Chapitre 7 Eco
Chapitre 7 Eco
Chapitre 7 Eco
Définitions
Les facteurs de prod°se définissent comme les ressources que l’E va choisir pour produire ses B et
S:
L'E va arbitrer (choisir) entre les facteurs de prod° afin d’obtenir la combinaison la + optimale.
RQ : chaque E va choisir sa combinaison, elle sera différente des autres E, et elle peut varier dans le
temps.
Exemple
RQ :
- L'E Schneider Electric engage aussi sa RSE (II) en limitant son impact environnemental.
- L'E Schneider Electric réalise des gains de temps, est + flexible, + productive, et donc +
performante, ce qui correspond à sa finalité lucrative (I)= la combinaison des facteurs de
prod° semble donc optimale, mais elle reste dynamique.
Plan
Ce choix varie d’1 E à l’autre, et il évolue dans le temps. Chaque E va procéder à ses propres
arbitrages.
DOCS 1 et 2
Le facteur K correspond aux moyens de prod° durables (machines, locaux, usines, équipement...), et
aux matières premières utilisées (acier, électricité...)
Des ressources naturelles peuvent aussi être utilisées par l’E pour produire ses B et S : eau, terre,
bois, pétrole...
=> selon ses arbitrages, l’E va mobiliser plutôt des facteurs de T (combinaison travaillistique) ou
plutôt des facteurs K (combinaison capitalistique).
=> l’E doit tenir compte de certains critères quand elle choisit sa combinaison productive :
- Environnement : notamment l’envt technologique, mais aussi tout PESTEL. L’E doit aussi
tenir compte de son micro-envt (concurrents, clients, fournisseurs...)
- Coûts de prod° (masse salariale, électricité, matières premières), coûts de transport
(essence par exemple), coûts de distribution... L’E doit tenir compte des contraintes
budgétaires.
DOC 3
La productivité est donc un enjeu fondamental pour l’E....mais l’E doit aussi tenir compte de
nombreuses contraintes.
- Un taux d’intérêt bas favorise le recours au facteur capital en rendant moins coûteux les
investissements réalisés ;
- Une augmentation des charges sociales ou des salaires poussent l’entreprise à rechercher
des alternatives productives (automatisation de la production ou délocalisation de la
production par exemple).
La volonté de s’inscrire dans une démarche plus durable peut également inciter l’entreprise à
modifier ses choix productifs (par exemple mieux respecter l’environnement par l’élimination de
composants toxiques, quitte à recourir à un surplus de facteurs de production, utiliser moins
d’engrais et davantage de travail dans un champs…).
Afin de parfaire son choix, l’entreprise peut procéder à une analyse de son activité en considérant
les différentes étapes qui s’enchaînent pour aboutir au produit final.
La chaîne de valeur mise au point par Michael Porter (professeur de stratégie d'entreprise) permet
cette analyse. Cette chaîne de valeur invite à distinguer les activités de base (créatrice de valeur
pour l'entreprise) des activités de soutien (génératrices de coûts). Cela permet alors à l'entreprise
d’organiser son activité en se centrant sur les activités de base et en sous-traitant ou délocalisant les
activités de soutien.
L’impartition correspond à une démarche d’externalisation : c’est le fait pour une entreprise de
recourir à des prestataires externes pour réaliser tout ou partie de la production d’un bien ou d’un
service.