INTRODUCTION

Claude Tresmontant était un éminent philosophe et théologien français, spécialisé en

métaphysique. Né en 1925 et décédé en 1997, il a consacré une grande partie de sa vie à
l’étude et à l’enseignement de la philosophie et de la théologie. Ses travaux ont profondément
influencé de nombreux domaines, notamment la philosophie de la connaissance, la
philosophie de la religion et la philosophie de la science. Reconnu pour sa rigueur
intellectuelle et son approche méthodique de la pensée philosophique. Ayant une approche,
centrée sur la raison et la réflexion philosophique, se concentrant sur l’étude et la
compréhension des questions fondamentales de l’existence humaine à travers une approche
rationnelle et philosophique. La question de Dieu occupe une place centrale dans le domaine
de sa métaphysique. La question de Dieu s’inscrit dans cette quête métaphysique en
interrogeant l’existence et la nature de l’entité suprême ou divine. En fait, Se pourrait-il qu’en
identifiant les principes d’être suprême et essence pure qu’ils fassent découvrir comment se
pose la question de Dieu chez Tresmontant ? Quel est sa conception de Dieu ? La même
métaphysique serait-elle capable d’expliciter les preuves pour démontrer l’existence de Dieu ?
Le problème est la démonstration de l’existence de Dieu. Pour répondre à ces interrogations,
il incombe de présenter les thèses exposées dans les ouvrages du philosophe et théologien
français, La métaphysique du christianisme et la naissance de la philosophie chrétienne et
Les idées maîtresses de la métaphysique chrétienne. Dans l’élan réflexif à adopter, la
démarche convoquée sera ternaire. De ce fait, nous partirons de la nature de Dieu dont notre
auteur a fait recours, pour aboutir aux preuves de son existence, moyen par lequel
l’expérience de Dieu pourrait être possible.

I- LA NATURE DE DIEU SELON TRESMONTANT

1- Exploration de la conception de Dieu chez Tresmontant en tant qu’Être suprême

et essence pure.

Selon Tresmontant, la conception de Dieu en tant qu’Être suprême et essence pure est
au cœur de sa réflexion philosophique et théologique. Dieu « est l’origine et la source ultime
de toute réalité. »1 Il est l’Être suprême, transcendant et infini, qui dépasse notre
compréhension humaine. Dans sa vision, Dieu est perçu comme l’essence pure, dépourvue de

1
Tresmontant C., La métaphysique du christianisme et la naissance de la philosophie chrétienne, Seuil, Paris,
1961, p. 56.
1
toute limitation ou imperfection. Il est la perfection absolue et incarne toutes les qualités
divines, telles que l’amour, la sagesse, la justice et la puissance. Dieu est également considéré
comme éternel et immuable, transcendant le temps et l’espace.
Insistant, sur le fait que la conception de Dieu comme Être suprême et essence pure est
le fondement de toute réflexion philosophique et théologique. Cette conception nous invite à
reconnaître l’existence d’une réalité transcendante qui dépasse notre compréhension limitée
en tant qu’êtres humains. Cependant, il est important de noter que la conception de Dieu chez
Claude est basée sur une approche rationnelle et philosophique. Il cherche à comprendre Dieu
à travers la raison et la réflexion, plutôt que par une révélation religieuse spécifique. Il
considère que la raison humaine est un outil essentiel pour explorer la nature de Dieu, bien
qu’il reconnaisse également les limites de notre compréhension.

2- Explication de la transcendance de la nature divine de Dieu et de son impact sur

notre compréhension humaine.

La transcendance de la nature divine de Dieu fait référence au fait que Dieu dépasse et
transcende notre compréhension et notre expérience en tant qu’êtres humains. Cela signifie
que « Dieu est au-delà de ce qui peut être pleinement compris, mesuré ou expliqué par nos
facultés intellectuelles et sensorielles limitées. »2 L’impact de la transcendance de Dieu sur
notre compréhension humaine est significatif. Tout d’abord, cela souligne l’immensité et la
grandeur de Dieu, qui est infini et sans limites. Notre esprit fini et limité ne peut pas
appréhender pleinement la nature de Dieu dans sa totalité. Cela nous rappelle l’humilité
nécessaire lorsqu’il s’agit de parler de Dieu et de ses attributs.
De plus, la transcendance de Dieu nous incite à reconnaître les limites de notre raison
et de notre expérience empirique. Nos capacités intellectuelles sont limitées et nos sens sont
sujets à des erreurs et des interprétations subjectives. Par conséquent, notre compréhension de
Dieu est nécessairement partielle et imparfaite. La transcendance de la nature divine de Dieu
offre également un rappel de l’importance de l’ouverture d’esprit et de l’humilité
intellectuelle. Reconnaître que Dieu transcende notre compréhension signifie que nous devons
être prêts à remettre en question nos idées préconçues, nos limites conceptuelles et nos
croyances dogmatiques. Cela nous encourage à être ouverts à de nouvelles perspectives et à
une exploration continue de la vérité.
Mettant donc, en évidence la limite de notre compréhension humaine et nous rappelle
l’humilité nécessaire dans notre quête de connaissances et de compréhension de Dieu. Cela

2
Ibid., p. 89.
2
nous encourage à être ouverts d’esprit, à remettre en question nos croyances et à reconnaître
la grandeur infinie de l’Être divin au-delà de nos capacités limitées.

II- LES PREUVES DE L’EXISTENCE DE DIEU SELON

TRESMONTANT

1- Présentation des arguments métaphysiques avancés par Tresmontant pour

démontrer l’existence de Dieu

L’argument cosmologique ici présenté soutient que l’existence de l’univers et son

caractère contingent nécessitent une cause première, un Être nécessaire qui est Dieu. Il
affirme: « La contingence de l’Univers est un fait indéniable [...]. Elle conduit à poser
l’existence d’un être nécessaire qui en est la cause. »3
Ensuite, l’argument téléologique stipule que, l’ordre et la complexité de l’univers
révèlent une intentionnalité et une finalité qui ne peuvent être expliquées uniquement par des
lois naturelles aveugles. Il écrit : « L’existence de l’ordre et de la finalité dans l’univers ne
peut s’expliquer que par l’existence d’une intelligence ordonnatrice. »4
Enfin, l’argument moral affirme que l’existence d’un sens intrinsèque à la moralité et à la
conscience morale humaine indique une source supérieure et transcendantale, qui est Dieu. Il
explique : « La conscience morale, qui nous dit ce qui est bon ou mauvais, juste ou injuste, ne
peut être expliquée sans référence à un fondement transcendant. »5

2- Les concepts de causalité, d’intentionnalité et de finalité chez Tresmontant

Tresmontant aborde les concepts de causalité, d’intentionnalité et de finalité d’une

manière qui met l’accent sur leur rôle dans la compréhension de l’univers et de la nature
humaine. En ce qui concerne la causalité, il considère que chaque événement dans l’univers
est soumis à une cause, car tout ce qui devient, provient de quelque chose. Il soutient que la
causalité est un principe fondamental qui régit le fonctionnement de l’univers. Selon lui,
chaque effet a une cause antérieure, et cette chaîne causale remonte jusqu’à la cause première,
qui est Dieu. C’est pourquoi, « Dieu est la cause première de tout ce qui existe, et il est la
source ultime de la causalité dans l’univers. »6

3
Tresmontant C., Dieu et la science, Article, 1967, p. 107.
4
Tresmontant C., Le Christ des sciences, Albin, Paris, 1992, p. 201.
5
Tresmontant C., Métaphysique et connaissance de Dieu, Cerf, Paris, 1965, p. 167.
6
Ibid., p. 106.
3
 Quant à l’intentionnalité, reconnaissant que les êtres humains sont dotés d’une
capacité unique à avoir des intentions et à agir de manière délibérée. Il considère que
l’intentionnalité est une caractéristique essentielle de la nature humaine, qui reflète notre
statut de créatures intentionnées par Dieu. Notre intentionnalité est donc « un reflet de
l’intentionnalité divine présente dans la création. »7
Pour la finalité, Tresmontant soutient que « toute chose dans l’univers a une finalité
ou une orientation inhérente. »8 Il considère que chaque être, y compris les êtres humains, a
une vocation ou un but qui lui est propre, qui est inscrit dans sa nature. Cette finalité est
conçue par Dieu, et elle reflète l’intention divine qui sous-tend toute la création. Selon lui,
cette finalité nous invite à chercher notre plein épanouissement en réalisant notre vocation et
en nous tournant vers Dieu. D’où le sens de la pleine participation.
Dans son approche, ces concepts de causalité, d’intentionnalité et de finalité sont
interconnectés et jouent un rôle essentiel dans la compréhension de l’univers et de notre place
en tant qu’êtres humains. Ils soulignent l’ordre et la signification qui sous-tendent la réalité, et
ils invitent à une réflexion approfondie sur le dessein divin et notre rôle dans sa réalisation qui
se veut participative à l’œuvre divine.
3- Analyse de la vision de Tresmontant sur la relation entre Dieu et la création.

La Sainte Église Catholique Apostolique Romaine croit et confesse qu’il y

a un seul Dieu vrai et vivant, Créateur et Seigneur du ciel et de la terre, tout-
puissant, éternel, immense, incompréhensible, infini en intelligence, en volonté et
en toute perfection, qui, étant une substance spirituelle unique par nature, tout à
fait simple et immuable, doit être déclaré distinct du monde en réalité et par son
essence, bienheureux en lui-même et par lui-même et élevé indiciblement au-
dessus de tout ce qui est et peut se concevoir en dehors de lui.9
Ce texte contient un certain nombre de propositions, d’assertions, qui sont
incontestablement d’ordre métaphysique : un seul Absolu, doctrine de la création, éternité de
Dieu, distinction entre l’Absolu et le monde, etc. Ainsi, la vision de Tresmontant sur la
relation entre Dieu et la création repose sur sa conception de Dieu en tant qu’Être suprême et
transcendant. Dieu est donc à l’origine de toute création et est intimement lié à elle.
Considérant que la création est le résultat de l’action divine, de la volonté de Dieu de
donner existence à l’univers et à tout ce qui s’y trouve. Dieu est donc le Créateur et le
7
Id.
8
Id.
9
Concile Vatican II, Constitution dogmatique sur la foi catholique, ch. 1, ES, 1782, trad. J. M . A. Vacant,
Etudes théologiques sur les constitutions du concile du Vatican d’après les actes du concile, Paris, 1895, t. I, p.
11.
4
mainteneur de l’ordre cosmique. Il voit la création comme un acte d’amour et de générosité de
la part de Dieu, qui a choisi de partager sa propre réalité avec l’ensemble de l’univers.
Cependant, le philosophe et théologien souligne « la création est l’œuvre d’un Dieu
unique. Il n’y a pas deux Absolus créateurs, ni même deux Absolus, dont l’un seulement serait
créateur. L’unique Absolu est le créateur. »10 D’où la distinction entre Dieu et la création. Il
insiste sur le fait que Dieu est transcendant et distinct de sa création. La création est finie et
limitée, tandis que Dieu est infini et sans limites. Cette distinction souligne l’idée que la
création ne peut pas épuiser ou contenir la plénitude de la nature divine.
Il soutient également l’idée que la création est orientée vers Dieu. Considérant que
l’univers et tous les êtres créés ont une finalité qui est de se tourner vers Dieu, de rechercher
une communion avec lui et de réaliser leur potentiel en tant que créatures divinement
intentionnées.
En somme, selon Tresmontant, la relation entre Dieu et la création est celle d’un
Créateur transcendant qui a donné existence à l’univers et à tout ce qui s’y trouve. Bien que
distinct de sa création, Dieu est étroitement lié à elle, en tant que source et mainteneur de
l’ordre cosmique. La création est orientée vers Dieu, avec une finalité qui consiste à
rechercher une communion avec lui et à réaliser son potentiel divinement intentionné.

III- LES IMPLICATIONS PHILOSOPHIQUES ET RELIGIEUSES

1- Exploration des conséquences philosophiques de la conception de Dieu chez
Tresmontant.
La conception de Dieu chez Tresmontant a plusieurs conséquences philosophiques
significatives. Voici quelques-unes d’entre elles.
Tout d’abord, la reconnaissance de l’existence d’une réalité transcendante : la
conception de Dieu en tant qu’Être suprême et essence pure invite à reconnaître l’existence
d’une réalité qui dépasse notre compréhension humaine limitée. Cela remet en question notre
vision matérialiste et nous pousse à explorer des dimensions plus profondes de la réalité.
Ensuite, l’importance de la raison dans la recherche de la vérité : Tresmontant
considère que la raison humaine est un outil essentiel pour explorer la nature de Dieu. Cette
perspective souligne l’importance de la réflexion philosophique et théologique rigoureuse
dans notre quête de compréhension de la réalité et de la nature divine.
De plus, l’ouverture à la possibilité de la transcendance : la conception de Dieu comme
entité transcendante invite à considérer la possibilité que notre réalité ne se limite pas à ce que

10
Tresmontant C., Les idées maîtresses de la métaphysique chrétienne, Seuil, Paris, 1962, p. 32.
5
nous pouvons percevoir ou mesurer. Ouvrant la porte à une exploration de la dimension
spirituelle et métaphysique de l’existence.
En outre, l’humilité face à l’infini et à l’incompréhensible : « la transcendance de
Dieu met en évidence les limites de notre compréhension humaine et nous invite à faire
preuve d’humilité. »11 Cela nous rappelle que nous ne pouvons pas tout savoir ou tout
comprendre, et que nous devons être prêts à remettre en question nos certitudes et à
reconnaître nos limites.
L’orientation vers une finalité et un sens : La conception de Dieu chez Tresmontant
souligne que la création a une finalité et une intention inhérente. Cela implique que notre vie a
un sens et une vocation spécifique. Encourageant à réfléchir à notre propre chemin de vie et à
chercher à réaliser notre plein potentiel en nous tournant vers Dieu.
En fin de compte, la conception de Dieu chez Tresmontant a des conséquences
philosophiques qui invitent à une réflexion approfondie sur la réalité, la connaissance,
l’humilité et le sens de la vie. Elle ouvre des perspectives nouvelles et stimulantes pour
explorer les questions existentielles et métaphysiques fondamentales.

2 - Discussion sur la compatibilité entre la raison et la foi religieuse dans la perspective

de Tresmontant.
Tresmontant considère que la raison et la foi religieuse sont compatibles et
complémentaires dans notre quête de compréhension de la réalité. Selon lui, la raison humaine
est un outil essentiel pour explorer et comprendre le monde, y compris la nature de Dieu.
Cependant, il souligne également que la raison a ses limites et ne peut pas tout expliquer.
Affirmant que la foi religieuse transcende la raison et permet d’accéder à des vérités et des
réalités qui dépassent notre compréhension intellectuelle. Il soutient que la foi est une forme
de connaissance qui provient de l’intuition, de l’expérience religieuse et de la révélation
divine. Cette connaissance est complémentaire à la connaissance rationnelle, mais elle ne peut
pas être réduite à celle-ci.
La foi religieuse ne nie pas la raison, mais la dépasse. Il considère que la raison est un
moyen important pour examiner et interpréter les vérités de la foi, mais elle ne peut pas les
saisir pleinement. La foi religieuse requiert un engagement personnel, une ouverture de
l’esprit et un acte de confiance envers Dieu, qui transcende la compréhension rationnelle.
Dans cette perspective, la raison et la foi ne sont pas en conflit, mais plutôt en
harmonie. La raison fournit un cadre intellectuel pour explorer et comprendre la réalité, tandis
que la foi apporte une dimension spirituelle et transcendantale qui donne un sens plus profond

11
Tresmontant C., La métaphysique du christianisme et la naissance de la philosophie chrétienne, p. 205.
6
à notre existence. Cependant, il est important de noter que cette compatibilité entre la raison et
la foi religieuse selon Tresmontant ne signifie pas que la foi religieuse doit être dénuée de
toute rationalité. Il encourage une réflexion théologique et philosophique rigoureuse pour
approfondir la compréhension de la foi et pour articuler les vérités religieuses de manière
cohérente et intelligible.
De ce qui sied, la raison et la foi religieuse sont compatibles et se complètent
mutuellement dans notre quête de compréhension de la réalité. 12 La raison fournit un cadre
intellectuel pour explorer le monde, tandis que la foi apporte une dimension spirituelle et
transcendantale qui donne un sens plus profond à notre existence.

CONCLUSION
En somme de la démarche tripartite adoptée pour ce travail, il ressort que le souci du
théologien et philosophe français est de mettre à jour comment est posé le problème de
l’existence de Dieu aujourd’hui. Nous avons exploré la vision de Tresmontant sur la relation
entre Dieu et la création, ainsi que sa conception de la causalité, de l’intentionnalité et de la
finalité. Discutant, des conséquences philosophiques de sa conception de Dieu, notamment en
ce qui concerne la reconnaissance d’une réalité transcendante, l’importance de la raison dans
la recherche de la vérité, l’ouverture à la possibilité de la transcendance, l’humilité face à
l’infini et à l’incompréhensible, ainsi que l’orientation vers une finalité et un sens. Enfin, nous
avons examiné la compatibilité entre la raison et la foi religieuse dans sa perspective,
soulignant que la raison et la foi sont compatibles et complémentaires dans notre quête de
compréhension de la réalité, avec la foi qui transcende la raison tout en étant soutenue par une
réflexion théologique et philosophique rigoureuse. Selon Tresmontant, la métaphysique joue
un rôle essentiel dans la compréhension de la question de Dieu. La métaphysique est la
branche de la philosophie qui explore les questions fondamentales sur la nature de la réalité et
de l’existence. Elle va au-delà des explications purement matérielles ou empiriques et cherche
à comprendre les principes, les causes et les finalités qui sous-tendent l’univers.

BIBLIOGRAPHIE
Jean-Paul II, Fides et Ratio, ETSC, Rome, 1998.
Tresmontant C., La métaphysique du christianisme et la naissance de la philosophie
chrétienne, Seuil, Paris, 1961.
Tresmontant C., Les idées maîtresses de la métaphysique chrétienne, Seuil, Paris, 1962.
Tresmontant C., Métaphysique et connaissance de Dieu, Cerf, Paris, 1965.
12
Jean-Paul II, Fides et Ratio, ETSC, Rome, 1998, p. 1.
7
Tresmontant C., Dieu et la science, Article, 1967.
Tresmontant C., Le Christ des sciences, Albin, Paris, 1992.

TABLE DES MATIERES

INTRODUCTION......................................................................................................................1

I- LA NATURE DE DIEU SELON TRESMONTANT.........................................................1

1- Exploration de la conception de Dieu chez Tresmontant en tant qu’Être suprême et

essence pure.............................................................................................................................1

2- Explication de la transcendance de la nature divine de Dieu et de son impact sur notre

compréhension humaine..........................................................................................................2

8
II- LES PREUVES DE L’EXISTENCE DE DIEU SELON TRESMONTANT.....................3

1- Présentation des arguments métaphysiques avancés par Tresmontant pour démontrer

+l’existence de Dieu................................................................................................................3

2- Les concepts de causalité, d’intentionnalité et de finalité chez Tresmontant..................3

3- Analyse de la vision de Tresmontant sur la relation entre Dieu et la création.................4

III- LES IMPLICATIONS PHILOSOPHIQUES ET RELIGIEUSES..................................5

1- Exploration des conséquences philosophiques de la conception de Dieu chez

Tresmontant.............................................................................................................................5

2 - Discussion sur la compatibilité entre la raison et la foi religieuse dans la perspective de

Tresmontant.............................................................................................................................6

CONCLUSION...........................................................................................................................7

BIBLIOGRAPHIE......................................................................................................................8