Corrosion
Corrosion
Corrosion
Option structure
Promotion : 2006-2007
RESUME
qui à un effet négatif sur la composition de métal est en même temps il est très
dangereux dans le domaine de l’aéronautique ,ce qui exige une étude très
SUMMARY
What requires a very thorough study to find the means and solutions of
flight against this phenomenon because , there are methods to apply to avoid
اﻟﺘﻠﺨﯿﺺ
اﻟﮭﺪ ف ﻣﻦ ھﺬا اﻟﻌﻤﻞ ھﻮ اﻟﺘﻮﺿﯿﺢ أن اﻟﺼﺪى ظﺎھﺮة ﺳﻠﺒﯿﺔ ﺗﻤﺲ اﻟﺘﺮﻛﯿﺐ اﻟﻤﻌﺪﻧﻲ
اﻷﻣﺮ اﻟﺬي ﯾﺘﻄﻠﺐ دراﺳﺔ ﻣﻌﻤﻘﺔ, و ﻓﻲ ﻧﻔﺲ اﻟﻮﻗﺖ ھﻲ ﺟﺪ ﺧﻄﯿﺮة ﻓﻲ ﻣﯿﺪان اﻟﻄﯿﺮان
ﻻ ﺟﻞ ذﻟﻚ ﯾﻤﻜﻦ ﺗﻄﺒﯿﻖ ﺑﻌﺾ اﻟﻄﺮق. ﻹﯾﺠﺎد اﻟﻮﺳﺎﺋﻞ و اﻟﺤﻠﻮل ﻟﻠﺘﺼﺪي ﻟﮭﺬه اﻟﻈﺎھﺮة
. و ھﻮ ﻣﺎ ﺳﻨﺘﻄﺮق إﻟﯿﮫ ﻣﻦ ﺧﻼل ﻋﺮﺿﻨﺎ ﻟﮭﺬا اﻟﻌﻤﻞ, ﻟﺘﺠﻨﺐ ھﺬا اﻟﻨﻮع ﻣﻦ اﻟﻤﺸﺎﻛﻞ
Nous remercions dieu le tous puissant de nous avoir donner le
courage et la patience de finir cet étude.
Les enseignants qui ont contribué à notre formation et qui ont accepté
de juger ce travail.
A touts ma famille
De moi.
A mes sœurs : AMINA, FARIDA, SAIDA, Nina, Chocho
Chapitre I Généralités
I. Généralités…………………………………………………………………......1
I.1. Généralités sur l’avion ATR 72-500.…………………………....….............1
I.2. Nature des phénomènes de corrosion……………………………………...1
I.3. Les facteurs favorisant la corrosion ………………………………..........2
I.3.1. Atmosphère marine ………………………………………………… …..2
I.3.2.Atmosphère polluée………………………………………………………..2
I.3.3. Précipitations atmosphériques…………………………………………...2
I.3.4. Humidité relative…………………………………………………….........2
I.3.5.Piste d’envol………………………………………………………………..2
I.3.6.Longueur d’étape………………………………………………………….3
I.3.7.Altitude opérationnelle …………………………………………………...3
I.3.8.Température……………………………………………………………….3
I.3.9. Gaz volcaniques ……………………………………………………..........3
I.3.10.Poussières abrasives………………………………………………….......3
I.3.11. Les organismes vivants ………………………………………………....3
I.3.12.Environnement intérieur de l’a ………………………………………...3
I.3.13.Toiles d’isolation…………………………………………………………4
I.3.14.Environnement intérieur du réservoir de carburant…………………..4
I.3.15.Contamination accidentelle ……………………………………………. 4
I.3.16. Facteurs lies à la conception du matériel ……………………………...4
I.3.17. Facteur définissant les modes d’attaque et condition d’emploi…….. 5
I.3.18. Facteurs internes (propre au métal)……………………………………5
I.3.19. Facteurs métallographiques…………………………………………… 6
I.4. Nivaux de la corrosion …………………………………………………….6
I.4.1. Définition…………………………………………………………………..6
I.5. Les matériaux en aéronautique…………………………………………….7
I.5.1.Les principaux matériaux ou éléments de bases………………………... 8
I.5.2.Les différents matériaux et alliages utilises en aéronautique………….. 8
CHAPITRE I : Généralité
Introduction générale.
Chapitre I : Généralités.
Chapitre II : Différents types de corrosion.
Chapitre III : Distribution de la corrosion sur la structure de l’avion
(Application ATR 72-500)
Chapitre IV : Méthode de détection de la corrosion (visuel et contrôle non
destructif).
Chapitre V : Méthode de réparation et maintenance.
Enfin ce mémoire s’achève par une conclusion générale dont lequel les principaux
résultats de ce travail sont résumés
Chapitre I Généralité
I .1 .Introduction
La corrosion est l’action et l’effet des substances corrosives ou d’un milieu corrosif,
elle altère le matériau par transformation chimique ou physico-chimique. La corrosion des
métaux et de leurs alliages témoigne de leur tendance a revenue à leur état original de
minéraux (oxydes, sulfures, carbonates) sous l’action des agents atmosphériques.
Elle est fonction du couple substance corrosive / matériau et de l’environnement dans
lequel se trouvent réunis ces deux élément.
C’est un phénomène qui altère les propriétés mécaniques des matériaux, c’est aussi la
conséquence d’une réaction chimique entre le matériau métallique et le milieu agressif [4].
-Gaz volganiques
-Poussières abrasives
-Les organismes vivants
-Précipitations atmosphériques
1
Chapitre I Généralité
I.3.3. Humidité :
Une haute humidité relative, couplée par une haute température entraîne une
atmosphère saturée en eau environnant l’avion lorsqu’il est au sol. Si l’avion décolle dans de
telles conditions, la condensation qui en découle devient un moyen qui favorisant la
corrosion [9].
Les avions opérants sur des pistes d’envol en gravier, gazonnées salées ou sur des
piste traitées au chlorure de sodium (pour le dégivrage), sont exposés à des conditions
défavorables, la détérioration de la finition et / ou du dépôt de matière corrosives [8].
I.3.7. Température :
La haute température et la basse humidité forment bonne condition pour limite la
corrosion, car toute l’humidité peut être évaporée dans l’avion. De même façon une
atmosphère extrêmement froide est toujours sèche. Par contre la combinaison d’une haute
température et d’une haute humidité est un moyen idéal de déclenchement et propagation de
corrosion [9].
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Chapitre I Généralité
- Par le mercure:
Le mercure est un risque pour les avions du fait de la réaction chimique qui se produit
lorsqu’ il est en contact avec de l’aluminium nu. Il se produit alors une amalgamation que ne
s’arrêtent pas tente que la totalité de l’aluminium n’est pas oxydée. Car le mercure ne se
consomme pas et continue de attaquer le reste du métal.
Exemple :
Les métaux classés dans un même groupe ne présentent ; lorsqu ils sont en contact,
qu’une faible tendance a la corrosion galvanique.
Par contre, l’assemblage de métaux de groupes différent présent des risques d’autant plus
grands que les deux métaux sont plus éloignes l’un de l’autre comme il est indique dons ce
tableau (I-1) [3].
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Chapitre I Généralité
- Caractéristiques structurales :
Il s’agit essentiellement du type de structure à l’échelle du réseau, du degré de
perfection résultant des conditions d’élaboration ou d’emploi.
En ce qui concerne la structure, il est évident qu’un atome situé à la
Surface possède un nombre de voisins inférieur à celui qu’il posséderait s’il était situe dans la
masse du métal [9].
- Caractéristiques géométriques :
Le comportement de l’aluminium et de ses alliages vis –à vis de la corrosion dépend
le plus souvent de son profil microgeometriques. En effet, «une part les points ont une
réactivité plus grande que les régions planes et d’autre part, les irrégularités superficielles
augmentent la surface du métal en contact avec le réactif. Il en résulte que la quantité de métal
attaquée est plus importante que si la surface étant plane [9].
• Matériaux.
• Traitement thermique
• Surface de section.
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Chapitre I Généralité
a- Corrosion niveau 1:
La corrosion se produisant entre les inspection successives 1ui peuvent être retouchées
/traiter dans les limites permises comme définies dans le SRM et n’exige pas le renfort ou le
remplacement structural.
Ou
Ou
L’expérience d’opérateur a démontré seulement la corrosion légère entre chaque
inspection successive mais la dernière inspection et les cumulatifs traités maintenant
dépassent les limites permises et pourraient exiger renfort au remplacement
Structural.
b- Corrosion niveau 2:
- Cet argument, cependant, peut ne pas être valide pour l’avion qui a été maintenu en
utilisant un ATR CPCP. En conséquence , les résultats de corrosion excédant le niveau 1 ont
trouvés sur la tache d’inspection de corrosion le seuil d’exécution qui ont pu avoir été placés
trop haut par ATR pendant que le support et la mesure d’approbation de conception devraient
être pris pour ajuster le seuil d’exécution.
c- Corrosion niveau 3 :
La corrosion trouvée pendant la première ou l’inspection suivante qui est déterminée
pour être sur une flotte concernée en urgence d’aptitude au vol exigeant l’action expéditive.
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Chapitre I Généralité
Aluminium:
Symbole mécanique : .A.
Ses propriétés sont:
Densité : 2,7 Kg/m3
• Température de fusion: 660°C.
• Température d’ébullition: 2056°C
• Module d’élasticité : 103 daN/mm²
• Résistance à la rupture (écroui): 13daN/mm².
• Résistance à la rupture (recuit) : 4,4 da N/mm².
L’aluminium représente le métal de base des alliages légers. De densité trois fois
plus faible que le fer, il a une très grande conductivité thermique.
Il constitue souvent une solution efficace dans la lutte contre la corrosion.
L’aluminium se recouvre d’un film d’Alumine adhésif, continu et imperméable, ce qui crée
une protection contre une oxydation
En profondeur.
Ses propriétés mécaniques ne répondent pas au critères de choix du matériau en
aéronautique .C’est la raison pour laquelle l’aluminium pur est rarement utilisé, et l’addition
6
Chapitre I Généralité
d’éléments d’alliage permet d’améliorer ses propriétés ; sans pour autant altérer ses
caractéristiques est plus importantes [9].
b- TITANE :
Symbole mécanique: T.
Ses propriétés sont:
• Densité : 4,5 Kg/m3.
• Température de fusion: 1668°C.
• Module d’élasticité : 10850 da N/mm.
• Résistance à la rupture: 88 du N /mm².
• Allongement: 25%.
Alliages pour les quel une trempe n’apporte pas d’augmentation sensible des
caractéristiques mécaniques.
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Chapitre I Généralité
Le duralumin ou le 2024 est celui que l’on peut considérer comme le prototype des
alliages légers à haute résistance. L’une de particularités est la technique de durcissement par
trempe a 500% C environ, suivi d’un vieillissement.
La couche d’Aluminium pur offre une résistance à la corrosion meilleure que celle de
Duralumin. L’Aluminium étant, en effet, plus électronégatif que le Duralumin, il est attaqué
le premier et retarde ainsi la corrosion de l’ensemble.
8
Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
La corrosion peut être classée en plusieurs types, cette classification est fournie afin
de guider le personnel de la maintenance dans l’identification du phénomène et le choix des
mesures à prendre.
Elle peut apparaîtes sur toute une surface métallique ou bien se développer dans la masse
et former des piqûres aléatoires.
Elle peut être accentuée par des efforts extérieurs imposés à la structure métallique ou par
des contraintes internes dus à un manque d’homogénéité ou un mauvais traitement thermique
de surface .
Elle est favorisée par le contact des métaux avec des matériaux qui absorbent l’eau
(caoutchouc, bois, impurté …) .
Quand le produit blanc est enlevé, la surface retrouve sa brillance normal, mais si on
laisse une telle corrosion se développer, la surface prendra, rapidement une apparence de
gelée, deviendra rugueuse au toucher et les piqûres seront sur le point de commencer. et Ce
genre de corrosion est considéré comme le moins grave.
Néanmoins pour prévenir des dégâts plus sévères au cœur du métal, la corrosion de
surface doit être enlevée immédiatement après détection [8 ] .
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
il y a d’autant plus des métaux différents dans la structure d’un avion qu’il est nécessaire pour
l’ingénieur qui conçu l’avion d’éliminer le courant d’électrons [8] .
Le problème d’aération différentielle peut se poser lorsqu’une pièce n’est peinte qu’en
partie, ou lorsque la peinture est rayée [8] .
Le phénomène étant renforcé par le fait que les potentiels de dissolutions ont plus
important si la lame d’eau est plus faible.
II.6. Corrosion atmosphérique :
Un des paramètres essentiels est le taux de salinité. Le sel peut provenir de la mer,
notamment en milieu littoral, ou bien du salage des routes en hiver.
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
Comme son nom l’indique , la corrosion sous contrainte ( CSC) résulte de l’action
conjuguée d’une contrainte mécanique ( résiduelle ou appliquée ) , et d’un milieu agressif
vis-à-vis du matériau , chacun de ces facteurs pris séparément n’étant pas susceptible à lui
seul d’endommager la structure .
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
Si les zones de contact sont petites et vertes on a des dentelures formées sous
pression pouvant apparaître sur la surface de frottement. C’est d’ailleurs pour cette raison
qu’on a aussi baptisé ce type de corrosion “ fausse brinellisation ’’ lorsqu’il se développe sur
les surface des paliers [ 4 ] .
Dans le cas des métaux ferreux, l’attaque est généralement accompagnée de la
formation d’une certaine quantité d’oxyde ou boue rouge. Les particules d’oxyde sont
généralement plus dures que le métal d’origine, leur présence causé par suite, a une usure
par frottement (abrasif) de la surface et ainsi la cadence de l’attaque s’accélère [ 8 ] .
Appelée également inter cristalline (l’apparence est similaire a un mur de pierre), elle
consiste en une attaque préférentielle des joints d’un métal.
La corrosion filiforme est une forme de corrosion spécifique aux métaux peints. C’est
avant tout une corrosion d’aspect, le métal sous – jacent ne subissent qu’une attaque très
superficielle, quelques dizaines de micromètres de profondeur.
La corrosion filiforme démarre toujours à partir des défauts du revêtement comme les
rayures, et de ses points faibles : les arêtes vives, les bords de coupé ou les perçages.
Plusieurs mécanismes sont proposés pour tenter d’expliquer cette forme de corrosion
spéciale.
Délaminage cathodique.
Dissolution anodique.
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
D’eau
De contamination (poussières incorporés au carburant ou résidus de raffinage).
De micro – organismes (bactéries, champignons)
Ces organismes qui existent normalement dans le sol sont transportes par l’air et par
l’eau. On peut les voir se développer à profusion dans de nombreux réservoirs de stockage.
Ils se nourrissent des produits d’étanchéité, de résidus en suspension dans le kérosène,
d’hydrocarbure, de couche du métal. Ils continuent a pousser dans les réservoirs d’avions ou
une couche d’eau peut exister a la suite d’une mauvaise vidange, après une certaine période
de croissance dans les réservoirs il se forme un film qui empêche le passage de l’oxygène et
permet l’existence de bactéries aérobics (qui peuvent se passer d’oxygène).
Leurs déjections, forment une boue qui à son tour forme une concentration de
cellules sur la gélatineuse acidifiée [8].
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
II.14. Exfoliation :
Cette forme de corrosion est autorisée par une surface cabossée avec des boursouflures
et des lamelles pour les corrosions avancées. La force crée par le produit de corrosion en
expansion sur les périphérie des grains cause le d’écoulement de la surface.
L’exfoliation est le plus souvent rencontrée sur les profiles mais aussi sur les stocks de
tôles.
Les principaux dangers causés par corrosion par exfoliation viennent de la perte du
potentiel des attaches à la suite de l’usure des surfaces portantes et la perte d’épaisseur.
Elle se produit plus fréquemment sur les avions opérant en milieux marins cette
corrosion est plus sévère en dessous des ailes et aux surfaces de contrôle autour des joints.
L’attaque est généralement accélérée par la présence d’un métal dissemblable tel que
l’acier. L’emploi de liaisons avec des têtes couvertes d’époxy et un système de joints étanches
dans les fraisures sont très efficaces pour les isoler électriquement afin de prévenir
La corrosion [8] .
Figure ( II -2 ) : Exfoliation
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
II.16. Cavitation :
C’est un cas particulier de la corrosion érosion qui résulte de la formation et de
l’éclatement des bulles vapeur dans un liquide au voisinage de la surface du métal.
Les bulles de vapeur se forment lorsque la pression locale, la condensation et
l’clatement des bulles, provoquent un arrachement du métal. La figure 3 -12 montre une
représentation chimique des différentes étapes de la cavitation [9 ] .,.
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
Les gaz de combustion ont effet une composition complexe du fait de la composition du
combustible et de l’air : N 2 , O2 , CO2 et H2O bien sur , mais bien souvent également S2 , SO2
Cl 2 , Na Cl , et divers oxydes ( V2O5 …) .
Les pompes , les hélices , les agitateurs ,les pales de turbine etc. , sont des cas
typiques de ce genre d’attaque de la surface du métal qui présente des concavités , forme
ondulée [9] .
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
Tableau (II-1) :
tableau (II-1) : Aspects des corrosions observées sur les alliages (inspection visuelle)
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Chapitre II Les Différents Types de Corrosion
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Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
Quelques secteurs de l’avion sont enclines à la corrosion qui due au détail structural
particulier , au métal différent , habillage de l’humidité , échappement de moteur
intoxiquer le dépôt , accumulation de l’eau , débris , pertes des fixations , fluides
hydrauliques , les trous de drain inefficaces ont bouché par la saleté, la graisse ,l’abrasion
, etc.…
Il est par contre formellement interdit de percer des orifices de drainage sans une
autorisation préalable des autorités compétentes.
- Système hydraulique :
- Trains d’atterrissage :
Les trains d’atterrissage sont régulièrement exposés aux risques d’intempéries et impact
dus aux débris pouvant se trouver sur les pistes, ce qui en fait un élément très vulnérable,
spécialement au niveau des articulations auxquelles, on devra apporter une attention très
particulière ,ainsi, qu’au niveau des supports de pivots (trunnion support) .
- Zones de porte :
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Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
- Fuselage :
Ces secteurs devraient être examinés pour déceler la corrosion autant que possible et les
causes qui favorisent la corrosion éliminent (accumulation de l’eau, saleté, trous de drain
branchés, etc.).
La corrosion a été trouvée sous la structure de plancher sur les articles suivants :
a. Appuis.
b. Membrure intermédiaire.
c. Supportes de plancher.
d. Supportes de toilette.
e. Zones critiques.
F face avant et arrière du seuil de porte .
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Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
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Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
a- Les trous utilisés pour l’installation des écrous d’agrafe ,et des écrous à river attachant les
panneaux de plancher.
c- Les rails des siége, et les poutres de plancher à l’installation de panneaux de plancher.
Installation des écrous d’agrafe sur la poutre de plancher qui peut rayer des
protections ; vis installées sur l’écrou d’agrafe sans assemblée humide ; problèmes
possibles de l’entretien et de la qualité [9] .
21
Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
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Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
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Chapitre III Distribution de la corrosion sur la structure d’un l’avion
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
a) Hautes fréquences :
Méthode extrêmement sensible pour les alliages légers, mais bonne pour les cuivro-
ferreux [9].
b) Basses fréquences :
24
Chapitre IV Les Méthodes de détection
Figure : (IV-1) :
LES COURANTS DE
FOUCAULT
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
Cette technique consiste à faire propager dans la pièce une onde ultrasonore (vibration
acoustique) générée à l’aide d’un traducteur. Le contrôle est basé sur la réflexion (écho) ou la
transmission de l’onde ultrasonore au niveau des défauts.
L’observation est réalisée en visualisant les signaux des échos ou de l’onde transmise sur un
oscilloscope.
Cette méthode est applicable sur tous matériaux, et permet de mettre en évidence des
défauts de surface et des défauts internes. Elle peut être également utilisée pour réalisée des
26
Chapitre IV Les Méthodes de détection
Figure (IV-2)
LES ULTRASONS
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
La mise en évidence des défauts est assurée par une variation de densité optique sur
le radiogramme (film radiographique irradié et développé), suite aux différences d’absorption
des X entre une zone saine et une zone défectueuse.
Cette méthode est applicable sur tous matériaux et permet de mettre en évidence des
défauts de surface et des défauts internes [8].
Un matériel de laboratoire.
Un matériel portatif[8].
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
Figure ( IV-3) :
LA RADIOGRAPHIE
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
L’oxyde de fer forme le long du ou des défauts dans pièce, peut être vu et évalué par
fluorescence (sous lumière noire) ou par contraste de couleur (sous lumière blanche).
Pour localiser un défaut dans la pièce, il est essentiel que la ligne de force
magnétique passe approximativement perpendiculaires au défaut. Par conséquent, il est
nécessaire d’induire le flux magnétique dans plusieurs directions car il est probable que les
défauts existent dans n’importe quel angle de la pièce [8].
Pour balayer les deux axes de la pièce, il est nécessaire d’utiliser deux type de
opérations : une magnétisation circulaire avec un magna flux, puis une magnétisation
longitudinale
(Avec parber / research contour probe par exemple) [8] .
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
Figure (IV-4) :
LA MAGNETOSCOPIE
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
La crique est révélée par un par un trait rouge sur fond blanc [9].
Après décapage, la pièce à contrôler est placée dans un bain de pénétrant fluorescent,
rincée à l’eau et séchée. Après une application de révélateur en poudre, cette pièce est alors
examinée en lumière de WOOD, et les criques sont révélées sous formes de lignes brillantes
jaunes verdâtre [9].
C)Par bombe aérosol
S’applique à tous les matériaux métalliques magnétiques ou non et non sur certains plastiques
, et particulièrement sur les pièces de grandes dimensions , sans que leur démontage sur avion
soit nécessaire .
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
Figure (IV-5) :
LE RESSUAGE
33
Chapitre IV Les Méthodes de détection
Le contact avec la pièce à vérifier est nécessaire, l’accès ne se faisant que d’un coté .s
Les résultat d’un Contrôle CND ne peuvent être pris en considération qu’à partir du
moment ou les opérations antérieures à ce contrôle ne risquent pas avoir masqué certains
défauts , et que les opérations postérieures au contrôle ne risquent pas se générer de nouveaux
défauts . [8]
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Chapitre IV Les Méthodes de détection
Dans le cas des traitements de surface, les inspections sont souvent réalisées avant
traitement. Ceci pour deux raisons :
Les protections de surface risquent de masquer les défauts,
Les protections ou traitements risquent d’être contaminés par produits de ressuage ou
magnétoscopie utilisés .
Cependant, certains traitements (phosphatation parcolubrite, cadmiage, zingage,
nickelage, chromage …) sont considérés fragilisants, et sont susceptibles de générer des
défauts a posteriori. Un contrôle est alors conseillé après traitement. Sur certaines pièces,
un contrôle peut alors être demandé avant et après cette opération.
Dans le cas de dépôt d’épaisseur supérieure à 50 µm, il est souvent nécessaire d’effectuer
un contrôle magnétoscopique avant et après dépôt, une épaisseur supérieure à 50 µm risquant
de masquer les défauts.
Si le dépôt est non magnétique , le contrôle après dépôt est alors remplacé par un contrôle
ressuage.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
- La méthode mécanique.
-La méthode chimique.
La méthode mécanique est celle qu’il faut utiliser le plus possible en raison de la
haute corrodabilité des produits utilisé, dans la méthode chimique.
Les souillures autres que les huiles et graissage, peuvent être éliminé a l’aide
d’une solution détergente. Selon l’adhérence de ces souillures, on peut utiliser des
chiffons, des brosses à brins non métalliques (en nylon par exemple).
Les huiles et les graisses doivent être éliminées à l’aide d’un solvant organique.
Les solvants chlorés comme le trichloréthylène peuvent être en principe utilisé.
Cependant, étant donné le danger que présente leur vapeur, il est plus conseillé
d’utiliser du White – spirite pur ou mélangé à volume égal avec du xylol ou du
naphta, ou utiliser des chiffons propres que l’on mouillera en versant (et non en
trempant) dessus peu de solution.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Les décapant neutres sont a base de solvants tel l’acétate d’éthyle, l’acétone, le
méthyle éthylacentane qui sont utilises lorsque la zone à traiter est très restreinte .On
utilisera un chiffon que l’on mouillera souvent avec le produit et qu’on appliquera en
frottant jusqu’à la disparition de la peinture le décapage mécanique à l’aide de scotch
ou de papier abrasif peut être considéré lorsque la zone traitée est restreinte, ou si
l’opération précédente n’a pas été réussite
Lors d’intervention sur l’avion, il ne faut donc éliminer que le strict minimum et
reprotéger la pièce par d’autres moyens.
L’élimination d’un revêtement anodique peut se faire par immersion dans l’une
des solutions citées ci après – une fois le revêtement dissout, les pièces doivent être rincées
complètement à l’eau puis les reprotegées rapidement [8].
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Il faut être extrêmement prudents avec les outils mécanique, il faut les utiliser en
tenant compte de éviter sur l’aluminium pur, ce dernier est fragile et l’étendrai sur des
régions avoisinantes couvrant ainsi de les points de corrosion existants ; par la suite, même si
une couche de protection est appliquée, la corrosion continuera a attaque le métal dans les
parties invisibles. Cependant l’utilisation avec précaution d’une meule, peut quelque fois être
nécessaire pour sauver une pièce attaquée par la corrosion inter granulaire. Les méthodes
mécaniques de traitement de la corrosion sont généralement suivies par un traitement
chimique. Son but est de préparer une surface pour l’adhérence de la peinture quant ce la est
nécessaire et d’offrir une protection supplémentaire contre la corrosion [8].
A) Ponçage manuel :
B)Grattage de meulage :
Pour enlever la corrosion sur un matériau plus lourd, un grattoir ou une meule sont
nécessaires. Un grattoir de type outils au carbure est un meilleur moyen de nettoyer la
corrosion inter granulaire ou « piqûre » profond.
Au fur et mesure que le travail avance, une loupe ,de grossissement 10 fois , peut a
déterminer quant toute corrosion est enlevée , une couche de métal propre de 0,2 inchs devra
être grattée en plus . La possibilité de concentration de contrainte doit être considéré.
Pour éviter cela, le grattage sera étendu aux environs immédiats pour former une
dépression en forme de godet. A la fin du grattage ou du meulage , la région sera polie avec
du papier abrasif a base d’oxyde d’aluminium , d’abord avec du grain 280 et ensuite avec du
papier dont le grain et 400 .
38
Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
B)Polissage [8] :
La procédure suivante peut être utilisée pour enlever une légère corrosion. On peut
suivre les étapes suivantes :
1) Avec un chiffon ou une brosse, étendre une fine couche de produit à polir sur une surface
limitée. Eviter d’étendre sur une trop grande surface si le produit ne solidifie pas rapidement.
2) Fixer un tampon de coton ou de laine de mouton sur la machine pour polir la surface
traitement . Afin d’éviter une génération de points chauds, déplacer la machine sur la partie à
polir, car la chaleur peut altérer le traitement thermique du métal et il en résulte une plus
grande susceptibilité à la corrosion.
3) Si on le désire, les ronds et résidus l’aisé autre des rivets et des cordons peut être enlevés
par une polissage manuel avec le même produit.
4) Lorsque le polissage est terminé, laver toute la surface avec un mélange d’eau et de
solvant à base de pétrole. Ces mélanges peuvent ce chiffon jusqu’au fond pour atteindre l’eau
plus lourd que le solvant.
Un équipement de ce type est connue sous le non de vécu blast dans tout les cas,
l’abrasif utilisé doit être de l’oxyde de l’aluminium ou de poudre de veue. Pour éviter le
sertissage des produits de corrosion sur les revêtements en aluminium le pourcentage
d’impuretés dans l’abrasif doit être de moins de 2 %.
Les grains d’abrasifs doivent être inférieurs à 0,80 mm pour un court et rapide
nettoyage de la corrosion.
Un meilleur contrôle du nettoyage est obtenu ou utilisant des grains de 0,025 à 0,038 mm.
Le décapage par injection d’abrasifs ne doit être utilisé que si on applique une couche
de fin organique , vu que le placage des revêtements en aluminium ainsi que le cadmiage des
attaches risque d’être enlever .
L’utilisateur de ces équipements doit être parfaitement formé courair des dangers de la
mauvaise utilisation de ce matériel[8].
Cette méthode vise à améliorer l’efficacité du film d’oxyde protecteur donc de recouvrir
naturellement certains métaux. Ou bien à former, à la surface, des sels ayant des propriétés
protectrices comparables [9].
39
Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Il faut éviter les éclaboussures et éviter de laisser couler dans les portiers adjacents et
les encastrements, les différents produits de nettoyage d’acide. Un chiffon humide doit être
toujours prêt à les essuyer. Certaines parties doivent être protégées avec du papier
imperméable ou un ruban adhésif. Une attaque prolongée de l’acide peut déclencher une
corrosion. Il faut donc bien enlever toute trace d’acide [8]
Le film artificiel ainsi obtenu est plus épais, plus dur et plus adhésif que le film
naturel. Il constitue une protection suffisante mais une protection supplémentaire peut être
obtenue au moyen d’une peinture pour laquelle la couche d’oxyde constitue une
excellemment base d’accrochage [9].
Il faut faire très attention pour ne pas laisser couler la solution dans les surfaces jointes
par recouvrement. Il ne faut pas non plus éclabousser de produits chimiques à l’intérieur de la
structure. Il est préférable de passer et repasser un tampon avec la solution de traitement, en
particulier sur les tuyères, tubes, nervures et autres pièces de formes spéciales.
Appliquer la solution avec une brosse ou un chiffon, laisser agir pendant deux ou trois
minutes et frotter légèrement avec une brosse à dure. Rincer avec de l’eau propre et laisser
sécher avec de l’air comprimé [8].
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
B) Le personnel qualifié doit déterminer l’ampleur de la corrosion et rivaliser avec des limites
permises de dommage corrosion avant le déplacement de la corrosion et les opérations de
traitement peut commencer.
C) Il est très important que tous les dépôts de la corrosion soient complètement enlevés avant
que des gommages de corrosion soient réparés. Les risques mineurs peuvent agir en tant que
points de départ pour la nouvelle corrosion. Le secteur réparé doit être vitrifié pour assurer le
traitement complet de la corrosion pour éviter la possibilité de propagation de fissure.
D) Tous les secteurs ou la corrosion doit être traitée doivent être exempts du pirole. De la
graisse, de saleté, et de la peinture.
Caractéristiques :
A) Equipements :
.Papier à l’émeri.
Racleur.
Polisseur de coupeur ou de main.
Garnitures abrasives non métalliques.
Loupe.
Brosse nylon.
Lumière instantanée.
Miroir sonde.
Lunettes productrices.
Gants Protecteurs.
Equipement des courants parasites.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
B) Matériaux de produits :
Pour la décontamination.
Solution anhydrides d’acide chromique.
Cr o3 90 g / l ou agent de désoxydation.
Dissolvant chloré.
L’eau déminéralisée, 1L.
Solution de dichromate de potassium (pour la neutralisation seulement dans le cas
d’anhydride de l’utilisation d’anhydride acide de chrome).
1) Aberration à la main :
(a) L’aberration à la main est seulement effectuée ou les dommages légers se produisent le
tissu d’émeris et les garnitures abrasives sont les abrasifs les plus communs utilisés à cette
fin.
2) Brossage de fil :
(a) La brosse métallique est une opération abrasive mécanique effectuée avec une brosse
métallique de main ou une brosse métallique entraînée par un moteur électrique.
Le brossage de fil est employé pour enlever la corrosion lourde et la peinture ou la saleté
incorporelle. Décrite ci – dessous est un procédé de brossage typique.
b) Câblez le brossage, comme décrit ci – dessous, est un procédé typique pour enlever la
corrosion lourde et la peinture ou la saleté incorporée.
3) Meulage :
1) le meulage, comme décrit dans les étapes suivantes, est un procédé typique pour
enlever la corrosion lourde à l’aide des roues de meulage motorisées.
2) Enlevez la corrosion par le meulage jusqu’à ce qu’une surface corrosion – libre ferme
soit atteinte continuez de rectifier pour enlever des irrégularités brutes. Employez très bien
le papier à l’ameri pour polir la surface à la finition désirée.
3) Après avoir enlevé la corrosion par le meulage. Appliquez un Granulage à
écrouissage Pour réduire les efforts de tension résiduels peut être envisagé.
4) Dossier rotatoire :
(a) L’application du dossier rotatoire ou du radeur de main se faite lorsque quand la
corrosion est lourde. Elle est applicable aux alliages en aluminium et acier. Les étapes
suivantes décrivent un procédé typique.
1-Suivez les procédures décrites dans le paragraphe intéressé 4Aou 5 B au besoin.
2- Enlevez la corrosion en utilisant le dossier reptatoire. (Un Papier à l’émeri de 3
utilisations très bien pour polir la surface à la finition désirée).
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
5) Souffler d’abrasif :
3) Peignez dépouiller. Peignez dépouiller peut être exécuté dans le dépouillage chimique
trop différent de manières notamment et le dépouillage mécanique.
a) Dépouillage chimique à employer sur des secteurs externes, pièces disolement, secteurs
avec des frontières fixes.
L’utilisation du décolleur de peinture sera suivé du rinçage avec du dissolvant.
B- traitement de la corrosion :
Cette opération comporte deux phases successives :
1). Action Mécanique.
L’utilisation des brosses de fil d’acier est interdite.
a) Effacez le secteur corrodé en utilisant les garnitures de descothbirite ou le tissu d’émeris.
Le choix de catégorie dépendra de l’ampleur de corrosion. Finition autre d’employer la
catégorie la plus fine. Des garnitures de scotchbrite ou du tissu démeris.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
3) Rinçage au loin avec l’eau et la bande de frottement déminéraliser vers le base avec une
brosse en nylon pour éliminer les traces de jaune.
E- Etapes finales :
Effectuez la combinaison rinçant par l’eau déminéraliser au loin par de l’air exempt
d’huile sec.
B- Traitement de la corrosion :
1) Action mécanique :
a) Le déplacement mécanique de la corrosion peut être fait en frottant la surface avec
Désoxydation scotchbrite et garniture abrasives.
2).action chimique :
a) Enlevez la poussière et nettoyez avec du dissolvant chloré ou ketonic.
b) Appliquez l’agent de désoxydation. Avec une brosse et frottez bien sur la garniture
employant extérieure de schotbrite, si la partie est démontable, immergez la dans la solution
de désoxydation.
c) Laissez désoxyder l’agent pour agir pour 30 manganèse et application de répétition.
En une heure, l’action de l’agent de désoxydation cause une atténuation de la
corrosion Mais l’attaque N’est pas suffisante pour attendre le substrat métal d’un
corrosion.
Plusieurs heures sont alors nécessaires pour obtenir le déplacement complet de la
corrosion et une phosphatation superficielle du métal (film blanc ou GRISATRE) .
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
D) Etapes finales :
1) De façon générale rinçant au loin avec de l’eau déminéraliser
2) Séchant au loin avec de l’air exempt d’huile sec.
V.2. La Réparation :
Si la quantité du matériau corrodée passe l’intervalle de tolérance la réparation sera
obligatoire.
Matériaux de réparation :
- Poutre de plancher .
- Renfort d’épaisseur de 2mm.
- Cale d’épaisseur de 0,4 mm.
- Rivets de tête bombés .
- Rivets de tête fraisés .
b- Procédures de la réparation :
B.1. préparation :
b.2.réparation :
(1) enlevez les attaches existantant dans la zone de réparation.
(2) coupez la poutre de plancher comme indiquée par arrangement de réparation.
(3) ébavurez les bordes de la découpe.
(4) dégraissez et appliquer une conversion chimique enduisant en bords de la découper.
(5) appliquez deus couches de primaire.
(6) fabriquez des pièces de réparation en utilisant la liste matérielle de réparation et les
informations dans le schéma de réparation.
(7) marquez le nouveau et existant endroit de trous par schémas de réparation et percez le
pilote des trous au diamètre de 2,5 millimètre. Maintenir de bord et le pas.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
-Principes généraux :
Pour protéger une surface métallique contre la corrosion, il suffit d’appliquer sur cette
surface un revêtement protecteur qui ne sera pas attaqué ou ne le sera que superficiellement
par le milieu corrodant. En outre, les procédés de recouvrement permettent de donner aux
pièces traitées des aspects variés agréables à l’œil.
Les divers moyens de protection utilisés se différencient d’une part par la nature des
revêtements protecteurs et d’autre part, par le mode d’application utilisé.
L’indentification d’un procédé de protection doit comporter la mesure précise de
l’épaisseur totale de la couche protectrice ainsi que les tolérances admissibles ; sans cette
précaution, des pièce bien que soigneusement tracées risquent de ne plus s’ajuster lorsqu’elles
ont été recouvertes du revêtement.
Pour identifier un procédé de protection il faut , non seulement identifier les produits
appliqués , mais préciser de quelle manière leur application doit être faite .En particulier la
préparation des surfaces doit être l’objet des plus vives préoccupations , car c’est du soin
apporté à son exécution que dépend l’efficacité du revêtement [9].
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Le nickelage se fait soit directement sur pièces préparées très soigneusement, soit sur
cuivrage intermédiaire. Les bains contiennent du sulfate de nickel, du sulfate double de nickel
et d’ammonium et du chlorure de sodium. Les anodes sont en nickel [9].
1) Dégraissages :
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
2) Décapage :
Le décapage a pour but de donner aux pièces en métal léger un bel aspect, mais ce
procédé qui dissout le métal, n’est pas un procédé de dégraissage.
Les principaux procédés de décapage sont les suivants :
Décapage à la soude caustique.
Décapage à l’acide sulfurique.
Décapage au phosphate trisodique.
Décapage à l’acide sulfachromique.
Un rinçage à l’eau et une neutralisation à l’acide nitrique sont
Nécessaires.
3) Sablage – brossage :
La surface d’une pièce traitée prend une teinte variant du jaune au vert selon la
composition de l’alliage. On y trouve les éléments chrome fluor et titane ;
l’identification de ce dernier élément, facile à effectuer, est un moyen de contrôle. Alors
que la surface métallique naturelle sa laisse difficilement mouiller, la surface protalisée
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
permet l’étalement des liquides. La couche ainsi formée à la surface des alliages légers
possède des propriétés protectrices que l’épreuve du brouillard salin met en évidence.
C’est ainsi qu’une exposition de 600 heures a laissé intactes des éprouvettes du
duralumin protégées par protalisation, alors que l’alumine était rapidement apparue sur
le métal non traité. Cette couche permet une meilleure adhérence des peintures à
condition bien entendu de peindre des surfaces parfaitement sèches [9].
La pièce à protéger est prise comme anode et immergée dans un électrolyte (bain
constitué par une solution aqueuse d’acide chromique ou de chromate). La cathode est
constituée par des plaques de charbon (40 à 50 v). de f. é .m).
L’oxydation anodique ne peut être pratiquée q’avec des électrolytes dont les anions
contiennent de l’oxygène ; l’électrolyte doit en outre attaquer dans une certaine mesure le
métal traité et être capable de dissoudre, fut – ce très lentement, la pellicule protectrice oxydée
, sans quoi l’oxydation s’arrête des que la pellicule a une épaisseur infime . . Un procédé
spécial permet d’obtenir des couches très épaisses et très dures résistant à l’abrasion (
panneaux d’aile de BOEING ) .
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Pour obtenir une bonne adhérence des peintures, les surfaces doivent être propres,
exemples de matières grasses et légèrement rugueuses. On utilise :
a) produits séchant l’air : vernis gras, vernis acéto- cellulosique, vernis nitro-
cellulosique.
b) Produits séchant l’air ou au four : vernis à base de résine synthétique.
c) Produits séchant au four : vernis à base de résine synthétique, vernis à l’asphalte.
Ces produits résistent parfaitement à un séjour de plusieurs mois dans l’eau de mer.
Les protections obtenues par application de peinture ou vernis présente de bonnes
caractéristiques ; toutefois, ce mode de protection crée deux genres d’inconvénients :
2) Par électrolyse :
On dépose une couche d’accrochage à base de zinc que l’on recouvre d’une couche de
cuivre intermédiaire. On dépose ensuite sur le cuivre d’autres métaux tels que nickel, chrome,
cadmium, argent.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Pour réaliser un assemblage mixte, on doit isoler les deux métaux l’un de l’autre en ayant
soin d’utiliser une matière poreuse susceptible d’être pénétrée par l’humidité. On interpose :
Un isolement soigné des pièces en alliages de magnésium doit être prévu pour éviter la
formation des couples électrolytiques ; la condensation de l’humidité de l’air est déjà
suffisante pour produire au point de contact une oxydation de magnésium. Les produits
employés pour l’isolement peuvent être
:
1) Des peintures. (Primaire jaune ou vert au chromate de zinc,
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
1) Electro - déposition :
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
3) Placage :
Les alliages d’aluminium suseplibles d’être corrodés sont fréquements recouverts d’une
couche d’aluminium pur. Le placage d’aluminium autre des trous, Des éraflures et d’autres
défauts de revêtement le protége de la corrosion .
4) Pulvérisation métallique :
Consiste à fondre le métal et à la pulvériser sur la surface à protéger.
5) Grenaillage :
De même que les autre traitements qui , comme celui ci , soumettent la surface à des
contraintes de compression , permet de protéger efficacement de cette surface de la corrosion
sous tension .
6) Revêtements organiques :
Couramment utilisés pour protéger les métaux sont les peintures d’apprêt au chromate de
zinc, les peintures émaillées, les composés de caoutchouc chlorurent, etc...
Le taux de corrosion dans le circuit de robinetterie est très élevé dans le domaine
aéronautique, c’est pour que la prévention se base sur la réduction de l’agressivité des
solutions.
Cette solution est possible par l’addition de produits en faibles quantités que l’on appelle
« inhibiteur de corrosion » .
L’inhibition est un moyen de protection d’un métal, qui consiste à introduire au sein
du milieu corrosif une faible quantité d’une ou plusieurs espèces chimiques capables de
diminuer d’une manière importante la vitesse de corrosion.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
pour l’aluminium pur, qui est très résistant à la corrosion, les molybdates améliore
cette résistance, il n’en est rien pour certains de ses alliages.
Il est reconnu par exemple que les alliages d’aluminium qui contiennent du cuivre (série
2000) ou du zinc (série 7000), et qui sont largement utilisés en aéronautique, sont
généralement peu résistants à la corrosion. Leur inhibition est donc plus difficile que celle de
l’Aluminium pur.
Cependant, l’alliage 7075 est plus facilement inhibé que l’alliage 2024, car ce denier
est sujet à des attaques inter granulaires.
L’inhibition des piqûres par ions molybdates s’explique par l’effet compétitif entre l’ion
inhibiteur (Molybdates) et l’ion agressif. En effet, les Molybdates, en formant un film
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
Les Molybdates ont été aussi utilisés pour l’inhibition des aciers inoxydables , surtout
contre la corrosion par piqûres . L’effet bénéfique des Molybdates est attribué par certaines
autres au fait qu’ils contribuent à l’enrichissement de la couche passive . D’autres pensent que
les Molybdates retardent la piquration par adsorption , par formation de certains composés
insolubles de Molybdates, par une interaction synergiques des ions Molybdates avec les
composés de la couche passive, ou enfin par élimination des sites actifs de la surfaces
métallique [9].
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
1) train d’atterrissage.
2) Longerons arrière et avant d’aile.
3) Caisson intérieur de stabilisateur.
4) Caisson extérieur de stabilisateur.
5) Surface intérieur de face de bas.
6) Structure plancher sur les toilettes et galets.
7) équipement de la zone intérieure de la intérieure de queue.
8) Fixation de train d’atterrissage (jonction aile –fuselage).
9) Caisson d’aile extérieur.
10) Surface entre le fuselage et le matelas désolation.
11) Partie de surface de vol.
12) Couples forts.
13) Cadre de renforcement dans la cabine.
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Chapitre V Méthode de réparation et Maintenance
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Notre projet de fin d’études, mené au terme de plusieurs mois de stage à Air Algérie,
nous a permis d’acquérir plusieurs informations importantes sur les méthodes préventives et
curatives de la corrosion appliquées a la structure de l’avion ATR 72-500.
Notre stage pratique nous a permis également d’enrichir nos connaissances dans le
domaine aéronautique en général, et l’étude des méthodes préventives et curatives de la
corrosion appliquées à la structure de l’avion ATR 72-500 en particulier.
-La corrosion peut apparaître sous différentes formes qui influent sur la résistance des
matériaux d’un avion. Elle peut rigoureusement changer avec seulement un petit changement
environnemental.
Conclusion :
Notre projet de fin d’études, mené au terme de plusieurs mois de stage à Air
Algérie, nous a permis d’acquérir plusieurs informations importantes sur les méthodes
préventives et curatives de la corrosion Appliquées a la structure de l’avion ATR 72-500 .
Notre stage pratique nous a permis, également d’enrichir nos connaissances dans le
domaine aéronautique en général, et l’étude, les méthodes préventives et curatives de la
corrosion Appliquées à la structure de l’avion ATR 72-500 en Particulier.
[1] : Traité des matériaux : LANBELT : 12-corrosion et chimie de surfaces des métaux.
ANNE : 1993. Première Edition
1997. Réimpressient corrigée.
[8 ] :Traitement de la corrosion sur une cloison étanche de pressurisation d’un 737 -200 .