Cours TCI 2
Cours TCI 2
Cours TCI 2
C’est un moteur de la croissance : Il crée des emplois, C’est un moteur de la décroissance : Il crée des
réduit la pauvreté et ouvre des perspectives chômeurs, aggrave la pauvreté et ferme des perspectives
économiques pour les économies fortes économiques pour les économies fragiles
Pour développer le commerce international, il faut s’assurer de 4 conditions : la paix, la justice,
la disponibilité des fonds et la diffusion de doctrine libérale. Pour cela, le monde a réfléchi
d’instaurer des organismes spécifiques garantissant le respect de ces conditions
Signification Objectif
- Assurer et maintenir la paix et la sécurité mondiale
ONU Organisation des Nations Unies
- Favoriser la coopération économique et social
Organisation Mondiale du - Libéraliser les échanger
OMC
Commerce - Définir des règles du commerce international
FMI Fond Monétaire international - Réguler les désordres monétaires internationaux
Banque Internationale pour la - Aider l'Europe et le Japon dans leur reconstruction,
BIRD
Reconstruction et le Développement au lendemain de la Seconde Guerre mondiale.
Banque mondiale - Encourager la croissance économique des pays en
BM
( remplace la BIRD) voie de développement.
Chambre de Commerce - Promouvoir la liberté contractuelle face à
CCI
Internationale l’interventionnisme des Etats 5
Pour être plus compétitives, certains pays ont décidé de s’intégrer entre eux dans des
groupement économiques, des blocs commerciaux ou des accords interrégionaux comme
l’UE, l’ALENA, l’ASEAN,...). Ces formes d'intégration peuvent être classé en cinq degrés:
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Missions
Institutions Missions spécifiques
communes
Ministère du commerce extérieur • Exécuter la politique du gouvernement du commerce extérieur
Office des Changes • Sanctionner les infractions à la réglementation des changes
Agence Marocaine de Développement des • Mettre en œuvre la stratégie de l’État pour développer des
• Promouvoir
Investissements et des Exportations : AMDIE Investissements et des Exportations
du commerce
Conseil National du Commerce Extérieur : • Formuler des avis consultatifs sur tout ce qui se rapporte aux extérieur
CNCE commerce extérieur marocain
Association Marocaine Des Exportateurs : • Représenter et de défendre les intérêts communs de ses • Etablir les
ASMEX membres statistiques
relatives aux
• Émettre la monnaie, stabiliser le marché monétaire et traiter
Bank Al Maghrib : BAM échanges
les emprunts publics
extérieurs
Administration des Douanes et Impôts • Contrôle le commerce extérieur et recouvrir les droits de
Indirects : ADII douane
Société Marocaine d’Assurance a
• Assurer les risques liés aux’exportations
l'Exportation : SMAEX 8
L’environnement juridique des échanges internationaux se caractérise par
l’existence de plusieurs sources du droit :
• Les droits nationaux :
• La « civil law », loi produite par le législateur, écrite et supposée connue de tous
• La « common law », la source principale du droit est la jurisprudence.
• Le droit communautaire :
• Le droit « originaire » : les règles découlant directement des traités fondateurs ;
• Le droit « dérivé » : dérivé de traités fondateurs (produit par le parlement, le conseil et
la commission, et prend la forme de règlements, de décisions…)
• Les conventions internationales :
• Les conventions bilatérales : entre deux Etats, elles ne sont pas créatrices de droits
nouveaux, mais cherchent sur une base de réciprocité à prévenir les conflits de loi.
• Les conventions multilatérales : Les conventions visant à prévenir les conflits et à créer
un droit uniforme (convention de Vienne,)
• Les usages (professionnels) : des règles et des lois non écrites 9
• En 1980, l'ONU a élaboré un traité international proposant un droit international des contrats
de vente: c'est la convention de vienne; La Convention des Nations unies sur les contrats de
vente internationale de marchandises CVIM qui a été entré en vigueur en 1988.
• Le champ d’application de la Convention de Vienne
• Champ d’application géographique: La CVIM s'applique entre des parties ayant leur établissement dans des
Etats différents contractants ou non contractants (lorsque les règles du droit international privé mènent à
l'application de la loi d'un Etat contractant).
• Champ d’application juridique : La CVIM s'applique au contrats de vente des marchandises, a l'exception
de marchandises achetées pour un usage personnel, familial ou domestique ; aux enchères et sur saisie ou
de quelque autre manière par autorité de justice ; de valeurs mobilières, effets de commerce et monnaies ;
de navires, bateaux, aéroglisseurs et aéronefs et d’électricité
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• Le contrat de vente est une convention par laquelle l’une des parties (le vendeur) s’oblige à
livrer une chose et l’autre partie (l’acheteur) la payer.
Offre + Acceptation = Contrat
• Le contrat de vente peut être écrit ou verbal
• Le contrat de vente peut être justifié par n’importe quel document (facture, bon de livraison...)
• La formation du contrat de vente international passe par 3 étapes
• Les étapes précontractuelles : C’est la période qui précède la signature du contrat, elle entraîne l’échange
de propositions et de documents ( lettres d’intention, projet de contrat…). Il faudra s’interroger sur la valeur
juridique de ces écrits. ( Dans certains pays; le simple fait d’entreprendre des négociations, entraîne des
obligations juridiques)
• L’offre commerciale : c’est la proposition de contracter, elle doit être écrit. pour éviter toute ambiguïté
• L’acceptation de l’offre : c’est la réponse positive du destinataire de l’offre et se matérialise expressément
à travers la signature du contrat ou tacitement à travers l’acte d’achat ou parfois par le silence
• Les conditions de fonds pour la formation du contrat : L’autonomie de la volonté, la rencontre
des volontés, La cause et l’objet du contrat qui doivent être possibles et licites.
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• La balance de paiement : document comptable qui récapitule la totalité de transactions
économiques et financières intervenues au cours d'une période déterminée (l'année) entre
les résidents et les non résidents d'une économie.
• La balance des paiements comporte trois comptes :
• Compte de transactions courantes : la balance des transactions courantes ou balance
courante recense les échanges internationaux de biens et services (la balance commerciale),
ainsi que les revenus du travail et du capital et transferts courants.
• Compte de capital : le compte de capital recense les opérations d'achat ou de vente d'actifs
non financiers, comme les brevets, ainsi que des transferts de capital. Parmi les transferts en
capital figurent, par exemple, les remises de dette et les aides à l'investissement.
• Compte financier : la balance financière recense les flux financiers entre un pays et l'étranger,
sous forme d'investissement direct à l'étranger (IDE), investissement de portefeuille, produits
financiers dérivés, autres investissements, réserves de change et autres.
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Indicateur Interprétation
• SC < 0. Le SC de (pays) est déficitaire de (chiffre) en (année).
Solde commerciale SC
• SC > 0. Le SC de (pays) est excédentaire de (chiffre) en (année).
= Exportation – importation
• SC ≈ 0. Le SC de (pays) est équilibré (chiffre) en (année).
• Les exportation de (pays) couvrent les importation de (chiffre) en
Taux de couverture TC
(année). Le taux de couverture est ( favorable si TC > 100%),
= (Exportation / importation) x 100
(défavorable si TC < 100% ), (équilibré si TC ≈ 0%).
La consommation apparente CA • La consommation ou la demande de marché intérieur de (pays)
= Production + Importations - Exportations s’élève à (chiffre) en (année).
La Production Intérieure Brute PIB = ∑ VA
• La production intérieure de (pays) s’élève à (chiffre) en (année).
= Production Totale – Consommation Intermédiaire
• Les importations représentent (chiffre) de la consommation
Taux de Pénétration TE
intérieur en (année). Le taux de pénétration est ( forte si TP >
= (Importations / Consommation apparente ) x 100
66%), (faible si TP < 33 %), (moyen si 33% < TC < 66 %).
Indicateur Interprétation
• Les exportations représentent (chiffre) de la production intérieur en
Effort à l'exportation EX
(année). L’effort à l'exportation est ( forte si EX > 66%),
= (Exportations / Production) x 100
(faible si TP < 33 %), (moyen si 33% < TC < 66 %).
La réserve de change RE • RE < 0. Le RE de (pays) est déficitaire de (chiffre) en (année).
= Sorties de devises – Entrées de devise • RE > 0. Le RE de (pays) est excédentaire de (chiffre) en (année).
• RE ≈ 0. Le RE de (pays) est équilibré (chiffre) en (année).
Prix moyen d’une tonne exportée • Au/en (pays), Le prix moyen d’une tonne exportée s’élève à (chiffre)
= exportations / quantité exporté en tonne en (année).
Prix moyen d’une tonne importée • Au/en (pays), Le prix moyen d’une tonne importée s’élève à (chiffre)
= importations / quantité exporté en tonne en (année).
Termes de l’échange réel TER • Au/en (pays), Le prix moyen d’une tonne exportée représente (chiffre)
= Prix moyen d’une tonne exportée x 100 de prix moyen d’une tonne importée en (année).
Prix moyen d’une tonne importée • Les termes de l’échange sont (défavorables si TER > 100%),
(favorables si TER < 100%) et (équilibrés si TER ≈ 100%).
❑ Les préalables d’une opération d’import - export
❑ Le paiement des transactions à l’international
❑ Les activités d’entreposage
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Les préalables d’une opération d’import - export commence par la recherche de client et la
préparation des commande
• La recherche de clients étrangers peut s’effectue par plusieurs façons :
• Envoyer des offres de prix ; Insérer des offres dans des journaux spécialisés ;
• Répondre à des commandes reçues de clients ; Répondre à un appel d’offre ;
• Prospecter les marchés en organisant des voyages de prospection ou en participant à des manifestations
commerciales internationales (foires et salons) à l’étranger ou au Maroc
• La préparation de commandes et ses objectifs :
• La préparation des commandes correspond au rassemblement des marchandises en fonction des
commandes passées depuis un assortiment global donné.
• Les 2 objectifs sont : satisfaire la demande du client, et atteindre le coût économique optimum.
• Il faudra pour cela : Livrer les bonnes références, en quantité et qualité et dans les délais exigés par le
client.
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Après la commande, l’entreprise doit livrer les marchandise et le client les réceptionner
• L’expédition de la marchandise :
• L’expédition des marchandises pour objectif d’envoyer les produits commandés dans un parfait état et en
respectant les délais de livraison. Elle dépond de l’incoterm retenu
• L’expédition des marchandises doit respecter : La planification de livraisons; la consolidation et le tri des
marchandises; Le contrôle des documents et de conditionnement et le chargement des marchandises
• La réception de la marchandise :
• Elle fait partie des processus les plus importants d’un entrepôt. Lorsqu’elle est mal gérée, elle peut donner lieu
à de nombreuses erreurs de stocks limitant la productivité de l’entreprise.
• Pour ce faire, il faut connaître l’ensemble des tâches impliquées et divisé en 4 grandes étapes :
1. La planification et l’information
2. Le déchargement et la gestion des quais de chargement
3. Le contrôle qualité de la marchandise reçue
4. L’étiquetage, la consolidation et l’adressage des marchandises
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Toute transaction confirmée doit être réglé par une technique de paiement en utilisant un
instrument physique (chèque...) ou électronique (virement ...)
Donc, Il faut distinguez entre un instrument de paiement et technique de paiement
• L’instrument de paiement: la forme matérielle qui sert de support au paiement.
• instruments physique (chèque, traite, billet à ordre),
• instruments informatisées (virement bancaire).
• La techniques de paiement : la procédure suivie pour que le paiement puisse être réalisé.
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• L’encaissement simple : le règlement du vendeur n’est pas conditionné par la remise à la
banque des documents destinés à prouver qu’il a rempli ses obligations.
• Utilisation de cette technique est très limitée et nécessite la confiance entre l’acheteur et le vendeur.
• Le règlement est réalisé à l’initiative de l’acheteur (donc très risqué),
• Le contre remboursement (cash on delivery) : consiste à ne livrer la marchandise que contre
son paiement, l'encaissement étant confié au transporteur ou au transitaire.
• Utilisation de cette technique est très limitée et nécessite la confiance entre l’acheteur et le vendeur.
• Il concerne les expéditions de faible valeur.
• La remise documentaire : technique de paiement dans laquelle une banque a reçu mandat
d'un exportateur de ne remettre à l'acheteur les documents représentatifs de la marchandise
que contre paiement ou acceptation d'effets de commerce.
• Mais il n'y a pas d'engagement à payer de la part de la banque.
• Elle peut être utilisée dans le cadre de relations commerciales avec des partenaires connus, dans des pays
sans risque de non-transfert et pour des marchandises facilement revendues sur place
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Schéma de la remise documentaire
Paiement
7 4
Paiement
6
Envoi des documents Banque
Banque
Remettante
3 Présentatrice 22
• Le crédit documentaire : l'engagement d'une banque de payer un montant déterminé au
bénéficiaire, contre remise, des documents conformes aux instructions de l'acheteur.
• Les intervenant de crédit documentaire
Intervenants Mission
Donneur d'ordre Donne l’ordre à sa banque pour ouvrir un crédit documentaire en faveur de
(l’acheteur) son fournisseur.
Banque émettrice Banque de l’acheteur qui émet (ouvrir) le crédit documentaire.
Banque notificatrice Banque du vendeur qui notifie au vendeur l'ouverture du crédit documentaire.
Bénéficiaire Le vendeur ou une tierce personne
ajoute son engagement irrévocable de payer à celui de la banque émettrice.
Banque confirmatrice
Elle peut être la banque notificatrice ou une autre banque
Banque de remboursement banque sur laquelle les fonds vont être prélevés pour payer le crédit
réalise une opération telle que le paiement, l’escompte, le transfert, la
Banque désignée
notification selon les instructions du texte du crédit
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Le crédit documentaire
Contrat commercial
Documents
Demande
Paiement
Credoc
ouverture du
Documents
Paiement
Credoc
3
10
6
Émission du Credoc
2
Paiement 8
30
Définition des risques couverts par la SMAEX :
• Le risque crédit ordinaire : c’est l’insolvabilité du débiteur et son capacité définitive de
régler en totalité ou en partie sa dette.
• Le risque commercial extraordinaire : c’est un risque commercial lié à des crédits
accordés dans des conditions dépassant les délais de paiement en matière d’exportation.
• Le risque politique et catastrophique : on parle de ces deux risques lorsque le débiteur est
incapable d’acquitter sa dette envers l’exportateur (acte ou décision de gouvernement du
pays destinataire, survenance dans le pays du débiteur d’une guerre ou d’un cyclone.
• Le risque monétaire de non-transfert : le sinistre est prouvé s’il y a empêchement ou
retardement du transfert des fonds versés par le débiteur suite à des difficultés d’ordre
administratif ou réglementaire.
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Il existe trois types de police :
• Une police garantie crédit simplifiée : elle est réservée aux PME ;
• Une police garantie crédit personnalisée : elle destinée aux exportateurs ;
• Une police PCT (Politique - Catastrophique - non Transfert de devise) : elle couvre les
expéditions à des acheteurs publics (les Etats).
Les conditions de couverture (pour que l’assuré puisse bénéficier de l'assurance) :
• La marchandise assurée doit être expédiée durant la période de la validité de la police ;
• La cause de la défaillance doit être liée à la réalisation de l’un des risques couverts;
• L’assuré et son débiteur doivent se trouver dans une situation administrative régulière en ce qui
concerne les réglementations douanières et de change ;
• Le délai de règlement n’excède pas 180 jours, à partir de la date d’expédition de marchandise.
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Rayonnages Picking de Rayonnages
pour produits produits sur pour produits à
Magasin de formes palettes à forte rotation ou
Un entrepôt est un espace de stockage fermé automatique irrégulières. forte rotation volumineux.
Rayonnages
pour produits de Bureaux
grande valeur administratifs
Rayonnage pour Zone Quais de
composants à emballage / chargement / Expéditions Réception et
faible rotation. consolidation déchargement vérification.
Le picking est le moment où l'opérateur va chercher les articles d'une commande, pour les rassembler en un même endroit 33
• Pour classer les d’entrepôts, on peut regrouper selon leurs caractéristiques communes.
• La nature du produit : des entrepôts spécialisés (dans les produits inflammables, le petit matériel
...) et des entrepôts d’utilisation générale.
• Les bâtiments : des entrepôts en plein air,des sous-sols, des magasins ou dépôts, des
chambres froides, des entrepôts autoportants (où les rayonnages forment l’ossature du bâtiment).
• Le flux des matériels : des entrepôts intermédiaires, de dépôts ou magasins de distribution etc.
• La localisation, on parlera d’entrepôts centraux, régionaux et de transit.
• Le degré de mécanisation, ils seront manuels, classiques ou automatiques.
• Les opérations effectuées dans un entrepôt sont principalement des tâches de :
• Réception et vérification de la marchandise
• Transport interne (entre les différentes zones de l’entrepôt), Stockage et dépôt
• Préparation de commandes et expédition de marchandises
• Gestion et saisie des informations relatives aux stocks, aux flux, à la demande
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• Le choix d’un entrepôt dépendra de plusieurs facteurs, notamment : L’emplacement
géographique, La taille, la sécurité, les coûts et la flexibilité de l’entrepôt
• La gestion des ressources humaines : le personnel peut se diviser en trois classes :
• Le responsable d’entrepôt est la personne chargée de superviser tout ce qui se passe dans un
entrepôt. Sa mission est de planifier, diriger et coordonner les l'approvisionnement, le
réapprovisionnement, le stockage et la distribution des matériaux et des produits de l'entreprise.
• Le personnel administratif : C’est un agent de planning, rédacteur des documents d’expédition et
de transport ,fichiste (gestion des emballages)
• Le personnel d’exécution : Il est chargé de la manutention, conducteur d’engins, emballeurs,
contrôleurs, pointeurs, chauffeurs-livreurs
• Le responsable d’entrepôt peut recourir à des logiciel pour maitriser la gestion de
l’entrepôt. Parmi ces logiciel, on trouve le système de gestion des flux WMS
(Warehouse Management System) (système de gestion d'entrepôt)
35
Les installations techniques comprend des Des quais de chargement
quais de chargement et des pentes.
• Les types de quais :
• Le quai encastré
• Le quai en pente
• Le quai fermé
• Le quai en dents de scie
• Les types les ponts de liaison :
• Les plaques pour franchissement de trottoir
Des ponts
• Le pont de chargement alu amovible
• Le pont de chargement alu coulissant
• Le pont de chargement acier / alu pour container
• Le pont de chargement acier articulé coulissant
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L’utilisation de matériel adapté à la
manutention permettra d’optimiser
les efforts et le temps.
• Les engins manuels :
• Le diable
Le diable Le transpalette Le chariot de manutention
• Le transpalette
• Le chariot de manutention
• Les engins motorises :
• Le gerbeur électrique
• Le transpalette électrique
Le gerbeur Le transpalette La table
• La table élévatrice mobile électrique électrique élévatrice mobile
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• Emballage : mettre des marchandises dans des emballages Emballage
• Palettisation : mettre des marchandises dans des palettes
• Conteneurisation: mettre des marchandises dans des conteneurs
• L’emballage protège la marchandise sur 3 niveau :
• Protection physico-chimique : contre l’eau, les poussières, la température, rayons solaires…
• Protection mécanique : contre la compression, la flexion, les vibrations, les chocs… Palette
• Protection contre le vol : en utilisant les emballages solides
• L’emballage influe sur le prix du transport, de la manutention et de l’assurance.
• Si une marchandise arrive détériorée à cause de l’emballage, la situation du
vendeur devient critique. L’acheteur va demander le remboursement des Conteneur
dommages ou un remplacement avec des privilèges.
• Pour cela, le vendeur doit prendre ces précautions :
• Bien définir l’emballage requis : conformément aux normes internationales
• Faire tester les emballages : dans des laboratoires délivrant une attestation de garantie
38
• Le marquage de l’emballage consiste à apposer sur les colis 3 indication :
• Les marques principales : l’adresse, la référence, le numéro et le nombre de colis
• Les marque complémentaire : le poids, le nom du fabricant, pays d’origine.
• Les marque de manutention : destinées à attirer l’attention des transporteurs lors
des manipulations des produit (les pictogrammes).
• La liste de colisage "packing list" : document exigé par la douane, les
transporteurs, les manutentionnaires, les entrepositaires et les clients.
Elle énumère pour chaque colis :
• Le nombre de colis Marquage de l’emballage
• Le détail du contenu.
39
• Les matériaux utilisés pour les emballages
Critères Matériaux
d’évaluation Métal Bois Plastique Verre Carton Papier
Assez
Coûts Élevé Peu élevé Peu élevé Peu élevé Faible
élevé
Poids Lourd Peu Lourd Léger Peu Lourd Léger Très Léger
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La logistique : toutes les opérations nécessaires à la mise à disposition des
produits sur les lieux de vente depuis les lieux de production.
Activités logistique 42
Les incoterms : créés en 1936 par la CCI et régulièrement révisés (chaque 10 ans).
Les Incoterms définissent :
• La répartition des obligations entre vendeur/acheteur. Qui fait quoi en termes de transport –
assurance – douanes (si applicables). Qui fournit les documents associés.
• La répartition des coûts. Qui paie quoi en termes de transport – assurance – douanes et autres
prestations annexes. Le transfert des frais se fait au « lieu de destination » associé à l’Incoterm choisi.
• La répartition des risques. Jusqu’où le vendeur est-il responsable des risques encourus par la
marchandise durant le transport ? Le transfert des risques se fait au « lieu de livraison » à l’exception
de groupe « C »
Mode de transport Risques de transport international
Ventes au départ Ventes à l'arrivée
Maritime Polyvalent
(Risques supportés par l’acheteur) (Risques supportés par l’acheteur)
FAS - FOB EXW-FCA-CPT - CIP EXW- FCA- FAS- FOB
DAP - DPU - DDP
CFR - CIF DAT-DAP- DDP CFR- CIF- CPT- CIP
43
Les Incoterms 2020
Appliqués de
International Commercial Terms 2020 à 2029
Manutention
Marchandises
Chargement
Manutention
Transport
Emballage
Déchargement au quai
à l’arrivée
au départ
Post-acheminent
Déchargement
Assurance
Pré-acheminent
Douane
import
M/se -
Chargement
M/se M/se
Douane
Vendeur export M/se Acheteur
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L’infraction douanière : acte ou une abstention contraire aux règlements douaniers
L'importation ou l'exportation des stupéfiants et des
1ére classe substances psychotropes sans autorisation
Les Délits
الجنح La contrebande, import/ export des marchandises
2éme classe
prohibées, présence dans MEAD sans autorisation...
La transformation sous Permet d'importer temporairement des marchandises pour les transformer puis de
douane TSD les mettre à la consommation, en suspension des droits et restrictions quantitatives
Permet d’importer temporairement des matériels et des matières 1ere pour produire
Entrepôt industriel franc EIF
des produits à exporter. en suspension des droits et restrictions quantitatives
Exportation temporaire pour Permet d'exporte temporairement des marchandises tierces pour les transformer
perfectionnement passif ETPP puis de les réimporter, en suspension des droits et restrictions quantitatives
Admission temporaire AT Permet d'importer temporairement des marchandises tierces puis de les réexporter
(importation temporaire) (en l’état), en suspension des droits et restrictions quantitatives
Utilisation
Permet d'exporter temporairement des marchandises tierces puis de les réimporter
Exportation temporaire ET
(en l’état), en suspension des droits et restrictions quantitatives
Permet le transport de marchandises sous douane d’un bureau à un autre bureau
Circulation Le transit
sans subir de contrôle ni payer de droits et taxes.
54
Les régimes non-suspensif :
Permet le remboursement de certains droits et taxes perçus à l’importation des
Drawback
matières d’origine étrangère entrant dans la fabrication de marchandises exportées
Permet l’exportation de produits obtenus à partir de M/ses d’origine étrangère ayant
Exportation préalable acquittés les droits et taxes à l’importation et la réimportation de l’équivalent en
matières premières et semi-produits pratiquement en franchise douanière.
Le fret conventionnel passe par le calcul de : = Fret corrigé 3 = = Fret corrigé 2 + La surcharge
• Le poids brut total en tonne =Quantités x Poids Unitaire (-) La Ristourne = Fret corrigé 3 x taux de ristourne
• Le volume total en mètre cube = (L x L x H) x Quantité = Fret net = Fret corrigé 3 – ristourne
• Le poids équivalent 1t = 1m3 selon le principe + La surtaxe des colis lourds /extra longueur
• Retenir comme poids taxable (en unités payantes) le plus + Le sur frets / droits portuaires
élevé entre le poids brut total et le poids équivalent.
= Le Fret net total à payer
(1) Surestaries : Somme payée à l'armateur en cas de retard. (2) BAF : Bunker Adjustment Factor (3) CAF : Currency Adjustment Factor
maritime
L’empotage: chargement des marchandises dans un conteneur.
Empotage
• FCL (Full Container Load) : conteneur complets
• LCL (Less than a container load) : conteneur incomplete
Les types d’expédition par conteneur
• FCL/FCL : un seul vendeur empote des
marchandises dans des conteneurs qui seront
livrées à une destination.
• LCL/LCL : plusieurs vendeurs empotent des
marchandises dans des conteneurs qui seront
livrées à plusieurs destinations.
• FCL/LCL : un seul vendeur empote des
marchandises dans des conteneurs qui seront
livrées à plusieurs destination.
• LCL/FCL :plusieurs vendeur empotent des
marchandises dans des conteneurs qui seront
livrées à une destination
Pour LCL, l’empotage se fait dans un centre de groupage 58
maritime
• Les conditions de ligne précisent les frais inclus dans le prix du transport maritime.
• Ces liner terms sont spécifiquement liés au contrat de transport et ne doivent pas être confondus
avec les incoterms, liés au contrat de vente.
59
aérien
• Le transport maritime est régie par des conventions internationale (Varsovie, Chicago... ), des
accords entre des Etats ou entre des compagnies aériennes
• Pour les techniques du transport aérien, il existe 2 catégories d’appareils de transport aérien
• Les appareils : des Appareils mixtes qui transportent des passagers, bagages, envois postaux) et des
Appareils « tout cargo » qui ne transportent que du fret.
• La manutention et unité de chargement (ULD) : transporte les marchandises en ULD (Unit Load Device)
qui peuvent être des conteneurs aériens (appelés aussi igloos) ou des palettes
• Le transport aérien peut se réalisé par un contrat de transport ou contrat d’affrétement
• LTA (Lettre de Transport Aérien) est le document qui matérialise le contrat de transport aérien.
ULD ULD
palettes igloos 60
aérien
• La tarification aériennes est régie par règles de tarification de la convention IATA.
• Les modes de tarification
• Le tarif général : sur la base de poids/volume avec une règle de « payer pour »
• Les Tarifs ULD = sur la base de ULD (unité de chargement)
• Les tarifs spéciaux : variables selon les marchandises
• Pour calculer le montant du fret de base « tarif général » , il faut :
• Déterminer le poids brut total en tonne et le volume total en mètre cube
• Déterminer le poids équivalent en appliquant la règle 1 t = 6m3 ( poids théorique = volume /6 )
• Comparer le poids brut total avec la poids équivalent et retenir le plus élevé (poids taxable)
• Calculer le Fret = poids taxable (unité payante) x prix unitaire
• Vérifier la règle de « payant pour »
• Comparer le fret de base et le Fret de « payant pour » et retenir le Fret le moins élevé
• Pour calculer le montant du fret de base « tarif ULD » , on a la formule suivante:
Fret ULD = Forfait + (poids réel – poids pivot) x prix unitaire (par kg)
Poids pivote = Poids (minimal) à partir duquel toute charge subit une taxation au cours d'un transport aérien
routier
• Le transport routier / ferroviaire est régie par
• La Convention relative au contrat de transport international de marchandises par route CMR
• La Convention de Berne et COTIF (convention relative aux transports internationaux ferroviaires)
• Pour les techniques du transport routier, on distingue 2 catégories :
• Les techniques du CMR : les véhicules isolés (« camions »), les véhicules articulés (tracteur + semi-
remorque) et les trains routiers (camion + remorque)
• Les techniques du CIM : Les réseaux et les wagons (des compagnies, spéciaux et des particuliers)
• Le transport routier peut se réalisé par un contrat de transport appelé
• Lettre de voiture CMR pour le transport routier
• Lettre de voiture CIM pour le transport ferroviaire
• Pour calculer le montant du fret routier, il faut :
• Déterminer le poids brut et poids théorique ( poids théorique = volume / 3 )
• Comparer le poids brut total avec la poids équivalent et retenir le plus élevé (poids taxable)
• Calculer le Fret = poids taxable (unité payante) x prix unitaire
• Vérifier la règle de « payant pour » et retenir le Fret le moins élevé
62
Les critères de comparaison : Le coût (de transport, de l'emballage, des assurances…), le délai
( ou la rapidité), la sécurité (face aux risques d'endommagement, de vol, de perte et de retards)
Modes de transport Avantages Inconvénients
- Favorise les marchandises volumineuses - Délais aléatoire et longs
Maritime - Adapté aux expéditions lointaines - Sécurité aléatoire
- Prix avantageux - Fréquence des départs
- Délais très rapides (des heures) - Prix très élevé
Aérien - Sécurité parfaite - N’est pas adapté aux Mses volumineuses
- Emballages et assurances moins coûteux - N’est pas adapté aux expéditions lointaines
- Complément des autres modes de transport - Prix élevé
Routier - Service domicile/domicile - Délais aléatoire et longs
- Souplesse d'utilisation - Sécurité aléatoires
- Adapté aux envois importants (quantités) - N’est pas adapté aux Mses volumineuses
Ferroviaire - Prix avantageux - Réseaux limités dans le monde
- Délais rapides - Sécurité aléatoires
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• Les responsabilité des transporteurs se déterminent en fonction ses obligations et les
obligations de chargeur (expéditeur) qui peut être le vendeur ou l’acheteur
Émettre le document
de transport
NB : le chargement/arrimage dépond de liner terms au transport maritime et dépond de poids au transport routier (envois > 3t le chargement s’incombe sur le chargeur) 64
• Présomption simple : le transporteur est présumé responsable des avaries et des pertes
Sauf s’il y a des limitations :
• Des clauses exonératoires : Force majeur; Faute du chargeur; Evénements son imputables au
transporteur; Vice propre de la marchandise... Le transporteur doit prouver le lien de causalité ente le
dommage et l'une de ces causes
• Des réserves : le transporteur constate des dommages au départ; ces réserves doivent être précises et
motiver ( Exemples: nombre de colis non vérifié pour cause de conteneur fermé)
• Au transport maritime, la responsabilité du transporteur repose sur
• Des mentions portées sur le document de transport
• Du bon état apparent de la marchandise
• Cependant, la présomption simple se trouve limitée pour certains modes de transport, par la
restriction des mentions qui sont opposables au transporteur (masse et nombre de colis)
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• Pour mettre en cause la responsabilité du transporteur, le réceptionnaire doit d'abord à l’arrivée
de la marchandise :
• Décharger le véhicule (selon liner terms en maritime, si les envois > 3t en routier et ferroviaire)
• Réceptionne la marchandises.et vérifier l'état de la marchandise et sa conformité avec la demande.
• Vérifier l'exécution ou faire exécuter le dédouanement
• S’il y a des avaries ou des pertes, le réceptionnaire doit rédiger des réserves (réclamations)
écrites par lettre recommandée dans des délais bien précisés ( Sinon, la marchandise est
présumée avoir été livrée en bon état et au bon moment).
• Les indemnisation à payer par le transporteur, en cas de perte ou avarie, sont limitées à :
• Transport maritime : 2 DTS/kg ou 666,66 DTS/ colis selon la convention de La Haye et Visby et 2,5 DTS/kg
ou 835 DTS/colis selon la convention de Hambourg :
• Transport aérien: : 16,58 DTS / kg Selon la convention Varsovie et 17 DTS/kg Selon convention de Montréal
• Transport routier : 8,33 DTS/kg selon la convention CMR et 17 DTS/kg Selon convention de COTIF
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D.T.S. (Droits de tirage spéciaux) un instrument monétaire international créé par le FMI ( 1 DTS = 13,50 MAD)
Pour lever les limites d’indemnisation de responsabilité de transporteur, le chargeur peut
• Formuler un contrat de transport qui peut prévoir des limites supérieures par volonté des
parties.
• Établir des déclarations à la livraison :
• une déclaration d’intérêt, qui permet d’obtenir l’indemnisation d’autres préjudices que le préjudice matériel ;
• une déclaration de valeur (quand la valeur de la marchandise est supérieur à la limite d’indemnisation), qui
permet de porter le plafonds d’indemnisation à hauteur de la valeur déclarée.
• Souscrire directement auprès d’une compagnie d’assurance sa propre police d’assurance de
transport international
Remarque : en cas de faute lourde ou dols, les limites d’indemnisation tombent au bénéfices de
l’ayant droits, et le transporteur peut être soumis à la réparations intégrale du préjudice subis
• Exemples de fautes lourdes : entreposage de marchandise de valeur dans un local ouvert ; utilisation d’un
véhicule non adapté au transport sans accord de l’expéditeur ; non respects des instructions raisonnables de
l’expéditeur dûment stipulés sur le document de transport…
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• Le souscripteur de l'assurance (vendeur ou l'acheteur selon l’incoterm retenu) peut souscrira
les polices qui couvrent le transport et les opérations de manutention :
• police au voyage: couvre une expédition, pour une valeur et une relation déterminée ;
• police à alimenter : couvre une série d'expéditions échelonnées sur une durée indéterminée, de
marchandises de même nature ;
• police d'abonnement (police flottante) : couvre tous les envois d'un exportateur quels que soient les
marchandises, les destinations et les modes de transport
• police tiers-chargeur : la souscription se fait par les transporteurs ou par les transitaires. C’est
généralement l’option retenue par les PME .
• Les risques exclus par les assurances : vice propre de la marchandise, faute de l'assuré,
insuffisance d'emballage, commerce prohibé ou clandestin, préjudice commercial.
• Le coût d'une assurance transport dépend de la nature de la marchandise et de son
emballage, du mode de transport et de l'itinéraire, de l'étendue des garanties souscrites.
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• En transport maritime et fluvial on distingue :
• Avarie commune : dommages qui touche l’ensemble de la cargaison
• Avarie particulière : dommages qui touche particulièrement des marchandises
• L'avarie commune donne lieu à contribution c'est-à-dire à répartition des frais et sacrifices
engagés entre le transporteur et les chargeurs proportionnellement à la valeur en risque.
• L'avarie commune est un risque majeur qu'il est indispensable d'assurer (garantie FAP franche
d'avarie particulière, garantie minimale exigée dans les ventes CIF...).
• Pour obtenir un remboursement rapide il faut :
• Émettre des réserves en respectent les délais fixés et les conditions de forme;
• Prendre les mesures nécessaires pour éviter l'aggravation des dommages ;
• Faire constater les dommages par le commissaire d'avarie; et déclarer le sinistre à l'assureur ;
• Constituer le dossier de réclamation : originaux des documents, réserves prises, rapport d'expertise,
montant de la réclamation, facture commerciale. 69
Etendu de l’assurance en fonction de mode de transport
Certains Toutes les
Mode de Avarie Guerre
Assurance avaries avaries Vol
transport commune Grève
particulières particulières
FAP x
FAP sauf x x
Maritime
Tous risques x x x
Risque de guerre x x x x
Accidents
x
Aérien caractérisés
terrestre Tous risques x x
Risque de guerre x x x
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