Texte Tipe
Texte Tipe
Texte Tipe
Bien que récentes, cette exploitation voit déjà des technologies de productions centralisées , on peut
cependant douter d’un besoin de centralisation dans l’optique ou tout les batiments ont du courant
sous marins qui les travèresent et tangent..
dans une démarche de création, nous avons pensée à l’apport d’energie potentielle que le tanguage
pouvait apportere donc à une énergie que nous pourrions utiliser, par exemple avec un objet se
déplaceant le long d’un axe qui tanguerait.
Ppt schéma n1
Pour cela nous devons tenter, alors que nous nous trouvons en alsace, de reproduire les tangages
sans passer 8h dans une voiture pour aller voir l’océan, nous devons donc nous débrouiller pour
faire des tangages faits maisons,
ainsi commece la mise en place d’un dispositif de simulation de tangage , pour se faire nous
utiliserons un piston qu s’actionnera de façon répétée d’un postion maximale à une position
minimale pour donner l’illusion de penchants successifs.
Ppt shéma 2
dans le besoin de reproduire les tanguage il nous a fallu asservir le piston avec une carte arduino et
un code modélisant les allées et venues successive du piston tout en prenant soin de ne pas bloquer
le piston dans des positions trop avancée qui place le motteur hors de son axe.
nous nous sommes ensuite intéréssée à une méthode de récupération de cette énergie mécanique, si
les centrales utilisent des A COMBLER
nous tentons de directement récupérer une rotation à partir du déplacement de l’objet de masse M
sur le plateau, et tentons de récupérer la rotation induite,pour commencer avec une simple dynamo.
Nous devons à présent nous demander quelle méthode de converstion translation/rotation nous
utiliserons pour faire tourner la dite dynamo
idée de système pignon crémaillère dès lors notre modélisation pose problème, non seulement du
point de vue notre simulation puisque n’ayant pas de pignon crémaillère en bois( le piston ne
supportant pas le métal) et que la commande d’un système de ce type en bois prendrait du temps,
mais nous avons également remarqué en utlisant un système en métal que la roue se lançait
rarement avec des angles aussi faibles : alors que nous les négligions, les dents et les frottements
dus à des défauts d’usinage
semblaient créer un point d’equilibre mécanique rendant le déplacement incertain sans des dents
avec un usinage particulèrement précis qui permetterait des dents extrèmement fines, étant donné
que nous ne pouvions pas nous en procurer, nous voulions contourner le problème en imaginant un
système en hauteur pour que les roulis transmettent l’inertie suffisante, mais cela pouvait impliquer
de mettre le système dans des pièces avec un contact trop habituel avec l’air marin pouvant réduire
la durabilité du système .
Suite à l’accumulation des problèmes et des incertitudes au fil des semaines de recherches, nous
avons abandonné l’idée d’un système pignon crémaillère en remplaçant les roues dentées par des
roues classique qui roulent sur une planche en bois et un système roue/roue entre la roue du chariot
et l’arbre de la dynamo.
Cependant nous ne trouvons pas la simulation particulièrement précise et fidèle de le houle, nous
nous tournons donc vers un modèle qui ressemble plus à la houle avec une série de six pistons.
Qu’on peut aproximer à 2 pistons qu ‘on modélise avec \\\\\\\\\\\\\\\
dans ce cas si, on calcule l’ange d’inclinaisons en fonction de la course des « deux » pistons
Rendement de la dynamo
on en récupère des tensions de l’ordre du dixième de volt et avec des intensités très faibles, c’est un
problème que nous rencontrons malgré une augmentation proportionnelle avec des couples roues
menantes/roues menées.
Ainsi nous cherchons à nous renseigner sur un modèle qui a déjà « fait ses preuves » développé au
crns pour pouvoir le comparé avec notre petit TP .
1. Dynamo vs alternateur .