Cours PowerPoint
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LA SANTE AU TRAVAIL
UAK
19 et 20 Décembre 2023
2
CONTENU
J1
Généralités
Risques professionnels
Bruit en milieu professionnel
TMS : Lombalgies
J2
AT et MP
Risques liés aux pesticides
Risques liés au travail en ambiance chaude
Hygiène de vie
3
GENERALITES
OBJECTIFS
Définir la médecine du travail
Décrire les étapes évolutives de la MT
Connaître les objectifs de la MT
Décrire les formes d’organisation de la MT
Connaître les visites médicales en SST et leur
utilité
5
PLAN
Définition
Evolution
Objectifs de la médecine du travail
Organisation
Visites médicales
6
DEFINITION
Médecine préventive
Au profit du travailleur
7
EVOLUTION
Etape descriptive
Etape réparatrice : 1898
8
OBJECTIFS
Assurer la protection des travailleurs contre toute atteinte
à la santé pouvant résulter de leur travail ou des conditions
dans lesquelles celui-ci s’effectue
Contribuer à l’adaptation des postes, des techniques et
des rythmes de travail à la physiologie humaine
Contribuer à l’établissement et au maintien du plus haut
degré possible de bien être physique et mental des
travailleurs
Contribuer à l’éducation sanitaire des travailleurs pour
un comportement conforme aux normes et aux consignes
d’hygiène du travail
9
ORGANISATION DE LA MT
Obligatoire, par l’employeur et à sa charge
3 formes
Service autonome d’entreprise
100 salariés et plus
Service interentreprises
10
VISITES MEDICALES
Visite d’embauche : quand et pourquoi
Visites périodiques
Visites de reprise
Visites à la demande
Visite de changement de poste
Visite de surveillance spéciale
Visite de fin de contrat
Consultations spontanées
Consultation journalière
11
LES RISQUES
PROFESSIONNELS
PLAN
Définition
Classification
Nuisances engendrées
Limites d’exposition
prévention
13
DEFINITION
Probabilité de survenue
Gravité
16
NUISANCES
Diverses d’un risque à un autre
Réversibles ou irréversibles
17
PREVENTION
Mesures pour éviter ou réduire un risque
Selon le type d’action
Primaire
Secondaire
tertiaire
Selon la population concernée
Individuelle
collectives
Selon les méthodes utilisés
Technique
Médicale
Psychologique
Légale
18
FORMATION SUR
LE BRUIT
FORMATION DES PAIRS EDUCATEURS
11 Novembre 2022
Dr KOUNOUHEHOUA Nasser
Médecine du Travail
Médecine Légale/Expertise
PRETEST
PRETEST
23
OBJECTIFS PEDAGOGIQUES
24
PLAN
Intérêt du sujet
Audition normale
Audiométrie
25
Module 1
INTERET DU SUJET
Contexte et justification
AMPLEUR DE LA SP
Fréquence
Maladie très fréquente en milieu professionnel
Incidence :
Plus de 4000 nouveaux cas par an (Québec)
27
GRAVITE DES CONSEQUENCES
La surdité professionnelle (SP)
insidieuse : installation à bas bruit à l’insu de l’agent
Irréversible : On n’en guérit pas. Ne s’améliore pas
Conséquences professionnelles : nécessité de
changement de poste et ses aléas
Conséquences sociales : véritable handicap social
Conséquences extra auditives non négligeables
Physique
30
RETENONS
A l’origine du son, une pression qui créé une
perturbation (vibration) du milieu
Cette vibration se propage dans le milieu
d’atomes en atomes sous forme d’onde sonore
Pas de propagation du son dans le vide
Plus le milieu est dense, le son se propage
rapidement
Le risques liés au bruit sont réels à l’usine
La surdité professionnelle est insidieuse : QSP
31
CARACTERISTIQUES DU SON
La fréquence
Vidéo3_Fréquence et Volume
32
FREQUENCE1
Nombre de vibrations par unité de temps (par s)
S’exprime en Hertz (Hz)
Indique si un son (bruit) est aigu ou graves
Fréquence basse son grave Hommes
33
FREQUENCE2
Vidéo4_Fréquence
34
INTENSITE - NIVEAU1
Niveau en décibel (dB) et intensité en W/m2 ou W.m-2
Indique si un son est fort ou faible
Subjectivité dans la ≠ entre bruit et son. Cependant,
unanimité sur des repères
Seuil de l’audition 0 dB
60 dB Difficultés de concentration (W intellectuel)
80 dB seuil de risque
85 dB Seuil réglementaire
120 à 130 dB Seuil de la douleur
Audibles : 10-12 à 10 W.m-2. Pas pratique. D’où l’échelle logarithmique
35
INTENSITE - NIVEAU2
décibel « physiologique » ou décibel pondéré A
ou dB (A) pour reproduire sensibilité de l’oreille, pour
mesurer le niveau réellement perçu. Filtre de pondération A
au niveau des sonomètres
36
INTENSITE - NIVEAU3
On n’additionne pas les dB
1 machine x dB
2 machines (x + 3) dB
3 machines (x + 5) dB
10 machines (x + 10) dB
l’intensité diminue de 6 dB
37
INTENSITE - NIVEAU4
38
RETENONS1
Seuil de risque = _80_ dB
dB PICB recommandée
Seuil réglementaire = 85
_ _dB
dB PICB obligatoires
Les dB ne s’additionnent pas
Quand l’intensité double le niveau ↑ de 3 dB
Quand la distance double, le niveau sonore diminue
de 6 dB
39
RETENONS2
Spectre vocal : _60_ àà 1200
_ _ Hz
Hz
Champ auditif : _20_ àà 20000
_ _ Hz Hz
Plus la fréquence s’élève plus le son est aigu
La sensibilité de l’oreille n’est pas la même pour
tous les sons. Elle est maxi autour de 2000 Hz.
Déjà à 1000 elle est très bonne
La surdité professionnelle commence sur les
fréquences autour de 4000 Hz
40
Module 3
L’AUDITION NORMALE
SCHEMA DE L’OREILLE DROITE
AUDITION NORMALE1
Coupe frontale
42
AUDITION NORMALE2
Vidéo5_Mécanisme de l'audition
Tonotopie
43
Module 4
irréversible
46
RISQUES AUDITIFS3
Stades de la surdité professionnelle
Vidéo8_Isolement
47
RISQUES EXTRA-AUDITIFS
Sur l’homme déjà à 40 - 50 dB
Céphalées, tachycardie, élévation de la TA
Tension musculaire, irritabilité, stress et fatigue
Etc.
Effets sur le travail Vidéo9-Sourd au danger
Source d’accident : masque un signal d’alerte
Réduction de la qualité du travail : Baisse de
concentration et perturbation de la communication
48
Module 5
L’AUDIOMETRIE
DEFINITION
Audiométrie = ???
Evaluation, mesure de l’audition
Réalisée avec : Un
???audiomètre
50
PRINCIPE
Audiométrie tonale
Diffuser des sons purs d’intensité et de fréquence variables
Le patient appuie sur un bouton dès qu’il perçoit le moindre son
Audiométrie vocale pour évaluer la compréhension
Proposer, via des écouteurs ou un haut-parleur, et à différentes
intensités, des listes de 10 mots (à une ou deux syllabes)
Le patient doit les répéter
But : Mesurer le plus petit niveau sonore perçu par fréquence
et réaliser une courbe appelée audiogramme
Résultats inscrits sur une courbe : l’audiogramme
51
AUDIOGRAMME TYPE1
Suivi audiométrique d’un salarié exposé
A 5 ans 5 10 15 20 50 15
A 10 ans 10 15 20 30 70 30
A 15 ans 30 35 50 75 95 75
52
AUDIOGRAMME TYPE2
53
AUDIOGRAMME TYPE3
54
AUDIOGRAMME TYPE4
55
AUDIOGRAMME TYPE5
56
IMPORTANCE DE L’AUDIOMETRIE
Dépistage précoce
57
Module 6
PREVENTION
PREVENTION1
Comment prévenir les risques?
Vidéo
3 types de prévention
Prévention collective
Prévention individuelle
Prévention médicale
59
PREVENTION2
Prévention collective : Réduire propagation du bruit
Signalisation des zones bruyantes
Vidéo10_Isolation
60
PREVENTION3
61
PREVENTION4
Prévention individuelle port des PICB
Physiologique réflexe stapédien (Vidéo11_Réflexe stapédien)
Recommandé à partir de 80 dB
Obligatoire à partir de 85 dB
63
PREVENTION6
Prévention médicale : surveillance audiométrique
+++
64
Module 7
PRISE EN CHARGE
PRISE EN CHARGE
Lésions barotraumatiques du tympan
Procédure des AT
Surdité professionnelle
Tableau 38 de la liste des MP (Décret N°2013-50 du 11 Février 2013)
Appareillage auditive
Autres risques
Non pris en charge
66
RECAPITULONS
Citer en les classant les risques liés au bruit
.
LES LOMBALGIES
DEFINITION
Lombalgies = douleurs lombaires (au bas du dos)
70
INTERET
Fréquence
80% des MP
Jeunes de plus en plus touchés
Impacts sur le travailleur
Absentéisme, abus de médicaments et augmentation des
dépenses en santé pour un bénéfice incertain
Réduction d’aptitude, risque d’invalidité et de perte d’emploi
Impacts sur l’entreprise
Perturbation de l’organisation du travail et baisse de productivité
Démotivation et dégradation de l’image de marque
Prévention possible
71
PLAN
Présentation et rôle de la colonne vertébrale
Facteurs de risque des lombalgies
Manifestations et évolution des lombalgies
Prévention
72
COLONNE VERTEBRALE1
24 vertèbres empilées les unes sur les autres en 3 zones
7 cervicales
12 thoracique
5 lombaires
Les disques relient ces vertèbres entre elles
Amortisseurs de choc
Mobilité du rachis
Cohésion
Autres : muscles, ligaments, tendons, nerfs
Un ou plusieurs de ces éléments peuvent être touchés
Lombalgies
73
COLONNE VERTEBRALE2
74
°
FACTEURS DE RISQUE1
Composantes biomécaniques Composantes psychosociales
• Vécu par le salarié de ses propres
. • Efforts excessifs (port de charges,
tractions, etc.) conditions de travail
Sensibilité
individuelle et Lombalgies
hygiène de vie
75
FACTEURS DE RISQUE2
76
FACTEURS DE RISQUE3
77
MANIFESTATION ET EVOLUTION
78
PREVENTION1
Prise de mesures contre les différents facteurs de risques
biomécaniques psychosociaux individuels
Actions individuelles
Prise de conscience effective avec auto surveillance et attention de chaque instant à
la position de son dos et aux douleurs de dos
Formation à la manutention ergonomique des charges
Bonne hygiène de vie : exercices physiques, réhydratation, repos +++
Actions collectives
La situation de travail ne permet pas toujours de respecter les principes de
manutention ergonomique Intégrer les lombalgies à l’organisation du travail et
l’évaluation des risques créativité et ingéniosité
Rangement ergonomique des charges
79
PREVENTION2
Tâches nécessitant le maintien prolongée d’une même posture
80
PREVENTION3
81
PREVENTION4
82
PREVENTION5
83
AT ET MP
PLAN
Définitions
Reconnaissance des MP
déclaration et prise en charge
85
DEFINITION AT
Accident survenu à un travailleur
de l’employeur
86
DEFINITION MP
Caractéristiques médicales
Fréquence dans une profession
Reproductibilité
Caractéristiques légales
Inscription sur la liste des MP
87
DECLARATION DES AT ET MP
De la part de la victime
De la part de l’employeur
De la part de la CSS
88
LES PESTICIDES
PLAN
Définitions
Problèmes posés par les pesticides
Classification
Intoxication aigue
Moyens de prévention
90
DEFINITION
substance chimique utilisée pour détruire des
91
PROBLEMES
Manque de sélectivité
Présentation – dénomination
Résistances nouveaux produits et usages en
mosaïque, en mélange et en rotation
Pollution de l’environnement et du cycle alimentaire
Cancérogénicité
Organochlorés : toxaphène, dieldrin, képone, hexa
chlorobenzène)
Aromite
Certains hydrocarbures halogénés
92
Classification
Organiques de synthèse
Organochlorés :
DDT, Aldrine, dieldrine, endrine, heptachlore tous interdits dans les pays
occidentaux
Le lindane
Organophosphorés (Malathion : PIRIGRAIN-HM, parathion,
méthylparathion, dichlorvos ou vapoma : BAYGON)
Carbanates
Organiques végétaux
Nicotine
Roténone
Pyrèthre et pyréthrinoïdes
93
INTOXICATION1
Circonstances d’intoxication
Ingestion accidentelle surtout chez l’enfant
Tentatives d’autolyse
94
INTOXICATION2
Les signes d’intoxication varient selon le produit
Irritation (peau, yeux, bronches =>toux)
Hypercrinie : hypersalivation, encombrement bronchique, sueurs
profuses, larmoiement et troubles de la vision
Syndrome hémorragique
95
PREVENTION
Homologation
Protection de la population générale
En milieu du travail
Collective
Individuelle
Surveillance médicale
96
SECOURISME SUR PLACE
Décontamination
ôter les vêtements en portant des gants
laver la peau, au savon et à l’alcool
laver les cheveux
lavage oculaire prolongé
Libération des voies aériennes supérieures
Oxygénation et ventilation assistée
Pas de lait, pas de graisse pendant 3 jours
97
AMBIANCES THERMIQUES
DEFINITIONS
Ambiance thermique : 3 paramètres principaux
Température de l’air
Vitesse de l’air
L’humidité relative
Confort thermique :
Les trois paramètres de l’ambiance thermique
Activité physique
habillement
99
INTERETS
Fréquence du travail en inconfort thermique :
notamment le travail à la chaleur en région tropicale
100
OBJECTIFS
Général : Sensibiliser sur les risques liés au travail à la
chaleur
101
PLAN
Conditions de confort thermique
102
CONFORT THERMIQUE
ISO 7730
103
RISQUES LIES A LA CHALEUR
Tachycardie : accélération du rythme cardiaque
Déshydratation et perte de sels: (sueur)
Crampes et douleurs musculaires et articulaires, asthénie et
baisse des performances physiques
Céphalées, vertige, étourdissement, baisse de la concentration
et de la vigilance, syncope
Etc.
104
PREVENTION
Collective
Mesures mises en place par l’employeur
individuelle
Mesures prises par l’opérateur à son niveau
105
PREVENTION COLLECTIVE
Protection contre les variation thermique
Bonne isolation thermique
Peinture des murs extérieurs en blanc
Vitres teintées
Orientation des baies vitrées
Etc.
Elimination des sources de chaleur
Changement de technologie ou modification de processus
Isolement des parties chaudes des machines avec
canalisation et évacuation d’air chaud
Ecrans entre source et opérateur
Ventilation (forcée ou naturelle) et contrôle de l’humidité
Organisation du travail : pauses, rotations, etc.
106
PREVENTION INDIVIDUELLE
EPI : Vêtements anti-chaleur
Faire de l’eau la boisson n°1
Quantité d’eau à boire hors apport repas
Adulte avec effort modéré et en climat tempéré : 1,5-2 litre
En milieu tropical : bien plus +++
En milieu tropical et à l’effort (usine) : encore plus ++++++
Comment boire
Fractionner en au mois 6 fois par jour au repos (0,25l)
Toutes les 15 minutes à 30 minutes selon l’intensité de l’effort
et de la transpiration (150 à 300 ml)
Quand boire : avant perception de la soif
Perception après perte d’eau = 1 à 2% du poids. Or perte de 2%
107 réduction des facultés intellectuelles de 20%.
COMMUNICATION SUR
L’HYGIENE DE VIE
Dr KOUNOUHEHOUA Nasser
Médecine du Travail
Médecine Légale/Expertise
DEFINITION
Moyens de conservation d’une bonne santé
Composantes
Sommeil
Hydratation
Addictions : alcool, tabac, abus de médicament
Activité physique
Alimentation
Etc.
109
INTERET
Modernisation et industrialisation au détriment
de la santé
Milieu professionnel agressif
Agressions physiques : chaleur, vibrations, bruit, etc.
Agressions chimiques : particules chimiques
diverses (poussières, fumées de soudure, etc.)
Psycho-sociaux : stress, horaires atypiques, etc.
110
OBJECTIFS
Général : Informer et inciter à pratiquer les
mesures d’hygiène de vie
Spécifiques : Sensibiliser sur
Le tabac et l’alcool
L’hydratation
Une pratique régulière d’exercices physiques
Une bonne hygiène du sommeil
Un usage rationnel des médicaments
L’alimentation
111
PLAN
Tabac
Alcool
Hydratation
Hygiène du sommeil
Usage rationnel des médicaments
Pratique régulière d’exercice physique
Alimentation
112
TABAGISME
TABAC
Unanimité de toutes les sociétés savantes sur la
nocivité du tabac et ceux sous toutes ces formes
Thomas haret : 1588 – cancer du nez
1ère cause de décès évitable :
Tue 1 personne toutes les 6 secondes dont 1 fumeur sur 2
Fumée de tabac
Plus de 4000 substances dont 50 cancérigènes
Persistance des goudrons 7 à 15 ans dans les poumons
Pas de dose tolérable-attention au tabagisme passif
Dommages transmissibles : Parentsenfants
114
ALCOOLISME
ALCOOL
Nuances :
Existence d’une dose tolérable sans risque ou à risque
négligeable??
Effets protecteurs cardio-vasculaires????
Risques liés a une consommation excessive
Toxique : aigue et chronique touchant tous les organes
Agressivité
Addiction – tolérance - overdose
Cancérogénicité : groupe 1 du CIRC entériné une vaste étude
sur 1M d personne et qui a conclu que 10g d’éthanol/jour
augmente le risque de cancer de 22%
116
RECOMMANDATIONS
Abstention si possible ou sinon usage
occasionnel surtout si ATCD
Sinon, consommation modérée
Pas deux jours consécutifs
Limiter la consommation quotidienne à
3 verres standards chez l’homme
2 verres standards chez la femme
117
HYDRATATION
IMPORTANCE1
Intérêt : Indispensable à la vie
Corps humain = 70 à 80% d’eau
Sans boire, on ne peut vivre que 2 à 5 jours
Hors perte quotidienne plus ou moins importante
et multiforme
Importance de la (ré)hydratation
119
IMPORTANCE2
ORGANE % SIGNES
Céphalées, vertige, étourdissement, baisse concentration et
Cerveau 85
vigilance, baisse des facultés intellectuelles
Muscle 75 TMS, maux de dos, douleurs articulaires, crampes et
Disque 70-80 faiblesse musculaire, entorses fréquentes, claquages
musculaire, fatigue et baisse de performance physique
Synovie ++++
Sang 80 THE avec crampes, tachycardie, urines foncées
Peau 71 Peau sèche, rêche et rugueuse, ridules, perméabilité affectée
Troubles de digestion, de diction et mauvaise hygiène bucco-
Salive +++
dentaire
Cœur, Dysfonctionnement de ces organes
75-80
reins, foie
Absorption et transport des nutriments, thermorégulation,
Autres perturbation des excrétions urinaires (calculs rénaux),
digestive (constipation), etc.
120
RECOMMANDATIONS
Faire de l’eau la boisson n°1
Quantité d’eau à boire hors apport repas
Adulte avec effort modéré et en climat tempéré : 1,5-2 litre
En milieu tropical : bien plus +++
En milieu tropical et à l’effort (usine) : encore plus ++++++
Comment boire
Fractionner en au mois 6 fois par jour au repos (0,25l)
Toutes les 15 minutes à 30 minutes selon l’intensité de l’effort et
de la transpiration (150 à 300 ml)
Quand boire : avant perception de la soif
Perception après perte d’eau = 1 à 2% du poids. Or perte de 2%
réduction des facultés intellectuelles de 20%.
121
SOMMEIL
SOMMEIL1
Intérêt = indispensable à la vie
Repos Reconstitution stock énergétique Récupération
physique et psychique
Maturation cérébrale, mémoire, cognition
Vigilance et état de veille
Stimulation du système immunitaire
Mise au « repos » du système cardio-vasculaire
Production d’hormones (mélatonine et GH)
Elimination des toxines
Régulation de l’humeur
Maintien de la température interne et réactions hormonales
Etc.
123
SOMMEIL2
Recommandations
Courte sieste de 5 à 20 min voire 30 min maximum pour maintenir la
vigilance pour le reste de la journée
Eviter les excitants après 16 heures : café, thé, cola, vitamine C (retard
d’endormissement et réveils fréquents), alcool (sommeil instable)
Exercice physique régulier en journée pour favoriser l’endormissement
(exercice léger le soir sinon au moins 2 heures avant coucher)
Adopter des horaires réguliers tant pour le coucher que pour le lever
même en week-end Effet synchronisateur
Eviter les écrans au lit et prévoir une période calme avant d’aller au lit
Eviter ou limiter les tranquillisants et somnifères
124
SOMMEIL3
Recommandations (Suite)
Aller au lit assez tôt entre 22h et 23h au plus
Dormir en environnement calme et dans l’obscurité
Si après 1 heure, pas de sommeil, lire ou écouter de la musique
douce. Si toujours pas sommeil, reporter l’heure de sommeil à
plus tard dans la journée et quitter le lit
Réveil dynamique : lumière forte, exercices d’étirement, toilette
à l’eau tiède
Si réveil précoce, ne pas forcer le sommeil, quitter le lit
125
ACTIVITE PHYSIQUE
RECOMMANDATIONS DE L’OMS1
Populations cibles
Adultes en bonne santé de 18 à 64 ans
Adultes âgés de 18 à 64 ans atteints de MNT comme
le diabète et l’hypertension artérielle
Cas nécessitant un avis spécialisé
Femmes enceintes
Femmes venant tout juste d’accoucher
ATCD : AVC, infarctus, angine de poitrine, IC
127
RECOMMANDATIONS DE L’OMS2
DOSES RECOMMANDEES D’EXERCICE PHYSIQUE
128
RECOMMANDATIONS DE L’OMS3
129
MEDICAMENTS
MEDICAMENTS
Définition de l’automédication
Risques
Exposition aux effets secondaires
Non respect des recommandations (posologies et durée du
traitement)
Prise de médicaments non adaptés
Associations médicamenteuses dangereuses
Particularité des médicaments de rue
Conseils
131
RECOMMANDATIONS
Certains médicaments peuvent être utilisés de façon
ponctuelle en attendant de consulter
Eliminer les sujets fragiles
Pas d’antibiotique ou d’antipaludéens sans avis médical
Prendre l’avis d’un professionnel en cas d’association
médicamenteuse
Lire toujours la notice
Toujours respecter les modalités de prise : posologie et
durée de traitement
132
ALIMENTATION
RECOMMANDATIONS
Fruits et légumes
Consommer les fruits naturels et de préférence
entièrement
134
CONCLUSION
Investissons nous dans les mesures d’hygiène
de vie
C’est un bon investissements pour notre santé
sans laquelle on ne peut pas aller travailler pour
chercher le minimum pour nous et notre famille.
C’est un bon investissement pour nos vieux
jours
Et en plus c’est un investissement qui ne coûte
pas. Sinon que notre temps que nous devons
apprendre à consacrer avant tout à l’utile
135
.
MERCI
!!!