Support Photoshop Illustrator

Nadège SURETAT Formatrice Bureautique et PAO
Support
Conception
Images
Nadège SURETAT
17/02/2023
Support formation – Support Conception Images

Dessin vectoriel VS Image Bitmap

Image composée de points reliés entre eux par Une image matricielle, ou « carte de points »
des lignes qui constituent des formes (de l'anglais bitmap), est une image constituée
géométriques composés de lignes droites et/ou d'une matrice de points colorés.
de courbes calculés par la machine.
C'est-à-dire, constituée d'un tableau, d'une
Images définis par des attributs : formes, grille, où chaque case possède une couleur qui
couleurs de fond, couleurs de contours, lui est propre et est considérée comme un
visibilité etc. point. Il s'agit donc d'une juxtaposition de
points de couleurs formant, dans leur
On peut appliquer différentes transformations : ensemble, une image.
homothéties, rotations, écrasement, mise à
l’échelle, extrusion, effet miroir… etc. Les paramètres principaux d’une image bitmap
qui vont permettre de définir sa qualité et ce
L’image vectorielle va pouvoir être agrandit ou qu’on pourra en faire sont :
diminuer sans perte de qualité. - Sa définition : Le nombre de pixel de
cette image : + il y a de pixel, + elle aura
du potentiel
- Sa résolution : la taille du pixel exprimé
en point par pouce (DPI en anglais)
pour l’impression

Les modes colorimétriques
La couleur dans les images numériques

Les couleurs que nous voyez et manipulez dans les images numériques sont décrites dans des
modèles colorimétriques. Chaque modèle de couleur, RVB, CMJN ou TSL, représente une méthode
différente de description et de classification des couleurs. Les modèles colorimétriques utilisent des
valeurs numériques pour décrire le spectre des couleurs visibles.
Un espace colorimétrique est une variante d’un modèle de couleur caractérisée par sa propre
gamme de couleurs. Par exemple, dans le modèle RVB figurent un certain nombre d’espaces
colorimétriques : RVB Adobe®, sRVB et RVB Apple®. Ces espaces colorimétriques décrivent les
couleurs à l’aide des trois mêmes axes (R, V et B), mais dans des gammes différentes.
Gammes des différents espaces colorimétriques

A. Gamme visuelle
B. Espace colorimétrique RVB
C. Espace colorimétrique CMJN
Divers appareils, tels qu’un moniteur, scanner, imprimante de bureau de votre flux de production
utilisent différents espaces colorimétriques et différentes gammes à l’intérieur de ces espaces
colorimétriques. La gamme de couleurs du moniteur peut contenir des couleurs qui n’appartiennent
pas à la gamme de l’imprimante à jet d’encre, et inversement. Lorsqu’une couleur ne peut pas être
reproduite sur un périphérique, elle est considérée comme étant en dehors de l’espace
colorimétrique du périphérique. En d’autres termes, elle est dite non imprimable.
Lorsqu’une image passe d’un périphérique à un autre, ses couleurs peuvent varier, car chaque
périphérique interprète les valeurs RVB ou CMJN selon son propre espace colorimétrique. Par
exemple, il n’est pas possible de reproduire à l’identique toutes les couleurs affichées sur un
moniteur avec une imprimante de bureau. Une imprimante utilise un espace colorimétrique CMJN,
tandis qu’un moniteur utilise un espace colorimétrique RVB. Leurs gammes de couleurs sont
différentes. Les encres produisent certaines couleurs qu’un moniteur ne peut pas reproduire et,
inversement, les moniteurs affichent des couleurs que les encres d’imprimante ne peuvent pas
reproduire sur le papier.
Si votre flux de production de couleurs comprend le transfert de documents d’un périphérique à un

autre, il est conseillé d’utiliser un système de gestion des couleurs (SGC) afin d’assurer l’uniformité
des couleurs tout au long du processus.

Les principaux modes colorimétriques dans les logiciels Adobe
RVB
Une grande partie du spectre visible peut être représentée par le mélange des trois composantes
élémentaires de la lumière colorée (rouge, vert, bleu) dans des proportions et intensités variables. Le
chevauchement de ces trois couleurs donne le cyan, le magenta et le jaune.
Les couleurs RVB sont appelées des couleurs additives, car vous créez du blanc en ajoutant du rouge,
du vert et du bleu. Les couleurs additives sont utilisées pour l’éclairage, la télévision et les moniteurs.
Par exemple, votre moniteur crée de la couleur en émettant de la lumière à travers les luminophores
rouges, verts et bleus.
Couleurs additives (RVB)

A. Rouge
B. Vert
C. Bleu
Vous pouvez utiliser des valeurs chromatiques du mode RVB, reposant lui-même sur le modèle de
couleur RVB. En mode RVB, chaque composante RVB peut utiliser une valeur comprise entre 0 (noir)
et 255 (blanc). Par exemple, un rouge vif aura une valeur R de 246, une valeur V de 20 et une valeur B
de 50. Lorsque toutes les composantes ont une valeur égale, on obtient du gris ; lorsqu’elles ont
chacune une valeur de 255, on obtient du blanc. Une valeur 0 pour chacune produit du noir.
CMJN
Alors que, dans le modèle RVB, il faut une source lumineuse pour créer des couleurs, le modèle
CMJN repose sur la qualité d’absorption de la lumière de l’encre sur le papier. Quand la lumière
blanche atteint des encres translucides, une partie du spectre est absorbé. L’autre partie est réfléchie
vers l’œil de l’observateur.
En combinant des pigments cyan (C), magenta (M) et jaune (J) purs, on obtiendrait du noir par
absorption ou soustraction de toutes les couleurs. Pour cette raison les couleurs sont appelées des
couleurs soustractives. L’encre noire (N) ajoutée en appoint permet d’approfondir les noirs. (En
anglais, la lettre K pour le noir (Black) est utilisée parce que le noir est la couleur « clé » (Key) de
l’enregistrement des autres couleurs et parce que la lettre B (pour Black) est utilisée pour le bleu
(Blue).) L’association de ces encres pour reproduire une couleur est appelée l’impression en
quadrichromie.
Couleurs soustractives (CMJN)

A. Cyan
B. Magenta
C. Jaune
D. Noir
Vous pouvez utiliser des valeurs chromatiques du mode CMJN, reposant lui-même sur le modèle de
couleur CMJN. En mode CMJN, chacune des encres quadrichromiques CMJN peut prendre une valeur

comprise entre 0 et 100 %. Plus ce pourcentage est faible, plus la couleur est claire, et inversement.
Par exemple, un rouge vif peut être obtenu avec 2 % de cyan, 93 % de magenta, 90 % de jaune et 0 %
de noir. Dans les objets CMJN, les pourcentages d’encre faibles se rapprochent du blanc, alors que les
pourcentages élevés tendent vers le noir.
Optez pour le mode CMJN lorsque vous préparez des documents destinés à une impression
quadrichromique.
TSL (mode par défaut du sélecteur de couleur)

Fondé sur la perception des couleurs par l’œil humain, le modèle TSL décrit trois caractéristiques
colorimétriques fondamentales :
Teinte
Couleur réfléchie ou transmise par un objet. Elle correspond à un emplacement sur la roue
chromatique standard, exprimé en degrés (entre 0 et 360). Concrètement, il s’agit de la couleur
proprement dite de l’objet : rouge, orange ou vert, par exemple.
Saturation
Intensité ou pureté de la couleur (parfois appelée chromie). Elle correspond à la quantité de gris
contenu dans une teinte, exprimée sous la forme d’un pourcentage compris entre 0 (gris) et 100
(saturation totale). Sur la roue chromatique standard, la saturation augmente du centre vers la
périphérie.
Luminosité
Variation d’intensité lumineuse de la couleur, exprimée sous la forme d’un pourcentage compris
entre 0 (noir) et 100 (blanc).
Modèle de couleur TSL

A. Teinte
B. Saturation
C. Luminosité
Niveau de gris
Le modèle Niveaux de gris utilise des teintes de noir pour représenter un objet. La luminosité de
chaque objet en niveaux de gris est comprise entre 0 % (blanc) et 100 % (noir).
Les images numérisées en noir et blanc ou en niveaux de gris sont généralement affichées en niveaux
de gris.
Le modèle Niveaux de gris permet également de convertir des illustrations couleur en illustrations
noir et blanc de haute qualité. Adobe Illustrator supprime alors toutes les informations chromatiques
de l’illustration d’origine ; les niveaux de gris (ombres) des objets convertis correspondent à la
luminosité des objets d’origine.
Lors de la conversion d’images en niveaux de gris en images RVB, les valeurs chromatiques attribuées
à chaque objet dépendent de la valeur de gris de départ. Il est également possible de convertir un
objet en niveaux de gris en objet CMJN.

Photoshop
Interface – création du premier document
Ecran d’accueil
Bouton d’accueil : pour revenir à l’écran d’accueil
Boutons Nouveau Fichier ou Ouvrir

Paramétrer un nouveau document
La fenêtre de création de fichier de Photoshop propose plusieurs formats prédéfinis dans les
catégories sur le haut de la fenêtre.
Les principaux paramètres pour créer un nouveau fichier dans Photoshop sont :
- Largeur et Hauteur de l’image
- Résolution
- Mode Colorimétrique
- Contenu de l’arrière-plan.
- Si besoin Profil colorimétrique

Interface fichier ouvert
Bouton de retour à l’accueil
Barre de menus
Panneau de contrôle
Barre d’ outils
Panneaux ancrés
Fenêtre du document
Espace de travail et personnalisation

- Où sont les espaces de travail ? Menu Fenêtre > Espace de travail
- A quoi ils servent ? Personnaliser et organiser l’interface de travail
- Les indispensables classique : la base pour démarrer
Personnalisation de son interface et fonctionnement des panneaux

- Les panneaux principaux : Propriétés, bibliothèques, calques, tracé, réglages
- Ajout, fermeture, options des panneaux :
o Les panneaux se trouvent dans le menu Fenêtre
o Les panneaux flottants ou ancrés
o Réduire ou développer avec
o Menu local des panneaux

- Enregistrement de son espace de travail : Menu Fenêtre > Espace de Travail > Nouvel espace
de travail

La barre d’outils
Les outils vous permettront de réaliser de nombreuses manipulations sur vos photos. Ils sont de
différentes natures :
- Outils de sélection : Déplacement, Rectangle de sélection, Lasso, Sélection rapide.

- Outils de recadrage et tranche : Recadrage et Tranche.
- Outils de mesure : Pipette, Règle, Annotation, Comptage.
- Outils de retouche : Correcteurs, Tampons, Gomme, Goutte d’eau, Densité.
- Outils de peinture : Pinceau, Forme d’historique, Dégradé.
- Outils de dessin, de texte et tracé : Plume, Texte, Sélection de tracé, Formes personnalisées.
- Outils de navigation : Rotation, Orbite, Main, Zoom.
- Le contrôle des couleurs
- Le mode Masque
Description détaillée : https://www.photoshoplus.fr/raccourcis-photoshop-cc/

Vérifier et paramétrer la qualité d’une image dans Photoshop

Lorsque vous ouvrez une image dans Photoshop, il y a plusieurs éléments auxquels il faut être
attentif et à vérifier :
- La valeur de zoom à l’ouverture : plus la valeur va être petite, plus l’image sera grande et
plus sa définition sera importante.
- Sa taille en pixel et sa résolution : pour bien faire, il est essentiel de vérifier si l’image sur
laquelle vous vous apprêter à travailler est adaptée à l’usage que vous allez en faire.
Les paramètres de l’image sont dans le menu Image > taille de l’image :
Tant que vous travaillez pour un support « écran », la résolution importe peu. En revanche, ce
paramètre va être primordiale pour l’impression.
Il est important de noter que plus une image va avoir une grande définition, plus vous allez pouvoir
l’imprimer en grand format.
Pour paramétrer correctement votre image pour l’impression, il faudra dans la boite de dialogue ci-
dessus :
- Mettre les dimensions en cm ou millimètre
- Décocher la case « Rééchantillonnage ».
Ainsi les paramètres « Largeur-Hauteur-Résolution » seront contraints les uns par rapport aux autres
et vous pourrez modifier la résolution pour atteindre 300 DPI. La taille d’impression sera impactée
par cette modification.

Passage d’une image de 72 DPI à 300 DPI
 La case Rééchantillonnage est décochée
 La taille en centimètre de l’image a diminué. Elle

ne pourra pas être imprimer plus grande que
cette taille pour conserver sa qualité
Principe des calques et leur gestion

Les calques sont un élément important du logiciel Photoshop car ils permettent de faire une
modification sur une partie d’une image et pas sur l’autre.
On peut comparer les calques Photoshop aux papiers calques que vous utilisiez à l’école. Vous
pouvez ainsi superposer plusieurs calques transparents sur une même image.
L’avantage principal d’utiliser des calques est le fait de pouvoir retoucher certaines parties d’une
image sans affecter les autres. Un document Photoshop est donc constitué de différents calques qui
se superposent et qui produisent l'image finale.

Principales manipulations sur les calques

Lorsque vous ouvrez une image dans Photoshop, celle-ci contient déjà un calque qui sera considéré
comme "Arrière-plan" (1) et qui sera automatiquement verrouillé.
Vous pouvez ajouter de nouveaux calques à

une image en créant un nouveau calque
transparent vierge. Pour cela, cliquez sur
Créer un calque (2) dans le panneau Calques.
5
Une autre façon de créer un calque dans votre
fichier photoshop est de convertir une
3 sélection en calque. Pour cela, il faut réaliser
la sélection puis Copier-Coller. Cela créera
automatiquement un calque.
Pour masquer un calque, on cliquera sur l’œil

(3) qui s’affiche devant la vignette du calque
1 Et enfin pour supprimer définitivement un

calque, on le sélectionnera puis on cliquera
sur la corbeille (4) du panneau calque.
On peut aussi le déposer en glisser-déposer
sur la corbeille.
Pour verrouiller un calque, on le sélectionne,

puis on peut cliquer sur le cadenas (5) sur le
2 4 haut du panneau
Pour redimensionner un calque, on peut utiliser l’une des deux méthodes :

- Sélectionner le calque puis CTRL + T (Edition > Transformation manuelle)
- Activer la case dans le panneau de contrôle
- Pour chacune de ces 2 méthodes, il faudra bien valider votre transformation avec la touche
« Entrée »
- On pourra contraindre avec la touche SHIFT (MAJ) du clavier pour les proportions et ALT
pour le centre de transformation
La méthode sera la même pour appliquer une rotation à votre calque. On approchera son curseur de
souris des poignets dans les angles, il affichera un arc de cercle. Pour contraindre la rotation, on
appuiera sur la touche shift du clavier.
Pour une question d’organisation et de méthode, il est primordial de nommer vos calques. Pour cela,
on double clic sur le nom du calque, on saisit le nouveau nom puis on appuie sur « Entrée ».
Il est également possible d’organiser les calques par Groupe. Pour cela, on peut sélectionner tous les
calques à mettre dans le groupe, puis cliquer sur le bouton « Groupe de calque » dans la barre en bas
du panneau des calques.

Outre les calques de pixel, vous pouvez créer des calques de réglages (2, 3, 4) pour les corrections
colorimétrique des images, des calques de remplissage (uni, dégradé ou motif) (1)
2
1
3
4
Création de calque de
réglages par le
panneau Réglages
L’ordre des calques peut être modifier en les faisant glisser les uns au-dessus ou en dessous des
autres.
Il est recommandé d’utiliser les masques de fusion (bouton sur la barre des outils de calque (5)) sur
les calques pour masquer des parties non utilisées dans le montage photo. Le masque fonctionne
ainsi :
- Tout ce qui est visible sur le calque est vu en blanc dans la vignette du masque de fusion.
- Tout ce qui est en noir n’est pas visible.
- Exemple :

Enfin, il est possible de modifier le comportement d’un calque vis-à-vis des calques en dessous en
utilisant les modes de fusion des calques.
Les modes de fusions sont les façons dont les couleurs vont se mélanger entre elles. Le mode de
fusion permet de définir la façon dont vont interagir les pixels d'un calque sur Photoshop avec celui
situé juste en-dessous. Deux calques sont donc nécessaires pour que l'effet soit possible.
Par défaut, le mode de fusion est réglé sur « Normal » dans Photoshop. Il n'y a donc aucune
interaction entre les pixels des deux calques.
Dans la fenêtre “Calque”, ouvrez le menu déroulant pour découvrir tous les modes de fusion. En
passant votre souris sur les différents modes, Photoshop affiche un aperçu instantané des modes de
fusion sur la zone de travail. Vous n’avez plus qu’à sélectionner le mode souhaité.
Chaque mode sur un calque va avoir un impact différent en fonction de comment il va se mélanger
avec les autres.

Illustrator
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Bouton Créer ou Ouvrir
Pour revenir à l’interface avec le fichier ouvert depuis l’écran d’accueil

Paramétrer un nouveau document
Les différents types de documents

On peut créer des documents pour l’impression, le web, mobile et tablette. Suivant le choix que vous
allez faire, Illustrator adaptera les unités de mesures et le mode colorimétrique ainsi que les effets de
pixélisation.

Interface fichier ouvert

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Espace de travail et personnalisation

- Où sont les espaces de travail ? Menu Fenêtre > Espace de travail
- A quoi ils servent ? Personnaliser et organiser l’interface de travail
- Les indispensables classique : la base pour démarrer
Personnalisation de son interface et fonctionnement des panneaux

- Les panneaux principaux : Propriétés, bibliothèques, calques, Aspect
- Ajout, fermeture, options des panneaux :
o Les panneaux flottants ou ancrés
o Réduire ou développer avec
o Menu local des panneaux

- Enregistrement de son espace de travail : Menu Fenêtre > Espace de Travail > Nouvel espace
de travail
- ATTENTION : certains panneaux nécessitent d’afficher toutes les options via le menu local
sinon vous passez à côté de plusieurs paramètres importants

La barre d’outils
A NOTER pour avoir tous les outils : Menu Fenêtre > Barre d’outils > Avancés
Outil de sélection par défaut « Flèche noir » : sélection de forme en entier, déplacement
Outil de sélection directe « Flèche blanche » : sélection de point du tracé ou vecteur
Outil de sélection Baguette magique : pour sélection des objets identiques : même forme, même couleur
Outil de sélection Lasso : pour sélectionner comme dans photoshop : peu d’intérêt
Outil Plume, outil ajout de point d’ancrage, outil suppression de point d’ancrage, outil point d’ancrage
Outil Courbure : dessin de courbes intuitif
Outil texte, texte captif, texte curviligne etc.
Outil Trait, courbe, spirale, grille etc.
Outil Forme géométriques : rectangle, ellipse, polygone, halo, étoile
Outil pinceaux et forme de tâches
Outil Shaper (dessin à main levée), crayon, arrondi etc.
Outil Gomme, ciseaux, cutter
Outil Rotation, Miroir : x2 clic sur le bouton pour avoir les paramètres des outils
Outil Mise à l’échelle, Déformation, modelage : x2 clic sur le bouton pour avoir les paramètres
Outil Modelage de forme : outil largeur, cristallisation etc… (x2clic sur les outils pour les options) – Alt permet de
changer laforme ou de changer le sens
Outil Déformation de la marionette
Outil Concepteur de forme
Outil Grille de perspective
Outil Filet de dégradé
Outil Dégradé
Outil Pipette, mesure
Outil Fusion (anciennement dégradé de forme) : x2 clic sur le bouton pour avoir les paramètres des
Outil Pulvérisation de symbole

Outil graphique
Outil Plan de travail
Outil Tranches
Outil Main
Outil Zoom
Gestion des couleurs de l’objet sélectionné
Mode de dessin
Mode de la fenêtre

Comprendre les différents types de tracés et les points d’ancrage

Lorsque vous dessinez, vous créez une ligne appelée tracé. Un tracé est composé d’un ou de
plusieurs segments droits ou incurvés. Le début et la fin de chaque segment sont indiqués par des
points d’ancrage qui fonctionnent à la manière d’épingles maintenant un fil en place. Un tracé peut
être fermé (un cercle, par exemple) ou ouvert, s’il comporte des extrémités distinctes (une ligne
onduleuse, par exemple).
Pour modifier la forme d’un tracé, vous pouvez faire glisser ses points d’ancrage, les points directeurs
à l’extrémité des lignes directrices qui apparaissent aux points d’ancrage ou le segment du tracé lui-
même.
Composants d’un élément

A. Extrémité de tracé sélectionnée (pleine)
B. Point d’ancrage sélectionné
C. Point d’ancrage non sélectionné
D. Segment de tracé incurvé
E. Ligne directrice F. Point directeur
Les tracés peuvent avoir deux types de point d’ancrage : les sommets et les points d’inflexion. Au
niveau d’un sommet, un tracé change brusquement de sens. Au niveau d’un point lisse, les segments
de tracé sont reliés en une courbe continue. Lorsque vous dessinez un tracé, vous pouvez mélanger à
votre guise les sommets et les points d’inflexion. Vous pouvez toujours transformer un sommet en
point d’inflexion, et inversement.
Points d’un tracé

A. Quatre sommets
B. Quatre points d’inflexion
C. Combinaison de sommets et de points
d’inflexion
Un sommet peut relier deux segments rectilignes ou courbes, tandis qu’un point d’inflexion raccorde
toujours deux segments courbes.
Un sommet peut relier des segments
rectilignes et des segments courbes.

Sélection et modification des points d’ancrage et des lignes directrices
Pour modifier un tracé, on va utiliser la flèche blanche (raccourci clavier A)
Suppression de points et de segments

Suivant ce que vous voulez faire :
- Ouvrir le tracé : sélection du point d’ancrage puis touche SUPPR
- Conserver le tracé fermé : choisir l’outil Plume - puis
clic sur le point à supprimer.
Conversion des points d’ancrage et directeurs

Pour passer d’un sommet à un point d’inflexion :
Présentation des différents types de nuances dans Illustrator : couleur, dégradé,

motif et bibliothèques
On va gérer la couleur avec :
Le panneau Couleur et son menu local : pour créer une couleur.

Ce panneau peut être présenté en CMJN ou en RVB ou TSL ou Niveau de gris
Le panneau Nuancier et son menu local

Les types de couleurs
Les couleurs globales

Les couleurs globales sont mises à jour automatiquement dans l’ensemble de l’illustration
lorsqu’elles sont modifiées. Tous les tons directs sont des couleurs globales, à la différence des
couleurs quadrichromiques qui peuvent être globales ou non.
Vous pouvez identifier les nuances de couleurs globales grâce à l’icône de couleur globale
(lorsque le panneau est en mode Affichage par liste) ou au triangle dans l’angle inférieur
(lorsque le panneau est en mode Affichage par vignettes).
Lors de l’utilisation d’une couleur globale, on va pouvoir la « tramer », c’est-à-dire réduire la quantité
de sa teinte maximum. Voici comment cela se présente dans le panneau couleur :
Teinte à 100%, on peut décaler le curseur pour réduire la

quantité de couleur
La version tramée d’une couleur globale peut être enregistré dans le nuancier également.
Tons directs (les PANTONE sont des tons directs)

Un ton direct est une encre spéciale prémélangée, utilisée à la place ou en complément
d’encres CMJN. Vous pouvez identifier les nuances de tons directs grâce à l’icône de Ton
direct (lorsque le panneau est en mode Affichage par liste) ou un point dans l’angle
inférieur (lorsque le panneau est en mode Affichage par vignettes).

Dégradés
Un dégradé résulte d’une fusion progressive entre au moins deux couleurs ou teintes de la même
couleur ou de couleurs différentes. Les dégradés de couleurs peuvent être définis en couleurs
quadrichromiques CMJN, en couleurs RVB ou en tons directs. La transparence appliquée à une étape
de dégradé est conservée lorsque le dégradé est enregistré comme nuance de dégradé. Les valeurs
d’angle et de format de pixels des dégradés elliptiques (créés par la modification du format des pixels
et de l’angle d’un dégradé radial) ne sont pas conservés.
Pour appliquer un dégradé dans une forme, elle doit être

sélectionnée.
1 3 Puis on cliquera sur le bouton encadré 1
2 ATTENTION : un dégradé peut s’appliquer aussi bien en fond

qu’en contour d’une forme. Il est donc important de vérifier
quel élément du fond ou du contour est sélectionné sur le
bouton 2
On peut créer 3 types de dégradés : Linéaire, Radial,

Dégradé en forme libre
Pour changer les points de couleur d’un dégradé, on

double-clic sur les curseurs sur la barre de dégradé
(4).
Ainsi on a accès au choix :
- Au mélangeur de couleur (5)
- Au nuancier (6)
- La pipette (7) 4
Il est évidemment possible de faire des dégradés
avec d’autres points de dégradés. Pour cela, on
5
clique en dessous de la barre de dégradés (4). Un
« + » apparait à côté du curseur de souris. 6
L’outil « Dégradé » (8) présent dans la

barre d’outils est hyper intéressant pour
positionner son dégradé sur une ou
plusieurs formes.
8

Les motifs
Ce sont des éléments prédéfinis (ou que l’ont peut créer) qui servent à remplir des formes pleines.
Les bibliothèques de nuances

Illustrator intègre un grand nombre de bibliothèques de nuances, de dégradés, de motifs et les
catalogues de couleurs.
Elles sont accessibles via le menu local du panneau Nuancier :
A noter :
Cette catégorie
regroupe les
catalogues de
couleurs des
différents
éditeurs de
nuanciers,
notamment les
nuanciers
Pantone

Tutos et bons liens
Photoshop
- Les bases de Photoshop :
https://www.youtube.com/watch?v=SvFFh5_HUA8&t=5s&ab_channel=PhidiasAcad%C3%A9
mie-Vivredugraphisme
- Les profils colorimétriques : https://graphiste.com/blog/profil-icc-guide-profils-
colorimetriques/
- Détourage de cheveux Photoshop 2022 :
https://www.youtube.com/watch?v=kqI4Bumo4So&ab_channel=PhidiasAcad%C3%A9mie-
Vivredugraphisme
- Effet pop : https://www.tutsps.com/post/2017/08/29/donner-un-effet-pop-a-vos-photos/
- Créer une brosse dans Photoshop : https://www.cynthiadormeyer.com/post/comment-
cr%C3%A9er-sa-brosse-photoshop
- Télécharger des brosses :
o https://www.brush-photoshop.fr/
o https://fr.brusheezy.com/libre/photoshop-cc
- Effet incrustation de dégradé : https://www.guyom-
design.com/blog/astuces/photoshop/double-lumiere-photoshop/
- Tuto Krakus sur youtube : https://www.youtube.com/@OlivierKrakus
Illustrator
- Les bases d’Illustrator :
https://www.youtube.com/watch?v=gMSwSjD67H8&t=3s&ab_channel=PhidiasAcad%C3%A9
mie-Vivredugraphisme
- Méthode topissime pour réaliser des cartes :
https://www.youtube.com/watch?v=CLgGWbWx12E&ab_channel=St%C3%A9phaneBaril
- Créer des logos avec Illustrator : https://99designs.fr/blog/tutoriels-de-design/creer-logo-
illustrator/
Il y a des milliers de ressources sur le web… Amusez-vous !

Pratiquez ! Prenez plaisir à utiliser ces outils !!! Et vous ferez
des merveilles !

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La couleur dans les images numériques

Gammes des différents espaces colorimétriques

Si votre flux de production de couleurs comprend le transfert de documents d’un périphérique à un

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Les principaux modes colorimétriques dans les logiciels Adobe

Couleurs additives (RVB)

Couleurs soustractives (CMJN)

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TSL (mode par défaut du sélecteur de couleur)

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Passage d’une image de 72 DPI à 300 DPI

 La case Rééchantillonnage est décochée

 La taille en centimètre de l’image a diminué. Elle

Principe des calques et leur gestion

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Principales manipulations sur les calques

Vous pouvez ajouter de nouveaux calques à

Pour masquer un calque, on cliquera sur l’œil

1 Et enfin pour supprimer définitivement un

Pour verrouiller un calque, on le sélectionne,

Pour redimensionner un calque, on peut utiliser l’une des deux méthodes :

Support formation – Support Conception Images

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