Le Temps

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cet aphorisme est spectaculaire que l’éternel retour doit de produire nécessairement (qu’il soit une
fatalité) est une chose, mais qu’on puisse le vouloir ou seulement envisagé qu’on puisse nous
demander si nous souhaiterions revivre toujours a l’identique ce que nous avons vécu est autre
chose. Or niezstche nous suggère ici d’imaginer un démon qui viendrai nous demander d’envisager
la perspective de l’éternel retour du même( a l’identique) il faut se représenter alors une répétition
totale de la vie que nous vivons présentement et bien d’avantage . Sa répétition sempiternelle, sans
aucune modification , innovation. Les sensations de douleur, de plaisir et nos pensées : tous se
repeterais et dans le meme ordre de succesion, Cette répétition serait un processus qui ne tiendarit
pas compte de notre ressenti, il serait « impitoyable ». Or qu’on puisse avec delectation envisager la
répétition d’un plaisir éprouvé est normal. Meme si la monotonie inérante apparaît inévitable. Mai
qui desirerait uen rage de dent. Le démon invite a penser un retour sempiternel de notre existaence
et aussi du monde environnant . Ce retour toujours idendique est sugéré par le retour de l’araignée
du clair de lune et du démon lui même. La métaphore du sablier suggere l’immuabilité du
processus : a l’intereiur du sablier c’est tjrs le meme sable et tjrs la même quantité de sable qui
s’écoule. L’insinifiance de nos vie dans la perspective de l’eternel retour est suggéré par une autre
image a la lumeire de ce procesus du retour étéernel nous n’aurions pas plus d’importance que des
poussieres que la ménagere vient balayer et qui revient toujours et qu’on chasse de l’appart
dans un second moment la réaction de celui a qui le démon a einseigné ce que l’eternel retour du
monde signifirait est envisagé mais interrogativement
cet interrogation connduit a une double hypothese quant au démon quu apparaît tel un janus bifron
le démon est-il celui qui diaboliquement vient nous annoncer l’éternel retour d’une vie qui ne vaut
pas la peine d’etre vécu de telle sorte que l’annonciacion de l’eternel retour nous ferait grincer des
dents ou nous bousculerait au point de perdre l’équilibvre ?
Parce que nous aurioons vécu un seul instant merveilleux le retour étéernel serait du fait de ce seul
instant totamlemnt justifié. L’hypothese d’une situatuion ou nous en viendrions. L’hypothese
de telle sorte que cette éternel retour serait la pensée qui viendrait a dominer noter esprit.
(Il faut ainsi comprendre l’expreession « si cette pensée prenai barre sur toi »)
l’eternel retour ne oeux pas etre une pensée annodine pour quiquonque l’envisage autrement que
comme une hypothese loufoque
notre auteur nous dit que la pensée de l’eternel retour du meme transforme dans le meilleur des
caset annéanti dans le pire des cas
si cette pensée anéanti on comprend le sens du titre de l’aphorisme le poids le plmus lourd
lo’éternel retour dans le cas le plus défavorable peut susciter le pessimoisme le plus noir : in faut
envisager que chaque evenement qui nous touche ne cessera de se repeter, si nous decidions du
cours de vie ferait peser sur nous une terrible responsabilité mais il, apparit que le déroulé de nos
vie n’apparit pas a un choix, que nous ne choississons pas de naitre en bonne santé ou malade, que
nous sommes innocents si une tuile nous tombe sur la tete sous l’effet d’une tempete. Alors parce
que la vie d’un homme copmprte du tragique l’eternel retout peut glaer d’effroi, si l’eternel retour
du meme est un devnir cosmique necessaire comment vouloir ce devneir dont nous n’avons pas la
maitrise ? Il faut imaginer que nous pourrions au terme d’une vie faire le bilan et évaluer la valeur
de la vie a partir de la somme des plaisir des joies des souffrances et tristesses éprouvées. Dans ce
cas on finirait peut etre par dire on sait jamis, ou encore pour préciser notre pensée dans cette
situation . Le bilan baissé on en viendrait a dire qu’il aurait peut etre meiux valu de pas naitre et
qu’il vaut meiux pour le futur ne plus etre qu’exiqter. Comme le dit hamlet
Mais ce n’dst pas tout puique nietzch acheve cet aphorisme en ecrivant « ou alors ha ! Comme il
faurait que tu l’aime toi meme qie tu t’aime toi meme et que aime la vie pour ne plus désiré autrere
chose que cette supreme et eternelle confirmation
Le désir de l’etrenel retour deveint possible si on s’aime soi meme et si on aimle la vie. Ceci
indique que l’évaluation de notre vie serait possible nous ferait souhaiter le retoutr
on peut d’ailleurs s’interroger est ce la vie ne son entierté qui serait aimé ou bien la vie de seraitelle
aimé qu’en raisopn de « l’instant prodigieux, vécu a l’interieur de cette vie, instant prodigieux
évoqué plus haiut par nieztche. Si lma vie n’est apprécié que par l’un des ces instants c’est qu’un
seul instant peut valoir en raison de sa qualité une vie entiere
on nest pas alors ici dans une évaluation quantitative de la vie puisque une vie est égale a une
somme detremoné d’instant . Une vie d’une durée normale se prolonge bien au-delà d’un instant et
on peutbse demansde ce qui se revele en cet instant c’est a dire ce qui pourrait nous disposer a
souhaiter l’eternel retour, C’est a dire ce que niooetzche appelle la supreme confirmation ; supreme
confirmatoni qui conduirait celuyi qui estime que le démon est un dieu a dire pour tjrs oui a la vie.
Par ailleurs dans le désir de l’eternel retour il y a un désir ds’eternité donc d’immortalité mais le
desir d’une vie cyclique exige l’acceptation de l’ann éantissemnet comme préalable au retour
selon notre représentation la plus courant le temps s ‘en va il nous achappe ou plutot ce n’est pas le
temps qui passe mais c’est nous qui passons car le temps ne cesse pas de passer mais nous les
hommes mortel nous ne faisons que passer. D’ou l’etrangeté du texte soumis a notre étude
si l’eternel retour est un principe necesaaire car c’est un processus cosmique

le desir de trjs vivre ala
semble vosuer une hallucination un démon bouscule nos seertitudes d’etres vivant convaicu de
l’irreversibilité du temps. Dans nos representation scourantes nous ne pouvons pas revivre le passé
or selon la concetiopn cyclique dee l’eternel retour le passé ressusite au présent
si l’eternel retour est la vérité ce que nous devenons nous le sommes déjà puisque nos vies sont
toujours des ritiournelles identioosues, une répétition qui peux apparaitre absurde et confere a
l’eterenel retour le caractere d’un cercke vicieux. Mais paradoxalement l’eternel retour donne a
penser un éventuel OUI en ce moemnt puisquze l’anonce de l’eterenel retour pourrai axalté si un
seul instat extraordinaire pouvais justifier de revivre a l’infini une vie tjrs identisue a celle que nous
vivons
PS : convaincu que la vie n’est que souffrance

l’homme cheretein a rever d’uen fin des temps qui ferait acceder a l’eternité en un autre monde
l’eternel ertour au contrary pourrait determiner une adhésion a la seule vie que nous conaisons notre
vie terrestre présente
nous pourrions envisager, en dépit des apparences qui nous font dire qu’elle est ephemere, fuagce
qu’en réalité elle releve de l’eternnité ciclique et ceci gracve a l’extase d’un moment fabuleux

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PS : convaincu que la vie n’est que souffrance

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