TFC Tshiamanga Kanda Paul.
TFC Tshiamanga Kanda Paul.
TFC Tshiamanga Kanda Paul.
Epigraphe
Bernard Minier.
In memoriam
2
Dédicace
3
Remerciements
4
Notre Directeur le Professeur Marcel MUSANGU LUKA pour votre amour, votre
assistance, votre forte implication et bienveillance, dans la rédaction ce travail;
Nos parents Dieudonné KANDA et Claudine NSEYA pour votre soutien moral,
spirituel et votre dévouement dans l’accomplissement de vos obligations
parentales ;
Notre ainé scientifique BIRORI BURONGI THIERRY, qui par ses conseils, soutient
et recommandation a contribué à la réalisation du dit travail ;
In fine, nous remercions infiniment, tous ceux qui nous ont soutenus d’une
manière ou d’une autre à la réalisation de notre mémoire.
IA : Intelligence artificielle
INTRODUCTION
I. Contexte de l’étude
II. Problématique2
Dans le cadre de notre travail, nous utiliserons les Méthodes et techniques suivantes :
V. Délimitation du travail
Il est impérieux de souligner qu’un travail
scientifique ne peut contenir à lui tout seul toute les informations sur l’apport du
numérique pendant la période COVID-19, ainsi que sur les entreprises publiques
notamment la BCC pour le cas échéant.
Pour ce faire nous allons délimiter notre travail dans le temps et dans l’espace :
VI. Objectifs
6.1. Objectif général
L’objet de notre travail pour ajouter à ce qui a
été dans problématique est d’analyser l’apport de l’économie numérique dans
l’économie globale.
A l’exception de l’introduction et de la
Conclusion, Notre travail comporte entre autre trois chapitres.
1.1.1 L’économie3
1.1.2. Le numérique4
3
3. Idem, consultée le 14 Avril 2021.
4
4. Idem, consultée le 27 septembre 2021
12
Graphique n°1
Source : Etude+thématique+impact+numérique
Le numérique ne concerne d’ailleurs pas
seulement les générations nouvelles dites ou encore les suivantes restant à venir,
mais bien tout le monde, l’entreprise comme les particuliers, le management comme
5
5. BEZIADE C., ASSAYAG S., (2014) « l’impact du numérique sur les métiers de la banque », Academia edu, net,
mars 2014, https://www.academia.edu/41183289, consulté le 08.10.2021.
14
les opérationnels, les jeunes comme les seniors. Le numérique ou digital impacte
l’entreprise sur trois dimensions qui sont souvent amenées à se regrouper :
• le digital externe, qui se traduit par la présence d’une entreprise et sa visibilité sur
les réseaux, via les interactions qu’elle peut avoir avec ses clients et / ou ses
prospects par exemple;
• le digital central, qui est l’impact du digital sur les partenaires et l’écosystème en
général de l’entreprise ;
• le digital interne, qui traduit l’impact du digital sur les collaborateurs, l’organisation
et les processus opérationnels d’une entreprise. L’entreprise numérique définit une
stratégie digitale globale et cohérente sur ces trois axes.
Graphique n°2
17
Source : Etude+thématique+impact+numérique
• Dans le premier cas : la banque propose une offre similaire à celle disponible en
agence mais sur un mode relationnel privilégiant les canaux à distance, avec
notamment (et contrairement aux centre d’appels « dépersonnalisés ») le
rattachement à un conseiller particulier accessible via une multitude de canaux
(mails, téléphone, visioconférence, sms, etc.). L’agence demeure souvent un point de
contact possible pour le client, et ces agences en ligne disposent de noms de marques
spécifiques et sont très clairement rattachées à leur « banque-mère ». Sur le plan
18
• Paypal
Parmi les acteurs importants du secteur, Paypal, filiale d’eBay, bénéficie du statut
d’établissement de crédit depuis 2007. Sa banque européenne est basée au
Luxembourg. Les services bancaires représentent une activité particulièrement
convoitée par Paypal notamment, qui prévoit de se lancer dans le crédit à la
consommation aux particuliers. En effet, en avril 2013 a eu lieu la journée des
analystes organisée par eBay. A cette occasion la compagnie a présenté ses intentions
concernant le marché du crédit : la marge opérée lors d’un achat fondé sur une offre
de crédit est supérieure de 73% par rapport à celle générée via un moyen de
paiement classique. D’autre part, le taux de conversion d’un achat financé par une
offre de crédit est largement supérieur à celui d’un achat par paiement immédiat ; les
utilisateurs de crédit dépensent presque 40% de plus que les autres consommateurs.
Paypal vise également le financement des entreprises :
Des expérimentations sont en cours au Royaume-Uni, et en phase de déploiement
aux Etats-Unis, dans le domaine du financement des entreprises.
19
• Le paiement mobile
La tendance du paiement mobile, ou « m-payment » se confirme à travers le monde,
et, d’une manière générale, le paiement électronique reste un point d’entrée. Une
fois que la marque s’est imposée sur cette activité, il lui est possible de proposer de
nouveaux services et produits. Ainsi, d’autres acteurs de secteurs variés se sont
lancés sur le créneau des nouveaux moyens de paiement, dont les géants d’Internet
tels que Google (avec Checkout, fondé en novembre 2012 dans le Google Wallet) et
Microsoft aux Etats-Unis ou encore les télécoms, les banques tentent de riposter en
développant leur portefeuille électronique (Kwixo pour le Crédit Agricole, S-Money
pour BPCE, Paylib par BNP Paribas, La Banque Postale et Société Générale, etc.),
comme nous le verrons plus loin dans l’étude.
l’usage des Smartphones dans le monde (250,2 millions de Smartphones ont été
vendus à travers le monde au 3ème trimestre 2013, soit une hausse de près de 46%
en trois mois, on s’attend à ce que le nombre de mobinautes (personne qui utilise un
téléphone mobile pour naviguer sur Internet (L’internaute)) dépasse celui des
internautes « classiques ». Selon une étude de Médiamétrie de septembre 2013 près
d’une personne sur deux se connecte chaque mois à l’Internet mobile. Cela
représente 25,8 millions de mobinautes au 3ème trimestre 2013 soit 3,5 millions de
plus qu’il y a un an. On ne compte plus d’ailleurs les solutions de paiement mobiles,
avec ou sans contact QR code, de nombreuses start-up européennes s’étant lancées
sur ce créneau : chacune avec des positionnements plus ou moins similaires,
permettant le paiement de factures chez soi et / ou chez le commerçant par QR
codes, ou sans contact, ou via Cloud Based Payment (service de paiement en ligne
mis à disposition de l’utilisateur / du client via un serveur Cloud.), ou encore par
transfert audio sécurisé, envoi d’argent à des proches Peer to Peer ou P2P (le pair à
pair ou pair-à-pair est un modèle de réseau informatique proche du modèle client-
serveur mais où chaque client est aussi un serveur. Le pair à pair peut être centralisé
(les connexions passant par un serveur central intermédiaire) ou décentralisé (les
connexions se faisant directement). Il peut servir au partage de fichiers en pair à pair,
au calcul distribué ou à la communication). Cumul de points de fidélité, gestion de «
cagnottes », paiement des transports, etc.
6
6. ANGEMITO J., l’efficacité des moyens de sécurisation transactions bancaire des online par la RAWBANK,
mémoire présente à la faculté d’économie de l’ISG, Kinshasa, 2012 (inédit).
23
10
10. MINGASHANGA J., modélisation de portefeuille électronique dans une société : cas TIGO CASH, mémoire
présenté à la faculté d’informatique de l’ISC, Kinshasa, 2014 (Inédit).
25
I. LOCALISATION ET HISTORIQUE
11
11. https://www.bcc.cd, consultée le 09 octobre 2021.
26
III. Missions
en place par la Loi n° 005/2002, les seconds trouvent leur fondement dans l’exercice
de la mission du Gouverneur de la banque.
- La gestion fiduciaire, l’on remarque que le retrait via le guichet via les guichets
est beaucoup plus utilisé que les retraits au siège de la banque.
33
- Dans son (SNP), dans le cadre de ses nouvelles perspectives la banque poursuit
l’automatisation du circuit de la paie pour l’année n+1 (2020), ainsi que la mise en
production de la facturation automatique des transactions.
- Dans ses perspectives pour l’audit interne, elle compte la professionnaliser
c’est-à-dire un processus d’informatisation des processus d’audit et de gestion des
risques a été entamé pour une solution informatique plus efficace ; sans compter que
pour passer les écritures de compte, ils disposent des logiciels fournis et pour les
personnels de bureau les équipements informatiques sont correctes.
que celui-ci constitue un véritable poids économique sur le pouvoir d’achat faible des
consommateurs congolais.
Tableau n°1
Année 2010 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018
Secteur -0,8 0,1 0,7 1,2 0,8 1,2 0,4 0,3 -0,2
numérique
PIB aux prix réels 7,1 6,9 7,1 8,5 9,5 6,9 2,4 3,7 5,8
CONCLUSION
Nous voici donc au terme de notre travail qui a
porté sur « l’apport de l’économie numérique dans les entreprises publiques : cas
BCC ». En abordant nos recherches, notre préoccupation c’est axée autour les
questions suivantes :
- Avec une société de plus en plus tournée vers les technologies pour presque
tous les domaines producteurs des biens et services utiles à la consommation,
force est de constater que par rapport au monde et à l’évolution de la
technologie, la RDC accuse un sérieux retard, lui coutant ça et là certaines
embuches face à son développement. De ce fait notre travail aide à montrer
l’incapacité à faire sans la technologie.
- Cependant au vue des tous les biens que peut procurer une économie tourner
vers le numérique la tendance est de considérer les dangers qui lui sont liés
comme des dommages collatéraux.
Après analyse et étude des données les résultats ont révélé ce qui suit :
L’activité du secteur numérique dans le monde est en plein essor avec des chiffres
très flatteur certes, cela semble flouter la peine que présente en particulier certains
pays à suivre le rythme même si le direction est déjà prise.
La mise en place d’une économie numérique en RDC, s’est décliné sur l’analyse du
niveau de taxation d’internet, la fracture numérique, le cout d’accès aux services
mobiles ainsi que de la fibre optique. Le niveau de la taxation d’internet en RDC, a
41
montré qu’elle est soumise à une taxe d’accise qui est fixé à 10% et qui impacte donc
négativement le niveau de production du secteur numérique dans sa contribution au
PIB de la RDC. Cette taxe d’accise est normalement destinée aux entreprises
produisant des externalités négatives sur l’environnement La fracture numérique a
relevé une faible pénétration de la téléphonie mobile estime à 31% en RDC par GSMA
en 2015. Le cout d’accès aux services mobiles qui a révélé que le cout des services
mobiles était très élevé suite à plusieurs facteurs légaux réduisant la part des
profitabilités des entreprises. L’absence d’une fibre optique de qualité ne permet pas
un accès fiable à une connexion internet de très haut débit.
Fort de ce qui précède nous constatons que notre hypothèse 1 de départ a été
confirmé tout en montrant les efforts que produisent les entités publiques à se
moderniser vers le numérique, hélas la RDC accuse un grand retard et ne favorise pas
un climat des affaires propice à l’ascension de l’NTIC.
42
BIBLIOGRAPHIE
i. OUVRAGES
ii. ARTICLE
BEZIADE C., ASSAYAG S., (2014) « l’impact du numérique sur les métiers de la
banque », Academia edu, net, mars 2014, https://www.academia.edu/41183289,
consulté le 08.10.2021.
iii. RAPPORTS
v. NOTES DE COURS
vi. WEBOGRAPHIES
TABLE DE MATIERE
Epigraphe…………………………………………………………………………………………………………………..1
Dédicace…………………………………………………………………………………………………………………….2
Remerciement……………………………………………………………………………………………………………3
In memoriam……………………………………………………………………………………………………………..4
Liste d’abréviations…………………………………………………………………………………………………….5
INTRODUCTION………………………………………………………………………………………………………….6
I. Contexte de l’étude…………………………………………………………………………………………6
II. Problématique…………………………………………………………………………………………………7
III. Hypothèses……………………………………………………………………………………………………..9
IV. Méthodologies et Techniques…………………………………………………………………………9
V. Délimitation…………………………………………………………………………………………………….9
VI. Objectif………………………………………………………………………………………………………….10
6.1. Objectif général………………………………………………………………………………………10
6.2. Objectif spécifique………………………………………………………………………………….10
VI. Canevas du travail…………………………………………………………………………………………10
CHAPITRE I. REVUE DE LA LITTERATURE……………………………………………………………………11
Section 1. CONSIDERATION THEORIQUE SUR L’ECONOMIE NUMERIQUE…………………11
1.1. Définitions des concepts……………………………………………………………………………………11
1.1.1. L’économie…………………………………………………………………………………………………….11
1.1.2. Le numérique…………………………………………………………………………………………………12
1.1.3. L’économie numérique…………………………………………………………………………………..13
1.1.4. Le Corona Virus………………………………………………………………………………………………13
1.2. Quelques changements occasionné par le numérique dans les entreprises………13
1.2.1. Caractéristiques pourtant intelligibles : vers l’entreprise numérique……………..13
1.2.2. Impact du numérique sur les banques……………………………………………………………15
1.2.2.1. Evolution des comportements et attentes du client…………………………………….15
1.2.2.2. Plus d’interactivité, de continuité de service et de simplicité d’utilisation Le
client attend d’abord de la part de sa banque une forte interactivité et une continuité
de service………………………………………………………………………………………………………………...15
1.2.3. Emergence de nouveaux moyens de paiement et arrivée de nouveaux entrants
dans la sphère bancaire……………………………………………………………………………………………16
1.2.3.1. La banque directe « Pure Players »………………………………………………………………16
1.2.3.2. Les nouveaux moyens de paiement…………………………………………………………….18
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