Opti Que
Opti Que
Opti Que
Source lumineuse
Fente large circulaire Écran opaque
ponctuelle
Écran opaque
vue de face
Conditions : La dimension de l’obstacle d est très grande par rapport à la longueur d’onde 𝛌
Source lumineuse
Fente réduite Écran opaque
ponctuelle
circulaire Écran opaque
vue de face
L’image obtenue est le fruit de phénomènes de diffraction et d’interférences qui ne peuvent pas
être expliqués par l’optique géométrique
S1
S2
Ecran
Troisième modèle
Modèle corpusculaire
Conditions : La dimension de l’obstacle d est très petite par rapport à la longueur d’onde 𝛌
Ce modèle est proposé par Newton et Descartes avant d’être supplié par le modèle ondulatoire.
Réduction de la fente
Onde électromagnétique
Source de la lumière
Lumière = Rayonnements EM visibles par l’oeil humain : entre 400 nm et 780 nm.
la lumière est une onde électromagnétique qui résulte de la propagation d’un champ électrique E et d’un champ
magnétique B variant au cours du temps.
Une onde est la propagation dans un milieu infini d’une perturbation des caractéristiques du milieu.
Particle motion
Onde électromagnétique
Vitesse de propagation
Grâce aux équations de Maxwell on détermine la célérité d’une onde EM dans le vide :
ε 0μ 0c = 1
2
Avec :
Onde monochromatique :
une seule λ, fréquence et vitesse de La longueur d’onde est la période spatiale.
propagation.
2π c
λ = cT = =
k v
Onde polychromatique :
Plusieurs couleurs = plusieurs λ La période T est la période temporelle.
2π 1
T= =
ω v
w = la pulsation en rad.s-1
k = le nombre d’onde en m-1
Onde électromagnétique
Milieu de propagation Transparent
Homogène Isotrope
Milieu qui possède les mêmes Milieu dont les propriétés physiques
propriétés en tous ces points. sont les mêmes dans toutes les
directions.
L’indice n est le même en tout point.
Ex : vide et air.
c λ0 𝛌0 > 𝛌
𝛌 = longueur d’onde dans le milieu.
n= = > ➔ 𝛌0 = longueur d’onde dans le vide.
v λ 1 n = indice de réfraction du milieu sans dimension
La célérité d’une onde dans ce milieu La célérité d’une one ne dépend pas de
dépend de sa fréquence sa fréquence
Ex : eau, verre (prisme), tout milieu Ex : air, vide
transparent qui est ni l’air ni le vide! Dans un milieu dispersif, chaque
couleur est déviée de manière
différente lors d’un changement
Un milieu est d’autant plus dispersif de milieu : c’est la dispersion
que son indice de réfraction varie
fortement avec la fréquence de la
lumière qui s’y propage
Propagation dans un milieu dispersif
Loi de Cauchy Applicable aux verres d’optique
dans le visible
Tous les points d’un front d’onde se comportent comme des sources ponctuelles
secondaires
i = λD/a
Distance séparant
les deux sources
Distance entre S1 et S2
l’écran et les
sources S1 et S2
cu sé em
Modèle ondulatoire
λ = h/p
Optique géométrique
Généralités
Conditions : La dimension de l’obstacle d est très grande par rapport à la longueur d’onde 𝛌
A B
Le parcours change de sens mais pas de direction
Optique géométrique
Loi de Snell-Descartes
Dioptre :
Surface qui sépare deux milieux d’indices différents.
Les angles se mesurent par rapport à la normale du dioptre.
N
L’angle d’incidence est lié à l’angle
de réfraction par la formule:
n1.sin i = n2.sin r
i i’
n1
L’angle réfléchi est égal à
l’angle d’incidence:
i = i’
n2
r
Les rayons incident réfléchi et réfracté ainsi que la
! n1 ≠ n2 normale sont dans le même plan d’incidence.
Loi de Snell-Descartes
Conditions d’émergence du rayon réfracté
n1 < n2
n1
Il existe toujours un rayon réfracté et un rayon réfléchi
Le rayon réfracté se rapproche de la normale
n2
Cas particuliers
n1 > n2
n1
Il existe un rayon réfléchi
Le rayon réfracté (s’il existe) s’éloigne de la normale
n2
Cas particuliers
n2
Au delà d’un certain angle il , il n’existe plus de rayon réfracté
sin il = n1
➔ Si i > il , il y a réflexion totale
Loi de Snell-Descartes
Intensité de réflexion
Lors d’une réflexion partielle, l’intensité de l’onde réfléchie est donnée par la relation:
2
Iréfléchi 
e
= ( (
Iincide
nt
vous
L’optique à réviser
Conditions d’émergence du rayon réfracté
Du milieu le moins vers le plus réfringent Du milieu le plus vers le moins réfringent
n1 < n2 n1 > n2
T augmente
réflexion totale
n diminue
Mirages: température de l’air au sol augmentée
Température du sol supérieure à celle de l’air
➔ diminution de l’indice de réfraction n
➔ passage d’un milieu à un autre = déviation des rayons
52
Exemples et applications
n2 Application:
A = angle de sommet
A
A = r 1 + r2
D
D = angle de déviation rayon incident/émergent
i1 i2
D = i1 + i2 - A
r1 r2
n=A+ B
n est proportionnel à 1/ƛ2
ƛ2 ƛ est proportionnel à 1/f
Système optique
➔ si sytème optique possède un axe de symétrie = axe optique, on parle de système centré
Systèmes centrés
Stigmatisme
Système est dit stigmatique si à sa sortie l’intersection des rayons issus d’un point objet est un point.
Stigmatisme rigoureux
Tous les rayons issus d’un point A passent par son A A
image A’ ’
Système est dit astigmatique si à sa sortie l’intersection des rayons issus d’un point objet n’est pas un point.
A
Systèmes centrés Système catadioptrique :
Association de dioptres avec
Conventions un miroir
Système dioptrique :
Association de dioptres
ex: lentilles
Les positions des points objet et image prennent des valeurs algébriques (donc peuvent être positives ou
négatives).
Approximation de Gauss : il faut que les rayons lumineux soient très peu inclinés sur l’axe des systèmes centrés.
Systèmes centrés
Conventions
Sens de la lumière
S: sommet = intersection
système/axe optique
C: centre
S C SC: rayon de courbure C S
SC > 0 SC < 0
Système convexe Système concave
Systèmes centrés
Conventions
Image réel
Objet réel
Point d’intersection des rayons émergents.
Point d’intersection des rayons incidents. Observable sur un écran
Situé « devant » le système optique. Situé « derrière » dioptre/lentille
A A’
Situé « devant » un miroir.
F F’
Un objet placé au foyer objet F forme une image à Un objet placé à l’infini forme une image au foyer image
l’infini. F’.
Plan passant par F = plan focal objet ➔ admet comme Plan passant par F’ = plan focal image ➔ conjugué d’un
conjugué le plan situé à l’infini plan objet situé à l’infini
Distance focale objet : SF Distance focale objet : SF’
Construction des images
Un objet AB donne une image A’B’. Si A est sur l’axe optique, A’ aussi.
Tout rayon incident passant par le centre du système centré n’est pas dévié.
Tout rayon incident parallèle à l’axe optique passe par le foyer image.
Tout rayon issu du foyer objet émerge parallèle à l’axe optique.
Système optique
Propriétés générales
Image
𝝲 est le grandissement.
Système optique
Taille image/objet
𝝲 <1
𝝲 >1
𝝲 est le grandissement.
Système optique
Convergent / Divergent
Convergent : Divergent :
V>0 V<0
V est la vergence.
Miroirs sphériques
Propriétés générales
Les foyers F et F’ sont à égales distances du centre C et du sommet S :
Tout rayon lumineux incident venant frapper le miroir en son sommet S est réfléchi symétriquement
par rapport à l’axe principal (optique).
Miroirs sphériques
Miroirs sphériques
Convergent / Divergent
Divergent :
Convergent :
Un miroir convergent est un miroir concave. Un miroir divergent est un miroir convexe.
S S
C F F C
𝑆
𝐴

𝑆
𝐹

𝑆
𝐴
𝑆
𝐹
𝑆
𝐶
Relation de conjugaison : + = = =
¯ ¯′ ¯ ¯′ ¯
′¯ ′ ¯′
𝑆
𝐴
𝐴
𝐵
Formule du grandissement : = =−
𝛾
¯ ¯
𝐴
𝐵


𝑆
𝐴

Cas particulier du miroir plan : =1 ¯ ′=− ¯
𝑆
𝐴

𝑆
𝐴
𝛾
Si l’objet est réel
Seul système optique rigoureusement alors image virtuelle
stigmatique et aplanétique.
Dioptres sphériques
Dioptres sphériques
Convergent
n2 n2
S S
F C F’ F C F’
n1 n1
Objet réel Image Objet virtuel Objet réel Image Objet virtuel
virtuelle Image réelle virtuelle Image réelle
Dioptres sphériques
Dioptres sphériques
Divergent Centre C du coté le moins réfringent.
V<0
n1 < n 2
n1 > n 2
n2 n2
S S
F’ C F F’ C F
n1 n1
Objet réel Image Objet virtuel Objet réel Image Objet virtuel
virtuelle Image réelle virtuelle Image réelle
Dioptres sphériques
Dioptres sphériques
Relations algébriques
2 1 2 − 1 2 1
𝑆
𝐴

𝑆
𝐹

𝑆
𝐴
𝑆
𝐶
𝑆
𝐹
Relation de conjugaison : − = = =− = ¯ ′+ ¯ = ¯
𝑆
𝐹

𝑆
𝐹
𝑆
𝐶
¯′ ¯ ¯ ¯′ ¯
𝑉
𝑛
𝑛
𝑛
𝑛
𝑛
𝑛
′¯ ′ ¯′
𝑆
𝐴
𝐴
𝐵
𝑛
Formule du grandissement : 1
= =
𝛾
¯ ¯
𝐴
𝐵


𝑆
𝐴

𝑛
2
¯ ′= ¯
𝑛
𝑆
𝐴

𝑛
𝑆
𝐴
1 2
Cas particulier du dioptre plan : Un objet dans l’eau apparaitra plus
proche qu’il ne l’est vraiment pour un
observateur dans l’air
Rayon R de ce dioptre est infini
Lentilles
Lentilles minces minces
Définition
Association de deux dioptres, dont au
moins un est sphérique.
V> V<
0 0
Les foyers sont réels. Les foyers sont virtuels.
O O
F F’ F’ F
𝑂
𝐴

𝑂
𝐹

𝑂
𝐴
𝑂
𝐹
Relation de conjugaison : − = =− =
𝑉
¯ ′ ¯ ¯ ′ ¯
′¯ ′ ¯ ′
𝑂
𝐴
𝐴
𝐵
Formule du grandissement : = =
𝛾
¯ ¯
𝐴
𝐵


𝑂
𝐴

Remarque : La vergence d’une association de plusieurs lentilles est égale à la somme des vergences de
chaque lentille.
L’œil : organe de la vision
Les parties clés de l’œil
IRIS RÉTINE
CORNÉE CRISTALLIN
Pour qu’un œil soit normal il faut que deux conditions soient respectées :
- L’œil est stigmatique : l’image d’un point est un point
- L’œil ne voit une image nette que si elle se forme sur la rétine, quelle que
soit la distance de l’objet
Vision nette d’un objet éloigné
Œil emmétrope
Lorsque le cristallin est au repos, les objets situés à l’infini se forment sur la
rétine
En pratique, lorsque l’objet se trouve à plus de 5 m.
L’œil n’accommode pas
L’image se forme sur le foyer image F’
Punctum Remotum PR
Vision nette d’un objet éloigné
C’est le point objet de l’axe optique le plus éloigné et dont l’image se trouve sur la
rétine lorsque l’œil ne s’accommode pas.
Il est le point conjugué de la rétine dans un système optique de l’œil non
accommodé.
Pour un œil emmétrope, il est situé à l’infini.
C’est le point objet de l’axe optique le plus rapproché qui peut être vu
nettement par l’œil lorsqu’il s’accommode au maximum.
Pour un œil emmétrope, il est situé à 25 cm.
d = - 25 cm
Accommodation
C’est la variation de puissance d’un système oculaire permettant de former une
image sur la rétine
AA en dioptries
D et d en mètres
Amplitude d’Accommodation AA =
C’est la différence de puissance entre un œil non accommodé et le même œil ayant
une accommodation maximale
L’œil n’est pas assez convergent pour sa longueur et/ou trop court
Le foyer image F’ se trouve en arrière de la rétine
L’image résultante perçue par la rétine est floue (tâche lumineuse) si l’œil est au repos
En pratique l’œil s’accommode en permanence : fatigue !
Myopie Hypermétropie
PR situé à une distance finie plus PR virtuel
faible que chez un oeil normal.
D°amétropie > 0
Il est d’autant plus proche que la
myopie est sévère.
D°amétropie < 0
Défauts de vision :
perte de l’accommodation
presbytie
Presbytie ceci n’est pas une amétropie
sphérique
Perte de l’accommodation
L’œil n’est plus capable de fournir une image ponctuelle d’un point objet
lumineux.
C’est lié à un défaut de sphéricité de la cornée et/ou du cristallin dont les
rayons de courbure ne sont pas les mêmes selon tous les axes.
Notion de couleur
Chaque fréquence d’une lumière monochromatique est associée à une sensation
de couleur par l’oeil.
Couleur perçue dépend de:
La manière dont les pigments du point objet absorbent et diffusent les
différentes longueurs d’onde.
La composition de la lumière qui éclaire l’objet.
L’oeil et du cerveau de l’observateur.
Q c’est aime
Les yeux
Atome Atome
E2 E2 E2
h𝞶
h𝞶 ∆E = h𝞶
Photon
E1 E1 E1
Atome
E1 < E2
Laser
Absorption
L’absorption de l’énergie d’un photon conduit à la transition d’un électron de son état stable (énergie
E1) vers un état excité (énergie E2)
E2
h𝞶
Photon ∆E = h𝞶
E1
Atom
E1 < E2 e
Laser
Émission spontanée
Un atome excité E2 repasse spontanément à son état fondamental E1 par émission spontanée d’un photon :
Rapide (nanoseconde).
De direction quelconque.
De fréquence identique à celle du photon absorbé (résonance).
Atome
E2 E2
h𝞶 ∆E = h𝞶
Photon ∆E = E1 - E2
E1 E1
Atome
Laser ! BUT du LASER : obtenir de l’emission
STIMULÉE
Émission stimulée
Un photon incident interagit avec un atome dans l’état excité et provoque sa transition vers l’état
fondamental sans être consommé.
Atome
E2
Le nouveau photon émis est en tout point similaire au photon incident:
h𝞶
Même énergie
Même longueur d’onde
Même direction E1
Laser
Principe
À l’équilibre
Pour favoriser l’émission stimulée plutôt que l’absorption, il faut une majorité d’atomes excités soit :
L’apport d’énergie par une source extérieur est nécessaire à l’inversion de population.
E2
Emission
stimulée
Apport d’énergie
Pompage
E1 Etat fondamental
Laser
Amplification
Le milieu est dit amplificateur
Un photon incident sur un atome excité provoque une émission stimulée aboutissant à deux autres photons eux même
capables d’induire d’autres émissions stimulée.
Il est placé entre deux miroirs concaves (minimisation des pertes); un miroir réfléchissant à 100% et un semi-
réfléchissant à 99%:
Le résonateur est construit de manière à favoriser une des longueurs d’onde produites au détriment des autres.
Pour avoir une intensité maximale on favorise les interférences constructives avec une longueur de la cavité (entre les
miroirs) telle que :
k: entier positif
ƛ: longueur d’onde c
ν: fréquence 2L = kƛ ν=k
c: vitesse de la lumière 2L
Caractéristiques de la lumière laser
L’émission laser est:
La concentration spatiale et spectral permet de focaliser la puissance sur une très petite surface: la densité de puissance
peut donc être très élevée (de l’ordre de ƛ2).
L’énergie peut être concentrée temporellement: émission impulsée de courte durée (ns à fs).
Selon son type, un laser peut produire des rayonnements dans les domaines infrarouge, visible
ou ultraviolet.
Types de laser
Nature du milieu
Type de pompage Gamme spectrale
amplificateur
Electrique:
exemples:
Gaz excité de façon directe par - les excimères- laser à argon
Laser à gaz collision avec des électrons UV —> IR lointains ionisé- laser hélium néon
De façon indirecte par collision avec - laser CO2
d’autres gars
Electrique: semi conducteurs Diodes laser: Proches UV —> IR Laser les plus compacts.
Laser solide proches Possibilité de convertir leur ƛ dans
Optique: matrice cristalline (ou
vitreuse) Autres: rouge et proche IR le visible et l’UV
Types de laser
Laser Nd : YAG
Source d’excitation: lampe flash ou diode laser.
Milieu solide
Cristal ou verre dopé aux
terres rares: Nd / Yb
Longueur d’onde dans
l’infrarouge
Fonctionnement:
Chirurgie réfractive
2 grandes techniques utilisées:
PKR
LASIK (photokératectomie réfractive)
Propriétés Caractéristiques
QCM 1
Cochez la (ou les) réponse(s) exacte(s)
1. SC = + 40 mm.
2. SC = - 4 cm.
3. Le dioptre est divergent.
4. Le dioptre est convergent.
5. Les foyers sont réels.
QCMQCM
QCM 1 : BC
A. FAUX, on a un dioptre qui est concave, ainsi le centre du dioptre se trouve à gauche du sommet et donc SC = - 40 mm = - 4 cm.
D. FAUX, le centre de notre dioptre se trouve dans le milieu le moins réfringent, il est donc divergent.
E. FAUX, puisqu'on a un dioptre divergent, ses foyers ne sont pas réels mais virtuels.
C
QCM
Concernant les QCM 1 et 2
Soit le dioptre concave de sommet S et de rayon de courbure 40 mm séparant deux milieux d'indice n 1 = 2 et n2 = 3.
QCM 2
Cochez la (ou les) réponse(s) exacte(s)
1. Les positions des foyers sont telles que SF = -80 mm et SF' = 12 cm.
2. Les positions des foyers sont telles que SF = 8 cm et SF' = -120 mm.
3. Si on prend un objet réel de tel sorte qu'il soit à 8 cm du sommet, alors SA' = 6 cm.
4. Si on prend un objet réel de tel sorte qu'il soit à 8 cm du sommet, alors SA' = -60 mm.
5. On a donc un grandissement tel que, 0 < γ < 1 donc l'image est plus petite que l'objet et droite.
QCM
F’ C F
QCM 2 : BDE
A. FAUX, en utilisant les formules de la vergence, -n 1/SF = n2/SF' = (n2 – n1)/SC, on trouve d'abord pour SF , -2/SF = (3 – 2)/(-4) = -
1/4 ⟺ 2/SF = 1/4 ⟺ SF= 8 cm. Pour SF', 3/SF' = -1/4 ⟺ SF' = -12 cm = -120 mm.
C. FAUX, on a un objet réel à 8 cm du sommet donc SA = - 8 cm et on a la formule n 1/SA – n2/SA' = (n1 – n2)/SC ⟺ – 3/SA' = ((2 –
3)/(-4)) – (2/(-8)) , et donc – 3/SA' = 1/4 + 1/4 = 1/2, d'où SA'/3 = -2, SA' = -6 cm = -60 mm.
E. VRAI, γ = (n1.SA'/n2.SA) = (2*-6)/(3*-8) = (-12/-24) = 0,5, on trouve bien quelque chose de positif et inférieur à 1, donc 0 < γ <
1, ce qui correspond bien à une image droite et plus petite que l'objet.
QCM
QCM 4 :
On considère un laser dont la puissance est de 2,88 kW. Son faisceau lumineux présente une section circulaire de diamètre 1,6 mm. On
prend π = 3.
Cocher la (ou les) réponse(s) exacte(s)
1. Le laser correspond à un système d’amplification photonique permettant d’obtenir un faisceau lumineux de divergence importante.
2. La cavité résonante d’un laser est choisie de façon à sélectionner plusieurs longueurs d’onde préalablement définies.
3. Le pompage optique permet d’obtenir un milieu actif stable en diminuant le nombre d’atomes à l’état excité.
4. L’émission spontanée consiste à envoyer un photon incident sur un atome excité qui, en se désexcitant, émettra un photon en tout
point identique au photon incident de départ.
5. La densité surfacique de puissance de ce laser est égale à 1,5.10 9 W.m-2.