Département Génie Electrique

Filière SET
Travaux pratiques
- Théorie d’information et Codage -
Université Sidi Mohamed Faculté des Sciences et
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Activité 1 : Introduction aux systèmes de communications numériques

Paramètres principaux d’une communication numérique
1. Un symbole appartient à un alphabet 16-aires.

a. Combien de bits est composé ce symbole?

b. Quel est le débit du système de transmission numérique et la rapidité de
modulation correspondante sachant que la durée d’un bit est 0.1042 ms ?
2. Soit une ligne téléphonique (bande passante 300-3400 Hz) et de rapport signal à bruit
30 dB. La rapidité de modulation est de 1200 bauds et les signaux sont de valence 16.

a. Quel est le débit binaire de la ligne ?

b. Quelle est la capacité théorique de cette ligne ?
3. Calculer la capacité d'une ligne pour téléimprimeur sachant que sa largeur de bande est
de300 Hz et le rapport signal/bruit est de 3 dB.

4. Un système de transmission numérique fonctionne à un débit de 9.600 kbits/s. Un

symbole est composé de 4 bits.

a. Calculer la largeur de bande minimale nécessaire de la voie sachant que la

rapidité maximale est le produit de la bande par un facteur constant de valeur 1.25.
b. Même question pour le codage d'un mot de 8 bits.
5. Une voie possède une capacité de 2 Mbits/s et une largeur de bande de 0.3 MHz.
Calculer le rapport signal/bruit.

6. Le rapport |Ve/Vs| des ondes d’entrée et de sortie d’une ligne de transmission est 31,62.
Calculer l’affaiblissement du signal.

7. L’atténuation d’un signal est égale à -10 dB. Calculer la puissance du signal à la
réception si la puissance à l’émission est égale à 5 W.

8. Soit T la durée d’un symbole appartenant à un alphabet M-aires et B la largeur du bande

occupée par le signal émis.

Démontrer que l’efficacité spectrale s’écrit de la façon suivante : =log2(M)/(TB).

Que peut-on déduire ?

A.N. La durée d’un symbole est de 0.1042 ms, M=16 et B=300 Hz.

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Activité 2 : Techniques MIC et MIC différentielle

Exercice 1 : Echantillonnage
On considère une ligne téléphonique dont la bande passante est [300,3400] Hz.

1. Si on veut numériser un signal parole analogique adapté au support de transmission

téléphonique, quelle est la fréquence d’échantillonnage minimale à utiliser.

2. Si on suppose que la fréquence maximale du signal parole est fmax=4 kHz,, quelle est la
fréquence d’échantillonnage minimale.

3. Si on utilise la fréquence d’échantillonnage précédente, quelle est la durée brute pour

transmettre 160 échantillons du signal.

4. Quel est le débit numérique d’une liaison téléphonique utilisant la technique MIC
(Modulation par Impulsion et Codage) ou PCM (Pulse Code Modulation) et une fréquence
maximale de 4 kHz.

Exercice 2 : Quantification uniforme

1. Déterminer l’expression logarithmique du rapport du signal à bruit (RSB) de quantification
dans les cas particuliers où le signal d’entrée est,

a. un processus aléatoire suivant une distribution uniforme sur l’intervalle [-Vmax,

Vmax].

b. un processus aléatoire suivant une distribution gaussienne avec une dynamique

2Vmax correspondant à 6 écart-type σs.

c. un signal sinusoïdal d’amplitude crête à crête V.

2. Tracer le RSB de quantification des trois types de signaux d’entrée ci-dessus et commenter
les résultats.

3. On veut maintenir le RSB de quantification d’une liaison MIC à un minimum de 40 dB.

Quelle est le nombre de niveau de quantification requis pour chaque type de signaux
d’entrée ci-dessus ?

4. On dispose d’un canal de transmission numérique dont le débit est de 36000 bauds. Pour
transmettre la parole sur ce canal, trouver les valeurs adéquates de la fréquence
d’échantillonnage et le nombre de niveaux de quantification sachant que la fréquence
maximal du signal parole est 3,4 kHz.

5. Un système d’enregistrement de CD (Compact Disk) échantillonne chaque une des deux

voies stéréo à la fréquence 44,1 kHz sur 16 bits.

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a. Déterminer le RSB de quantification dans le cas particulier où le signal d’entrée est

une sinusoïde pure à pleine échelle.

b. Le nombre de bits à gérer est augmenté du fait de l’addition des bits d’horloge, de
correction d’erreurs, d’affichage et de contrôle. Ce qui représente un accroissement
de 100%. Quelle est en définitif le débit du système d’enregistrement.

c. Un CD peut contenir une heure de musique. Evaluer le nombre de bits stockés sur
le CD.

d. Un dictionnaire de niveau universitaire peut contenir jusqu’à 1500 pages à raison de

deux colonnes par page, 100 lignes par colonne, 8 mots par ligne et 6 lettres au
moyenne par mots. Chaque lettre est codée sur 7 bits. Déterminer le nombre
nécessaire afin de coder le dictionnaire et évaluer le nombre de dictionnaires
équivalent que l’on peut stocker sur un CD.

Exercice 3 : Codeur DPCM

Afin de réduire le débit à transmettre, le codeur temporel MIC différentiel (en anglais DPCM
pour Differential PCM) exploite la propriété de la corrélation des échantillons successifs d’un
signal parole. Ce codeur consiste donc à transmettre la différence entre le dernier échantillon et
une estimation de ce qu'il pourrait être calculée par un prédicteur (ou extrapolateur) sur la base
de quelques échantillons précédents.

Le signal x  n  est la version échantillonnée de x(t ) avec une fréquence d’échantillonnage f e

. Le signal e p  n  représente l’erreur de prédiction, eq  n  le signal quantifié de l’erreur de

prédiction et x p  n  est la sortie du filtre de prédiction.

Le filtre de prédiction est représenté au niveau de la figure suivante,

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1. Déterminer l’expression de x p  n  en fonction de y  n  .

2. Démontrer que l’erreur de quantification (bruit de quantification) peut s’exprimer de la

façon suivante,

bq  n  = y  n  − x  n  = eq  n  − e p  n  .

3. Le signal parole peut être reconstruit à la réception en faisant appel au même filtre de
prédiction utilisé en émission.

a. On suppose que l’ordre du filtre de prédiction P = 1 , donner l’expression du

coefficient optimal h1 )opt du filtre de prédiction en fonction du coefficient de
Rxˆ (1)
corrélation 1 = du signal x̂  n  avec Rxˆ (.) est la fonction d’autocorrélation
Rxˆ (0)
de x̂  n  .

b. Déduire l’expression de la variance minimale de l’erreur de prédiction en fonction

de la variance du signal x̂  n  et le coefficient de corrélation 1

c. On suppose maintenant que P = 2 donner les expressions de h1 )opt et h2 )opt en

Rx (1) R (2)
fonction de 1 = et  2 = xˆ . Déduire l’expression de la variance minimale
Rx (0) Rxˆ (0)
de l’erreur de prédiction.

 x2ˆ
d. Montrer la relation suivante : RSB )DPCM = RSB )PCM + 10 log(G p ) où G p =
 e2 est le
p

gain de la prédiction.

e. La variance minimale du filtre de prédiction d’ordre P s’écrit de la façon suivante :

)
P
 e2
p
=  xˆ2 (1 −  hi i ) .
min
i =1

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où  x̂2 est la variance de x̂  n  , les hi , i = 1,..., P sont les coefficients du filtre de

Rxˆ (i )
prédiction et i = . Montrer que le gain de prédiction s’écrit de la manière
 x2ˆ
1
suivante : G p = P
.
1 −  hi i
i =1

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Activité 3 : Transmission en bande de base

Exercice 1 : Type de codage en ligne
Ci-dessous sont représentés des signaux d'émissions de divers codeurs en ligne, les symboles étant
séparés par des traits en pointillés. Pour chacun des codeurs en ligne suivants : NRZ, NRZI, MLT3,
2B1Q, Biphase, Biphase différentiel et HDB3, indiquer, à quelle figure elle correspond :

Exercice 2 : Puissance totale moyenne d’un code en ligne

On considère un signal c(t) délivré par un codeur du codeur,
M
c(t ) =  ck h(t − kTs ),
k =1

où h ( t ) est la fonction de mise-en-forme et les ck sont les symboles à l’entrée du codeur.

1. Démontrer que si les symboles ck sont indépendants alors la DSP de c(t ) s’exprime de la façon
 c2 m2  k
suivante, Sc ( f ) = Scc ( f ) + Scd ( f ), où Scc ( f ) = H ( f ) et Scd ( f ) = c2 H ( f )    f − ,
2 2

Ts Ts k  Ts 

avec Ts , mc ,  c2 ,représentent respectivement la durée ck , la moyenne et la variance d’un symbole

ck , H ( f ) ,désigne la transformée de Fourier de h ( t ) et  (.) est l’impulsion de Dirac.

2. Déduire que la puissance totale moyenne de c(t ) s’écrit de la façon suivante : Pm = ( c2 + ma2 ) Ph ,
où Ph est puissance de h ( t ) .

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Exercice 3: Codeur AMI (Alternate Mark Inversion)

On considère le codeur AMI qui fait consiste à transmettre ck = 0 si le bit d k = 0 et à transmettre
alternativement ck = −1 et ck = +1 si le bit d k = 1 . On a donc un alphabet ternaire. On peut vérifier
que ck  −1, 0,1 s’obtient à partir de d k  0,1 en utilisant les deux relations suivantes,

ak +1 = (1 − 2d k )ak
 .
ck = d k ak

On suppose que les d k sont indépendants et équiprobables. Démontrer que la DSP du signal codé en
AMI s’écrit de la façon suivante, S a ( f ) = sin 2 ( fTs ) .

Exercice 4: Adaptation du nombre de symboles à la largeur de bande du canal

On souhaite transmettre un message binaire à 1 Mbps sur un canal non bruité, avec un codage NRZ à M
niveaux. La bande passante étant limitée, on utilise des impulsions en cosinus surélevé, avec un facteur
1+ 
de retombée α = 0.4. La durée Ts de chaque symbole doit alors vérifier  B.
2Ts

1. Dans le cas où les symboles sont binaires, quelle est la bande passante nécessaire à une transmission
sans interférence entre symboles ?

2. La largeur de bande est à présent fixée à 200 kHz. Quelle valeur minimale de M faut-il prendre ?

Exercice 5: Interférence entre symboles, Débit et probabilité d’erreur

On considère un alphabet de 8 symboles d’une source à transmettre en bande de base sur un canal bruité
de bande passante B = 70 kHz. Le bruit de canal est un processus aléatoire gaussien blanc stationnaire
est indépendant de la source de variance N0/2.

La puissance d'émission étant fixée, le rapport (E b/N0)dB (resp. la probabilité d’erreur Pes) en fonction
du débit binaire D (resp. du rapport (Eb/N0)dB) est représenté(e) à gauche (resp. à droite) de la figure 1.

Figure 1 – A gauche : rapport (Eb/N0) dB en fonction du débit D. A droite : Probabilité d’erreur

par symbole pour un code NRZ à symboles 8-aires.

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1. Combien de bits porte chaque symbole transmis ?

2. Pour annuler l'interférence entre symboles (IES), on utilise des impulsions en cosinus surélevé avec
1+ 
un facteur de retombée  = 0.4. La durée Ts de chaque symbole doit alors vérifier  B.
2Ts
Exprimer le débit maximal Dmax sans IES en fonction de B et , puis le calculer.

3. On souhaite que la probabilité d'erreur par symbole n'excède pas 10-5. D'après les courbes ci-dessus,
le débit précédemment calculé permet-il d'atteindre cette performance ? Si non,

a. – quel doit être le débit ?

b. – permet-il une transmission sans IES ?

Exercice 6: Canal de Nyquist en cosinus surélevé et Filtre adapté

A. Filtre adapté

On considère le récepteur illustré au niveau de la figure suivante,

x(t)
s(t)
+ Filtre de réception

t=kT
w(t) h(t)

1
Avec s (t ) S(t) est le signal reçu, w(t ) est un bruit gaussien blanc stationnaire de variance N 0 , h(t )
2
est la réponse impulsionnelle du filtre de réception et T est la durée d’un symbole émis (instant
d’échantillonnage en réception).

Démontrer que le filtre de réception qui maximise le rapport signal à bruit

(  s( )h(T − )d ) aux instants de décision n’est rien d’autre que le filtre adapté et le
T 2

RSB =
0

E (  w( )h(T −  ) ) 
 T  2

 0

2
RSBmax =  s où  s est l’énergie du signal reçu.
N0

B. Canal de Nyquist en cosinus surélevé

On considère le schéma à blocs fonctionnels suivant correspondant à une transmission en bande de base
à bande passante limitée.

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La transmission se fait avec un débit binaire D=1/Tb. Le signal délivré par le codeur symboles s’exprime
de la façon suivante :

Où les ak sont des symboles binaires indépendants tel que si dk=0 alors ak=-1 et si dk=1 alors ak=+1. Le
signal n(t) correspond à un bruit blanc gaussien centré de variance N 0/2.

On suppose que la réponse en fréquence du canal de transmission est égale à 1 dans la bande de
fréquence [0,1/Ts].

Le filtre d’émission et celui de réception vérifient la relation suivante,

1. Montrer que P(f) vérifie le critère de Nyquist au pas Ts.

2. On choisit une équirépartition du filtrage entre l’émetteur et le récepteur soit,

a. Exprimer la réponse impulsionnelle gopt(t) du filtre adapté au signal h(t) et la représenter

graphiquement.

b. Représenter le signal de sortie du filtre adapté r(t) lorsque l’on applique à l’entrée le signal
h(t).

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Activité 4 : Transmission sur fréquence porteuse

Exercice 1 : Type de modulations numériques
Ci-dessous sont représentés des signaux d'émissions de diverses modulations. Pour chacune des
modulations suivantes, indiquer, à quelle figure elle correspond :

Exercice 2 : Constellation et spectre d’un signal modulé

On considère une séquence binaire {bn}. Chaque bit de cette séquence a une durée égale à Tb et chacun
de ces bits possède une énergie égale à 1.

1. Sachant que chaque bit est porté par une fenêtre rectangulaire, représenté le spectre en bande de
base de ce signal binaire.

2. A présent, on suppose que la séquence binaire est transformée par une modulation de type
MAQ-64. On obtient donc une séquence {ak} de symboles complexes.

a. Représenter la constellation de la modulation.

b. Quelle est la durée Ts d’un symbole ak ?

c. Chacun des symboles obtenus est porté par une fenêtre rectangulaire de durée T s,
représenter le spectre du signal obtenu.
Exercice 3 : Type de modulations numériques, bande passante et efficacité
1. En modulation numérique où se situe l’information binaire. Pour chaque type de modulation, choisir
parmi les réponses à droite.
a- 16QAM a- dans la fréquence de la porteuse
b- PSK b- dans la phase de la porteuse

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c- FSK c- dans l’amplitude de la porteuse

d- QPSK d- dans l’amplitude et la phase de la porteuse
e- ASK e- dans l’amplitude et la fréquence de la porteuse
f- DPSK f- dans la phase et la fréquence de la porteuse
g- OQPSK g- dans la différence de la phase par rapport au bit précédent
2. On considère le message binaire suivant 11000111.
a. Coder ce message en NRZ polaire.
b. Donner le chronogramme du signal modulé pour chacune des modulations BPSK, QPSK et
OQPSK (la durée d’un symbole supposée égale deux fois la période de la porteuse).
3. On suppose maintenant que la fréquence porteuse est de 1 GHz et le débit binaire de 10 Méga Bits
par Seconde. Pour que l'impulsion en cosinus surélevé ne soit pas distordue, il faut que le facteur
de retombé  vérifie : (1+)/(2Ts)=B/2 où le filtre équivalent en bande de base du filtre de canal
est le filtre passe-bas idéal de bande (-B/2, B/2). Calculer, pour chacune des modulations OOK, 4-
ASK, BPSK, QPSK et 16-QAM,
c. le nombre de bits par symbole,
d. la bande passante minimum avec un =0.5,
e. et l’efficacité spectrale.
4. Pour une modulation FSK avec fréquences « space » 1200 HZ et « mark » 2200 MHz et une vitesse
de 1200 bauds (standard Bell 202), déterminer :
a. la bande passante minimum requise pour la ligne de transmission
b. et l’efficacité spectrale
Exercice 4 : Densité spectrale d’un signal QPSK et OQPSK
L’enveloppe complexe du signal modulé en OQPSK s’écrit de la façon suivante,

On fait l'hypothèse que les deux valeurs possibles pour Ak sont équiprobables.

1. Calculer la moyenne et la variance de Ak.

2. Déterminer le densité spectrale du signal modulé.

Exercice 5 : Modulateur GMSK

Le schéma blocs fonctionnels du modulateur GMSK est présenté dans la figure suivante,

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Donc pour la modulation GMSK, l’impulsion d’entrée Π(t) est une fonction porte de durée Tb filtrée
par un filtre gaussien. La réponse impulsionnelle du filtre globale est donnée par la convolution entre
une fonction porte et une gaussienne. On obtient ainsi la réponse du filtre donné par l'équation suivante,

1. Démontrer que l’expression de g(t) est donnée par l’expression suivante,

La variance σ2 de la gaussienne est en général exprimée à travers un paramètre B lié à la décroissance

à 3 dB de la densité spectrale de puissance de la modulation,

2. On suppose que le produit BTs=0.3 et le débit de la transmission est de 9.6 kbps. Calculer la
largeur de bande du filtre gaussien B.

3. Déterminer l’expression du signal modulé s(t).

Le schéma à blocs fonctionnels du démodulateur GMSK est présenté dans la figure suivante,

4. Déterminer les expressions des deux voies I et Q avant filtrage passe bas.

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