SM GESs - Referentiel v2
SM GESs - Referentiel v2
SM GESs - Referentiel v2
L’ABC en bref : L’Association Bilan Carbone (ABC) est la structure porteuse du Bilan
Carbone® en France et à l’international depuis octobre 2011. Rassemblant des acteurs des
secteurs privé et public, elle développe le Bilan Carbone® et le SM-GES, en accentuant
notamment l’approche managériale et stratégique.
Sommaire
Avant-propos .................................................................................................................... 8
Ce qui change avec la version 2 ......................................................................................... 9
Liste des outils SM-GES ................................................................................................... 10
Introduction ................................................................................................................... 11
1. Objet général, domaine d’application et structure .................................................... 12
1.1. Objet général ............................................................................................................. 12
1.2. Domaine d’application............................................................................................... 12
1.3. Structure .................................................................................................................... 13
2. Références et définitions.......................................................................................... 13
2.1. Références ................................................................................................................. 13
2.2. Définitions.................................................................................................................. 13
3. Exigences du SM-GES ............................................................................................... 14
3.1. Exigences générales du SM-GES ................................................................................ 14
3.2. Politique de management des émissions de GES ...................................................... 14
3.3. Planification (Plan) ..................................................................................................... 15
3.3.1. Comptabilisation des émissions ......................................................................... 15
3.3.2. Exigences légales et engagements volontaires .................................................. 16
3.3.3. Objectifs de réduction et plans d’actions ........................................................... 17
3.4. Mise en œuvre (Do) ................................................................................................... 18
3.4.1. Ressources .......................................................................................................... 18
3.4.2. Compétences et formations ............................................................................... 18
3.4.3. Sensibilisation ..................................................................................................... 18
3.4.4. Communication .................................................................................................. 19
3.4.5. Documentation ................................................................................................... 20
3.5. Suivi et contrôle (Check) ............................................................................................ 20
3.5.1. Suivi des émissions de GES et des objectifs ........................................................ 20
3.5.2. Évaluation de la conformité ............................................................................... 21
3.5.3. Actions correctives.............................................................................................. 21
3.5.4. Audit interne ....................................................................................................... 22
3.6. Revue de direction (Act) ............................................................................................ 23
Ils ont ensuite été amélioré à partir de l’analyse des retours d’expériences des 32
organisations ayant participés à l’expérimentation d’octobre 2013 à octobre 2014. Ce travail
a permis la publication de la présente version 2 du référentiel et des outils SM-GES.
APCC - Association des Professionnel en Conseil Carbone (Caroline Louis, Guillaume Neveux,
Thierry Fornas, Véronique Andrzejewski) - http://www.apc-carbone.fr/
Avenir Climatique
(Charles Adrien Louis, Emmanuel Risler, Julien Barthes) - http://avenirclimatique.org/
Avant-propos
Le terme « Système de Management des Gaz à Effet de Serre » ou « SM-GES » peut désigner
l’un des éléments suivants développés par l’ABC :
Le présent référentiel qui présente les exigences permettant d’intégrer la gestion des
émissions de GES dans le management de tout type d’organisme (entreprises,
collectivités locales, administrations, associations, etc.) ;
Les outils associés au présent référentiel qui visent à aider sa mise en œuvre
opérationnelle ;
L’ensemble de ces éléments sont la propriété exclusive de l’ABC et ne peuvent être utilisés
ou diffusés sans son autorisation.
Afin de garantir leur bonne utilisation, les outils associés au présent référentiel sont
disponibles uniquement après avoir suivi la formation SM-GES.
Référentiel SM-GES :
o Précision des rythmes à suivre pour la phase de suivi, avec notamment l’ajout
de l’Annexe 1
Outils SM-GES :
Formation SM-GES :
La version 2 du SM-GES est composée des outils suivants (répartis par thématique) :
Présentation du SM-GES :
o Plaquette recto-verso de présentation
o Présentation PowerPoint
o Vidéo de présentation
Pilotage du SM-GES :
o Tableau de bord des exigences
o Étapes pour la mise en place d’un SM-GES
o Rôle des différents acteurs internes
o Trame-type pour les procédures
Engagement de la Direction :
o Argumentaire pour convaincre la Direction
o Trame d’engagement type de la Direction
Plans d’actions :
o Guide pour la définition et la mise en place du plan d’actions
o Outil pour le choix des actions de réduction
o Outil pour la formalisation et le suivi du plan d’actions
o Grille qualitative de performance sur le Scope 3
Ressources :
o Financement possibles des actions de réduction
Communication :
o Guide pour la communication interne et externe
o Outil de pilotage de la communication
o Moyens d’animation ludique en interne
o Trame de rapport-type SM-GES
Documentation :
o Tableau de bord de la documentation
o Procédure-type pour la gestion de la documentation
Introduction
Face au défi que représente la lutte contre le changement climatique, nombre d’acteurs de
nos sociétés ont mis en place, de façon volontaire ou dans le cadre d’exigences
réglementaires, différents mécanismes de comptabilisation, de reporting, de gestion, de
compensation et de communication autour de leurs émissions de GES.
Ainsi, le présent référentiel propose aux organismes souhaitant mettre en place une
politique de management des émissions de GES un ensemble d’exigences structurées, tirées
d’exemples des meilleures pratiques identifiées.
Il propose d’organiser les différents éléments essentiels au management des émissions de
GES en un système suivant le modèle PDCA (Plan-Do-Check-Act) de l’amélioration continue.
Il se veut directement intégrable dans les autres systèmes de management
environnemental, de l’énergie ou de la qualité.
Le principe d’amélioration continue sera appliqué au présent référentiel qui évoluera à partir
des utilisations qui en seront faites par les organismes. Son objectif à long terme est de faire
converger les bonnes pratiques de management et de conduire à une réduction des
émissions de GES toujours plus efficace.
La notion de situation d’urgence en matière de management des émissions de GES, ainsi que
celle d’adaptation aux effets du changement climatique ne sont pas considérées dans ce
référentiel mais peuvent représenter des enjeux importants à prendre en compte pour
certains organismes.
À terme, les SM-GES mis en place à l’aide du présent référentiel pourront être certifiés par
un tiers indépendant.
s’applique à tous les organismes souhaitant approfondir le volet GES de leur système
de management de l’environnement, de l’énergie ou de la qualité,
est compatible avec les exigences et lignes directrices des familles de normes ISO
14000, ISO 50000 et ISO 9000 ainsi qu’avec la méthodologie et les outils Bilan
Carbone®.
Nota Bene : Si certaines exigences du présent référentiel sont déjà satisfaites par
l’organisme dans le cadre de son système de management général ou de tout autre
système de management (de l’environnement, de la qualité, de l’énergie, …), il est possible
d’uniquement y faire référence, plutôt qu’effectuer un travail en doublon.
Dans ce cas, le présent référentiel n’a pas vocation à ajouter une strate de management
supplémentaire mais bien à compléter le système de management existant de l’organisme.
1.3. Structure
Le référentiel comprend deux niveaux d’exigence :
Les exigences optionnelles décrites dans le présent référentiel sont précédées d’une lettre
en majuscule.
2. Références et définitions
2.1. Références
Les documents de référence suivants peuvent aider à l'application du présent document :
2.2. Définitions
Les termes et définitions utilisés dans le présent référentiel font directement référence à
ceux utilisés dans les documents de référence cités précédemment. Cela s’applique
notamment pour les termes suivants : année de référence, compensation carbone, gaz à
effet de serre, organisme, périmètre organisationnel, périmètre opérationnel, scope 1, scope
2, scope 3.
b) Intensité carbone
Émissions de GES rapportées à une donnée pouvant caractériser partiellement ou
intégralement l’activité considérée.
Par exemple, cette donnée peut être le chiffre d’affaires ou le budget, le nombre
d’unités produites ou d’employés.
3. Exigences du SM-GES
3.1. Exigences générales du SM-GES
L’organisme doit définir, documenter si nécessaire, mettre en œuvre, tenir à jour et
améliorer de façon continue un SM-GES conformément aux exigences minimales, et
optionnelles auxquelles il souhaite se conformer, du présent référentiel.
Exigences optionnelles
La politique de management des émissions de GES de l’organisme doit :
Exigences optionnelles
L’organisme doit établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s) permettant
de réaliser la comptabilisation de ses émissions de GES :
H. L’organisme doit établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s)
permettant de faire vérifier par un tiers la comptabilisation de ses émissions de GES, et
notamment les périmètres considérés, les données d’activités utilisées, les facteurs
d’émissions utilisés et les calculs effectués.
a) identifier les exigences légales, relatives à ses émissions de GES, applicables dans
chaque pays d’implantation,
b) identifier les engagements volontaires, relatifs à ses émissions de GES, auxquels il a
souscrit, et notamment auprès de ses parties prenantes.
Exigences optionnelles
L’organisme doit établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s) pour :
I. faire vérifier par un tiers sa conformité aux exigences légales, relatives à ses
émissions de GES, applicables dans chaque pays d’implantation,
J. faire vérifier par un tiers sa conformité aux engagements volontaires, relatifs à ses
émissions de GES, auxquels l’organisme a souscrit, et particulièrement dans le cas
d’un recours à la compensation carbone.
Les objectifs de réduction doivent être établis par rapport à une année donnée, dite de
référence, et être cohérents avec la politique de management des émissions de GES.
Afin d’atteindre ces objectifs de réduction, le ou les plans d’actions doivent :
Exigences optionnelles
Les objectifs de réductions doivent :
L’organisme doit identifier les besoins en formation associés à son SM-GES, et les satisfaire,
ou mettre en place toute autre action permettant d’y répondre.
3.4.3. Sensibilisation
L’organisme doit établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s) permettant
de sensibiliser les parties prenantes internes :
Les points b), c) et d) peuvent être couverts en respectant les exigences de la partie 3.4.4.
« Communication ».
Exigence optionnelle
N. L’organisme doit établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s)
permettant de sensibiliser les parties prenantes externes aux enjeux a), b), c) et d) décrits
précédemment.
3.4.4. Communication
Au sujet de ses émissions de GES et du management de ces dernières, l’organisme doit
établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s) pour :
Exigences optionnelles
Au sujet de ses émissions de GES et de son management de ces dernières, l’organisme doit
établir, mettre en œuvre et tenir à jour une (des) procédure(s) pour :
Q. L’organisme réalise un benchmark sur les pratiques de management des émissions de GES
de son secteur d’activité, en association avec ses parties prenantes externes.
3.4.5. Documentation
L’organisme doit s’assurer de la maitrise de la documentation associée à son SM-GES. Cette
documentation doit comprendre :
c) les documents, avec leurs procédures associées, exigés par le présent référentiel, et
notamment :
1. la comptabilisation de ses émissions de GES,
2. les exigences légales applicables et aux engagements volontaires, relatifs à ses
émissions de GES, auxquels il a souscrit,
3. les objectifs et plans d’actions de réduction,
4. les enregistrements des ressources, compétences et formations.
d) les enregistrements, y compris leurs procédures associées, exigés dans les parties 3.5
et 3.6 du présent référentiel.
L'objet de ce paragraphe est de s'assurer que les organismes créent des documents et les
tiennent à jour de façon suffisante pour mettre en œuvre le SM-GES. Cependant, il convient
que la préoccupation principale des organismes soit la mise en œuvre efficace du SM-GES et
la réduction des émissions de GES, et non un système complexe de maîtrise des documents.
Le suivi porte :
Ce suivi doit porter sur le même périmètre organisationnel que celui défini au 3.3.1
« Comptabilisation des émissions » et avec des méthodes d’évaluation comparables.
L’organisme doit analyser l’écart entre l’évaluation des effets du (des) plan(s) d’actions et
l’évolution des émissions entre l’année de référence et l’année de suivi considérée.
L'organisme doit conserver les enregistrements associés aux suivis périodiques des
émissions et des objectifs.
Exigence optionnelle
R. L’organisme doit effectuer le suivi de ses émissions de GES et de ses objectifs au moins
annuellement.
La fréquence de l’évaluation de la conformité doit être cohérente avec celle du suivi des
émissions de GES et des objectifs, ainsi qu’avec celle des exigences légales et engagements
volontaires.
L’organisme doit effectuer une analyse des moyens nécessaires à la mise en œuvre de ces
actions correctives.
Les actions correctives doivent être établies en dialoguant avec les différentes parties
prenantes internes et ne pas remettre en cause l’équilibre économique du (des) plan(s)
d’actions de réduction des émissions de GES.
Le cas échéant, l’organisme pourra revoir à la baisse ses objectifs opérationnels de réduction
des émissions de GES, à partir du moment où l’objectif global de réduction de l’intensité
carbone reste chiffré sur une période de 3 ans.
L'organisme doit conserver les enregistrements associés aux actions correctives établies.
Si le suivi des émissions de GES et des objectifs n’est pas fait annuellement, certains audits
internes ne porteront que sur la conformité du SM-GES aux exigences de planification et de
mise en œuvre.
La revue de direction doit déboucher sur des décisions pouvant modifier le SM-GES de
l’organisme et notamment la politique de management des émissions de GES, les objectifs
de réduction, les plans d’actions ainsi que les ressources associées au SM-GES.
Objet : Synthétiser les différentes dates clés et fréquences de suivi exigés par le présent
référentiel.
Si l’organisme effectue le suivi de ses émissions de GES et objectifs tous les 3 ans :
* Ces audits internes et revues de direction ne porteront que sur la conformité du SM-GES aux
exigences de planification (Plan) et de mise en œuvre (Do), et non sur la performance vis-à-vis de
l’engagement de réduction des émissions de GES.
Si l’organisme effectue le suivi de ses émissions de GES et objectifs tous les ans (exigence
optionnelle S.) :
Concrètement, la participation au projet de réduction des GES se passe sous forme d’une
contribution financière, effectuée en achetant au porteur de projet un certain nombre de
crédits carbone générés par le projet. Les crédits carbone sont des unités qui sont attribuées
au porteur de projet qui évite les émissions de GES, et qu’il peut ensuite commercialiser
pour obtenir des ressources financières. Un crédit carbone représente l’évitement d’une
tonne de gaz à effet de serre : un projet qui évite ou séquestre X tonnes de CO2e par an, et le
fait vérifier par un organisme tiers accrédité, se voit attribuer X crédits carbone.
Par exemple, une usine hydroélectrique dans un pays en voie de développement évite
l'émission de 30 000 tCO2e par an (parce qu'elle évite de brûler du charbon dans une
centrale thermique pour fabriquer la même quantité de courant électrique). Le porteur de
projet (souvent l'exploitant de l'usine) se voit attribuer 30 000 crédits carbone représentant
chacun 1 tonne d'équivalent CO2 évitée. Il vend ensuite ses crédits carbone à un acheteur. Le
revenu correspondant lui permet de rendre son installation financièrement viable.
La compensation carbone est l’un des mécanismes créé par le Protocole de Kyoto pour
accélérer la transition bas carbone de l’économie mondiale tout en permettant le
développement économique et technique des pays en voie de développement. Elle a été
initialement créée dans ce cadre institutionnel pour des acteurs ayant des obligations
réglementaires (pays de l’annexe B du protocole de Kyoto). Par la suite, elle a été utilisée de
façon volontaire par des acteurs n’ayant pas de plafonnement réglementaire de leurs
émissions de GES.
Selon le type de projet, les crédits carbone sont attribués au porteur de projet par les
Nations Unies (CCNUCC) (cas des projets MDP ou MOC) ou par des organismes spécialisés
(ex : VCS ou Gold Standard Foundation), à l’issue d’un processus strict :
Les crédits carbone sont de différentes natures, selon le cadre dans lequel ils ont été
produits :
- Les CER (Certified Emission Reduction) sont des crédits « certifiés ». Emis par les
Nations Unies (CCNUCC), ils sont les seuls à pouvoir être utilisés par les acteurs ayant
des obligations règlementaires (industriels soumis aux quotas d’émissions de GES
européens, pays de l’annexe B du Protocole de Kyoto) pour répondre à leurs
obligations. Ils peuvent également être utilisés pour la compensation volontaire ;
- Les VER (Verified Emission Reduction) sont les crédits émis par d’autres organismes
que la CCNUCC (ex : Verified Carbon Standard Association, Gold Standard
Foundation), selon des processus inspirés de ceux de la CCNUCC. Ces crédits ne
peuvent être utilisés, en France, que dans le cadre de démarches de compensation
volontaires. Dans d'autres pays (ex : Californie), ils peuvent être utilisés pour la mise
en conformité avec des programmes contraignants de réduction d'émissions.
Les projets de compensation volontaires sont de différents types dont les principaux sont :
- Destruction d’émissions de GES (ex : projet consistant à détruire le méthane émis par
les décharges municipales ou les déjections naturelles des animaux, les fuites de
fluides industriels).
- Mise en place d’énergies renouvelables : des projets d’énergies renouvelables sont
financés à la place de projets « conventionnels » utilisant des énergies fossiles pour
produire la même quantité d’énergie (ex : usine hydroélectrique dans un pays en voie
de développement à la place d’une centrale thermique au charbon). Les
consommations d’énergies fossiles ainsi évitées sont traduites en crédits carbone.
En plus des enjeux GES, les projets de compensation carbone peuvent avoir des bénéfices
complémentaires tels que l’amélioration de la santé et des conditions de vie des populations
locales, la protection de la biodiversité, l’accès à l'eau potable à grande échelle, etc.
La compensation volontaire peut prendre son sens dans une vision globale du climat où
l’organisme a recourt à l’ensemble des leviers d’action de réduction possibles en son sein,
tout en souhaitant compenser les émissions résiduelles associées directement ou
indirectement à son activité.
De plus, en internalisant le coût des émissions de GES, la compensation peut renforcer les
démarches de réduction faites en interne. En effet, les organisations sont bien souvent plus
efficaces à réduire des « coûts » que des émissions de GES. Par ailleurs, cette « taxation »
volontaire interne des émissions de GES peut permettre de rendre économiquement viables
un plus grand nombre d'actions de réduction, et donc de faciliter leur mise en œuvre.
Comment compenser ?
En général, l’entité qui souhaite compenser ses émissions s’adresse à un opérateur
spécialisé, qui est l’intermédiaire entre les porteurs de projets et les acheteurs. L’unité
vendue par le porteur de projet est le crédit carbone. L’acheteur choisi la quantité de crédits
qu’il souhaite acquérir, par exemple à hauteur des émissions de gaz à effet de serre
résiduelles après ses efforts de réduction.
Documents de référence
La compensation volontaire, démarches et limites de l’ADEME :
http://multimedia.ademe.fr/catalogues/master-compensation-carbone/
Le code de bonnes pratiques d’ICROA (International Carbon Reduction and Offset Alliance) :
http://www.icroa.org/documents/download.php?did=39
+ 33 (0)9 81 10 47 93
http://www.associationbilancarbone.fr/