Les Activites Experimental Es
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Les Activites Experimental Es
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Ali Ouasri
Centre Régional des Métiers de l'Education et de la Formation Rabat (CRMEF)
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All content following this page was uploaded by Ali Ouasri on 01 February 2022.
Mohammed Abid1,2ii,
Amina Boulahoual1,
Abdeslem Daif2,
Ali Ouasri1
1Laboratoire de la Recherche Scientifique
et Innovation Pédagogique (ReSIP),
Centre Régional des Métiers de l’Education
et de la Formation,
Madinat Al Irfane, Souissi, BP 6210,
Rabat, Maroc
2Laboratoire des Matériaux Avancés et
Résumé :
Cet article porte sur les activités expérimentales et documentaires dans le manuel scolaire
des sciences physiques de troisième année du secondaire collégial, les pratiques
expérimentales des enseignants et l’effet de ces activités sur l’apprentissage de concepts
physiques et chimiques par les élèves. La représentation générale du manuel scolaire est
développée à l’aide d’une grille appropriée. L’analyse montre la place importante des
activités expérimentales proposées dans ce manuel, conformément aux orientations
pédagogiques officielles marocaines. La partie empirique est effectuée à l’aide d’un
questionnaire adressé aux enseignants et un test dédié aux élèves en vue d’étudier les
pratiques expérimentales des enseignants et ses effets sur l’apprentissage des élèves de
certains concepts physiques. Selon les enseignants, la quasi–totalité (90%) des activités
expérimentales conçues dans le manuel scolaire ne sont pas réalisées, à cause du manque
de matériel expérimental et de sureffectif des classes ; ce qui affecte le taux de réalisation
des expériences programmées et les pratiques expérimentales des enseignants. Les
activités expérimentales rarement effectués se déroulent sous forme des expériences de
cours, réalisées par l’enseignant lui–même. Les Technologies d’Information et de
Communication (TIC) ne sont pas très utilisées par les enseignants, qui par ailleurs,
i
EXPERIMENTAL ACTIVITIES IN THE TEXTBOOK AND CLASSROOM PHYSICAL SCIENCE
PRACTICES OF THIRD YEAR MIDDLE SCHOOL IN MOROCCO: CASE STUDY
ii
Correspondence: email [email protected]
pensent qu’elles seraient un bon moyen pour complémenter les expériences. L’analyse
des réponses des élèves montre qu’ils ne maitrisent pas les concepts fondamentaux en
sciences physiques lorsqu’ils n’ont pas l’occasion d’observer dans la pratique ou dans
leur vie des objets rattachés à ces concepts.
Abstract:
This work is interested in the experimental activities in the physical sciences textbook of
the third year of middle school cycle, the experimental practices of teachers, as well as
the impact of these activities on the learning of certain fundamental concepts in physical
sciences by the pupils. The general representation of the textbook is developed using an
appropriate grid. The analysis showed the important place of proposed experimental
activities in this manual, in accordance with the official Moroccan educational guidelines.
The empirical part is carried out using a questionnaire addressed to teachers and a test
dedicated to pupils in order to study the experimental practices of teachers and its effects
on students' learning of certain physical concepts. According to teachers, almost of the
experimental activities (90%) designed in the school textbook are not carried out, due to
the lack of experimental material and overcrowding of the classes; which affects the
completion of the programmed experiments and teachers' experimental practices. The
experimental activities rarely performed take the form of lesson experiences, carried out
by the teacher himself. Information and Communication Technologies (ICT) are not
widely used by teachers, who believe that these technologies would be a good way to
complement experiences. The analysis of the responses of pupils showed that they do not
master fundamental concepts in the physical sciences when they do not have opportunity
to observe in practice or in their life objects related to these concepts.
1. Introduction
Comme les pays émergents, le Maroc a fourni des efforts pour améliorer la qualité
de l’éducation et assurer sa généralisation. Des réformes ont été entamés depuis l’année
1999, notamment la charte nationale de l’éducation et de la formation (COSEF ; 1999), le
plan d’urgence (2009–2013), la vision stratégique de la réforme 2015–2030 (CSEFRS ;
2014). Ces réformes visaient la généralisation de l’enseignement, la restructuration des
cycles de l’éducation (secondaire collégial en trois ans et secondaire qualifiant en 3 ans),
l’amélioration de sa qualité, la refonte pédagogique et la rénovation des programmes. Le
programme GENIE (2009–2013) avait aussi pour objectif la généralisation et l’intégration
des technologies d’information et de communication (TIC) dans le système de l’éducation
et de la formation.
La rénovation des programmes et des manuels scolaires pourrait élucider les
conditions de travail au collège concernant l'enseignement des sciences physiques, du
point de vue chercheurs qui apprécient la signification de matériels et de décisions des
enseignants, la codification et l'analyse des pratiques pédagogiques et des activités
didactiques (expérimentales et documentaires). Cela devrait aider les enseignants à
prendre conscience de la cohérence de leurs choix, de mieux mettre en valeur les
matériels et les manuels scolaires, et engendrer la rationalisation des réorganisations
possibles de leur travail.
L’objet de ce travail est d’une part analyser, par une grille, la place des activités
expérimentales dans le manuel scolaire des sciences physiques pour la troisième année
du secondaire collégial (MEN, 2015), et d’autre part étudier les pratiques expérimentales
des enseignants dans ses classes vis-à-vis des activités conçues dans le programme
scolaire. L'influence de ces activités sur l’apprentissage des élèves a été aussi étudiée.
Cette analyse est effectuée à travers l’exploitation des réponses d’un questionnaire
adressé à un échantillon d’enseignants et un test aux élèves de la troisième année du
secondaire collégial.
2. Problématique
3. Cadre de références
et donc de leur apprendre à observer. Aussi, ces expériences donnent aux élèves
l'occasion d'apprendre à argumenter pour défendre leur point de vue.
Dans les expériences de cours, la méthode inductive désignée sous le nom de
« méthode de redécouverte » et largement utilisée, est fortement critiquée (Gohau, 1989 ;
Robardet et Guillaud, 1993), car elle impose la théorie et prétend la déduire d'une
expérience que les élèves ont vue. L'élève est donc trompé si on lui laisse croire qu'il a
prouvé ou qu'il a découvert la théorie.
L'enseignement expérimental des sciences–physiques, déjà influencé par les
nouvelles technologies, est désormais assisté par ordinateur (EXAO). La nouvelle
tendance de l'enseignement de sciences–physiques est de placer l’apprenant dans une
situation–problème, construite autour d'un problème concret présentant un caractère
énigmatique ; ce qui permet aux élèves de formuler des hypothèses et donc dévoiler leurs
représentations, concevoir un protocole expérimental, réaliser les expériences pouvant
tester leurs hypothèses. La confrontation des résultats obtenus avec celles attendus
permet de valider ou d'infirmer les hypothèses. Cette approche de résolution implique
certaines étapes : formuler la situation–problème, émettre et vérifier des hypothèses, et
interpréter les résultats. La phase d'interprétation est décisive dans la construction du
savoir par l'apprenant, car elle lui permet de mettre en relation ses connaissances
antérieures et nouvelles. Joshua (1989) indique que l'expérience scientifique ne prendra
tout son sens qu’avec une situation problématique de départ. Cette approche vise
l'apprentissage de la démarche expérimentale, voire largement la démarche scientifique.
4. Méthodologie
La méthodologie adoptée dans cette étude consiste dans un premier temps à effectuer
une analyse des principales activités pour chaque leçon du manuel scolaire des sciences
physiques de la troisième année du secondaire collégial pour identifier l’importance des
activités expérimentales dans le manuel scolaire par rapport aux activités documentaires
(Annexe 1). Ensuite, un questionnaire est adressé aux enseignants des sciences physiques
de la troisième année du secondaire collégial (Annexe 2) pour collecter des données sur
la mise en œuvre par les enseignants des activités expérimentales prévues par le manuel
scolaire. Enfin, un test est adressé aux élèves pour étudier la compréhension par les élèves
de certains concepts en lien avec l’observation des objets rattachés à ces concepts (Annexe
3).
5. Résultats et discussions
70%
60%
50%
40%
65%
30%
35%
20%
10%
0%
Activités experimentales Activités documentaires
(déchets des matériaux non dégradables). L’objectif de cette leçon est limité à reconnaître
les dangers de déchets des matériaux non dégradables, connaître quelques méthodes de
gestion et de recyclage des déchets, et prendre conscience de l’importance de préserver
la santé et l’environnement. Par contre, l’absence totale des activités expérimentales dans
la leçon 9 ne nous parait pas justifiée, car les objectifs affichés peuvent être objets
d’activités expérimentales ; par exemples :
• Connaitre les actions mécaniques et leurs effets ;
• Distinguer une action de contact d’une action à distance ;
• Connaitre et déterminer les caractéristiques d’une force ;
• Savoir mesurer une intensité à l’aide d’un dynamomètre ;
• Savoir représenter une force en choisissant une échelle convenable.
Néanmoins, le manuel scolaire donne globalement une place importance aux
activités expérimentales comme support de l’enseignement des sciences physiques en
troisième année du secondaire collégial. Les activités expérimentales dépassent en
nombre les activités documentaires dans le manuel scolaire ; le nombre des activités
expérimentales est 2/3 des activités documentaires. Ce qui montre la place
incontournable réservée par les programmes et les orientations pédagogiques officielles
à ce type d’activités, qui facilitent davantage l’apprentissage des principaux concepts
dispensés à ce niveau. Les activités expérimentales sont donc considérées comme le
meilleur moyen didactique pour comprendre et apprendre les concepts des sciences
physiques et atteindre les objectifs des leçons conçus dans le manuel scolaire.
Comme le remarque Millar (2004), dans la plupart des pays, les curriculums
introduisent les activités scientifiques avec deux principaux objectifs : 1) éducation
scientifique ; 2) apprentissage des principaux concepts. Plusieurs auteurs (Viau, 1999 ;
Kouhila et Maarouf, 2001 ; Taoufik, 2016) ont révélé que l’utilisation des activités
expérimentales comme moyen didactique dans l’enseignement des sciences physiques
joue un rôle important chez les apprenants dans l’acquisition correcte des connaissances
et notions relatives aux concepts dispensés dans le programme scolaire collégial.
Néanmoins, l’importance de ces activités dans le manuel n’est pas suffisante. Ces
activités sont–elles ou non réalisées dans la pratique ? Ce que nous essayerons de montrer
via le questionnaire dédié aux enseignants.
d’accéder à l’autonomie. Les résultats obtenus montrent que la plupart des enseignants
ne valorisent pas la qualité pédagogique du manuel scolaire au niveau de la structuration
des savoirs et des savoir-faire enseignés. Pour ce qui est du volume horaire, la question 3
montre que 70% des enseignants pensent que le volume horaire alloué aux sciences
physiques est insuffisant.
Pour la disponibilité des laboratoires dans les collèges (question 4), on constate que tous
les enseignants (100%) ont déclaré que leurs collèges possèdent un laboratoire. Si tous les
enseignants affirment que les collèges possèdent des laboratoires, la question 5 montre
que 90% des enseignants voient que ces laboratoires ne sont pas bien équipés du matériel
didactique et des produits nécessaires pour effectuer toutes les activités expérimentales
conçues dans le programme scolaire des sciences physiques. Ainsi, avoir des laboratoires
sans tous équipements nécessaires ne permet pas de réaliser les activités expérimentales,
et donc ne permet pas d’atteindre les objectifs escomptés des expérimentations. En
l’absence du matériel et des produits nécessaires, les enseignants ne peuvent pas réaliser
toutes les activités programmées dans le manuel. Ce qui est confirmé par la question 6,
selon laquelle seul 10 % des enseignants affirment réaliser les activités expérimentales
programmées dans le manuel scolaire lors de l’enseignement-apprentissage des concepts
fondamentaux en sciences physiques au niveau de la troisième année du secondaire
collégiale. De la question 7, on constate que 90 % des enseignants demandent aux élèves
de monter une expérience, le cas échéant.
Cependant, l’absence du matériel et des produits nécessaires n’est pas la seule
cause qui fait que les enseignants ne réalisent pas les activités programmées dans le
manuel. À ce propos, les figures (2–3) présentent les réponses recueilles en termes de
pourcentage pour les questions (8-9) du questionnaire adressé aux enseignants. La figure
2 montre que les enseignants évoquent d’autres raisons qui font que toutes les activités
expérimentales programmées dans le manuel scolaire ne soient pas réalisées. Si environ
40 % des enseignants attribuent la non réalisation des activités expérimentales au manque
de matériels et produits nécessaires, alors 40 % des enseignants déclarent ne pas réaliser
ces activités à cause du surnombre des élèves en classe. En revanche, 20% des enseignants
signalent qu’ils ne réalisent pas toutes les activités expérimentales du manuel à cause du
manque de temps.
20%
40%
40%
Les réponses collectées sur la réalisation des expériences en classe auprès des
enseignants (Figure 3) montrent que les activités expérimentales se font essentiellement
sous forme des expériences de cours avec un pourcentage de 65%, les expériences sous
forme de TP-cours ont été réalisées avec 25%, et celles sous forme de TP autonome ont
été réalisées à 10% par les élèves organisés en petits groupes.
Il semble que les enseignants choisissent de faire des expériences de cours au lieu
des TP à causes de plusieurs raisons que l’on peut dégager de l’analyse des réponses
recueillies à savoir :
• le manque du matériel dédié aux activités expérimentales qui impose le choix des
expériences de cours,
• le sureffectif des classes, qui affecte l’organisation des activités expérimentales, et
le nombre de matériel et les quantités des produits chimiques disponibles (à 10 %)
ne soient pas suffisantes,
• et l’insuffisance de l’horaire imparti aux sciences physiques et à la lourdeur des
programmes
10%
25%
65%
Le Tableau 7 récapitule les réponses recueillies pour les questions (10–12) portant
sur l’utilisation des technologies d’information et de communication (TIC) dans
l’enseignement apprentissage des sciences physiques en troisième année du secondaire
collégial.
Il s’est avéré de la question (10) que l’utilisation de ces technologies reste faible, puisque
seulement 30 % des enseignants déclarent avoir utilisé les TIC dans l’enseignement
apprentissage des sciences physiques à ce niveau collégial. La faible utilisation des TIC
est en contradiction avec l’intérêt que les enseignants donnent à la simulation ; la question
11 montre que les enseignants pensent que la simulation peut réduire les difficultés de
l’acquisition des concepts physiques et chimiques étudiés par les élèves. Quant à la
question (12) sur la substitution des expériences réelles par les TIC, l’analyse des réponses
collectées montre que 80 % des enseignants ne voient pas que les TIC constituent une
alternative pour substituer aux expériences réelles.
La faible utilisation des TIC semble être en contradiction avec l’intérêt porté par
les enseignants aux TIC, car 70% des enseignants pensent que la simulation peut réduire
les difficultés de l'acquisition des concepts étudiés. L’intégration de la simulation
pourrait motiver les élèves de construire leurs propres savoirs grâce à la visualisation des
phénomènes (Ouasri, 2019). Sur un autre registre, la majorité des enseignants (80%)
n’approuvent pas la substitution des expériences réelles par les TIC. Ces résultats ne sont
pas en cohérence avec les objectifs fixés par les politiques publique « stratégie Maroc
numérique » qui accorde à l’École un rôle prometteur dans la diffusion des technologies
de l’information et de la communication, et l’intégration de ces technologies sur le
renouveau et le progrès de l’École marocaine, ainsi que les recommandations évoquées
par le Conseil Supérieur de l’Education, de la Formation et de la Recherche Scientifique
(CSEFRS, 2014).
(a) 7% (b)
13%
34% 22%
53% 71%
La Figure 3.a. montre que la majorité des élèves ne savent pas quel est le vrai
appareil qui mesure le poids. En effet, seulement 34% ont répondu que c’est le
dynamomètre, tandis que 53% ont répondu que c’est la balance, et 13% ont choisi le
baromètre. La Figure 3.b. montre que la majorité des élèves (71%) connaissent l’appareil
qui mesure l’énergie électrique.
Le Tableau 2 présente les réponses des élèves (oui ou non) sur les questions 3-6
relevant du test donné dans l’annexe 2. Pour la nature du poids (question 3), il s’est avéré
que 63.3% des élèves ont réussi à répondre que le poids est une force, alors que 36.6 %
des élèves n’arrivent pas à comprendre que le poids est une force. Concernant la question
4 portant sur la solution acide – pH, les élèves répondant correctement par « la solution
acide a un pH inférieur à 7 » constituent 45 % de l’échantillon testé, alors que 55 % des
élèves considèrent que la solution acide a un pH supérieur à 7. Par ailleurs, les élèves
testés connaissent en majorité (81 %) que la corrosion du fer dans l’air est une réaction
d’oxydation (question 5). De la question 6, on constate que 70.6 % des élèves considèrent
que la combustion n’est pas une réaction chimique, ce qui montre que la majorité des
élèves ne maitrisent pas bien le concept de réaction chimique.
Les résultats obtenus montrent que les apprenants sont confus au sujet de certains
indicateurs qui mesurent la quantité d’une grandeur, que ce soit pour la similitude du
Tableau 2 : Réponses des élèves sur les questions 3-6 du test concernant
le poids, la solution acide, la corrosion du fer, et la combustion
Questions Oui (%) Non (%)
3. Le poids est-il une force ? 63.4 36.6
4. La solution acide a un pH > 7 ? 55 45
5. La corrosion du fer dans l'air est-elle une oxydation ? 81 19
6. La combustion est-elle une réaction chimique ? 29.4 70.6
6. Conclusion
Références
Annexe 1
Tableau 1 : Grille d’analyse des activités d’enseignement dans le manuel scolaire étudié
Activités
Leçon Objectifs Remarques
Expérimentale Documentaire
• Distinguer les objets 1. Conduction 1. Présentation de
des matériaux qui les électrique quelques objets et
constituent. 2. Conduction de matériaux utilisés dans
• Classer les matériaux chaleur la vie quotidienne
1. Quelques matériaux utilisés
forces
corps
deux
activités
45 24 expérimentales est 2/3
des activités
documentaires
Les activités
% Total des
activités
expérimentales sont
65% 35% présentes la plupart
des activités du
manuel
Etablissement : ….
Ancienneté dans l’enseignement : ….
2. La structuration des activités expérimentales dans le manuel scolaire aide les élèves à
construire leurs savoirs, savoir-faire et d’accéder à l’autonomie :
Oui Non
5. Le laboratoire est-t-il équipé des matériels et des produits nécessaires pour réaliser des
toutes les activités expérimentales du manuel ?
Oui Non
9. Quelles sont les raisons pour ne pas réaliser toutes les activités expérimentales
programmées dans le manuel ? …………..
11. A votre avis, la simulation peut réduire les difficultés de l’acquisition des concepts
étudiés en sciences physiques :
Oui Non
12. A votre avis, les TIC peuvent substituer les expériences réelles ?
Oui Non
Etablissement : ….
Sexe : ….
Oui Non
5. La corrosion du fer dans l'air est-elle une oxydation ?
Oui Non
6. La combustion est-elle une réaction chimique ?