Correction Maths Concours Blanc
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SA
E N
Exercice no 1 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . /3,5 pts
∑ 1
1. — La série
série :
∑ 𝑛1
𝜎(𝑛)2
2
est positive convergente donc, elle est commutativement convergente d’où la
est convergente.
* M
— Pour 𝑎 et 𝑏 positifs, 0 ⩽ 𝑎𝑏 ⩽ 2𝑎𝑏 ⩽ 𝑎2 + 𝑏2 donc, 0 ⩽
la série
∑ 1
𝑛𝜎(𝑛)
𝑛2 𝜎(𝑛)2
est convergente.
e m
2. — ln
1
1
= − ln cos
1
𝑛
= − ln
(
1 −
1
2
+
a
o
d
( ))
1
2
=
1
2
+ o
( )
1
𝑛2
.
c
cos 𝑛 2𝑛 𝑛 2𝑛
( )𝛼
( ( ))𝛼 ( )
Donc, ln
1
cos 1𝑛
=
A
1
2𝑛2
+ o
1
𝑛2
=
1
2𝛼 𝑛2𝛼
(1 + o(1)) 𝛼
=
1
2𝛼 𝑛2𝛼
+ o
(
1
2𝛼 𝑛2𝛼
∼
)𝛼
SA 1
2𝛼 𝑛2𝛼
. Or, la série
1
∑ 1
2𝛼 𝑛2𝛼
est convergente si, et seulement si, 2𝛼 > 1. Donc,
∑
ln
1
cos 1𝑛
EN converge si 𝛼 > .
2
— On a : ln(1 − 𝑥) = −𝑥 − 𝑥2 − 𝑥3 + O(𝑥4 ) en 0 donc, ln
( )
𝑛
𝑛−1
(
= ln 1 −
1
𝑛
)
1
=− − 2 −
𝑛 2𝑛
1
M
1 1
+O 4 .
3𝑛3 (𝑛 ) ( ( ))
𝑛 𝜋 𝜋 1
Donc, cos 𝜋𝑛2 ln = cos 𝜋𝑛 + + +O 2 .
𝑛−1 2 3𝑛 𝑛 ( )
𝜋
Or, pour 𝑥 réel et 𝑛 entier, cos(𝑥 + 𝑛𝜋) = (−1)𝑛 cos(𝑥) et cos 𝑥 + = − sin(𝑥) donc,
( ) ( ( )) 2
𝑛 𝜋 1
cos 𝜋𝑛2 ln = (−1)𝑛−1 sin +O 2 .
𝑛−1 3𝑛 𝑛
( ) (−1)𝑛−1 𝜋 ( )
𝑛 1
Comme sin(𝑥) = 𝑥 + O(𝑥) donc, cos 𝜋𝑛2 ln = +O 2 .
𝑛−1 3𝑛 𝑛
∑ 1 ∑ (1)
est convergente donc, d’après les relations de comparaison, O 2 est conver-
𝑛2 𝑛
1
( )
1
gente. La suite est décroissante et de limite nulle donc, d’après le critère spécial des
𝑛
∑ (−1)𝑛−1
séries alternées, est convergente.
𝑛
∑ ( )
𝑛
cos 𝜋𝑛2 ln
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∑ 𝑛𝑛
𝑛𝑛
Si |𝑎| < e alors, on sait que d’après Stirling : 𝑛 ∼
𝑎 𝑛!
( 𝑛√
𝑛𝑛
𝑎𝑛 𝑛 2𝜋𝑛 e𝑛
) = √
e𝑛
𝑎𝑛 2𝜋𝑛
⟶ +∞.
SA
Donc, la série
𝑛𝑛
Si 𝑎 = e, 𝑛 ∼ √
𝑎 𝑛!
𝑎𝑛 𝑛!
1
2𝜋𝑛
diverge grossièrement.
et puisque la série √
1
2𝜋𝑛
E N
est positive et divergente donc,
∑ 𝑛𝑛
𝑎𝑛 𝑛!
diverge.
Si 𝑎 = −e d’après Stirling, 𝑛 ∼ √
𝑛𝑛
e 𝑛!
(
1
2𝜋𝑛
⟶ 0. On a :
)
* M
𝑢𝑛+1
𝑢𝑛
(
=
1
e
(
1+
)
𝑛
)
1 𝑛
. Or, pour 𝑥 stric-
( )
tement positif, ln(1+𝑥) ⩽ 𝑥 donc, ln 1 +
On en déduit que la suite (𝑢∑
spécial des séries alternées,
y * 1
𝑛
1
⩽ donc, ln 1 +
𝑛
1 𝑛
𝑛
⩽ 1 i.e 1 +
𝑛 ) est décroissante (et de limite nulle). Donc, d’après le critère
𝑢𝑛 pour 𝑎 = −e est convergente.
1 𝑛
𝑛
⩽ e.
Par conséquent,
∑ 𝑛𝑛
𝑎𝑛 𝑛!
e m
converge si et seulement si |𝑎| ⩾ e ou 𝑎 = −e.
— Posons 𝑢𝑛 = 𝑎
(−1)𝑛
𝑛 + (−1)𝑛
.
a∑d
Si 𝑎 > 0, 𝛼
(−1)𝑛
𝑛 + (−1)𝑛
c
Si 𝑎 < 1, 𝑢𝑛 ⟶ 1 ≠ 0 donc,
= (
(−1)𝑛
𝑢𝑛 diverge grossièrement.
Si 𝑎 = 0 alors, la série n’est pas définie car pour tout 𝑛 ∈ ℕ impair, 𝑛𝛼 + (−1)𝑛 = 0.
A 𝑛
) =
(−1)𝑛
𝑛𝛼
−
1
𝑛2𝛼
+ o
(
1
𝑛2𝛼
)
. Donc,
𝑛𝛼 1 + (−1)
SA
𝛼
(−1)𝑛
𝑛 + (−1) 𝑛
−
(−1)𝑛
𝑛 𝛼
= −
𝑛
1
2𝛼
+ o
𝑛𝛼
(
𝑛
1
2𝛼
)
1
∼ − 2𝛼 . Or, la série
∑
𝑛 (
∑ 1
𝑛2𝛼 )
est positive d’où,
∑ 1
La suite 𝛼 est décroissante de limite 0 donc, d’après le critère spécial des séries alternées,
et
𝑛2𝛼
sont
M la série
𝑛
∑ (−1)𝑛
𝑛𝛼
Or, pour 𝑛 > 0 : 𝛼
est convergente.
(−1)𝑛
− 𝛼
(
(−1)𝑛
− 𝛼
(−1)𝑛
)
=
(−1)𝑛
. Donc, les séries
∑
(
(−1)𝑛 (−1)𝑛
− 𝛼
)
2
Exercice no 2 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . /2,0 pts
𝑥2
1. Posons : 𝑓 (𝑥) = . La fonction 𝑓 est définie et continue sur [0, +∞[. Or, 𝑥2 ⩽ 𝑥2 + 1
(1 + 𝑥2 )2
∞ ∞
𝑥2 𝑥2
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1 𝑑𝑥
donc, pour 𝑥 positif : |𝑓 (𝑥)| ⩽ 2 2 = 4 = 2 . converge donc, 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥 converge.
(𝑥 ) 𝑥 𝑥 ∫0 𝑥2 ∫0
∞
𝜋
En posant 𝑥 = tan(𝜃), on trouve que : 𝑓 (𝑥)𝑑𝑥 = .
∫0 4
1 −2𝑥 1 1 4𝑥
2. On remarque que : 4 = 2 + + . Posonc : 𝑓 (𝑥) = 4 . La fonction 𝑓 est
𝑥 −1 𝑥 +1 𝑥−1 𝑥+1 𝑥 −1
définie et continue sur ]1, +∞[ donc sur [2, +∞[.
On a : 4
𝑥4
𝑥 −1
= 1+ 4
1
𝑥 −1
. Pour, 𝑥 ⩾ 2 on a : 𝑥4 ⩾ 24 = 16 ce qui implique que : 𝑥4 − 1 ⩾ 15
| 4𝑥 | SA
𝑥4
N
1 1 16 4
i.e 4 ⩽ donc, 4 ⩽ . Ainsi, || 4 | = 4𝑥 = 4𝑥 𝑥 ⩽
32 1
.
|
𝑥 − 1 15 𝑥 − 1 15 |𝑥 − 1| 𝑥 − 1 4 𝑥 𝑥 − 1 15 𝑥3
4 4
Or,
𝑑𝑥
∫1 𝑥3
∞
converge donc,
∫2
𝑓 (𝑥)𝑑𝑥 converge.
∞
E
On trouve que :
∞
∫2
𝑓 (𝑥)𝑑𝑥 = ln .
5
3
* M
y *
Exercice no 3 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . /3,0 pts
|
e
| 1
| 𝛼1
m 1 … … 1 |
𝛼𝑛 |
|
a
|
d
𝑉 (𝛼1 , ..., 𝛼𝑛 ) = || 𝛼12
| ⋮
𝛼2
𝛼22
⋮
… …
… …
|
𝛼𝑛2 ||
⋮ ||
Ac |
|𝛼 𝑛−1 𝛼 𝑛−1
| 1 2
… … 𝛼𝑛 ||
2. On pose : 𝑃 (𝑥) = 𝑉 (𝛼1 , 𝛼2 , ..., 𝛼𝑛−1 , 𝑥). Ainsi, si on développe ce déterminant par rapport à la
SA
dernière colonne, on trouve que 𝑃 est un polynome de degré au plus 𝑛 − 1, et de coefficient devant
𝑥𝑛−1 égal à 𝑉 (𝛼1 , ..., 𝛼𝑛−1 ).
3. On remarque que 𝛼1 , ..., 𝛼𝑛−1 sont 𝑛 − 1 racines distinctes de 𝑃 (puisque dans ce cas, le déterminant
N
comporte deux colonnes identiques). On en déduit donc, d’après la question précédente, que :
E
𝑉 (𝛼1 , 𝛼2 , ..., 𝛼𝑛−1 , 𝑥) = 𝑉 (𝛼1 , 𝛼2 , ..., 𝛼𝑛−1 )
∏
𝑛−1
(𝑥 − 𝛼𝑖 ).
M
𝑖=1
4. On évalue la formule précédente en 𝑥 = 𝛼𝑛 . En s’aidant des deux premières questions, on démontre
par récurrence que : 𝑉 (𝛼1 , 𝛼2 , ..., 𝛼𝑛−1 ).
( ) ∏
5. La matrice 𝛼𝑗𝑖−1 a pour déterminant 𝑉 (𝛼1 , ..., 𝛼𝑛 ) = (𝛼𝑗 − 𝛼𝑖 ). Donc, elle est inver-
1⩽𝑖,𝑗⩽𝑛
1⩽𝑖<𝑗⩽𝑛
∏
sible si, et seulement si, (𝛼𝑗 − 𝛼𝑖 ) ≠ 0 ; soit les 𝛼𝑖 sont deux à deux distincts.
1⩽𝑖<𝑗⩽𝑛
3
1. On définit une suite de fonctions 𝑓𝑛 ∶ [0, 1] ⟶ ℝ par 𝑓0 = 0 et, pour tout 𝑛 ∈ ℕ et pour tout
1( )
𝑥 ∈ 𝐼 = [0, 1] : 𝑓𝑛+1 (𝑥) = 𝑓𝑛 (𝑥) + 𝑥 − (𝑓𝑛 (𝑥)2 ) .
2
1
i. Soit 𝑥 ∈ 𝐼 et posons pour 𝑡 ∈ 𝐼, 𝜑(𝑡) = 𝑡 + (𝑥 − 𝑡) de sorte que 𝑓𝑛+1 (𝑥) = 𝜑(𝑓𝑛 (𝑥)) ; posons
2
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√
Et donc, par récurrence, on trouve que : 0 ⩽ 𝑥 − 𝑓𝑛 (𝑥) ⩽
2
(√
𝑥 − 𝑓0 (𝑥)
)
(
1−
√ )𝑛
𝑥
SA.
√
On en déduit que pour 𝑥 ∈ [0, 1] : 0 ⩽ 𝑥 − 𝑓𝑛 (𝑥) ⩽ 𝑔 𝑥 ⩽ 𝑔(𝑡𝑛 ) ⩽
2
E
2
N
iii. La fonction 𝑔 ∶ 𝑡 ⟼ 𝑡(1 − 𝑡∕2)𝑛 définie sur [0, 1] atteint son maximum en 𝑡𝑛 = 2∕(𝑛 + 1).
(√ )
. Ce qui
M
𝑛+1
prouve la convergence uniforme de la suite sur [0, 1].
∑
2. On considère la série de fonctions :
𝑛⩾1
𝑢𝑛 (𝑥), où 𝑢𝑛 (𝑥) ∶= (−1)𝑛 2
*
𝑛
𝑛
+
*
|𝑥|
.
∑
𝑛
y
i. Un raisonnement par récurrence permet de répondre à la question en posant : 𝐴𝑛 ∶=
de 𝑦
𝑦 + |𝑥|
√
(𝑥 fixé et 𝑦 ⩾ 0).
√
voit
E c 𝑛
a
La fonction 𝑔𝑥 est croissante entre 0 et |𝑥|, puis décroissante entre |𝑥| et l’infini. On
(√donc)que 𝑢𝑛 (𝑥) = (−1) 𝑔𝑥 (𝑛), où la suite (𝑔𝑛 (𝑛))𝑛 est décroissante
|𝑥| +1. Le théorème sur les suites alternées montre que
∑
à partir du rang 𝑛 =
𝑢𝑛 (𝑥) converge simplement.
A
Pour établir la convergence uniforme, on montre que le reste 𝑅𝑁 (𝑥) ∶=
∑
∞
(−1)𝑛
𝑛
SA tend uniformément vers la fonction nulle sur ℝ lorsque 𝑁 tend vers plus l’infini.
1
𝑛=𝑁 𝑛2 + |𝑥|
forme de la série
∑ 𝑥∈ℝ
𝑢𝑛 sur ℝ. Enfin, la série
ment : en fait, la série numérique
∑
∑ 𝑁
; ce qui entraine la convergence uni-
M
3. On considère la série de fonctions :
∑
𝑛⩾1
𝑓𝑛 où 𝑓𝑛 (𝑥) ∶=
𝑥
𝑛(1 + 𝑛2 𝑥)
, 𝑥 ⩾ 0.
1
i. On a : 𝑓𝑛′ (𝑥) = . La fonction 𝑓𝑛 est donc croissante sur ℝ+ , et son sup est sa
𝑛(1 + 𝑛2 𝑥)2
1 ∑
limite lorsque 𝑥 ⟶ ∞. On a : sup ||𝑓𝑛 (𝑥)|| = 3 . On voit que : 𝑓𝑛 est normalement
+
𝑥∈ℝ 𝑛
convergente sur ℝ+ . Chaque fonction 𝑓𝑛 étant continue, la somme somme 𝑆 est définie et
continue sur ℝ+ .
4
1 1 ∑ ′
ii. Soit 𝑎 > 0, pour tout 𝑥 ⩾ 𝑎, ||𝑓𝑛′ (𝑥)|| ⩽ 2 5 . 𝑓𝑛 est normalement convergente sur tout
𝑎 𝑛
intervalle de la forme [𝑎, ∞[. Le théorème sur les séries de fonctions continument dérivables
∑∞
montre que la somme 𝑆 est continument dérivable sur ℝ+ et que : 𝑆 ′ (𝑥) = 𝑓𝑛′ (𝑥).
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𝑛=1
𝑆(𝑥) − 𝑆(0)1 ∑
∞
𝑑𝑡 1 𝑑𝑢
∞ ∞
Dérivabilité de 𝑆 en 0 : = ⩾ =
𝑥𝑛(1 + 𝑛 2 𝑥) ∫1 𝑡(1 + 𝑡2 𝑥) 2 ∫𝑥 𝑢(1 + 𝑢)
𝑛=1
∞
𝑑𝑢 𝑥
où l’on a effectué le changement de variable 𝑢 = 𝑡2 𝑥. Or, = − ln ⟶∞
∫𝑥 𝑢(1 + 𝑢) 1+𝑥
lorsque 𝑥 tend vers 0+ . On en déduit donc que la somme 𝑆 n’est pas dérivable en zéro à
droite.
1∑ 1
∞
𝑥→∞
∑∞
𝑛=1
𝑥
2
𝑛(1 + 𝑛 𝑥)
=
∑∞
𝑛=1
1
𝑛 3
. En effet,
∑∞
𝑛=1
𝑥
𝑛(1 + 𝑛2 𝑥)
− 𝜁 (3) =
SA
−
𝑥 𝑛=1 𝑛5 + 𝑛3
𝑥
.
Cette dernière série est positive, convergente et de somme majorée par 𝜁 (5). Ceci prouve que
E N
la limite !
* M
Exercice no 5 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . /5,5 pts
y *
Pour tout 𝑛 ∈ ℕ, on pose 𝐸 = ℝ𝑛 [𝑋] l’ensemble des polynomes de degré inférieur ou égal à 𝑛. On
considère l’application qui à tout polynome 𝑃 de 𝐸 = ℝ𝑛 [𝑋] associe le polynome 𝑓 (𝑃 ) = 𝑃 ′′ − 4𝑋𝑃 ′ .
1. La linéarité vient de la linéarité de la dérivation et 𝑑 o 𝑓 (𝑃 ) ⩽ 𝑑 o 𝑃 .
m
2. Pour 𝑘 = 0, ..., 𝑛 : 𝑓 (𝑋 𝑘 ) = 𝑘(𝑘 − 1)𝑋 𝑘−2 − 4𝑘𝑋 𝑘 . Donc, 𝑓 (1) = 0 et 𝑓 (𝑋) = −4𝑋.
e
⎛0 0 2
⎜0 −4 0
0 … …
6 ⋱
⎜⋮ 0 −8 0 ⋱ ⋱
0 ⎞
⋮ ⎟
⋮ ⎟⎟
a d
⎜
𝐴𝑛 = ⎜⋮ ⋮
⎜⋮ ⋮
⎜⋮ ⋮
⎜0 0
0 ⋱ ⋱ ⋱
Ac 0 ⎟ (matrice triangulaire)
⋮ ⋱ ⋱ ⋱ 𝑛(𝑛 − 1)⎟
⋮ ⋱ ⋱ 0 ⎟
⎝ 0 … … 0 −4𝑛 ⎟⎠
3.
4. SA
𝑓 a (𝑛 + 1) valeurs propres distinctes 𝜆𝑘 = −4𝑘 pour 𝑘 = 0, ..., 𝑛.
Comparer les coefficients dominants de 𝑓 (𝑃 ) et de 𝜆𝑃 .
5.
6.
7. EN
Utiliser la dimension du sous-espace propre associé à 𝜆 = −4𝑛.
𝐻0 = 1 et 𝐻1 = 𝑋.
En dérivant la relation : 𝑓 (𝐻𝑛 ) = −4𝑛𝐻𝑛 , on la compare aisément à 𝑓 (𝐻𝑛′ ).