Mon Rapport Stiphaan Comptable
Mon Rapport Stiphaan Comptable
Mon Rapport Stiphaan Comptable
Identification du cabinet
La structure du cabinet
Journal achat
Journal de vente
Journal caise
Journal banque
2 le classement
3éme partie les travaux fiscaux
La tva
IR
IS
La CNSS
Le probléme
Les solutions
La conclusion
Introduction :
Au cours d’une année d’etude a la faculté des sciences
juridiques ,economique et sociales salé il est necessaire
d’effectuer 2 mois du stage en cabinet comptable, le but étant
le découvert du monde de fiduciaire aux étudiants et
l’application de la connaissance acquise au cabinet
Ma sélection m’a conduit vers le fiduciaire MEJBAR car c’est
une façon pour moi de perfectionner mes connaissances. Enfin
j’ai constaté une parfaite corrélation avec les cours suivis en
Comptabilité.
Identification du Cabinet :
Carte d’identité :
Patente : 18602597
RC : 401
La structure du cabinet :
Directeur
Service Service
comptabilité secrétariat
2éme partie : Les travaux comptables
• La date de l’opération
• Le numéro des comptes utilisés
• Les comptes débits et les comptes crédits
• La référence de base <libellé>
• Les montants des opérations
1. le journal achat :
2. le journal de vente :
4. le journal caisse :
Il regroupe tous les enregistrements réglés en espèce,
et autre mouvement tel que les alimentations de caisse.
5. le journal banque :
➢Le classement
Définition :
La saisie :
*Opérations de la TVA :
L’établissement de ce journal se fait après la déclaration de la
TVA.
I. Le calcul de la TVA :
A.Définition :
« La taxe sur la valeur ajoutée est un impôt indirect par
excellence, introduite au Maroc par la loi n°30-85 du20
décembre 1985 et appliquer officiellement le 01/04/1986, elle
frappe la consommation finale (redevable réel) et elle est
collectée par le redevable légal (les entreprises). »
Cependant, elle n’est pas généralisée et son champ
d’application est limité aux :
• Opérations de nature industrielle, commerciale,
artisanale ou relevant de l’exercice d’une profession
libérale accomplie au Maroc ;
• Opérations d’exportation, et aux opération réalisée à
l’importation.
Selon les opérations effectuées on distingue, des opérations
obligatoirement imposables et des opération imposées par
option et enfin des opérations qui sont exonérées sans droit
à déduction et d’autres qui sont exonérées avec droit à
déduction.
Le poids fiscal de l’impôt demeure identique quel que soit la
longueur du circuit de production ou de distribution, la TVA donc
représente toujours le même pourcentage du prix de vente, ce
pourcentage peut être soit : 7%, 10%, 14 %, 20% ou 30%, ou des taux
spécifiques.
C. -l’imposition :
Selon le régime d’imposition, il existe deux types de régimes de
déclaration de la TVA :
Déclaration mensuelle :
Formule :
T.V.A. à payer de mois avril = T.V.A Facturé de mois avril - T.V.A /charges de
mois mars - T.V.A / Immobilisation de mois avril
Ensuite on procède à remplir la déclaration mensuelle.
Définition :
➢ Calcul d’impôt :
Définition :
➢ La déclaration :
Opér.
Banque Caisses Vente Achats Diverses
Bilan
: Le livre de paie (CNSS)
➢ Le livre de paie
C’est un document obligatoirement, numéroté et paraphé par
l’inspection de travail, il est tenu par l’employeur, son
remplissage se fait à partir du bulletin de paie, qui doit être tenu
chronologiquement, sans blanc ni rature.
Sa tenue consiste à indiquer le N° du bulletin de paie, la période,
le nom et le prénom de l’employé, et la date d’entrée au service, pour
chaque salarié et sur chaque ligne.
➢ Bulletin de paie
Chaque salarié possède son bulletin de paie, ce bulletin à un
caractère de pièce justificative pour le salarié, car il contient le net à
payer avec les majorations et les déductions, il se trouve en double
exemplaires, l’original porte la signature des deux parties (l’employeur
et l’employé), et doit être délivré au salarié, et le deuxième exemplaire
reste chez l’employeur pour le besoin du traitement comptable.
1-Définition :
2-Affiliation à la CNSS :
3-Immatriculation à la CNSS :
1- La cotisation à la CNSS :
✓ La saisie
Le planning de la problématique
Introduction générale
Les solutions
La conclusion
Introduction générale
Dans le contexte de la crise sanitaire, le monde
traverse une conjoncture économique difficile,
l’élargissement de l’assiette fiscale devient une
urgence. Les recettes fiscales constituent une
ressource nécessaire au développement durable et
représentent l’écrasante majorité des recettes de
l’État. Au Maroc, Les recettes fiscales représentent
90% des recettes ordinaires du budget général de
l’État, soit 162 324 MDH en 2019. Elles
représentent presque 65% des dépenses publiques
de l’Etat, avec une moyenne annuelle de 22% du
PIB. La principale fonction d’un système fiscal est
de générer suffisamment de recettes pour financer
les dépenses essentielles consacrées aux biens et
services. L’Etat cherche sans doute à augmenter
ses recettes fiscales, tandis que le contribuable
cherchera à réduire ses charges fiscales. En effet, la
fraude fiscale est devenue une menace importante
pour les recettes fiscales et une source
d’inquiétude permanente pour l’économie réelle.
Bâtir un système fiscal efficace est plus facile à dire
qu’à faire, la fraude fiscale prend de l’ampleur,
occasionnant un manque à gagner important au
niveau des ressources publiques. Le débat sur la
fraude fiscale est aujourd'hui plus que jamais d'une
actualité brûlante et interpelle aussi bien les
décideurs et les partis politiques que les
chercheurs et les économistes. Cette fraude
s’exerce à l’encontre de l’Etat, qui représente
l’acteur qui dispose du pouvoir de décision en
matière fiscale. Il détermine le niveau de
l’imposition, il est également l’instaurateur du
contrôle, ainsi que celui qui fixe les sanctions en cas
de la détection de l’acte de fraude. C’est pourquoi
la fraude fiscale ne peut être analysée
indépendamment de ces trois paramètres qui
affectent la décision optimale du contribuable, à
savoir : le taux d'imposition, la probabilité de
contrôle fiscal et du taux de pénalité sur le revenu
non déclaré lorsqu'il y a contrôle. L’objectif de cet
article est d’étudier l’impact de ces trois
paramètres sur la décision de fraude. Autrement
dit d’étudier la contribution de ces paramètres
dans la lutte contre la fraude fiscale. La lutte contre
ce phénomène nécessite une connaissance
approfondie de tous ses aspects à cause de la
multitude de concepts qui lui sont voisins ainsi que
le législateur fiscal marocain 2 ne donne pas une
définition précise à cette notion, on peut dire que
les articles 186 et 187 du CGI constituent l’élément
légal. L’architecture de l’article se déploie en trois
points. Dans un premier temps, nous présenterons
le cadre conceptuel de la fraude fiscale, le
problème de définition et celle des concepts
voisins, Dans un second temps, nous présenterons
l’impact du taux d'imposition, du contrôle fiscal et
du taux de pénalisation sur la fraude fiscale selon
le modèle d'Allingham et Sandmo (1972), Enfin
dans un troisième temps, nous aborderons une
discussion des résultats. Ce travail propose une
étude approfondie de la fraude fiscale.
Définition de la fraude fiscale
Il est vrai qu’à partir des années 80, des tentatives manifestes de
réformer le système fiscal afin de le rendre beaucoup plus simple,
performant, rentable et équitable ont été entreprises.
Les solutions :
La première solution :
Baisser les impôts pour limiter la fraude, c’est régler le
problème par l’absurde. Les impôts sont nécessaires pour
financer les services publics (santé, école, sécurité,
infrastructures, solidarité, etc.) qui sont essentiels à la qualité
de vie des citoyens. Il faut donc d’abord dans le cadre du
débat démocratique fixer le juste niveau des impôts et ensuite
veiller à ce que chacun paie son dû. Si on baisse la garde
devant les fraudeurs et qu’on réduit les impôts et donc la
qualité des services publics, c’est au détriment de tous les
citoyens. Quelques délinquants en « col blanc » auraient ainsi
imposé leur loi.
La seconde solution :
Intensifier les contrôles, doit être abordée avec
prudence. L’idéal c’est de contrôler à chaque fois que
c’est utile et avec des moyens d’investigation
appropriés. Contrôler à tort et à travers, peut être un
remède pire que le mal. Cela risque de susciter de fortes
réactions de rejet des contrôles et de l’impôt comme
cela s’est produit en France dans la seconde moitié du
siècle dernier.
Quant à la suppression pure et simple des paradis
fiscaux, c’est-à-dire exiger d’eux, en faisant fi du
principe de souveraineté fiscale, qu’ils aient un niveau
d’imposition similaire au notre, cela paraît assez
illusoire. Comment amener un État qui n’en éprouve
pas le besoin parce qu’il a des ressources suffisantes
(minerais, pétrole, tourisme, etc.) ou qu’il n’y n’existe
quasiment pas de services publics gratuits, à relever
substantiellement ses impôts ?
En revanche, ce qui est inadmissible c’est que certains
de ces paradis fiscaux acceptent d’accueillir sur leur
territoire des sociétés offshore (sans activité
économique) et refusent de fournir aux autres États les
informations dont ils ont besoin pour taxer les bénéfices
ou revenus qui ont été indûment transférés. C’est cette
protection qu’ils accordent aux fraudeurs qui est
scandaleuse. D’autant que les bénéfices et revenus
frauduleusement localisés dans ces paradis ne leur rapportent
quasiment rien puisqu’ils n’y sont pas ou très peu taxés.
Comme souvent face à des problématiques complexes, la
solution n’est pas simple. Surtout que le sujet a une dimension
internationale incontournable. Un État ne peut pas lutter
efficacement contre la fraude fiscale tout seul dans son coin. Il
risque, s’il prend des mesures trop coercitives de dissuader les
entreprises de s’installer sur son territoire et de faire partir les
entreprises et certains contribuables qui y sont installés.
Cela étant, il est possible de dégager avec une approche
pragmatique quelques orientations générales et ainsi de
mesurer les atouts dont disposent l’administration fiscale
française dans la lutte contre la fraude fiscale et les progrès
qui pourraient encore être réalisés.
Conclusion de la problématique
L’histoire de l’impôt nous porte-enseigne que la fraude fiscale
est présente à toutes les époques et dans tous les pays.
La lutte contre la fraude fiscale est loin d’être une simple
affaire ce qui traduit les lacunes du contrôle qu’exercent les
pouvoirs publics sur les contribuables
Au Maroc, malgré les efforts déployés par les pouvoirs
publics en termes de contrôle fiscal et la lutte contre les
comportements de la fraude et l’évasion fiscale, il existe des
enjeux qui freinent ces efforts entrepris.
Les pouvoirs publics doivent entreprendre toute mesure
susceptible de renforcer le control fiscale. Un renforcement
sur le plan humain et celui matériel
La technique d’imposition ainsi que l’imperfection du
contrôle fiscal procurent, tous deux, aux contribuables des
opportunités de fraude.
Conformément aux apports de la littérature sur la fraude, le
renforcement du contrôle a pour conséquence directe, la
réduction de la probabilité de la fraude