Révision La Boîte À Merveilles
Révision La Boîte À Merveilles
Révision La Boîte À Merveilles
Questions Générales
1 – Quel est le genre de ce roman ? : Roman policier – Roman de thèse – Roman
autobiographique. 2 – Ce roman est écrit en : 1950 – 1951 – 1952. 3 – Il est publié en : 1950 –
1952 – 1954. 4 – Ahmed Sefrioui est né en : 1910 – 1915 – 1921. 5 –Comment s’appelle le
narrateur ? AhmedSefrioui – Sidi Mohammed – Driss ? 6 – Le narrateur-enfant a : 5 ans – 6 ans –
7 ans. 7 – Quel est le problème du narrateur ? : - la migraine – la fièvre – la solitude ? 8 – Où
habite-t-il ? : A Dar Kitoune – à Dar Idrissiyine – à Dar Chouafa. 9 – Parmi les romans d’Ahmed
Sefrioui : - Voyageur sans Bagages – Le Chaplet d’Ambre – Les Misérables. 10 – Ahmed Sefrioui
est décédé en : 2004 – 2005 – 2006. 11 – Le contexte historique de l’histoire : - La Marche Verte
– l’indépendance du pays – la colonisation française. 12 – l’événement perturbateur : la maladie
de l’enfant – la visite de Sidi Ali Boughaleb – la ruine du père. 13 – Nombre de saisons : 2 – 3 – 4
saisons. 14 – Le narrateur aime : l’invisible – le visible – le néant.
Chapitre I : 15 – L’enfant de 6 ans veut attraper : un moineau - un linot – un chat. 16 – La
voyante est adepte de la confrérie de : Gnaouas – Aissawa – Jilala. 17 – Le narrateur habitait au :
1er étage – 2ème étage – 3ème étage. 18 – Lalla Kenza était voyante et : Guérisseuse – Neggafa –
Sorcière. 19 – La voyante s’offrait une séance de musique et de danse : 1 fois par mois – 2 fois par
mois – 3 fois par mois. 20 – Le rez-de-chaussée contient : une seule pièce – 2 pièces – 3 pièces.
21 – Rahma faisait la cuisine : dans la chambre des invités – sur la terrasse – sur le palier. 22 –
Driss El Aouad est le mari de : Lalla Zoubida – Fatma Bziouiya – Rahma. 23 – Pendant les mois
de trêve, la voyante : voyageait – consultait d’autres voyantes – s’occupait de sa propre santé. 24 -
La période où il n’ya pas de clientes s’appelle : la morte saison – la saison vide – la saison
blanche. 25 – « ma mémoire était une cire fraiche », est : une périphrase – une métaphore – une
comparaison. 26 – Le narrateur avait un penchant pour : le jeu – l’amusement – le rêve. 27 – Les
autres bambins se contentent : du néant – de l’invisible – du visible. 28 – Abdellah était : coiffeur
– épicier – babouchier. 29 – le narrateur adulte considère ce roman comme : une cire fraiche – un
livre complet – un album. 30 –Le Msid était à la porte de : Zenkat Hejjama – Derb Nouala – Riad
Jiha. 31 –Pour emmener l’enfant au bain maure, la mère lui promet : une orange et un oeuf dur –
une pomme et un oeuf dur – une orange et une pomme. 32 – « je crois n’avoir jamais mis les pieds
dans un bain maure depuis mon enfance » est un énoncé : ancré – coupé. 33 –Le sentiment que le
narrateur éprouve à l’égard du bain maure est : le bonheur – la colère – le malaise. 34 – « je me
demandais ce que pouvaient bien faire toutes ces femmes » est une interrogation : directe –
indirecte.
35 –« devant moi, il y avait : un peigne, un gobelet de cuire, des oranges… » est : une gradation –
énumération – euphémisme.
36 – « ma mère m’aspergea alternativement d’eau bouillante et d’eau glacée » est une : antiphrase
– oxymore – antithèse. 37 – La mère ne voulait pas s’embarrasser de son enfant, car il était :
méchant – turbulent – empoté. 38 – La boîte à merveilles : portait secours au narrateur aux heures
de chagrin – lui permettait de dormir – lui permettait de revenir au visible. 39 – Le lendemain du
bain, la mère : pleurait durant toute la journée – tombait malade – racontait la séance à toutes les
voisines. 40 – La mère est décrite comme : bavarde – silencieuse – pieuse. 41 - Le bain maure,
selon le narrateur, est : un lieu de potins - un lieu reposant – un lieu de médisance. 42 –Lalla
Zoubida s’est disputée avec Rahma à cause : de la disparition de Zineb – de la lessive – du bruit
fait par Sidi Mohammed. 43 – Le jour de la dispute était : le dimanche – le lundi – le mardi. 44 –
Le narrateur et sa famille était d’origine : fassie – montagnarde – citadine. 45 – Driss El-Aouad
était : jardinier – fabricant de charrues – tisserand. 46 – « le bruit devint une tempête, un
tremblement de terre, l’écroulement du monde » est : une gradation et une hyperbole – une
antiphrase et une périphrase – un euphémisme et une hyperbole.
Chapitre 2 : 47 – Le mardi est un jour : heureux – ordinaire – néfaste. 48 – Le narrateur-enfant
n’aimait pas le mardi car c’était : le jour de récitation – le jour de lessive – le jour de repos. 49 –
Lalla Zoubida : souffrait d’une migraine – avait mal au dos – avait de la fièvre. 50 – « La
bouilloire sur son brasero entama timidement sa chanson » est : une métaphore – une hyperbole –
une personnification. 51 – Lalla Aicha est : une voyante – une ancienne voisine – une amie de
rencontre (passagère). 52 – Lalla Aicha remarqua : la pâleur du visage du narrateur – son bonheur
– sa gentillesse. 53 –Lalla Zoubida pense que son enfant est malade à cause : - du jeu excessif –
des yeux des envieux – de sa solitude. 54 – Lalla Aicha conseilla à Lalla Zoubida : - de consulter
Sidi El-Arafi – d’aller à Sidi Ahmed – de visiter Sidi Ali Boughaleb. 55 – La Djellaba que le
narrateur portait chaque jour était : Blache – Grise – Verte. 56 – Lalla Aicha était : plus large que
haute – aussi Large que haute. 57 – Le sentiment que le narrateur éprouvait envers Lalla Aicha est
: - La haine – le respect - le dégout. 58 – Lalla Aicha était : - Sorcière – Chérifa – Voyante. 59 – «
… avant de voir surgir de la foule les deux haïks immaculés ».est : - une personnification – une
synecdoque – une métaphore. 60 – Sidi Ali Boughaleb aimait tous les êtres et affectionnait en
particulier : - les chats – les chiens – les oiseaux. 61 – La mère a donné à la Moqadma : une pièce
d’un franc – deux pièces d’un franc – 3 pièces d’un franc. 62 – A la fin de la visite, l’enfant : a été
griffé par un chat – s’est évanoui – est tombé malade. 63 – Après s’être réveillé, le narrateur a
entendu : deux moineaux – deux chats –deux chiens.
64 – Zineb pleurait car : - Sidi Mohamed l’a frappée au nez – sa mère l’a gratifiée d’une gifle
sonore – sa mère a refusée de l’emmener au baptême.
65 – Les voisins de Dar Chouafa habitaient ensemble depuis : un an – 2 ans – 3 ans.
66 – Le narrateur a considéré les salutations matinales des voisines comme : - une prière – une
chanson – un boniment.
67 – Le jeudi était ordinairement jour de : - congé – de récitation – de lessive. 68 –Fatma Bziouiya
aoffert à SidiMohamed: 2 beignets – 3 beignets – 4 beignets. 69 – Driss le teigneux vint pour : -
demander la charité – chercher Mâalem Abdeslam – faire le marché. 70 – Driss le teigneux est : -
l’associé de Mâalem Abdeslam – son apprenti – son concurrent. 71 –Mâalem Abdeslam était :
tisserand – babouchier – jardinier. 72 – Le narrateur et ses parents pouvaient manger de la viande :
- deux à trois fois par semaine – 3 à 4 fois par semaine – 4 à 5 fois par semaine. 73 – Fatma
Bziouiya a donnée à Sidi Mohamed : un oignon – un navet – un radis. 74 – Rahma a donnée au
narrateur : - un bouton décoré – un cabochon – un cadenas. 75 – La mère a considéré l’objet,
offert par Rahma, comme : un simple bout de verre – un objet fabuleux – un ami véritable.
Chapitre 3 : 76 – Le maître : - était très actif – était très heureux – somnolait. 77 – Avant de
quitter le Msid, les élèves doivent : réciter trois versets pour chacun – réciter la première sourate –
faire les ablutions. 78 – Le Vendredi, les élèves doivent réciter quelque vers de : - El Imam Ali –
Abou Achir – BnouAchir. 79 – Fatma Bziouiya a acheté : - une lampe à pétrole – un cierge –
plusieurs bougies. 80 – « une lampe à pétrole identique à celle de notre voisine » est : - une
métaphore – une personnification – une comparaison. 81 – Rahma pleurait car : - son mari est
décédé – Zineb a disparue –Lalla Zoubida l’a insultée. 82 – Rahma est sortie pour aller assister à :
- un mariage – un bal – un baptême. 83 – Sidi Mohamed pleurait car : - Zineb a disparue – il était
malade – il avait faim. 84 – Qui a trouvé Zineb ? : - Fatma Bziouiya – Lalla Zoubida – Fatma
Bziouiya et Lalla Zoubida. 85 – Zineb était trouvée à : Dar Kitoune – Dar Chouafa – Dar
Ttofoula. 86 – Rahma a préparé : - un repas pour les mendiants – un repas pour sa fille Zineb – un
repas pour les enfants. 87 – Les hôtes de Rahma étaient : - des vieux – des enfants – des aveugles.
Chapitre 4 88 – C’était les premiers jours : - de l’hiver – du printemps –de l’été. 89 – Lalla
Zoubida et son fils ont rendu visite à : Lalla Aicha – Lalla Khadija – Lalla Salama. 90 – Sa mère
avait : - 22 ans – 32 ans – 42 ans. 91 – Les enfants ont joué : - aux cartes – au Ballon – à la
mariée. 100 – Le jeu a été terminé par : - des applaudissements – des compliments – une dispute.
101 – Fatma Bziouiya avait : - un tatouage sur le menton – une balafre sur la joue – une cicatrice
sur le front. 102 – Le Mari de Lalla Aicha s’appelle : - Allal – Moulay Abdelkader – Moulay
Larbi. 103 – Quelle était la formule sacrée employée par les hommes ? : - Puis-je entrer ? – Puis-
je passer ? – Puis-je sortir ? 104 – En attendant le retour de Lalla Aicha, Lalla Zoubida se leva
pour : - revenir à sa maison – regarder par la fenêtre – préparer le déjeuner. 105 – Après être
revenue, Lalla Aicha commence à : - Rire – sourire largement – pleurer. 106 – Dans la
conversation des deux femmes, l’enfant a entendu le mot : - Ogre – Voleur – Pacha.
107 – Moulay Larbi a été trahi par son associé : Abdelkader – Abdeslam – Abdennabi.
108 – quelle est la somme que Moulay Larbi a versé à son associé Abdelkader ? : 60 Rials – 70
Rials – 80 Rials. 109 – le chat de Zineb est décrit comme : maladif – méchant – doux. 110 – la
boite à merveilles permet au narrateur de : s’évader du monde réel – de jouer avec ses camarades
– de s’évader du monde invisible. 111 – Abdellah était : fabricant de charrues – épicier –tisserand.
112 –Lahbib a jeûné plus d’une semaine : pour se purifier de son mensonge – pour se purifier de
sa colère – pour l’amour d’Allah
. Chapitre 5 : 113 – le maître du Msid est heureux car : c’est le jour de Achoura – il ira au
pèlerinage – la fête de Achoura approche. 114 – à son retour, sa mère était : absente – malade –
malheureuse. 117 – Lalla Aicha, pour aider son mari : a fait une dette de son ami Zoubida – a
visité Sidi Ali Boughaleb – a vendu ses bijoux et son mobilier. 118 – le narrateur relate le
souvenir de la mort de : Sidi Mohammed Ben Tahar – Lahbib et Abdennabi – Abdellah l’épicier.
119 – le défunt était : babouchier – coiffeur – Fquih. 120- Lalla Zoubida a donné à son fils : un
soufflet – un cadeau – un beignet. 121 – Sidi Mohamed a envoyé à Zineb un coup de poing : sur le
front – sur les yeux – sur le nez. 122 – « des torrents de larme lui inondèrent le visage » est : une
hyperbole – une comparaison – une synecdoque. 123 – Moulay Abdeslam a raconté une histoire à
son fils pour : lui décrire une tombe – pour le consoler – pour lui faire découvrir les secrets de la
mort. 124 – la nuit, le narrateur : a bien dormi – a veillé tard – avait de la fièvre. 125 – le cadeau
offert par la mère à Sidi Mohamed était : un cabochon – un clou taillé – une chaînette de cuivre.
126 – le chat de Zineb : a volé la chaînette du narrateur – a griffé le narrateur – a dormi sur les
genoux du narrateur. 127 – une dispute s’est éclatée entre : Lalla Zoubida et Rahma – Zineb et le
narrateur – Moulay Larbi et son associé
Chapitre : 6 128- le nombre des marches du Msid est : 2 – 3 – 4 marches. 129 – le narrateur
relate le souvenir de : - la fête de sacrifice – la fête du trône – la fête de Achoura. 130 – le
narrateur se sent : - d’une tristesse profonde – très heureux – d’une inquiétude incomparable. 131
– Sur la terrasse, l’enfant a joué : - avec une baguette – avec chaînette – avec ses objets.
132 – La mère a traité son fils de juif et de chien galeux car : - il s’est disputé avec Zineb – il n’a
pas voulu aller à l’école – il s’est tardé en jouant sur la terrasse. 133 – Le narrateur n’est pas allé
au Msid car : - il irait avec sa mère au marché des tissus – car il était malade – car c’était un jour
de congé. 134 – La mère a acheté à son fils : - une chemise neuve et un gilet – une Djellaba
blanche et un gilet – une chemise neuve et une Djellaba. 135 – Le narrateur rêve de devenir : - un
roi – un instituteur – un prince.
136 – Le narrateur s’est disputé avec Zineb car : - elle lui a fait une grimace – elle lui a volé sa
chaînette – elle lui a volé son gilet.
137 –La femme qui chantait les lambeaux d’une cantilène s’appelait : Fatma Bziouiya – Lalla
Khadija – Rahma.
138 – L’oncle Othman est le mari de : Salma – La vieille négresse – Khadija. 139 – Qui a raconté
l’histoire de l’oncle Othman : - Fatma Bziouiya – Lalla Khadija – Rahma. 140 – Oncle Othman
traite sa femme Khadija comme : - sa soeur – sa mère – sa fille.
Chapitre 7 141 – La mère du narrateur a fait l’acquisition : - d’un tambour – d’une taârija –
d’une trompette. 142 – Le narrateur a comparé Zineb à : - une aveugle – une muette – une sourde.
143 – La figure de style employée dans cette expression : « Ma mère me pria de monter sur la
terrasse, braire tout à mon aise », est : - une hyperbole – une métaphore – une comparaison. 144 –
L’élève envoyé par le Fquih s’appelle : Sidi Mohamed – Lahbib – Azzouz. 145 – Sidi Mohamed
doit aller au Msid : - pour travailler – pour jouer – pour lire le Coran. 146 – La mission accomplie
par les enfants au Msid correspond à : - La préparation du chaux – la préparation des mattes – la
préparation des lustres. 147 –L’enfant qui s’est coupé le pouce avec une lamelle s’appelle : - Sidi
Mohamed – Lahbib – Azzouz. 148 – Le narrateur a trouvé sa mère très ennuyée car : - Mâalem
Abdeslam est malade – Elle a de la migraine – il n’y avait plus de pétrole dans la lampe. 149 –
Qui a rendu service à Lalla Zoubida : - Allal le jardinier – Driss El-Aouad – Driss le teigneux ?
150 – Lalla Kenza a demandé à Lalla Zoubida : un brin de menthe – une poignée de thé – une
bougie. 151 – Lalla Kenza a donné au narrateur : - une poignée de grains de sésame – un radis –
une orange et un oeuf dure. 152 – Qu’est-ce qui inquiète le narrateur dans sa sortie avec son père ?
: - La séance du Coran – la séance du coiffeur – la séance du bain maure. 153 – Le père a acheté à
son fils : - 1 jouet – 2 jouets – 3 jouets. 154 –« Je lui posais mille questions » est : -une métaphore
– un oxymore – une hyperbole. 155 – Le coiffeur s’appelle : - Si Abderrahmane – Si Ahmed –
Oncle Hammad. 156 –Bnou Achir est : - un babouchier – un coiffeur – un tisserand. 157 – Le
cierge acheté par le père à son fils était destiné : - à la mère – à Lalla Kenza – au Fquih. 158 –
L’oncle Hammad était : - malade – heureux – ennuyé. 159 – « Elles nous conseillèrent d’aller sur
la terrasse charmer les oreilles des voisins » est : - une anaphore – une périphrase – une
antiphrase. 160 – Le cadeau offert au Fquih était : - un cierge et deux francs – un cierge et cinq
francs – un cierge et sept francs. 161 – « Les petites flammes dansaient » est : - une
personnification – une métaphore – une hyperbole. 162 – Qui a rendu visite à la mère du narrateur
? : - Fatma Bziouiya – Rahma – Lalla Aicha.
Chapitre 8 163 – Les insectes et les mouches ont envahi la maison à cause de : - la saleté – la
chaleur – la pollution. 164 – L’école fut installée dans : - un village plus proche – une Zaouiya –
un sanctuaire. 165 – Les jeunes filles visitaient le mausolée (où s’est installée l’école) pour : - se
marier – se débarrasser de leurs maux – faire des invocations.
166 –« La petite fontaine circulaire chantonnait dans un coin » est : - une métaphore – une
anaphore – une personnification.
167 – Le père a emmené sa femme et son fils au : - Souk des tissus – Souk des bijoux – Souk des
épices.
168 – Le jour où le narrateur est sorti avec ses parents était : - Lundi – Mardi – Jeudi.
169 – Le père est sorti avec sa femme et son fils pour acheter : - une chemise à son fils – des
épices et des provisions - Un bracelets à sa femme. 170 – Le père annonce la mort de : - La mère
de Allal – La mère de Driss El-Aouad – La mère de Driss le teigneux. 171 – « Les bijoux, c’est
beau comme les fleurs » est : - Une comparaison – Une hyperbole – Une personnification. 172 – «
Le souk des bijoutiers ressemblait à l’entrée d’une fourmilière » est : - Une comparaison – Une
hyperbole – Une personnification. 173 – Qui est sortie avec le narrateur et ses parents : - Rahma –
Fatma Bziouiya – Lalla Aicha. 174 – Le malheur du jour était : - la ruine du père – la dispute du
père avec un courtier – la maladie de l’enfant. 175 – La mère a refusé ses bracelets car : - ils sont
de mauvaise augure – ils sont moins chers – ils ne sont pas de bonne qualité. 176 – Zoubida a
pensé que les bracelets achetés par son mari sont : - des bijoux fabuleux – des porte-malheur – le
meilleur cadeau qu’on lui a offert. 177 – Moulay Larbi (le mari de Lalla Aicha) : - a épousé une
seconde femme – s’est disputé avec son associé Abdelkader – a perdu tout son capital. 178 –Le
père de la nouvelle épouse (de Moulay Larbi) s’appelle : - Oncle Othman – Abderrahmane – Si
Allal. 179 – Le narrateur Sidi Mohamed : - a dormi profondément – est tombé malade – s’est
cassé le doigt.
Chapitre 9 180 – La mère a préparé à son fils : - un plat de ragoût – un bol de bouillon – des
beignets. 181 – Le malheur de la famille du narrateur est : - la ruine du père – la maladie de Sidi
Mohamed – la dispute de la mère avec les voisines. 182 – La mère se lamente parce que : - son
fils est malade – Rahma l’a insulté – son mari s’est ruiné. 183 – Le père a perdu son capital : -
dans la cohue des enchères aux haïks – au souk des bijoux – sur son chemin à la mosquée. 184 –
Que décide le père : - travailler comme ouvrier dans un atelier – travailler comme moissonneur –
vendre tout le mobilier de la maison. 185 – La mère a considéré ses bracelets comme : - bénis –
précieux – maudits. 186 –Le père quitterait sa famille pendant : - un mois – 2 mois – 3 mois. 187
– Le père a quitté sa famille : - à l’aube – à midi – à minuit. 188 – Fatma Bziouiya a donné à Sidi
Mohamed : - 2 beignets – un beau radis – un bol de potage. 189 – « Le bruit de ses narines me
rappela le son de la trompette du Ramadan » est : - une hyperbole – une comparaison – une
métaphore. 190 – Sidi Mohamed est allé avec sa mère à : - Sidi Ahmed Tijani - Sidi Ali
Boughaleb – Sidi Ali Bousserghine. 191 – Sidi Mohamed, sa mère et Lalla Aicha ont visité : Sidi
Ahmed Tijani – Sidi Ali Boughaleb – Sidi El-Arfi.
Chapitre 10
192 – « Lalla Aicha se mit à respirer comme un soufflet de forge » est :- une comparaison – Une
métaphore – Une personnification. 193 –« Sidi El-Arfi » était : - sourd – muet – aveugle. 194 –
Sidi El-Arfi a conseillé au narrateur de réciter souvent : - Le premier chapitre du Coran – Le
verset du trône – Le chapitre de « ELBAQARA ». 195 – La femme de Sidi El-Arfi parlait avec
l’accent de : - Tafilalet – Jbala – El Khmissat. 196 – Sidi El-Arafi a demandé à sa femme : - un
panier – une bol – un oeuf et une assiette. 197 –Sidi Mohamed met la main dans le panier de Sidi
El-Arfi et fait sortir : - une perle noir – une boule de verre – un minuscule coquillage. 198 – Lalla
Aicha a fait sortir (du panier) : - une perle noir – une boule de verre – un minuscule coquillage.
199 – Lalla Zoubida a fait sortir (du panier) : - une perle noir – une boule de verre – un minuscule
coquillage. 200 – L’enfant s’est caché dans les plis du haïk de sa mère car : - il a vu passer le
Fquih –il avait peur d’un aveugle – il peur de la femme de Sidi El-Arfi. 201 – « mon teint
rappelait l’écorce de grenade » est : - une comparaison – Une métaphore – Une personnification.
202 – Le messager envoyé par le père apporte : - une lettre et un poulet – des provisions et de
l’argent – une bouteille d’huile et des oeufs.
Chapitre 11 203 – La femme qui avait la voix d’homme s’appelait : - Mbarka – Khadija –
Salama. 204 – La nouvelle visiteuse était : - une voyante – une marieuse professionnelle – une
neggafa professionnelle. 205 –Salama est venue pour annoncer : - une bonne nouvelle – un grand
malheur – une mauvaise surprise. 206 – La jeune fille qui s’est mêlé à la conversation : s’appelle :
- Khadija – Salima – Zhor. 207 – La bonne nouvelle annoncé par les deux visiteuses est : -
Moulay Larbi a l’intention de répudier la fille du coiffeur – le père du narrateur est revenu de la
compagne –Sidi Mohamed apprend vite le Coran.
Chapitre 12 : 208 - Le petit enfant envoyé par le Fquih s’appelle : Hammoussa – Allal –
Azzouz Berrada. 209 – le Fquih a envoyé un enfant au narrateur : pour lui demander de revenir au
Msid – pour lui offrir un cadeau – pour prendre de ses nouvelles. 210 – quelle est la bonne
nouvelle dans ce chapitre ? : Le retour du père – la guérison de l’enfant – la visite de Sidi El-Arafi
? 211 – qui a annoncé la bonne nouvelle ? : Hammoussa – Zineb – Allal Elyaakoubi ? 212 – le
père tenait : 2 poulets – 3 poulets – 4 poulets. 213 – la personne qui est venue discuter avec le père
du narrateur est : Driss El-Aouad – Driss le teigneux – Allal le jardinier. 214 – la bonne nouvelle
de Lalla Aicha est : l’achat d’une nouvelle maison – le divorce entre Moulay Larbi et la fille du
coiffeur – la mort de la fille du coiffeur. 215 – qui a annoncé la bonne nouvelle de Lalla Aicha :
Moulay Larbi - Driss El-Aouad – Driss le teigneux.
216 – pendant la conversation des deux hommes, l’enfant : a ouvert sa boite à merveilles – jouait
avec Zineb – s’est évanoui.
Mettez en ordre les titres et les résumés suivants! :
Chapitre 1:
1) Le bain maure.
2) La voyante et se rites mensuels.
3) L’univers du narrateur-enfant : un univers nourri par les histoires de Abdellah l’épicier et les
discours de son père.
4) Le problème du narrateur-adulte.
5) Le lendemain du bain, la mère racontait la séance à toutes les voisines.
6) La boite à merveilles et son rôle dans la vie du narrateur.
7) La dispute spectaculaire entre Lalla Zoubida et Rahma.
8) Les habitants de Dar Chouafa.
Chapitre 2 :
1) La visite de Sidi Ali Boughaleb : description détaillée (à la fin de la visite, Sidi Mohamed est
griffé par un chat).
2) Le cabochon offert par Rahma.
3) Les origines des parents du narrateur.
4) Les salutations matinales et monotones échangées entre les femmes de Dar Chouafa.
5) Le mardi était le jour néfaste pour les élèves du Msid.
6) Deux jours et demi de repos.
7) Le souvenir de Driss le teigneux.
8) Lalla Aicha a rendu visite à la famille du narrateur et a conseillé à Lalla Zoubida d’aller visiter
Sidi Ali Boughaleb.
Chapitre 3 :
1) Rahma a perdu sa fille Zineb après être sorties pour aller assister dans un baptême.
2) Le vendredi au Msid (après les deux jours et demi de repos).
3) Le repas préparé pour les mendiants aveugles.
4) Maalem Abdeslam a acheté une lampe identique à celle de Fatma Bziouiya.
5) Lalla Zoubida a raconté à son mari les malheurs de Rahma et comment elles ont pu trouver
Zineb.
6) La lampe à pétrole achetée par Fatma Bziouiya.
Chapitre 4:
1) Lalla Zoubida raconte à son mari les malheurs de Moulay Larbi qui est escroqué par son
associé Abdelkader.
2) Le souvenir d’Abdellah l’épicier.
3) La mère et Sidi Mohamed ont rendu visite à Lalla Aicha.
4) Lalla Aicha commence à pleurer après avoir parlé avec son mari (dans le chuchotement des
deux femmes, le narrateur a entendu le mot « Pacha »).
5) Sidi Mohamed a joué avec les enfants des voisins : ils ont joué à la mariée.
6) Moulay Larbi est arrivé inopinément.
7) Le chat maladif de Zineb, l’univers de Sidi Mohamed et le role de la boite à merveilles dans sa
vie.
8) La médisance et le bavardage des deux femmes (Lalla Zoubida et Lalla Aicha).
9) La mère, cette fois-ci ; parle de ses voisines avec éloge.
Chapitre 5 :
1) Sidi Mohamed s’est disputé avec Zineb car son chat lui a volé sa chaînette.
2) Le Fquih est très heureux : les élèves du Msid ont 15 jours pour se préparer à la fête d’Achoura.
3) La mort de Sidi Mohamed Ben Tahar.
4) Lalla Zoubida raconte à ses voisines les soucis de Lalla Aicha qui a tout vendu pour aider son
mari.
5) La chaînette offerte par la mère.
6) L’absence de la mère qui est sortie avec Lalla Aicha : la peur et la solitude du narrateur.
7) La tristesse de Sidi Mohamed et le récit de son père.
Chapitre 6 :
1) Sidi Mohamed s’est disputé avec Zineb, car cette dernière lui a fait une grimace.
2) Le lendemain du premier jour des préparatifs à Achoura, le narrateur a été nommé « chef des
frotteurs ».
3) Le premier jour des préparatifs à Achoura.
4) L’histoire amusante racontée par Rahma : l’oncle Otman et sa femme Lalla Khadija.
5) Le narrateur accompagne sa mère à la kissaria pour acheter les vêtements de la fête.
Chapitre 7 :
1) Lalla Kenza a offert une poignée de grains de sésame à Sidi Mohamed.
2) Les femmes se sont acheté des tambourins et Sidi Mohamed a eu une trompette.
3) La séance du coiffeur : la saigné – l’oncle Hammad – Si Ahmed – l’homme aux venteuses – le
tour du narrateur.
4) L’un des bambins du Msid, Hammoussa, vient chercher Sidi Mohamed et lui annonce que
l’équipement des lustres pour la nuit d’Achoura réclame le concours de toutes les mains
(description de la tache).
5) Le père emmène Sidi Mohamed se promener dans les souks pour acheter ses jouets avant de
passer chez le coiffeur Si A Abderrahmane.
6) Après son retour du Msid, le narrateur a trouvé sa mère très ennuyé car il n’y avait plus de
pétrole dans la lampe ; mais Driss El-Aouad a accepté de faire la commission.
7) Le narrateur s’est réveillé très tôt (à trois heures du matin) pour aller fêter l’Achoura au Msid.
8) Après son retour du souk, le narrateur a joué jusqu’au coucher de soleil.
9) Après son retour de Sidi Mohammed du Msid (après avoir fêté Achoura), Lalla Aicha vient
rendre visite à la famille du narrateur.
Chapitre 8:
1) Le souk des bijoux et la dispute de Maalem Abdeslam avec un courtier (un Dellal).
2) Les nouveaux malheurs de Lalla Aicha : Moulay Larbi l’a abandonnée et s’est marié de la fille
du coiffeur – Sidi Mohamed est tombé gravement malade .
3) La mémoire du narrateur fait des miracles : il apprend le coran rapidement et sans difficulté.
4) Le père s’adresse à Lalla Zoubida qu’il a l’intention de les emmener au souk des bijoux – le
narrateur réfléchit à la conversation qui s’est déroulée à propos des bijoux.
5) Une nuit pleine de cauchemars.
6) La salle du Msid est abandonnée et l’école est installée dans un petit sanctuaire.
7) La mère a refusé les bracelets achetés par son mari et les a considérés comme des porte-
malheur.
8) La chaleur et les mouches qui envahissent la maison.
Chapitre 9 :
1) La maladie du narrateur.
2) Lalla Zoubida a emmené Sidi Mohamed à Sidi Ahmed Tijani – la mère s’est disputée avec un
marchand de légumes – Lalla Zoubida et son fils ont rendu visite chez Lalla Aicha qui leur a
proposé d’aller visiter Sidi El-Arrafi.
3) Le voyage du père à la campagne et la solitude de Lalla Zoubida avec son fils.
4) L’événement perturbateur : la ruine du père.
5) Le potage apporté par Fatma Bziouiya – le rétablissement de Sidi Mohamed – l’absence de la
mère qui est partie chez Lalla Aicha et la solitude du narrateur.
Chapitre 10 :
1) La visite de Sidi El-Arrafi.
2) Lalla Aicha a rendu visite à la famille du narrateur et demanda à Lalla Zoubida de passer la
voir le lendemain (elle lui réserve une surprise).
3) Le messager de bon augure.
4) La mère visite, chaque semaine, un sanctuaire.
Chapitre 11 :
1) Zhor, l’une des voisines de Lalla Aicha, vient participer au bavardage.
2) La surprise : Salama la marieuse vient demander pardon à Lalla Aicha, et raconte tous les
soucis de Moulay Larbi avec sa seconde épouse.
Chapitre 12 :
1) Driss El-Aouad annonce à Maalem Abdeslam le divorce entre Moulay Larbi et la fille du
coiffeur.
2) Les provisions achetées par le père.
3) Le retour du père annoncé par Zineb.
Test général :
1. Où le narrateur habite-t-il ?
2. Pourquoi la maison porte-t-elle ce nom ?
3. Pourquoi le narrateur a choisi l’âge de 6 ans ?
4. Quel est le problème majeur du narrateur ?
5. Pourquoi il a écrit ce roman ?
6. Qu’est ce que c’est que la boite à merveilles ?
7. Donnez le schéma narratif de la boite à merveilles.
8. Quel est le genre du roman ?
9. Qui en est l’auteur ? Présentez le en quelques lignes.
10. Quels sont les éléments qui ancrent le récit dans un contexte marocain ?
11. Quel est le trait saillant du narrateur ?
12. Que contient la boite à merveilles ?
13. Pourquoi la mère du narrateur s’est disputée avec Rahma ?
14. Présentez la maison de dar chouafa.
15. Citez les personnages de ce roman.
16. Pourquoi le narrateur appréhende-t-il le jour du mardi ?
17. Pourquoi Lalla Aicha conseille-t-elle à la mère du narrateur de se rendre avec son fils au
sanctuaire Sidi Ali Boughaleb?
18. Qui a retrouvé Zineb ? Où ?
19. Pourquoi Moulay Laarbi a donné de l’argent à Abdelkader ?
20. Pourquoi les écoliers ont nettoyé le Msid ?
21. Pourquoi le père emmène-t-il sa femme et son enfant au souk des bijoux ?
22. Quelle est la cause de la ruine du père ?
23. Qu’est ce que le père décide de faire pour surmonter les difficultés financières ?
24. Pourquoi Lalla aicha et Lalla Zoubida sont allées chez le voyant sidi EL-ARAFI?
25. Qu’est ce que le père du narrateur envoie-t-il à sa famille ?
26. Quels sont les personnages qui avaient une influence sur le narrateur ?
27. Qu’est ce que Rahma a fait après avoir trouvé sa fille Zineb ?
28. Quelle est la fonction et quel est le rôle de la boite du narrateur ?
29. Donnez une analyse du roman « la boite à merveilles » à partir de la première page de
l’oeuvre.
30. En quoi le narrateur se diffère des autres enfants ?
Répondez aux questions suivantes :
Chapitre 1 :
1. Relève le synonyme du mot « impasse » à partir du deuxième paragraphe.
2. Présentez la maison de la voyante « Dar Chouafa ».
3. Qu’est-ce qui montre que le narrateur souffre de la solitude (à partir de la
première page) ?
4. Quel est le caractère saillant du narrateur ?
5. Décrivez comment se passe, quotidiennement, la journée de Sidi Mohamed?
6. Où se trouve le Msid ?
7. Donnez le portrait du Fquih.
8. En quoi Sidi Mohamed se diffère des autres enfants ?
9. Pourquoi le narrateur ne veut pas aller au bain maure ?
10. Qu’est-ce que la mère promet au petit enfant pour le convaincre d’aller au bain
maure ?
11. Est-ce qu’il va souvent au bain ? Justifiez
12. Comment le narrateur considère-t-il le bain maure ?
13. Pourquoi Rahma et Lalla Zoubida se sont disputées ?
14. Relève toutes les expressions et les termes ayant un rapport avec le mot «
solitude » et essayez de les analyser.
15. Quel est le rôle de sa boite à partir de ce chapitre ?
Chapitre 2 :
1. Relève les adjectifs employés par le narrateur pour décrire le jour du « Mardi ».
2. Pourquoi le narrateur n’aime pas ce jour ?
3. Relève toutes les expressions qui montrent qu’il déteste ce jour-là.
4. Quels sont les malheurs des personnages cités dans ce chapitre ?
5. Relève le portrait donné à Lalla Aicha.
6. Relève des expressions qui soulignent les superstitions des gens à l’époque des
années 20.
7. Est-ce que le petit enfant est content d’aller à Sidi Ali Boughaleb ? Justifiez votre
réponse et dites pourquoi (à votre avis).
8. Décrivez cette visite.
9. Relevez des expressions qui montrent que le narrateur n’aime pas le Msid et les
études.
10. Qui est-ce Driss le teigneux ?
11. Comment se passe la journée ordinaire dans la maison de la voyante ?
12. Qu’est-ce qui montre que la famille du narrateur ne souffre pas des difficultés
financières ?
Chapitre 3 :
1. En quoi le jour du « Vendredi » se diffère des autres jours ?
2. Relève un objet cité dans ce chapitre et qui est devenu rare actuellement.
3. Quel est l’événement principal raconté par le narrateur dans ce chapitre ?
4. Relevez tous les éléments qui situent ce récit dans un contexte marocain.
5. Est-ce que Sidi Mohamed est triste pour la disparition de Zineb ?
6. Relève une expression qui montre le rapport existant entre la tristesse (ou la
solitude) du petit enfant et sa boite.
7. Qu’est-ce que Rahma a fait après avoir trouvé sa fille Zineb ?
8. Quand Rahma s’est-elle conciliée avec Lalla Zoubida ?
9. Comment Zineb est-elle disparue ?
10. Qui a trouvé Zineb et où ?
Chapitre 4 :
1. Relevez une expression qui montre que les récits de ce chapitre se sont passés au
printemps.
2. Relevez des expressions qui montrent que le narrateur n’aime pas le monde des
femmes.
3. Qu’est-ce que la mère du narrateur a apporté lorsqu’ils ont rendu visite à Lalla
Aicha ?
4. Décrivez en quelques lignes les jeux des enfants avec Sidi Mohamed lors de la
visite à Lalla Aicha.
5. Quelle est la cause du chagrin de Lalla Aicha ?
6. Relève le portrait donné à Abdellah l’épicier dans ce chapitre.
7. Est-ce que tous les gens aimaient Abdellah l’épicier ? Expliquez.
8. Qu’est-ce que Abdellah l’épicier représente aux yeux du narrateur ?
9. Quels sont les personnages cités dans ce chapitre ?
10. Qu’est-ce qui montre, à partir de ce chapitre, que les enfants aiment toujours et
espèrent vivre dans un monde de tolérance et d’amour, loin des disputes et de
l’injustice ?
Chapitre 5 :
1. Quelle est la raison pour laquelle le Fquih est heureux ?
2. Par quoi la joie du narrateur est-elle altérée ?
3. Où Lalla Zoubida est-elle partie ?
4. Qu’est-ce que la mère chuchote-t-elle aux voisines après son retour ?
5. Qu’est-ce que Lalla Aicha a décidé après la ruine de son mari ?
6. Au moment où la mère raconte son récit, un hurlement déchirant s’élève. De
quoi s’agit-il ?
7. Quel est le métier de Sidi Mohamed Ben Tahar ?
8. Pourquoi l’enfant est triste ?
9. Qu’est-ce que le père a raconté à son fils (le narrateur) pour le consoler ?
10. Pourquoi Sidi Mohamed et Zineb se sont disputées ?
Chapitre 6 :
1. Où le narrateur est-il allé avec sa mère ?
2. Pourquoi le narrateur s’est disputé avec Zineb ?
3. Qu’est-ce que Sidi Mohamed rêve-t-il de devenir ? (page 114)
4. Sidi Mohamed pardonne à plusieurs choses dans ce chapitre. Lesquelles ? (page
103)
5. Quels sont les personnages de l’histoire racontée par Rahma aux voisines ?
Chapitre 7 :
1. Qu’est-ce que le père a offert à Sidi Mohamed ?
2. Pourquoi la mère du narrateur est très ennuyée ? (page 125)
3. Où l’enfant est-il allé avec son père et pourquoi ?
4. Est-ce que l’enfant aime la séance du coiffeur ? Justifiez.
5. Est-ce que le narrateur a entendu le secret que Lalla Aicha a confié à Lalla
Zoubida ?
Chapitre 8 :
1. Pourquoi les mouches et les insectes envahissent la maison ?
2. Est-ce que les écoliers étudient encore dans le Msid ? Justifiez
3. Pourquoi Maalem Abdeslam, sa femme Zoubida, Fatma Bziouya et le narrateur
Sidi Mohamed sont-ils allés au souk ?
4. Qu’est-ce que s’est passé après ?
5. Comment la mère considère-t-elle les bracelets achetés par son mari ?
6. Quelle est la nouvelle de Lalla Aicha dans ce chapitre ?
Chapitre 9 :
1. Relève tous les mots qui appartiennent au champ lexical de la tristesse.
2. Quand le père annonce-t-il sa ruine ? (le moment de la journée)
3. Qu’est-ce que le père compte faire ?
4. Quand le père prend-il le départ ?
5. Quel est le sentiment du narrateur et de la mère après le départ du père ?
6. Qu’est-ce que l’enfant a fait pour oublier l’ennuie causé par l’attente affreuse du
retour de sa maman ?
7. Où l’enfant et sa mère sont-ils allés ?