Opto Elec A V33

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OPTOELECTRONONIQUE

Partie A
Enseignant : Pr Dafounansou Ousmanou

Année académique :

March 17, 2023


Chapter 1

Bases fondamentales de

l'optique

1.1 Introduction Générale


L'OPTOELECTRONIQUE est à la fois une branche de l'Optique (Photonique)
et de l'Electronique (Sémi-conducteur) . L'étude des diérentes théories, l'optique
ainsi que la physique des sémi-conducteurs sont donc nécessaires. L'Optique est
la partie de la physique qui a pour but l'étude de la propagation de la lumière.

Vitesse de la lumière: En 1849 Fizeau fut le premier à mesurer la vitesse de


la lumière.
Au 19eme siècle après avoir unié l'électricité et le magnétisme Maxwell
conclut que la lumière était un cas particulier d'onde électromagnétique.

C
λ = CT = C = 3.108 m/s
ν
Où λ est a longueur d'onde ν la fréquence et C la vitesse de la lumière dans le
vide.
Tous les corps émettent des radiations électromagnétiques dont le spectre
dépend de leur température. La théorie classique du rayonnement ne pouvait
rendre compte de l'allure du spectre aux fréquences élevées. En 1900 Planck
émet l'hypothèse que les corps chaux échangent de l'énergie avec leur envi-
ronnement sous forme de quantités discrètes. C'est l'hypothèse du Quanta.
L'énergie du quanta i.e les photons (les grains de lumière) est donnée par
E = hν

où ν est la fréquence de l'onde EM et h la constante de Planck.


h = 6.62607.10−34 J.S

En 1905 Einstein par la théorie de relativité Restreinte montre que c'est


la vitesse limite . La vitesse de la lumière ne dépend ni de la vitesse de la
source, ni de celle de l'observateur. Einstein dans la même période explique

1
aussi l'eet photoélectrique grâce à l'absorption de quanta de la lumière et
l'émission de Photo électron. ; En 1924 Louis de Broglie réconcilie les points de
vue ondulatoire et corpusculaire: (Dualité Onde Corpuscules )
h
λ=
p

où p est l'impulsion (quantité de mouvement). Shrodinger formula sa célèbre


équation qui permit d'expliquer la structure atomique et notamment de cal-
culer les fréquences des raies spectrales caractéristiques de chaque atome . Les
énergies des photons émis sont simplement égales aux diérences d'énergies en-
tre deux états de l'atome. (Émission spontanée) En 1917 Einstein posa les
bases théoriques de l'émission stimulée des radiations électromagnétiques. Le
1er Laser ( Light Amplication by Stimulated Emission Radiation ) fut con-
struit en 1960 en utilisant un cristal de rubis dans un résonateur optique. En
1970 la découverte de la diode Laser marque une évolution très importante de
l'Optoelectronique. Parallèlement le Laser relança l'intérêt des bres optiques ,
ce qui eut un impact énorme sur les télécommunications d'où le rôle évident de
la photonique. La Photonique est en eet l'étude des composantes permettant
la génération , la transmission , le traitement( Modulation , amplication ) ou
conversion des signaux. Le Photo détecteur se trouve à la frontière entre la pho-
tonique , et l'électronique et appartient donc au domaine de l'optoelectronique.
On dénit alors l'OPTOELECTRONIQUE comme une branche à la fois de
l'électronique et de la photonique. Elle concerne les composantes électronique
qui émettent ou interagissent avec la lumière. L'Optoélectronique est à la base
des télécommunications par bre optique

1.2 Optique géométrique


L'optique géométrique repose sur les principes suivants
• la propagation rectiligne dans un milieu homogène et isotrope.
• le retour inverse de la lumière: le trajet suivit par la lumière est indépen-
dant du sens de propagation.
• la loi de Snell-Descartes pour la réexion et la réfraction.
Cette théorie donne des bons résultats tant que les dimensions du système ne
sont pas comparables aux longueurs d'ondes de la lumière considérée.
Dénition 1.1 ( La loi de réexion) Les rayons incidents et rééchis sont
dans un même plan. Les angles formés par les rayons incidents et rééchis de
part et d'autre de la normale sont égaux.
i=r

Dénition 1.2 ( La loi de réfraction) Lorsque un rayon lumineux traverse


la surface séparant deux milieux d'indice diérent il change de direction. Le
phénomène est appelé réfraction

2
Figure 1.1: reection

Le rayon incident et le rayon réfracté sont dans le même plan les angles i et
r vérient la relation de Snell Descartes

n1 sin(i) = n2 sin(r)

L'indice de réfraction n d'un milieu est le rapport de la vitesse de la lumière


dans ce milieu sur la vitesse de la lumière dans le vide.
V
n=
C

Figure 1.2: réfraction

Remarque 1.1 L'indice de réfraction varie en fonction de la longueur d'onde


Les valeurs standards sont données pour la lumière jaune (lampe de Sodium).

λ = 589.3 ηm = 0.589 µm

On a par exemple pour le verre: n = 1.46 − 1.96; le cristal: 1.67; Polystère:


1.53; Diamant: 2.41; eau: 1.36; air: 1, 0
Pour les verres il existe plusieurs formules empiriques. La formule empirique de
Cauchy pour une longueur d'onde λ est
β
n(λ) = α +
λ2
α et β sont donnés par le fabriquant.

3
1.2.1 Angle limite et réexion totale
On peut considérer l'interface air-eau. Lorsque l'angle d'incidence vaut π2 l'angle
d'émergence du rayon réfracte tend vers une limite rlim = Θl . D'après la formule
de SD on trouve
Θ = arcsin(n1 /n2 )

Figure 1.3: Angle limite

Remarque 1.2 Par le principe du retour inverse, un rayon ne pourra pénétrer


dans un milieu d'indice plus faible que si l'angle qu'il forme avec la normale
est plus faible que l'angle limite, ainsi si r  Θl on a une réexion totale.
Cette propriété de propagation est notamment importante pour la réaliqation
des instruments optiques et en particuliers les bres optiques

1.2.2 Les miroirs


Il existe plusieurs types de miroirs. On peut citer les miroirs plan, les miroirs
sphériques et les miroirs paraboliques.
• Miroirs sphériques. Un miroir sphérique est une portion de sphère,
en général une calotte, rééchissante. Les rayons d'un faisceau étendu ne
convergent pas tous en un même point. En revanche les rayons proches
de l'axe convergent, avec une bonne approximation en un point F , appelé
foyer, et situé sur l'axe à mi-distance entre le vertex S du miroir et son
centre de courbure C
• Miroirs paraboliques. D'après la gure le point F sur l'axe oy est situé
à une distance d de la droite D parallèle à l'axe ox
On a alors F P = (P D). Ainsi
r  2
d d d d
x2 + (y − )2 = y + ⇒ x + (y − )2 =
2
y+
2 2 2 2

4
Figure 1.4: Miroir sphérique

Figure 1.5: Miroir parabolique

En fait une paraboloïde forme une surface rééchissante qui focalise parfaite-
ment un faisceau parallèle à l'axe de la parabole. Une onde plane parallèle à Oy
est rééchie sous la forme d'une onde sphérique vers le foyer.

1.3 modèle ondulatoire de la lumière


L'aspect ondulatoire de la lumière se manifeste sans ambiguïté par le phénomène
d'interface lumineuse. Ce phénomène décrit la situation ou deux(2) ondes ou
plus, issues d'une même source parviennent au même point en suivant des
chemins diérents (fentes de young ) (voir cours optique 2e année). La lu-
mière est une onde électromagnétique dont les champs électrique E ~ et le champs
magétique B vérient les équations d'ondes dans le vide: par exemple
~

~
∂2E
~ = µ0 ξ0
∆E
∂t2
où ξ0 = 1
36π.10−9 en F arad/m est la permitivité ou costante électrique.

5
Figure 1.6: Onde électromagnétique

µ0 = 4π.10−7 en Henry/m est la perméabilité.


Comme toute onde électromagnétique, la lumière est une onde transverse: le
champ électrique et le champ magnétique sont transverses à la direction de la
propagation.

1.3.1 vecteur Poynting


L'onde EM transporte une énergie, dans la direction E ~ ×B ~ . La densité sur-
facique de puissance portée par l'onde (éclairement énergétique) est donnée par
le vecteur Poynting.

1 ~ ~

p~ = E×B
µ0
Ce que l'on mesure en fait c'est sa valeur moyenne

s
1 1 ξ0 2 1
hpi = EB = E = Cξ0 E02
2µ0 2 µ0 0 2

où ξ0 µ0 C 2 = 1
Remarque 1.3 Dans un milieu d'indice n on remplace ξ0 par ξ = n2 ξ0 , et C
par V = Cn .

1.3.2 Polarisation
La polarisation indique une direction privilégiée d'un vecteur caractérisant une
radiation ou une particule, par rapport à leur direction de propagation ou un
champ extérieur avec lequel elles interagissent. Pour une onde naturelle (non
polarisée) le champ E~ tourne autour de l'axe de façon aléatoire au cours du
temps. Polariser une onde consiste à imposer au champ E ~ par exemple, une
trajectoire bien dénie. On peut avoir les polarisations suivantes :

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• Polarisation linéaire: le champ E reste toujours dans le même plan. (po-
larisation rectiligne)
• Polarisation elliptique : E tourne autour de son axe et change d'amplitude
pour former une ellipse. Lorsque l'amplitude ne change pas, on a une
polarisation circulaire.

Remarque 1.4 on obtient ces polarisations lorsque deux champs (ou plus)
se somment avec une diérence de phase et amplitudes. -si les deux com-
posantes oscillent en phase, on obtient une polarisation rectiligne. -si elles
sont en déphasages de alors on obtient une polarisation élliptique. Dans
le cas où le déphasage est π/2 on obtient une polarisation circulaire.

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Chapter 2

Propagation de la lumière

dans les guides d'ondes.

Il exsite plusieurs types de guides d'ondes selon leur géométrie; On peut


citer

Figure 2.1: a) slab , b) strip c) ber

 le guide d'onde plan (slab wave guide)


 le guide à bande rectangulaire (strip wave guide)
 la bre optique

2.1 Interactions du rayonnement et le milieu


de propagation
2.1.1 absorption (loi de Rayleigh)
Quand une onde électromagnétique se propage dans la matière elle met en
mouvement les charges et crée des oscillateurs harmoniques. Ces oscilla-
tions diusent ensuite la lumière. Ce qui est responsable d'une absorption
qui diminue en

8
1

λ4

lorsque la longueur d'onde augmente. (C'est-à-dire augmente avec la


fréquence) En outre, peuvent s'ajouter les pics de résonnance correspon-
dant aux impuretés. Les pics de résonnance sont en réalités un sérieux
problème en télécommunication.

2.1.2 Dispersion chromatique


Les phénomènes de propagation sont en général dispersifs. La dispersion
chromatique résulte du fait que la vitesse de propagation dépend de la
fréquence (dispersion à travers un prissme) on dira alors que cette disper-
sion est due au milieu. Par exemple, pour un signal Gaussien

 2
t
ψ(z = 0, t) = E0 exp − 2 eiωt
τ

de longueur d'onde centré autour de λ se propageant à travers une bre


de longeur L et de coeur d'indice n l'élargissement du signal sera doné par
la relation

2
 
L 2d n ∆λ
∆τ = − λ 2
C d λ λ

2.2 Transmission des données par bre op-


tique
Il existe plusieurs types de bres optiques, selon les dimensions du coeur
(Monomode ou multimode) ou encore selon le prol des indices du coeur
et de la gaine (Fibre à saut d'indice ou à gradient d'indice).

Figure 2.2:

9
2.2.1 Ouverture numérique
Considérons une bre à défaut d'indice; On dénit la valeur maximale de
l'angle de guidage par
q
sinθm = n2c − n2g

sinθm est appelé ouverture numérique de la bre, noté ON (numérical


aperture)(NA).
Remarque 2.1 Une faible ouverture numérique conduit a des problèmes
d'adaptations géométriques des transducteurs optoélectroniques à bre op-
tique, ce qui exige des dimensions très faibles des connecteurs. En général,
on doit avoir une faible diérence relative d'indice de réfraction entre la
gaine et le coeur an de réduire le temps de réponse ∆t d'une bre optique
à saut d'indice (voir exercice TD).

2.2.2 Dispersion Modale


Dans la bre optique on a une structure de modes guidées, ceci entraine
une dispersion modale. Chaque mode de propagation a une dispersion
de modes ou tout simplement: la dispersion modale. En eet chaque
angle de Rayon guidé dans la bre multimodes correspond à une vitesse
de propagation diérente. Ainsi l'impulsion lumineuse verra son énergie
distribuée selon des rayons et des vitesses diérentes, et sera donc élargie
indépendamment de la dispersion chromatique. (NB : la dispersion modale
est en générale beaucoup plus élevée que la dispersion chromatique). Pour
résoudre le problème de dispersion modale on peut par exemple utiliser
une bre optique à gradient d'indice. Le rayon lumineux à lintérieur de
la bre s'incurve petit à petit à l'approche de la gaine jusqu'à atteindre
l'angle critique d'incidence. Ce rayon lumineux subit alors une réexion
totale qui le fait repartir suivant une trajectoire symétrique. La trajectoire
prend alors une allure sinusoïdale.

Figure 2.3: Fibre multimodes à saut d'indice

On peut ainsi résoudre le problème plus ecacement en utilisant des -


bres monomodes (singles modes bre)(SMF), caractérisées par un coeur

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de diamètre très faible de 5 à 10µm. Dans la bre monomodes, le sig-
nal, se propage en un seul mode. Il n'y a plus dispersion intermodale.
Cette bre est donc adaptée pour des transmissions à longues distances.
Ainsi on peut transmettre un signal sur distance allant de 80 à 140km
sans amplications. De manière générale, la lumière se propage en mode
unique si et si seulement si la fréquence normalisée ν̄ est inférieure à 2.405
l'expression de la fréquence normalisée est donnée par

2πa q 2
ν̄ = nc − n2g
λ0
a est le diamètre du coeur; λ0 la longueur d'onde de la lumière; nc et ng
les indices du coeur et de la gaine.

Remarque 2.2 l'absence de dispersion modale n'implique pas que les dis-
positions disparaissent. En eet, la dispersion chromatique et l'atténuation
due à la nature du cur. Cependant cette déformation étant faible il est pos-
sible de transmettre jusqu'à 40Gb/S dans une bre monomode.

2.3 Sources de lumière (LED , LASER)


Dans le cas de la bre monomode la source laser est bien adaptée. Dans
la télécommunication c'est le laser infrarouge qui est généralement utilisé.
Avec des longueurs d'ondes de 1310nm à 1550nm. En ce qui concerne les
bres à saut d'indice et à gradient c'est généralement une source de lumière
LED qui est la mieux adaptée. Cependant, on rencontre des problèmes liés
à l'ouverture angulaire. En eet, un désavantage des LED est l'isotropie
de leur émission qui nécessite l'utilisation de bre multi modes et doivent
par conséquent être munies d'une lentille de convergence.

2.4 Guide d'onde métallique (Planar metallic


waveguide)
On considère une onde qui se propage dans la direction oz guidée par deux
surfaces de discontinueté parallele entre elle et à l'axe oz .
On a donc un guide d'onde plan (slab wave guide). Dans la gure nous
avons considéré une onde T E i.e transverse électrique pour laquelle l'onde
polarisée E
~ est perpendiculaire au plan d'incidence : on aura donc les
composantes (Ey , Hx , Hy ) . On aurait pu aussi choisir T M i.e transverse
magétique pour laquelle H est perpendiculaire au plan d'incidence.

Remarque 2.3 Les expressions du mode T M peuvent se retnrouver à


partir de ceux du mode T E par dualité:
~ → H;
E ~ µ → ξ et H
~ → −E;~ ξ→µ

11
Figure 2.4: Guide plan métallique

Figure 2.5: a) TE b) TM

Au point ~r de coordonée (x, y, z) Le champ électrique s'écrit:

~
Ey = E0 ei(ωt−k.~r) = E0 ei(ωt−kz cosθ−kx sinθ)

où ~k = 2π
λ Après réexion la continuité et les conditions aux limites en
x = a donnent l'onde totale

~ inc + E
E ~ ref l = ~0

On aura une onde descendante d'amplitude complexe r.Ey , la composante


tangentielle nous permet d'écrire en x = a ∀z:

Ey = 0 = e−i(k.a.sinθ) + rei(k.a.sinθ) = 0

on obtient donc r = e−2i(k.a.sinθ) soit

h i
Etot = E0 ei(ωt−k.zcosθ) e−i(k.x.sinθ) − ei(k.(x−2a).sinθ)

Les conditions aux limites en x = −a donnent:


ei(k.a.sinθ) − e−3i(k.a.sinθ) = 0 ⇔ e−4i(k.a.sinθ) = 1

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ainsi on a la relation
2k.a.sinθ = nπ n ∈ Z∗

Cette relation est appelée relation d'adaptation de phase (phase matching ). La


phase totale doit être multiple entier de 2π , sinon on va assister aux interférences
destructives.
Pour θ 6= 0
h inπ inπ
i
Etot = E0 ei(ωt−k.zcosθ) e− 2a x − (−1)n e 2a x

si n est paire i.e n = 2p on aura


 pπ 
Etot = −2iE0 ei(ωt−k.zcosθ) sin x
a
si n est impaire i.e n = 2p + 1 on a
 
pπ + π/2
Etot = 2E0 ei(ωt−k.zcosθ) cos x
a

Figure 2.6: constante de propagation guidée

Remarque 2.4 On constate que l'onde est progressive le long de oz avec la


constante de propagation guidée
β = kcos(θ)

Suivant l'axe ox on observe plutôt un régime stationnaire (voir Figure)


Le carrée de β et la relation d'adaptation de phase donne

n2 π 2
β 2 = k2 −
4a2

2.4.1 Modes de propagations


La relation d'adaptation de phase (phase matching) peut encore s'écrire
nπ πC n ωc
sinθ = = . ⇒ sinθ = n
2ka 2a ω ω

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Figure 2.7: Structure de mode dans un guide unidimensionnel

où la fréquence de coupure ωc est donnée par

πC
ωc =
2a

On constate que pour ω ≺ ωc aucune propagation ne sera possible. ωc est ainsi


appelée fréquence de coupure.
Pour ω ≥ ωc les solutions sont données par
 ω 
c
θn = arcsin n
ω
Ainsi à chaque valeur de n on a un angle θn , le champ correspondant est appelé
le mode d'ordre n. Puisque θn est quatié la composante kx l'est aussi. Soit

kxn = ksin(θn ) =
2a

4a ce qui montre que kx prend les valeurs multiples en-


Remarque 2.5 kxn = n 2π
tiers de 2π
4a et que 4a représente la plus grande période spatiale dans la direction
ox.

Exercice 2.1 Les longueurs d'ondes les plus utilisées en télécommunication


sont autour de 1310 et 1550ηm
a) Quelles sont les fréquences correspondantes.
b) Calculer l'énergie du photon de longueur d'onde 1.310µm

Exercice 2.2 Après avoir parcouru une distance d'un point A vers un point B
un signal EM voit sa puissance divisée par 2. Soit PB = 12 PA .
a) Donner le Schéma dune ligne de transmission de donnée à bre optique.
b) Calculer la valeur de l'atténuation du signal (perte du signal).
c) Pour de la lumière de longueur d'onde de 800ηm et α = 1, 2dB/km . Au
bout de combien de kilomètres restera-t'il 10 pour cent du ux incident?

Exercice 2.3 Soit une onde EM donnée par l'équation


y = 12cos [2π(3t − 1.2z)]

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où l'ampliude apparait en µm
a) Donner les valeurs de: l'amplitude ,la longueur d'onde, la pulsation (angular
frequency). b) Déterminer le déplacement (position) de l'onde à t = 0 et z =
4µm.

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