ÉVALUATIONS

CLASSE : Terminale

VOIE : ☐ Générale ☒ Technologique ☐ Toutes voies (LV)

ENSEIGNEMENT : Mathématiques

DURÉE DE L’ÉPREUVE : 2h

PREMIÈRE PARTIE : CALCULATRICE INTERDITE

DEUXIÈME PARTIE : CALCULATRICE AUTORISÉE

☒ Ce sujet contient des parties à rendre par le candidat avec sa copie. De ce fait, il ne peut être dupliqué et
doit être imprimé pour chaque candidat afin d’assurer ensuite sa bonne numérisation.

☐ Ce sujet intègre des éléments en couleur. S’il est choisi par l’équipe pédagogique, il est nécessaire que
chaque élève dispose d’une impression en couleur.

☐ Ce sujet contient des pièces jointes de type audio ou vidéo qu’il faudra télécharger et jouer le jour de
l’épreuve.

Nombre total de pages : 7

PARTIE I
Exercice 1 (5 points)
Automatismes Sans calculatrice Durée : 20 minutes
Cet exercice est un questionnaire à choix multiples. Pour chacune des questions, une seule
des quatre réponses proposées est correcte. Reporter la lettre de la réponse choisie dans la
case « Réponse » correspondante. Aucune justification n’est demandée.
Enoncé Réponse
1 Une vidéo, d’une durée de 1 minute et 40 secondes contient 2 400
. images. Le nombre d’images par seconde est de :
A. 60 images/seconde B. 120 images/seconde
C. 24 images/seconde D. 15 images/seconde
2 1 1 1
La fraction irréductible égale à  + + est :
. 2 8 32
3 3 19 21
A. B. C. D.
42 8 32 32
3 7 2
3 Le nombre (2 ×2 ) est égal à :
. A. 212 B. 220 C. 223 D. 242

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4. 1 3 1 2
La fonction f est définie sur R par f ( x )= x + x + x +10 .
3 2
f est dérivable sur R et de dérivée f ’ définie sur R par :
' 1 2 1 ' 1 2 1
A. f ( x )= x + x +1 B. f ( x )= x + x +11
3 2 3 2
' 2 ' 2
( )
C. f x =x + x+1 ( )
D. f x =x + x+11
5. On considère quatre expressions :
A. (x−1)(x−2) B. −( x−1)(x−2)
C. (x +1)( x −2) D. −( x+1)( x−2)
Indiquer l’expression qui admet comme tableau de signe :
x −∞ 1 2 +∞
Signe de l’expression −¿ 0 +¿ 0 −¿
6. Dans un repère orthonormé, on note C la
courbe représentative d’une fonction
définie et dérivable sur R . On a construit
ci-contre la tangente à la courbe au point
d’abscisse 1. Le nombre dérivé en 1 de la
fonction est égal à :
A. 0
B. −2
C.2
−1
D.
2

7. Dans le repère du plan ci-contre,

la droite D a pour équation :

A. y=10 x +20
B. y=20 x +10
1
C. y= x +20
2
D. y=2 x +20

8. Une image numérique pèse 200 Mo. Après compression, cette image ne
pèse plus que 80 Mo. Le poids de l’image a été réduit de :
A. 120 % B. 40 % C. 12 % D. 60 %
9. Deux diminutions successives de 30 % reviennent à une diminution de :
A. 60 % B. 49 % C. 51 % D. 9 %
10. Après un agrandissement de 10 %, un pixel mesure 0,66 mm de côté.

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 Sa taille initiale était de : A. 0,56 mm de côté B. 0,6 mm de côté
C. 0,726 mm de côté D. 0,7 mm de côté
PARTIE II
La calculatrice est autorisée selon la réglementation en vigueur.
Cette partie est composée de trois exercices indépendants.

Exercice 2 (5 points)

À l’intérieur d’un triangle ABC de hauteur H

égale à 8 unités, on construit le trapèze
ABB1A1 de hauteur égale à 2 unités puis les
trapèzes A1B1B2A2, A2B2B3A3 , …, de sorte que
2
la hauteur de chaque trapèze soit égale aux
3 H ¿8
de la hauteur du trapèze qui le précède.

Le nombre h n représente la hauteur, h3

exprimée en unité, du n−ième trapèze ainsi
construit avec n un entier naturel non nul.
h1 =2h2
Ainsi h1 représente la hauteur du premier
trapèze construit ABB1A1. Donc h1 =2.

On définit ainsi une suite( h n ) .

1. Calculer h2 .

2. Préciser la nature de la suite ( h n )en indiquant son premier terme et sa raison.

3. Montrer qu’à partir du neuvième trapèze, la hauteur de chaque trapèze est inférieure
à 0,1 unité.

4. Pour tout entier n supérieur ou égal à 1, on pose : Sn=h1+ h2 +…+h n.

()
n
2
Justifier que pour tout entier n supérieur ou égal à 1, Sn est égal à 6−6 × .
3

5. À partir de quel entier naturel non nul n , Sn est strictement supérieur à 5,9 ?

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Certains peintres du XVe siècle utilisaient cette méthode en espérant représenter un
2
carrelage en perspective centrale (règle dite des  ). Toutefois, Léon Batista ALBERTI a
3
prouvé dans un traité de 1435 que cette méthode ne « traduisait » pas la perspective
centrale.

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 Exercice 3 (5 points)
Un peintre décide de créer une œuvre basée sur le hasard : chaque visiteur choisit
aléatoirement un motif parmi une base de figures élaborées par l’artiste. Un algorithme
regroupe ensuite les motifs pour créer un tableau.
Les figures construites par l’artiste sont des ellipses, des triangles et des carrés. Elles sont
soit vertes, soit bleues, soit rouges.
Dans tout l’exercice, les probabilités sont arrondies au centième près.
Un visiteur entre dans l’exposition.
On note E l’événement « le visiteur choisit une ellipse »
T l’événement « le visiteur choisit un triangle »
C l’événement « le visiteur choisit un carré »
R l’événement « le visiteur choisit une figure rouge »
V l’événement « le visiteur choisit une figure verte »
B l’événement « le visiteur choisit une figure bleue »
L’arbre ci-dessous modélise la situation :

1. Indiquer la signification du nombre 0,56 situé sur la première branche.

2. Calculer la probabilité de l’événement T.
3. Justifier que la probabilité que le visiteur choisisse une ellipse rouge vaut 0,28 .
4. Déterminer la probabilité que le visiteur choisisse une figure rouge.

La même exposition peut accueillir les visiteurs par groupe de cinq, les visiteurs étant choisis
de façon indépendante. On note X la variable aléatoire qui, à chaque groupe de visiteurs,
associe le nombre d’ellipses rouges choisies par le groupe. On donne la loi de probabilité de
X ci-dessous (le tableau suivant indique les valeurs arrondies des probabilités au millième
près) :
xi 0 1 2 3 4 5
p( X =x i) 0,193 0,376 0,293 0,114 0,022 0,002
X
5. Calculer et interpréter l’espérance de dans le contexte de l’exercice.

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 Exercice 4 (5 points)
Une pierre précieuse est représentée ci-dessous en perspective parallèle :
- La « culasse » ABCDI est une pyramide à base carrée inscrite dans un cube dont I est le
centre de la face inférieure.
- La « couronne » ABCDEFGH est une pyramide tronquée inscrite dans le cube
ABCDA1B1C1D1. Le point J est le centre de la face supérieure de ce cube. Les points E, F, G
et H sont respectivement les milieux des segments [AJ], [BJ], [CJ] et [DJ].

Le point O est le centre du carré ABCD.

Une représentation en perspective centrale est
commencée sur la feuille annexe à rendre avec la
copie. La ligne d’horizon P est tracée. On convient
de noter en minuscule l’image, en perspective
centrale, des points de l’espace.
La face ABB1A1 est frontale.

Cette représentation en perspective centrale est à

compléter sur la feuille annexe à rendre avec la
copie.
Aucune justification des tracés n’est demandée mais
on laissera visibles les traits de construction.

Par la perspective centrale,

1. Tracer l’image du carré ABCD ainsi que son

centre O.

2. Compléter l’image du cube ABCDA1B1C1D1.

3. Construire la représentation abcdi de la « culasse ».

4. a) Le point E, milieu du segment [AJ], est aussi le point d’intersection de la droite (AJ) et
de la droite (KL), où K désigne le milieu du segment [AA1] et L celui du segment [CC1].
Construire l’image e du point E.

b) Finir la construction de l’image abcdefgh de la couronne.

6. Que peut-on dire les droites (bd) et (fh) ? Justifier votre réponse.

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 Feuille annexe à rendre avec la copie
Exercice 4 : Représentation en perspective centrale à compléter
Le trait dessiné correspond à la ligne d'horizon.

Ligne d’horizon

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