Rapport de Stage Ouvrier
Rapport de Stage Ouvrier
Rapport de Stage Ouvrier
Recherche Scientifique
Réalisé par
Amine BOURAS - 1 ère année Génie Mécanique
De 1 Aout jusqu’au 31 Aout
Entreprise d’accueil
MCSR – Warda groupe
Encadrant industriel :
M. Raouf MASMOUDI - M. Husine LOUED
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Table de matière
Chapitre 1 : Présentation de l’entreprise.................................................................. 5
I- Présentation de groupe La Rose Blanche ................................................................................. 6
1- Implantation .........................................................................................................................8
2- Historique ............................................................................................................................ 8
V- La mouture ........................................................................................................................ 15
1- Présentation de la machine................................................................................................. 19
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1- Conception du tambour ....................................................................................................... 27
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Liste des figures
Fig.1 : Logo du groupe La Rose Blanche .........................................................................................6
Fig.2 : La MCSR .............................................................................................................................7
Fig.3 : Organigramme de la société ...............................................................................................9
Fig.4 : Réception du blé .............................................................................................................. 12
Fig.5 : Séparateur du blé............................................................................................................. 12
Fig.6 et 7 : Elévateur à godets ..................................................................................................... 13
Fig.8 et 9 : Transporteur à chaine................................................................................................ 13
Fig.10 : silo galvanisé de stockage ............................................................................................... 13
Fig.11 et 12 : Epierreur ............................................................................................................... 14
Fig. 13 et 14 : Trieur optique ....................................................................................................... 15
Fig. 15 : Tarare ........................................................................................................................... 15
Fig. 16 : Brosse verticale ............................................................................................................. 15
Fig.16 et 17 : Broyeur à cylindres ................................................................................................ 16
Fig. 18 : sasseur .......................................................................................................................... 16
Fig.19 : machines à cylindres ...................................................................................................... 19
Fig.20 et 21 : Rouleaux ............................................................................................................... 19
Fig.22 : loupe de mesure ............................................................................................................ 20
Fig. 23 : Atelier mécanique ......................................................................................................... 21
Fig. 24 : machine à rectifier et canneler les cylindres ................................................................... 21
Fig.25 : La méthode 5s ................................................................................................................ 22
Fig. 26 : Interface de communication humain-machine .................................................................... 25
Fig. 27 : Architecture d’une automate programmable industrielle .................................................. 25
Fig.28et29 : Monte-charge roulante ........................................................................................... 26
Fig. 31 : Mise en plan du tambour............................................................................................... 27
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Chapitre1 :
Présentation
De l’entreprise
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I- Présentation de groupe La Rose Blanche
Le groupe la Rose Blanche est issu d'une minoterie créée en 1901, voici plus d'un siècle.
Leur savoir-faire s'est construit à travers générations de meuniers qu'ont su conjuguer la tradition
des procédés avec la modernité des équipements.
Aujourd'hui, c'est l'un des premiers groupes alimentaires en Tunisie avec un effectif total de 460
réparties sur 9 sociétés bénéficiant d'une parfaite synergie leur permettant de maitriser le
processus de sélection, de transformation de commercialisation de blé et ses dérivés nobles.
Répartition :
- Unagro
- Pates Warda
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II- Présentation de la MCSR
Fig.2 : La MCSR
La MCSR (Minoterie de Centre et de Sahel Réunies) est une entreprise tunisienne spécialisée de la
transformation du blé dur en semoule, et du blé tendre en farine
Sa capacité de trituration totale est de 400 tonnes par jour de blé dur et de 300 tonnes par jour de
blé tendre.
- Sélection du blé
- Stockage
- Nettoyage
- Ecrasement du blé et fabrication de l’ensemble de ses dérivées nobles
La conjugaison de leur savoir-faire avec les innovations technologiques elles ont permis d’améliorer
d’une façon contenue aussi bien la qualité de leur produit que leurs parts de marché
Leurs produits se trouvent à la fois chez les industriels (fabrication des pâtes, boulangers, pâtissiers,
etc.…) que chez les consommateurs (semoule, farine, etc.…)
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1- Implantation :
Elle est implantée au sahel tunisien dans la ville de Sousse, elle se situe dans une agglomération
très peuplée parmi les plus denses de la Tunisie, elle permet ainsi d’être proche d’une grande partie
de leur clientèle, à savoir tout le centre et le sahel tout en étant à mi-chemin entre les 2 grandes
villes du pays (Tunis et Sfax).
Leur position géographique associée à une logistique performante leur permet desservir tout le
pays dans les meilleures conditions et les plus brefs délais.
2- Historique :
L’activité de la MCSR a démarré en 1901 sous la forme d’une société en nom collectif : Minoterie et
glacerie du sahel.
En 1925 : création d’une société en nom collectif : minoterie, huilerie et glacerie du centre.
En 1984 : la fusion de deux sociétés par voie d’absorption pour créer les Minoterie du Centre et
Sahel Réunies.
En 2002 : construction d’une nouvelle usine spécialisée de la fabrication la semoule à base du blé
dur, constitue un tournant pour le groupe.
- La farine boulangère PS
- La farine pâtissière PS-7
- Le son (alimentation d’animal)
-
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4- L’organigramme de la MCSR
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Chapitre2 :
Le processus de
production
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En disposant d’une chaine de production très perfectionnée, le blé livré à l’entreprise subit des
multiples opérations :
• Contrôle de qualité
• Réception
• Pré nettoyage
• Stockage
• Nettoyage
• Mouture
I- Réception
La réception de blé comprend le déchargement des grains dans des silos de stockage après le
pesage de la quantité reçue à l’aide d’un pont bascule électrique et l’enregistrement de ticket
contenant : la nature de la marchandise (blé tendre ou dur), l’expéditeur et le transporteur.
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Fig.4 : Réception du blé
- Séparateur : composé des tamis juxtaposés sert à séparer des grosses particules étrangères et
du sable
- Tarare : composé d’un canal des produits légers
- Transporteur : on trouve soit des vices ou des transporteurs à chaines utilisés pour le transport
horizontal de blé, soit des élévateurs à godets destinés au transport vertical du blé
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Fig.6 et 7 : Elévateur à godets
III- Stockage
Le stockage des grains s’effectue dans des silos galvanisés de 30m de longueur et de 5m de
diamètre où les grains sont stockés en vrac
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IV- Nettoyage
Le blé arrivant du stockage subit un nettoyage qui s’étale sur 3 étapes :
- Premier nettoyage : élimine les impuretés restantes telles que les grains noirs et colorés,
pierres, tout corps autre que les grains de blé selon les différences de densité et de dimensions.
- Conditionnement : c’est une opération intermédiaire entre le premier et le deuxième
nettoyage, cette étape est nécessaire à l’humidification du blé en vue d’avoir une meilleure
séparation au cours de la mouture.
- Deuxième nettoyage : après conditionnement (blé mouillé), le blé passe par une deuxième
chaine de nettoyage pour se débarrasser de la totalité des impuretés en nettoyant la surface
des grains afin d’enlever la poussière adhérant à l’enveloppe ainsi que les particules des son.
Ainsi le blé soit prêt à la mouture.
Le nettoyage s’effectue à l’aide d’un :
• Séparateur
• Epierreur : il permet la séparation des grains des pierres et tout autre corps lourd grâce
à la différence de densité.
• Trieur : il sert à éliminer les grains ronds et longs grâce à la différence à des alvéoles
rondes pour acquérir les grains ronds qui seront transportés sous l’action du cylindre et
de pesanteur dans un logé tout en laissant leurs places aux grains des blés, ou des
alvéoles prenant la taille de blé sert à éliminer les grains longs.
• Tarare : il sépare les composants de faible poids. Le produit est réparti régulièrement
sur toute la largeur du canal d’aspiration. L’extraction des grains légers dans la
chambre d’expansion se fait à l’aide de deux clapets de décharge qui travaillent par
intermittence.
• Brosse verticale : elle sert à enlever les impuretés et à se débarrasser des insectes
nuisibles s’attaquant aux blés.
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• Silos de repos : ils sont nécessaires au mouillage de blé
Fig.11 et 12 : Epierreur
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Fig. 15 : Tarare
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V- La mouture
Cette opération s’étale sur 4 étapes principales :
- Le broyage : les grains passent entre de gros cylindres métalliques, de multiples passages dans
ces cylindres aux cannelures de plus en plus fines permettant de séparer l’enveloppe de
l’amande. A chaque broyage, des tamis perfectionnées ou plansichters séparent les produits et
classes selon leur grosseur.
- Le sassage : les semoules obtenues après la première étape sont plus au moins fines. Elles vont
être classées par grosseur et densité puis ils vont passer entre 2 et 6 fois sur des sasseurs.
- Le claquage : il s’agit d’une production des semoules opérée par des rouleaux lisses pour broyer
les particules encore fines.
- Le convertissage : multiple passage des particules dans une série des cylindres pour obtenir le
produit voulu.
Fig. 18 : sasseur
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Chapitre 3 :
Tâches réalisées et
observés
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I- Introduction à la maintenance
Le cœur de métier de la maintenance industrielle porte sur les fonctions d’intervention : Ces
interventions peuvent être classées en cinq niveaux, suivant la norme AFNOR X-60 :
- 1er niveau de maintenance Actions simples nécessaires à l’exploitation et réalisées sur des
éléments facilement accessibles en toute sécurité à l’aide d’équipements de soutien intégrés au
bien. Il s’agit essentiellement des réglages et des échanges de consommables.
- 2e niveau de maintenance Actions qui nécessitent des procédures simples et/ou des
équipements de soutien (intégrés au bien ou extérieurs) d’utilisation ou de mise en œuvre
simple. Il peut s’agir d’échanges standard, de contrôles de fonctionnement, d’intervention de
dépannage, …
- 3e niveau de maintenance Opérations qui nécessitent des procédures complexes et/ou des
équipements de soutien portatifs, d’utilisation ou de mise en œuvre complexes. Il s’agit
essentiellement d’interventions de diagnostic et de dépannage.
- 4e niveau de maintenance Opérations dont les procédures impliquent la maîtrise d’une
technique ou technologie particulière et/ou la mise en œuvre d’équipements de soutien
spécialisés. Il s’agit d’interventions de diagnostic et de dépannage qui requièrent une expertise.
- 5e niveau de maintenance Opérations dont les procédures impliquent un savoir-faire, faisant
appel à des techniques ou technologies particulières, des processus et/ou des équipements de
soutien industriels. Il peut s’agir de travaux de rénovation, de réparations importantes, …
La maintenance assure également des fonctions support ou méthode en liaison avec les métiers des
méthodes, de l’industrialisation ou de la qualité :
• Etudes - conception
• Amélioration – fiabilisation des équipements
• Installation de nouveaux équipements
• Qualification des équipements – validation des procédés
En fonction des organisations et de la taille du site, des techniciens peuvent assurer des fonctions
relevant d’une part de la maintenance et d’autre part des méthodes ou de la qualité. Par exemple,
des instrumentistes peuvent assurer d’une part la maintenance des systèmes de mesure et d’autre
part la fonction de métrologie qui relève de la qualité.
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II- Révision moteurs à cylindres (broyeurs)
1- Présentation de la machine
Un broyeur à cylindre est constitué d’une paire de cylindres qui se font face et broient de la matière
pour produire une poudre plus ou moins fine
Applications : les broyeurs à cylindre sont souvent utilisés dans l’industrie agro-alimentaire pour
remplacer les grosses meules à pierre. Ils sont aussi utilisés dans l’industrie pharmaceutique et dans
l’industrie minière
Technologies : Le broyeur à cylindres dispose d’une ou de plusieurs paires de cylindres qui se font
face. Les rouleaux peuvent tourner à la même vitesse ou tourner à des vitesses différentes.
Critères de choix : le choix d’un broyeur à cylindre dépend du rendement requis, qui dépend lui-
même du diamètre et de la vitesse des cylindres et des cannelures, de position et de dimensions
variables. Les produits moulus passent au travers d’un tamis permettant d’obtenir la bonne
granulométrie.
Fig.20 et 21 : Rouleaux
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a- Les rouleaux montés sur la machine
- Vérifier l’état des cannelures des cylindres :
Lors d’un serrage excessif (augmentation de l’ampérage) sans atteindre le résultat voulu, on
doit vérifier l’état des cannelures des rouleaux soit par toucher ou loupe de mesure de
méplat suivant le tableau de cannelure.
- Vérifier et assurer l’état vides en produit des appareils à cylindres en cas d’arrêt brusque
total :
En cas d’arrêt total, vérifier le déchargement total des produits entre les cylindres (un arrêt total ;
coupure brusque de réseau STEG ou bien un défaut des équipements de TGBT)
Fait tourner les courroies des moteurs de transmission à gauche ou à droit afin d’assurer le
déblocage due au produit entassé entre les cylindres
Effectuer le réglage fin avec les écrous borgnes et les butées à gauche et à droite
Broyage : 50 Tour/min
Mouture : 30 Tour/min
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b- Les rouleaux démontés de la machine
Après un certain nombre de fonctionnement, les rouleaux doivent subir une rectification et/ou les
canneler par la machine qui a des taches bien précises dans l’atelier mécanique
La gamme de rectifieuses universelles AZ a été conçue pour répondre aux exigences d'un large
éventail d'applications qui combinent la rectification externe, interne, frontale et conique de
composants tels que : arbres de transmission, arbres de moteurs électriques, arbres de turbines à
gaz, arbres ferroviaires, arbres de machines-outils, composants de trains d'atterrissage, etc.
Caractéristiques :
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III- La méthode 5S
- Définition de la méthode 5S
La méthode 5S est d'origine japonaise. Elle a été créée pour la production des usines Toyota. La
méthode 5S est une technique de management qui fait partie de la démarche qualité.
Fig.25 : La méthode 5s
Les 5S ont été inventés pour les ateliers, mais ils s'appliquent aussi bien dans les services et les
bureaux.
- Application de la méthode 5S
Appliquer la méthode 5S est bénéfique pour l'entreprise. La méthode 5S peut être utilisée par les
petites, moyennes et grandes entreprises.
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• La méthode 5S permet d'optimiser :
o Le temps de travail.
o Les conditions de travail.
o Les déplacements.
o Indirectement le chiffre d’affaires.
- Gestion de la méthode 5S
Dans un premier temps, la mise en place de la méthode 5S passe par la création d'affichage et de
planning organisant les actions à mener.
Ensuite, les responsables de service ont à leur charge l'application, le respect et le maintien des
actions de la méthode 5S.
❖ Réussite de la méthode 5S
Si la méthode 5S est une réussite, l'entreprise est plus performante. Les employés sont plus
heureux et la productivité est augmentée.
Pour que cette réussite soit durable, l'entreprise doit en permanence s'assurer que les règles mises
en place dans le cadre de la méthode 5S soient respectées, mais aussi récompenser ses employés
en cas de bons résultats.
❖ Définition
Un automate programmable est un ordinateur industriel spécialisé. Il est programmé pour contrôler
les signaux d’entrée (numériques ou analogiques), effectuer des opérations logiques et envoyer des
signaux de sortie spécifiques.
❖ Architecture
Une mémoire : C’est l'endroit où le programme est stocké, elle reçoit également les
informations en provenance des capteurs. On distingue plusieurs types de mémoires:
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Le RAM ou Random Acess Memory: on l'appelle aussi mémoire lecture/écriture. Le
processeur peut électriquement lire ou écrire dans ce type de mémoire sans
restriction. Cependant, une batterie de sauvegarde est normalement exigée pour
préserver le contenu de la mémoire en cas de coupure de la tension.
Le ROM ou Read Only Memory : dans cette mémoire, seule la lecture est possible. En
général, la programmation est assurée par le fabricant
-Un processeur ou CPU ( Central Process Unit) :Il exécute le programme entré dans
l'automate de la première à la dernière instruction et en bouble.La durée d'une boucle
est appelée SCAN TIME.Les modifications d'état d'une ligne antérieure s'éffectuent au
prochain SCAN TIME
- Protocoles :
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-Les interfaces d'entrées-sorties ou E/S:
L'interface d'entrée comporte des adresses d'entrée.Chaque capteur est relié à une de
ces adresses.L'interface de sortie comporte de la même façon des adresses de
sortie.Chaque préactionneur est relié à une de ces adresses.Le nombre de ces entrées et
sorties varient en fonction du type d'automate.Les cartes d'entrée et de sortie sont
modulaires,la modularité varie entre 8,16 et 32 voies. Les éléments comme les boutons
poussoirs,les fins de course,les capteurs de température ou de pression etc... peuvent être
connectés aux bornes d'entrée.Ils rassemblent les informations provenant de
l'environnement extérieur et les envoient au CPU.Les types de carte d'entrée dépendent
usuellement de la tension d'alimentation ou du nombre de bornes d'entrée.On distingue :
DC INPUT,AC INPUT et AC/DC INPUT.Par contre,les contacteurs,voyants et alarmes sont
connectés aux bornes de sortie.Les résultats des opérations réalisées par le CPU sont
directement envoyés à la sortie concernée.
-L'alimentation :
Tous les automates actuels sont équipés d'une alimentation 240 V 50/60Hz,24V DC.Les
entrées sont en 24V DC et une mise à la terre doit également être prévue.
- Interface communication
-Une interface humain-machine permet des échanges entre un humain et une machine
-Une interface de programmation permet des échanges entre plusieurs logiciels
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❖ Avantages
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V- Conception d’un tambour
A l’aide d’une pied à coulisse, on a pris les mesures nécessaires pour concerter ce tambour
1- Conception du tambour
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2- Mise en plan du tambour
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Conclusion générale
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Liste de références
technomitron.aainb.com
P-651-14-FRD-5-16.indd (kaeser.com)
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