La Représentation Géométrique D'un Nombre Complexe

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Résumé cours Mathématiques (Bac Tech – Sc) 2013/2014

LES NOMBRES COMPLEXES

L’écriture 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 est appelée écriture algébrique ou cartésienne du nombre complexe z avec 𝑎


la partie réelle de z ⟹ 𝑎 = Re(z) et 𝑏 la partie imaginaire de z ⟹ 𝑏 = Im(z).

La représentation géométrique d’un nombre complexe :

Pour tout 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 on lui associe le point M(𝑎 , 𝑏)

On dit que : M l’image de ⟹ M(z)

z l’affixe de M ⟹ z = Aff(M)

L’affixe d’un vecteur : Aff 𝐴𝐵 = 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 ; Aff 𝛼𝑢 + 𝛽𝑣 = 𝛼 Aff 𝑢 + 𝛽 Aff 𝑣

Conjugue d’un nombre complexe :

Si 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 alors 𝑧 = 𝑥 − 𝑖𝑦

𝑧 + 𝑧 = 2Re 𝑧 = 2𝑥 𝑧 − 𝑧 = 2Im 𝑧 = 2𝑖𝑦 𝑧. 𝑧 = 𝑥 2 + 𝑦 2


𝑧=𝑧 𝑧 + 𝑧′ = 𝑧 + 𝑧′ 𝑧. 𝑧′ = 𝑧. 𝑧′
1 1 𝑧 𝑧
= = 𝑧𝑛 = 𝑧 𝑛 𝑛 ∈ ℤ
𝑧 𝑧 𝑧′ 𝑧′
 z est réel ⇔ 𝑦 = 0 ⇔ 𝑧 = 𝑧 ⇔ M ∈ (OI) ⇔ arg 𝑧 = 𝑘𝜋 ou 𝑘 = 0
𝜋
 z est img pur ⇔ 𝑥 = 0 ⇔ 𝑧 = −𝑧 ⇔ M ∈ OJ ⇔ arg 𝑧 = 2 + 𝑘𝜋 ou 𝑘 ∈ ℤ

Module d’un nombre complexe :

Pour tout 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 ⟹ 𝑧 = 𝑎2 + 𝑏 2 = 𝑧 𝑧 = OM

Si 𝑧 = 𝑎 ⟹ 𝑧 = 𝑎

Si 𝑧 = 𝑖𝑏 ⟹ 𝑧 = 𝑏
𝑧 𝑧 1 1
⟹ 𝑧 × 𝑧′ = 𝑧 × 𝑧′ ; = ; = ; 𝑧𝑛 = 𝑧 𝑛
𝑧′ 𝑧′ 𝑧 𝑧

⟹ 𝑧 = 𝑧 = −𝑧 = 𝑖𝑧 = −𝑖𝑧 ; 1 = −1 = 𝑖 = −𝑖 = 1 ; 2 = −2 = 2𝑖 = −2𝑖 = 2

Résultats utiles :
2 2
 1+𝑖 = 2𝑖 ; 1−𝑖 = −2𝑖 ; 1+𝑖 1−𝑖 =2
 AB = 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 = … … . = 𝑎 + 𝑖𝑏 = 𝑎2 + 𝑏 2 = réel > 0
𝑧 𝐴 +𝑧 𝐵
 Si I milieu de [AB] ⇔ 𝑧I =
2
 𝑧𝑀 − 𝑧𝐴 = 𝑧𝑀 − 𝑧𝐵 sig AM = BM sig M ∈ Med[AB]
 𝑧𝑀 − 𝑧𝐴 = 𝑟 sig AM = 𝑟 sig M ∈ 𝒞(A, 𝑟)
 L’ensemble des points M(𝑥, 𝑦) vérifiant 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐 = 0 est un cercle si et
𝑎 2 +𝑏 2 𝑎 𝑏
seulement si le réel 𝑕 = − 𝑐 > 0, dans ce cas le centre du cercle est I − 2 ; − 2 et le
4
rayon 𝑟 = 𝑕

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Soit 𝑤 et 𝑤1 deux vecteurs tels que 𝑤1 ≠ 0


𝑧
 Les vecteurs 𝑤 et 𝑤1 sont colinéaires, si et seulement si, 𝑧 𝑤 est réel.
𝑤1
𝑧
 Les vecteurs 𝑤 et 𝑤1 sont orthogonaux, si et seulement si, 𝑧 𝑤 est imaginaire.
𝑤1

Nature du triangle ABC

Calculer la distance AB, AC et BC

B 2 cotés égaux Pythagore 3 cotés égaux

BC2 = AB2 + AC2

A C

ABC est isocèle et rectangle ou équilatéral

Nature du quadrilatère ABCD

 Parallélogramme : ⋕ on doit montrer que Aff 𝐴𝐵 = Aff 𝐷𝐶


 Carrée : 3 conditions

i) parallélogramme :
A B
ii) 2 cotés adjacents égaux ⟶ AB = BC

iii) angle droit (Pythagore) ⟶ AC2 = AB2 + BC2 D C

𝑜ù (AB. BC = 0)

 Losange : 2 conditions
D B
ii) parallélogramme
ii) 2 cotés adjacents égaux ⟶ AB = BC
C

 Rectangle : 2 conditions A B
ii) parallélogramme
ii) angle droit (Pythagore) ⟶ AC2 = AB2 + BC2
D C

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Forme trigonométrique, forme exponentielle d’un nombre complexe :

z est un nombre complexe non nul de forme algébrique 𝑥 + 𝑖𝑦 alors :

𝑟= 𝑧 = 𝑥2 + 𝑦2
𝑧 = 𝑟(cos 𝜃 + 𝑖 sin 𝜃) avec 𝑥 𝑦
𝜃 tel que: cos 𝜃 = 𝑟 et sin 𝜃 = 𝑟

 L’écriture 𝑧 = 𝑟(cos 𝜃 + 𝑖 sin 𝜃) s’appelle forme trigonométrique


 L’écriture 𝑧 = 𝑟 𝑒 𝑖𝜃 s’appelle forme exponentielle
 L’écriture 𝑧 = 𝑟 , 𝜃 s’appelle forme polaire
𝜋
2𝜋
z
2 𝜋
3 𝜋
3𝜋 3
4
4
5𝜋 𝜋
a ib a  ib
6 6
𝜋 0 + - + - 𝑎 = ±𝑏 si non

𝜋 𝜋 𝜋 𝜋 𝜋
𝑎, 0 𝑎 ,𝜋 𝑏, 2 𝑏 ,−2 𝑟, 4 𝑟, 6 ou 3

 
i i
Cas particuliers : 1  ei 0 ; ie 2
; 1  ei ; i  e 2

ei 1
Opérations : ei .ei '  ei (  ') ; (ei ) n  ein ;  ei (  ') ;  ei
ei ' ei

rei r 1 1
⟹ rei .r ' ei '  rr ' ei (  ') ; (rei ) n  r nein ; i '
 ei (  ') ; i
 e i
r 'e r' re r

 
i (  ) i (  )
i  i i (  )
Si z  re alors z  re ;  z  re ; iz  re 2
; iz  re 2
; z n  r nein

Propriétés de l’argument :

 Pour tout nombre complexe non nul z et pour tout réel 𝛼 > 0 on a :
 arg( z )   arg( z )  2   arg( z )  arg( z )    2 

 arg( z )  arg( z )  2   arg(  z )  arg( z )    2 

 Soient z et z’ deux nombres complexes non nuls on a :


 arg( zz ')  arg( z )  arg( z ')  2   arg( z n )  n arg( z )  2  , n  IN

z 1
 arg( )  arg( z )  arg( z ')  2   arg( )   arg( z )  2 
z' z

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Angle orientés et nombres complexes :

Le plan P et rapporté au repère orthonormé direct (𝑜, 𝑢, 𝑣).

 Si A, B, C et D sont des points du plan deux à deux distincts, alors :

𝑧 𝐷 −𝑧 𝐶 𝑧𝐵
𝑢, 𝐴𝐵 ≡ 𝐴𝑟𝑔 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 2𝜋 ; 𝐴𝐵 , 𝐶𝐷 ≡ 𝐴𝑟𝑔 2𝜋 et 𝑂𝐴, 𝑂𝐵 ≡ 𝐴𝑟𝑔 2𝜋
𝑧 𝐵 −𝑧 𝐴 𝑧𝐴

 A, B et C sont alignés si et seulement si


𝑧 𝐶 −𝑧 𝐴 𝑧 𝐶 −𝑧 𝐴
𝐴𝐵 , 𝐴𝐶 ≡ 𝐴𝑟𝑔 = 𝑘𝜋 , 𝑘 ∈ ℤ ou ∈ 𝐼𝑅
𝑧 𝐵 −𝑧 𝐴 𝑧 𝐵 −𝑧 𝐴

 Les droites (AB) et (AC) sont perpendiculaire si et seulement si :


𝑧 𝐶 −𝑧 𝐴 𝜋 𝑧 −𝑧
𝐴𝐵 , 𝐴𝐶 ≡ 𝐴𝑟𝑔 = 2 + 𝑘𝜋 , 𝑘 ∈ ℤ ou 𝑧 𝐶 −𝑧𝐴 ∈ 𝑖 𝐼𝑅
𝑧 𝐵 −𝑧 𝐴 𝐵 𝐴

Formule de Moivre :
𝑛
Pour tout réel 𝜃 et 𝑛 ∈ 𝐼𝑁 on a : cos 𝜃 + 𝑖 sin 𝜃 = cos 𝑛𝜃 + 𝑖 sin(𝑛𝜃)

Formule d’Euler :

𝑒 𝑖𝜃 +𝑒 −𝑖𝜃 𝑒 𝑖𝜃 −𝑒 −𝑖𝜃
Pour tout réel 𝜃 on a : cos 𝜃 = et sin 𝜃 =
2 2𝑖

𝛼 +𝛽 𝛼 −𝛽 𝛼 −𝛽 𝛼 +𝛽 𝛼 −𝛽 𝛼 −𝛽
𝑒 𝑖𝛼 + 𝑒 𝑖𝛽 = 𝑒 𝑖 2 𝑒𝑖 2 + 𝑒 −𝑖 2 𝑒 𝑖𝛼 − 𝑒 𝑖𝛽 = 𝑒 𝑖 2 𝑒𝑖 2 − 𝑒 −𝑖 2

𝛼 +𝛽 𝛼 +𝛽 𝜋
𝛼−𝛽 𝛼 −𝛽
= 𝑒𝑖 2 . 2 𝑐𝑜𝑠 = 𝑒𝑖 2 . 2𝑖 𝑠𝑖𝑛 or 𝑖 = 𝑒 𝑖 2
2 2
𝛼 +𝛽 𝛼 +𝛽 𝜋
𝛼−𝛽 𝑖 𝛼−𝛽 𝑖
= 2 𝑐𝑜𝑠 .𝑒 2 = 2 𝑠𝑖𝑛 .𝑒 2 . 𝑒𝑖 2
2 2
′ 𝛼−𝛽 𝛼−𝛽 𝛼 +𝛽 +𝜋
𝑜𝑛 𝑑𝑜𝑖𝑡 𝑠 𝑎𝑠𝑠𝑢𝑟𝑒 𝑞𝑢𝑒 𝑐𝑜𝑠 2
>0 = 2 𝑠𝑖𝑛 . 𝑒𝑖 2
2

Formules trigonométriques:

sin 2𝑥 = 2 sin 𝑥 cos(𝑥)

cos 2𝑥 = 𝑐𝑜𝑠 2 (𝑥) − 𝑠𝑖𝑛2 (𝑥)

cos 2𝑥 = 1 − 𝑠𝑖𝑛2 𝑥 − 𝑠𝑖𝑛2 (𝑥) cos 2𝑥 = 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 − 1 − 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥

cos 2𝑥 = 1 − 2 𝑠𝑖𝑛2 𝑥 cos 2𝑥 = 2𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 − 1

2 𝑠𝑖𝑛2 𝑥 = 1 − cos(2𝑥) 2 𝑐𝑜𝑠 2 𝑥 = 1 + cos(2𝑥)

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Résolution d’une équation de second degré :

Soit 𝐸 : 𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐 = 0 avec 𝑎 ∈ ℂ∗ , 𝑏 , 𝑐 ∈ ℂ
𝑐 𝑐
Si z’ = 1 est solution de (E), alors z’’= 𝑎 ; Si z’ = -1 est solution de (E), alors z’’= − 𝑎

 ∆= 𝑏 2 − 4𝑎𝑐
−𝑏− ∆ −𝑏+ ∆
 ∆> 0 𝑧′ = et 𝑧 ′′ =
2𝑎 2𝑎
′ ′′ −𝑏
 ∆= 0 𝑧 =𝑧 = 2𝑎
−𝑏−𝑖 ∆ −𝑏+𝑖 ∆
 ∆< 0 𝑧′ = et 𝑧 ′′ =
2𝑎 2𝑎
 ∆= 𝛼 + 𝑖𝛽 = (𝑥 + 𝑖𝑦)2 soit 𝛿 la racine carrée de ∆ : 𝛿 = 𝑥 + 𝑖𝑦
𝛼+𝑟 𝛽
avec 𝑥 = ; 𝑦 = 2𝑥 et 𝑟= 𝛼 2 + 𝛽2
2
−𝑏−𝛿 −𝑏+𝛿
⇒ 𝑧′ = et 𝑧 ′′ =
2𝑎 2𝑎

Si z1 et z2 sont les racines dans ℂ de l’équation 𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐 = 0 alors :


−𝑏 𝑐
𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐 = 𝑎 𝑧 − z1 z − z2 ; z1 + z2 = 𝑒𝑡 z1 . z2 = 𝑎
𝑎

Racine Nièmes d’un nombre complexe :

 𝑢 est un nombre complexe non nul. L’équation 𝑧 𝑛 = 𝑢, d’inconnu 𝑧, admet 𝑛 solutions dans ℂ
appelées racines nièmes de 𝑢.
 Si 𝑢 = 𝑟𝑒 𝑖𝜃 , alors les racines nièmes de 𝑢 sont de la forme :
𝜃 2𝑘𝜋
𝜃 2𝑘𝜋
𝑟 𝑒𝑖
𝑛 + 𝑛
𝑧𝑘 = 𝑛 𝑛 = 𝑟 ,𝑛 + avec 𝑘 ∈ 0,1, … … . . , 𝑛 − 1
𝑛
 𝑢 est un nombre complexe non nul de module 𝑟 et d’argument 𝜃. L’équation 𝑧 2 = 𝑢, admet,
𝜃 𝜃 𝜃
dans ℂ , deux solutions opposées : z1 = 𝑟 𝑒 𝑖 2 et z2 = − 𝑟 𝑒 𝑖 2 = 𝑟 𝑒 𝑖 2
+𝜋
.
Ces solutions sont appelées racines carrées du nombre complexe 𝑢 .

Racine Nièmes de l’unité :

 L’équation 𝑧 𝑛 = 1 admet ℂ 𝑛 solutions appelées racines nièmes de 1.


2𝑘𝜋
2𝑘𝜋
Elles sont de la forme 𝑧𝑘 = 𝑒 𝑖 𝑛 = 1, avec 𝑘 ∈ 0,1, … … . . , 𝑛 − 1
𝑛
2𝑖𝜋
1 3
 Les racines cubiques de 1 sont 1, j et j avec j = 𝑒 3 = −2 + 𝑖 2
2 2
On peut remarque que 𝑗 = j et que 1 + j + j = 1 + j + j = 0
 La somme de toutes les racines nièmes de 1est nulle.
 Les points images des racines nièmes de 1 sont les sommets d’un polygone régulier inscrit dans le
cercle trigonométrique.

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Résolution d’une équation de troisième degré

Soit p 𝑧 = 𝑧 3 + −2 3 + 2𝑖 𝑧 2 + 4 − 4𝑖 3 𝑧 + 8𝑖

1ére étape : Détermination de la 1ére solution 𝑧0

Dans cet exemple, l’équation p 𝑧 possède une solution imaginaire pure.

On pose 𝑧0 = 𝑖𝛼

𝑝(𝑧0 ) = 0 ⟺ (𝑖𝛼)3 + −2 3 + 2𝑖 (𝑖𝛼)2 + 4 − 4𝑖 3 𝑖𝛼 + 8𝑖 = 0

⟺ −𝑖𝛼 3 + −2 3 + 2𝑖 −𝛼 2 + 4𝑖𝛼 + 4 3𝛼 + 8𝑖 = 0
⟺ −𝑖𝛼 3 + 2 3 𝛼 𝑖2 − 2𝑖𝛼 2 + 4𝑖𝛼 + 4 3𝛼 + 8𝑖 = 0
⟺ 2 3 𝛼 2 + 4 3 𝛼 + 𝑖 −𝛼 3 − 2𝛼 2 + 4𝛼 + 8 = 0
⟺A +𝑖 B =0
𝐴=0 2 3 𝛼2 + 4 3 𝛼 = 0 𝛼 2 3𝛼+4 3 =0 𝛼 = 0 𝑜𝑢𝛼 = −2
⟺ 𝑒𝑡 ⟺ 𝑒𝑡 ⟺ 𝑒𝑡 ⟺ 𝑒𝑡
3 2 3 2 3 2
𝐵=0 −𝛼 − 2𝛼 + 4𝛼 + 8 = 0 −𝛼 − 2𝛼 + 4𝛼 + 8 = 0 −𝛼 − 2𝛼 + 4𝛼 + 8 = 0
𝛼 = 0 ne vérifie pas l’équation −𝛼 3 − 2𝛼 2 + 4𝛼 + 8 = 0
𝛼 = −2 vérifie cette dernière équation
D’où 𝛼 = −2 donc 𝑧0 = −2𝑖
2éme étape : Factorisation de p 𝑧 ⟹ p 𝑧 = 𝑧 − 𝑧0 (𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐)

p 𝑧 = 𝑧 + 2𝑖 𝑎𝑧 2 + 𝑏𝑧 + 𝑐 = 𝑎𝑧 3 + 𝑏𝑧 2 + 𝑐𝑧 + 2𝑖𝑎𝑧 2 + 2𝑖𝑏𝑧 + 2𝑖𝑐


= 𝑎𝑧 3 + 𝑏 + 2𝑖𝑎 𝑧 2 + 𝑐 + 2𝑖𝑏 𝑧 + 2𝑖𝑐
= 𝑧 3 + −2 3 + 2𝑖 𝑧 2 + 4 − 4𝑖 3 𝑧 + 8𝑖
𝑎=1 𝑎=1
𝑏 + 2𝑖𝑎 = −2 3 + 2𝑖 𝑏 = −2 3 + 2𝑖 − 2𝑖𝑎 = −2 3
Par identification : ⟺
𝑐 + 2𝑖𝑏 = 4 − 4𝑖 3 𝑐 = 4 − 4𝑖 3 − 2𝑖𝑏 = 4
2𝑖𝑐 = 8𝑖 𝑐=4
Donc p 𝑧 = 𝑧 + 2𝑖 (𝑧 2 − 2 3𝑧 + 4)
3éme étape : Résolution de p 𝑧 = 0

p 𝑧 =0 sig 𝑧 + 2𝑖 𝑧 2 − 2 3𝑧 + 4 = 0
sig 𝑧 + 2𝑖 = 0 𝑜𝑢 𝑧 2 − 2 3𝑧 + 4 = 0
2
sig 𝑧 = −2𝑖 𝑜𝑢 ∆= −2 3 − 4 . 4 = −4 < 0
2 3−𝑖 4 2 3+𝑖 4
sig 𝑧 = −2𝑖 𝑜𝑢 𝑧 ′ = 𝑜𝑢 𝑧′′ =
2 2

sig 𝑧 = −2𝑖 𝑜𝑢 𝑧 ′ = 3 − 𝑖 𝑜𝑢 𝑧′′ = 3 + 𝑖


𝑆ℂ = −2𝑖 ; 3−𝑖 ; 3+𝑖

Tel : 22 208 217 22

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