Rapport Final Cherrabi (À Imprimer)
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réservoir cylindrique
2. Revêtements extérieurs
Les réservoirs d’eau portable posés sur le sol ou surélevés sont directement soumis aux
influences atmosphériques, principalement à des élévations de température en été et au
risque de gel en hiver. D’où la nécessité d’un isolement thermique.
4. Aménagements divers en couverture
II. Calcul analytique du réservoir
L’ouvrage étudié dans ce rapport est un réservoir cylindrique d’eau potable semi enterré de
capacité 4020 m3.
La coupole sphérique :
Il s’agit d’une calotte sphérique de de flèche 𝐟 = 𝟏, 𝟕𝐦 de rayon interne 𝒓𝒊 = 𝟖 𝒎 et
d’épaisseur
𝒆𝒄 = 𝟎, 𝟐𝟎 𝒎.
Le lanterneau :
Il s’agit d’une ouverture de rayon 𝒓𝒍 = 𝟎, 𝟔𝟎 𝒎 pratiquée au centre de la coupole et
entourée par des parois d’épaisseur 𝒆𝒍 = 𝟎, 𝟐𝟎 𝒎 et d’hauteur 𝒉𝒍 = 𝟎, 𝟕𝟎 𝒎.
La cuve cylindrique :
Elle est d’une hauteur 𝒉𝒄𝒚𝒍 = 𝟐𝟎 𝒎 avec un rayon interne 𝒓𝒊 = 𝟖 𝒎, l’épaisseur de la paroi
est
𝒆𝒄𝒚𝒍 = 𝟎, 𝟑𝟎 𝒎.
Radier circulaire :
Il s’agit d’une plaque circulaire d’épaisseur 𝒆𝒓 = 𝟎, 𝟕𝟎 𝒎 et d’un rayon 𝒓𝒓 = 𝟖, 𝟑𝟎 𝒎.
Le schéma suivant résume les caractéristiques géométriques du réservoir :
2. Etude de la coupole :
𝑃1 = 0,3 𝑡
Le voile cylindrique qui qui supporte la partie circulaire a un poids :
𝑃2 = 1,54 𝑡
Le poids total du lanterneau est donc :
𝑃 = 𝑃1 + 𝑃2 = 1,84 𝑡
Donc la charge permanente par ml de contour est :
𝑃 1,84
𝑝𝑙 = = = 0,49 𝑡/𝑚𝑙
2. 𝜋. 𝑟𝑙 2 × 𝜋 × 0,6
Charge d’exploitation :
On admet une surcharge de 𝜸𝒆𝒙𝒑 = 𝟏𝟎𝟎 𝒌𝒈/𝒎² sur la couverture du réservoir, on a alors
une surcharge linéaire sur le contour de l’ouverture :
𝑃 = 𝑃1 + 𝑃2 + 𝑃3 = 50,93 𝑡
La charge permanente sur la coupole par conséquent est :
𝑃 50,93
𝑝𝑐 = = = 0,57 𝑡/𝑚²
𝑆1 − 𝑆2 90,48 − 1,13
Charge d’exploitation :
On a :
𝑞𝑐 = 0,1 𝑡/𝑚²
2.2 - Détermination des sollicitations et de la déformée
La calotte sphérique est simplement appuyée sur le cylindre (appui glissant), nous allons se
placer dans la théorie membranaire pour la détermination des efforts internes de la coupole.
Caractéristiques de la calotte :
Nous avons :
8,1
(𝑅 − 1,8)2 + 8,152 = 𝑅² et tan 𝜑0 = 𝑅−1,8
Donc :
𝑅 = 19,35 𝑚 et 𝜑0 = 25°
Efforts membranaires :
Nous avons :
𝜑
1
𝑁𝜑 = − [∫ 𝑟𝜃 𝑟𝜑 𝑠𝑖𝑛𝜑 (−𝑝𝑧 𝑐𝑜𝑠𝜑 + 𝑝𝑥 𝑠𝑖𝑛𝜑)𝑑𝜑 + 𝑃 𝑅 𝑠𝑖𝑛𝜑0 ]
𝑟𝜃 𝑠𝑖𝑛²𝜑 𝜑0
Et : 𝑝𝑥 = 𝑝 𝑠𝑖𝑛𝜑 et 𝑝𝑧 = − 𝑝 𝑐𝑜𝑠𝜑
Après des petites manipulations on trouve :
𝑹. 𝒑 𝒔𝒊𝒏𝝋𝟎
𝑵𝝋 = − (𝒄𝒐𝒔𝝋 − 𝒄𝒐𝒔𝝋 𝟎 ) − 𝑷
𝒔𝒊𝒏𝟐 𝝋 𝒔𝒊𝒏𝟐 𝝋
Et on a :
𝑁𝜑
𝑁𝜃 = −𝑟𝜃 (𝑝𝑧 − )
𝑟𝜑
Ou encore :
𝒄𝒐𝒔𝝋 − 𝒄𝒐𝒔𝝋𝟎 𝒔𝒊𝒏𝝋𝟎
𝑵𝜽 = 𝑹. 𝒑 ( − 𝒄𝒐𝒔𝝋) + 𝑷
𝒔𝒊𝒏²𝝋 𝒔𝒊𝒏𝟐 𝝋
Les déplacements relatifs sont ensuite déterminés selon les formules suivantes :
𝑹 𝒔𝒊𝒏𝝋
Le déplacement horizontal est : 𝑼= (𝑵𝜽 − 𝒗𝑵𝝋 )
𝑬 𝒆𝒄
𝟏 𝝏
La rotation 𝛽 du méridien est : 𝜷 = 𝑬 𝒆 [𝝏𝝋 (𝑵𝜽 − 𝒗𝑵𝝋 ) − (𝟏 + 𝒗)𝒄𝒐𝒕𝝋(𝑵𝝋 − 𝑵𝜽 )]
𝒄
Application numérique :
𝑅 = 19,35 𝑚, 𝜑0 = 3,55°, 𝑝 = 𝑝𝑐 + 𝑞𝑐 = 0,67 𝑡/𝑚², 𝐸 = 33000 𝑀𝑝𝑎, 𝑣 = 0,2
𝑃 = 𝑝𝑙 + 𝑞𝑙 = 0,52 𝑡/𝑚
𝜑 = 25°
19,35 × 0,67 sin(3,55)
𝑵𝝋 = − (cos(25) − cos(3,55)) − 0,52 = −𝟕, 𝟎𝟐 𝒕/𝒎
𝑠𝑖𝑛 (25)
2 𝑠𝑖𝑛2 (25)
cos(25) − cos(3,55) sin(3,55)
𝑵𝜽 = 19,35 × 0,67 ( − cos(25)) + 0,52 = −𝟒, 𝟕𝟐 𝒕/𝒎
𝑠𝑖𝑛²(25) 𝑠𝑖𝑛2 (25)
Et on a :
19,35 × sin(25)
𝑼= (−47,2 + 0,2 × 70,2) × 10−3 = −𝟒, 𝟏𝟏 × 𝟏𝟎−𝟓 𝒎
33000 × 0,2
1 𝜕
𝜷= [ | (𝑁 − 𝑣𝑁𝜑 ) − (1 + 𝑣)𝑐𝑜𝑡𝜑0 (𝑁𝜑 − 𝑁𝜃 )] = 𝟏, 𝟕𝟓 × 𝟏𝟎−𝟒 𝒓𝒂𝒅
𝐸 𝑒𝑐 𝜕𝜑 𝜑 𝜃
𝑎 = 8,15 𝑚
4 1
𝑐=√ √𝑎. 𝑒𝑐𝑦𝑙 = 1,200
3(1 − 𝑣 2 )
Et :
𝐸. 𝑒𝑐𝑦𝑙 3
𝐷= = 77,34 𝑡. 𝑚
12(1 − 𝑣 2 )
𝑃 61,82×103
- Charge de la coupole : 𝑁𝑐 = − 2𝜋𝑎 = − = −1207,23 𝑘𝑔/𝑚𝑙
2𝜋×8,15
- Charge des parois : 𝑁𝑝 = −2500 × 0.3 × 𝑥 = −750 𝑥
𝑥 𝑦
Posons : 𝜉= et 𝜂=
𝑐 𝑐
Charge horizontale 𝑝 :
𝑘 = 0,45
P = 0,45 × (−28260 + 2160𝜉) = −12717 + 972𝜉
On a donc : { 𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒𝑠
13,083 ≤ 𝜉 ≤ 16,667
On désignera par :
𝑤: 𝑑é𝑝𝑙𝑎𝑐𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑟𝑎𝑑𝑖𝑎𝑙𝑒
𝜑: 𝑎𝑛𝑔𝑙𝑒 𝑑𝑒 𝑟𝑜𝑡𝑎𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑟𝑎𝑑𝑖𝑎𝑙𝑒
𝑀𝑥 : 𝑚𝑜𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑓𝑙é𝑐ℎ𝑖𝑠𝑠𝑎𝑛𝑡
𝑇𝑥 : 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑡𝑟𝑎𝑛𝑐ℎ𝑎𝑛𝑡 (𝑟𝑎𝑑𝑖𝑎𝑙)
𝑁𝜓 : 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑜𝑟𝑡ℎ𝑜𝑟𝑎𝑑𝑖𝑎𝑙
𝑁𝑥 : 𝑒𝑓𝑓𝑜𝑟𝑡 𝑙𝑜𝑛𝑔𝑖𝑡𝑢𝑑𝑖𝑛𝑎𝑙
La résolution du problème revient à trouver les constantes A, B, U et V vérifiant les égalités
suivantes :
𝐶4 𝜈
𝐷𝑤
̅= ( 𝑝(𝑥) + 𝑎 𝑁𝑥 ) (1)
4
𝐶 2 𝑀𝑥 = 𝐶 2 ̅̅̅̅
𝑀𝑥 − 2 ( 𝐴 𝑓2 (𝜉) − 𝐵 𝑓1 (𝜉) + 𝑈 𝑓2 (𝜂) − 𝑉 𝑓1 (𝜂)) (4)
𝑀𝜓 = 𝑣𝑀𝑥 (7)
Avec :
𝐶𝐷𝜑̅ = 𝐷̇𝑤
̅
𝐶 2 ̅̅̅̅ ̈̅
𝑀𝑥 = −𝐷𝑤
𝐶 3 𝑇̅𝑥 = −𝐷𝑤
⃛̅
𝐶 3 ̅̅̅̅
𝑁𝜓 = −𝑝(𝑥)a𝐶 3
Et :
𝑓1 (𝑥) = 𝑒 −𝑥 cos 𝑥
𝑓2 (𝑥) = 𝑒 −𝑥 sin 𝑥
𝑓3 (𝑥) = 𝑓1 (𝑥) + 𝑓2 (𝑥)
𝑓4 (𝑥) = 𝑓1 (𝑥) − 𝑓2 (𝑥)
Et donc : 𝐷̇𝑤
̅ = 𝐶𝐷𝜑̅ = −633,53 (9)
⃛𝑤
𝐷 ̅ = 𝐷̈𝑤
̅ = 0 ⟹ ̅̅̅̅
𝑀𝑥 = 𝑇̅𝑥 = 0 (10)
Et : 𝐶 3 ̅̅̅̅
𝑁𝜓 = 16899,84 𝜉 (11)
𝑤=𝜑=0
Pour 𝝃 = 𝟎 :
On a :
𝑀𝑥 = 𝑇𝑥 = 0
Dans la zone 𝑥 ≤ 5𝑐 = 6 𝑚 les sollicitations sont fonction seulement de A et B donc d’après
(4), (5) et (20) on a:
𝐴=𝐵=0
Pour 𝜼 = 𝟎 :
On a :
𝑤=𝜑=0
Dans la zone 𝑦 ≤ 5𝑐 = 6 𝑚 les sollicitations sont fonction seulement de U et V donc d’après
(2), (3), (18) et (19) on a:
𝑈=0
{
𝑉 = 503,88
En remplaçant ces valeurs on trouve :
−85,24 + 6,15 𝜉 + 6,15 𝑓2 (𝜂) 13,083 ≤ 𝜉 ≤ 16,667
𝑤={ (22)
6,15 𝑓2 (𝜂) 0 ≤ 𝜉 ≤ 13,083
5,43 (1 − 𝑓4 (𝜂)) 13,083 ≤ 𝜉 ≤ 16,667
𝜑={ (23)
5,43 𝑓4 (𝜂) 0 ≤ 𝜉 ≤ 13,083
𝑀𝑥 = −699,83 𝑓1 (𝜂) (24)
𝑇𝑥 = 583,19 𝑓3 (𝜂) (25)
53728,79 − 4106,62 𝜉 − 7921,72 𝑓2 (𝜂) 13,083 ≤ 𝜉 ≤ 16,667
𝑁𝜓 = { (26)
−7921,72 𝑓2 (𝜂) 0 ≤ 𝜉 ≤ 13,083
𝑀𝜓 = −139,97 𝑓1 (𝜂) (27)
Moment 𝑴𝒙 :
L’effort tranchant par mètre linéaire à la base du cylindre est : 𝑇𝑥0 = 24,33 𝑡
Effort orthoradial 𝑁𝜓 :
L’effort ortho radial maximal par mètre linéaire est atteint en 𝑦 = 3,37 𝑚 et a pour valeur :
𝑁𝜓 𝑚𝑎𝑥 = 130,86 𝑡
3.3 - Présentation du principe de ferraillage
Les parois sont décomposées en des douves et des cerces de 1m de largeur. Les douves sont
des bandes coupées sur toute la hauteur de la paroi
et les cerces sont des bandes coupées sur la
révolution de la paroi cylindrique.
Les douves sont composées d’armatures disposées
suivant la hauteur. On met en moins deux couches
sur l’épaisseur de la paroi.
Les cerces sont composées d’armatures qui suivent la
forme du cylindre. On met en moins deux couches sur
l’épaisseur de la paroi.
La figure à coté illustre le ferraillage d’un réservoir au
niveau de la paroi et au niveau de la liaison
parois/radier.
Douves :
La section d’acier pour une douve de 1m de largeur et sur une tranche de hauteur [ℎ𝑖 , ℎ𝑖+1 ]
est donnée par :
𝑁𝜓
𝐴𝑠 =
𝜎̅𝑠
Avec :
𝑁𝜓 L’effort ortho radial maximale sur la tranche [ℎ𝑖 , ℎ𝑖+1 ]
Cerces :
La section d’acier pour une cerce de 1m de largeur et sur une tranche de hauteur [ℎ𝑖 , ℎ𝑖+1 ]
se détermine comme le calcul d’une poutre sollicité par le moment 𝑀𝑥 , on a alors :
𝑀𝑥
𝐴𝑠 =
𝑧. 𝜎̅𝑠
4. Etude du radier circulaire
Déplacement au centre
- Chargement sur le radier :
Pression de l’eau : 𝑃𝑒𝑎𝑢 = 257.22 𝑇/𝑚²
Pression de la paroi cylindrique + coupole (sur l’anneau [8 ; 8.3] du radier) :
²
𝐾 = 𝜋 × 𝑟𝑟𝑎𝑑𝑖𝑒𝑟 × 𝑘𝑠𝑜𝑙 = 𝜋 × 8.32 × 2000 = 432848.64 𝑇/𝑚
𝑃 = 257
On a la relation entre le chargement, les moments et les déformations
𝑑²𝑤 𝑀 𝑑²𝑀
= 𝑒𝑡 = −𝑞(𝑥)
𝑑𝑥² 𝐷 𝑑𝑥²
𝐸𝑡 3
Avec : 𝐷 = 12(1−𝜈2 )
d4 w q(x) (P + kw)
= − = −
dx 4 D D
d4 w
On obtient : D dx4 + kw + P = 0
k
Soit : β4 = 4D
d4 w P
L’équation devient : + 4β4 w + D = 0
dx4
w = Aθ + B ζ
D’où le système suivant :
dw
= β(−Aφ + BΨ)
dx
d2 w k
M = EI 2
= 2 (Aζ − Bθ)
dx 2β
d3 w k
T = EI 3
= 2 (AΨ + Bφ)
dx 2β
d3 w
EI = 𝑇𝑜 = 24.33 𝑇 (𝑝𝑎𝑟 𝑚è𝑡𝑟𝑒 𝑙𝑖𝑛é𝑎𝑖𝑟𝑒)
dx3
β = 1.024
Donc :
k
𝑇𝑜 = (AΨ(8β) + Bφ(8β)) = 206398.32 × (−3.53 ∗ 10−4 A + 1.69 ∗ 10−4 B)
2β2
24.33 = −72.86 𝐴 + 34.88 𝐵
k
𝑀𝑒 = 2
(Aζ(8β) − Bθ(8β)) = 206398.32 × (2.61 ∗ 10−4 𝐴 + 9.18 ∗ 10−5 𝐵)
2β
Ainsi : 𝑤 = −0.267 𝑚𝑚
Sachant que :
3+𝜈
𝑀[0,𝑟] = × 𝑃[0,𝑟] 𝑟 2
16
3+𝜈
𝑀[𝑟,𝑟+𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 ] = × 𝑃[𝑟,𝑟+𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 ] × [(𝑟 + 𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 )2 − 𝑟 2 ]
16
3+𝜈
𝑀𝑠𝑜𝑙 = × −𝑘 × 𝑤 × (𝑟 + 𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 )2
16
On obtient :
3+𝜈
𝑀𝑚𝑎𝑥 = × [𝑃[𝑟,𝑟+𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 ] [(𝑟 + 𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 )2 − 𝑟 2 ] + 𝑃[0,𝑟] 𝑟 2 − 𝑘 × 𝑤 × (𝑟 + 𝑒𝑝𝑎𝑟𝑜𝑖𝑠 )2 ]
16
Pour les conditions d’appui, on considère des appuis rotule à la base de la couverture (la
poutre ceinture)
𝑡
Saisie de l’appui élastique, avec 𝑘 = 2000 𝑚3 → 𝐾𝑧 = 432848.6358 𝑡/𝑚
Chargement :
Sur la surface latérale :
chargement hydrostatique de l’eau avec : ρeau = 1t/m3
poussées des terres avec :
- Le poids volumique de la terre : 𝛾𝑡𝑒𝑟𝑟𝑒 = 18 𝐾𝑁/𝑚3
- Le coefficient de poussée est : 𝐾0 = 1 − sin(𝜑) = 0.5
𝑡
Alors : 𝜎𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 = 𝛾𝑠𝑎𝑏𝑙𝑒 × 𝐾0 × 𝑧 = 0,9𝑧 ( 𝑚2 )
A.N : R = 19,67m
A.N : S = 210,1 m²
A.N : V = 42,02 m3
Déplacements :
On pourra vérifier le résultat en visualisant le déplacement donné par ROBOT si on met un appui
encastré au lieu d’un appui élastique de coefficient k
Moment 𝑴𝒁 :
L’effort tranchant dans une tranchée suivant l’axe vertical est maximal au voisinage de la base, ce qui
est conforme aux résultats de la RDM pour une poutre console.
Effort normal 𝑵𝒁 :
On constate que l’effort normal est
constant tout au long de la tranchée
suivant l’axe vertical