Correct Trim 3
Correct Trim 3
Correct Trim 3
Le texte ci-après comporte des erreurs. Corrige-les en rayant le mot mal orthographié en
écrivant le mot correct au-dessus du mot incorrect.
Soudain, il se souvint de cette histoire que Tita leur avait raconté sur la mystérieuse
guérison de sa première femme Essi’i, atteinte d’une maladie grave et contre laquelle toutes
térapies de Tita s’étaient avérées impuissantes. A cette époque, l’on amena la malade à la
rencontre du médecin-chef du plus grand hopital de la région pour tenter de la guérrir après
l’analyse des examen et le diagnostic fait par la science moderne. On parlera du point de
vue clinique d’un auto-empoisonnement du sans dans l’organisme d’Essi’i. une maladie
Au fur et à mesure que les jours passait, elle s’afaiblissait et Tita tomba dans un ço
découragem-ent partiel Mais en dépit de tout, il était un chrétien et croyait non seulement au
Jeanne Marie Rosette Abou’ou, Lettre à tita, volume 1, Edition Fleurus Afrique, 2014.
COLLEGE POLYVALENT SUZANNA
N° 1498/07/MINESEC du 25Avril 2007 sis à SOBOUM DOUALA 3e
DEPARTEMENT : FRANÇAIS CLASSE : ATC2/ATI 2 ANNEE SCOLAIRE : 2021/2022
EVALUATION HARMONISEE DE FIN D’ANNEE COEF. : 3 DUREE : 2 H
BP. 12646 DOUALA Tél: 696 02 07 68 / 699 14 32 28 / 677 55 39 68
EPREUVE D’ETUDE DE TEXTE
TEXTE :
Atiti, dans son lit de malade, commença sans autre forme de procès à dire qu’elle voyait Agol,
machette en main, en train de la pourchasser. D’autres gens qu’elle ne reconnaissait point étaient avec elle
et voulaient l’attraper avec des cordes d’attache. Elle les voyait au mur, sur le toit, dans la cour ; elle lançait
des regards autour d’elle comme une démoniaque, pointant le toit en disant : « Agolooooh, Agol, je ne
viens pas avec toi, laisse-moi, laisse ma tête, laisse mes bras, laisse-moi, laisse-moi ! » (…)
Atiti, couchée au milieu de la salle grelottait, intensifiant davantage son œuvre de délire.
L’assistance l’observait et s’exclamait sans arrêt. A l’entrée d’Agol, tout le monde criait. On donnait des
indications sur la forme de punition à infliger à la sorcière…
Tita, à son retour, observa attentivement la malade pendant quelques minutes, puis il se leva et alla
dans sa chambre. Il en ressortit quelques secondes plus tard avec un liquide bouilli d’écorces amères qui
servait de sérum contre le paludisme. A son apparition, un silence de mort envahit toute la salle. Les plus
sages comprirent immédiatement que le patriarche n’était pas de leur avis. Son diagnostic semblait être loin
du leur. Il demanda qu’on fasse boire cette potion à Atiti dont les ardeurs hallucinatoires commencèrent à
s’estomper. Quelques instants après, une sueur abondante commença à dégouliner sur le corps de la
malade. Elle était complètement trempée. On lui fit ensuite boire une tisane d’aubergines mélangées à de la
citronnelle. Trente minutes plus tard la crise était complètement finie. Tita ne dit mot, les faits avaient
arrêté la palabre. Agol fut dédouanée avec des excuses de toute une armée d’accusateurs.
Jeanne Marie Abou’ou, Lettre à tita, volume 1.
QUESTIONS
I – COMPREHENSION DE TEXTE 6 pts
1) De quoi Agol est-elle accusée ? Justifie ta réponse à travers deux passages du texte. 2 pts
2) De quoi souffre réellement Atiti ? Donne deux symptômes de cette maladie dans le texte 2 pts
3) Quels sont les signes qui montrent dans le texte qu’elle est guérie ? 1 pt
4) Quelle est la bonne attitude à adopter quand on est malade ? 1 pt
II – MANIEMENT DE LA LANGUE 6 pts
1) Donne la nature des mots soulignés 2 pts
2) Relève dans le premier paragraphe du texte une phrase déclarative et une phrase au style direct 1 pt
3) Construit le champ lexical de la maladie 2 pts
4) Soit la phrase : « Elle était complètement trempée »
a- A quel temps est conjugué le verbe de cette phrase ? 0,5 pt
b- Mets-le au subjonctif présent 0,5 pt
III – APTITUDE A S’EXPRIMER 8 pts
Au cours d’une excursion dans un zoo organisé par votre établissement scolaire, ton camarade est pris
d’un étrange malaise. Dans un dialogue associé au récit d’environ 40 lignes, tu racontes au médecin ce qui
s’est passé afin qu’il prenne soin de lui.
1. Raconte dans quelles circonstances le malaise est arrivé ;
2. Dans un dialogue, réponds au médecin qui voudrait connaître les symptômes que le malade a
développés et les mesures d’urgence que vous avez prise pour lui venir en aide ;
3. Dis ce que tu as ressenti et ce que tu as retenu de cette journée.
COLLEGE POLYVALENT SUZANNA
N° 1498/07/MINESEC du 25Avril 2007 sis à SOBOUM DOUALA 3e
DEPARTEMENT : FRANÇAIS CLASSE : ATC3/ATI 3 ANNEE SCOLAIRE : 2021/2022
EVALUATION HARMONISEE DE FIN D’ANNEE COEF. : 1 DUREE : 1 H
BP. 12646 DOUALA Tél: 696 02 07 68 / 699 14 32 28 / 677 55 39 68
EPREUVE D’ETUDE DE TEXTE
La télévision représente à nos yeux le point de convergence des technologies modernes. D’une
part elle permet de recevoir des images animées sonores et en cela elle pourrait combiner les apports du
cinéma et de l’immédiateté. D’autre part, elle permet de les recevoir chez soi, dans sa sphère familiale, et
en cela elle utilise les apports (unités dès la mise au point de la radio) de la transmission des ondes
hertziennes. On sait que la camera de télévision actuelle n’a rien à voir, au niveau de la captation de
l’image, avec celle du cinéma classique… Mais dès ses origines, la télévision a été comprise comme une
« descendante » du cinéma. Le récepteur de télévision du salon reçoit un signal hertzien, le transforme en
signal vidéo, et l’écran (le tube) nous rend visible ce signal vidéo. On note dès à présent ces deux fonctions
du téléviseur : fonction de décollage des ondes reçues et fonction de visionnage du signal vidéo avec le
tube. Mais il faut ajouter que, si dans le cinéma l’image est projetée sur un écran et renvoyée aux
spectateurs (lumière réfléchie), en télévision « traditionnelle » l’image est directement projetée aux
téléspectateurs. L’apparition récente des vidéos projecteurs grand public, projetant maintenant les images
sur un mur, va peut-être transformer la relation du téléspectateur en spectacle télévisé.
Le texte suivant contient des fautes. Corrige-les en rayant d’un trait le mot incorrect, puis en
écrivant le mot juste au-dessus du mot incorrect. Pour les fautes de ponctuation, mets juste le
signe omis à l’endroit convenable.
« Un précepteur pour vos enfant » : tel pourrait être le slogan publicitère d’u quelconque
constructeur d’ordinateur individuels. Sachez que cela est à tout fait posible. Le clavier et
le degré de difficulté choisit, fait récité les leçons, corrige les erreurs de déclinaison ou dessine
L’enfant trouvent auprès de ce précepteur des connaissances énormes, une patience que
rien n’use, et surtout une totale disponibilité. Il s’enrichit, se cultive et insère l’ordinateur de
façon tout à fait normale dans son univers cotidien, entre son circuit de voitures et ses livres.
Les enfants, qui approvoisent beaucoup mieux et plus vite la machine que leurs aînés, se
trouvent mieux préparés à la vit dans une société où l’électronique de pointe est appélé à jouer
Atiti, dans son lit de malade, commença sans autre forme de procès à dire qu’elle voyait Agol,
machette en main, en train de la pourchasser. D’autres gens qu’elle ne reconnaissait point étaient avec elle
et voulaient l’attraper avec des cordes d’attache. Elle les voyait au mur, sur le toit, dans la cour ; elle lançait
des regards autour d’elle comme une démoniaque, pointant le toit en disant : « Agolooooh, Agol, je ne
viens pas avec toi, laisse-moi, laisse ma tête, laisse mes bras, laisse-moi, laisse-moi ! » (…)
Atiti, couchée au milieu de la salle grelottait, intensifiant davantage son œuvre de délire.
L’assistance l’observait et s’exclamait sans arrêt. A l’entrée d’Agol, tout le monde criait. On donnait des
indications sur la forme de punition à infliger à la sorcière…
Tita, à son retour, observa attentivement la malade pendant quelques minutes, puis il se leva et alla
dans sa chambre. Il en ressortit quelques secondes plus tard avec un liquide bouilli d’écorces amères qui
servait de sérum contre le paludisme. A son apparition, un silence de mort envahit toute la salle. Les plus
sages comprirent immédiatement que le patriarche n’était pas de leur avis. Son diagnostic semblait être loin
du leur. Il demanda qu’on fasse boire cette potion à Atiti dont les ardeurs hallucinatoires commencèrent à
s’estomper. Quelques instants après, une sueur abondante commença à dégouliner sur le corps de la
malade. Elle était complètement trempée. On lui fit ensuite boire une tisane d’aubergines mélangées à de la
citronnelle. Trente minutes plus tard la crise était complètement finie. Tita ne dit mot, les faits avaient
arrêté la palabre. Agol fut dédouanée avec des excuses de toute une armée d’accusateurs.
Jeanne Marie Abou’ou, Lettre à tita, volume 1.
QUESTIONS