endurci ça on va prendre la forme de semoule et dans ce c'est partie injection
on fabrique majoritairement des produits qui vont être transformé donc des produits semi-
finis en plastique comme des connecteurs des caches des carcasses de copines qui vont être
utilisé plus tard dans la transformation
Ensuite, nous transformateur et nos bagages qui sont passés dans la peinture pour
venir recevoir à leur étiquetage envie qu'il fait à l'encre puis vont être emballé et
placés dans des emballages soit individuelle soit par six en fonction du où par 12 ou
pas beaucoup plus en fonction du produit qu'on est en train de fabriquer.
Il y a un magasin central dans lequel est centralisé tous les stocks de produits finis
ou de produits semi-finis avant qu'ils partent à l'expédition l'entreprise se situe sur le
site ce que je viens d'écrire c’est l’usine à Oujda .sur casa il y a un magasin de 1000
m² dans lequel on fait la distribution donc les produits finissons transcendant
transposer dans ce magasin là pour continuer leur régime de distribution ,l'entreprise
vend au Maroc mais exporte entre nombreux pays comme la Tunisie la Turquie et
l'Égypte le Congo la Côte d'Ivoire le Sénégal Cameroun de la Mauritanie en tout cas
plusieurs périodes pays du Moyen-Orient et d'Afrique Afrique, Une petite particularité
le fil de cuivre émaillée est aussi exporté au Mexique en Espagne en Italie et à Cuba.
Voici quelques considérations générales qui peuvent impacter la performance financière d'une
entreprise familiale en croissance :
• Gestion efficace : Les entreprises familiales peuvent souvent avoir des structures de
gestion plus informelles que les entreprises non familiales. Cela peut être un avantage
en termes de prise de décision rapide, mais cela peut également entraîner des lacunes
dans la planification stratégique, la gestion des finances et la surveillance des
opérations. Pour assurer une performance financière solide, il est important que
l'entreprise dispose d'une équipe de gestion compétente et professionnelle.
• Modèle d'affaires solide : La croissance durable d'une entreprise familiale repose sur un
modèle d'affaires solide qui génère des revenus stables et des marges bénéficiaires
saines. Cela nécessite une compréhension approfondie du marché, des clients et des
concurrents, ainsi qu'une capacité à innover et à s'adapter aux changements du marché.
• Contrôle des coûts : Les entreprises familiales peuvent être plus enclines à dépenser de
l'argent sur des projets de passion ou de prestige, plutôt que sur des investissements
rentables à long terme. Pour assurer une performance financière solide, il est
important que l'entreprise contrôle ses coûts, évite les dépenses superflues et investisse
dans des projets qui sont rentables et alignés sur sa stratégie à long terme.
▪ Menaces :
✓ Agilité : Les entreprises familiales peuvent être plus agiles et plus flexibles que
les grandes entreprises. Cela leur permet de s'adapter rapidement aux
changements du marché, d'innover et de répondre aux besoins des clients, ce
qui peut leur permettre de maintenir une performance financière solide.
Voici quelques éléments de politique qui peuvent être pertinents pour la performance
financière d'INDECLAIR :
En somme, pour assurer une performance financière solide, INDECLAIR doit être
conscient de la politique de l'entreprise familiale et mettre en place des stratégies
pour gérer la succession, planifier financièrement à long terme, gérer la réputation et
intégrer les membres de la famille de manière efficace.
Conclusion du chapitre :
WEBOGRAPHIE :
https://family-and-co.eu/les-7-grandes-tendances-dans-la-swot-de-lentreprise-familiale/
http://cnge.affaires-
generales.gov.ma:8080/codes/CODE_MAROCAIN_DE_BONNES_PRATIQUES_DE_GOU
VERNANCE_DES_PME.pdf
https://www.cairn.info/revue-management-et-avenir-2015-5-page-157.htm
I. Remerciements : 1
II. Sommaire : 2
• INTRODUCTION GÉNÉRALE : 4
1. Contexte : 4
2. Problématique 5
a. Questions dérivées de la problématique : 6
3. Objectifs du thème : 7
4. Structure du rapport 7
• Chapitre 1 : La performance financière de l’entreprise
familiale 9
1. Généralités sur la performance de l’entreprise : 10
a. Le concept de la performance globale de l’entreprise et
ses critères : 10
b. Définition du concept de la performance 11
c. Les principaux critères de la performance : 12
d. Les différents types de la performance : 13
2. La performance de l’entreprise familiale 15
a. L’entreprise familiale et ses théories 16
b. La performance des entreprises familiales : 17
c. Les indicateurs de mesure de la performance au sein des
entreprises : 18
• Tableau n°1 : Les mesures qui rendent compte d’une
performance globale 19
3. la performance financière de l’entreprise
familiale. 19
a. Les déterminants et les indicateurs de performances de
l’entreprise familiale : 19
La rentabilité économique ROA (Return on assets) : 22
La rentabilité financière et l’effet de levier financier : 22
L’autofinancement : 22
Le Besoin en Fonds de Roulement 23
La trésorerie nette : 23
b. L’appréhension financière de l’entreprise
familiale 23
-Chapitre 2 : cas de l’entreprise INDECLAIR 27
1. Présentation de l’entreprise INDECLAIR : 28
a-fiche signalétique de l’entreprise : 29
b-histoire de l’entreprise : 29
c. Description des activités de l’usine : 30
2. La performance financière dans le cas de notre
entreprise familiale INDECLAIR dans sa croissance : 33
a-Les facteurs qui ont impacté croissance de
l’entreprise : 33
b. Menaces et opportunités de l’entreprise
INDECLAIR : 34
c.la politique de l’entreprise familiale INDECLAIR au niveau
de la performance financière : 35
CONCLUSION GÉNÉRALE : 37
o Bibliographies : 38