Gestion Des Risques Bancaires: Finance & Finance Internationale N°8 Janvier 2017
Gestion Des Risques Bancaires: Finance & Finance Internationale N°8 Janvier 2017
Gestion Des Risques Bancaires: Finance & Finance Internationale N°8 Janvier 2017
Par
Hanen BRAHIM
&
Résumé:
La gestion des risques bancaires occupe une place importante dans les institutions
financières à cause des divers risques auquel est confrontée une banque.
De nos jours, les banques se sont exposées à divers types de risques. D’où il ya lieu de
détecter rapidement les difficultés que certains établissements bancaires peuvent rencontrés.
Dans le domaine bancaire comme dans les autres secteurs de l’économie, il est entendu que
l’on doit prendre des risques calculés pour réaliser des profits.
Au cours de cet article, nous détectons les différents risques exposés dans les banques ainsi
que leurs gestions.
Mots clés: risque de crédit, liquidité, risque de taux
Abstract:
Banking risk management is an important part of financial institutions because of the various
risks faced by a bank.
Today, banks have been exposed to various types of risk. It is therefore necessary to quickly
identify the difficulties that certain banking institutions can met.
In the banking sector as in other sectors of the economy, it is understood that one must take
calculated risks to make a profit..
In this article, we detect the various risks exposed in banks and their management.
Introduction :
Le risque occupe une place importante dans les théories1financières, Par ailleurs, la
dynamique historique du risque fait apparaître ou l’analyse du risque doit couvrir une
succession des situations possibles de même l’aggravation des risques aujourd’hui résulte
d’une évolution qui est marqué les deux derniers décennies, c’est pour cela il est nécessaire de
rechercher des nouvelles solutions afin de garantir une meilleure conscience de risque auquel
est confronté les banques.
D’où il convient de détecter les différents risques bancaires ainsi que de définir les mesures
nécessaires de gestion. Cinq risques vont étés énoncés : risque de crédit, risque de liquidité,
risque de marché, le risque opérationnel et d’insolvabilité.
D’où il est nécessaire de monter la capacité des banques à gérer les risques.
Ce risque est le risque de ne pas disposer3 assez de liquidité pour faire face aux demandes de
retrait de fonds.
D’après Olivier Davanne4 une institution est en risque de liquidité si elle peut mettre
en difficulté par une partie de confiance brutale et inattendue de ses préteurs.
Par conséquent, le risque de liquidité est considéré comme un facteur considérable de
vulnérabilité du système financier et joue un rôle essentiel dans la crise actuelle.
1
Anne Marie Percie (1999) : « Risque de contrôle du risque »économica Paris.
2
Hennie Van greuning, Sonja Bvajovic Bratanovic (2004): « Analyse et gestion du risque bancaire » édition
ESKA paris.
3
Pièrre charles pupion (1999) : « Economie et gestion bancaires » Dunod paris.
4
Olivier Davanne (2008) : « Régulation et réduction du risque de liquidité » Revue d’économie financière.
5
Christian Gouriéroux, André Tiomo (2007) : « Risque de crédit : une approche avancée »les cahiers de CREF
http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290
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B- Le risque change
Le risque de change est le risque lié à une évolution défavorable de taux de change.
Les banques doivent couvrir ce risque en devises ou en or, cependant les banques utilisent
deux méthodes simplifiées pour la mesure du risque de change en devises et en or.
Le risque sur produits de base est le risque lié à la détention ou la prise de position sur
des produits physiques pouvant être négociés sur un marché secondaire.
« Le risque opérationnel se définit comme le risque des pertes résultant d’une inadaptation où
d’une défaillance imputable à des procédures, personnes et systèmes internes, où à des
évènements extérieurs » (Basel committee on Banking supervision, working paper on the
regulatory treatment of operational risk).
Est le risque de l’ensemble de fonds propres7 et de dépôts, il est le risque de n’est pas
avoir suffisamment des fonds propres pour absorber les pertes.
Aujourd’hui, la gestion des risques se développent très rapidement dans les banques8 en
englobant l’ensemble des techniques et des outils de gestion en permettant de mesurer et de
contrôler les risques financiers
Certes, il s’agit de mettre en place une gestion « calculée » des risques afin de faciliter et
améliorer l’efficacité de la prise des risques et conditionne la performance et la durabilité de
la banque.
Les recherches sur la gestion des risques bancaires sont nombreuses, en effet, Lavoisier
(2009) montre que les banques doivent se rénover en restaurant la confiance des clients et en
lui améliorant les qualités des services et la fiabilité de l’information.
G.Causse, N.Hideur (2010) déclarent que les institutions financiers doivent améliorer leurs
méthodes de détection de gestion des risques.
6
Zuhayr Mikdashi (1998) : « Les banques à l’ère de la mondialisation » Economica paris.
7
Mounir Smida (2001) : « Economie monétaire I »Cedex
8
Joeil Bessis (1995) : « Gestion des risques et gestion actif-passif des banques »édition Dalloz Paris
http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290
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L’assurance des dépôts peut être considérée parmi les techniques de gestion de risque. En
effet, elle constitue une forme « assurantielle »9 de garantie des dépôts et elle est financée
suite à des primes versés ex ante.
Par ailleurs, la mission principale des compagnies d’assurances est de proposer des contrats10
d’assurances aux entreprises et aux ménages afin de réduire les risques des contractants.
2- La titrisation
Ce ratio exige que le rapport12 entre le montant des fonds propres et celui de l’ensemble de
risque de crédit est fixé au minimum à 8%.
Dès 1992, d’après le régime définitif prévu par la mise en application de ce ratio le noyau dur
doit représenter la moitié du total des fonds propres exigés ce qui issue à la prise en compte
des éléments complémentaires qui est plafonnée à 100% du noyau dur.
Dans les éléments complémentaires l’encours de dettes subordonnées est plafonné à
50% du noyau dur.
D’où ce ratio ne tient compte pratiquement qu’un seul risque : le risque de crédit qui est
considéré comme étant le risque majeur pour une banque.
Le ratio cooke souffre des faiblesses notamment, il n’est pas réussi à accroître l’efficacité et la
stabilité bancaire. En fait, les pondérations exigées ne permettent pas une évaluation correcte
de risque.
B- L’accord de Bâle II : le ratio Mc Donough
9
Philippe Madiès (2009) : « Dispositifs de garantie des dépôts des banques » Banque stratégique n°271.
10
Zvie Bodie, Robert Merton et Christophe thibierge (2011) : « finance » 3ème édition pearson paris.
11
Thomas Demians Archimbaud, Roland Portait (1989) : « Ratios cooke, titres subordonnés et titrisation : le
coût des fonds propre et la gestion du bilan bancaire » Revue banque.
12
Nathalie Caillard, Pierre Laurent, Véronique Seltz (2000) : « Les enjeux de la réforme du ratio Cooke » Revue
d’économie financière.
13
David Ruthenberg, Yoran Landskroner (2008): « Loan Principe under Basel II imperfectly competitive
banking market » Journal of banking and finance.
http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290
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14
Nathalie Caillard, Pierre Laurent, Veronique Seltz (2000) : opcit
http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290
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2- Le risque opérationnel
Par conséquent, d’après la réglementation de Bâle II, le ratio Mc Donough reste le même
principe avec le ratio cooke ≥8% mais toutefois le dénominateur de ratio Mc Donough
comporte trois éléments à la différence de ratio cooke.
Le montant des actifs pondérés (AP) correspond au montant des fonds propres exigés pour
couvrir le risque de crédit, le risque de marché et le risque opérationnel multiplié par 12.5
(1/0.08).
3- Mesure de risque de marché
Un des outils les plus courants et récents en matière de mesure des risques est la value-at- risk
(VAR).
VAR
VAR peut interpréter comme la probabilité que moins d’une quantité donnée d’argent sera
perdu dans un certain pourcentage du temps où le pourcentage est au moins le niveau de
confiance ciblé.
Solvency II :
Vu l’affaiblissement de Solvency I en matière de solvabilité15 en fonction de pourcentages
sur les primes et les sinistres. Solvency II vient combler les lacunes de ce dernier en instaurant
les 3 piliers. D’où il est essentiel de comparer Solvability I et Solvability II afin d’améliorer la
protection des assurés.
Concernant la gestion du risque du taux Il existe deux méthodes de gestion du risque du taux
* Définir et réduire l’assiette du risque
*Les méthodes de couverture du risque du taux
15
Benoît coeuré (2010) : « Le monde à-t-il encore besoin de la finance » édition des cartes £ cie paris.
16
Michel Bilger (2010) : « Calcul du numérateur une solvabilité renforcé des banques » Banque stratégique.
http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290
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- Introduire les deux ratios de liquidité : un ratio court terme et un ratio de financement
stable.
III : Méthodologie
ECHANTILLON :
A partir d’un échantillon de dix huit banques Tunisiennes étalé sur 22 années allant de 1992
au 2014, nous allons passer à la description de nos variables sélectionnées.
Le ratio de couverture des risques (RCR) : est mesuré par le rapport entre les fonds
propres nets prudentiels et l’actif ajusté aux risques, il est le ratio règlementaire qui ne doit
pas être inferieur à 8%
Le risque du taux d’intérêt (RTI):est mesuré par le rapport entre le produit net
bancaire et le total du bilan.
Selon le comité de Bâle sur le contrôle bancaire (1997), le risque de taux d’intérêt apparait
comme un facteur indispensable à la fragilité de la situation financière d’une banque et une
évolution défavorable de taux d’intérêt.
Le risque de liquidité (RL):est le ratio des actifs réalisables sur les passifs exigibles
Diamond et Rajan (2001) notent que tandis les banques fournissent des liquidités aux
emprunteurs, les prêts eux-mêmes sont des actifs relativement illiquides pour des banques par
la suite quand les banques exigent la liquidité, elles pourraient vendre les prêts ou les utilisent
comme le nantissement
La taille de la banque (V):est mesuré par le logarithme népérien du total des actifs au
31/12/n
La rentabilité économique (ROA):est le ratio de bénéfice net sur le total des actifs.
Pour évaluer la performance, la ROA s’avère un meilleur critère de rentabilité qui tend à
mesurer le bénéfice par rapport à l’actif et refléter dans qu’elle mesure la gestion de la banque
utilise des ressources réelles en vue de réaliser les bénéfices (Ben Naceur ; 2003)
Dont le but d’élargir notre modélisation nous intégrons trois variables nouveaux qui sont ; la
part du marché, le ratio crédit/pib et le ratio de revenu du cout (cost income ratio)
La part du marché (PM) : est mesuré par le rapport entre le total de crédit par
banque sur le total des crédits de secteur bancaire de notre échantillon. Ce ratio
traduit le degré de concentration sur le marché bancaire.
H6 : la part du marché à un impact positive sur le ratio de couverture de risques
(devbank) : est le ratio de crédits rapporté au produit intérieur brut (PIB), en effet
selon les travaux des (Sylviane Guillaumont Jeanneney, Kangni Kpodar ; 2006)
l’augmentation de ce ratio peut accompagner d’une instabilité croissante de ce même
ratio au sein d’une banque.
H7 : le ratio des crédits rapporté au pib est corrélé positivement avec le ratio de
couverture de risques
Cost income ratio (CIR) : se trouve au numérateur les charges d’exploitation et au
dénominateur les résultats d’exploitation, Cependant ce ratio est important dans le
secteur bancaire, il est une autre mesure naissante d’efficacité de banques (D. M
Mathuva ; 2009)
H8 : le ratio des charges d’exploitation rapporté aux résultats d’exploitation est corrélé
positivement avec le ratio de couverture de risques
Notre modèle appropriée est composé de huit variables pour dix huit banques pour
une période allant de 1992 à 2014 à l’aide de logiciel “STATA 12”
L’estimation de ce modèle est faite par deux méthodes économétriques en panel : une
estimation par les moindres carrées ordinaires(MCO) et une estimation à l’aide du technique
“seemingly unrelated regression”(SUR)
La première méthode a pour but de contrôler l’hétérogénéité des variables retenus dont on
applique deux test ;le test de Hausman qui englobe l’effet fixe et aléatoire d’où il permet de
choisir entre ce deux effets à partir de la probabilité de chi2.
L’estimation de la méthode « sur »à pour but de gagner l’efficacité dans l’évaluation en
combinant des informations sur des équations différentes et de tester les restrictions qui
impliquent des paramètres dans des équations différentes (Hyungsik Roger, Benoit Perron ;
2006), en effet cette méthode17 qui a discuté par Arnold Zellner en 1962 est considère comme
l’un des développements d’économétrie qui à trouvé l’utilisation considérable dans
l’application des tests économétriques
Notre modèle est à régression linéaire qui s’écrit :
RCRit = βit RCit + λit RTIit + θit RLit + δit PMit + Φit Vit + ωit ROAit
+ðitDEVBANKit+ÿitCIRit+ ξit
Ou( i) représente la banque et( t) représente la période
3- Estimation économétrique
Dans ce qui suit, nous présentons les statistiques descriptives des variables retenus
dans notre modèle ainsi que la matrice de corrélation de Pearson.
Nous remarquons d’après le tableau (2) que la moyenne de (devbank) est plus
importante que la taille de la banque sur 379 observations, elle est en moyenne de (29.
18136) contre (13. 56133), tandis que le(cost income ratio) à enregistré la moyenne la plus
bas (-20. 86899) dont la moyenne est de (-9695) et la maximale est de (2437. 85) à partir de
372 observations.
La taille de la banque et le ratio de crédit rapporté au pib occupe une place importante
pour les banques par contre les restes de variables enregistrent des moyennes relativement
faibles
17
Badi H Baltagi (2003) : « A companion to theoretical econometrics»Blackwell publishing
http://revues.imist.ma/?journal=FFI ISSN: 2489-1290
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Le tableau (2) récence les statistiques descriptives des principaux variables du modèle pour
l’échantillon.
(*significatif au seuil de 10%), (**significatif au seuil de 5%),(*** significatif au seuil de 1%) Source : auteur
Au total on conclut que la majorité des variables retenus dans notre modélisation sont non
significatives à l’exception de risque de crédit et la taille de la banque, en effet l’estimation
par la régression de moindre carrée ordinaire semble insuffisante et biaisé ainsi nos résultats.
D’ou il est nécessaire de passer à des tests complémentaires afin d’éclairer nos résultats.
Le test d’Hétéroscédasticité :
On suppose :
H0 <5% : il ya un problème d’hétéroscédasticité
H1>5%: il n’ya pas un problème d’hétéroscédasticité
Selon les résultats du test de Breush –Pagan LM nous emmenant à rejeter H1 et on accepte
H0 car le prob>chibar2=0. 000, et nous indique la présence de problème d’ hétéroscédasticité.
Le résultat de ce test a retenu le modèle à effet fixe.
Les résultats issus du modèle à effet fixes affichent la non significativité des variables
retenus dans notre modélisation dont le risque de crédit, la rentabilité économique, le ratio du
total des crédits rapportés au PIB et le ratio de revenu des couts ont corrèles négativement
avec le ratio de couverture des risques, dont cette corrélation indique que la majorité de ces
variables ne servent pas à la gestion des risques.
Les résultats issus de test d’héteroscédasticité sont inefficace pour une banque afin de mieux
gérer leurs risques, d’ou il ya lieu de passer au test de Hausman.
Le test de Hausman :
Le test de Hausman juge entre les deux tests: effet fixe et aléatoire
La probabilité de chi2 est à l’ordre de 0. 0021 qui inferieur à 5% donc on choisit la méthode à
effet fixe comme celle de test d’hétéroscédasticité dont les résultats sont les mêmes.
A partir de cette méthode on constate que la plupart des variables sont non
significatives ce qui nous mène à conclure que cette estimation souffre des lacunes malgré la
présence des normes prudentielles ce qui encourage les banques à chercher d’autres règles
prudentielles à l’échelle internationale et trouver d’autres mesures qui permettent à une
banque de réussir sa mission et doter d’un progrès efficace de gestion de risque .
Le tableau (5) retrace les résultats d’estimation de nos variables selon la méthode de Zellner
Conclusion :
La gestion des risques permet aux banques de mieux gérer leur structure de capital en vue de
tirer le maximum de profit en utilisant des mécanismes internes et externes pour protéger
contre les différentes pertes.
On a essayé de trouver une relation empirique entre les risques et la rentabilité bancaire en
appliquant tout d’abord la méthode de moindre carrée ordinaire(MCO) qui affichent que la
plupart de risques sont corrélés négativement avec le ratio de couverture de risques, ce qui
nous amène à recourir à une autre méthode appelé la méthode « SUR »sur un ensemble des
variables liés à la banque.
Comme toute méthode, cette méthode fait apparaitre que la plupart des variables sont non
significatives en appliquant les tests économétriques relatifs à cette méthode dont le risque de
crédit est corrélé positivement et statistiquement significative avec le risque de couverture de
risque
Le risque de taux d’intérêt à un effet négative et significative ce qui montre que ce risque
n’est pas stable, d’ou un grand attention de la part des banques en matière de fixation de ce
taux lors de l’octroi des crédits.
Références
* Benoît coeuré (2010) : « Le monde à-t-il encore besoin de la finance » édition des cartes £
cie paris.
* Christian Gouriéroux, André Tiomo (2007) : « Risque de crédit : une approche avancée »les
cahiers de CREF.
* David Ruthenberg, Yoran Landskroner (2008): « Loan Principe under Basel II imperfectly
competitive banking ma Benoît coeuré (2010) : « Le monde à-t-il encore besoin de la
finance » édition des cartes £ cie paris.
* Hennie Van greuning, Sonja Bvajovic Bratanovic (2004): « Analyse et gestion du risque
bancaire » édition ESKA paris.
*Joeil Bessis (1995) : « Gestion des risques et gestion actif-passif des banques »édition Dalloz
Paris
* Michel Bilger (2010) : « Calcul du numérateur une solvabilité renforcé des banques »
Banque stratégique.
* Nathalie Caillard, Pierre Laurent, Véronique Seltz (2000) : « Les enjeux de la réforme du
ratio Cooke » Revue d’économie financière.
* Philippe Madiès (2009) : « Dispositifs de garantie des dépôts des banques » Banque
stratégique n°271.
* Thomas Demians Archimbaud, Roland Portait (1989) : « Ratios cooke, titres subordonnés et
titrisation : le coût des fonds propre et la gestion du bilan bancaire » Revue banque.
*
Zuhayr Mikdashi (1998) : « Les banques à l’ère de la mondialisation » Economica paris.
*Zvie Bodie, Robert Merton et Christophe thibierge (2011) : « finance » 3ème édition pearson
paris.