AOSE
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AOSE
ET SYSTÈME D’EXPLOITATION
Un ordinateur est un appareil électronique parmi tant d'autres. La conception de ces appareils est un
domaine appelé l’électronique et les gens qui conçoivent ces appareils sont appelés des
électroniciens. Tous les appareils électroniques contiennent plusieurs composants électroniques
simples, qui sont placés sur un support plat, en plastique ou en céramique, appelé la carte
électronique. Les composants sont soudés sur la carte, histoire qu’ils ne puissent pas s’en décrocher.
Ils sont reliés entre eux par des fils conducteurs, le plus souvent du cuivre ou de l’aluminium, ce qui
leur permet de s’échanger des données. Sur les cartes simples, ces fils sont intégrés dans la carte
électronique, dans des creux du plastique. Ils portent le nom de pistes. Évidemment, tous les
composants ne sont pas tous reliés entre eux. Par exemple, si je prends un ordinateur, l’écran n’est
pas relié au clavier.
1.1 Objectif
1.2 Description
Un Ordinateur est une machine électronique commandée par des programmes
enregistrés dans sa mémoire.
Micro-ordinateur : ordinateur dont le processeur est un circuit intégré complexe
(chipset).
Unités d'entrées /sorties(E/S) ou interfaces : servent au transfert de l’information entre
l'unité centrale (processeur ou ensemble de processeurs) et les unités périphériques
plus lentes (ex.les contrôleurs d’accès mémoire direct)
Unité centrale : Unité Centrale de Traitement (UCT/CPU) +mémoire centrale
(principale).
CT ou CPU (Central Processing Unit) ou bien processeur : comporte l’unité de
commande et de contrôle (UCC) +l’unité arithmétique et logique (UAL).
Unités périphériques : toutes les unités destinées à la lecture ou l’écriture de
l’information (ex. clavier, écran, imprimante, disques durs,).
Un ordinateur est une machine de traitement de l’information. Il est capable d’acquérir
de l’information, de la stocker, de la transformer en effectuant de traitements
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quelconques, puis de la restituer sous une autre forme. Le mot informatique vient de la
contraction de mots information et automatique.
En général un ordinateur fonctionne selon le schéma suivant :
Fig
ure2 : Schéma simplifié d’un micro-ordinateu
De nombreux appareils sont programmables, mais tous ne sont pas des ordinateurs. Par
exemple, certains circuits programmables nommés FPGA n'en sont pas. Pour être qualifié
d'ordinateur, un appareil programmable doit avoir d'autres propriétés. L'une d'entre elle est de
contenir plusieurs composants séparés, aux fonctions bien distinctes. De l'extérieur,
l'ordinateur est composé d'une unité centrale sur laquelle on branche des périphériques.
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du texte sous dans un fichier, une souris enregistre des déplacements de la main en
déplacement du curseur, un écran affiche des données d’images/vidéos, un haut-parleur émet
du son, etc. Tout ce qui est branché sur un ordinateur est, formellement un périphérique.
L'unité centrale est là où se trouvent tous les composants importants d'un ordinateur, ceux
qui font des calculs, qui exécutent des logiciels, qui mémorisent vos données, etc. Dans les
ordinateurs portables, l'unité centrale est bien là, située sous le clavier ou dans l'écran (le plus
souvent sous le clavier). A l'intérieur de l'unité centrale, on trouve trois composants
principaux : le processeur, la mémoire et les entrée-sorties.
une mémoire morte (ROM, EPROM, EEPROM, …) : contient des programmes essentiels
au fonctionnement du matériel. Ce type de mémoire n’est pas volatile.
une mémoire vive (RAM) : nécessaire pour l’exécution de tout programme. Ce type de
mémoire est généralement volatile.
des périphériques d’interface ou d’E/S selon l’exigence de l'application.
Ces organes sont reliés physiquement par des pistes (lignes) électriques appelées bus, tels
que :
le bus de données : permet la circulation des données entre les organes de la machine;
le bus d'adresse : véhicule les adresses des cases mémoires et des périphériques sollicitée
par le microprocesseur;
le bus de commandes : véhicule l’ordre à exécuter (ex. une instruction de lecture ou
d’écriture).
Ce bus est aussi utilisé pour le contrôle du bon fonctionnement des organes via des lignes
spécialisées, appelées lignes d'interruptions matérielles (IRQ).
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b) Mémoires
i. Type des mémoires
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Mémoire entrelacée: signifie mémoire divisée en blocs.
L’entrelacement consiste à placer les mots se trouvant à des adresses successives dans
desblocs différents;.
Ci-après un schéma décrivant le compromis vitesse-capacité des mémoires :
Une MP comprend une mémoire ROM (petite capacité) pour stocker les programmes
nécessaires fonctionnement du matériel, et une mémoire vive et volatile (RAM) pour
l’exécution des programmes.
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Mémoire vive [Read Write Memory]: pouvant être lue et écrite. Elle est chargée d’une partie
du système d'exploitation pendant le fonctionnement de l'ordinateur et de tout ou partie de
programme en exécution (ainsi que ses données). Une mémoire vive peut désigner :
Mémoire volatile: si elle perd son contenu avec la coupure du courant.
Mémoire dynamique (DRAM): si elle est volatile mais elle est rafraîchie
périodiquement (ex., environ 100 fois par seconde) pour charger le condensateur qui
l’alimente.
Mémoire statique (SRAM): mémoire volatile ne nécessitant pas de rafraichissement.
Elle est rapide (quelques ns) mais chères et de faible capacité (quelques Mo cache).
VRAM [Video RAM] : si elle a 2 ports pour pouvoir être accédée simultanément en
lecture et en écriture.
Mémoire flash : mémoire RAM basée sur une technologie EEPROM. Le temps
d'écriture est similaire à celui d'un disque dur (ex. mémoire d’appareils photos,
téléphone, USB (flash) disk, MemoryStick, ...).
Modules mémoire DIMM (RAM) [Dual In-line Memory Module]: groupe de puces
RAM fonctionnant en 64 bits et généralement montées sur un circuit imprimé de
forme rectangulaire, appelé barrette, que l'on installe sur la carte mère d'un ordinateur.
Modules SIMM [Single In-line Memory Module]: idem à DIMM mais en 32 bits.
Mémoire morte (ROM [Read Only Memory] ): pouvant être lue mais pas (ou peu de fois)
écrite.
Elle contient des programmes nécessaires au fonctionnement du matériel, surtout lors du
démarrage (avant le chargement du système d’exploitation dans la RAM), ce qui fait qu’elle
est généralement programmée par le fabricant. Toutefois, il existe des variantes telles que:
PROM [Programmable ROM]: pouvant être écrite une seule fois par l'utilisateur.
REPROM [REProgrammable ROM]: pouvant être écrite un certain nombre de fois par
l'utilisateur, ex. :
- E-PROM [Erasable PROM] (effacement par exposition aux ultraviolets),
- EA-PROM [Electrically Alterable PROM],
- EE-PROM [Electrically Erasable PROM] (effacement par tension électrique)
- mémoire flash (~EE-PROM mais effacement par bloc pas octet par octet).
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Chapitre 2 : Unité de mesure de volume d’information
Le stockage des données est vital pour l'industrie informatique : il faut stocker toujours plus
d'informations sur des supports toujours plus puissants et toujours plus fiables ! D'ailleurs, ce
qui est valable pour les géants du secteur, l'est aussi pour le grand public. Ainsi, globalement,
chaque jour, des millions de personnes prennent des photos, des vidéos et créent des
documents, des textes... Au total, 2,5 exaoctets (soit 2,5 millions de téraoctets) sont générés
quotidiennement : c'est l'équivalent de quatre-vingt-dix ans de vidéos en HD !
Ces données, il faut nécessairement les stocker, pour les faire transiter, les échanger ou les
archiver. Aujourd'hui, la plupart des disques durs d'ordinateurs proposent 1 téraoctet (To)
d'espace de stockage. Une capacité gigantesque au regard d'un CD ou d'un DVD, mais qui
peut devenir étroite selon les types de données enregistrées. Ainsi, les vidéos sont très
gourmandes en données. Avant de savoir quels sont les types de fichiers qui consomment le
plus, voici quelques explications sur les unités de mesure.
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1. Caractéristique fondamentale : la mesure du volume des données
En informatique, l'unité de mesure de base est le bit. Chaque bit est un 0 ou un 1. Vient
ensuite l'octet. Cette appellation vient du fait que huit bits sont regroupés. Avec ce système,
256 combinaisons différentes sont possibles.
Concrètement, un octet permet d'afficher un caractère, par exemple un chiffre ou une lettre, à
l'écran. (Certains caractères sont codés sur deux octets.) Par exemple, un texte de 250 mots
fera à peu près 1.500 caractères, donc entre 1.500 et 2.000 octets. Dans le cas d'une image, il
faut savoir que celle-ci est composée de points (pixels) : chaque point noir ou blanc
correspond à 1 bit (0 ou 1) ; pour les couleurs, il faut plus d'informations, donc plus de bits.
Avec de la musique et, surtout, de la vidéo, le nombre d'octets se compte par centaines de
millions. C'est pourquoi, à partir de 1.000 octets, on parle de kilo-octets (Ko) et pour un
million d'octets, on parle de mégaoctets (Mo) :
1 bit = 0 ou 1 ;
1 octet = 8 bits (1 byte en anglais, à ne pas confondre avec le « bit » français) ;
1 kilo-octet (Ko) = 1.000 octets ;
1 mégaoctet (Mo) = 1.000 kilo-octets ;
1 gigaoctet (Go) = 1.000 mégaoctets ;
1 téraoctet (To) = 1.000 gigaoctets ;
1 pétaoctet (Po) = 1.000 téraoctets ;
1 exaoctet (Eo) = 1.000 pétaoctets ;
1 zettaoctet (Zo) = 1.000 exaoctets ;
1 yottaoctet (Yo) = 1.000 zettaoctets.
En réalité, au lieu de 1.000 octets, 1 kilo-octet (Ko) devrait correspondre à 1.024 octets en
base binaire. Pour éviter la confusion, depuis la fin des années 1990, une nouvelle norme a été
établie : il s'agit du kibioctet, qui devrait être la référence. Celle-ci est rarement employée.
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Ordre d’idée des quantités de données par type de fichiers et du nombre d'informations que
les différents supports de stockage peuvent recueillir.
2. Numération
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a. Bits :
b. Octets :
C'est l'unité de base en informatique. Il permet de stocker une valeur (un caractère)
En binaire, un octet peut contenir une valeur de 00000000 à 11111111
Ce qui donne en décimal une valeur de 0 à 255 et en hexadécimal de 00 à FF
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c. Conversions :
Tableau des 16 premiers chiffres en différentes bases :
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Décimal > Binaire :
On décompose 52 : 52 = 32 + 16 + 4
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Hexadécimal > Binaire
Dans l'autre sens c'est la même chose. Méthode : On sépare chaque chiffre du nombre
hexadécimal et on le traduit en binaire:
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Hexadécimal > Décimal
Méthode: Multiplication du nombre hexadécimal par les puissances de 16
d. Exercices:
Convertir le nombre décimal en binaire et en hexadécimal :
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Convertir le nombre hexadécimal en binaire et en décimal :
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Chapitre 3 : Système d’exploitation
Un système d’exploitation (SE) est présent au cœur de l’ordinateur coordonnant les tâches
essentielles à la bonne marche du matériel. C’est du système d’exploitation que dépend la
qualité de la gestion des ressources (processeur, mémoire, périphériques) et la convivialité de
l’utilisation d’un ordinateur.
Un SE résout les problèmes relatifs à l’exploitation de l’ordinateur en garantissant :
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b. Classes de systèmes d’exploitation
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i- Le noyau
Réside en mémoire (fréquence élevée des interventions)
Petite taille
Gestion du processeur : reposant sur un allocateur (dispatcher) responsable de la
répartition du temps processeur entre les différents processus, et un planificateur
(scheduler) déterminant les processus à activer, en fonction du contexte.
Gestion des interruptions : les interruptions sont des signaux envoyés par le matériel, à
destination du logiciel, pour signaler un évènement.
Gestion du multi- tâches : simuler la simultanéité des processus coopératifs (i. e. les
processus devant se synchroniser pour échanger des données) et gérer les accès
concurrents aux ressources (fichiers, imprimantes
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Il attend les ordres que l’utilisateur transmet par le biais de l’interface, décode et décompose
ces ordres en actions élémentaires, et finalement réalise ces actions en utilisant les services
des couches plus profondes du système d’exploitation.
Outre l’interaction « directe » (au moyen de terminaux ou de consoles dans le cas d’Unixou
MS DOS), les systèmes offrent le « traitement par lots » (batch). Ce mode de traitement non-
interactif est obtenu en regroupant les commandes dans un fichier alors appelé script.
v- La mémoire virtuelle
La mémoire centrale a toujours été une ressource critique : initialement très coûteuse et peu
performante (tores magnétiques), elle était de très faible capacité.
Pour pallier le manque de mémoire centrale, l’idée est venue d’utiliser des mémoires
secondaires (de type disque dur), plus lentes, mais de beaucoup plus grandes capacités.
La mémoire virtuelle repose sur une décorrélation entre la mémoire physique (centrale ou
secondaire), présente sur la machine, et l’espace mémoire mis à disposition des programmes
par le système d’exploitation (la mémoire virtuelle, ou logique).
2- Système de fichier
a- Description
Les disques durs, aussi petits soient-ils, contiennent des millions de bits, il faut donc organiser
les données afin de pouvoir localiser les informations, c'est le but du système de fichiers. Un
disque dur est, rappelons-le, constitué de plusieurs plateaux circulaires tournant autour d'un
axe. Les pistes (zones concentriques écrites de part et d'autre d'un plateau) sont divisées en
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quartiers appelés secteurs (d’une taille de 512 octets). Le formatage logique d’un disque
permet de créer un système de fichiers sur le disque, qui va permettre à un système
d'exploitation (DOS, Windows 9x, UNIX, ...) d'utiliser l'espace disque pour stocker et utiliser
des fichiers. Le système de fichiers est basé sur la gestion des clusters (en français « unité
d’allocation »), c’est-à-dire la plus petite unité de disque que le système d’exploitation est
capable de gérer.
Un cluster est constitué d’un ou plusieurs secteurs, ainsi plus la taille d’un cluster est
importante, moins le système d’exploitation aura d’entités à gérer…
En contrepartie, étant donné qu’un système d’exploitation ne sait gérer que des unités
d’allocation entière, c’est-à-dire qu’un fichier occupe un nombre entier de cluster, le
gaspillage est d’autant plus grand qu’il y a de secteurs par cluster. On comprend alors toute
l’importance du choix du système de fichiers.
A partir de Windows 95 OSR2 vous avez le choix entre les systèmes de fichiers FAT16 et
FAT32. Si jamais la taille de la partition est supérieure à 2Go, le système de fichier FAT est
exclu, vous devez donc utiliser le système FAT32 (ou modifier la taille de la partition).
En dessous de cette limite, la FAT16 est recommandée pour des partitions d’une capacité
inférieure à 500Mo, dans l’autre cas l’utilisation de FAT32 est préférable.
Dans le cas de Windows NT (jusqu’à la version 4) vous avez le choix entre le système FAT16
et NTFS, par contre celui-ci ne supporte pas la FAT32. D’une manière générale le système
NTFS est conseillé car il procure une sécurité plus grande ainsi que des performances accrues
par rapport à la FAT. Microsoft recommande en fait d’utiliser une petite partition (comprise
entre 250 et 500Mo) de type FAT pour le système d’exploitation, afin de pouvoir démarrer à
partir d’une disquette DOS bootable en cas de malheur, et de conserver les données sur une
seconde partition pour stocker vos données.
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Sous Windows NT5 l’éventail s’agrandit puisqu’il accepte des partitions de type FAT16,
FAT32 et NTFS. Une fois de plus, le système de fichiers le plus récents (NTFS 5) est
conseillé, puisqu’il offre de plus nombreuses fonctionnalités que les systèmes FAT. Pour les
mêmes raisons que précédemment vous pouvez toutefois opter pour une partition de type
FAT.
Lorsque plusieurs systèmes d’exploitation cohabitent sur une même machine, le problème du
choix du système de fichiers est à son paroxysme. En effet, le système de fichiers est
étroitement lié au système d’exploitation, ainsi lorsqu’il y a plusieurs systèmes d’exploitation,
il faut choisir pour chacun d’entre-eux le système d’exploitation en prenant en compte le fait
qu’il est possible que l’on ait à accéder à des données de l’un à partir d’un autre. Une
première solution consiste à utiliser des partitions FAT pour tous les systèmes, en faisant
attention à n’utiliser que des partitions d’une taille inférieure à 2Go. La solution la plus
adaptée est d’utiliser pour chacun des systèmes une partition dont le système de fichiers est le
plus adapté, et de dédier une partition en FAT16 ou FAT32 aux données vouées à être
partagées par les différents systèmes d’exploitation.
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