SCIENCES 2023-2024

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I} Introduction :
La principale source d'énergie de la Terre provient du Soleil, jouant ainsi un rôle
déterminant dans la régulation de la température de la surface terrestre et
influençant les climats et les saisons L'énergie transférée par le Soleil est
indispensable au monde vivant en initiant diverses fonctions biologiques et en
fournissant des sources d'énergie exploitées par l'humanité. Elle permet la
photosynthèse des végétaux et se propage à travers la chaîne alimentaire en
fournissant la nutrition à d'autres organismes vivants. Nous allons donc voir à travers
cette synthèse comment l’énergie qu’il nous procure à travers son rayonnement
permet la mise en place de nombreux phénomènes terrestres à différentes échelles.
On peut également se poser plusieurs questions comme De quelle manière la
température terrestre est-elle déterminée et est répartie dans le monde ? Comment
l'énergie solaire contribue-t-elle à la production d'énergie chez les êtres vivants ?
Quels sont les processus de fossilisation de l'énergie solaire ?
Tout d’abord nous étudierons le rayonnement solaire qui est a l’origine des saisons
et des climats puis le bilan radiatif terrestre qui conditionne l’équilibre des
températures. Par la suite nous verrons comment l’énergie solaire permet la
photosynthèse et enfin nous aborderons une diversité de source d’énergie utilisable
par l’humain.
II} Chapitre 1 : LE RAYONNEMENT SOLAIRE
Le soleil, 4.6 milliards d’années est composé de 73% d’hydrogène, 25% d’hélium et
2% d’autres gaz, il rend la vie possible sur Terre car elle ne peut pas se développer
sans énergie thermique ou lumineuse (végétaux, humains …). Le rayonnement
solaire correspond à la propagation d’énergie électromagnétique émise par le soleil,
celui-ci transmet à la Terre de l’énergie par rayonnement et cette énergie détient des
conséquences importantes pour notre planète. De ce fait, nous allons étudier les
gros axes de notre étude sur les différents phénomènes autour du rayonnement
solaire.
Le soleil crée de l’énergie thermique, lumineuse et électromagnétique grâce au
phénomène de fusion nucléaire. Il consiste à la production d’énergie provoquée par
l’hydrogène et l’hélium, les noyaux d’hydrogène s’assemblent afin de former un
noyau plus lourd, cette réaction libère une énorme quantité d’énergie qui est envoyée
à la Terre. En créant l’énergie envoyée sur Terre, le soleil perd en masse (c’est
d’ailleurs l’atome d’hélium qui est à l’origine de cette perte), ainsi en nous procurant
de l’énergie, le soleil se désintègre en quelque sorte et permet à la production
d’énergie de rester constante. L’intensité du rayonnement solaire qui arrive jusque
nous varie selon les périodes.
En 1905, le très célèbre Albert Einstein, physicien théoricien allemand trouve une
formule de l’équivalence masse-énergie qui relie, comme son nom l’indique la masse
et l’énergie, cette dernière prouve que l’énergie et la masse sont équivalente, elle
prouve également qu’un objet peut voir sa masse diminuer de deux façons
différentes : en perdant de la matière, en perdant de l’énergie

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Elle se détermine par la formule suivante :

E= mc2
1

Avec E
l’énergie en
Joule, m la
masse en

kilogramme, et c la constante de célérité qui correspond à 3.00x10 ^8 m/s.

SPECTRE ELECTROMANIETIQUE DE LA LUMIERE

Source :
https://svt.acversailles.fr/IMG/pdf/caracteristiques_du_soleil.pd
Poursuivons avec un f autre axe d’étude, la
conséquence directe de la couleur d’une étoile
en fonction de sa température de
surface, cette interprétation peut avoir
lieu grâce au modèle du corps noir réalisé par
Max Planck en physique quantique. Il est dit que
les étoiles froides émettent leur
rayonnement dans les domaines rouges et infrarouges du spectre
électromagnétique. Quant aux étoiles chaudes, elles émettent leur rayonnement
dans les domaines bleus et ultraviolet, voici un spectre ci-dessous :

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REPRESENTATION GRAPHIQUE DE LA LOI DE WIEN

Source : https://www.shelyak.com/wp-content/uploads/DC0005C-Guide-
Utilisateur-Lhires-Lite-FR-EN.pdf
Afin de prouver cette interprétation de la température de surface, prenons l’exemple
du soleil. Celui-ci à une température d’environs 6000 Kelvins et paraît blanc dans
l’espace. Si sa température de surface était plus chaude alors, il produirait plus de
lumière. S’il était plus froid alors, les rayonnements paraîtraient plus rouges. Le profil
spectral permet de mesurer la longueur d’onde pour laquelle l’intensité émise par
une étoile est la plus haute, pour le soleil, λ max se situe entre 490 nm et 500nm.

Spectre du rayonnement d’un corps noir en fonction de la température :

Le lien entre la couleur et la température est
2 également expliqué par la loi de Wien,
celle-ci détermine la longueur d’onde pour laquelle l’intensité de rayonnement émis
par un corps noir atteint sa valeur maximale λ max. Le corps noir détermine le « pic »
maximal atteint, après celui-ci, la courbe redescend. Nous avons déterminé que plus
la longueur d’onde est faible plus la température de surface est élevée, et plus la
longueur d’onde est élevée plus la température de surface est basse. Ces deux
valeurs sont donc inversement proportionnelles. (Soleil 6000K = longueur d’onde
entre 490 et 500 selon le pic).

La loi de Wien est donnée par la formule suivante :

λ max = 2.90x10^-3 / T

Avec λ max qui correspond à la longueur d’onde en mètre (m), T qui correspond à la
température en Kelvin (K).
Afin de passer de la température en degré Celsius à la température en Kelvin, il suffit
d’ajouter +273 à la température en degré Celsius.
A partir de cette formule, nous pouvons donc déterminer la température de surface
d’une étoile :

T = 2.90 x 10^-3 / λ max

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Poursuivons avec l’existence des différents climats sur Terre, ce phénomène est
possible grâce à plusieurs facteurs naturels, tout d’abord la forme de la Terre
influence directement ceux-ci car étant donné qu’elle possède une forme sphérique,
les rayons du soleil (qui arrivent de loin et de façon parallèle) possèdent la même
quantité d’énergie mais, cette-dernière ne touche pas la Terre avec la même
puissance. En effet, selon la position géographique des différents endroits, la
température sera différente à l’année, on appelle cela les climats, ils varient selon la
quantité d’énergie solaire reçue en fonction de la position et l’axe de rotation de la
Terre, où les rayons arrivent quasiment perpendiculaire à la Terre, la quantité
d’énergie reçue par m2 est donc plus importante, elle augmente rapidement donc les
régions situées à ces endroits ont des climats plus chauds. Plus on s’éloigne de
l’équateur plus les climats sont tempérés (comme en France) puis plus froid quand
les régions se situes à proximité des pôles (où les rayons sont étendus et doivent
réchauffer une plus grande surface). Prenons l’exemple des pôles, les rayons du
soleil touchent la surface de la terre avec une puissance assez faible étant donné
que les rayons sont étendus sur une plus grande surface (angle d’incidence plus
3
élevé), les températures y sont donc très basses et même négatives. Maintenant,
prenons l’exemple opposé à celui-ci : l’équateur. Les rayons arrivant à la surface de
3
la Terre, au niveau de l’équateur possèdent une puissance par m2 beaucoup plus
importante car le rayon d’incidence est beaucoup plus faible qu’au niveaux des
pôles, la température établie à ces endroits est donc logiquement beaucoup plus
forte.
L’Energie de surface reçue (en Joule) peut se calculer à l’aide de la formule
suivante :

E=Pxt

Avec E l’énergie en Joule, P la puissance en Watt et enfin t le temps en secondes.

A une latitude de 0° (au plus près de l’équateur) la concentration d’énergie de
surface se situe entre 250 et 350 w/m2.
A une latitude de 45° à 90°, la concentration d’énergie est relativement faible car elle
se situe entre 50 et 150 w/m2.
La puissance rayonnée reçue hors atmosphère (modélisé par un disque, et appelée
constante solaire) est de 1368 w/m2 pour ce disque de même diamètre que la Terre,
et de 342 w/m2 pour le disque à la surface de la Terre. Cette puissance varie car la
Terre n’absorbe pas l’entièreté de l’énergie envoyée par le soleil, mais seulement ce
qu’elle peut absorber.
Pour continuer dans le même thème, après les climats parlons à présent de
l’existence des saisons. Celles-ci varient en fonction de l’inclinaison de l’axe de
rotation de la Terre par rapport au soleil, en fonction d’où est-ce qu’elle se situe (pas
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en fonction de la distance Terre-Soleil mais en fonction de la variation de la

puissance reçue en différents points de la Terre.)
Tous ces phénomènes sont en partie existants car la Terre possède une forme

sphérique.

Schémas ci-dessous :

CARTE DES ZONES CLIMATIQUES SUR LA PLANETTE

Source :
https://sciencesdelavieetdelaterre93.wordpress.com/2016/12/30/chapitPage 7 sur 21
re-2-les-climats-sur-terre-origine-variations-et-risques/
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La réparation de l’énergie reçue sur Terre n’est pas égale de partout, c’est ce qui
mène à différents phénomènes naturels, voici donc un autre schéma explicatif de ce
qui a été démontré plus haut :

LES EFFETS DE LA ROTATION ET DE L’INCLINAISN DE LA TERRE SUR LE CLIMAT ET LES

SAISONS
Source : https://www.svt-a-feuillade.fr/pages/doc_TC_Prem/Cours-T2-CH1-Ensoleillement-
terrestre_2019127552981.pdf

Pour conclure, le soleil crée de l’énergie qu’il procure à la Terre grâce à la fusion
nucléaire d’hydrogène et d’hélium. Ce phénomène d’origine naturel permet à la Terre
d’accueillir la vie, qui ne serait pas possible sans chaleur ni lumière. Mais nous
savons bien qu’un jour, dans plusieurs millions d’années le soleil pourrait ne plus
pouvoir procurer d’énergie étant donné qu’il s’auto-détruit par cette production.
L’Energie solaire reçue à la surface de la Terre n’est quant à elle pas la même
partout et à tout moment, en fonction des phénomènes se produisant à tout moment
(rotation de la Terre, saisons, climats …)

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III} Chapitre 2 : LE BILAN RADIATIF DE LA TERRE

Le bilan radiatif terrestre est la différence entre la puissance reçue par la planète
Terre et celle réémise vers l’espace. Nous pouvons alors nous demander quelle
fraction de la puissance solaire la terre reçoit-elle ou encore quels sont les différents
facteurs qui conditionnent la température moyenne à la surface de notre planète.
Tout d’abord faisons le point sur l’énergie reçue par la Terre et ce qu’elle en devient
une fois arrivée sur sa surface.

La Terre faisant partie du système solaire, reçoit de l’énergie solaire. Le soleil a une
puissance de 3.86 × 1026 Watt. Néanmoins la Terre n’en reçoit pas la totalité.
Quelques caractéristiques entrent en jeu pour calculer la puissance reçue. Nous
comptons la distance entre le Soleil et la planète, la forme de la planète ainsi que la
taille de celle-ci, plus précisément son rayon. La Terre se trouve à une certaine
distance du Soleil. Et celui-ci émet une puissance radiative solaire qui se répand
dans toutes les directions sur une sphère qui a pour rayon la distance Terre-Soleil.
Cette puissance reçue par la Terre peut être caractérisée comme celle reçue sur un
disque plat de même diamètre que la Terre. D’où l’importance de la connaissance du
rayon de celle-ci. Afin de pouvoir utiliser la formule de l’aire d’un disque : A = π × R2.
On sait que la sphère terrestre reçoit environ 345W/m2 de l’énergie solaire émise.
Parmi les rayons qui atteignent la surface terrestre, une partie est absorbée et l’autre
réfléchie. Un rapport existant nommé l’albédo permet de connaitre le pourcentage
d’énergie réfléchie par rapport à celui reçu. L’albédo dépend de la nature de la
surface touchée. Prenons exemple sur la neige, c’est une surface blanche, couleur
reflétant la lumière et la chaleur. Elle possède un albédo de 0,9 ce qui veut dire que
90% des rayons solaire qui ont touchées cette surface, ont été reflété et non
absorbés. La couleur des surfaces influence sur leurs capacités à absorber ou non
les rayons, c’est ce qui correspond aux températures plus ou moins élevés dans les
différentes régions du monde. En moyenne, la Terre possède un albédo de 0,3 c’est-
à-dire que 30% de l’énergie reçue sur la Terre donc environ 103 Watt est réfléchie
vers l’espace.
Maintenant penchons-nous sur la raison de la présence d’un équilibre au niveau de
la température terrestre. Après réception des rayons solaires, le sol se réchauffe et la
Terre émet à son tour des rayon Infrarouge vers l’espace. Cette réémission possède
une puissance d’environ 202W et une partie va être absorbée par l’atmosphère plus
précisément par les gaz à effet de serre de l’atmosphère. On compte parmi ces gaz,
des gaz naturels comme l’H2O, le CO2 ou encore l’OH4 et des gaz réfrigérants
fabriqués par l’humain et de nature anthropique. Après absorption, ces gaz vont
réémettre ces rayons infrarouges dans toutes les directions ce qui va à nouveau
réchauffer le sol terrestre et ainsi de-suite. En effet une boucle va se créer. Ce
phénomène se nomme « l’effet de serre » et permet de maintenir la température
terrestre à 15°C. L’effet de serre peut être définie comme étant un phénomène

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naturel de réchauffement de la surface d’une planète, provoqué par des gaz de son
atmosphère qui absorbent une partie du rayonnement infrarouge émis par le sol.

SCHÉMA BILAN RADIATIF DE LA TERRE

Source :
https://www.sistec-instrumentation.com/applications/g
az-a-effet-de-serre/

Pour conclure, nous avons vu dans ce chapitre que la Terre reçoit une certaine
quantité d’énergie provenant du rayonnement émis par le Soleil et elle en perd la
même quantité, ce qui provoque un bilan radiatif terrestre équilibré. De plus cette
relation permet la mise en place d’un équilibre dynamique de la température
terrestre. Si l’un de ces deux paramètres varies, c’est l’entièreté de la température
terrestre qui varie. Cependant l’accentuation de l’effet de serre due à l’augmentation
des activités humaines peut causer un déséquilibre, avec la présence d’un trou dans
la couche d’ozone ces dernières décennies

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IV} Chapitre 3 : UNE CONSERVATION DE L’ENERGIE SOLAIRE :

PAR LA PHOTOSYNTHESE A L’ENERGIE NECESSAIRE A TOUS LES ETRES
VIVANTS
Une conversion de l’énergie solaire : la photosynthèse
Dans ce chapitre nous allons parler de la conversion biologique de l’énergie solaire :
la photosynthèse et ses différents rôles. Nous commencerons par la création de
molécule organiques, l’utilisation de la réception de l’énergie solaire, au niveau
planétaire et enfin l’utilité des lipides Premièrement la photosynthèse produit des
molécules organiques. Puisque à partir de lumière, de CO2, d’eau et d’ions
minéraux, la cellule végétale chlorophyllienne est capable de fabriquer l’ensemble
des molécules organiques. Les glucides, les lipides, les acides nucléiques et les
protéines. Les lipides apparaissent en premiers. Suite à la mise en contact avec le
CO2 ils apparaissent au bout d’une seconde. Le glucose apparaît au bout de cinq
seconde et enfin les protéines à quinze seconde. On peut ainsi voir que la première
molécule produite à partir du CO2 sont les lipides et non le glucose.

Deuxièmement nous allons voir que la réception de l’énergie solaire par la feuille et
que la fabrication des molécules organiques par les cellules chlorophylliennes
nécessite un apport d’énergie lumineuse. Nous allons d’abord nous intéresser à la
photosynthèse de façon individuelle sûr une feuille. Dans un premier temps nous
pouvons voir qu’il y a une perte d’énergie par réflexion et transmission. Prenons
l’exemple d’une feuille chlorophyllienne avec un rayon incident d’une distance de 10
cm. Nous remarquons que pour 1700 lux de quantité de lumière incidente la feuille
transmet 460 lux et en réfléchit 110 lux ce qui fait un total de 570 lux. Ceci est dû à
sa finesse ce qui fait qu’elle n’absorbe en moyenne que 2 tiers de la lumière reçue.
L’évaporateur est aussi un moyen de perte d’énergie. Lors de l’absorption de lumière
la température de la feuille augmente ce qui provoque une évaporation.
L’évaporation d’un litre d’eau nécessite un apport d’énergie de 2265 KJ. L’eau
évaporé s’échappe de la feuille par de petits orifices, les stomates. Les stomates
sont constitués de deux cellules de garde permettant les échanges gazeux entre la
feuille est l’atmosphère, selon les conditions d’environnement ils peuvent s’ouvrir ou
se fermer. ( fig.2 ). Ceci est appelé l’évapotranspiration. On estime donc que la
moitié de l’énergie reçue par la feuille est aussi perdu sous forme de chaleur. Enfin il
y a une perte d’énergie lié à la photosynthèse. Une molécule de glucose contient une
quantité d’énergie de 2840 kJ. La production d’une môle de glucose nécessite que
les chloroplastes absorbent environ 56000 KJ d’énergie lumineuse. On peut donc
dire que la photosynthèse n’utilise pas complètement l’énergie lumineuse absorbée
par la chlorophylle. L’absorption de la lumière solaire par la chlorophylle dans le
spectre du visible montre que les radiations majoritairement absorbées sont le bleu
et le rouge puisqu’il y a une forte absorption de la lumière d’une longueur d’onde
entre 630 et 700 nm correspondant à la couleur rouge. Et une absorption
intermédiaire de la lumière avec une longueur d’onde de 450 NM correspondant au
bleu. (fig.3). Ce qui donne la couleur verte aux végétaux. Nous pouvons faire le lien
que cette activité photosynthétique fonctionne en fonction de l’absorption de la

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lumière. Le glucose produit lors de la photosynthèse contient 20 fois moins d’énergie

que de ce qui a été absorbée par la chlorophylle. Le reste absorbé sous forme de
chaleur. On estime que 1% seulement d’énergie reçue est converti en énergie
chimique sous forme de glucose.

Troisièmement la photosynthèse à l’échelle planétaire. Chaque année, les

organismes photosynthétiques produisent plus de 800 milliards de tonnes de matière
organique. Cette masse de matière organique végétale et biomasse. On appelle
productivité primaire brute (PPB). La productivité de biomasse végétale par unité de
surface et par unité. Nous allons voir la productivité primaire de différents
écosystèmes. Nous pouvons constater que la forêt tropicale est l’écosystème avec la
plus grande productivité primaire et l’écosystème avec la plus petite productivité
primaire est le désert. Dans le milieu océanique nous voyons que la productivité
primaire est plus forte entre les deux tropiques. Et plus faible au niveau des pôles et
proche des côtes. (Grâce au déplacement des algues et des animaux). Dans le
milieu terrestre la productivité la plus forte se trouve près des côtes (au sud de l’Asie,
Amérique du Sud etc..) moyenne près des zones de forte productivité de façon
graduelle. Donc la productivité primaire dépend des écosystèmes mesurés en
gramme de dioxyde de carbone par année. Et que cela dépend de la quantité du
soleil, du climat et de la zone géographique.
Formule de la photosynthèse :

6 CO2 + 12 H2O + lumière → C6H12O6 + 6 O2 + 6 H2O

Enfin nous allons nous intéresser à la constitution des lipides et leur utilité. La
membrane délimite l’intérieur et l’extérieur de la cellule. (fig.1) Elle est séparée en
trois couches et est symétrique. Moléculairement il y a des lipides. Les lipides sont
une classe de molécules organiques qui ont une structure chimique caractérisée par
leur insolubilité dans l'eau et leur solubilité dans les solvants organiques. Ils jouent un
rôle essentiel dans le fonctionnement des cellules et de l'organisme. Ils sont
constitués de trois parties, une partie qui aime l’eau qu’on appelle « hydrophylle », et
une autre partie qui n’aime pas l’eau qu’on appelle « hydrophobie » qui permet de
faire le compartiment étanche. Cette partie hydrophobie est constituée d’acides gras
comme l’huile ou encore le beurre. Les lipides peuvent se déplacer dans la
membrane car en effet ils sont très actifs. Le fait que les lipides soient collés entre
eux créer un compartiment et donc une cellule.

SCHEMA DE LA CONSTITUTION D’UN LIPIDE

Source :
https://biofaculte.blogspot.com/2015/03/me
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mbrane-cellulaire-definition-structure-
schema.html
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En conclusion dans ce chapitre nous avons vu que la conversion biologique de

l’énergie solaire la photosynthèse permet dans un premier temps la production de
molécule organiques grâce au processus de la respiration. Pour le besoin des
végétaux et des autres êtres vivants. Ensuite la photosynthèse vue individuellement.
Le fait qu’elle perd plus d’énergie qu’elle en reçoit. Mais que d’un point de vue
planétaire celle-ci via la productivité primaire dépend des écosystèmes qui dépend
des climats et de zones géographiques.

Fig.1
SCHEMATISATION DE L’INTERIEUR D’UNE CELLULE
Source : https://fr.freepik.com/vecteurs-premium/diagramme-
etiquete-cellule-levure_77187770.htm

Fig.2

STOMATES DE L’EPIDEMIE INFERIEUR D’UNE FEUILLE DE POLYPODE OBSERVES AU

MICROSCOPE OPTIQUE

Source : https://docplayer.fr/199999981-Theme-2-le-soleil-notre-source-d-energie.html

Fig.3

SPECTRE D’ABSORBTION DE DEUX SOLUTION

OBSERVEES AU SPECTOMETRE
Source :
https://www.lelivrescolaire.fr/page/7048821

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V} Chapitre 4 : UNE DIVERSITE DE SOURCE D’ENERGIE UTILISABLE PAR

L’HUMAIN
La photosynthèse est à l’origine des combustibles fossiles. Les combustibles fossiles
se sont formés à partir de la matière organique produite par photosynthèse, il y a
plusieurs dizaines à plusieurs centaines de millions d’années, selon des processus
très lents qui rendent ces ressources non renouvelables à l’échelle humaine.
Dans certaines circonstances par exemple des régions à forte productivité primaire,
sédimentation rapide, milieu pauvre en dioxygène peuvent permettre à une partie de
la biomasse produite par la photosynthèse généralement reminéralisée d’échapper à
la décomposition. Le charbon est un exemple de combustible fossile. Les
combustions fossiles sont des roches riches en carbone organique, brûlés pour
libérer l’énergie qu’elles contiennent. Le pétrole est une roche liquide. Il constitue
aujourd’hui la première source d’énergie courant 32% des besoins mondiaux
(carburant pour les transports, chauffages, production d’électricité). Les molécules du
pétrole ont quasiment les mêmes composants que les molécules biologiques.
L’exemple de la chlorophylle a et de porphyrine de vanadium et de phytane. Sont
composé de la même façon sauf les atomes de Magnésium en moins. Cette
combustion fossile est dû au Kérogène. Ces bactéries anaérobies (capable de vivre
sans dioxygène) transforment cette biomasse en Kérogène. Riche en carbone
d’hydrogène mais pauvre en azote et dioxygène. On estime que moins de 1% de la
biomasse produite chaque année est transformée en Kérogène. Ce processus est à
l’origine de combustibles non renouvelables couvrant environ 80% de nos besoins
énergétiques.

Source :
https://svtlyceedevienne.com

À l’échelle des temps

géologiques, une partie de la matière organique s’accumule dans les sédiments puis
se transforme en donnant des combustibles fossiles : gaz, charbon, pétrole.

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Pour la fabrication du pétrole il y a une certaine procédure. Tout d’abord il doit y avoir
un couvert végétal qui occupe tout l’espace avec des végétaux qui font la
photosynthèse à proximité d’un point d’eau. Avec le poids des arbres, il va y avoir un
affaiblissement de la terre. Les végétaux vont se dégrader et vont mourir. À la suite
de cela ils vont tomber dans l’eau, ce qui est donc la matière organique là où les
microorganismes vont être déposé au fond de l’eau tout en protégeant leur
dégradation et l’oxydation de ces derniers. L’eau va par la suite devenir noir. Ces
végétaux vont être ensevelies. Des sédiments vont venir recouvrir l’eau. Les
microorganismes vont relâcher de l’eau car ils ne sont pas sec et vont par la suite
cuir avec la pression et la chaleur car c’est profond. Le pétrole va donc être créer et
va remonter de plus en plus avec l’eau juste en dessous qui elle, est plus danse que
le pétrole qui contient en effet de l’huile.

EVOLUTION DE LA MATIERE ORGANIQUE AU

COURS DE SON ENFOUISSEMENT Source :
site digischool
Plus l’enfouissement est important,
plus la température et la pression sont élevées, modifiant ainsi les conditions
d’évolution du kérogène. Dans le cas d’une biomasse d’origine planctonique, on
obtient soit du pétrole, soit du gaz selon le degré de transformation ; alors que dans
le cas d’une biomasse d’origine continentale, on obtient du charbon.

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Source : ©Cours Académiques de France

La Biomasse représente toute la quantité de matière organique. Une partie se

transforme en Kérogène, le reste de la Biomasse est détruit. Mais pas toute cette
roche percusseuse va se transformer en Pétrole ou Charbon mais qu’une infime
partie par la pression et la chaleur. La proportion de Kérogène transformé en
charbon est de 1%. La proportion de Kérogène transformé en pétrole et gaz est de
3x10-3%. Ces énergies fossiles proviennent de la Matière organique, qui provient des
végétaux, qui provient de la photosynthèse et qui provient de la lumière du Soleil.

En résumé, la photosynthèse est à l'origine des combustibles fossiles tels que le

charbon, le pétrole et le gaz, formés au fil de millions d'années à partir de matière
organique. Ces ressources non renouvelables, riches en carbone, hydrogène, mais
pauvres en azote et dioxygène, représentent environ 80% de nos besoins
énergétiques actuels. Le processus de formation, impliquant la décomposition de
biomasse donne naissance à des combustibles fossiles variés.

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Conclusion générale
Nous avons pu voir à travers ce thème intitulé « le soleil, notre source d’énergie »
que cette étoile avait le monopole sur l’apport énergétique qui nous ait nécessaire
que ce soit à l’échelle planétaire ou à l’échelle du vivant. Nous avons appris de
nombreuses connaissances concernant des phénomènes qui arrivent sur notre
planète et dont la cause est le soleil et son rayonnement. Tout d’abord nous avons
pu voir que le rayonnement solaire procurait de l’énergie lumineuse et thermique à la
Terre et était la cause des changements climatiques et des saisons sur celle-ci. Dans
un second temps, nous avons étudié le bilan radiatif équilibré de la Terre qui montre
qu’elle émet autant de rayons qu’elle en reçoit. De ce fait, le soleil est responsable
de l’équilibre plus ou moins stable de la température terrestre. En ce qui concerne
les apports au niveau du vivant nous comptons la photosynthèse, grâce à sa
production de biomasse par la suite fossilisée, elle est à l’origine de nombreux de
nos apports énergétiques et matériels grâce au kérogène. Enfin le soleil est, à
différentes échelles, la source d’énergie principale de la Terre et de sa population.
Néanmoins toutes les planètes ne dépendent pas du Soleil mais bien d’autres
étoiles, sources d’énergies dans différents systèmes aux caractéristiques similaires.
Pour conclure le Soleil permet littéralement l’existence humaine, sans ces apports
énergétiques ni la planète ni les êtres vivants ne pourraient exister. Cependant
plusieurs faits sont à prendre en compte tels que l’autodestruction du soleil à chaque
production d’énergie, l’épuisement des énergies fossiles à travers les activités
humaines ou encore l’accélération de l’effet de serre. Tous ces phénomènes
pourraient réduire de façon radicale la durée de l’humanité sur la planète Terre.

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