LaTeX Debutant E.paradis
LaTeX Debutant E.paradis
LaTeX Debutant E.paradis
Emmanuel Paradis
11 septembre 2009
3 Installer LATEX 4
6 Le préambule 6
6.1 Les classes de document . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 7
6.2 Les « packages » . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
6.3 babel . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
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soit incluse.
1
8 Le texte 10
8.1 Les polices de caractère . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
8.2 Contrôler les espaces . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
8.3 Contrôler les césures . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
8.4 Les accents . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
8.5 Caractères spéciaux . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
9 Le sectionnage 16
10 Les environnements 18
10.1 Les environnements itemize, enumerate, et description . . 18
10.2 L’environnement tabular . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19
10.3 L’environnement verbatim . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21
11 Expressions mathématiques 22
11.1 Principales notations mathématiques . . . . . . . . . . . . . . 23
11.2 Parenthèses et autres délimiteurs . . . . . . . . . . . . . . . . 24
11.3 Lettres grecques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25
11.4 Contrôle des espaces en mode math . . . . . . . . . . . . . . . 25
1 TEX et LATEX
2
2 Pourquoi utiliser LATEX ?
POUR
1. LATEX est disponible pour tous les systèmes d’exploitation.
2. Les documents produits par LATEX sont système-indépendants.
3. De nombreuses distributions gratuites de LATEX sont disponibles.
4. Les documents produits par LATEX sont de très bonne qualité
5. LATEX peut produire des documents au format PDF (Portable Docu-
ment Format).
6. De nombreux types de documents peuvent être composés (livres, arti-
cles, rapports, thèses, lettres, diaporamas, partitions musicales, . . .).
7. Les expressions mathématiques sont imprimées avec une excellente
qualité.
8. Les définitions par défaut des formats aboutissent à des documents
d’excellente qualité (en termes typographiques) avec un minimum d’ap-
prentissage.
9. Il existe de nombreuses fonctionnalités de base (compteurs, références
croisées, . . .) très pratique dans la rédaction d’un document (par ex.
pour la numérotation des tableaux et des figures).
10. Appréhender un document dans sa globalité, plutôt que de se focaliser
sur l’aspect esthétique à l’écran, permet de meilleurs résultats quant à
sa structuration et sa présentation.
11. Les formats et autres fonctionnalités (compteurs, environnements, . . .)
peuvent être modifiés (relativement) aisément.
12. Il existe un très grand nombre de « packages » qui étendent largement
les possibilités de LATEX.
13. Des « environnements linguistiques » très variés sont disponibles (langues
et alphabets).
14. De nombreuses maisons d’édition scientifique proposent des fichiers
LATEX avec des formats prédéfinis (templates).
CONTRE
1. Il n’est pas possible de commencer un document LATEX sans un mini-
mum d’apprentissage.
3
2. LATEX n’est pas « WYSIWYG » (what you see is what you get).2
3. La maı̂trise de LATEX nécessite un apprentissage progressif.
3 Installer LATEX
Un fichier LATEX est au format ASCII et inclut le texte ainsi que les déclarations
relatives à son formatage. Il est nommé avec l’extension .tex.
Le fichier LATEX est compilé par TEX pour produire un fichier DVI (device
independent) nommé avec l’extension .dvi. Ce fichier peut être visualisé avec
un logiciel approprié (viewer).
La compilation produit deux autres fichiers : .log qui contient un rapport
de la compilation et les éventuels messages d’erreur, et .aux (auxiliary) qui
est utilisé par LATEX.
Les distributions de LATEX incluent généralement un ensemble d’exécutables
pour convertir les formats de fichier.
2
Il existe des interfaces graphiques pour LATEX notamment sous Windows, la plupart
commerciales.
3
www.miktex.org
4
www.tug.org/mactex
4
latex dvips
LATEX - DVI - PostScript
dvipdfm
pdflatex ?
- PDF
pdflatex LaTeX_debutant_E.Paradis
c:\progra~1\miktex\miktex\bin\pdflatex LaTeX_debutant_E.Paradis
Il est possible de mettre ces commandes dans un fichier .bat (pour Windows)
surtout s’il y en a plusieurs comme dans la première chaine de conversion
illustrée ci-dessus :
c:\progra~1\miktex\miktex\bin\latex LaTeX_debutant_E.Paradis.tex
c:\progra~1\miktex\miktex\bin\dvips LaTeX_debutant_E.Paradis.dvi
L’utilisation d’un format ou d’un autre dépend des besoins. pdflatex est
plus direct pour créer des fichiers PDF à partir de document LATEX mais est
incompatible avec certains packages qui nécessitent de passer par le format
postscript (comme PSTricks). Par contre, pdflatex est requis par d’autres
packages (comme PPower4 pour créer des diaporamas).
5
– déclarer le texte avec les commandes \begin{document} et \end{document}.
Un document LATEX minimaliste ressemblera donc à ceci :
\documentclass{article}
\begin{document}
Bonjour, ça va?
\end{document}
Un tel document peut être compilé par LATEX pour produire, par exemple,
un fichier DVI.
Toutefois, en français il est plus qu’utile d’utiliser le package inputenc avec
l’option latin1 qui précise à LATEX que les caractères utilisés sur un clavier
AZERTY font partie du code de caractères ISO-Latin 1. Par défaut, LATEX
considère que les caractères viennent du code ASCII et ne reconnait donc
pas é, è, ù, ç, etc. Notre document devient donc :
\documentclass{article}
\usepackage[latin1]{inputenc}
\begin{document}
Bonjour, ça va?
\end{document}
6 Le préambule
Le préambule d’un document LATEX est l’ensemble des commandes qui pré-
cèdent la déclaration \begin{document}. Il contient notamment :
– la définition de la classe du document avec les éventuelles options ;
– la déclaration des packages utilisés dans le document avec les options si
besoin ;
– toute (re)définition de commandes.
Le préambule contient également la définition du titre et de(s) l’auteur(s) du
document :
\title{...}
\author{...}
6
Un préambule peut être très long (c’est le cas des templates).
\documentclass[options]{class}
où options spécifie les options séparées par des virgules. La liste suivante
donne les options courantes avec les valeurs possibles (la lettre d entre par-
enthèses indique la valeur par défaut).
– a4paper, a5paper, b5paper, letterpaper (d), legalpaper,
executivepaper : taille du papier
– landscape : sélectionne le format paysage
– titlepage, notitlepage (d) : précise s’il doit y avoir une page de titre
séparée
– fleqn : équations alignées à gauche (centrées par défaut)
– openbib : utiliser format de bibliographie open
– draft, final (d) : si draft le texte qui déborde dans les marges est indiqué
par une bande noire
Les options suivantes ne marchent pas avec slides :
– 10pt (d), 11pt, 12pt : taille des caractères de base
– onecolumn (d), twocolumn : nombres de colonnes
– oneside (d), twoside (d pour book) : recto simple ou recto-verso
– openright (d), openany : détermine si un chapitre doit commencer sur
une page droite
La classe slides a également l’option clock pour imprimer l’heure au bas
de chaque diapo.
7
6.2 Les « packages »
C:\Program Files\MiKTeX\doc\latex\base\usrguide.dvi
6.3 babel
\documentclass[12pt,english,french]{article}
\usepackage[latin1]{inputenc}
\usepackage{babel}
\selectlanguage{french}
8
C:\Program Files\MiKTeX\doc\generic\Babel\babel.dvi
http://www.gnu.org/software/emacs/
http://www.gnu.org/software/emacs/windows/ntemacs.html
Emacs est livré avec un package nommé RefTeX qui facilite l’édition de doc-
uments LATEX. On installera également le package AUCTeX qui offre des
fonctionnalités supplémentaires :
http://www.gnu.org/software/auctex/
9
Ces packages doivent être chargés en mémoire au démarrage d’Emacs. On
va donc configurer le fichier .emacs. Voici un extrait de mon fichier .emacs
avec quelques customizations utiles (les points-virgules indiquent des com-
mentaires) :
;; ---------------------------------------------------------------
;; AUC TeX
http://www.cs.wisc.edu/~ghost/
8 Le texte
\maketitle
10
qui imprimera le titre, l’auteur et la date. Si l’on ne veut pas imprimer la
date sous le titre, celle-ci peut être redéfinie dans le préambule avec \date{}.
LATEX va interpréter le texte compris entre les commandes \begin{document}
et \end{document} comme une suite de commandes qui vont servir à im-
primer le document final (DVI ou PDF). Il existe quatre types de comman-
des :
Par défaut, LATEX utilise les polices Computer Modern Fonts (CMF) conçues
par D. Knuth. Trois polices sont utilisables : Roman, Sans Serif et Typewriter.
Ces polices existent sous cinq formes :
– droit
– italique
– gras
– penché (slanted)
– petites capitales (small caps)
11
Il est possible d’utiliser d’autres polices via un package approprié, par exem-
ple \usepackage{times} pour utiliser les polices d’Adobe (Times en place
du Roman, Helvetica en place du Sans Serif, Courier en place du Typewriter).
Le contrôle des polices et des formes se fait via deux types de commandes
(par exemple pour obtenir du texte en italique) :
– \textit{...} ou \it
– {\it ...}
Le premier type de commandes se cumulera éventuellement avec des définitions
préalables, par exemple pour donner du gras italique ; le second type de com-
mandes isolera la définition et le texte sera en italique simple.
12
commande 10 pt 11 pt 12 pt
\tiny 5 6 6
\scriptsize 7 8 8
\footnotesize 8 9 10
\small 9 10 11
\normalsize 10 11 12
\large 12 12 14
\Large 14 14 17
\LARGE 17 17 20
\huge 21 20 25
\Huge 25 25 25
C:\Program Files\MiKTeX\doc\latex\base\fntguide.dvi
13
Pour rendre un espace insécable, il peut être remplacé par un tilde qui liera
les deux mots. Il est parfois préférable d’éviter de séparer deux mots, en voici
quelques exemples :
Les espaces qui suivent une commande ne sont pas pris en compte par LATEX
sauf si cette commande comporte des accolades. Pour éviter ceci, il y a trois
possibilités :
\LaTeX mange les espaces. LATEXmange les espaces.
\LaTeX{} mange les espaces. LATEX mange les espaces.
\LaTeX\ mange les espaces. LATEX mange les espaces.
{\LaTeX} mange les espaces. LATEX mange les espaces.
La commande ‘\ ’ (antislash suivi d’un blanc) rajoute explicitement un es-
pace mais celui-ci est sécable (au contraire du tilde).
En français, un espace est ajouté avant les ponctuations dites doubles (com-
posées de deux caractères), même si cet espace n’a pas été tapé. La taille de
cet espace est ajusté par LATEX si besoin, mais il est insécable.
Pour annuler cet espace, on utilisera la commande \string juste avant la
ponctuation en question :
En anglais, pour justifier un texte l’espace est ajouté de façon inégale entre
les mots et les signes de ponctuation (cf. l’exemple ci-dessus). Notamment,
l’espace est plus grand après un point de fin de phrase qu’après une virgule.
Cependant, par défaut LATEX considère que si une majuscule précède un
point, celui-ci indique une abréviation et l’espace qui suit est égal à celui qui
suit un mot ou une virgule.
Il est possible d’altérer ce comportement, dans un sens comme dans l’autre :
14
8.3 Contrôler les césures
La césure des mots, qui est effectuée par défaut avec LATEX, facilite la justi-
fication du texte. Elle dépend de la langue sélectionnée. Cela ne pose aucun
problème en anglais, mais en français (et d’autres langues), il est nécessaire
de changer l’encodage des polices pour que LATEX puisse couper les mots cor-
rectement. Cela se fait avec le package fontenc et l’option T1 (à placer dans
le préambule bien sûr) :
\usepackage[T1]{fontenc}
Si Babel ne trouve pas où couper certains mots, il est possible de lui indiquer
explicitement les césures possibles :
\pretolerance=2000
\tolerance=3000
La commande antislash suivi d’un accent signifie « ajoute cet accent sur la
lettre qui suit ».
15
On notera bien que le trèma (¨) est obtenu avec des guillemets (double quotes)
et non pas la touche correspondante sur les claviers AZERTY.
Rappelons que grâce au package inputenc, ë à la même signification que \"e.
\textbackslash \ \{ { \} }
\& & \# # \$ $
\_ \% %
\guillemotleft « - - \oe œ
\guillemotright » -- – \OE Œ
\textdagger --- — \ae æ
\textcopyright © ‘‘ “ \AE Æ
\textregistered ® ’’ ” \O Ø
\textbullet ‘ ‘ \o ø
\dots ... ’ ’ \c C Ç
9 Le sectionnage
16
Les commandes correspondantes sont :
\section{...}
\subsection{...}
\subsubsection{...}
LATEX numérote ces sections avec des chiffres arabes et imprime les titres
avec une taille de police proportionnelle au niveau. Le numérotage se fait de
la façon suivante :
– sections : 1, 2, . . .
– sous-sections : 1.1, 1.2, . . ., 2.1, 2.2, . . .
– sous-sous-sections : 1.1.1, 1.1.2, . . .1.2.1, 1.2.2, . . ., 2.1.1, 2.1.2, . . .
Les versions étoilées de ces commandes produisent les mêmes niveaux de
sectionnage mais sans numéro :
\section*{...}
\subsection*{...}
\subsubsection*{...}
\paragraph{...}
\subparagraph{...}
Pour les documents de classe book et report, deux autres niveaux sont pos-
sibles :
\part{...}
\chapter{...}
Les parties regroupent des chapitres et sont numérotées avec des chiffres
romains (I, II, . . .). Les chapitres sont numérotés avec des chiffres arabes.
Quelque que soit la classe du document la table des matières peut être im-
primée avec la commande :
17
\tableofcontents
LATEX produira alors un fichier .toc avec la liste des têtes de section. Il sera
éventuellement nécessaire de compiler deux fois le fichier .tex. Les sections
(et autres sous-sections) non numérotées ne seront pas incluses dans cette
table des matières.
10 Les environnements
\begin{...}
\item article 1
\item article 2
...
\end{...}
Il peut n’y avoir qu’un seul \item. La présentation est différente en fonction
de l’environnement :
– article 1
– article 2
18
1. article 1
2. article 2
article 1
article 2
De même pour enumerate, les articles sont légèrement plus espacés en anglais.
Pour l’environnement description, un titre (optionel) entre crochets suit la
commande \item :
\begin{description}
\item[itemize] les articles sont listés simplement
\item[enumerate] les articles sont listés et numérotés
\item[description] les articles sont listés avec un titre en gras
\end{description}
L’environnement tabular est très utilisé dans LATEX car il permet de com-
poser des tableaux.
La déclaration \begin{tabular} contient un argument obligatoire qui définit
le formatage des colonnes et qui est composé d’une série de lettres "c", "l"
ou "r" pour, respectivement, centrer, justifier à gauche ou justifier à droite.
Les différentes colonnes sont séparées par le caractère &.
Chaque ligne doit être terminée par un saut de ligne explicite indiqué par
un double antislash. Ce saut de ligne peut intervenir même si le nombre de
colones définies n’est pas atteint.
19
\begin{tabular}{lrc}
Espèce & poids (g) & nom scientifique\\
Souris & 10 & {\it Mus musculus}\\
Baleine & 120~000~000 & {\it Balaenoptera musculus}\\
Homme & 70~000 & {\it Homo sapiens}\\
\end{tabular}
\begin{center}
\begin{tabular}{lrc}
\hline
Espèce & poids (g) & nom scientifique\\
\hline
Souris & 10 & {\it Mus musculus}\\
Baleine & 120~000~000 & {\it Balaenoptera musculus}\\
Homme & 70~000 & {\it Homo sapiens}\\
\hline
\end{tabular}
\end{center}
20
\begin{center}
\begin{tabular}{|l|r|c|}
\hline
Espèce & poids (g) & nom scientifique\\
\hline
Souris & 10 & {\it Mus musculus}\\
Baleine & 120~000~000 & {\it Balaenoptera musculus}\\
Homme & 70~000 & {\it Homo sapiens}\\
\hline
\end{tabular}
\end{center}
LATEX imprime les caractères qui sont inclus dans un environnement verbatim
tels qu’ils sont, sans aucun formatage et sans interpréter les éventuelles com-
mandes, en utilisant la police Typewriter en vigueur.
Il y a de nombreux exemples d’utilisation de cet environnement dans ce
document.
La version étoilée de cet environnement imprime également les espaces :
\begin{verbatim*}
\LaTeX\ ignore les espaces supplémentaires.
\end{verbatim*}
La commande \verb permet d’include des caractères tels quels au sein d’un
texte. Les caractères en question sont délimités entre deux caractères iden-
tiques choisis par l’utilisateur (excepté les lettres, * et les espaces).
21
la commande \verb|\LaTeX|, \dots la commande \LaTeX, . . .
la commande \verb+\LaTeX+, \dots la commande \LaTeX, . . .
the command \verb5\LaTeX5, \dots the command \LaTeX, . . .
11 Expressions mathématiques
22
$x_ij$ xi j $x_{ij}$ xij
√ z }| {
\sqrt{x} x \overbrace{u+v+w} u+v+w
√ −→
\sqrt[n]{x} n
x \overrightarrow{AB} AB
√ ←−−−
\surd(x^2 + y^2) (x2 + y 2 ) \overleftarrow{CDE} CDE
\overline{x+y} x+y \underline{x+y+z} x+y+z
x’, x’’ x0 , x00 \underbrace{f+g} f +g
| {z }
23
Les intégrales, sommes et produits s’écrivent avec \int, \sum et \prod. Les
bornes inférieures et supérieures sont indiquées comme des indices et des
exposants.
R P Q
\int \sum \prod
Z x00
\int_{x’}^{x’’} f(u)\mathrm{d}u f (u)du
x0
n
X
\sum_{i=1}^n x_i xi
i=1
n
Y
\prod_{i=1}^n \Pr(x_i=X) Pr(xi = X)
i=1
1
[\frac{1}{x}-(y+z)]^{1/2} [ − (y + z)]1/2
x
1/2
1
\left[\frac{1}{x}-(y+z)\right]^{1/2} − (y + z)
x
24
( ( \langle h \uparrow ↑
) ) \rangle i \downarrow ↓
[ [ \lfloor b \updownarrow l
] ] \rfloor c \Uparrow ⇑
\{ { \lceil d \Downarrow ⇓
\} } \rceil e \Updownarrow m
/ / \backslash \
Les lettres grecques minuscules sont tapées avec une commande nommées
d’après la lettre en question.
25
On peut forcer de telles expressions à être imprimées de façon classique avec
la commande \displaystyle qui précédera l’expression.
Les espaces horizontaux sont définis par défaut en mode math. Ils peuvent
être contrôlés avec des commandes spéciales.
x y xy x\; y xy x\quad y x y
x\, y x y x\ y xy x\qquad y x y
x\: y x y
26