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Fiche de TD N°2

EXERCICE N°1

Une pompe centrifuge possède les

caractéristiques suivantes :
La vitesse de rotation n= 1500 tr/mn
Entrée de la roue en 1 :
- Le rayon r1 = 0,1 m
- vitesse absolue C1 = 4 m/s, dirigée
suivant le rayon;
Sortie de la roue en 2
Le rayon r2 = 0,2 m
La vitesse relative w2=8 m/s dirigée
suivant l’angle β2 = 30°
(ρ=1000 kg/m3)
Calculer :
- les vitesses d’entraînements U1 et U2
- la vitesse relative à l’entrée du canal
- la vitesse projetée C2U
- la vitesse absolue C2 et l’angle α2
- le travail théorique de la pompe
- la variation de la pression (p2-p1)

Exercice N°2
Soit une pompe d’épuisement de mine refoule 80 l/s d’eau de l’altitude -700 m ( fond de
la mine) au niveau du sol ( altitude zéro). Les pertes de charge dans les conduites sont
évaluées à J/g = 40 m, la vitesse de refoulement est C = 4 m/s

La vitesse au fond de la mine est négligeable

Déterminer

1- la hauteur nette
2- la hauteur manométrique
3- le travail théorique de la pompe
4- la puissance de cette pompe
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Solution Fiche de TD N°2

EXERCICE N°1

Entrée de la roue en 1 :
vitesse circonférentielle (d’entraînement) U1

U 1    r1

2 n
avec 
60

U1=15,7 m/s

Traçons le parallélogramme des vitesses, ou encore le triangle des

vitesses; Cl est perpendiculaire à Ul, donc α1 = 90° et C1U = 0.

Nous calculons la vitesse relative w1 :

w12  u12  c12  2u1c1 cos  1

C1 W1
La vitesse relative W2

w1=16,2 m/s. α1
Sortie de la roue en 2 C1U β1 U1

vitesse circonférentielle (d’entraînement)

U 2    r2

Vitesse circonférentielle U2= 3l, 4 m/s.

la vitesse projetée C2U

u2  CU 2 C2
cos  2  W2
w2
β2
α2
c2u  u 2  w2 cos  2 U2
C2U

c2u  24,5 m / s

et c2  24,8 m / s
Le travail théorique de la pompe
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W12  u 2 c2u  u1c1u 
Avec

c1u  0
W12  u2 c2u

W12  770 J / kg
La variation de la pression P2-P1= 46,8 N/cm2

Exercice N°2
La hauteur nette

J
Hn  H g   700  40  740 m
g
La hauteur manométrique

P  P1
Hh 
W12
g
 2
g

1
g2
 
C 22  C12  H n

La pression P1 =P2=pression atmosphérique

H h  741,8 m

Le travail utile W12  7,28 kJ / kg

la puissance de cette pompe

P  W12  Qm

P  570 kW
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Fiche de TD N°6

Exercice N°1
Une pompe centrifuge possède les caractéristiques suivantes
Hauteur manométrique Hh=18 mètre, n=3000 tr/min, qv =8 l/s.
On donne :
à l’entrée de la pompe dA=7cm
à l’entrée de la roue di=2,4 cm
à l’entrée de l’aube d1=7,4 cm ; C1=3 m/s
à la sortie de la roue d2=14 cm et C2r=3 m/s
Le rendement volumétrique et hydraulique sont respectivement
ηv=0,94 ηh=0,75
On demande de déterminer :
1- la vitesse CA à l’entrée de la pompe
2- la section de passage de l’eau au point B, le débit qui traverse cette section et la vitesse
CB
3- la largeur de l’aube b1 au point 1, la vitesse d’entraînement U1, la vitesse relative w1 et
l’angle β1
4- la vitesse projetée CU2, la vitesse absolu C2, la vitesse relative w2, l’angle β2 et la
largeur de l’aube b2 au point 2
5- le nombre d’aubes de cette pompe
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Solution fiche de TD N°6

Solution de l’exercice N°1

La section SA= 3850 mm2
La vitesse CA=2,07 m/s
La section SB= 3400 mm2
Le débit qv’=8,5 l/s W1
C1
La vitesse CB=2,5 m/s
La largeur b1 α1=90° β
b1=12 mm C1U = 0 U1
La vitesse d’entrainement U1
U1=11,6 m/s
La vitesse relative
w1=12 m/s
L’angle β1=14,3°
La largeur b2=6,4 mm
La vitesse d’entrainement U2
U2=22 m/s
Le travail de la roue
W=235 J/kg
La vitesse projetée C2U
C2U=10,7 m/s
La vitesse relative w2
w2=11,7 m/s
La vitesse C2=11,1 m/s
L’angle α2=15°
L’angle β2=14,3°
Le nombre d’aubes Z=5 aubes
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Fiche de TD N°3
Exercice N°1
Une pompe à tester est raccordée sur une installation et entraînée par un moteur électrique de
rendement connu  eff
On a les données suivantes :
Hg = 80 m Qv = 20 l/s P1=P4= 101300 N/m2 ρ=1000 kg/m3
C4 = 5m/s C1=0 Ja/g = 0.8 m Jr/g=12m g = 9.81 m/s2
 h  0 ,8 ;  v  0,95 ; m  0,95

1- Déterminer les paramètres caractéristiques de l’installation (le travail utile Wh, la hauteur
manométrique Hh, la puissance utile reçue par le fluide Pu, la puissance du moteur à installer
ou puissance effective Peff)

Exercice N°2

Considérons une roue de turbine à vapeur. A l'entrée des aubes, point l

les données sont les suivantes :
u = l60 m/s
vitesse circonférentielle
u = l60 m/s
vitesse absolue Cl = 270 m/s
angle :α1= 30°.
A la sortie de la roue, point 2, on donne :
vitesse relative w2= 270 m/s
angle : β2= 30°.
Calculer :
- la vitesse relative à l’entrée des aubes
- les vitesses projetées (C1U, C2U, C1a, C2a)
- le travail de la turbine
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Solution Fiche de TD N°3
Solution de l’exercice N°1

Nous avons la relation :

P4  P1 1
W h  g .H m 

   
  C 42  C12  g Z 4  Z 1  J a  J r
2
Perte de charge dans la conduite d’aspiration
J a  9,81 0,8  7,848 J/kg
Perte de charge dans la conduite de refoulement
J r  9,8112  117,72 J/kg

Nous avons
P4  P1
0


L’énergie potentielle due à l’altitude

 
g Z 4  Z1  9,81 80  784,8 J/kg
L’énergie cinétique
1
2
 1
2
1

 C42  C12  C42  5 2  12,5 J / kg
2
Le travail utile Wh
Wh  922,868 J/kg
hauteur manométrique Hh
H m  94,074 m
la puissance utile reçue par le fluide Pu
Pu  gH m q v

Pu  1000  9,81  94,074  20  10 3  18457,36 W

La puissance du moteur à installer ou puissance effective Peff

Pu
Peff 
et  eff   h  v  m
 eff

 eff  0,8  0,95  0,95  0,722

Pu 18457,36
Peff    25564,21 W
 eff 0,722

Peff  25,56 kW
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Solution de l’exercice N°2
La construction du triangle nous permet de calculé la vitesse relative
w12  u12  c12  2u1c1 cos 1

w12  160 2  270 2  2  160  270  cos 30

w1 = 153,86 m/s.
la vitesse projetées C1U
C1U  C1 cos  1  160  cos 30  138,56 m/s

la vitesse projetées C1a

C1a  C1 sin  1  160  sin 30  80 m/s
la vitesse projetées C2U
 w2 cos  2  U 2  C 2U  270  cos 30  160  73,823m/s

C 2U  73,823 m/s
(Le signe moins de C2U indique que la vitesse projetée est bien dirigée vers le haut)
la vitesse projetées C2a
C 2 a  w2 sin  2  270  sin 30  135 m/s

- le travail de la turbine
W12  U (C 2U  C1U )  160  (73,823  138,56)  -33981,28 J/kg
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td(4)-ex(4)
(Pompe centrifuge)

Enoncé

Une pompe centrifuge débite 1,44 𝑚 3 par minute sous une hauteur manométrique de 27 m avec un
rendement manométrique de 75% .On admet que la perte interne vaut cinq fois l’énergie cinétique
de l’eau dans son mouvement relatif à la sortie de la roue. Le diamètre de celle-ci est 𝐷2 = 0,20 m et
la section utile à la sortie 𝑆2 = 0,2 𝐷22 . Calculer l’angle 𝛽2 de sortie et la vitesse de rotation (fig.1).
On admettra que l’eau entre radialement dans la roue.
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td(4)-ex(4)
(Solution)

Enoncé
Une pompe centrifuge débite 1,44 𝑚 3 par minute sous une hauteur manométrique de 27 m avec un
rendement manométrique de 75% .On admet que la perte interne vaut cinq fois l’énergie cinétique
de l’eau dans son mouvement relatif à la sortie de la roue. Le diamètre de celle-ci est 𝐷2 = 0,20 m et
la section utile à la sortie 𝑆2 = 0,2 𝐷22 . Calculer l’angle 𝛽2 de sortie et la vitesse de rotation (fig.1).
On admettra que l’eau entre radialement dans la roue.

Solution

1 ∶ 𝑒𝑛𝑡𝑟é𝑒
Affectation des indices {
2 ∶ 𝑠𝑜𝑟𝑡𝑖𝑒

𝛼 = (𝑢
⃗ , 𝑐)
{
𝛽 = (𝑢
⃗ ,𝑤
⃗⃗ )

(𝛼2 , 𝛽2 ) → en 2 (sortie du rotor de la pompe centrifuge)

𝐻𝑒 = 𝐻𝑛 + ∑ ℎ𝑝

𝐻𝑒 : La hauteur d’Euler (ou théorique)

𝐻𝑛 : La hauteur manométrique (ou nette)
∑ ℎ𝑝 : La somme des pertes internes de la pompe centrifuge

𝐻𝑒 −∑ ℎ𝑝 𝐻
𝜂𝑛 = 𝐻𝑒
= 𝐻𝑛 : Le rendement manométrique (ou net) de la pompe centrifuge
𝑒

𝐻
𝐻𝑒 = 𝜂𝑛
𝑛

1−𝜂𝑛
∑ ℎ𝑝 = 𝐻𝑒 - 𝐻𝑛 = (1 - 𝜂𝑛 ) 𝐻𝑒 = 𝐻𝑛
𝜂𝑛

• Application :

27
𝐻𝑒 = 0,75 = 36 m

0,25
∑ ℎ𝑝 = =9m
0,75

𝑤22
2𝑔
= 1,80 → 𝑤2 = 6 m

𝑞 (1440)(10−3 )
𝑐𝑟2 = 𝑆𝑣 = (60)(0,2)(0,2)2 = 3 𝑚. 𝑠 −1
2

𝑐𝑟2 1 𝜋
𝑤2
= sin 𝛽2 = 2 → 𝛽2 = 30° (= 6 ) → Aubes dirigées vers l’avant. (Figure.1).

𝑢2 = 𝜔2 𝑟2 = 2𝜋N𝑟2 = 𝜋𝐷2
𝑢 𝑢
N = 𝜋𝐷2 = 𝜋𝐷2 .60 (𝑡𝑟 . 𝑚𝑛−1 )
2 2

1
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Le calcul de 𝑢2 s’effectue au moyen de la formule d’Euler :
𝑢2 𝑐𝑢2 𝐻
𝐻𝑒 = 𝑔
= 𝜂 𝑛 = 36 m
𝑛

𝑐𝑢2 = 𝑢2 + 𝑤2 cos 𝛽2

𝑢22 + 𝑢2 𝑤2 cos 𝛽2 - 360 = 0

𝑢21 = 16,5 𝑚. 𝑠 −1
{ → 𝑢21 = 16,5 𝑚. 𝑠 −1 , est à retenir, les aubes étant dirigées vers l’avant.
𝑢22 = −21,7 𝑚. 𝑠 −1

D’où : 𝑢2 = 16,5 𝑚. 𝑠 −1 ⇒ N ≅ 1576 𝑡𝑟. 𝑚𝑛−1

En effet,

𝑢 𝑢 16.5
N = 𝜋𝐷2 = 𝜋𝐷2 .60 (𝑡𝑟 . 𝑚𝑛−1 ) = 𝜋×0.20 . 60(𝑡𝑟 . 𝑚𝑛−1 ) =1576.433(𝑡𝑟 . 𝑚𝑛−1 ) ≅ 1576 𝑡𝑟. 𝑚𝑛−1
2 2

𝛼 = (𝑢 ⃗ 2 , 𝑐2 )
A la sortie de la pompe centrifuge, en 2 { 2
𝛽2 = (𝑢
⃗ 2, 𝑤⃗⃗ 2 )

Figure.1. Triangle de vitesse en 2, sortie de la pompe centrifuge (cas des aubes dirigées vers l’avant)

∎ Essayez de résoudre le même problème dans le cas où les aubes sont dirigées vers l’arrière.

2
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Fiche de TD N°5
Exercice N°1

Une pompe à eau centrifuge tourne à 1000 tr/min, le rotor de la pompe à les caractéristiques
suivantes :

roue Entrée 1 Sortie 2

Diamètre (mm) 140 300
largeur du canal, b (mm) 20 20
Angle de la lame, β (degré) 30

Rendement mécanique ηm = 0.95

Rendement volumétrique ηv = 0.92
Rendement hydraulique ηh =0.80
Le débit qui traverse réellement la roue est de 30 l/s
La masse volumique de l’eau ρ=1000 kg/m3

C1 W1
W2
α1 α2
U2
U1
1- Déterminer les tringles de vitesses à l’entrée et à la sortie de la roue
2- Calculer le débit volumétrique en sortie de la pompe
3- Le travail utile de la pompe
4- Calculer l’hauteur manométrique H
5- Calculer la puissance utile de la pompe
P2  P1
6- Montrer que :
g

1
2g
 
 U 22  U 12 
1
2g

w22  w12  et calculer l’augmentation de la

pression ∆p ?
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Solution de la fiche de TD N°5

Solution de l’exercice N°1

Tringles de vitesses à l’entrée et à la sortie de la roue ?

Entrée de la roue
N=1000 tr/mn

U 1    r1
2 n
avec 
60
2 n
U1   r1
60 W1
C1
2 1000
U1   0,07  7,33 m / s
60 α1
Q  C1r  S1  C2 r  S 2 C1U U1

Q
C1  C1r 
  b1  d1
0,03
C1r   3,41 m / s
  0,02  0,14
w1  C12  U 12

w1  3,412  7,33 2  8,1 m / s

C2 W2
Sortie de la roue
2 n α2 β2
U2   r2
60 U2
C2U
2 1000
U2   0,15  15,71m / s
60
Q
C2 r 
  b2  d 2
0,03
C2 r   1,59 m / s
  0,02  0,3
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C2 r
tg 2 
u 2  C2U
C2 r 1,59
U 2  C2U    2,75
tg 2 tg 30
U 2  C2U  2,75
C2U  U 2  2,75
C2U  15,71  2,75  12,96 m/s

w2  C22r  (U 2  C2U ) 2

w2  1,59 2  ( 2,75) 2  3,17 m / s

C2  C22r  C2U ) 2

C2  1,59 2  12,96 2  13,05 m/s

Le débit volumétrique en sortie de la pompe

qv  qv' v
qv  30  0,92  27,6 l/s
Le travail utile de la pompe

W12  U 2C2u  U1C1u  c1u  0

et

W12  U 2 c2u
W12  15,71  12,96  203,6016 J/kg
Hauteur manométrique Hh

W12 203,6016
Hm    20,75 m
g 9,81
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Puissance utile de la pompe

PU  W12  Qm  W12  QV  

PU  203,6016  27,6  10-3  1000  5619,40416 W

PU  5,619 kW
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Fiche de TD N°7
Exercice N°1
Une pompe centrifuge possède les caractéristiques suivantes
Hauteur manométrique Hh=20 mètre, n=3000 tr/min, qv =10 l/s.
On donne :
à l’entrée de la pompe dA=7cm
à l’entrée de la roue di=2,5 cm
à l’entrée de l’aube d1=7,5 cm ; C1=3,5 m/s
à la sortie de la roue d2=15 cm et C2r=3,5 m/s
Le rendement volumétrique et hydraulique sont respectivement
ηv=0,94 ηh=0,75
On demande de déterminer :
1- la vitesse CA à l’entrée de la pompe
2- la section de passage de l’eau au point B, le débit qui traverse cette section et la vitesse CB
3- la largeur de l’aube b1 au point 1, la vitesse d’entraînement U1, la vitesse relative w1 et l’angle
β1
4- la vitesse projetée CU2, la vitesse absolu C2, la
vitesse relative w2, l’angle β2 et la largeur de
l’aube b2 au point 2
5- le nombre d’aubes de cette pompe
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Solution de la fiche de TD N°7

Solution de l’exercice N°1

La section de passage SA à l’entrée de la pompe

  d A2   (7  10 )
2 2

SA    0,003848451000 m 2
4 4
La vitesse CA à l’entrée de la pompe

qv 10 3
CA    2,6 m/s
S A 0,00384845100
La section de passage SB à l’entrée de la roue

  (d A2  d i2 )   [(7  10 )  (2,5  10 ) ]
2 2 2 2

SB    0,003357577m 2
4 4
Le débit qui traverse la roue

qv qv 10
v   qv     10,638 m 3
qv   v 0,94
La vitesse CB à l’entrée de la roue

qv 10,638 10 3

CB    3,168 m/s
S B 0,003357577
La largeur de l’aube b1 au point 1

qv    d1  b1  C1r

Avec C1r  C1
qv 10,638 10 3
b1    0,01289 m
  d1  C1   7,5 10-2  3,5
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La vitesse d’entraînement U1

n  3000 C1 W1
U1   d1  0,075  11,78 m/s
60 60
α1=90° β
La vitesse relative w1
C1U = 0 U1

w1  C12  U 12

w1  3,5 2  11,78 2  12,28 m / s

L’angle β1

C1 3,5
tg1    0,2971
U1 11,78

 1  16,54

La vitesse projetée C2U

W12  U 2 C 2U  U 1C1U

U 1C1U  0

W12  U 2 C 2U

La vitesse d’entraînement U2

n  3000
U2   d2   0,15  23,56 m/s
60 60
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Wh g  H m 9,81 20
W12     261,6 J/kg
h h 0,75
W12 261,6
C 2U    11,10 m/s
U 2 23,56
Largeur de l’aube b2 au point 2

qv 10,638 10 3

b2    0,00644 m
  d 2  C2 r  15 10-2  3,5
La vitesse absolue à la sortie de la roue

2
C 2  C 22r  C 2U

C 2  3,5 2  11,10 2  11,63 m/s

La vitesse relative à la sortie de la roue

w2  C 22r  (U 2  C 2U ) 2

w2  3,5 2  ( 23,56  11,1) 2  12,94 m/s

L’angle  2

C 2 U  C 2  cos  2

C2U 11,1
cos  2    0,954
C2 11,63

 2  17,36 
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L’angle  2

C2 r 3,5
sin  2    0,2704
w2 12,94

 2  15,69 

Le nombre d’aubes de la pompe

Z  10    d 2  10  3,14  0,15  4,71

Z 5
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Fiche de TD N°8

Exercice N°1

Un fluide passe à travers une roue d’une pompe centrifuge de 0,22 m de diamètre extérieur et
0,1 m de diamètre d'entrée. L'impulser (la roue) tourne à 1250 tr / min et l'angle de l'aube de
sortie est reculé d'un angle de 22 par rapport à la tangente. En supposant que le fluide
pénètre radialement avec une vitesse d'écoulement de 3,5 m /s,
Calculer
Les vitesses d’entrainements U1 et U2
Les vitesses relatives w1 et w2
La vitesse projetée C2U
Le travail de la roue et la hauteur manométrique.

Exercice N°2

On suppose que le fluide pénètre avec l’angle α1= 70° (exercice N°1)

Quels sont les nouveaux paramètres de la pompe

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Solution de la fiche de TD N°8

Solution de l’exercice N°1

W12  U 2 C 2U  U 1C1U

U 1C1U  0
C1 W1
W12  U 2 C 2U
La vitesse d’entraînement U2 α1
n  1250 C1U U1
U1   d1  0,1  6,54 m/s
60 60
n  1250
U2   d2   0,22  14,39 m/s
60 60

w1  C12  U 12

w1  3,5 2  6,54 2  7,42 m / s

C2r 3,5
C 2U  U 2   14,39 -  5,72 m/s
tg 2 tg 22
W12  U 2C2U
W12  14,39  5,72  82,4 J/kg
W12 82,4
H   8,40 m ,
g 9,81
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Fiche de TD N°9

Exercice N°1
Le rotor d’une pompe centrifuge tourne à 1400 tr /min et l'angle des aubes à la sortie est de
25°. Le rotor a un diamètre extérieur de 0,4 m et un diamètre intérieur de 0,2 m. En supposant
l’écoulement est radial et entre avec une vitesse de 2,6 m /s
Calculer
1) l'angle de la vitesse absolue à la sortie de l’écoulement
2) l'angle de l'aube d'entrée,
3) le travail effectué par 1kg d'eau
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Solution de la fiche de TD N°9

Solution de l’exercice N°1

n
U2   d2
60

 1400 C2 W2
U2   0,4  29,33 m / s
60
β2
α2
C2r U2
C2U  U 2  C2U
tg 2
2,6
C2U  29,33   23,76 m / s
tg 25

C2r
tg 2 
C2U
2,5
tg 2   01095
23,75

 2  6,25 

n
U1   d1
60

 1400
U1   0,2  14,67 m / s
60

C1r
tg1 
U1
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2,6
tg1   0,177
14,67
C1 W1

1  10,05
α1
C1U U1
W12  U 2C2u  U1C1u 

et

c1u  0

W12  U 2C2u

W12  29,33  23,76  696,8808 J/kg

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Fiche de TD N°11

EXERCICE N°1

Dans un compresseur à écoulement axial, l'air pénètre dans le compresseur à une pression de
de 1 bar et à une température de 300 K. Le rapport de pression du compresseur est de 6. Si le
rendement isentropique du compresseur est de 0,75, trouvez le travail de compression et la
température finale à la sortie.
Cp = 1,005 KJ/kg. K ;   1.4

EXERCICE N°2

Un compresseur d’air possède les données suivantes :

La vitesse à l’entrée est négligeable
La vitesse à la sortie C2=100 m/s.
le taux de compression τ=5, la pression à l’ entrée p1 =10 N/cm2 et t1=25°C
Débit massique qm=40 kg/s.
Le rendement de compression ηh=0,8
Le rendement mécanique ηm=0,95

Déterminer
L’augmentation de l’enthalpie réelle
Le travail utile et effectif de ce compresseur
La puissance effective de ce compresseur
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Solution Fiche de TD N°11
Solution de l’exercice N°1

La température finale à la sortie du compresseur.

 1
T2  p 2  
 
T1  p1 
 1
p  
T2  T1  2 
 p1 
T2  300  6 
0, 286
 500 K
T T
T 2  T1  2 1  300 
500  300  567,4 K
isen 0,75
Le travail de compression
W12  H 2  H 1 
W12  C p T2  T1   1,005  (567,4  300 )  268741, 2 J / kg
W12  268,741 2 kJ / kg

Solution de l’exercice N°2

T2  T1 140
T 2  T1   288   463 K
 isen 0,8
L’augmentation de l’enthalpie réelle

H 2  H 1  cp  (T2  T1 )  1175  175 kJ / kg

C22
W12  H 2  H 1  
2
Le travail utile du compresseur
C 22
WU  H 2  H 1    175  1,25  176,25 kJ / kg
2
Le travail effectif du compresseur
WU 176,25
Weff    185,52 kJ/kg
m 0,95
La puissance effective du compresseur
Peff  Weff  qm  185,52 40  7440 kW
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Fiche de TD N°1

EXERCICE N°1

Un compresseur d’air est conçu de telle façon que la vitesse à l’entrée C1est égale à la vitesse
à la sortie C2. Cela se traduit simplement par des sections différentes en 1 et 2.
Données : entrée : p1 =10 N/cm2, t1=20°C
Sortie : p2=30N/cm2
Débit massique qm=20 kg/s.
Quelle est la puissance absorbée par ce compresseur ?
Cp = 1 KJ/kg. °K ;   1.4

EXERCICE N°2

Une pompe hélice est schématisée (Figure.1) Donnés : rayon moyen r = 0,4 m, n=300 tr/min,
vitesse absolue à l’entrée de la rue C1=4 m/s (vitesse parallèle à l’axe du rotor) supposons que
l’on connaisse C2= 8m/s et  2 =30°.

1 2
Sens de l’écoulement
C1= 4 m /s
r

Rotor

Figure.1
Calculer :
- la vitesse d’entraînement U
- la vitesse relative à l’entrée de l’hélice
- la vitesse relative à la sortie de l’hélice
- la vitesse projetée C2U
- le travail théorique de l’hélice
- l’augmentation de pression (p2-p1)
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Solution de la fiche de TD N°1

Solution de l’exercice N°1

La relation générale de l’écoulement permanent se réduit à :

W12  H 2  H 1 
avec
H 2  H 1   mC p T2  T1 
et
Cp = 1 KJ/kg. °K
Il faut calculer T2
 1 0 .4
T2  p 2   T2  30  1.4
  avec   1.4 donc  
T1  p1  T1  10 
T2 = 403 °K
Finalement
W12  H 2  H 1   mC p T2  T1   1  1  10 3  130  20  110kJ / kg

La puissance absorbée par ce compresseur   q m  W12  20  110  2200 kW

Solution de l’exercice N°2

2  n
Calculons la vitesse d’entraînement u    r , avec   ,   10   rd/s
60
U=12,6 m/s

1 2
Sens de l’écoulement
C1= 4 m /s
r

Rotor

Figure 1
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Traçons le triangle des vitesses à l’entrée
nous mesurons w1=13.2 m/s. C1
1
le calcul donne d’ailleur :

w1  C12  u 2  13,2 m/s,

w1
puisque le triangle es rectangle.
Constatons que C1u=0.
U
Triangle des vitesses à la sortie, en 2
Nous avons de plus
u=12,6 m/s ;
la construction du triangle est possible.
Nous mesurons (ou calculons) :
2
W2 = 7 m/s, C2u= 6,9 m/s.
Ecrivons : W12  u C 2u  C1u  , avec C1u=0
C2
W12=87 J/kg
Quant à l’augmentation de pression (p2-p1) ;
elle est donnée par la relation : U
w2
P2  P1 1 2

 
 w1  w22 , avec   1000 kg/m3
2

P2  P1 
1000
2
 
13,2 2  7 2  62800 N/m2

Ainsi on peut dire que dans le traversé du rotor, chaque masse d’eau de 1 kg reçoit 87 J ; ce
travail sert :
1- à augmenter la pression de l’eau, donc son énergie potentielle
P2  P1
 62,8 J/kg

2- à augmenter son énergie cinétique


1 2
2

C 2  C12  24 J/kg
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Fiche de TD N°12

Exercice N°1

Un compresseur centrifuge ayant les caractéristiques suivantes : travail utile 19,8 KJ/kg
Diamètre intérieur d1=450 mm et diamètre extérieur d2=900 mm, les rendements de
compression, volumétrique et mécanique sont respectivement 75%, 95%
% et 95%
La composante radiale de la vitesse absolue à la sortie est de 50 m/s et (C1r=C2r=C1).
L’angle β2=50°
Calculer
1-La vitesse relative w2 et d’entrainement U2
2-La vitesse absolue C2 et l’angle α2
3-La
La vitesse angulaire et le nombre de tour du rotor
4-La vitesse relative w1 et d’entrainement U1
5-l’angle β1

Exercice N°2
Un compresseur centrifuge tourne avec une vitesse circonférentielle de sortie U2=200 m/s la
température T1=288°K,P1=1bar,
,P1=1bar, le taux de compression est τ=1,2,
τ= le diamètre extérieur de
la roue d2=190 mm
La vitesse de sortie C2=100 m/s ; Cp=1005 J/kg K et γ=1.4
Déterminer
1-Le
Le coefficient manométrique
2-Le travail théorique et le nombre d’aube
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Solution de la fiche de TD N°12

Solution de l’exercice N°1

Wu  U 2C2U  U1C1U
Wu  U 2C2U
La vitesse relative w2
C2 r 50
w2    65,27 m/s
sin  2 sin 50
On a

(U 2  C2U )  w2 cos  2
C2 W2
(U 2  C2U )  65,27 cos 50  41,95
α2 β2
Vitesse d’entrainement U2 U2
C2U

U 2  41,95  C2U

19800  U 2 (U 2  41,95)

U 2  163 m / s

C 2U  121,05 m / s

La vitesse absolue C2
2
C 2  C 22r  C 2U C 2  50 2  121,05 2  130,97 m/s

C2r 50
tg 2  tg 2   0,4130
C2U 121,05

t 2  22,44 C1 W1

n α1
U2   d2
60 U1

U 2  60 163  60
n n  3459 tr/min
  d2   0,9
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2 n 2  3459
   362 rd/s
60 60

n   3459
U1   d1 U1   0,45  81 m / s
60 60

w1  C12  U 12 w1  50 2  812  96 m/s

w1  95 m / s

C1 50 50
tg1  tg1   0,617 1   31,68
U1 81 81

Solution de l’exercice N°1

Le coefficient manométrique

H 2  H1

U 22

H 2  H 1  C p T2  T1 

 1
p    1
T2  T1   2  T2  288  1,2   303,4 K
 p1 

H 2  H 1  1005  303,4  288   15477 J/kg

H 2  H1 15477
   0,387
U 22 2002

Wth  H 2  H 1   15477 J / kg

Nombre d’aube

Z  10    d 2 Z  10    0,19  6 aubes
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TD Compresseur Centrifuge (Radial)
Ex1 :
On considère un compresseur centrifuge, dont le rapport des diamètres de la roue :
extérieure et intérieure est égal à 2. Le rapport de pression de la sortie à celle de
l’entrée égal à 4. La vitesse de rotation du rotor, N = 1200, tours par minute, le débit
massique d’air Q = 1 kg/s. Le rendement isentropique du compresseur, Les aubes
à la sortie et à l'entrée sont radiales. La vitesse du débit à travers la roue reste constante

Calculer : (1) la puissance du compresseur, (2) les diamètres de la roue à l'entrée et à la sortie,
et (3) l'angle de l’aube à l'entrée.
La pression et température de l’air à l’entrée (aspiration) sont respectivement :

Solution :
(1) Le calcul de la température réelle à la fin de la compression, donnée lorsque le processus
de compression est isentropique par :

Donc,
Nous avons d’autre part :
donc : alors :
Le travail spécifique théorique est donnée pour un débit =

et la vitesse
En considérant le débit = la puissance du compresseur est :

2) A partir de l’équation, on tire sachant que :

alors :

3) Le rapport alors
A partir du triangle de vitesses à l’entrée, l’angle

Figure : triangles de vitesses à l’entrée et à la sortie de la roue.

Les aubes sont radiales à l'entrée et à la sortie alors on a :

A. ALIOUALI Page 1
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Ex2 :
La roue (rotor) d'un compresseur centrifuge possède les diamètres d'entrée et de sortie égaux
respectivement à et A l’aspiration (entrée), l’écoulement est sans
tourbillon, l'air est à et L'angle de l’aube à la sortie est
La vitesse de rotation est N = 10000 tours par minute et la vitesse débitante est
constante le long de la roue, égale à 120 m / s. Si la largeur de l’aube à l'entrée est
Calculer : (a) le travail spécifique, (b) la pression de sortie, (c) le débit massique ; et (d) la
puissance nécessaire pour entraîner le compresseur, sachant que le rendement global peut être
supposée égale à 0,7.

Solution :
(a) Pour le calcul du travail spécifique, on calcule la vitesse tangentielle à l’entrée de la roue :
comme à la sortie,

Figure : triangle de vitesses à la sortie

A partir du triangle de vitesses à la sortie, voir figure ci-dessus on a :

Comme l’écoulement à l’entrée est sans tourbillon, le travail spécifique

est alors :
(b) Calcul de la pression de sortie, on a :
on tire delà

(c) Le débit volumique est

L’équation d’état du gaz parfait appliquée à l’air s’écrit : le débit massique est
obtenu en remplaçant le volume par le débit volumique ce qui permet d’écrire le débit
massique :

(d) la puissance théorique est : = avec un rendement global de 0,7,

la puissance nécessaire pour entraîner le compresseur est P =

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Ex3 : Un compresseur centrifuge, tourne à N = 15 000 tours par minute, et produit un rapport
de pression de stagnation Les conditions de stagnation de l'air à l’entrée sont :
et La vitesse absolue à l’entrée du rotor est sans tourbillon. A
la sortie de la roue, les aubes sont radiales et la composante tangentielle de l’écoulement
Le rendement du compresseur et le coefficient de glissement

Calculer : a) l’angle de l’aube et b) tracer les triangles de vitesses.

Sachant que le diamètre du rotor à l'entrée est : et à la sortie

Solution :

a) Calcul des angles de l’aube : et

la relation de la compression isentropique est : donc :

A partir de l’expression du rendement on a :

alors :
Par définition voir le cours, le coefficient de glissement est donnée par l’équation :

et le glissement de la vitesse :

L’angle de l’aube à l’entrée est

Figure : triangle de vitesses (glissement)

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Ex4 :
Soit un compresseur centrifuge, son entrée ne comportant pas d’aubes de guidage. La
température de stagnation de l’air à l’entrée et la pression de stagnation
Déterminer pour les données suivantes :
- Débit massique,
- Vitesse tangentielle,
- Rendement mécanique,
- Vitesse absolue de l'air à la sortie du diffuseur,
- Rendement isentropique,
- Vitesse absolue à l'entrée du rotor,
- Rendement du Diffuseur,
- Profondeur axiale de la roue,
- Facteur de puissance,
- Facteur de glissement,
- pour de l'air, et
1. La puissance de l’arbre
2. La pression de stagnation et statique à la sortie du diffuseur
3. La vitesse radiale, nombre de Mach de la vitesse absolue et les pressions statiques et de
stagnation à la sortie de la roue
on suppose que le degré de réaction donnée est : la constante des gaz
parfaits : R = 287 J/(kg K).
4. Le rendement de la compression isentropique et la vitesse de rotation
Solution
1) Par définition, le rendement mécanique est :
L’écoulement de l’air à l’entrée du rotor est radiale : le travail transféré à l’air par
unité de masse est :

La puissance transféré à l’air par débit est :

En tenant compte du rendement mécanique (pertes à cause des frottements mécaniques), la

puissance de l’arbre (disponible) : 540,19 kW
2) Le rapport de pression global du compresseur :

La pression de stagnation à la sortie du diffuseur

bar

À la sortie du diffuseur la température statique,

et la pression statique bar

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3)
- Calcul de la vitesse radiale
d’après la relation entre la température statique et de stagnation on peut écrire :

De l’expression du degré de réaction, R on tire la valeur de

avec :

La température de stagnation à la sortie du rotor s’écrit :

Et comme dans le diffuseur il n’a pas d’échange de travail :

en remplaçant par on obtient l’expression suivante :

=222727, 3636 (m/s)2,

d’où :
- Calcul du nombre de Mach de la vitesse absolue à la sortie de la roue

- Calcul des pressions statiques et de stagnation à la sortie de la roue

à partir du triangle de vitesses à la sortie de la roue, l’application du théorème de Pythagore
permet d’écrire : étant donné le facteur de glissement :

m/s

D’après la définition du rendement du diffuseur :

=
é

= =
donc :

= 2,05 et par la suite : bar

on trouve d’après la relation de l’isentropie : bar.

4) Rendement isentropique :

- calcul de la masse volumique à la sortie de la roue

A. ALIOUALI Page 5
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L’équation des gaz parfaits ; kg/m3
le débit massique s’écrit :
avec : et alors en remplaçant on tire
l’expression :

en remplaçant dans l’expression de la vitesse

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TD TURBOMACHINES AXIALES

Ex 1

Un compresseur axial de diamètre extérieure 0,9 m, le diamètre du moyeu

= 0.42 m, le facteur (Work done factor) : et tourne à N= 5400 tours par
minute. Les angles des vitesses absolues à l'entrée et à la sortie sont respectivement :
et et le diagramme de vitesse est symétrique. Supposons que la densité de l'air
est : 1,5 kg / m3.

Calculer 1) le débit massique, 2) la puissance absorbée par le compresseur

Solution
1) Débit massique

le rayon moyen considéré est la vitesse tangentielle du rotor est :

= 254,57 m/s

à partir du triangle de vitesses à l’entrée :

119,47 m/s

le rayon du moyeu : la section de passage de l’écoulement dans le

compresseur est : 0,0833 m2,

Le débit massique,
2) en considérant le cas réelle où le facteur (work done factor) est différent de 1, le travail
reçue par le compresseur par unité de masse est :

à partir du triangle de vitesses on a :

et
alors :

La puissance totale absorbée par le compresseur est :

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Ex 2

Un compresseur axial, de 10 étages, de rapport de pression de stagnation 4,5.

Le rendement global isentropique du compresseur, 88% et la température de stagnation à
l’entrée est 290K. Supposons l’élévation de température égale à tous les étages (les
étages du compresseur sont identiques), et le facteur = 0,87.

Déterminer les angles des vitesses absolues et des vitesses relatives d'un
étage au niveau du rayon de conception où la vitesse tangentielle de rotation U = 218 m / s.
Supposons une vitesse axiale constante 16,5 m / s, et le degré de réaction R = 76%.

Solution
L’augmentation globale de la température de stagnation du compresseur est tirée à
partir de la formule du cours :

155,879 K

Le nombre d’étages est égal à 10, l'élévation de température de stagnation d'un étage est :

15,588 K

Par ailleurs on sait que :

D’où on tire l’expression suivante : 0,501 (A)

d’autre part, à partir de l’expression du degré de réaction :

(B)

Additionnant les équations : (A) et (B), on obtient alors :

1,123 alors : 29.57,
en remplaçant dans l’équation : on tire l’équation :
d’où
De manière similaire, en écrivant l’expression du degré de réaction sous la forme :

2,01
et
D’où l’obtention du système d’équation suivant :

et
et et

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Ex 3

Les données de conception suivantes, sont applicables à un compresseur axial :

Rapport de pression global R = 4,5
Débit massique 3,5 kg / s
Rendement polytropique, 0,87
Augmentation de la température de stagnation par étage :
Vitesse absolue approche du dernier rotor 160m / s.
Angle absolu de vitesse ; mesurée à partir de la direction axiale 208.
Le travail facteur fait 0,85.
Diamètre moyen de la dernière étape est de rotor 18, 5cm.
Pression ambiante 1,0bar.
Température ambiante
Calculer, a) le nombre d'étapes nécessaires, b) le rapport de pression du premier et du dernier
stade, la vitesse de rotation, et la longueur de la dernière lame de rotor d'étage à l'entrée de la
scène. Supposons augmentation égale de la température dans toutes les étapes, et le
diagramme de vitesse symétrique.

Solution
a) Calcul du nombre d'étapes nécessaires
le nombre d’étages est N, le rapport de pression global est donné par la relation:

où est le rendement polytropique et

remplaçant la valeur de et de on trouve :
3,05
l’expression du rapport de pression globale est alors :
R
en remplaçant les valeurs des différents variables dans cette expression on
trouve l’équation en N :

Remarque : le nombre d’étage doit être un nombre entier, on prend par défaut la valeur N=8

L’augmentation de la température, considéré par étage est égale à 22 K, pour 8

étages identiques, l’augmentation par étage devient :

A. ALIOUALI Page 3
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Ex 4

Les conditions d’entrée de l’air atmosphérique dans un compresseur axial sont : la pression
1 bar, la température 15 °C et le débit 20 kg / s. Le diamètre extérieur du
rotor D = 60 cm et la vitesse de rotation N = 12 000 tours par minute. Les angles de l’aube
sont à l'entrée 40° et à la sortie 70°. L'air pénètre dans le rotor axialement sans
tourbillon. La vitesse axiale de l'écoulement de l'air reste constante à travers le rotor et les
aubes de stator. Le rendement total par rapport au total du rotor = 85% et le rendement
mécanique 98%. Le coefficient (work-done factor) = 0,88 et l'efficacité de la
diffusion 80%. Calculer ce qui suit : (a) Le rapport de pression statique au rotor,
(b) Le rapport de pression statique global à l’étage (c) Le degré de réaction R et (d) la
puissance P à l’entrée. Prendre comme rayon référence le diamètre extérieur du rotor D.

Solution
(a) Le rapport de pression statique au rotor

m/s

L'air pénètre dans le rotor axialement sans tourbillon

à partir du triangle de vitesses à l’entrée on a 316.34 m/s
La vitesse axiale de l'écoulement de l'air reste constante à travers le rotor et les aubes de stator
les triangles de vitesses sont représenté dans la figure ci-
après :

A partir du triangle de vitesses on a :

261.86 m/s

Le travail spécifique est 98721.22 J/kg.

L’augmentation d’enthalpie est 86874.674 J/kg.

L’augmentation de la température 101.2 K.

La température de stagnation à la sortie du rotor elle est aussi égale à

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(pas de transfert d’énergie dans le diffuseur).

De la relation (P-T) isentropique nous avons

donc 2.88 bar =

A partir du triangle de vitesses on a : 410.66 m/s.

La température statique à la sortie de l’étage est 339.96 K. Par définition

le rendement du diffuseur est où l’indice 2 est celui de la sortie du

rotor ; 3 est la sortie réelle de l’étage et est celui du cas isentropique en remplaçant les
différents valeurs on a 335.18 K.
Toutes les températures sont déterminées
à partir de la relation d’isentropie :

0.62 alors 1.7856 bar

et 0.7255 = 1.295 bar.

= 2.38 K ;

= bar.

a) Le rapport de la pression statique à travers le rotor :

2.518

b) Le rapport de la pression statique à travers l’étage :

3.4721

c) Le degré de réaction :
R

c) La puissance d’entrainement du rotor :

2015 kW

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Fiche de TD N°14
Exercice N°1
Une turbine à gaz possède les paramètres suivants : taux de compression 6/1 et une
température maximale 600°C, les rendements du compresseur et de la turbine sont 82% et
85% respectivement
Déterminer la puissance de la turbine à gaz lorsque l’air pénètre dans le compresseur à 15°C
avec un débit de 15 kg/s
Pour la compression CP=1,005 kJ /kg et ϒ=1,4
Pour la détente CP=1,11 kJ /kg et ϒ=1,333
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Solution Fiche de TD N°3

Solution de l’exercice N°1

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Fiche de TD N°10

Exercice N°1

Dans une turbine à vapeur la vitesse absolue l’entrée du canal mobile est de 460 m /s, l'angle
α1= 22° et l'angle de la pale est de 33°.
La vitesse relative à la sortie et de 237, 2 m/s et l'angle de la pale est de 33° (aube symétrique)
Trouvez la vitesse relative w1 pour que la vapeur passe sans choc.
Trouvez le travail de l’étage de cette turbine

Exercice N°2
La vitesse absolue l’entrée d’un canal mobile d’une turbine a vapeur est de 590 m / s et d’un
angle de 20°. La lame tourne à 2800 tr / min et le diamètre de la lame est de 1050 mm. La
vitesse axiale à la à la sortie du canal est de 155 m / s, les lames sont symétriques.
Calculer
1-La vitesse d’entrainement de la lame
2-La vitesse relative w1 .et l’angle de la lame (aube)
3-La vitesse projetée CIU et C2U
4-le travail effectué,
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Solution Fiche de TD N°10

Solution de l’exercice N°1

C1U  C1 cos1  460 cos22  426,5 m / s

C1a  C1 sin  1  460  sin 22  172,32 m/s

C1a α1
tg1  C1U
C1U  U
U C1
C
C1U  U  1a W1
tg 1
β1
C1a
U  C1U  C1a
tg 1

172,32
U  426,5   161,15 m/s
tg 33 C2a

w12  U 2  C12  2U C1U

w12  161,152  4602  2 161,15 426,5  100107,97

C2U
α2
C2
w1  316,39 m/s

C 2 a  w2 sin  2  237, 2  sin 33  129,18m/s W2

 w2 cos  2  U  C2U β2

C2U  237, 2  cos 33  161,15  37,78 m/s U

W12  U (C2U  C1U )

W12  161,15  (37,78  426,5 )  -74818,722J/kg

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Solution de l’exercice N°2

n
U d
60

  2800 1050
U  154 m / s
60
α1
w12  U 2  C12  2  U  C1 cos 1 C1U

U C1
w1  U 2  C12  2  U  C1 cos 1
W1

w1  1542  5902  2  154  590 cos 20  448 m / s β1

C1a
C1 sin 1 590 sin 20
cos 1    0,45
w1 448,4

 1  26,75 C2a

C1U  C1 cos  1  590 cos 20  554,42 m/s

C2U
α2
Condition de symétrie C2
tg 2  tg 1
W2
C2 a1
tg 2  tg1  
U  C2U β2

CU 2  153,54 m / s U

W12  U C 2u  C1u   154(153,54 - 554,42)  -61735,52 J/kg

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Td(7)-ex(2)

Déviation progressive d’un écoulement par une grille d’aubes plane

• Objet
Ce problème a pour objet la schématisation de l’écoulement spatialement périodique à travers une
grille constituée d’ailettes identiques et présentant l’aspect d’une persienne. Cette géométrie simple
permet une première approche de l’étude des forces s’exerçant entre un fluide et les aubages d’une
turbomachine.

• Définition
On appelle grille d’aubes rectilignes, une infinité d’aubes se déduisant les unes des autres par une
translation t , appelée pas de la grille.

• Hypothèses
- Fluide parfait, incompressible, non pesant.
- Ecoulement plan (bidimensionnel), permanent, irrotationnel.
- Vitesse uniforme assez loin de la grille en amont et en aval [c⃗1 , c⃗2 ].
- Nombre d’aubes infini.
- La profondeur de la grille égale à l’unité (b = 1).

1
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Td(7)-ex(2)
(Solution)

Déviation progressive d’un écoulement par une grille d’aubes plane

• Objet
Ce problème a pour objet la schématisation de l’écoulement spatialement périodique à travers une
grille constituée d’ailettes identiques et présentant l’aspect d’une persienne. Cette géométrie simple
permet une première approche de l’étude des forces s’exerçant entre un fluide et les aubages d’une
turbomachine.

• Définition
On appelle grille d’aubes rectilignes, une infinité d’aubes se déduisant les unes des autres par une
translation t , appelée pas de la grille.

• Hypothèses
- Fluide parfait, incompressible, non pesant.
- Ecoulement plan (bidimensionnel), permanent, irrotationnel.
- Vitesse uniforme assez loin de la grille en amont et en aval [c⃗1 , c⃗2 ].
- Nombre d’aubes infini.

• Résolution
Rappel : Dérivée particulaire d’une intégrale de volume

⃗⃗, t)dV
I = ∫V G(X G, pouvant être un scalaire, un vecteur, ou un tenseur.

dI d ∂G ∂G
⃗⃗, t)dV = ∫
= ∫ G(X dV + ∫ G(c⃗. n
⃗⃗)dS = ∫ [ + div(Gc⃗)] dV
dt dt V V ∂t S V ∂t

1
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1. La forme générale du bilan de masse pour un volume de contrôle V fixe de surface frontière S :

G=ρ (1)

d ∂ρ ∂ρ
∫ ρdV = ∫V dV + ∫S ρ(c⃗. n
⃗⃗)dS = ∫V [ + div(ρc⃗)] dV = 0 (2)
dt V ∂t ∂t

∂ρ
∀V, ∂t
+ div(ρc⃗) = 0 → Equation de continuité (3)

De l’équation de continuité (1), ρ = cte (masse volumique) ⇒ div𝑐⃗ = 0 (4)

∂ρ
∫ [ + div(ρc⃗)] dV = ∫ div(ρc⃗)dV = ρ ∫ divc⃗ dV = ρ ∫ c⃗. n
⃗⃗dS = 0
V ∂t V V S

D’où :

∫S c⃗. n
⃗⃗dS = 0 (5)

S = S1 ∪ Σ′ ∪ Σ′′ ∪ S2 ∪ Sa (6)

AB → S1 ; BC → Σ′ ; CD → S2 ; DA → Σ′′ ; L’aube → Sa

∫S c⃗. n
⃗⃗dS = ∫S c⃗1 . n
⃗⃗1 dS + ∫Σ′ c⃗. n
⃗⃗dS + ∫Σ′′ c⃗. n
⃗⃗dS + ∫S c⃗2 . n
⃗⃗2 dS + ∫S c⃗. n
⃗⃗dS = 0 (7)
1 2 a

Les conditions d’imperméabilité sont telles que :

∫Σ′ c⃗. n ⃗⃗dS = 0 , Σ′ et Σ′′ sont des surfaces de courant

⃗⃗dS = ∫Σ′′ c⃗. n (8)

2
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∫Sa c⃗. n
⃗⃗dS = 0 , sur chaque ailette (car la paroi solide est imperméable) (9)
D’où :

∫S1 c⃗1 . n
⃗⃗1 dS + ∫S c⃗2 . n
2
⃗⃗2 dS = 0 (10)

La profondeur, b , de la grille étant supposée égale à l’unité (b=1),

S1 = S2 = b. t = 1. t (11)

⃗⃗1 = (−1,0)
n ; ⃗⃗2 = (+1,0)
n (12)

c⃗1 = (u1 , v1 ) ; c⃗2 = (u2 , v2 ) : les composantes de vitesse dans le système xy → (i⃗, ⃗j)

c⃗1 = u1 . ⃗i + v1 . ⃗j ; c⃗2 = u2 . ⃗i + v2 . ⃗j (13)

⃗⃗1 = u1 . (−1) + v1 . (0) = −u1

c⃗1 . n (14)

⃗⃗2 = u2 . (+1) + v2 . (0) = +u1

c⃗2 . n (15)

⃗⃗1 dS = ∫ [u1 . (−1) + v1 . (0)]dS = −u1 ∫ dS = −u1 S1 = −u1 t

∫ c⃗1 . n
S1 S1 S1

∫S1 c⃗1 . n
⃗⃗1 dS = −u1 t , Le débit volume à travers S1 (16)

⃗⃗2 dS = ∫ [u2 (+1) + v2 (0)]dS = +u2 ∫ dS = +u2 S2 = u2 t

∫ c⃗2 . n
S2 S2 S2

∫S2 c⃗2 . n
⃗⃗2 dS = u2 t , Le débit volume à travers S2 (17)

En substituant (16) et (17) dans la relation (10), il vient :

−u1 t + u2 t = 0 ⇒ u1 = u2 = u (18)

Compte tenu des angles de déviation α1 et α2 , on peut exprimer v1 et v2 en fonction de u :

v1 = u tan α1
{ (19)
v2 = u tan α2

2. L’écriture du bilan de quantité de mouvement, bien qu’un peu plus complexe, est tout à fait
analogue. Pour un volume de contrôle V fixe de surface frontière S, la forme intégrale du bilan de
quantité de mouvement s’écrit :

G = ρc⃗ → G = ρci (20)

d ∂(ρci ) ∂(ρci )
∫
dt V
ρci dV = ∫V ∂t
dV + ∫S ρci (c⃗. n
⃗⃗)dS = ∫V [ ∂t
+ d iv(ρci c⃗)] dV (21)

d ∂(ρc
⃗⃗)
∫ ρc⃗dV = ∫V dV + ∫S ρc⃗(c⃗. n ⃗⃗ex = ∫ ρF
⃗⃗)dS = ΣF ⃗⃗v dV + ∫ T(n
⃗⃗)dS (22)
dt V ∂t V S

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⃗⃗ex : Somme des forces extérieures de surface et de volume appliquées au volume de contrôle V de
ΣF
surface frontière S.
∫ ρF ⃗⃗v dV : Forces de volume
V

∫S T(n
⃗⃗)dS : Forces superficielles normale de pression et tangentielle de viscosité

T(n
⃗⃗) = σ
̿(n
⃗⃗) (23)

̿ = −PI̿ + τ̿
σ (24)

t
̿̿̿̿̿̿(u
τ̿ = μ [grad ̿̿̿̿̿̿(u
⃗⃗) + (grad ⃗⃗)) ] (25)

En introduisant (23) et (24) dans (22), il vient :

d
∫ ⃗⃗v dV + ∫ (−Pn
ρc⃗dV = ∫V ρF ⃗⃗ + τ̿. n ⃗⃗v dV + ∫ −Pn
⃗⃗)dS = ∫V ρF ⃗⃗ dS + ∫S τ̿. n
⃗⃗dS (26)
dt V S S

∫S −Pn
⃗⃗ dS : Forces superficielles normales de pression

∫S τ̿. n
⃗⃗dS : Forces superficielles tangentielles de viscosité

d ∂(ρc
⃗⃗)
∫ ρc⃗dV = ∫V dV + ∫S ρc⃗(c⃗. n ⃗⃗v dV + ∫ −Pn
⃗⃗)dS = ∫V ρF ⃗⃗ dS + ∫S τ̿. n
⃗⃗dS (27)
dt V ∂t S

∂(ρc
⃗⃗)
= 0 : Ecoulement permanent
∂t

⃗⃗v ~0 : Fluide non pesant (Forces de volume négligeables)

ρF

∫S τ̿. n
⃗⃗dS ~0 : Fluide parfait (Ecoulement sans dissipation)

L’équation du bilan de quantité de mouvement (27) se réduit à la forme simple suivante:

∫S ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗)dS = ∫S −Pn
⃗⃗ dS (28)

S = S1 ∪ Σ′ ∪ Σ′′ ∪ S2 ∪ Sa

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AB → S1 ; BC → Σ′ ; CD → S2 ; DA → Σ′′ ; L’aube → Sa

Développons le premier membre de l’équation (28) du bilan de quantité de mouvement,

∫ ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗)dS = ∫ ρc⃗1 (c⃗1 . n ⃗⃗2 )dS + ∫ ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗1 )dS + ∫ ρc⃗2 (c⃗2 . n ⃗⃗)dS + ∫ ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗)dS +
S S1 S2 Σ′ Σ′′

∫S ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗) dS (29)
a

∫Sa ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗) dS = 0 : sur chaque ailette (car la paroi solide est imperméable) (30)

Compte tenu des conditions d’imperméabilité (8) et (9) et de la condition (30) sur chaque ailette, le
premier membre de l’équation (29) se réduit à :

∫S ρc⃗(c⃗. n
⃗⃗)dS = ∫S ρc⃗1 (c⃗1 . n
1
⃗⃗1 )dS + ∫S ρc⃗2 (c⃗2 . n
2
⃗⃗2 )dS (31)

Développons le second membre de l’équation (26) du bilan de quantité de mouvement,

∫S −Pn
⃗⃗ dS = ∫S −P1 n
⃗⃗1 dS + ∫S −P2 n
⃗⃗2 dS + ∫Σ′ −Pn
⃗⃗ dS + ∫Σ′′ −Pn
⃗⃗ dS + ∫S −Pn
⃗⃗ dS (32)
1 2 a

∫Σ′ −Pn
⃗⃗ dS + ∫Σ′′ −Pn
⃗⃗ dS = 0 : La périodicité géométrique de l’écoulement implique l’annulation des
contributions sur Σ′ et Σ′′ . (33)

∫Sa −Pn ⃗⃗ : Représente la résultante des forces extérieures exercées par chaque ailette sur le
⃗⃗ dS = F
fluide en mouvement. (34)

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F
⃗⃗ { x
F → ⃗⃗ = Fx . ⃗i + Fy . ⃗j
F (35)
Fy

Le second membre de l’équation du bilan (26) de quantité de mouvement se réduit à :

∫S −Pn
⃗⃗ dS = ∫S −P1 n
⃗⃗1 dS + ∫S −P2 n ⃗⃗
⃗⃗2 dS + F (36)
1 2

Après développement, l’équation de quantité de mouvement (28) s’écrit finalement comme suit :

∫S1 ρc⃗1 (c⃗1 . n

⃗⃗1 )dS + ∫S ρc⃗2 (c⃗2 . n
⃗⃗2 )dS = ∫S −P1 n ⃗⃗2 dS + ⃗F⃗
⃗⃗1 dS + ∫S −P2 n (37)
2 1 2

La résultante des forces extérieures ⃗F⃗ exercées par chaque ailette sur le fluide en mouvement :

⃗⃗ = ∫ ρc⃗1 (c⃗1 . n
F ⃗⃗1 )dS + ∫S ρc⃗2 (c⃗2 . n
⃗⃗2 )dS + ∫S P1 n
⃗⃗1 dS + ∫S P2 n
⃗⃗2 dS (38)
S1 2 1 2

P1 n
⃗⃗1 = −P1 . ⃗i ; P2 n
⃗⃗2 = P2 . ⃗i (39)

En introduisant (11), (12), (13), (14), (15), (16), (17), (18) et (39) dans (38), il vient :

⃗F⃗ = −ρS1 uc⃗1 + ρS2 uc⃗2 − S1 P1 . ⃗i + S2 P2 . ⃗i

⃗F⃗ = ρtu(c⃗2 − c⃗1 ) + t(P2 − P1 ). ⃗i

⃗F⃗ = ρtu[(u2 . ⃗i + v2 . ⃗j) − (u1 . ⃗i + v1 . ⃗j)] + t(P2 − P1 ). ⃗i

⃗F⃗ = ρtu[(u2 − u1 ). ⃗i + (v2 − v1 ). ⃗j] + t(P2 − P1 ). ⃗i

La résultante des forces extérieures ⃗F⃗ exercées par chaque ailette sur le fluide en mouvement s’écrit
finalement :

⃗F⃗ = t(P2 − P1 ). ⃗i + ρtu(v2 − v1 ). ⃗j (40)

Ou bien :

Fx = t(P2 − P1 )
⃗F⃗ { (41)
Fy = ρtu(v2 − v1 )

⃗R⃗ = −F
⃗⃗ : Représente la résultante des forces exercées par le fluide sur chaque ailette.

R
⃗R⃗ { x → ⃗R⃗ = R x . ⃗i + R y . ⃗j (42)
Ry

⃗R⃗ = t(P1 − P2 ). ⃗i + ρtu(v1 − v2 ). ⃗j (43)

R x = t(P1 − P2 )
⃗⃗ {
R (44)
R y = ρtu(v1 − v2 )

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Les effets de viscosité étant négligeables, on peut appliquer le théorème de Bernoulli sous sa forme
P c2
la plus élémentaire : « L’énergie mécanique de l’unité de masse de fluide (ρ + 2 ) se conserve le long
d’une ligne de courant passant de l’état amont à l’état aval ». Cette hypothèse sera justifiée si les
ailettes sont assez courtes pour que les couches limites conservent une épaisseur modérée devant la
largeur t du canal.

D’où :
ρ ρ
P2 − P1 = (|c1 |2 − |c2 |2 ) = (v12 − v22 ) (45)
2 2

⃗⃗ des forces exercées par le fluide sur

En introduisant (45) dans l’expression (43) de la résultante R
chaque ailette, il vient :

⃗R⃗ = − ρ t(v12 − v22 ). ⃗i + ρtu(v1 − v2 ). ⃗j (46)

2

⃗R⃗ = ρt(v1 − v2 ) [− 1 (v1 + v2 ). ⃗i + u. ⃗j] (47)

2

Ou bien :

1
R = − ρt(v12 − v22 )
⃗R⃗ { x 2 (48)
R y = ρtu(v1 − v2 )

1
R x = − 2 ρt(v12 − v22 ) : La portance de l’ailette (ou de l’aube). (49)

R y = ρtu(v1 − v2 ) : La trainée de l’ailette (ou de l’aube). (50)

Notons que pour t donné, ⃗R⃗ s’annule en l’absence de déviation (α1 = α2 ou v1 = v2 ).

3. En introduisant la vitesse moyenne géométrique :

⃗⃗1+c
c ⃗⃗2
c⃗m = (51)
2

En introduisant (13) et (18) dans (51), il vient :

1
c⃗m = [(u1 . ⃗i + v1 . ⃗j) + (u2 . ⃗i + v2 . ⃗j)]
2

1
c⃗m = [(u. ⃗i + v1 . ⃗j) + (u. ⃗i + v2 . ⃗j)]
2

1
c⃗m = [(u + u). ⃗i + (v1 + v2 ). ⃗j]
2
1
c⃗m = u. ⃗i + 2 (v1 + v2 ). ⃗j (52)

Ou bien :

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cxm = u
c⃗m {c 1
= 2 (v1 + v2 ) (53)
ym

Compte tenu de (48) et (53),

⃗⃗ . c⃗m = R x . cxm + R y . cym
R (54)

⃗⃗ . c⃗m = ρt(v1 − v2 ) [− 1 (v1 + v2 )u + 1 (v1 + v2 )u]

R (55)
2 2

⃗⃗ . c⃗m = 0
R ⇔ ⃗⃗ ⊥ c⃗m → (R
R ⃗⃗ et c⃗m sont perpendiculaires). (56)

En effet, Le vecteur entre parenthèses dans R ⃗⃗ s’obtient à partir de c⃗m par rotation de (+ π).
2
La résultante ⃗R⃗ est donc normale à la vitesse moyenne c⃗m à la traversée de la grille.

4. Calculons la circulation Г du vecteur-vitesse le long du contour ABCDA̅̅̅̅̅̅̅̅̅ (orienté dans le sens

̅̅̅̅ ∪ BC
direct) constitué de la frontière externe [Sext = AB ̅̅̅̅ ∪ CD
̅̅̅̅ ∪ DA
̅̅̅̅] du volume de contrôle.

Г = ∮S ⃗⃗⃗⃗⃗ = ∫̅̅̅̅ c⃗1 dℓ

c⃗. dℓ ⃗⃗⃗⃗⃗1 + ∫̅̅̅̅ c⃗. dℓ
⃗⃗⃗⃗⃗ + ∫̅̅̅̅ c⃗2 dℓ
⃗⃗⃗⃗⃗2 + ∫̅̅̅̅̅ c⃗. dℓ
⃗⃗⃗⃗⃗ (57)
ext AB BC CD DA

Les circulations sur ̅̅̅̅

BC et ̅̅̅̅
DA s’annulent du fait de la périodicité géométrique et,

∫̅̅̅̅ ⃗⃗⃗⃗⃗ = − ∫̅̅̅̅̅ c⃗. dℓ

c⃗. dℓ ⃗⃗⃗⃗⃗ (58)
BC DA

D’où :

Г = ∮S ⃗⃗⃗⃗⃗ = ∫̅̅̅̅ c⃗1 dℓ

c⃗. dℓ ⃗⃗⃗⃗⃗1 + ∫̅̅̅̅ c⃗2 dℓ
⃗⃗⃗⃗⃗2 (59)
ext AB CD

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⃗⃗⃗⃗⃗1 = τ⃗⃗1 dℓ1 où τ⃗⃗1 est la tangente unitaire à l’élément dℓ1 de AB
dℓ ̅̅̅̅ (60)

⃗⃗⃗⃗⃗2 = τ⃗⃗2 dℓ2 où τ⃗⃗2 est la tangente unitaire à l’élément dℓ2 de ̅̅̅̅
dℓ CD (61)

Г = ∮S ⃗⃗⃗⃗⃗ = ∫̅̅̅̅ c⃗1 . τ⃗⃗1 dℓ1 + ∫̅̅̅̅ c⃗2 . τ⃗⃗2 dℓ2

c⃗. dℓ (62)
ext AB CD

̅̅̅̅̅̅̅̅̅ orienté dans le sens direct,

Le long du contour ABCDA

Sur ̅̅̅̅
AB : τ⃗⃗1 = 0. ⃗i − 1. ⃗j ; Sur ̅̅̅̅
CD : τ⃗⃗2 = 0. ⃗i + 1. ⃗j (63)

τ⃗⃗1 = (0, −1) ; τ⃗⃗2 = (0, +1) (64)

c⃗1 = 0. ⃗i + v1 . ⃗j ; c⃗2 = 0. ⃗i + v2 . ⃗j (65)

c⃗1 = (0, v1 ) ; c⃗2 = (0, v2 ) (66)

En introduisant (63) et (65) dans (62), il vient :

Г = ∮S ⃗⃗⃗⃗⃗ = ∫̅̅̅̅(0. ⃗i + v1 . ⃗j). (0. ⃗i − 1. ⃗j)dℓ1 + ∫̅̅̅̅(0. ⃗i + v2. . ⃗j) . (0. ⃗i + 1. ⃗j)dℓ2
c⃗. dℓ (67)
ext AB CD

Γ = −v1 ∫AB
̅̅̅̅ dℓ1 + v2 ∫CD
̅̅̅̅ dℓ2 (68)

̅̅̅̅ dℓ1 = ∫CD

∫AB ̅̅̅̅ dℓ2 = t : Le pas de la grille d’aubes plane (69)

En introduisant (69) dans (68), il vient :

Г = −v1 . t + v2 . t (70)

La circulation Г du vecteur-vitesse le long du contour ABCDA̅̅̅̅̅̅̅̅̅ (orienté dans le sens direct) constitué
̅̅̅̅ ∪ BC
de la frontière externe [Sext = AB ̅̅̅̅ ∪ CD
̅̅̅̅ ∪ DA
̅̅̅̅] du volume de contrôle, s’exprime finalement
par :

Г = ∮S ⃗⃗⃗⃗⃗ = t(v2 − v1 )
c⃗. dℓ (71)
ext

Compte tenu des relations (47), (52) et (70), la résultante ⃗R⃗ des forces exercées par le fluide sur
chaque ailette prend la forme :

⃗⃗ ∧ c⃗m
⃗⃗ = −ρГk
R → Cette relation est valable ∀ le pas t de la grille. (72)

En effet,

u
1 1
c⃗m = u. ⃗i + 2 (v1 + v2 ). ⃗j → c⃗m {2 1 + v2 )
(v
0

0
⃗⃗ {0
k → dans le repère orthonormé Oxyz
1

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⃗i ⃗j ⃗⃗
k
k ∧ c⃗m = |0
⃗⃗ 0 1|
1
u (v + v2 ) 0
2 1

1
⃗⃗
k ∧ c⃗m = − (v1 + v2 ). ⃗i + u. ⃗j
2

Г = t(v2 − v1 )

1 1
⃗⃗ ∧ c⃗m = ρt(v1 − v2 ) [− (v1 + v2 ). ⃗i + u. ⃗j] = ρt(v1 − v2 ) [− (v1 + v2 ). ⃗i + u. ⃗j] = R
−ρГk ⃗⃗
2 2

⃗⃗ ∧ c⃗m
⃗R⃗ = −ρГk

5. Si on fait tendre t vers l’infini en conservant une circulation Г constante, (v2 − v1 ) tend
nécessairement vers zéro et les vitesses c⃗1 , c⃗2 et c⃗m tendent toutes vers une valeur commune c⃗∞ .
C’est le cas du profil d’aile isolé.

D’où :

v2 → v1
Г = cte, t → ∞ { (73)
c⃗1 → c⃗2 → c⃗m → la même valeur c⃗∞

En effet, des relations (13), (15), (18), (51), (52) et (70) :

c⃗1 = u1 . ⃗i + v1 . ⃗j

c⃗2 = u2 . ⃗i + v2 . ⃗j

u1 = u2 = u

c⃗1 = u. ⃗i + v1 . ⃗j

c⃗2 = u. ⃗i + v2 . ⃗j

c⃗1 + c⃗2 1
c⃗m = = u. ⃗i + (v1 + v2 ). ⃗j
2 2

Г = −v1 . t + v2 . t

Il vient :

v2 → v1
Г = cte, t → ∞ {c⃗ → c⃗ → c⃗ → la même valeur c⃗
1 2 m ∞

Conséquence :

La résultante des forces exercées par le fluide incompressible s’écoulant autour d’un profil isolé est
donc égale à : [−ρГk⃗⃗ ∧ c⃗∞ ]. Ce résultat très classique dans la théorie de l’aile est connu sous le nom
de « théorème de Kutta-Joukowski ».

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• Application numérique :

ρ = 1 g/cm3 ; u = 10 m/s ; t = 2cm ; α1 = 60° ; α2 = 45° .

Calculer (p2 − p1 ) et ⃗R⃗ .

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Fiche de TD N°13

EXERCICE N°1

Les aubes mobiles et fixes sont de forme identique dans une turbine à réaction. La vitesse
absolue de vapeur sortant de la lame fixe est de 105 m/s, et la vitesse de la lame est de 40 m/s.
L'angle de lame fixe (nozzle) est de 20°. Supposons que la vitesse axiale soit constante à
travers l'étage. Déterminez la puissance en chevaux développée si le débit de vapeur est de 2
kg /s.

EXERCICE N°2

Un compresseur à écoulement axial a un diamètre extérieur 0,9 m et le diamètre de moyeu est

de 0,42 m, fonctionne à 5400 tr / min. Les angles des vitesses absolues à l'entrée et à la sortie
sont 28° et 58° respectivement. La masse volumique de l'air est de 1,5 kg / m3
α1=β2
Calculer
1- Le débit massique,
2- Le travail absorbé par le compresseur.
3- La puissance du compresseur
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Solution Fiche de TD N°13

Solution de l’exercice N°1

n
U d
60
  5400  0,9 C1
U  254,5 m / s
60 C1U
α1
C1a
tg1  β1
C1U
U
C1a W1
tg1 
U  C1U
C1a
U  tg 1  C1U  tg 1  C1U  tg 1
U  tg 1  C1U  (tg1  tg1 )
U  tg 1
C1U 
(tg1  tg1 )
254,5  tg 58
C1U   191 m/s
(tg 28  tg 58)
C1a  C1U  tg1
C1a  101,55
Le débit massique

q m    C1a  S

S (0,9 2  0,42 2 )  0,497628 m 2
4
q m  1,5  101,55  0,497628  75,80 kg/s
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Solution de l’exercice N°2
Pour une turbine à réaction (degré de réaction et de 0,5
C1U  C1 cos  1  105 cos 20  98,6 m/s

w1  U 2  C12  2  U  C1U  105 2  40 2  2  105  98,6  68,79 m/s

C1U  U 98,6  40
cos 1    0,8518
w1 68,79
cos 1  31,58

La puissance

P=16,89 chevaux C2a

C2
C1U
C2U α2
α1

C1

W2

U
β2
W1
β1

C1a U
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Fiche de TD N°4
Exercice N°1

Voici les caractéristiques de la vapeur à l’entrée d’un canal mobile de turbine : le rayon
moyen du canal est r = 0,35m ; n=3000 tr/min.
1  17 , angle de la vitesse absolue C1 avec U.
1) Construire le triangle des vitesses à l’entrée et déterminer les éléments inconnus de ce
triangle (U1, w1, C1u, β1) sachant que C1 =220 m/s
2) si la vitesse projetée  2   1 et w2 = w1

Calculer C2U, α2 et C2

3) Calculer le travail échangé W1-2 (J/kg)

Exercice N°2

Une pompe Centrifuge tourne à 1470 tr/min et délivre 100 l/ s avec un changement
d'énergie spécifique (travail de la roue) de 470 J /kg.
La vitesse absolue à l’entrée du canal est dirigée suivant le rayon
Construire les triangles des vitesses et déterminer :
- les vitesses d’entraînements U1 et U2
- les vitesses radiales C1r et C2r
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Solution de l’exercice N°1
La construction des triangles de vitesses

α1 C2U
α2
C1
C1U C2

β2
U
W1 U
W2
β1
C2a
C1a

U r Figure 1
2 n
avec 
60
2 n 2 3000
U  r  0,35  109,95 m/s
60 60

C1U  C1 cos  1  220 cos 17  210,38 m/s

w1  U 2  C12  2  U  C1U  109,95 2  220 2  2  109,95  210 ,38  119,27 m/s

C1U  U 210,38 109,95

cos 1    0,842
w1 119,27
1  32,6

w2  w1  119,27 m/s ; U  U 2  U 1  109,95 m/s ;  2  1

la vitesse projetées C2a

C 2 a  w2 sin  2  119,27  sin 32,6  64,26 m/s

C 2U  U  w2 cos  2  109,95  119,27  cos 32,6  9,47 m/s

C 2  C 22U  C 22a  9,47 2  64,26 2  64,95 m/s

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C 2U 9,47
cos  2    0,1457
C2 64,95
 2 =81,6°
le travail échangé W1-2
W12  U C 2u  C1u   109,95(9,47 - 210,38)  -22090,0545 J/kg
W1 2  -22,090 kJ/kg

Solution de l’exercice N°2

- les vitesses d’entraînements U1 et U2

U 1    r1
et
W1
U 2    r2 C1
2 n
avec  α1
60
U1
2 1470
U1   0,1  15,39 m / s C1U=0
60

U 2  28,48 m / s

- les vitesses radiales C1r et C2r

Qv 0,1
C1r    5,31m / s
  D1  b1   0,2  0,03
Qv 0,1
C2 r    2,87 m / s
  D2  b2   0,37  0,03

C2 W2
C2r
α2
C2U U2