QCM Virologie Générale N.ell-1
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VIROLOGIE GÉNÉRALE :
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Le cycle de réplication :
A. A une durée constante chez tous les virus.
B. Dure de 4 à 8 heures pour certains virus.
C. Peut durer 40 heures pour certains virus.
D. Est le même pour tous les virus.
La réplication du génome des virus à ARN positive :
A. Passe toujours par un intermédiaire ADN.
B. Se fait chez certains virus sans intermédiaire ADN.
C. Nécessite, dans certains cas, une intégration de l’ARN dans l’acide nucléique de la cellule hôte.
D. Nécessite, dans certains cas, une intégration de l’ADN dans celui de la cellule hôte.
Quel(s) est (sont) le(s) virus pouvant résister plusieurs jours dans les eaux polluées ?
A. L’Herpès Simplex Virus 1.
B. Le virus de l’Hépatite A.
C. Le Cytomégalovirus.
D. Le virus Ourlien.
E. Le Poliovirus.
Les virus sont classés suivant :
A. Le type de réplication.
B. La structure du virion.
C. La nature de l’acide nucléique.
D. Le tropisme.
E. Le mode de transmission.
Au cours des infections aigues :
A. Les organes cibles sont toujours situés à distance de la porte d’entrée.
B. À partir de la porte d’entrée, le virus peut diffuser jusqu’aux organes cibles par voie sanguine,
lymphatique ou nerveuse.
C. La durée d’incubation est variable en fonction du virus.
D. La réponse immunitaire ne parvient pas à éliminer le virus qui persiste alors dans l’organisme.
E. Le génome viral reste présent dans quelques cellules.
Le cycle de multiplication virale :
A. Est d’une durée variable.
B. Dépend de la sensibilité et de la spécificité de la cellule hôte.
C. Est plus long quand il se déroule à l’extérieure de la cellule.
D. Peut être interrompu même si la cellule est sensible.
E. Se termine par l’encapsidation des virions.
Une infection aigue est :
A. Une infection localisée.
B. En général, la durée d’incubation du virus qui y est responsable ne dépasse pas 5 jours.
C. La réactivation du virus responsable de cette infection est observée lors de la diminution de
l’immunité.
D. Peut guérir spontanément.
E. Provoque généralement la destruction de la cellule hôte.
L’enveloppe des virus peut avoir certaines des propriétés suivantes :
A. Dérive de la membrane cellulaire.
B. Entoure immédiatement l’acide nucléique viral.
C. Est composée exclusivement d’unités protéiques d’origine virale.
D. Est responsable des propriétés d’hémagglutination.
E. Confère aux virus une résistance dans le milieu extérieure.
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L’ECP :
A. Le temps d’apparition d’un ECP ne dépend que du cycle viral.
B. Un ECP peut être neutralisé in vitro par utilisation d’anticorps spécifiques.
C. Les virus appartenant à la même famille peuvent avoir le même ECP.
D. Un ECP caractéristique est obtenu lors d’une infection par le VHB.
E. Un ECP caractéristique est obtenu lors de l’infection par l’HPV et consiste en une koïlocytose.
L’isolement et la mise en culture des virus :
A. Permet le diagnostic d’une infection dans un délai de 48 à 72 heures.
B. Permet de prouver le caractère infectieux d’un virus donné.
C. Permet la mise en évidence de nouveaux virus.
D. Nécessite l’utilisation de systèmes cellulaires.
E. Permet toujours une identification précise des espèces virales.
Le diagnostic virologique :
A. Aide à la prise de mesures prophylactiques dans l’entourage du malade.
B. Aide au choix du traitement antibiotique adapté.
C. Permet l’évaluation de l’immunité résiduelle vis-à-vis d’un virus après une infection naturelle ou
vaccinale.
D. Permet la détermination du statut immunitaire d’un individus vis-à-vis d’un virus à un moment donné.
E. Est nécessaire pour tous types d’infections.
Les techniques de diagnostic direct rapide :
A. Nécessitent la mise en culture du virus sur système cellulaire.
B. Peuvent être utilisées pour le diagnostic de l’infection par le virus de l’hépatite A.
C. Peuvent être utilisées pour le diagnostic d’une infection latente.
D. Permettent la détection des virus même pendant la phase d’incubation.
E. Sont applicables surtout pour certains virus excrétés en grandes quantités.
Les techniques de diagnostic direct rapide peuvent être utilisées pour détecter :
A. Rotavirus.
B. Virus de l’Hépatite A.
C. Epstein Barr Virus.
D. Virus de la Varicelle Zona.
E. Papillomavirus humain (HPV) dans le cas de verrues.
Lors du diagnostic par les techniques directes :
A. L’effet cytopathogène permet toujours une identification précise de l’espèce responsable d’une
infection virale donnée.
B. Un passage par une culture sur milieu cellulaire est toujours nécessaire.
C. La présence du virus « vivant » n’est pas toujours nécessaire.
D. Seules les techniques immunoenzymatiques sont utilisées pour une identification précise.
Peut être recherché dans les urines :
A. Le virus de l’Herpès HSV2.
B. Le virus Ourlien.
C. Le Rotavirus.
D. Le Cytomégalovirus (CMV).
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La première étape d’un test ELISA est le revêtement de la plaque soif par un AC ou par un AG suivant le type
du teste (ELISA direct ou indirect). La deuxième étape est l’addition du prélèvement à tester. Si on réalise un
revêtement par un AG « X » :
A. Le test ELISA est indirect et l’addition d’un prélèvement contenant les AC anti « X » donnera (à la fin
du test ELISA) une réaction positive.
B. Le test ELISA est direct et l’addition d’un prélèvement contenant les AC anti « X » donnera à la fin du
test une réaction positive.
C. Le test ELISA est indirect et l’addition d’un prélèvement contenant les AC anti « y » peut donner (à la
fin du test) une réaction faux positive car les AC anti « y » peuvent se fixer directement à la plaque et
non à l’AG « X ».
D. Le test ELISA est indirect et l’addition d’un prélèvement contenant les AC anti « y » ne pourra jamais
donner une réaction faux positive car les AC anti « y » ne peuvent pas se fixer directement à la
plaque.
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Les antiviraux :
A. Tous les antiviraux actuellement prescrits sont des virostatiques.
B. Les antiviraux sont actifs sur les virus latents.
C. Les antiviraux interagissent avec le métabolisme cellulaire et peuvent induire une cytotoxicité.
D. Un analogue nucléosidique est une molécule inactive qui nécessite une triple phosphorylation.
E. Les inhibiteurs de la neuraminidase, tels que l’Oseltamivir et le Zanamivir, bloquent la décapsidation
des virions de la grippe.
L’efficacité des antiviraux utilisés dans le traitement de certaines infections virales peut dépendre du
génotype :
A. Le génotype VHC 1 est sensible à l’association « Daclatasvir + Sofosbuvir ».
B. Le génotype VHC 4 est plus sensible à l’association « Daclatasvir + Sofosbuvir + Ribavirine ».
C. Le génotype VHC 3 est plus sensible à l’association « Daclatasvir + Peginterféron (PEG-IFN) +
Ribavirine ».
D. L’HSV 1 est plus sensible à l’Acyclovir que l’HSV2.
E. L’HSV 2 est plus sensible au Foscarnet que l’HSV1.
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