Reconnaissance Des Terrains
Reconnaissance Des Terrains
Reconnaissance Des Terrains
Géotechnique
RECONNAISSANCE ET
EXPLORATION DES SOLS
Dr Adama DIONE
Docteur de l’Université de Thiès
UFR Sciences de l’Ingénieur
PROBLEMATIQUE?
Retrait- gonflement de l’argile et fissuration des murs à Colobane Kaw (Sarr, 2016)
Fondation sur sol compressible (Rufisque)
Effondrement de bâtiments (Cap des Biches)
Effondrement des
bâtiments aux
fondations
Les exigences minimales ne sont pas les mêmes selon que l’on
construit une maison individuelle, un immeuble de taille moyenne à
Saint Louis, la tour Montparnasse ou le tunnel sous la Manche un
R+7 à Rufisque ou à Ouaga etc.
les excavations;
les tunnels dans les roches dures non fracturées, sans conditions
spéciales d’étanchéité ou autres exigences.
Catégorie géotechnique 3
la stratigraphie géologique,
les propriétés de résistance et de déformabilité des terrains,
la distribution des pressions interstitielles,
les conditions de perméabilité,
les instabilités,
la compactibilité,
l’agressivité du terrain et de l’eau,
la sensibilité au gel (pays du nord).
Une reconnaissances de contrôle
les valeurs de calculs des propriétés des sols et des roches, y compris
leurs justifications;
Deux types d’ondes sont détectées : les ondes directes et les ondes
réfléchies sur les frontières qui séparent les couches de sol de nature
différente.
Celles-ci obéissent aux lois de l’optique classique comme l’illustre
l’exemple de la figure
Soit un sol constitué de deux couches, celle la plus proche de la
surface ayant une épaisseur h. Supposons que la vitesse de
propagation dans lequel on a des vitesses de propagation de la
couche superficielle V1 est inférieure `a la vitesse de propagation
V2 de la couche profonde. Le temps de propagation de l’onde
directe de O vers A vaut
Pour les bâtiments étendus : prévoir au moins un sondage tous les 500 m2.
Notons seulement qu’il faut que ces forages soient assez nombreux et bien répartis
pour définir sans ambiguïté toutes les particularités géologiques du site.
Les fondations larges (Ex. radier) : la profondeur des forages est fixée à une cote égale à
une fois et demi de la largeur de la fondation (1,5 B) à compter du dessous du niveau
présumé de la fondation.
1er Cas. Couche compressible (argile, silt) reposant sur un substratum relativement
indéformable (rocher, graviers compacts, marnes dures …)
2ème cas : Sol très hétérogène ou très erratique ou constitué de plusieurs couches
Dans ce cas, Burmister propose d’arrêter la reconnaissance à une profondeur tel que le rapport
entre la contrainte verticale due à la fondation et la contrainte verticale effective dues au poids
des terres soit égale à A.
Les sondages peuvent être réalisés à la tarière, par l’ouverture de puits à la pelle
mécanique, à l’aide de sondages destructifs ...
Les tranchées et les puits sont les moyens les plus faciles et les moins chers à
mettre en œuvre.
Ils sont limités en profondeur par la longueur des bras de la pelle et par la rencontre de la
nappe.
Le trou doit être impérativement rebouché, le sol remis dans le trou sera inévitablement
remanié.
Les principales difficultés des sondages en terrain meuble reposent sur la tenue des parois du
forage et la remontée du terrain foré. Dans la plupart des cas, il faut opérer sous la protection
d’un tubage continu ou employer une boue de forage qui, formant un cake sur la paroi du
forage, retient celle-ci. Différentes méthodes permettent de réaliser des sondages en terrains
meubles :
Montés sur camion, ces engins puissants sont extrêmement efficaces pour la
reconnaissance rapide de volumes importants de terrains meubles. Les mèches
hélicoïdales peuvent atteindre des profondeurs supérieures à 30 m
Les sondages par battages
Découpage en continuité sur toute la longueur forée à l’aide d’une couronne abrasive :
- couronnes à prismes,
- couronnes diamantées.
Le but est de découper en continuité sur toute la longueur forée par passes successives une
colonne de terrain, de la remonter à la surface du sol pour l’examiner et réaliser des essais de
laboratoire.
La conservation de l’échantillon
Les conteneurs d’échantillon ne devront jamais être exposés au soleil et seront conservés en
atmosphère fraiche et humide.
NB : la paraffine pure est contre conseillée du fait de son retrait trop important.
Transport des échantillons
Les échantillons seront transportés verticalement dans le même sens que celui qu’ils
avaient dans le terrain. C’est-à-dire que la partie basse au transport devra correspondre
à la plus grande profondeur.
Au cours du transport on évitera les chocs et les vibrations ; les conteneurs reposeront
sur une plaque souple, en mousse synthétique par exemple. Arrivés au laboratoire, tous
les échantillons sont ouverts et font l’objet d’essais d’identification.
Ces essais permettent de sélectionner les échantillons sur lesquels seront réalisés les
essais mécaniques. De toute façon, il faudrait au moins tester trois échantillons par
couche distincte, ces échantillons pouvant évidement appartenir à des forages
différents.
Les essais physiques ont pour but la détermination des caractéristiques physiques des
sols.
Les essais mécaniques visent à déterminer les caractéristiques mécaniques telles que la
cohésion, l'angle de frottement interne, la contrainte de préconsolidation, indices de
compression et de gonflement, et la capacité portante.
On peut ajouter à cette liste, les essais hydrauliques qui consistent à la détermination de
la perméabilité des sols, à la mesure de la succion,...
Les essais en place
Les essais sur place permettent la détermination des caractéristiques du sol dans les conditions
naturelles, c.à.d. dans les conditions réelles de résistance. Ils se distinguent en trois grands
groupes : les méthodes géophysiques, les essais hydrauliques et les essais mécaniques.
Les essais mécaniques déterminent directement une résistance limite du sol. On distingue les
essais qui donnent une caractéristique de sol à la rupture et les essais qui, en plus, donnent une
relation contraintes - déformations.
Essai au scissomètre de chantier
Le scissomètre est utilisé dans l’étude à court terme de la stabilité des pentes et du
comportement des remblais sur sols mous.
Les essais scissométriques courants sont réalisables dans tous les types de sols fins cohérents
dont la cohésion est ≤ 0,2 MPa (argiles molles, vases, limons).
Description du scissomètre
Considérons le cas classique d’un essai en milieu argileux saturé. Lors du cisaillement du
terrain sur lui même, aucun drainage de l’eau interstitielle n’est possible ; cet essai doit être
assimilé à un essai non drainé 0 . La résistance au cisaillement mesurée est donc égale à la
cohésion non drainée cu du milieu. La surface cisaillée est pour l’essentiel constituée par la
surface latérale du cylindre, mais comprend également les deux surfaces horizontales d’extrémité.
Le moment résistant M du sol peut se décomposer en deux termes :
Pour déterminer le moment résistant sur les deux faces horizontales du cylindre M2, considérons
une couronne de rayon x et d’épaisseur dx laquelle est cisaillée par mobilisation du couple dM2
tel que :
Bien qu’il soit possible de déterminer la capacité portante admissible des argiles au moyen
d’autres essais, on utilise pratiquement toujours le scissomètre de chantier. Comme le
scissomètre mesure la résistance au cisaillement non drainé de l’argile Cu, il permet d’évaluer la
capacité portante à court terme, donnée essentielle pour vérifier la stabilité des argiles à l’égard
de la rupture. Ainsi, la capacité portante ultime nette est donnée par :
Ces essais déterminent directement une résistance limite du sol. Les pénétromètres se
subdivisent en deux grands groupes : les pénétromètres dynamiques qui sont enfoncés dans
le terrain par battage et les pénétromètres statiques (appelés quasi-statiques par certains
auteurs), qui sont vérinés dans les terrains à vitesse lente et régulière.
L’essai de pénétration au carottier (ou ‘‘Essai de Pénétration Standard’’) occupe une place
particulière, bien que s’apparentant sur certains points aux essais de pénétration
dynamique.
Pénétromètres dynamiques
Le sondage au pénétromètre dynamique est un moyen de reconnaissance géotechnique qui teste
le terrain en place et fournit en tant que tel une caractéristique du sol.
Il consiste à déterminer le nombre de coups nécessaires pour enfoncer, selon une procédure
définie, une pointe soumise par l’intermédiaire d’un train de tiges à une énergie de battage.
L’essai au pénétromètre dynamique permet d’apprécier d’une façon qualitative la résistance des
terrains traversés. Ils sont donc recommandés pour résoudre les problèmes suivants :
Les essais de pénétration dynamique peuvent être réalisés dans tous les sols fins et grenus
dont la dimension moyenne des éléments ne dépasse pas 60 mm.
Principe de l’essai
Un sondage au pénétromètre dynamique consiste à enfoncer l’appareil dans le terrain par
battage, de manière continue, jusqu’à une profondeur donnée en général limitée par la
capacité de pénétration de l’appareil.
L’opérateur relève le nombre de coups nécessaires pour enfoncer l’appareil sur un pas de
profondeur fixé.
Les tiges de battages sont en acier, elles sont assemblées fermement pour
constituer un train de tiges rigidement lié selon un axe rectiligne et continu.
La pointe est placée à l’extrémité inférieure du train de tiges. Elle est soit perdue ou
récupérable et son diamètre est généralement supérieur à celui du train de tiges.
Le train de tiges est battu d'une manière continue sous l’action d’une masse tombant en chute
libre d’une hauteur constante du mouton à la cadence de 15 à 30 coups par minute. On note en
fonction de la longueur totale des tiges introduites dans le sol, le nombre de coups de mouton
nécessaire pour enfoncer la pointe de 10 cm pour un PDA ou de 20 cm pour un PDB.
Pour le PDA, la masse du mouton doit être adaptée en cours de battage et choisie parmi l'une des
quatre masses 32, 64, 96, 128 kg, afin que le nombre de coups, pour un enfoncement de 10 cm,
soit compris entre 2 et 30 inclus.
Pour le PDB, à chaque ajout de tiges et au moins tous les mètres, l'opérateur fait tourner le train
de tiges à l'aide de la clef dynamométrique ; si le couple est inférieur à 100 N.m, les efforts
parasites sont négligeables.
où M est le poids du mouton, M’ le poids des parties frappées (enclume placée en tête du train
de tiges et sur laquelle s’exercent les chocs, train de tiges et pointe) ; H la hauteur de chute du
mouton ; e l’enfoncement moyen par coup (e Dh/N), A la section droite de la pointe ; g
l’accélération due à la pesanteur.
Profil de pénétration dynamique
Exploitation des résultats
Pour une semelle soumise à une charge verticale centrée de largeur B, de longueur L et
d'encastrement D, le DTU préconise de calculer la capacité portante ultime par la relation
suivante :
b) Correction de la valeur de N
Les valeurs de N déterminées lors des essais SPT sont rapportées telles quelles dans le rapport de
forage. Cependant lorsqu’on utilise ces valeurs il faut vérifier s’il est nécessaire d’apporter une
correction pour tenir compte de l’effet de confinement. En réalité il ne s'agit pas d’une correction mais
d’une normalisation de N pour une même pression de confinement de 100 kPa. On parle dans ce cas de
N1= CN N. Il existe plusieurs relations pour la normalisation de N. Pour ce cours nous allons utiliser
celle de Peck :
CN= 0,77Log10(1920/s’v)
s’v est la contrainte effective verticale à la profondeur en question. Il est à noter que pour des
contraintes inférieures à 25 kPa la valeur de CN ne doit pas dépasser 1,5.
c) Valeur de N de conception
La décision de faire ou non la normalisation de N est un sujet controversé dans la littérature. Toutefois,
certains recommandent de faire cette normalisation pour les semelles. Dans le cas des pieux il ne
semble pas que l’on ait à faire de normalisation. Si on utilise des valeurs de N pour déterminer des
propriétés du sol (r, f) il faut normaliser N.
Relation entre N et la capacité portante
Soit une étude de fondation réalisée à partir de l’essai SPT selon les dispositions constructives
suivantes. En se basant sur une première approximation de la capacité portante de 500 kPa,
calculer :
L’essai consiste à mesurer la réaction qu’oppose le sol à la pénétration continue d’un cône.
Il est surtout utilisé pour le dimensionnement des pieux mais il peut aussi servir à la
classification des sols.
L'essai de pénétration statique s'applique à tous les sols fins et les sols grenus dont la
dimension moyenne des éléments ne dépasse pas 20 mm.
L’essai pressiométrique est un essai de chargement du sol en place permettant de donner une
loi de comportement en contraintes – déformations.
L'essai pressiométrique peut être réalisé dans tous les types de sols saturés ou non, y compris
dans le rocher (avec plus d’incertitude) et les remblais.
Principe de l’essai pressiométrique Ménard
Pressiomètre Menard
Sonde pressiométrique
Elle est descendue dans le forage et se compose de trois cellules indépendantes, montées autour
d’une âme métallique :
la cellule centrale, dite cellule de mesure, qui contient de l’eau et dont la mise en pression en
cours d’essai provoque la variation de volume ;
les deux cellules de garde, qui contiennent du gaz et encadrent la cellule de mesure ; la mise
en pression des cellules de garde en cours d’essai est réalisée simultanément à celle de la cellule
de mesure, de manière à maintenir la forme globalement cylindrique de la sonde ; ainsi, la
déformation de la cellule de mesure est uniquement radiale et l’essai pressiométrique est un essai
en déformation plane.
Contrôleur pression-volume ou CPV
C’est le dispositif qui permet de dilater la sonde et de mesurer les pressions et les volumes
d’eau injectés.
Il est placé à la surface du sol auprès du forage pressiométrique et se compose d’un boîtier posé
sur un trépied et une réserve de gaz sous pression (air ou azote) qui, après détente par un mano-
détendeur, pousse sur une colonne d’eau vers la cellule de mesure par l’intermédiaire des
tubulures de liaison.
La mesure de la pression est effectuée à l’aide d’un manomètre (ou d’une batterie de
manomètres de différentes capacités).
La mesure du volume est obtenue par la lecture de l’abaissement du niveau de la colonne d’eau
devant un indicateur gradué au centimètre cube près, appelé volumètre.
Certains CPV peuvent en outre être équipés de dispositifs d’enregistrement automatique des
paramètres d’essais et de stockage des données pour interprétation ultérieure.
Ces enregistreurs, dont l’usage est recommandé, sont également équipés d’une petite
imprimante qui permet, sur site, de visualiser certains résultats d’essai.
Les types de pressiomètre
Il comporte deux opérations : la réalisation d’un forage destructif, opération la plus délicate
car de la qualité du forage dépend la fiabilité des résultats, et la réalisation de l'essai
pressiométrique proprement dit.
- Forage pressiométrique
Deux techniques peuvent être employées :
- le forage préalable avec enregistrement des paramètres de forage,
- l’introduction par battage de la sonde placée dans un tube fendu. La technique doit être
adaptée au type de terrain à sonder. La longueur maximale de forage sera choisie pour que les
parois du forage soient les moins altérées possibles. Elles seront d’autant plus faibles que le sol
est lâche ou compressible
Longueur maximale d’une passe d’un forage avant essai
Essai pressiométrique
L'essai consiste à appliquer progressivement par palier, une pression uniforme sur la paroi
du forage et à mesurer l'expansion de la sonde V en fonction de la pression p appliquée . La
pression mesurée au CPV est augmentée progressivement par paliers de pression de pas constants
et au plus égaux à une valeur de l'ordre du dixième de la pression limite estimée (Ex. espacés
entre eux de 25 kPa).
Chaque pression est maintenue constante dans les cellules de mesure et de garde pendant 60
secondes. A chaque palier, on visualise et on enregistre la pression appliquée et le volume injecté
dans la sonde à 1, 15, 30 et 60 secondes. On fait généralement un essai tous les mètres, mais ce
n’est pas évidemment une obligation.
L'essai peut être considéré comme terminé s’il comporte au moins huit paliers et si une des
conditions est satisfaite :
- la pression de 5 MPa est atteinte,
- le volume de liquide injecté dans la cellule centrale est d’au moins 600 cm3 pour les sondes
standards. On veillera à ce qu’il y ait, pour les essais où la pression est inférieure à 5 MPa :
- au moins trois paliers au-delà de la pression de fluage
- au moins quatre paliers avant la pression de fluage.
Expression des résultats
C’est la résistance que les membranes des cellules opposent à la déformation ; elle est déterminée
par la dilatation de la sonde à l’air libre.
La courbe d’étalonnage ainsi obtenue permet de définir une pression pi nécessaire pour dilater la
sonde d’un volume Vm sans étreinte extérieure.
pi: pression d’inertie: pression correspondant au volume Vm sur la courbe de résistance propre
de la sonde,
p: pression corrigée
Correction de volume
Le volume V lu sur la colonne de lecture du CTV est un volume brut qui englobe les
déformations dues à la déformation réelle du terrain et aux variations parasites de volume.
Les variations parasites de volume qui proviennent de la dilatation du CPV, des canalisations
diverses, de la compressibilité de l’eau sont évaluées par étalonnage, en dilatant le
système alors que la sonde est placée dans un tube d’acier indéformable. Ainsi, le
volume réel de la sonde est :
Calcul des caractéristiques préssiométriques
La capacité portante ultime d'une fondation superficielle à charge verticale et centrée est une
fonction linéaire de la pression limite :
Il existe deux méthodes de calcul de la pression limite équivalente suivant la nature de la couche
porteuse de la semelle.
pl1*; pl2* ........ p ln* et étant les valeurs de la pression limite nette équivalente dans les couches
situées de D à D + 1,5 B, après avoir écarté, si besoin est, les valeurs singulières.
De : hauteur d'encastrement, équivalente
pl (z) : pression limite mesurée à chaque
niveau entre 0 et D.
D : ancrage de la fondation
Calcul du tassement des fondations à partir
de l’essai pressiométrique
Menard a proposé une méthode de calcul des tassements à partir des résultats de l’essai au
pressiomètre Menard. Cette méthode fut reprise par le fascicule 62, titre V (1993). Le tassement
à 10 ans d’une fondation encastrée d’au moins une largeur B.
CAS DU SOL HOMOGÈNE
Calcul de Ed et Ec
Le calcul des modules équivalents Ed et Ec est effectué, d’une part en utilisant la distribution de
la contrainte verticale sous une fondation souple (contrainte uniforme), d’autre part en
considérant que les déformations volumétriques sont prépondérantes sous la fondation jusqu’à la
profondeur B/2, pour le calcul de Ec , et que les distorsions ont de l’influence jusqu’à la
profondeur de 8B (figure).
Le calcul du tassement des fondations nécessite de diviser en tranches fictives le sol sous la
fondation ; dont chaque tranche a une épaisseur B/2
Ec est égal au module E1 mesuré dans la tranche d’épaisseur B/2 située immédiatement sous la
fondation.
Le niveau de la nappe d’eau dans le sol est mesuré à l’aide d’un tube
d’observation de la nappe alors que la pression de l’eau est mesurée à
l’aide d’un piézomètre.