L'Excision (Rebelle Fatou Keita)
L'Excision (Rebelle Fatou Keita)
L'Excision (Rebelle Fatou Keita)
ANNEE SCOLAIRE
2021 /2022
Union-Discipline-Travail
Professeur
By M. TEHUA: M. YEPRI
(What.:
05 46 23 46 13
EXPOSANTS :
INTRODUCTION
CONCLUSION
INTRODUCTION
Fatou Keïta, née à Soubré (Côte d'Ivoire) en 1955, est une écrivaine
ivoirienne. Elle est docteure, enseignant-chercheur, à la faculté
d'anglais de l'université Houphouët Boigny d'Abidjan. Elle est
spécialiste de civilisation britannique et ancienne doyenne de ladite
faculté. Elle effectue ses études primaires en France, à Bordeaux, où
son père termine sa formation de chirurgien puis, poursuit ses études
en Angleterre et aux États-Unis. Elle écrit surtout des nouvelles pour
enfants. Avec son premier roman, Rebelle, l’écrivain aborde un sujet
2. Au plan juridique
L’excision est illégale dans la plupart des pays du monde. Beaucoup
de pays démocratiques interdisent formellement l’excision au nom
du respect des Droits de l’Homme, du respect de la personne
humaine et de la protection de l’enfance.
Aujourd’hui en France, grâce notamment à Linda Weil Curiel,
l’excision est reconnue comme mutilation et considérée comme un
crime passible de 10 à 20 ans de réclusion. Comme illustration, on
peut citer la condamnation de l’ami de Fanta, l’amie de Malimouna
en France dans le roman Rebelle, ainsi que son mari et l’exciseuse
après la mort des suites d’hémorragies de leur fille. Cette solution
pourrait amener les partisans et pratiquants de l’excision à se faire
une raison.
En Afrique, on a recensé 28 pays où se pratique l’excision. Certains
ont légiféré, mais les traditions demeurent et la loi n’est pas toujours
appliquée. De plus, il est parfois difficile de choisir entre la législation
administrative, et le respect des ancêtres…
CONCLUSION
Au terme de notre exposé, nous pouvons affirmer que la lutte contre
l’excision bat son plein actuellement. A l’instar de Malimouna et de
son association dans Rebelle, le roman de Fatou KEITA, le combat
contre l’excision n’est plus l’affaire de simples femmes car l’excision
mais de tous. Par ailleurs, l’Etat doit mettre en œuvre des moyens
pour lutter contre ce fléau qui cause de multiple problème à la
femme Africaine.
FIN