Theorie Du Droit
Theorie Du Droit
Theorie Du Droit
Introduction :
I. Explicitation du terme théorie
- Selon l’étymologie latin, théorie vient du latin « theoria » de la spéculation/ l’aspect spéculative.
Elle revient de réfléchir à des objets abstraits.
- Selon l’étymologie grec, théorie du grec « théoria » qui signifie observer/ contempler/ spéculer.
Elle revient de l’observation, se qui est possible de voir, ce qui a une existence concrète.
Ainsi en théorie, il faudrait essayer d’observer ce qui manifeste du phénomène du droit afin
d’essayer de dégager des éléments communs.
On utilise le terme théorie des pratiques qui diffère entre eux. On verra ici que 2 :
- Les théories dites descriptive : elle se limite tel qu’il apparait/ se manifeste. Cette théorie se
garde d’une chose, cad comment les choses devrait être. Ex : le positivisme : le droit est le droit en
vigueur, théorie en ppe dvlper par Kelsen. La vérité est spécifique pour certains domaines : des
choses peut être véridique dans certain domaine mais pas dans d’autre. Ex : En physique antique
avec Le chat de Schrödinger qui n’est pas considéré comme vivant ou mort mais les 2 car on ne sait
pas s’il est l’un ou l’autre.
Cela part d’un ppe qui s’appelle la loi de Hume, « il n’est pas possible de tirer des vérités générales et
objective de l’observation de fait particulier » cad l’expérience que l’on fait des choses ne permet pas
d’en tirer des règles générales à elle seule, ex : Train SNEF. Cela explique le positivisme, cad on ne
peut pas tirer de loi générale sur le droit en particulier.
Elle s’oppose à la théorie dites normatives ou prescriptive.
- La théorie dites normatives : c’est une théorie qui entendre dire comment les choses
doivent être. On va élaborer des catégories, caractéristique qu’on va appliquer dans la réalité. Ex :
Théorie des pouvoirs de Montesquieu, le juste naturalisme, idée dans laquelle il existe un droit
naturel, fait de ppe supérieur auquel doit correspondre la Législation pour pouvoir être du droit.
Pourquoi le positivisme est plus dvlpé/ dominer que le juste naturalisme ?
La question des valeurs : qu’est ce qui mérite d’être protéger ou pas ? On parle d’axiologie en
philosophie, les valeurs diffère des choses à l’autres.
Cependant on ne peut pas arriver à une idée de vérité objective en ce qui concerne le plan des
valeurs, c’est le non-cognitiviste éthique.
II. Quel différences est-il possible de faire entre Théorie du droit et philosophie du droit ?
A. Perspective historique sur l’apparition de la distinction entre philosophie et théorie du droit.
Historiquement la philo du droit n’était pas distincte du droit, elle en était le cœur même. A l’époque
le droit est perçu comme l’étude des règles et la raison d’être de ces règles.
Cicéron, De Oratore, I, 188 (l’œuvre date de 55 av. J-C) « Il faut donc ici poser la fin du droit civil :
c’est d’observer fidèlement l’équité, selon les lois et les usages, dans les divers cas opposant les
citoyens. » Le droit a l’époque est totalement immergé dans la philosophie morale. Il y a aucune
discipline qui pouvait s’appeler philo du droit.
On peut considérer que cette séparation (droit et la réflexion philo) va être du a un auteur, Kant.
Celui-ci propose une distinction :
- « Qu’est-ce que le droit ? » : cela peut se faire, en se détachant de ce qui existe à un
moment donner. Pour Kant il appartient au philosophe de se poser cette question, alors que les
juristes s’occupent de celui de savoir ce qui est de droit. Cette distinction va avoir un effet
considérable, les J va se limiter par l’étude du droit positif pour laisser les philosophe l’étude sur le
droit.
F. Mourlon, Répétitions écrites sur le Code de procédure civil, 8e édition, 1869. « Cette distinction
entre le droit naturel et le droit positif n’est utile que scientifiquement parlant ; elle n’a en
Jurisprudence aucun côté pratique. Pour le jurisconsulte, pour l’avocat, pour le juge, un seul droit
existe, le droit positif. »
- « Qu’est-ce qui est de droit ? »
Changement définition : la définition avant du droit était imprégner de philosophie, maintenant la
définition change après cette distinction qui est donc : ensemble de règle obligatoire et
contraignante.
Nouvelle discipline qui émerge au 20ème siècle : La théorie du droit dvlper par Kelsen.
Kelsen, Théorie pure du droit, préface, LGDJ p. 3.
Kelsen se bataille contre certaine philosophie du droit qui est le juste naturalisme. Archives de la
philosophie du droit 1962, p.131.
La théorie doit être axiologiquement neutre et défendre aucune valeur particulière et elle
pourra donc être scientifique.
Comme on peut tirer de la connaissance ce qui est observable, alors cette discipline philosophie du
droit) devrait être empirique cad le produit de l‘expérience.
On a donc 3 distinctions :
- Philosophie du droit
- théorie du droit
- Réflexion du droit.
On a des juristes profondément insatisfaits de la manières dont les philosophe réfléchisse du droit.
Alors les juristes vont donc produire également des réflexions a ce sujets, le but étant de se
distinguer des philosophes en employant le même terme/ titre, (théorie du droit ou théorie générale
du droit) mais avec un contenu différent.
B. Réflexion autour du sens et de l’actualité de cette distinction
Distinction tjrs importante dans le champ académique, on a tjrs des pers qui se définisse comme
théoricien ou philosophe ex : Michel Troper, Philosophie du droit, Que-sais-je, p. 5-6.
Elément de définition de la théorie du droit de Troper
Définition pareille que Kelsen mais pas le même niveau. 2 éléments les différents : les personnes qui
les effectuent (soit les juristes), et la position du regard (soit les philosophe). On peut en dire qu’elles
sont douteuses dans le sens des outils qu’on utilise, dans les 2 cas ce sont bien des outils philosophie
qui sont utiliser. Mais cette distinction conserve des intérêts pour comprendre les approches,
généralement la philosophie du droit va se préoccuper d’éléments/ q° qui n’intéresse pas de façon
prioritaire la théorie.
La théorie du droit à une prétention d’autonomie, elle entend pouvoir expliquer le droit à elle seule
sans pour autant à l’expliquer. Existe qu’en Europe cette distinction car dvlper par Kelsen qu’en EU.
03/10/2022
III. Considération autour de la distinction entre théorie et pratique
La théorie existe au titre/ autour d’une conception intellectuelle mais qui n’a aucun moyen d’être
vérifié. Or la connaissance a pour but de nous orienter dans le monde, donc si la théorie est à ce
point distinguée de la pratique, à quoi nous servirait-elle ?
La réflexion dite théorique suppose l’apprentissage de méthode particulière et donc un effort
différent de celui déjà exigé par l’étude du droit positif.
Cette distinction entre théorie et pratique n’existe que sur le plan du savoir/ l’apprentissage, idée
de pédagogie, elle n’existe pas dans le réel.
On dit cela, car il réfléchisse tous à leur pratique ainsi ce n’est pas qu’il ne développe pas de discours
de la théorie qu’ils n’en font pas. Ils sont une théorie, la leur, qu’il leur permettre de faire ce qu’ils
font mais en vérité que toure pratique suppose pour existe au moins une théorie.
Rien n’interdit de penser du droit dans des façon totalement déconnecter, on pourrait s’interroger
(…)
La théorie part de l’observation mais on peut se détacher et penser de façon abstraite.
Ex : la thèse selon laquelle le droit et la morale serait séparer, ce n’est pas une question totalement
abstraite car il n’y a plus de raison d’interdire tous ce que la morale réprouve.
Ex : controverse sur la thèse de la séparation entre droit et morale, dans laquelle : A l’époque il était
criminalisé par le droit, la prostitution et l’homosexualité (pratique considéré comme immorale).
Est-ce que le droit nazi est bien du droit ?
Q° sur l’application du droit pendant cette période, si on peut condamner une personne pratiquant
un droit injuste, est-elle responsable de l’avoir appliquer ?
Ex : l’égalité
Anatole France : « La majestueux égalité des lois, qu’interdit aux riches comme aux pauvres de
coucher sous les ponts, de mendier dans la rue et de voler du pain. »
Certes le droit nazi a été « effacer » dans le droit français, cependant il en reste encore notamment le
droit sur l’obligation de porter assistance aux personnes en danger.
24/10/2022
- La loi de Moïse : loi dictée par Dieu aux juifs, elle est dictée car on ne peut plus la trouver donc elle
est révélée. C’est un cadeau de la divinité, c’est loi a ensuite dépasser par un autre.
- La loi du Christ : celle contenue dans les Evangiles, qui est accessible non par la raison mais par la
loi.
III. Troisième réflexion de st A : une redéfinition de la justice conforme à la loi chrétienne
Ça conception re valorise la dimension personnelle, st A dira que la justice ne peut plus être de
rendre à chacun ce qu’il mérite. La justice devient, la charité chrétienne soit la loi d’amour
universelle.
Le degré de précision de la formulation, pose problème, elle est la recherche d’une perfection, en
l’occurrence morale.
Cette justice que parle A, on a bcp de difficulté a l’accordé a l’idée de sanction, car difficulté dans la
précision (de bien faire ou mal faire soit le contenu de la règle) autre difficulté, étant que la véritable
conduite des hommes est le faites de Dieu, donc la véritable justice est céleste et non terrestre.
D’un point de vue de la moralité, on ne peut pas fondée l’obéissance de la loi sur la sanction, sinon
cad que le règles des lois étant pour éviter d’être punis, donc sanction compliquer à particulier par
cette conception de la justice.
La q° de la libre arbitre est poser, si les H était destiner au bien comment distinguer le juste et ce qui
ne l’ai pas (le mal). C’est donc en laissant le mal qu’on valorise ceux qui choisissent le bien.
P2. La philosophie du droit de st Thomas
Thomas d’Aquin (1225-1274), est l’un des plus grands auteurs de la pensé chrétienne, il a une œuvre
colossale, il a réintroduit la philo grecque, notamment aristotélicienne et Stoïciens dans la pensée
chrétienne. Son ouvrage la plus connu et la plus discuté, et la « somme théologique » rédigé entre
1266 et 1274 (environ 7000 pages).
I. Un renouvellement du droit naturel
L’époque dans laquelle il est, est très marquée par la pensée Augustinise, selon celle-ci, la nature est
le reflet de Dieu et la volonté de la beauté divine.
Dieu est à l’origine de la cause 1ère de tout ce qui existe, cependant il n’appartient constamment pour
régir son fonctionnement. En vertu de cela, le créateur a donné au chose, ce que les grecques
appelait des causes secondes. Les causes secondes sont des lois naturelles, des règles qui régissent
de la manière dont les choses se comportent et agissent et qui les oriente vers la réalisation de leur
finalité (les causes finale cad ce pourquoi elles ont été créées).
Selon lui, ces lois naturelles ne sont pas suivies de la même façon parmi l’ensemble des choses qui
existent, ex : les animaux suivent ces lois de façon instinctive, et les être humains se distingue car en
+ de l’instinct il est capable de lire ces lois rationnellement. Cad l’une des spécificités de l’être humain
est, par/ grâce la raison, les H reste capable de suivre ou de ne pas suivre l’ordre naturelle.
Comment déterminer la loi de la cause finale de la création des êtres humains ?
Il va falloir étudier l’être humain. T est un fidèle serviteur de la pensée d’Aristote, comme lui ainsi, il
expérience le monde a travers nos sens et non de façon abstraite. Donc la méthode de l’étude de
l’être humain devra être réaliste, observer concrètement comme l’H réagis.
Nous ne connaissons pas le monde intégralement, donc ce que nous allons apprendre sera aussi
limité et provisoire.
Rechercher par l’expérience qui nous ait donné, la manière dont nous fonctionnons et ainsi
déterminer ce pourquoi nous existons.
II. Une revalorisation de la raison humaine
Chez st T, c’est différence dans le sens ou, chez l’être humain quel qu’il soit, de façon intuitive,
parvient à distinguer le bien du mal de ce qui est bon pour lui.
Tout personne le peut cad même les non-chrétiens peut parvenir a comprendre la volonté de Dieu. Il
n’y a donc plus d’obligation de ne retenir que les sources chrétiennes, et par cela, il va pouvoir
justifier le fait de faire entrer les diffs pensées dans la pensée chrétienne, donc il existe du juste en
dehors de la religion.
Ce qui a pu le faire dit par certain auteur, st T aura poser les bases du droit laïque. Il ajoute d’ailleurs,
que le droit naturel, il n’est pas quelque chose de fixe et dominable, car l’être humain évolue et ses
besoins aussi ainsi que le contexte s’applique en pl.
III. Une théorie des loi positives
Système a 3 étages :
- La loi éternel qui est la loi divine dont tout dérive, même elle nous est inaccessible car elle
est le fait d’une intelligence qui nous dépasse en tout.
- La loi naturelle celle qu’on peut découvrir par l’usage de la foi et de la raison.
- Les lois humaines qui sont le prolongement de la loi naturelle, qu’elle complète ou précise
sur certain point et qui sont accessible par le seul usage de la raison.
S’agissant de la loi humaine, comment st T va les justifier ? Sur le plan de la nécessité, il va nous dire
que cette nécessite se regarde sur la nature de l’H, car il nous dit que l’H doit être orienté vers la
socialité (cad vie commune).
Concernant l’autorité des lois, il va encore une fois faire référence à la nature humaine, l’état naturel
dans tous groupement naturel, se structure autour d’un chef vertu d’autorité, qui lui permet
d’ordonner les choses. (Reprise de la pensée romaine).
Ces lois humaines sont le prolongement du droit naturel, et en quelque sorte, l’application de celui-
ci. (Appliquer loi générale à une situation particulière, ou précision du contenue d’une règle de loi
naturelle).
Pour Thomas, le droit naturel est le produit de 2 éléments :
- La raison dans le travail de la détermination du droit du naturel
- La volonté étant la faculté de choisir parmi l’ensemble des sens, ce qui est retenu.
Le droit naturel pour nous doit être pour cette raison qu’elle doit être respecter, mais si elle ne
respecte pas le droit naturel, elle doit être écarté.
Les lois donner par Dieu ne concerne pas le monde terrestre mais concerne notre Salut.
07/11/2022
Fin.